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crowley

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Tout ce qui a été posté par crowley

  1. crowley

    conseils

    Je ne voudrais pas paraitre rabat-joie, mais avec si peu d'individus juvéniles par espèce, tu risques de te retrouver avec pas mal de mâles au final.
  2. crowley

    conseils

    Il n'y a pas de miracle, si tu as un pied dedans tu sais comment t'en occuper. Suis le conseil de Chance. Pour les Avicularia et l'Orphnaecus un contenant plus grand serait néanmoins souhaitable pour éviter les relocations trop fréquentes, ce sont des espèces qui n'aiment pas avoir leur construction cassée à chaque changement de pot et qui peuvent parfois se montrer récalcitrantes à entreprendre un nouvel aménagement. Lors d'un transfert, embarque la structure principale de la toile et place la dans le nouvel environnement, ça leur donnera un point de départ. Note que les Avicularia aiment la lumière contrairement aux autres espèces et que l'aération doit être plus conséquente avec quand même beaucoup de pulvérisations. Donne à l'Orphnaecus et à la Cyriocosmus de quoi creuser profondément. Le substrat de la Brachypelma et de la Grammostola sera préférablement sec. Ce ne sont que quelques modestes conseils à appliquer en complément des bases.
  3. crowley

    La nature s'éveille

    J'aime beaucoup la seconde photo, surtout quand on connait la rapidité de l'espèce
  4. Traduction de l'article ci-dessus: [...] L'animal venimeux a même tenté de fuir, après qu'il se soit mis à crier et à halluciner des attaques. "Elle faisait des chutes d'au moins 20 cm en tentant de fuir contre le mur" "j'ai couru, mais elle courait aussi apeurée. J'ai pris un balais pour la repousser, mais elle fuyait de plus belle. Finalement j'ai pris la première chose qui me venait sous la main, la cloche de la cocotte, et je lui ai jeté dessus. » Par chance, le couvercle en verre ne se brise pas puisqu'il ressemble à un contenant plastique sur la photo), et garde la mygale captive en attendant l'arrivée des pompiers. « Je n'ai jamais eu aussi peur de ma vie », avoue le Pérenchinois. Et il y a de quoi, pour le sergent Passion, (auto-proclamé) spécialiste des risques animaliers : « Cette mygale (Grammostola rosea) n'est pas mortelle, mais elle est venimeuse. les lésions ne sont pas irréversibles, son venin n'est pas nécrosant. » En France, l'animal est d'ailleurs soumis à une réglementation stricte et n'est pas en vente libre.
  5. crowley

    Ophiophagus hannah

    Ce sont les serpents de Richard qui les a récupéré après la mort de Luke Yeomans ?
  6. crowley

    Lamprophis capensis

    Elle envoie! Les oeufs sont vachement allongés.
  7. crowley

    Zamenis situla

    Magnifique! L'origine géographique des parents est connue?
  8. crowley

    Lamprophis capensis

    Heureuse nouvelle. Tu as été obligé d'inciser? Ou tu le fais d'office?
  9. crowley

    Frontline

    Bien sûr, je suis entièrement d'accord avec toi. C'est bien pour cette raison que je parle de mon choix à titre perso et que j'amène des éléments à l'édifice sans pour autant lutter activement contre son utilisation, même si je ne le recommande pas à défaut de le déconseiller. Mais pour moi c'est réglé, c'est fini. C'est peut être un peu subjectif mais la perte de certaines bêtes m'ont suffit à prendre position. C'est intéressant ce que tu viens d'écrire et je serai curieux d'avoir encore d'autres données un peu plus précises. J'ai longtemps traité du boidé avec ça sans problème. J'ai quand même constaté pour les autres que suivant l'espèce, sa nature d'épiderme, son poids, les réponses à ce produit sont comme le jour et la nuit pour une posologie bien évidemment recalculée à chaque fois. Il s'agirait, comme tu le soulignes, peut être de changer carrément de posologie en fonction de la sensibilité de chaque espèce. Ce qui reste aujourd'hui très compliqué à déterminer, mais facile à mettre en place en sous-dosant aléatoirement le produit. On prend alors le risque de ne détruire qu'une (grande) partie des parasites. Néanmoins, les serpents ont un métabolisme particulier, et en comparaison avec certains vertébrés endothermes, les prémices d'une pathologie arrivent quand celle-ci est déjà bien avancée. Je ne serai pas étonné d'apprendre que plusieurs diagnostiques ont été réalisés en occultant un déparasitage antérieur. Je ne serai pas non plus étonné de savoir que des troubles physiologiques peuvent s'installer à chaque application, sans pour autant présenter des signes évidents. A vrai dire, on ne se rend compte que des effets réellement dévastateurs. Mais je te l'accorde, toutes ces suppositions n'ont pas vraiment de crédit, faute d'éléments concrets à exploiter. En l'absence d'étude de ce produit sur les serpents, c'est un peu compliqué de se baser sur quelque chose de fiable. D'autant plus qu'il me semble qu'il n'a pas d'AMM pour les reptiles pour l'instant (comme pas mal de produits au final). Par contre pour la méthode bio, je ne comprends pas pourquoi tu avances ça? Tu as des retombées sur son utilisation? Pour ma part ça fonctionne à merveille, à condition d'augmenter ensuite la température du bac de quarantaine, il est évident qu'un serpent visqueux va se refroidir bien plus vite qu'un autre. Un bémol quand même pour les autres huiles qui assèchent considérablement la bête. Mais en même temps j'ai aussi réussi à éradiquer une invasion de phorides provenant d'une animalerie, à coups de feuilles de basilic et de maintenance sèche. Le tout avec le bio est aussi de trouver la bonne façon de faire sur le long terme.
  10. crowley

