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STOP aux conditions "inhumaines" de l'élevage de poules en cage !
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans PETITIONS : Animaux domestiques et de la ferme
Le groupe L214 a dévoilé une "enquête-vidéo" réalisée sur trois sites bretons où l'on peut voir des poules entassées dans le noir, déplumées, côtoyant parfois des cadavres d'autres volatiles. Capture d'écran d'une vidéo, tournée par l'association de défense des animaux L214, diffusée mercredi 17 septembre 2014. (L214) Système U se fait voler dans les plumes. L'association de défense des animaux L214 a dévoilé une nouvelle vidéo choc, mercredi 17 septembre à la mairie du IIe arrondissement de Paris, pour contraindre l'enseigne de supermarché de retirer les œufs en batteries qu'elle commercialise sous son nom. Tournée à la dérobée sur trois sites bretons de la marque, selon L214, la vidéo montre des poules entassées dans le noir, déplumées, côtoyant parfois des cadavres d'autres volatiles. L'association assure que chacun des trois sites, situés dans le Morbihan, compte "100 000 poules qui pondent 90 000 œufs" par jour. AssociationL214 17/9/2014 Les militants arguent que ces élevages seraient "non-conformes à la réglementation européenne" qui impose "l'aménagement des cages avec des nids, grattoirs ou raccourcisseurs de griffes." Un argument entendu par Système U. "Si la réglementation s'avère non respectée, nous arrêterons les relations avec ce type d'élevages", a réagi auprès de l'AFP un porte-parole du groupe. En revanche, la demande de L214 d'arrêter complètement de vendre des œufs pondus en batterie "n'est pas recevable", estime Système U. "Certains consommateurs préfèrent faire le choix d'œufs en cage car ils coûtent moins cher. (...) Nous ne pouvons pas décider unilatéralement d'imposer au consommateur ce qu'il doit consommer", a expliqué un porte-parole du groupe. Système U précise, par ailleurs, que 60% des œufs qu'il commercialise proviennent d'élevages bio ou en plein air, contre 53% il y a cinq ans. L'association se rendra toutefois devant le siège social de Système U à Rungis (Val-de-Marne) jeudi 18 septembre pour une manifestation et une projection vidéo des images d'enquête. Elle espère faire céder le groupe, comme cela a été le cas de Monoprix, en février 2013 : sous la pression de L214, l'enseigne avait décidé de ne plus commercialiser d'œufs de batterie sous sa propre marque. Bien choisir ses oeufs... Francetv info 17/9/2014 -
Les représentations d'animaux dans l'art égyptien antique ont permis de retracer l'évolution de cet écosystème qui a perdu plus de 75 % de ses grands mammifères sur une période de 6.000 ans. Un groupe de chercheurs spécialisés en écologie et paléontologie a utilisé des modèles mathématiques pour évaluer la stabilité des systèmes de proie-prédateur dans la vallée du Nil durant cette période. Résultat : des chutes de biodiversité ont sans doute accéléré le déclin des populations. Sur cette fresque murale dans une tombe égyptienne du XIVe siècle avant J.-C., on remarque la présence d'une girafe. On pouvait encore en trouver dans la vallée du Nil à cette époque. Bien qu'il faille interpréter avec précaution les images d'animaux dans l'ancienne Égypte, par exemple en les recoupant avec des données paléontologiques, elles constituent une riche source d'informations sur l'écosystème de la vallée du Nil au cours des millénaires. Wikipédia, DP La théorie des systèmes dynamiques, qu’explore par exemple le dernier médaillé Fields français Artur Avila, permet de modéliser les écosystèmes. Les équations de Lotka-Volterra, par exemple, que l'on désigne aussi sous le terme de modèle proie-prédateur, peuvent décrire la dynamique de systèmes biologiques dans lesquels un prédateur et sa proie interagissent. Elles forment un couple d'équations différentielles non linéaires du premier ordre proposées indépendamment par les mathématiciens Alfred James Lotka en 1925 et Vito Volterra en 1926. L’une des questions que l’on veut pouvoir résoudre ainsi concerne la stabilité des écosystèmes quand ils sont soumis à des perturbations, par exemple la disparition de certaines proies ou prédateurs, quelles qu’en soient les raisons (changements climatiques, épidémies, intervention de l'Homme, etc.). Remarquablement, la modélisation mathématique des écosystèmes ne s’applique pas qu’à ceux d'aujourd’hui. Elle peut aussi être utilisée pour comprendre des événements anciens. Une nouvelle illustration de cette possibilité vient d’être donnée par un groupe de chercheurs états-uniens qui viennent de publier un article dans les Pnas concernant l’histoire des grands mammifères dans la vallée du Nil au cours des 6.000 dernières années. Les papyrus et les peintures murales, mais aussi les gravures sur des objets en ivoire par exemple, sont des témoignages précieux et riches sur la vie dans l'ancienne Égypte. Ils nous renseignent aussi sur les animaux qui côtoyaient les Égyptiens. Art Parade, YouTube (3/8/2008) Il se trouve que les peintures murales et autres objets d’art dans l’ancienne Égypte portent de nombreuses représentations animales. Le zoologiste Dale Osborne s’y est beaucoup intéressé et il a amassé une base de données très complète provenant de l’archéologie qu’il a combinée avec des informations provenant de la paléontologie. Il a pu de cette manière étudier ces représentations animales pour voir comment elles ont changé dans le temps. Cela lui a permis de publier en 1998 un livre dans lequel il a brossé un tableau détaillé de l’historique des communautés animales dans la vallée du Nil dans l'Égypte antique. (Photo couverture du livre Amazon.com) Les chercheurs se sont emparés de ces données pour construire et nourrir un modèle décrivant la dynamique des populations des mammifères de ces communautés, des débuts de la civilisation égyptienne jusqu’à aujourd’hui. Pendant cette période, ils ont ainsi pu mettre en évidence et rendre compte de 5 crises qui ont fait disparaître de la vallée du Nil les lions, les chiens sauvages, les éléphants, les oryx et les girafes. L’écosystème diversifié qui contenait initialement 37 espèces de grands mammifères n’en contient plus que 8 de nos jours. Trois des crises identifiées coïncident avec des changements environnementaux majeurs qui ont accompagné la dérive du Sahara et de l’Égypte vers des conditions de plus en plus arides. Elles se sont produites conjointement avec les effondrements de l’Ancien et du Nouvel Empire, respectivement il y a 4.000 et 3.000 ans environ. Une autre crise s’est produite au moment où l’Égypte a commencé son industrialisation avec une croissance de sa population. La conclusion la plus importante de cette étude est probablement que l'appauvrissement de l’écosystème a réduit sa stabilité. Après la perte d'animaux pouvant jouer des rôles écologiques similaires, la disparition d’une seule espèce avait alors des conséquences disproportionnées, entraînant par exemple la disparition d’une autre. Il y a là une leçon à tirer au moment où l’Homme lui-même est en train de menacer la diversité de la biosphère à l'échelle de la planète. Futura Sciences 17/9/2014
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Barrages: un rapport défend 3 alternatives à la concurrence
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Actus Hydroélectricité / Barrages
