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terrienne

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Tout ce qui a été posté par terrienne

  1. La corrida est une caricature du sud. La peur de l'autre (alors tuons-le). La peur d'ailleurs (alors restons-là). Le type qui cogne sa femme, ses enfants, son chien ou les ignore. Cette peur nettoyée un instant par le spectacle de la mort. Un rite archaïque en forme d'affront à l'intelligence. A mi-chemin entre la pornographie et les jeux télévisées: un spectacle pour se vider. Je n'aime pas la corrida et je crois qu'une vérité se situe là face à la bravoure de la bête. Ceux qui "combattent" seront épargnés. Des gladiateurs dans d'étroits frocs moulants à qui l'on offre une épée et une cape pour briller vite fait et tuer une bête noire splendide; symbole de la puissance et de la vélocité réunies. Une bête à cornes soignée pour être éxécutée sous les regards de gens qui payent. Payer pour marquer son silence. Payer pour jouir et se divertir en regardant mourir. Aficionados. Ceux qui exultent comme ceux qui se bouffent les ongles dans les gradins, ceux qui la pipotent cette corrida et ceux qui l'entourent du mystère. Oui, ceux qui se recroquevillent et ceux qui brandissent Picasso pour mieux vivre le malaise de leur propre mort dans la poussière rouge du midi. Mon grand-père m'avait un jour (j'avais dix ans) emmené voir à Céret (Pyrénées-Orientales) avec la complicité d'un vieux picador les taureaux de la course du dimanche, à l'endroit même où ils attendaient. Les animaux n'avaient encore jamais vu, ni senti trop de gens et dans cet espace comme une fente de boîte aux lettres où je mis mon oeil pour les voir, le sentiment sauvage avait jaillit dans leurs yeux noirs de condamnés. Ce fut la même chose avec l'aigle sur un sommet des Alpes qui se posa à l'aube à mes côtés, les phoques, les cerfs, les sangliers, les daims, le renard et toutes les bêtes que j'ai eu la chance de croiser un instant dans la nature, bien loin des hommes... et décidemment l'arène, le zoo, la réserve, la piste ne font que donner encore plus de petitesse à l'espèce humaine enfonçée dans son esprit grégaire de conservation, d'entretien de ce folklore qui rapporte de l'argent; empétrée dans ses coutumes, sa tradition, la vulgarité d'un commerce opportuniste.. Les gens du sud qui vont à la Corrida portent des panoplies de Romains, leurs petites couilles assorties trempant encore dans l'anisette apéritive et le rosé aigrelet servis frais sur toutes les tables avant la messe tauromachique. Ils claironnent, ils fanfarent, ils ont tous vu l'ours en allant chercher des champignons autour de la bagnole garée, là à côté dans les collines. Je ne vais pas changer la donne. Hemingway était un génie, Dali aussi ! ils sont pour des décennies encore d'une barbarie esthétique de mauvais goût, la caution intellectuelle de ceux qui ne les ont jamais lu, ni vu. Le trou béant que le picador inflige au taureau dans le rachis; une perforation du diamétre de la pique et d'une profondeur sans équivoque vis à vis de la douleur ressentie. Quand un flot de sang vomit de la sorte sur les flancs; il faut peser son poids pour résister encore quelques minutes et cela seulement aprés une entrée furieuse dans l'arêne. Une blessure qui ne permet plus à l'animal de dicter quoique ce soit au destin. Oui, juste relever la tête face à la mort et parfois pour sa race, s'offrir une artère qui traine et faire le martyr à l'autre, en grand seigneur qu'il est de toute façon. Les types qui sont dans les tribunes ont des têtes de cons. Des têtes qu'ils n'ont pas tout le temps d'ordinaire mais là, oui. Des vraies têtes de cons ahuries, sanguines, jouisseuses, pissant l'alcool et la frustration par les yeux et d'autres têtes de cons encore, hautaines, critiques, revenchardes, luisantes de pouvoir et de privilèges. Les têtes des parvenus sous le soleil sont les belles peintures que des esprits libres ont réalisé loin du cloaque. C'est un sentiment de gratuité que j'ai gardé les jours ou je me suis rendu aux arènes. La première fois à Céret par facilité, la seconde fois à Ronda pour comprendre vraiment.. et pour la dernière fois aussi. Christophe Massé
  2. quelques éléments de réponses, suite à mon éditorial du 15 avril: "Je voterai pour la Nature". Remerciant celles et ceux qui m'ont exprimé leur intérêt pour l'analyse politique que j'ai soumis à mes amis lecteurs, je viens ici répondre à quelques interrogations et remarques pertinentes. ---- (Je suis écologiste et voterais volontiers pour la candidate Verte, mais je crains un second tour opposant les deux droites et j'envisageais de voter utile pour empêcher un nouveau 21 avril 2002." Réponse: Cette remarque est judicieuse, mais il faut constater l'état de l'opinion. Sans grande crainte de me tromper, je peux pronostiquer un ordre de classement des candidats comme suit: SARKOZY 28%, ROYAL 25%, BAYROU 19%, LE PEN 15%. Il ne s'agit-là que d'estimations probables mais il me semble absolument exclu que nous assitions à un second tour entre les deux droites: celle de l'argent et celle de la nation. Les facteurs sociologiques jouent en ce sens: SARKOZY capte une partie de l'électorat frontiste et sera à près de dix points au-dessus de ce qu'obtint Jacques CHIRAC en 2002. La gauche est moins divisée