    Frontline

    Avec quelle espèce? A quel âge, quel poids et quelle quantité? Quel type d'application et sur quels point du corps? Éléments traités aussi? Ca m'intéresse beaucoup Je veux bien
  11. crowley

    Frontline

    Effectivement, c'est bien pour ça que je ne m'exprime pas plus sur ce sujet. Je ne les ai pas testé moi même. Quoi qu'il en soit il ne faudra pas tirer de conclusions après les seuls tests d'une marque qui en propose comme tel. Trouver directement des souches de prédateurs auprès d'instituts qui n'ont rien à y gagner ne pourra qu'enrichir les tests. On trouve aujourd'hui des avis intéressants sur le net avec de nombreux éléments de remise en question sur l'utilisation de ces prédateurs. Riien de mieux que de les vérifier soi-même.
  12. crowley

    Frontline

    Si, mais il semblerait que leur efficacité soit très discutée.
  13. crowley

    Frontline

    En plus des produits de nettoyage classiques, je pense que le temps est une bonne solution. Les parasites dépendent de leur hôtes pour vivre. Sans rien à se mettre sous la dent ils ne resteront pas longtemps sur les supports inertes. Cependant je pense que pour les batteries de terrariums, où le bac touché ne peut pas être sorti de la pièce, on pourrait penser à utiliser un nettoyeur vapeur. J'ai pour projet de faire des tests sur l'efficacité de cet appareil sur O. natricis.
  14. crowley

    Frontline

    Cela fait maintenant quelques temps que je ne recommande absolument pas les anti-parasitaires chimiques, et ce suite à quelques mauvaises expériences personnelles ou rapportées. De temps en temps des pathologies étranges et survenues subitement m'ont été exposées par certains terrariophiles. Au final, dans deux tiers des cas, les bêtes ont été en contact direct ou indirect avec ces substances et parfois quelques mois auparavant. Certains n'ont jamais eu de problème, mais je reste intimement convaincu de la nocivité de ces produits en fonction du poids de l'animal et de l'espèce. A titre personnel, j'ai radicalement rayé ces molécules de mon usage au profit de l'huile d'olive. J'ai d'aussi bons résultats, pour moins cher, et sans problèmes à la clef. J'aimerai cependant vous faire part de ce que je viens de constater aujourd'hui même: Il y a deux ans, j'avais traité des éléments de décors plus ou moins poreux avec du Frontline. Je les avais ensuite entreposés et oubliés. Ce matin j'ai décidé de les incorporer dans l'aménagement d'un nouveau terrarium. Je les ai donc lavé et rincé abondamment et longtemps dans le bac de douche. Je les ai ensuite laissé sécher un certain moment puis j'ai voulu accélérer le processus en y mettant un ventilateur devant. Mais en rentrant à nouveau dans la salle de bain au bout d'une demi-heure, j'ai été pris à la gorge par une lourdeur ambiante, irritante et déroutante. 2 ans après... un produit que je pensais inactif et éventé s'est montré nocif même pour moi, même après un lavage consciencieux. J'ai, en ce moment encore, l'impression de respirer des flammes et d'avoir une cuve de formol sous le nez, le tout la tête à l'envers pour... 10 secondes d'exposition. Si je n'avais pas ainsi activement brassé l'air au ventilateur dans un endroit clos je n'aurai jamais perçu ce doux fumet et aurait surement décidé d'incorporer les éléments dans le terrarium, libérant au compte-gouttes des problèmes à venir.
  15. crowley

    Le début de saison...