Paris - La Commission européenne a dit mercredi accueillir favorablement la volonté de la France de placer les barrages hydroélectriques français dans le giron de sociétés d'économie mixte (SEM), au capital partagé entre public et privé, comme le prévoit le projet de loi sur la transition énergétique. Le texte prévoit aussi que les actionnaires privés soient sélectionnés à l'issue d'un appel d'offres. Barrage à aiguilles, Fumay, Ardennes. Vincent Anciaux CC BY-SA 3.0 La Commission se félicite des dispositions qui sont prévues en matière d'hydroélectricité sur les concessions, a déclaré Anne Houtman, directrice des affaires générales à la Direction générale Energie de la Commission européenne, devant les députés de la commission spéciale de l'Assemblée nationale, chargée d'examiner ce projet de loi. Bien entendu, nous allons veiller à ce que les dispositions qui seront inscrites dans la loi seront suivies d'effet, a-t-elle ajouté. Propriétés à 100% de l'Etat, les barrages français sont actuellement concédés, en très grande majorité à EDF (80%) ainsi qu'à GDF Suez (environ 17%), mais Bruxelles avait exigé qu'ils soient mis en concurrence. L'énergie hydraulique est la première énergie renouvelable en France, et 150 concessions arriveront à échéance d'ici à 2023, représentant un quart de la production d'hydroélectricité française. La disposition du texte de loi relative aux SEM permet de mieux associer les collectivités territoriales à la gestion des usages de l'eau et de renforcer le contrôle public sur le patrimoine commun que constitue le parc hydroélectrique français, selon le ministère de l'Ecologie et de l'Energie. Romandie 17/9/2014 -
Originaire de Méditerranée, elle occupe déjà l'Europe et l'Amérique du Nord. Des premiers spécimens sont maintenant repérés au Costa-Rica et en Équateur. Cette limace invasive se sent particulièrement à l'aise dans les jardins et sous les débris. Wolfgang Junius / Senckenberg Görlitz. La limace de méditerranée Deroceras invadens porte bien son nom (invadere en latin signifie envahir). Après avoir conquis l'Europe et l'Amérique du Nord, la voilà en passe de gagner l'Asie, l'Amérique Centrale et le Sud du continent, selon une étude parue dans la revue Neobiota. "À l'heure actuelle, cette espèce de limace peut être rencontrée presque partout dans le monde entier", explique Heike Reise, principale auteure de l'étude et conservatrice au Museum d'histoire naturelle de Senckenberg, en Allemagne. On la trouve principalement dans les jardins sous les débris mais aussi dans les serres et en pleine nature" complète-t-elle. Cet animal, classé dans l'embranchement des mollusques comme les autres gastéropodes, mesure environ 3 cm de long. Il s'avère être un redoutable ravageur agricole d'où une surveillance accrue de sa dispersion. À l'origine, Deroceras invadens vivait sur les côtes de Méditerranée mais sa présence est détectée en Grande-Bretagne dès 1930 et dix ans plus tard au Danemark puis dans le reste de l'Europe. Elle est transportée dans des caisses de légumes importées et dans les tuiles et l'outillage de jardin. Les malacologues (les spécialistes des mollusques) pensaient que des facteurs climatiques (des hivers rigoureux ou au contraire des températures élevées) pourraient limiter sa propagation... Ce n'est apparemment pas le cas : les champs cultivés semblent l'attirer quel que soit le climat environnant d'Égypte à la Suède. "Ces nouveaux habitats créés par les humains ouvrent de nouvelles voies pour le développement des limaces dans des zones qui sont normalement inhospitalières pour ces animaux. Les champs peuvent servir de corridors pour leur permettre de gagner des habitats isolés, adaptés", signale Heike Reise. La scientifique appelle les pays qui ne sont touchés qu'à la marge par cette invasion - comme la Chine, le Japon et les pays d'Amérique du Sud - à renforcer la détection de la limace et à mette en œuvre des mesures de lutte précoces dès le repérage des premiers spécimens. Malgré cette recommandation, il semble probable que Deroceras invadens continue son chemin et soit rapidement présente dans toute l'Amérique du Sud. Sciences et avenir 17/9/2014
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Tarifs de l'énergie: l'UFC-Que choisir lance son comparateur
Admin-lane a posté un sujet dans Energies
Paris - L'association UFC-Que choisir a lancé mercredi un comparateur des tarifs du gaz et de l'électricité afin d'aider les consommateurs à choisir l'offre la plus intéressante selon leurs profils. Cet outil, accessible sur le site internet de l'association, compare ainsi les tarifs réglementés des opérateurs historiques GDF Suez et EDF ainsi que les offres de marché qu'ils proposent et celles des fournisseurs concurrents, comme Lampiris, Antargaz, Eni ou Direct Energie. La concurrence existe sur les marchés français du gaz et de l'électricité depuis 2007 pour toutes les catégories de consommateurs. Les consommateurs sont noyés dans un imbroglio tarifaire et toujours victimes d'idées reçues sur la libéralisation et le changement de fournisseur, a justifié l'association dans un communiqué. Ce comparateur doit donc leur permettre d'appréhender le montant de leur facture pour chacune des offres, en précisant l'économie ou le surcoût qu'elle représente par rapport au tarif réglementé. D'autant, estime-t-elle que l'obligation faite à GDF Suez par l'Autorité de la concurrence d'ouvrir son fichier client à la concurrence sur le marché du gaz entraîne un risque d'une démultiplication des campagnes de démarchage agressif. GDF Suez a annoncé qu'il ferait appel de cette décision, rendue le 9 septembre par l'Autorité de la concurrence après une plainte de Direct Energie, un de ses concurrents. L'UFC-Que choisir note par ailleurs que si les consommateurs ont un réel intérêt à faire jouer la concurrence sur le gaz, avec un réel gain en pouvoir d'achat à la clé - plus de 200 euros par exemple pour un consommateur parisien avec une consommation moyenne de 19.000 kWh par an - cela est moins vrai pour l'électricité. Sur ce marché, il y a toujours un véritable avantage concurrentiel pour EDF qui est à la fois producteur et fournisseur d'électricité, a expliqué à l'AFP Cédric Musso, directeur de l'action politique au sein de l'association. Et c'est ce qui ressort de notre comparateur avec un réel gain sur le gaz grâce aux offres de marché alors qu'il est plus rare pour l'électricité, a-t-il ajouté. L'UFC-Que Choisir précise que son comparateur est mis à disposition gratuitement jusqu'au 7 octobre, date à partir de laquelle seuls ses abonnés de son site internet pourront ensuite y accéder. Romandie 17/9/2014 -
FRANCE : tout sur la transition énergétique
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Energie autres ou divers