en raison de l'absence de du candidat du MOUVEMENT DES CITOYENS et de la candidate du parti radical. Jean-marie LE PEN ne sera pas le deuxième homme mais le quatrième. donc, inutile de voler au secours de la candidate sociale-démocrate et opportunité d'apporter sa voix à l'écologie, en la personne de Dominique VOYNET, face au CPNT. Il serait désastreux que le parti des tueurs obtienne plus de voix que le parti de la vie. ----- " que pensez-vous de la candidature du centriste, BAYROU, soutenu par certains écologistes qui révèlent par leur prise de position que leur ni-gauche, ni droite, singifiait un positionnement à droite ?". Réponse: Je ne pense pas que François BAYROU soit au second tour. Il sera le troisième homme ce qui représente pour lui une belle performance. Il fut longtemps ministre de l'éducation nationale et un président du conseil général des PYRENEES ATLANTIQUES fort peu favorable à l'ours. Nous lui devons, en 1994, la suppression des réserves LALONDE, créées pour protéger les derniers ours de souche pyrénéenne. Il négocia avec le ministre BARNIER une charte scandaleuse confiant l'ours et surtout l'argent public consacré à sa protection à son ami politique Jean lassalle, grand ennemi des ours et qui n'hésita pas à évoquer le régime de VICHY à propos des réintroductions ursines de l'an passé. bref, homme de droite, conservateur d'origine le successeur de GISCARD et de BARRE à la tête d'un parti de droite, l'UDF, M. BAYROU, n'aurait pour séduire que son positionnement actuel original et somme toute enfin un peu courageux face à la dictature de fait du parti UMP. Il fait d'indéniables efforts d'émancipation que l'objectivité (vertu trop rare en politique) oblige à saluer. Toutefois, ce n'est pas l'idéologie qu'il véhicule qui rend M. BAYROU préférable au candidat officiel et qui m'aurait déterminé à voter pour lui, au second tour, s'il demeurait en lisse, mais les considérations suivantes: Si M. SARKOZY est élu, l'Etat sera verrouillé, confisqué par un seul parti, par un clan monolithique pendant cinq ans. Un homme détiendra, avec ses courtisans, tous les pouvoirs, sans contre-pouvoir. Il bénéficiera de l'exécutif, bien évidemment, mais aussi du parlement en ses deux chambres, de la haute administration, des médias dont TF 1 dirigé par l'un de ses amis personnels, les pouvoirs économiques via les grandes entreprises. Bref, nous assiterons à la constitution d'un second empire temporaire dans lequel un individu et ses obligés gouverneront sans partage. En revanche, si M. BAYROU est élu, il devra nécessairement composer avec les autres partis et n'a pas la machinerie partisane lui permettant de monopoliser l'Etat. C'est la différence fondamentale qui m'aurait conduit à opter entre ces deux forces globalement peu contestatrice d'une société à la dérive et en danger. ---- "Vous mettez votre talent au service d'une écologie de gauche, ce que je regrette.". Réponse: Il y a bien des définitions des "gauches" et des "droites". René REMOND, historien qui vient de décéder, écrivit un livre passionnant bien que contestable sur ces différences . disons, pour actualiser l'analyse et ne plus demeurer fixer sur le 19ème siècle, que nous observons deux droites: L'une nationaliste, populiste, autoritaire connut dans les années 1930, sous diverses formes, des succès momentanés notamment avec les fascismes. Cette droite ancienne est réapparue en Europe depuis une quinzaine d'années mais ne semble guère en mesure de reconquérir le pouvoir. elle n'est qu'un danger moral et virtuel, souvent fantasmé et instrumentalisé. Il ne me parait pas sérieux de s'alarmer contre elle, n'ayant personnellement pas peur des fantômes, fussent-ils hideux. La seconde droite contemporaine est celle de l'argent, des firmes, des promoteurs, des spéculateurs, des exploiteurs du système, grands ennemis de la Nature qu'ils dévorent au nom de leurs immenses et insatiables profits. c'est la droite qui sévit à la tête de nombre d'Etats occidentaux et dont messieurs BUSH, BERLUSCONI, HAZNAR, et SARKOZY sont les représentants. ceci pour les droites. Voyons les gauches: Elles aussi sont plurielles et fort différentes d'inspirations et de méthodes. Il y a la gauche ouvriériste, prolétarienne, invoquant rituellement "les travailleurs". Peu libertaire sur les moeurs, peu préoccupée d'accroître les droits et libertés individuels, cette vieille gauche marxiste connut son heure de gloire immédiatement après la seconde guerre mondiale, en un temps où sa patrie d'élection l'URSS était parée de la gloire de la lutte anti-nazis et en un temps où les mineurs, les cheminots, les sidérurgistes, les masses laborieuses de l'industrie lourde lui offrait ses bataillons électoraux et militants. Cette vieille gauche persiste mais, un peu comme la vieille droite populiste, sous forme séquellaires et marginale. elle ne prendra pas le pouvoir et ne croît même plus au grand soir révolutionnaire. Sociologiquement, les masses ouvrières ne sont plus là homogènes et concentrées pour lui offrir des leviers d'actions. Nous trouvons ensuite une gauche réformiste, que les révolutionnaires des années 1930 appelaient des "sociaux traîtres" qui cherche à atténuer les maux du temps, à panser les plaies de la société sans la remettre fondamentalement en question. C'est la gauche sociale-démocrate que