    http://www.nus.edu.sg/nurop/2010/Proceedings/FoS/Biological%20Sciences/Cassandra%20Marie%20Modahl_NT080566W.pdf "Venom from each cobra in the different litters was examined in hopes of finding ontogenetic venom variation trends, but none were found. It is possible that only a year difference between the offspring is insignificant. The only clear variation observed was between siblings. There were variations between all the Latoxan cobras in the study, none of the venom profiles were identical to another, but some variations were more prominent than others." Par contre: http://www.unco.edu/biology/faculty_staff/mackessy/2003%20Mackessy%20et%20al%20concolor%20paper.pdf
  16. crowley

    La nature s'éveille

    Elémentaire! Je pensais que ta dernière rencontre avait sensiblement la même taille que nos précédentes. Elle faisait combien?
  17. crowley

    La nature s'éveille

    En réalité, il y a des variations pour ces espèces, c'est une évidence. Ce que je trouve surprenant ici c'est uniquement que sur plusieurs spécimens rencontrés à une date sur un site assez vaste quand même, la variation n'était pas énorme. Et sur ce même site, aux mêmes endroits à 2 mois d'intervalle, j'ai l'impression que les spécimens ont une livrée bien plus claire. Mais ce n'est peut être qu'une impression, ou un éclairage différent, un appareil différent, ou simplement que les observations n'ont pas été faites sur assez de spécimens. Attendons l'avis de Gk
  18. crowley

    La nature s'éveille

    Classe les photos récentes. C'est dingue les différences phénotypique des espèces d'un même site à 2 périodes différentes. Ta mémoire a tenu le choc on dirait cette fois ci PS: et les photos de Bufo elles sont ou?
  19. Je ne sais pas si c'est la tournure de ton message ou le fond mais je ne comprends pas grand chose. Je vais néanmoins essayer de répondre à ce que je crois comprendre. Pour enterrer les œufs c'est un conseil, pas la façon de faire ultimement vraiment véridique. C'est comme ça que je fais au boulot, à raison d'une vingtaine de pontes par an et sans pertes: Les œufs avaient d'abord été incubés dans de la sphaigne avec de mauvais résultats, nous sommes passés à la vermiculite et nous en sommes plus que contents. 1. Nous détrempons la vermiculite et nous renversons l'excédent d'eau non-absorbée. 2. Nous posons les œufs dessus. 3. Après quelques jours si les œufs ont la même tronche que les tiens on les enterre de moitié et on place des mottes de vermiculite sur les dépressions de l’œuf. 4. Les œufs se sont toujours regonflés. L'humidité de la vermiculite est contrôlée au toucher tous les 2 jours. Il faut savoir que l'incubateur est grand et muni d'une ventilation. Peut être que cette méthode dans un incubateur avec de l'humidité stagnante donne d'autres résultats moins concluants. Pour tes questions, tu pourrais un peu plus cibler ou les tourner différemment? Que veux tu réellement savoir? La plupart des choses t'ont été dites avant.
  20. Si j'étais toi, j'enfoncerais les oeufs de la 3eme photo dans la vermiculite bien humide et je les recouvrirais. Ils commencent à se creuser.
  21. Oui, en gros c'est ça, mais la plupart du temps l’œuf ne coince pas juste au niveau du cloaque, donc tu dois percer à travers le corps multi-couches du serpent qui ne se laisse pas faire, avec une aiguille de gros diamètre, à la bonne profondeur, sans quoi le contenu de l’œuf ne sort pas. Et si possible une anesthésie locale, on est pas des barbares. Et, si je ne m'abuse, ce type de pratique est règlementé. Bien entendu, si l’œuf est clairement accessible à la sortie du cloaque la ponction est plus que facile et praticable par tous.
  22. Il est vrai que très peu de vétos sont réellement compétents en France. Il faut apprendre soi même à bien soigner en suivant les conseils des anciens terrariophiles. C'est le mieux à faire. Et ensuite n'aller chez le véto qu'une fois vraiment sûr du diagnostic. Oui, mais je pense qu'il faut encore aller plus loin que ça. Certains terrariophiles sont plus que compétant, et parfois certaines pratiques marchent contre toute logique (en considérant nos connaissances actuelles), le fruit de l’expérience. Mais le problème est le nombre de fausses idées et de mauvais conseils qui persistent entre terrariophiles. Avec un peu de recherches tout est vérifiable, et je ne peux qu'encourager à mener des investigations plus poussées sur un conseil et ne pas la prendre pour acquis. D'ailleurs, je suis complètement d'accord avec cette phrase de Richard S. Vetter (2008): Et cette science en question sont tous les travaux de biologie qui sont plus ou moins consultables sur le net, ou au moins des extraits.
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