Paris - Les Outre-mer doivent bénéficier de mesures spécifiques dans le cadre de la future loi sur la transition énergétique du fait des contraintes particulières qui pèsent sur leur production et leur consommation d'électricité, selon un rapport parlementaire publié mercredi. La priorité de la politique énergétique dans ces territoires doit être la diversification des sources d'approvisionnement en énergie, selon ce rapport sur l'adaptation du droit de l'énergie aux Outre-mer, présenté par les députés Ericka Bareigts (PS) et Daniel Fasquelle (UMP) à la commission des Affaires économiques de l'Assemblée nationale. Aujourd'hui, les Outre-mer sont très dépendants des importations de pétrole et de charbon pour alimenter les centrales thermiques qui servent à produire leur électricité, et donc des évolutions du prix de ces matières premières. Pétrole et charbon représentent ainsi moins de 5% du bouquet électrique dans l'Hexagone contre 85% en Guadeloupe ou 95% à Mayotte, ce qui a également des conséquences sur les émissions de CO2 dans ces territoires. Il y a donc une inadaptation du modèle actuel, qui se caractérise par la vulnérabilité aux évolutions des prix des combustibles fossiles et la réalisation d'investissements coûteux dans des capacités de production polluantes, constate le rapport. D'autant que ce système a un coût très important pour tous les Français dans le cadre de la péréquation, mécanisme qui instaure un prix unique de l'électricité avec une solidarité entre les territoires, a commenté Ericka Bareigts, en présentant le rapport. Selon elle, il faut cependant casser les idées reçues selon lesquelles les ultramarins consommeraient au-delà du raisonnable à cause de cette solidarité. En moyenne un ultramarin consomme moins d'électricité qu'un hexagonal, donc c'est bien le système qui coûte cher, a-t-elle insisté. Le rapport dénonce également la situation de certaines régions reculées de Guyane où plusieurs dizaines de milliers de personnes ne sont tout simplement pas reliées au réseau électrique et doivent donc être alimentées par des systèmes de très petite taille voire individuels très coûteux. Pour sortir de cette dépendance aux énergies fossiles, les députés plaident pour un développement massif des énergies renouvelables, au point mort depuis plus d'un an. Plusieurs verrous doivent donc sauter, comme le seuil des 30% d'énergies intermittentes dans le réseau électrique qui s'applique aux zones non interconnectées (ZNI), c'est-à-dire non reliées à un réseau électrique étranger comme c'est le cas des Outre-mer. Les installations d'énergies intermittentes peuvent y être déconnectées - et donc non rémunérées - dès que la puissance produite dépasse 30% de la puissance totale transitant sur le réseau. Ce risque dissuade donc les investisseurs de développer de nouvelles capacités de production d'énergies renouvelables. Si le rapport ne plaide pas pour une suppression de ce seuil qui garantie la sécurité du réseau, il estime qu'il ne semble pas justifié d'imposer ce même seuil à tous les territoires et pousse au développement du stockage d'électricité, clé de voute de la transition énergétique dans les Outre-mer. Le rapport préconise enfin que les Outre-mer reprennent la main sur la gouvernance de leur politique énergétique (fixation des tarifs d'achat de l'électricité renouvelable, gestion des appels d'offres), encore trop dépendante de dispositifs nationaux qui s'adaptent mal à leur situation spécifique. C'est notamment le cas des mécanismes d'amélioration de l'efficacité énergétique, comme le crédit d'impôt pour le remplacement des chaudières ou le fonds chaleur, qui ne sont pas adaptés à ces territoires. Cela permettra de choisir des projets bons pour les Outre-mer, alors qu'aujourd'hui des projets pourtant pertinents n'arrivent pas sur les territoires, a affirmé Mme Bareigts. Romandie 17/9/2014 -
Vingt-deux millions de personnes ont dû abandonner leur domicile en 2013 à la suite d'une catastrophe naturelle. C'est trois fois plus que le nombre de déplacés par des conflits, ce qui prouve l'urgence à s'attaquer au changement climatique, indique une étude. La majorité de ces personnes se trouvaient en Asie, écrit le Conseil norvégien pour les réfugiés (NRC). Cette organisation indépendante, spécialisée dans l'aide d'urgence, publiait son rapport mercredi, avant le sommet sur le climat qui aura lieu mardi prochain au siège des Nations unies à New York. Sur le continent asiatique, 19 millions de personnes ont été déplacées à cause d'inondations, de tempêtes ou de séismes, selon le Centre de surveillance international des déplacements (IDMC), qui dépend du NRC. - Le typhon Haiyan aux Philippines a provoqué le plus vaste mouvement de population, avec 4,1 millions de déplacés. - Un autre typhon, Trami, a fait 1,7 million de déplacés dans l'archipel. - Les crues en Chine ont fait encore 1,6 million de déplacés. Par rapport à la taille de leur population, huit des 20 catastrophes les plus graves ont eu lieu en Afrique sub-saharienne, ajoute le rapport. L'Afrique risque de plus en plus d'être touchée en raison de la croissance plus forte qu'ailleurs de sa population. Les nations riches ne sont pas épargnées, comme le Japon avec le typhon qui a touché la région de Chubu, les Etats-Unis avec les tornades dans l'Oklahoma, et le Canada avec les inondations en Alberta qui ont déplacé ensemble 600'000 personnes. Le rapport alerte également sur les risques naturels dans les régions en conflit, avec les inondations survenues en 2010 au Pakistan. Le nombre de personnes affectées par les désastres naturels a plus que doublé en quarante ans. Il devrait encore s'accroître, car la population des villes continue d'augmenter dans les pays en développement. "Cette tendance à la hausse va se poursuivre, car de plus en plus de gens vivent et travaillent dans des zones à risques", a souligné Jan Egeland, secrétaire général du NCR. "La plupart des catastrophes sont aussi l'oeuvre des hommes", a ajouté Alfredo Zamudio, directeur de l'IDMC. Le responsable a estimé qu'une amélioration de la planification urbaine, des digues anti-crues ou des normes de construction pouvaient aider à réduire l'impact des désastres naturels sur les populations. Romandie 17/9/2014
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Plus d'une centaine de moutons de Saas ont vraisemblablement été volés sur un alpage du Haut-valais. Les bêtes, qui appartenaient à un troupeau de plus de 350 moutons, ont été recherchées, en vain. Les polices suisse et italienne ont été prévenues. Les quelque 350 moutons de Saas ont désalpé vendredi pour rejoindre Saas-Almagell. Dans le village haut-valaisan, chaque bête devait être rendue à son propriétaire. Mais 103 d'entre elles manquaient à l'appel, a indiqué la fondation Pro Specie Rara mercredi dans un communiqué. Des recherches en hélicoptère et à pied ont alors été entreprises, en vain. "Cent trois moutons ne peuvent pas disparaître comme ça. Ils ont dû être volés par des professionnels", estiment Pro Specie Rara et les éleveurs concernés. Comme l'alpage en question se situe à la frontière, les polices suisse et italienne ont été contactées. Les moutons de Saas sont de moins en moins nombreux. En une quinzaine d'années, le cheptel a perdu les trois quarts de ses effectifs pour s'établir à 400 bêtes environ. Ils sont principalement élevés dans le Haut-Valais. Ils se caractérisent notamment par leurs oreilles pendantes et leur nez fortement busqués. Pro Specie Rara collabore avec les éleveurs de moutons de Saas pour promouvoir la race. (Photo de profil d'un mouton de Saas. ProSpecieRara) La majorité des moutons de Saas sont blancs. On estime qu’un tiers des animaux sont unicolores ou pie. Le caractère le plus frappant sont les oreilles pendantes et le nez fortement busqué. Ils sont sans corne, produisent une laine fine et sont élevés principalement pour leur viande. Les moutons de Saas comptent parmi les plus grandes races suisses et sont considérés comme calmes et confiants. On dit qu’ils développent des liens étroits avec les personnes qui en prennent soin.Photo moutons de Saas. ProSpecieRara Dismorphisme :Les brebis, mesurent au garrot 78cm pour un poids moyen de 80 kg, tandis que le mâle mesure aux alentours de 85cm pour un poids de 100 kg. Romandie 17/9/2014 - ProSpecieRara
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Le Japon chasse à la baleine, CBI, Sea Shepherd, CIJ ...