représentent les partis travaillistes, socialistes en Europe et une partie du parti démocrate Etats-unien. Et puis, il y a l'écologie fondamentale, idée neuve, en cours de gestation qui remet en cause les fondements éthiques de la société, en invoquant: prévalence du vivant, valeur de la Nature, primauté de l'être sur l'avoir, interrogations sur les notions de travail, de croissance. Cette écologie qui naît ici et ailleurs est-elle, historiquement parlant, du point de vue de la science politique, une idée de gauche ou de droite, idée distincte de toutes les idéologies ci-dessus analysées mais pouvant se réclamer d'une filiation psycho-sociologique? Sans entrer dans une analyse trop fine et trop longue, disons qu'elle est une rupture, un changement, une contestation, un dépassement et une subversion de la société actuelle. En cela elle est une idée de gauche. elle l'est aussi en ce qu'elle entre directement en conflit avec les intérêts des ploutocrates qui aménagent, lotissent, promeuvent au grand détriment des espaces et des espèces. Je n'ai nullement la prétention de définir la pensée écologiste, mais "une pensée écologiste" dans un esprit de recherche, d'objectivité, d'analyse et de cohérence qui sont miens. Gérard CHAROLLOIS
  3. Je voterai pour la Nature Il fut un temps où les intellectuels, les gens en vue constituaient des listes de parrainages des partis concourant à la vie publique. Les uns ayant perdu « l'espérance » qui les habitaient et leurs adversaires ne jouant plus de la peur des partageux qui fut longtemps leur fonds de commerce électoral, l'obsession de plaire à tout le monde et de jouer les histrions gentils et incolores, la perte de tout courage, tout ce contexte conduit nos contemporains à se comporter en fades consommateurs de la vie politique. Un journaliste ayant osé, en privé, opter pour un candidat, non officiel, se vit interdit d'antennes durant la campagne électorale et une magistrate, conseillère de cour d'appel, se serait fait rappeler à « l'ordre » (quel ordre nouveau) parce qu'elle soutenait ouvertement la candidate socialiste et ce au nom d'une « obligation de réserve » qu'il convient de réserver strictement à l'exercice d'une fonction sous peine de glisser vers une société de restriction de la liberté de pensée et d'expression. La mode étant ce qui se démode, espérons que cette lâcheté ambiante passera de saison au plus vite et que chacun, dans la sérénité et la liberté, exprimera à l'avenir le fond de sa pensée, comme j'entends le faire nonobstant les censures et autocensures du moment. Il ne s'agit pas de donner des consignes de vote. Les gens intelligents n'ont aucunement besoin de « consignes » pour se déterminer et les gens sots ne sont pas accessibles à les recevoir et à comprendre un processus décisionnel. Dès lors, renonçons à ces attitudes pédagogiques vaines et accédons à la maturité politique consistant pour chacun à exprimer son choix, en fonction des valeurs et intérêts qu'il défend. Pour ma part, ces valeurs sont le vivant, la Nature, la biodiversité, la solidarité entre les hommes, la liberté des moeurs et des manières, le refus de la dictature de l'argent et du Marché, l'abolition de la chasse et de la torture tauromachique, la défense de services publics et le rejet du culte de l'entreprise privée, l'instauration d'un nouveau rapport à l'animal, la préservation des sites et l'option d'une croissance qualitative impliquant une décroissance quantitative. Mes préoccupations sont aussi la faculté offerte aux hommes de « travailler moins pour vivre plus et polluer moins », le refus du conditionnement médiatique qui voit les radios et télévisions privées se muer en agents électoraux du candidat des firmes et ce de manière indécente et grossière. Quels sont les partis présents sur la scène électorale répondant le mieux à ces aspirations écologistes ? Au premier tour de la présidentielle, je voterai Dominique VOYNET dont le score sera le poids de l'écologie en ce pays. Au second tour, je voterai contre le candidat UMP, celui de l'argent-roi, des entreprises libres et déréglementées, de la chasse et de la tradition, de la croissance des profits et du démantèlement des services publics. Je le ferai dans une optique très « rocardienne », convaincu que ROYAL ou BAYROU feront moins de mal que les néo-conservateurs. Bien sûr, l'abolition de la chasse et la décroissance quantitative ne figurent pas ouvertement au programme des partis en concours et la CVN n'est ni les VERTS, ni les sociaux-démocrates. Mais, partant du réel, de l'état du monde et non d'un univers rêvé, pour le vivant, il faut choisir le moindre mal. Si le parti écologiste obtient 2% des voix, (ce qui est à redouter), les lobbies de l'agrochimie, du BTP, de la chasse, pourront faire entendre leurs intérêts par les décideurs de demain et la voix des protecteurs sera considérablement affaiblie. Si la candidate écologiste avait réalisé un score de 10%, les futurs élus auraient dû composer avec nous et prendre en compte les revendications associatives. Si les VERTS pesaient davantage électoralement, leurs alliés sociaux-démocrates seraient contraints de leur consentir des circonscriptions plus nombreuses lors des législatives de juin, amenant les deux ou trois ministres écologistes à disposer du soutien d'un groupe qui fit tant