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Les baleines
Pour ce commentaire, retour sur l'assemblée générale de la Commission baleinière internationale qui a débuté lundi en Slovénie. La rencontre de quatre jours est la première de la Commission depuis que la Cour internationale de justice a ordonné au Japon en mars de suspendre ses activités de recherche baleinière en Antarctique. Masayuki Komatsu, chercheur invité au Centre international pour l'étude du développement en Asie de l'Est, parle des tentatives du Japon de relancer son programme de recherche baleinier, une décision qui ne manquera pas d'être critiquée au niveau international. M. Komatsu a participé aux rencontres de la Commission baleinière internationale de 1992 à 2005, à titre de commissaire suppléant pour le Japon. Radio Japon : Le Japon a mis fin à son programme de recherche sur les baleines après un jugement de la Cour internationale de justice rendu en mars. Tokyo cherche à relancer son programme baleinier durant l'année fiscale 2015. Le Japon obtiendra-t-il la compréhension des participants à la rencontre de la Commission baleinière internationale ? Masayuki Komatsu : Les pays qui s'opposent à la chasse à la baleine sont en majorité parmi les participants à l'assemblée générale de la Commission. Il existe par ailleurs une dynamique actuellement visant à mettre fin à toutes les recherches baleinières dans l'océan Antarctique, en invoquant la décision rendue en mars par la Cour internationale de justice. Il y a des voix modérées parmi ceux qui s'opposent à la chasse. L'Irlande, par exemple, a indiqué qu'elle était prête à autoriser la chasse à la baleine dans certaines zones côtières. Mais la Commission est dominée par des pays qui adoptent la ligne dure, comme la Nouvelle-Zélande, et qui souhaitent l'interdiction complète de la chasse. La discussion pourrait aussi inclure éventuellement une suspension de la recherche baleinière menée par le Japon dans le nord de l'océan Pacifique. Radio Japon : Comment le Japon devrait-il expliquer sa position s'il souhaite obtenir le soutien à sa volonté de reprendre la recherche baleinière dans l'océan Antarctique ? Masayuki Komatsu : On dénombre 525 000 petits rorquals dans l'océan Antarctique. La population de grosses baleines, comme les baleines à bosse et les rorquals communs, augmente à un rythme de 10 à 15% par année. Ces données, reconnues internationalement, sont disponibles sur le site web de la Commission baleinière internationale. Le programme de recherche japonais fournit des données biologiques telles que l'âge et le taux de grossesses des baleines. Il démontre qu'une exploitation durable des baleines est réalisable. Il y a eu des tentatives de la part du groupe Sea Shepherd de bloquer le programme de recherche baleinier du Japon. Mais le Japon avait réduit le nombre de baleines qu'il capture avant même l'incident, afin d'exprimer qu'il est sensible à l'opinion publique. Cela a provoqué la décision du mois de mars, laquelle précisait que le programme japonais ne constituait pas un programme de recherche baleinier. Je ne crois pas que cela se serait produit si le Japon avait capturé environ 850 baleines, ce qui aurait été considéré comme un chiffre scientifiquement significatif, et s'il avait publié une analyse à l'intention de la communauté internationale avant la décision de la Cour internationale de justice. En conséquence je pense qu'il est important de mettre en oeuvre le programme dans sa forme originelle. De plus le programme baleinier japonais devrait être plus ambitieux et inclure de nouveaux articles pour être en phase avec le monde moderne. Ils porteraient sur le réchauffement climatique ou encore les enjeux liés à la nourriture. Par exemple, les animaux de la mer n'ont pas besoin d'être nourris, et leurs excrétions sont recyclées dans l'eau. L'étude japonaise devrait démontrer comment les créatures de la mer sont mieux adaptées dans une perspective de résoudre les problèmes alimentaires mondiaux que le bétail sur terre, tels que les vaches ou les cochons. Je pense qu'il est important, à tout le moins, de préciser la direction de la politique de recherche japonaise le plus tôt possible. ----->Si comme moi vous avez suivi l'actualité sur la chasse à la baleine opérée par le Japon (vous pouvez aussi pour vous rafraichir la mémoire, lire les articles précédents, voire dès le commencement), vous vous apercevrez que ce texte est en partie "langue de bois"... En revanche, il est à craindre qu'effectivement le Japon renforce ses objectifs de chasse pour sa prochaine campagne, sous couvert d'autres prétextes fallacieux, tels que celui mentionné disant que le Japon fournissait l'état ou non de gestation des femelles capturées et tuées... Or, rappelons-nous que nous sommes au 21ème siècle, et qu'il n'est nul besoin de tuer un individu pour l'étudier, d'ailleurs cela a été dit avant moi par des scientifiques, puisque la science dispose maintenant d'outils performants non létaux.... NHK WORLD 16/9/2014 -
JAPON : Cas de dengue autochtone confirmés
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Les maladies dues aux moustiques
Neuf nouveaux cas de fièvre dengue ont été confirmés à Tokyo et dans la préfecture voisine de Saitama. L'état de santé de chacun des malades serait stable. Ces nouveaux cas portent à 124 le nombre de personnes diagnostiquées comme infectées par la fièvre dengue. Cette maladie qui se transmet par les moustiques a été confirmée au Japon le mois dernier, pour la première fois en près de 70 ans. NHK WORLD 16/9/2014 -
FRANCE : tout sur la transition énergétique
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Energie autres ou divers
Paris - Les industriels de la filière des énergies renouvelables ont appelé mardi le gouvernement à développer avec une très grande progressivité le futur mécanisme de rémunération de l'électricité verte, qui doit remplacer les actuels tarifs d'achat bonifiés. Le projet de loi sur la transition énergétique prévoit de remplacer ces tarifs d'achat pour les énergies éolienne et solaire, supérieurs aux prix du marché et auxquels EDF est obligé d'acheter l'électricité aux producteurs, par un tarif constitué du prix du marché augmenté d'une prime. Cette évolution s'inscrit dans les nouvelles lignes directrices encadrant les aides d'Etat pour l'énergie et l'environnement décidées par la Commission européenne à partir du 1er juillet 2014. Tout l'enjeu est de déterminer le niveau de cette prime et le calendrier de passage à ce futur système dit marché+prime, des éléments qui ne sont pour l'instant pas précisés dans le projet de loi, tel que rédigé avant son examen au Parlement à partir du 1er octobre. Le Syndicat des énergies renouvelables (SER), principale organisation du secteur, souhaite que le complément de rémunération soit déterminé et versé une fois le projet solaire ou éolien opérationnel, et sur la base d'un niveau cible prédéterminé qui permettra une rémunération normale des capitaux investis. En fonction de l'évolution du prix de vente sur le marché de l'électricité, le montant de la prime pourrait donc varier afin de garantir le niveau de rémunération cible fixé pour chaque filière, mais sans le dépasser. Ce système est préférable à une détermination du montant de la prime dans le cadre d'une procédure d'appel d'offres en amont de la réalisation du projet, selon le SER. Cela serait dangereux car faire de la prospective sur le prix de marché est très difficile et cela pourrait conduire à des primes très élevées et donc à un coût très important pour la collectivité, a expliqué Damien Mathon, délégué général de l'organisation professionnelle, lors d'une conférence de presse. Le SER plaide également pour que le passage à ce nouveau système soit très progressif, afin de permettre une adaptation du plus grand nombre, et souhaite être associé à la mise en place d'un calendrier. Romandie 16/9/2014 -
Fin des tarifs d'achat bonifiés de l'électricité photovoltaïque
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Le Solaire
Paris - Les industriels de la filière des énergies renouvelables ont appelé mardi le gouvernement à développer avec une très grande progressivité le futur mécanisme de rémunération de l'électricité verte, qui doit remplacer les actuels tarifs d'achat bonifiés. Le projet de loi sur la transition énergétique prévoit de remplacer ces tarifs d'achat pour les énergies éolienne et solaire, supérieurs aux prix du marché et auxquels EDF est obligé d'acheter l'électricité aux producteurs, par un tarif constitué du prix du marché augmenté d'une prime. Cette évolution s'inscrit dans les nouvelles lignes directrices encadrant les aides d'Etat pour l'énergie et l'environnement décidées par la Commission européenne à partir du 1er juillet 2014. Tout l'enjeu est de déterminer le niveau de cette prime et le calendrier de passage à ce futur système dit marché+prime, des éléments qui ne sont pour l'instant pas précisés dans le projet de loi, tel que rédigé avant son examen au Parlement à partir du 1er octobre. Le Syndicat des énergies renouvelables (SER), principale organisation du secteur, souhaite que le complément de rémunération soit déterminé et versé une fois le projet solaire ou éolien opérationnel, et sur la base d'un niveau cible prédéterminé qui permettra une rémunération normale des capitaux investis. En fonction de l'évolution du prix de vente sur le marché de l'électricité, le montant de la prime pourrait donc varier afin de garantir le niveau de rémunération cible fixé pour chaque filière, mais sans le dépasser. Ce système est préférable à une détermination du montant de la prime dans le cadre d'une procédure d'appel d'offres en amont de la réalisation du projet, selon le SER. Cela serait dangereux car faire de la prospective sur le prix de marché est très difficile et cela pourrait conduire à des primes très élevées et donc à un coût très important pour la collectivité, a expliqué Damien Mathon, délégué général de l'organisation professionnelle, lors d'une conférence de presse. Le SER plaide également pour que le passage à ce nouveau système soit très progressif, afin de permettre une adaptation du plus grand nombre, et souhaite être associé à la mise en place d'un calendrier. Romandie 16/9/2014 -
Contre la création d'un élevage de 1000 vaches : manifestation 23/06/2012
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans PETITIONS : Animaux domestiques et de la ferme
Rennes - Vue du SPACE, un des plus grands salons de l'élevage au monde, la ferme polémique des 1.000 vaches en Picardie, c'est bien et, surtout, c'est l'avenir, avec la fin des quotas laitiers en 2015. Flyer de l'événement Tout le petit monde de l'élevage et de l'agro-industrie s'est donné rendez-vous au Salon international des productions animales (Space), qui se tient à Rennes jusqu'à vendredi. Et dans le hall 11, dédié au matériel de traite, la ferme des 1.000 vaches n'est pas un lointain projet picard. C'est d'abord un juteux client. Olivier Marquet, directeur France du constructeur américain BouMatic accueille tout sourire sur son stand géant. C'est nous qui avons fourni à Michel Ramery (le promoteur de la ferme géante) le carrousel de traite de 50 places, explique-t-il. Vous voyez, les vaches, elles adorent. Il y en a en permanence 47/48 sur le manège et comme chaque vache a sa place, elles n'ont aucun stress. Michel Ramery, entrepreneur du BTP à la retraite mais issu du monde agricole, souhaite construire une ferme de 1.000 vaches prés d'Abbeville dans la Somme. Une entreprise qui rencontre une vive opposition des paysans de la Confédération paysanne, des riverains et des écologistes. Ils dénoncent le gigantisme de ce projet, qu'ils jugent dangereux pour l'environnement (nuisances olfactives, épandages) et contraire au bien-être des animaux, concentrés et élevés hors sol. (comme les poulets en quelque sorteNDLR) Et l'arrivée ce week-end des 150 premières vaches a ravivé la tension sur place. Car une exploitation de 1.000 vaches serait inédite dans un pays où le troupeau laitier moyen est de 50 vaches. Mais ce qu'Olivier Marquet préfère retenir, c'est la première traite: ça a été exceptionnel. On a trait les 150 vaches en 50 minutes et quand il y en aura 500, ça prendra deux heures. Un temps express! A quelques stands de là, Julien Citerne porte bien son nom. Il est commercial pour le groupe mayennais Serap. Il vend des tanks aux éleveurs pour qu'ils refroidissent leur lait de 35 à 4 degrés entre la traite et la livraison au collecteur. Et lui aussi a vendu deux refroidisseurs de 30.000 litres à Michel Ramery. On est fiers parce qu'on a réussi à s'adapter à sa demande d'avoir un refroidisseur plus grand et plus haut que la moyenne qui est de 7.000 litres en France. Et pour Julien Citerne ce modèle géant a lieu d'être. C'est un moyen de pérenniser l'élevage laitier dans les zones de polyculture/élevage ou dans les régions céréalières, où les élevages disparaissent au profit de la culture de céréales comme en Picardie, estime-t-il. Mais pas de risque, selon lui, que ce genre de structures se développe dans des zones laitières dynamiques comme la Bretagne. Tous expliquent qu'avec la fin des quotas laitiers en avril 2015, qui mettra fin à 30 ans de production encadrée en Europe, il faudra en passer par là pour rester la deuxième puissance laitière du continent derrière l'Allemagne. En Allemagne, en Espagne, il y a déjà des fermes de 1.000, 3.000 et même 4.000 vaches. Avec la fin des quotas, on va tendre vers ce genre d'exploitations, argumente, passionné, un vendeur d'un équipementier d'étable français. Lui, et ses confrères (dont l'un des patrons) préfèrent ne pas donner leurs noms ni celui de leur entreprise. Vous comprenez, nous on vend aux petits comme aux grands et on ne veut froisser personne. Pour eux, c'est sûr que Michel Ramery, qui a adossé à son exploitation un méthaniseur, va gagner plus d'argent en vendant l'énergie qu'avec le lait. Mais en même temps, il sera mieux placé pour vendre le lait à un prix attractif face aux concurrents étrangers, poursuit Pierre Maréchalle, PDG de la PME familiale éponyme qui propose cages et pèse-bétail. Basé à 100 bornes d'Abbeville, pour lui, la ferme des 1.000 vaches c'est bien, ça va maintenir dans le coin les abattoirs, développer le business, même si, effectivement, il comprend les craintes des riverains. Romandie 16/9/2014 -