défaut à Madame VOYNET et à Monsieur COCHET, lors de la législature 1997 -- 2002, absence de soutien parlementaire expliquant leur relative paralysie. Pour obtenir l'élection d'un député, dans le système électoral dit majoritaire à deux tours qui est le nôtre, le soutien des partis dominant est indispensable. En dehors de ce soutien, en dehors d'alliance de gouvernement, un parti n'a pas la moindre chance d'avoir un seul élu et les candidatures ne servent à rien si ce n'est à rapporter des fonds, via le financement de la vie politique au prorata du nombre de voix obtenues. En démocratie, c'est-à-dire là où s'applique un scrutin proportionnel, tous les partis recueillant au moins 5% des suffrages peuvent avoir quelques élus. Pas dans le système électoral actuel qui octroie aux deux partis dominant le monopole de la représentation et du soutien aux partis satellites. Telles sont les raisons de mon choix personnel que je ne fais que soumettre à la sagacité de mes amis lecteurs. Le plus probable, au regard des enquêtes d'opinion parfaitement concordantes depuis des mois, s'avère le plus désastreux pour la cause de la Nature. La candidate VERTE risque de ne pas dépasser les 3% ce qui sera interprété comme un désintérêt des Français pour l'écologie. En final, conditionné par les médias et l'absence de toute analyse de fond des enjeux et des idéologies des partis et candidats, ce peuple se donnera pour cinq ans à un clan qui ne sert que les intérêts de la caste des grands dirigeants d'entreprises, un clan qui supprimera le code du travail et celui de l'environnement, ce qu'il a déjà fait partiellement depuis cinq ans et ce au nom de la liberté des entrepreneurs d'entreprendre sans frein règlementaire. Que faut-il espérer ? Un miracle ! Etant de ceux qui pensent et non de ceux qui croient, je ne nourris guère d'illusions sur l'avenir immédiat de ce pays, sauf sursaut de dernière heure. Il faudra sans doute cultiver l'esprit de Résistance. Parmi les astuces de la propagande officielle, il nous est annoncé qu'un pourcentage non négligeable d'électeurs potentiels n'aurait pas définitivement arrêté son choix. Il faut bien entretenir l'illusion d'un suspens et les manipulateurs ne peuvent tout de même pas avouer que le peuple sous contrôle ne fera que ce que commandent les « faiseurs d'opinion ». Naguère, les occidentaux fustigeant, à très juste titre, la dictature soviétique plaisantaient sur le thème : « Incendie au KREMLIN. On a perdu les résultats des prochaines élections ». Aujourd'hui, c'est à l'IFOP, TF1 et les radios périphériques que se trouvent les résultats des prochaines élections d'un « pays libre » ! Allons, pour la forme, espérons une surprise qui n'aurait rien de divin, mais qui tiendrait à l'intelligence des démocrates sociaux et écologistes, et contribuons humblement à y concourir. Eu égard à la situation sociologique et politique navrante du pays, je pense que le salut immédiat tient à la grande union de tous contre la droite de l'argent corrupteur et féodal. Grande alliance incluant écologistes, sociaux démocrates et démocrates sociaux, excluant les néo-conservateurs de l'UMP et les réactionnaires populistes. Cette alliance de salut public ne permettra pas d'engager des réformes biocentristes nécessaires. Elle préviendra des reculs cruels et l'instauration d'un « ordre nouveau » au service des profits d'une infime minorité de promoteurs. Il paraît que les électeurs sont sans cesse déçus par leurs élus. Ici, il advient aussi trop souvent que l'on soit déçu par les électeurs. Au fond, tant pis pour eux, si par mauvais sentiments, aigreur, hargne, obscurantisme, ils optent pour la solution thatchérienne ! Mais, la Nature, mon seul parti, sera l'innocente victime de la politique criminelle des exploiteurs de l'arbre, l'animal et l'homme. Gérard CHAROLLOIS
  4. terrienne

    no futur ....

    Bonjour, Les 2500 chercheurs du GIEC (Groupe Intergouvernemental de l'ONU sur l'Évolution du Climat) sont-ils fous ? L'un des pronostics de leur dernier rapport affiné d'avril 2007 est que plus de 3 milliards de Terriens n'auront plus rien à boire et plus rien à manger d'ici 2100. Pour ceux qui souhaitent en savoir plus, et surtout comprendre comment nous en sommes arrivés là, je les incite à lire : 2050, SAUVE QUI PEUT LA TERRE ! La page du livre : http://users.skynet.be/jdelacre/2050/unedelecologie.html Cet ouvrage sur la conscience universelle est déconseillé à ceux - encore majoritaires à en croire les comportements - qui pensent que "la Terre est plate", que l'Homme est le roi de la création, que les animaux sont des machines, que la Nature est inépuisable, que le Nord c'est pour travailler, le Sud pour bronzer, etc. Si l'on doit vraiment continuer à faire du mal à notre prochain, aux autres espèces et aux écosystèmes, il est vraiment inutile de lire ce livre ou d'en parler... "Parce qu'il démonte et démontre les évidences, cet ouvrage, résolument pessimiste, est peut-être le premier à ne pas surfer sur les faux espoirs." ****** Quelques commentaires... De désinformation en désinformation, d'abus en erreurs, de caprices en tyrannies, de pillages en injustices, notre Maison du Quaternaire est chaque fois plus invivable, chaque fois plus petite. Déni des évidences, endoctrinements, barbaries, saccages et spéculations, égoïsme