Trois coeurs, des yeux de la taille d'une citrouille, d'immenses tentacules et un bec de perroquet: les scientifiques néo-zélandais ont autopsié la carcasse d'un calamar colossal remonté des profondeurs de l'Antarctique. L'animal conservé au musée Te Papa de Wellington depuis sa capture l'an dernier au cours de l'été austral mesure environ 3,5 mètres de long et pèse 350 kilos. The Telegraph 16/9/2014 Comme tous les autres spécimens de "mesonychoteuthis hamiltoni" récupérés intacts (il s'agit du second cas seulement) ou dans le ventre des grands cachalots, celui-ci est une femelle. Aucun mâle n'a en effet jamais été identifié. Elle possède trois coeurs et une paire d'yeux d'un diamètre de 35 centimètres, probablement les plus grands yeux du règne animal jamais observés. "Ils ont de très grands yeux et très fragiles parce qu'ils vivent dans les profondeurs de la mer. Il est très rare de voir un oeil en aussi bonne condition", s'est réjouie Kat Bolstad de l'université d'Auckland. "C'est de loin le calamar colossal le mieux conservé qu'il m'ait été donné de voir". L'autre spécimen intact, pêché en 2008, est aussi conservé au musée Te Papa. Ce dernier individu avait été remonté par un navire de pêche l'an dernier dans l'océan Austral. Romandie 16/9/2014
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Contre la création d'un élevage de 1000 vaches : manifestation 23/06/2012
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Les opposants à cette ferme géante dénoncent un projet dangereux pour l'environnement et contraire au bien-être des animaux. Le blocus de la ferme dite des 1000 vaches a été levé, mardi 16 septembre. Le blocus avait commencé samedi après le démarrage de l'exploitation. L'armistice intervient après une réunion de conciliation entre tous les protagonistes au ministère de l'Agriculture, qui a permis de déboucher sur un compromis. La ferme des 1000 vaches à Drucatdans la Somme. (FRANCOIS NASCIMBENI / AFP) Le blocus avait commencé après l'arrivée des premières 150 vaches, qui permettait de démarrer l'exploitation de cette ferme géante, dont la taille envisagée est sans précédent en France. Six ans après son lancement, ce projet reste très contesté, en raison de craintes pour l'environnement, le bien-être animal et l'avenir des petits et moyens élevages. "D'un commun accord, nos deux organisations vont lever le blocus ce jour (mardi) à 18 heures", a indiqué le président de l'association de riverains Novissen. "Je ne peux que me féliciter de la sortie de crise et de la levée du blocus", a réagi aussitôt le directeur de l'exploitation Michel Welter. "Le seuil des 500 vaches [le permis est pour l'instant limité à ce nombre] sera atteint dans les semaines qui viennent", a-t-il précisé. Les opposants (l'association Novissen, la Confédération paysanne et EELV) ont obtenu des concessions sur la puissance du méthaniseur, sur l'utilisation de lisier et de couvert végétal. En revanche, ils ont dû renoncer à exiger un engagement écrit de Michel Ramery, avec la garantie formelle de l'État, que le cheptel de vaches laitières serait limité aux 500 têtes qu'autorise le permis d'exploitation délivré en février 2013. Cependant, pour toute extension du troupeau de 500 à 899 vaches, "il appartiendra à la préfecture d'évaluer le caractère substantiel des modifications envisagées au regard notamment des impacts environnementaux et sanitaires, et d'évaluer sur ces bases la nécessité d'une nouvelle enquête publique", a rappelé la préfète de la Somme, Nicole Klein. Francetv info 16/9/2014 -
Au Costa Rica, des plongeurs ont filmé le sauvetage d’une Raie manta, emmêlée dans un fil de pêche et qui s’était approchée d’eux. L’animal s’est laissé faire tandis qu’on le libérait de son entrave. Un comportement plutôt rare. Manta birostris est une espèce de raie manta appelée diable des mers, manta géante... C'est un poisson cartilagineux de la famille des Myliobatidae. Elle doit son nom au mot espagnol Manta signifiant « couverture ». C'est la plus grande des raies — sur plus de 500 espèces —, atteignant jusqu'à neuf mètres d'envergure et trois tonnes. Elle vit dans les eaux tropicales, souvent autour des récifs coralliens. C'est un être paisible et tout à fait inoffensif. La raie manta possède une coloration la plupart du temps bleue, mais qui peut être noire ou grise, souvent tachetée de blanc sur certaines parties. La zone ventrale de l'animal est généralement blanche, parfois tachetée de noir. Ces taches permettent leur identification. Ce sont des animaux ovovivipares : l'œuf éclot (ovipare) dans le ventre de la femelle qui donne naissance à un seul petit d'environ 1,4 mètre tous les deux ans. Personne n'a jamais assisté à la naissance d'une raie manta... (Photo Une Raie Manta (birostris) photographiée en Thaïlande jon hanson de london, UK / Flickr / CC BY-SA 2.0) La séquence montrant un dauphin secouru par un plongeur avait étonné et séduit. Le comportement du cétacé semblait bien être une demande d’assistance, l’animal étant resté très près du plongeur en train de couper le fil de pêche enroulé autour d’une de ses nageoires pectorales et accroché par un hameçon. La vidéo montrée ici, avec en vedette cette fois une raie manta, lui a donc été immédiatement comparée. La scène, relayée sur la chaîne YouTube d’Oceano VideoSub par Thomaz Monteiro et Flavia Passaglia, se passe dans l’océan Pacifique, au large des côtes du Costa Rica, près des îles Murciélagos (appelées aussi Bat Islands), un lieu de plongée réputé. On y voit une raie manta, probablement Manta birostris, s’approcher d’un groupe de plongeurs et portant sur elle, emmêlé, un fil de pêche. Tandis que l’un des hommes s’occupe de lui ôter cette entrave, le sélacien nage tranquillement, sans s’éloigner, opérant même une montée à la verticale. Ces grandes raies, qui s’observent souvent non loin des côtes, en région tropicale ou tempérée, sont connues des plongeurs pour leur comportement peu farouche. Elles s’approchent volontiers des palanquées, sans être effrayées pour peu que personne ne tente de se diriger vers elles de manière agressive. Mangeuses de zooplancton, ces raies, inoffensives, nagent la bouche ouverte et effectuent parfois de véritables loopings pour gober un nuage de petites larves. Ces grands sélaciens ont aussi l’habitude de venir se débarrasser de leurs parasites dans ces étonnantes « stations de nettoyage » où sont installés des poissons spécialisés dans cette tâche et croquant les crustacés ou les mollusques fixés sur la peau ou les branchies des animaux plus grands. Peut-être observe-t-on ici un comportement finalement habituel. Il est difficile d’affirmer que la raie soit vraiment venue intentionnellement chercher de l’aide. Quoi qu’il en soit, elle l’a obtenue… Oceano VideoSub 11/9/2014 Futura Sciences 16/9/2014 - Wikipedia
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Contre la création d'un élevage de 1000 vaches : manifestation 23/06/2012
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Paris - Le conflit sur la ferme des 1.000 vaches, bloquée depuis samedi par des opposants à ce projet controversé, semblait s'acheminer vers un armistice avec levée probable du blocus après une réunion mardi de tous les protagonistes au ministère de l'Agriculture. Michel Ramery, le promoteur de la ferme géante de Drucat, à quelques km au nord d'Abbeville (Somme), a confirmé qu'à terme il souhaitait monter son cheptel à 1.000 vaches, a rapporté à l'AFP le directeur de cabinet du ministre de l'Agriculture qui pilotait la réunion avec l'entrepreneur et les opposants à cet élevage industriel (Confédération paysanne, riverains de l'association Novissen et EELV), qui bloquent le site depuis l'arrivée des 150 premières vaches samedi matin. La Confédération paysanne et Novissen ont dû renoncer à leur exigence immédiate d'un engagement écrit de Michel Ramery, avec la garantie formelle de l'État, que le cheptel de vaches laitières serait limité aux 500 têtes qu'autorise le permis d'exploitation délivré en février 2013. PRIZDIRECT Laboratoire du Documentaire 27/9/2013 Romandie 16/9/2014 -
L'éolien terrestre en France : Projets et actualités.... etc...
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Actu Eolien terrestre et maritime (hydrolienne)
Paris - Il n'y aura pas d'interdiction globale mais une étude au cas par cas des projets de parcs éoliens qui pourraient entrer en conflit avec des zones d'entraînement de l'armée ou des radars militaires, a appris mardi l'AFP auprès des ministères de l'Ecologie et de la Défense. Le ministre de la Défense s'est personnellement engagé à ce qu'il n'y ait pas d'interdiction globale mais une évaluation projet par projet, domaine par domaine et lieu par lieu, a déclaré à l'AFP Ségolène Royal, ministre de l'Ecologie et de l'Energie. Les deux ministères avaient entamé des discussions cet été après les inquiétudes soulevées par les industriels du secteur sur un éventuel durcissement des règles d'installation d'éoliennes à proximité des radars et des zones d'entraînement pour les vols à basse altitude, notamment d'hélicoptères. La densification des parcs éoliens et l'augmentation de la hauteur des turbines posent en effet de plus en plus de problèmes de cohabitation avec certaines installations et activités militaires. Un directeur de la circulation aérienne militaire a été mandaté cette année pour traiter le sujet sur ses aspects techniques et réglementaires en lien avec le ministère de l'Ecologie, a indiqué le ministère de la Défense à l'AFP, qui précise que les deux cabinets se sont encore réunis la semaine dernière. A l'heure actuelle, la procédure prévoit que ce ministère, mais aussi Meteo France qui dispose de plusieurs radars sur le territoire, rendent un avis pour les projets de parcs éoliens situés dans une zone de 30 km autour d'un radar. Au total, 3.000 à 4.000 mégawatts de projets à différents stades de développement pourraient être pénalisés en cas de durcissement des règles, selon Marion Lettry, déléguée générale adjointe du Syndicat des énergies renouvelables (SER). Les industriels du secteur avaient interpellé la ministre de l'Ecologie et de l'Energie, Ségolène Royal, fin juillet du coup de frein dramatique, selon Marion Lettry, que représenterait un durcissement trop important et surtout systématique des règles. D'autant que des solutions existent selon eux, comme d'installer des éoliennes dites furtives, qui perturbent moins les radars, ou d'améliorer les technologies des radars eux-mêmes. Les industriels attendent également des avancées du côté de Météo France avec qui le dialogue est plus difficile qu'avec l'armée, note Marion Lettry. Romandie 16/9/2014 -
Le nucléaire en question : débats, manifs, infos, etc... en France et dans le monde
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Le NUCLEAIRE (énergie)
Flamanville (France) - Le réacteur 2 de la centrale nucléaire de Flamanville (Manche) alimente à nouveau le réseau électrique français depuis lundi soir, après un arrêt inopiné dans la nuit de samedi à dimanche, a indiqué mardi matin EDF. L'unité de production numéro deux a été redémarrée lundi à 9H00 avant d'être recouplée au réseau à 18h00, a indiqué le service de presse de la centrale qui n'avait pas souhaité communiquer lundi soir. Elle atteindra 100% de ses capacités de production mardi 16 (septembre) dans la soirée, a précisé EDF dans un communiqué. Le réacteur s'était arrêté inopinément dans la nuit de samedi à dimanche à 0h48. Les réacteurs s'arrêtent automatiquement lorsqu'est détecté un dysfonctionnement pouvant avoir des conséquences en termes de sûreté. Mais là c'est le dysfonctionnement d'un automatisme qui a généré un ordre de mise à l'arrêt du réacteur alors qu'aucun matériel ou paramètre de sûreté n'était défaillant, a assuré EDF dans son communiqué. Toutes les fonctions de sûreté ont toujours été assurées, a ajouté l'entreprise. Il s'agit du troisième arrêt inopiné d'un ou plusieurs réacteurs à la centrale de Flamanville depuis le début de l'année. - Début février, les deux réacteurs de la centrale s'étaient automatiquement arrêtés après un impact de foudre sur une ligne à très haute tension les reliant au réseau. Le réacteur 2 avait pu redémarrer le lendemain mais le réacteur 1 n'avait redémarré que le 5 avril après une réparation et un arrêt de maintenance, prévu au départ en avril, et finalement avancé de quelques semaines. - Et au début de l'été, le réacteur 1 a été à l'arrêt pendant 10 jours à la suite d'une panne. - Le réacteur 2 a par ailleurs été arrêté de façon volontaire pour les opérations habituelles de maintenance durant l'été. En janvier, lors de la présentation annuelle de ses résultats, la centrale avait souligné n'avoir enregistré aucun arrêt automatique de réacteur depuis plus de quatre années consécutives. La centrale de Flamanville a produit en 2013 environ 4,5% de l'énergie nucléaire française. Un troisième réacteur y est en construction, le fameux EPR... Romandie 16/9/2014 -
Tokyo (Japon) - Un violent tremblement de terre s'est produit lundi à la mi-journée au nord de Tokyo, secouant les gratte-ciel et maisons de la capitale et faisant huit blessés dans l'est du pays, selon la chaîne de télévision NHK. D'après l'Agence nationale de météo, l'épicentre de ce séisme, de magnitude 5,6, se trouvait dans la partie sud de la préfecture d'Ibaraki. Les provinces limitrophes au nord de Tokyo ont été les plus affectées, mais ce séisme a aussi été nettement ressenti dans le centre de la capitale. Les tremblements de terre au Japon - Découverte / Histoire / Science (documentaire). Safe Maddi 15/9/2014 Romandie 16/9/2014
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Contre la création d'un élevage de 1000 vaches : manifestation 23/06/2012
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Paris - L'entrepreneur Michel Ramery a confirmé son intention d'étendre son troupeau à 1.000 vaches sur son exploitation picarde mais il s'est engagé à limiter la puissance de son méthaniseur, a-t-on appris à l'issue d'une réunion au ministère de l'Agriculture. itele 15/9/2014 Le ministère a réuni mardi matin l'entrepreneur et les opposants à cet élevage industriel (la Confédération paysanne, les riverains et EELV). Car depuis l'arrivée des 150 premières vaches ce week-end la tension était montée d'un cran. Le porteur du projet a confirmé qu'à terme il souhaitait monter son cheptel à 1.000 vaches, a rapporté à l'AFP le directeur de cabinet du ministre de l'Agriculture qui pilotait la réunion. Mais il a aussi confirmé qu'il allait ramener la puissance du méthaniseur à 0,6 MW, et utiliserait uniquement du lisier pour alimenter son unité, a ajouté Philippe Mauguin. Michel Ramery prévoyait initialement de mettre en place un méthaniseur de 1,3 MW alimenté par les déchets de la ferme et ceux récoltés alentour. Les opposants demandaient cette limitation, notamment pour éviter un ballet de camions acheminant les déchets vers l'exploitation qui aurait perturbé les riverains, déjà inquiets des nuisances que pourrait induire cette ferme. Le directeur de cabinet et la préfète de la Somme Nicole Klein, ont eux rappelé les règles. A savoir que pour toute extension du troupeau de 500 à 899 vaches, il appartiendra à la préfecture d'évaluer le caractère substantiel des modifications envisagées au regard notamment des impacts environnementaux et sanitaires, et d'évaluer sur ces bases la nécessité d'une nouvelle enquête publique. Au-delà de 900 vaches en revanche, la procédure d'enquête publique sera obligatoire, a précisé le ministère dans un communiqué. Donc pour Philippe Mauguin, la question de l'extension de la taille ne peut pas être prédite. Le droit permet à l'entreprise de proposer une extension du cheptel. Après, est-ce que le dossier qu'elle déposera donnera toutes les garanties environnementales, sanitaires, sociales ? S'il y a le moindre risque, la préfète peut refuser l'extension. Un peu plus tôt, Stéphane Le Foll avait reconnu que l'État n'avait pas de moyen direct pour limiter à 500 vaches. Depuis l'arrivée des 150 premières vaches samedi et de la première collecte de lait lundi, plusieurs dizaines de militants de la Confédération paysanne et de l'association d'opposants locaux Novissen bloquent la ferme située à Drucat, à quelques kilomètres au nord d'Abbeville (Somme). Ils réclament un engagement écrit de Michel Ramery, avec la garantie formelle de l'État que le cheptel de vaches laitières sera limité à 500 têtes, comme l'autorise le permis d'exploitation délivré en février 2013. Les opposants jugent cet énorme élevage industriel, dangereux pour l'environnement et contraire au bien-être des animaux. Romandie 16/9/2014 -
La Chine va interdire le charbon sale dans ses centrales
Admin-lane a posté un sujet dans Le Charbon