forcené, politiques populistes, machisme récurent, sexisme inconscient, racisme déclaré, inversion des valeurs, primauté des profits, bêtise triomphante et autres « bonnes manières » nous emmènent droit dans un mur au pied duquel nous sommes déjà. En 1950, nous pensions pouvoir faire reverdir les déserts. En 2050, nous aurons réussi à désertifier la Terre entière. Fin du pétrole, fin des forêts, fin de l'eau, fin des ressources, fin de l'air respirable, fin du climat, et une fourmilière écervelée de très bientôt 9 milliards d'étourdis insupportables. Finitude évidente : une fois divorcée de la Nature et sous sa forme « civilisée », Homo sapiens ne pouvait qu'enclencher un tel chaos universel. Voilà qui est fait. Gérons les restes si nous voulons jouer les prolongations ! Les tenants et les aboutissants de l'infortune humaine sont rapportés dans : 2050, SAUVE QUI PEUT LA TERRE ! La page du livre : http://users.skynet.be/jdelacre/2050/unedelecologie.html Une vidéo : https://www.dailymotion.com/featured:by/moulax22/video/x1l4m6_2050
  5. oui hein ?!!!! dommage qu'il n'y ait qu'un seul président comme celui-là de par le monde (moi j'en connais pas d'autre)
  6. Prise de conscience ou grand fumigène ? Jamais les médias n’ont autant parlé « d’environnement », de crise climatique, de perte de biodiversité et les carriéristes de la politique, informés de l’état de l’opinion par leurs officines, s’affichent volontiers avec les écologistes médiatiques. Dans le même temps, le vote potentiel écologiste est à son étiage. Les Français, au terme d’une campagne sans suspens, (nonobstant la fiction d’incertitude entretenue par les éditorialistes sur la chute), éliront probablement le candidat officiel, représentant ici de ce que ce peuple râilla tant chez les autres : la politique de THATCHER, REAGAN, BUSH, BERLUSCONI. Notre cher françois CAVANNA se trouve conforté dans sa maxime : « La politique est l’art de plaire aus cons » et si le cru 2002 fut amer pour l’arbre, l’animal et l’homme, celui de 2007 s’annonce définitivement désastreux. La conjoncture se révèle dès lors excellente pour les lobbies contre Nature qui acceptent volontiers qu’on peigne en vert les fusils de chasse, les barrières autoroutières, les sacs de semences OGM et de poudres délétères de la chimie agricole. Pendant que l’on occupe les citoyens avec des histoires de robinets, d’ampoules à basse consommation, que l’on montre des enfants admirant des photos de la planète prises par satellites et présumées dévoiler les périls, les futurs gouvernants allongeront les périodes d’ouverture de la chasse, poursuivront l’absurde et lucratif programme autoroutier, satisferont les trois grandes firmes du poison phytoproductiviste, approuveront au nom de l’emploi créé les pires spéculations des promoteurs voraces. On offre des gadgets au bon public pour mieux l’étourdir et l’empêcher de réaliser que des corporatismes nocifs mènent ce monde à sa perte. Assez de discours creux, de proclamations de vertus écologiques, mais des actes concrets ! Pour la faune, il conviendrait, pour le moins, d’arrêter les massacres de prédateurs, d’oiseaux migrateurs et permettre une régulation naturelle des populations d’ongulés. Pour les espaces, il fallait, en imposant le ferroutage par des contraintes financières, observer un moratoire sur la réalisation de nouveaux tronçons routiers, ce que seule Dominique VOYNET préconise. Pour l’agriculture, le temps serait venu d’arrêter les subventions à l’irrigation et de soutenir l’agriculture biologique garante, peut-être de la santé humaine, mais surtout de la biodiversité. Pour les loisirs, la situation préoccupante de la planète appelait une éducation des citoyens à ne plus vandaliser l’espace naturel où trop de grands enfants se défoulent de frustrations personnelles au détriment des sites, de la flore et de la faune. « Ecologie punitive, » vaucifèrent les ennemis de la terre ? Non, écologie empathique, sensible, bienveillante, recherchant l’épanouissement et la liberté individuels dans le respect d’autrui et de la terre. Est-ce qu’un monde sans fusil, sans poison, sans quads, sans couloirs à camions partout, mais un monde vivant et apaisé, riche de biodiversité et inspiré par la compassion, ne serait pas meilleur à vivre, à savourer, à aimer ? De tous temps, l’homme a eu cette impression exaltante de vivre une époque de transition, une rupture historique. Aujourd’hui, nous percevons que le seul vrai débat est celui qui nous oppose aux exploiteurs et tortionnaires du vivant. Ce grand débat éthique n’a rien à voir avec les méprisables et subalternes querelles d’ambitions et de personnes qui occupent les médias. Combat du jour contre la nuit, de la compassion contre la cruauté, de la responsabilité contre l’infantilisme, de la solidarité contre la concurrence, de la préservation contre la domination arrogante, de la contemplation contre la consommation brutale, de la qualité de la vie contre la croissance cancéreuse, que voilà des enjeux qui échappent encore à beaucoup mais dont les bruits de fond annoncent l’émergence. Malheur aux peuples qui ont préféré l’injustice au désordre : enseigne l’Histoire ! Bien sûr, les consommateurs avachis iront cet été encore aux SEYCHELLES, mais l’homme apprendra bientôt que la Nature ne vote pas pour les néo-conservateurs, adorateurs du profit, du toujours plus pour leur caste de déprédateurs. « L’humanité disparaîtra : bon débarras ! ». Oui, ami écologiste, si on juge l’humanité à l’aune des sondages politiques du jour et du lieu. Mais l’humanité pourrait se sauver car existe une issue de secours : le respect du vivant et la Résistance à la dictature du Marché. Gérard Charollois