Pékin - La Chine, premier émetteur mondial de gaz à effet de serre, a annoncé qu'elle allait interdire d'ici quatre mois la vente et l'importation de charbon sale, une mesure qui pourrait avoir des répercussions chez les exportateurs. Affleurement naturel de couches successives de charbon (Plage d'Austinmer ; Australie, Nouvelle-Galles du Sud). Michael C. Rygel CC BY-SA 3.0 La houille contenant plus de 3% de soufre ou plus de 40% de cendres sera bannie à partir du 1er janvier prochain, a indiqué lundi sur son site internet la Commission nationale pour la réforme et le développement, l'agence d'Etat de planification économique. L'anthracite, forme du charbon au plus haut rang d'houillification. Cornischong CC BY-SA 3.0 Le gouvernement a pris cette décision dans le but d'améliorer la qualité de l'air dans les villes, a commenté l'agence officielle de presse Chine nouvelle. La pollution atmosphérique s'est imposée comme un problème majeur dans la deuxième économie de la planète, devenue également le premier marché automobile mondial. Le Premier ministre Li Keqiang a récemment annoncé que le pays allait fermer 50.000 petits fourneaux à charbon et améliorer les performances environnementales de centrales de plus grande taille. Reste que la Chine représente la moitié de la consommation mondiale de charbon, une source dont elle tire plus de 70% de son énergie, avec une tendance toujours à la hausse: le pays continue en parallèle à bâtir de nombreuses nouvelles centrales thermiques au gaz ou au fioul. Romandie 16/9/2014 -
France : méthane, méthanisation, actus / infos
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans La méthanisation / Biomasse
Rennes - Le gouvernement souhaite, dans la prochaine loi de finances, que les agriculteurs soient exonérés pour leurs méthaniseurs de taxe sur le foncier non bâti pendant cinq ans, a annoncé mardi le ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll. Image agriculture.gouv.fr Sur les méthaniseurs agricoles, il y avait un problème sur la taxe foncière. Donc sur cinq ans, on va exonérer les méthaniseurs sur le foncier non bâti. Cette mesure est inscrite dans le projet de loi de finances et sera débattue au Parlement, a expliqué le ministre au Salon international des productions animales (Space) qui se tient à Rennes jusqu'à vendredi. Une mesure qui vise à inciter les agriculteurs à construire des unités sur leurs exploitations alors que le gouvernement a lancé un plan Energie Méthanisation Autonomie Azote. L'objectif: dénombrer 1.000 méthaniseurs à la ferme à l'horizon 2020, contre moins de 100 fin 2012. Cette mesure peut améliorer la situation mais ce qui bloque le plus souvent, c'est la complexité administrative, les délais de permis de construire qui sont très longs, a réagi auprès de l'AFP Xavier Beulin, président de la FNSEA, principal syndicat agricole français. De plus, avec la loi sur la transition énergétique, on souhaite une ouverture des méthaniseurs au biosourcing. Par exemple, cette année, on a du blé germé (non panifiable), pourquoi on ne l'utiliserait pas pour la méthanisation ?, s'est demandé Xavier Beulin, qui est également président de Sofiprotéol, leader européen du biodiesel. Une unité de méthanisation récupère des matières organiques, les boues d'une station d'épuration, le fumier ou le lisier d'une exploitation agricole, les déchets de cuisine, de fromagerie industrielle ou de collectivité. Elle les transforme en biogaz pouvant servir à chauffer des centaines de logement ou à produire de l'électricité. Ce qui reste (le digestat) fait office d'engrais. Romandie 16/9/2014 -
George, un poisson rouge âgé de 10 ans, récupérait dans son bocal en Australie après avoir été opéré d'une tumeur au cerveau. L'opération sous anesthésie, qui a duré une demi-heure, a été "délicate", a expliqué Tristan Rich, de la clinique vétérinaire Lort Smith de Melbourne. Le Dr Tristan Rich avec George le poisson rouge, en chirurgie préparatoire, la semaine dernière. Refusant de le faire euthanasier, la propriétaire du cyprin a choisi de le confier au bistouri de Tristan Rich. "On ne peut se permettre de perdre qu'un demi-millilitre de sang", a précisé le praticien à la station de radio 3AW. "C'était une opération à haut risque mais finalement tout s'est bien passé". Le Dr Rich en train d'effectuer la micro-chirurgie sur le George le poisson qui avait développé une tumeur mortelle au cerveau. La tumeur a été enlevée avec succès. Pour l'opération, il a été prévu trois "fioles", une remplie d'eau et un fort anesthésiant, une autre avec de l'eau, un anesthésiant léger et de l'oxygène, et la dernière avec de l'eau et de l'oxygène. George a été mis sous sédation, avec de l'eau ruisselant sur ses branchies, «pour le garder endormi et vivant» a déclaré le Dr Rich. Le Dr Rich montre la tumeur qu'il a enlevé du cerveau de George. Certains poissons rouges peuvent vivre 30 ans et le médecin n'en était pas à son coup d'essai. "Chacun a des liens différents avec les animaux domestiques, ce n'est pas à nous de faire de différence entre les espèces", s'est-il justifié, indiquant que l'intervention avait coûté aux alentours de 200 dollars. George en récupération post-opératoire dans son seau d'eau rempli d'oxygène. Le Dr. Rich a déclaré que la procédure s'est bien passée, et George est en récupération. "J'espère que tout va continuer à bien aller et que ce petit poisson sera bientôt de retour dans son aquarium". Car, pour les propriétaires, ce n'est pas d'avoir un poisson, c'est d'avoir ce poisson. Il ajoute : "Si vous avez un animal de compagnie, peu importe ce que c'est, alors vous avez la responsabilité de vous occuper de lui du mieux que vous pouvez. Je ne dis pas que tout le monde doit faire opérer son poisson, mais les propriétaires d'animaux doivent être responsables ! Si votre animal est malade, il faut l'emmener chez le vétérinaire pour faire un diagnostic et savoir quelles sont les options, a déclaré le Dr Rich." 3AWRadio 14/9/2014 : Georges de retour chez lui et dans son bassin avec ses congénères... C'est celui qui a une tache blanche sur la tête. Romandie 16/9/2014 - Mail On Line Photos Hôpital vétérinaire Lort Smith, Melbourne, Australie.
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Ouragan, typhons, tempêtes, cyclones... : actualité et évolutions...
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Ouragans, typhons, tempêtes, cyclones...
L'ouragan Odile a détruit des habitations et provoqué des dégâts sur des hôtels de la région de Los Cabos, au nord-ouest du Mexique. Des milliers de touristes y sont actuellement bloqués en raison de vols annulés et des pillages s'y sont produits. L'ouragan Odile a touché les environs de Los Cabos, haut lieu touristique au sud de la péninsule de Basse Californie, dans la nuit de dimanche à lundi. Les autorités, qui n'ont pour l'instant pas fait état de victimes, ont dépêché des militaires sur place pour protéger la population face aux pillages. ONTIME 15/9/2014 Dans les zones pauvres de Los Cabos, l'AFP a constaté des pillages de nourriture et de matériel électroménager. Dans la zone des hôtels, où les employés tentent d'empêcher l'inondation des chambres avec des serviettes de toilette, on peut voir des vitres brisées, des arbres, lignes électriques et toitures arrachés. "Je suis déçue pour mes vacances, mais surtout ça m'arrache le coeur de voir des gens ici qui ont tout perdu", a expliqué de son côté Tifani Brown, une Américaine de 34 ans arrivée dimanche de Californie. Quelque 30'000 touristes, dont 26'000 étrangers, ont passé la nuit dans 18 hôtels comprenant un refuge anti-ouragan. Pour le moment, ces touristes ne peuvent partir par la voie aérienne. Les aéroports de Los Cabos et de La Paz ont cessé toutes leurs opérations, a indiqué la compagnie aérienne mexicaine Interjet. L'ouragan était de catégorie 3, sur les cinq que compte l'échelle de Saffir-Simpson, quand il a touché terre à 10 kilomètres à l'est de Los Cabos avec des vents soutenus de 205 km/h, selon le Centre national des ouragans (NHC) des Etats-Unis. Lundi après-midi, il a été rétrogradé en catégorie 2 puis 1. David Korenfeld, directeur de la Commission nationale de l'eau (Conagua), a prévenu que la région devrait affronter des glissements de terrains et des tornades après l'ouragan. Environ 7000 résidents ont été évacués lundi matin des zones basses vers des abris ou chez des proches, a indiqué Luis Felipe Puente. Dans son dernier rapport, publié à 21h15 (heure d'été Europe), la Conagua a indiqué qu'Odile continuait d'avancer à la vitesse de 20 km/h vers le nord-est de la péninsule, avec des vents de 150 km/h et des rafales de 190 km/h. Selon les météorologues, l'intensité d'Odile devrait continuer de faiblir dans les prochains jours. Romandie 16/9/2014