  7. Message de Pâques 2007 du président slovène Dr. Janez Drnovšek Les fêtes de Pâques approchent. Qu’elles soient sources de paix et de bonheur auprès de ceux que nous aimons ! Cela est possible sans manger de viande. Les œufs de Pâques en chocholat suffisent à créer une ambiance pascale. Ne serait-ce pas plus harmonieux si nous cessions d’associer les fêtes religieuses à la viande et autres symboles qui n’ont rien à voir avec la spiritualité ? Est-il nécessaire que tant d’animaux meurent alors même que nous revendiquons un sens moral élevé et que nous essayons de développer notre spiritualité ? La réponse est évidemment non. Les gueuletons n’ont pas grand chose à voir avec la spiritualité. Au contraire ! Certes, on peut essayer de comprendre que dans certains pays où la nourriture était rare, on ait célébré les événements religieux en organisant des banquets. Mais nous avons désormais les moyens d’abandonner ces reliquats matérialistes. Une spiritualité digne de ce nom n’en a pas besoin. Tant que la religion continue à avoir besoin de s’identifier à ce genre de coutumes, elle reste engluée à un niveau éthique relativement bas. C’est pourquoi cette année, nous allons fêter Pâques autrement. Nous allons nous promener dans la nature, nous purifier l’esprit, rechercher la paix intérieure. Nous serons bienveillants à l’égard des autres, de nos voisins et de tous ceux qui souffrent en ce monde. Nous serons donc bienveillants à l’égard des animaux eux aussi. Nous ne les sacrifierons pas à notre soif de viande. Et nous essaierons de dépasser nos automatismes comportementaux d’un autre âge. Ce faisant, nous ferons du bien à notre esprit et à notre corps. Source/Quelle: ...Pred nami so velikonočni prazniki... Autor: Traduction Cyril Taffin de Tilques, e-mail cyrilescau@free.fr
  8. Des médicaments dans l’eau du robinet Citation d’un article du Quotidien du Pharmacien sur le site médiscoop. Le 27 février 2007 | Le collectif ACECOMED Le Quotidien du Pharmacien remarque : « L’eau de votre robinet a un léger goût de bêtabloquant, de carbama-zépine ou d’Ains ? Ne vous étonnez pas ». - Le Quotidien du Pharmacien numéro 2466 - La revue note en effet que « les stations d’épuration n’ont pas la capacité d’éliminer totalement les médicaments. Lors du traitement des eaux usées, il peut même se produire une transformation en métabolites actifs. Résultat, de nombreuses substances médicamenteuses se retrouvent dans la nature sans y avoir été invitées ». Le Quotidien du Pharmacien précise qu’« aucun endroit de la planète n’est épargné par cette pollution », puis cite Jean-Marie Haguenoer, de l’Académie nationale de pharmacie. Ce dernier déclare qu’« en France, ces résidus ont été mis en évidence dans les estuaires de la Seine, de la Gironde, de la Loire, de l’Adour et dans la calanque de Cortiou ». La revue relève que « d’après une étude, les concentrations mesurées vont, selon les composés, les stations et les saisons, de quelques nanogrammes par litre à quelques dizaines de microgrammes par litre pour les eaux de rivière ou les eaux marines ». « Les médicaments les plus souvent retrouvés sont des antibiotiques, des anticancéreux, des Ains, des bêta-bloquants, des antidépresseurs, des antiépileptiques, des hypolipémiants et des hormones naturelles et de synthèse », poursuit Le Quotidien. La revue explique que ces molécules proviennent « des effluents domestiques (produits éliminés dans les urines et les matières fécales), des rejets hospitaliers, des industries, des centres d’élevage et de pisciculture, mais aussi des médicaments périmés jetés dans les ordures ménagères ». Le Quotidien du Pharmacien note que « la toxicité de ces résidus de médicament pour l’homme est encore méconnue ». Nous manquions, à l’époque de la constitution du Collectif ACECOMED, de données sur la pollution des eaux par les médicaments. Nous voyons maintenant que tout cela se confirme. Ce que le quotidien du médecin ne dit pourtant pas, c’est que la plus forte consommation médicale est d’origine animale. A titre d’exemple en Allemagne, le plus gros consommateur de Valium est le porc ! On imagine comment sont relâchés les déchets de tous les médicaments consommés par les animaux en élevage industriel, dans les sols, les rivières avec ou sans passage par l’égout. ********** « aucun endroit de la planète n’est épargné par cette pollution » « en France, ces résidus ont été mis en évidence dans les estuaires de la Seine, de la Gironde, de la Loire, de l’Adour et dans la calanque de Cortiou ». Alors, POURQUOI ne citer que 5 lieux de pollution en France ??? De toute manière, tout ceci se sait depuis fort longtemps mais chacun à son niveau (professionnel) a ORDRE de se taire... “N’affolons pas le bon peuple”, telle est la devise de nos gouverne-ments successifs ! Nous pouvons donc supposer que de nous empoisonner lentement et insidieusement est moins grave à leurs yeux (et pour leur image de marque et leur allégeance aux laboratoires) que de prendre les mesure de santé et de survie qui s’imposent !!! De plus... On ne trouve - dans l’eau comme ailleurs - QUE ce que l’on y cherche !!! Ainsi il y a fort à parier (...) qu’il y ait aussi, dans notre “eau potable” nationale, outre les hormones... (les animaux, les femmes, les plantes) : tous les conservateurs, colorants, exhausteurs de goûts ainsi que l’aspartam (neurotoxiques), tous les “icides” de l’agriculture, (la France = 3ème pays consommateur mondial)... Sans oublier les chimio... Et radio thérapies (radio activité), “l’ionisation” (bien joli mot pour parler des irradiations subies par les produits de grande surface) : viandes, épices, fruits secs, céréales, etc., + les neuroleptiques, somnifères, antidépresseurs - dont les français sont les consommateurs numéro 1 mondiaux)... Etc., etc... Bref, tout l’arsenal médical “de pointe” imposé par la “médecine” officielle, sans parler des drogues illégales !!!! Ecstasy, haschich, marijuana, etc.... Et si vous saviez comment sont faites les analyses de l’eau “potable” qui servent de référence... Un vrai gag !!! Oserais-je ajouter toutes les informations négatives (mémoire de l’eau oblige)... En provenance des animaux martyrs et des humains “déshumanisés” qui tournent en rond dans leurs souffrances respectives ? En résumé : nous sommes quadruplement pollués ! Une fois dans l’alimentation, une fois dans l’air; une fois dans l’eau et... Une fois dans les traitements médicaux (remboursés par la sacro-sainte SÉCU, n’ayez crainte)... Supposés nous soulager, voir nous gai-rire de tous nos maux !!! Et notre Ministère de la Maladie de nous concocter quelques directives impressionnantes mais totalement factices pour fixer les “doses maximales AUTORISÉES” - de plus en plus élevées - de polluants divers, comme s’il était ”NORMAL” d’accepter qu’il y en ait + de 0% !!!! Comme dit avec humour Jacqueline Bousquet (Dr es Sciences, biologiste, chercheur honoraire au CNRS) : “Nous savons que les polluants chimiques – dont l’organisme ne sait se débarrasser car non reconnus par le vivant - s’accumulent dans l’organisme... Voudrait-on nous faire croire que la cellule remet chaque année ses compteurs à zéro au 31 décembre et peut se supporter indéfiniment une profusion de toxiques qui s’additionnent et dont les conséquences s’accroissent parfois les uns par rapport aux autres” ? VIVE LES OSMOSEURS INVERSÉS, pour une eau “consommable” ! (je ne dirais pas “potable”, comme notre gouverne-ment, qui annonce la couleur à son insu... Puisque “potable” signifie “passable” et non “digne d’être bue” !!! Il en existe maintenant de très performants à partir de 300 €. (info sur demande, je précise que je n’ai ni ristourne, ni gratification, ni remise) !!! “Sachant que la principale qualité de l’eau” - toujours dixit Jacqueline Bousquet – “se mesure par ce qu’elle emporte et non par ce qu’elle apporte”, autrement dit “est de nettoyer notre organisme (constitué à 70/80% d’eau)... Celle-ci doit naturellement être la plus pure possible” (= 0% de tolérance aux polluants et aux minéraux) !!!... DONC... L’eau du robinet, tout comme les eaux “minérales”, doivent être proscrites absolument !!
  9. LE MONDE | 03.04.07 | Alors que le Groupe d'experts international sur l'évolution du climat (GIEC) est réuni jusqu'au 6 avril à Bruxelles pour mettre la touche finale à son rapport sur les conséquences du réchauffement climatique, ce dernier n'est plus la seule affaire des scientifiques : il intéresse aussi les militaires, et notamment les militaires américains. Le réchauffement de la planète devient, en effet, une composante essentielle de la sécurité des Etats-Unis et devrait avoir des effets majeurs sur l'évolution de la géostratégie dans les prochaines décennies. "Nous devrons glisser de la guerre contre le terrorisme vers le nouveau concept de sécurité soutenable", résume John Ackerman, de l'Air Command and Staff College de l'US Air Force. Il intervenait lors d'un colloque organisé les 30 et 31 mars à Chapel Hill (Caroline du Nord) pour explorer les nouveaux défis stratégiques issus du changement climatique. Premier constat, la nécessité de prendre en compte de nouveaux facteurs de déstabilisation : sécheresses affectant un nombre croissant de pays, épidémies ou extensions de maladies tropicales (paludisme, choléra, schistosomiase), crises de l'eau, événements météorologiques extrêmes. Ces phénomènes devraient se multiplier et appeler des interventions militaires, notamment en cas de crises humanitaires. Plusieurs participants ont aussi souligné qu'il fallait envisager, au moins à titre d'hypothèse, des changements abrupts du climat. Plus précisément, a été évoquée la manière dont le réchauffement pourrait susciter des changements régionaux. La rareté croissante de l'eau dans le sous-continent indien pourrait affecter sa stabilité - l'Inde cherchant à s'assurer les ressources hydriques contrôlées ou utilisées par ses voisins. Idem en Asie centrale ou au Moyen-Orient. L'ouverture de l'océan Arctique libéré de la banquise crée une route maritime nouvelle, donc un enjeu stratégique. L'Afrique, qui détient beaucoup de réserves pétrolières, sera aussi affectée par le changement climatique. Or, remarque Robin Dorff, du groupe de réflexion Creative Associates, ces phénomènes se produisent alors que "le principal problème stratégique des Etats-Unis au début du XXIe siècle est la faiblesse et le manque de légitimité et de gouvernance de beaucoup d'Etats". De plus, les Etats-Unis devront faire face à des migrations massives. En effet, a souligné Nazli Choucri, du Massachusetts Institute of Technology, "le changement climatique imposera une charge disproportionnée sur les pauvres, et renforcera les clivages sociaux et la marginalisation". DANGER COMMUN Tout n'est pas sombre car le changement climatique pourrait apaiser certaines tensions, en poussant à une coopération face au danger commun : "Qu'on fasse de l'Inde et de la Chine des amis plutôt que des menaces dépendra de ce qu'on fera sur l'énergie et sur l'environnement", a indiqué un général requérant l'anonymat. Comment l'US Army peut-elle se préparer face à ces défis ? A court terme, elle doit envisager trois changements, a résumé Thomas Morehouse, de l'Institute for Defense Analysis : "Se préparer à beaucoup plus d'opérations humanitaires et de maintien de la paix ; adapter les infrastructures côtières ; élaborer une structure énergétique plus efficace." Ce dernier point n'est pas anecdotique : l'armée américaine est le premier consommateur mondial d'énergie, qui lui coûte près de 11 milliards de dollars par an. Cela handicape sa souplesse : "Sur le terrain de bataille, 70 % du tonnage apporté est du carburant." Les enjeux sont si importants qu'il faut imaginer un nouveau cadre stratégique. C'est ce que proposera, dans les prochains jours, un rapport du Center for Naval Analysis, une institution indépendante créée en 1942 aux marges de l'Armée et animé par des officiers à la retraite : "Le changement climatique est une réalité et le pays comme l'armée doivent s'y préparer", indique un de ses auteurs, requérant l'anonymat. Cela n'est-il pas en contradiction avec la politique actuelle de l'administration Bush ? "L'armée n'est pas au service d'une administration particulière, répond-il, mais au service du pays." hervé kempf
  10. Votons pour la planète ! Oui, le 22 avril Saluons ces militants du vivant qui le 24 mars ont marché à PARIS pour la défense animale et à NONTRON contre le circuit automobile voulu par quelques affairistes et ceux qui en ce jour se réunissent autour de Nicolas HULOT pour rappeler les engagements souscrits dans le pacte écologiste signé en janvier par des femmes et hommes politiques qui l’ont déjà bien oublié et dont les hommages rendus aux chasseurs prouvent l’hermétisme à l’écologie. Les médias réserveront sans doute davantage d’échos à l’heureuse initiative du premier avril qu’à la belle manifestation de défense animale. Si quelques dizaines d’énergumènes manifestent pour des obscurantismes religieux ou communautaristes, bien propres à effrayer les uns et à flatter le conformisme des autres, les médias en font tapageusement des grands titres complaisamment repris et commentés. Deux mille personnes défilant pour la cause animale n’intéressent pas les « communicateurs » qui n’ont pas soufflé mot, comme d’habitude, des manifestations de remise en question de l’anthropocentrisme. Celles-ci ne servent pas les fantasmes à la mode. La censure ne déshonore jamais que ceux qui la pratiquent. L’évidence est que les écologistes n’ont rien à espérer des vieilles idéologies et des vieux partis usés et clientélistes qui n’invoquent l’écologie que pour mieux égarer l’opinion. L’écologie éthique ne peut pas être un groupe de pression puisqu’elle ne vise pas à défendre des intérêts catégoriels que pourraient satisfaire tel ou tel gouvernant nourri idéologiquement au culte de la croissance quantitative, de l’anthropocentrisme, de l’amour des entreprises et du Marché. Un groupe de pression peut porter des revendications corporatistes, pas des valeurs. L’écologie éthique est une politique en rupture radicale avec les autres partis traditionnels qui fondamentalement nient la Nature, l’animal et le vivant et finissent même par nier l’humain pour servir un système économique finalisé. Intellectuellement, je diffère sur ce point de notre ami Nicolas HULOT, dont j’apprécie par ailleurs le combat. Il espère et sans doute moins naïvement feint d’espérer que les pires leaders des pires partis se convertiront au respect de la biodiversité. Non, Mme THATCHER, M. BUSH et leurs homologues hexagonaux ne feront que de l’écologie de tribune. Concrètement, ils opteront toujours pour la chasse, les OGM, le développement insupportable mais lucratif pour une poignée de petits copains. L’honnêteté et la lucidité obligent à le proclamer. Pour sauver la planète, pour changer le sort des êtres sensibles, pour que l’argent roi n’impose plus sa loi de fer, il faut voter pour les partis de la terre et de la vie. Il faut chasser les candidats de la destruction. Le biocentrisme, c’est-à-dire la prévalence des êtres sensibles et du vivant sur l’approche économiste et ludique du monde, appelle un parti et non un lobby. Le statut de l’animal, le moratoire sur les OGM, le frein à l’appétit glouton des promoteurs et aménageurs du territoire, l’abolition de la chasse, l’instauration d’une réglementation protectrice de la vie et de sa qualité dépendent directement et exclusivement du poids électoral de l’écologie. Je ne connais pas de cause plus politique que celles-ci. Gérard CHAROLLOIS
  11. http://www.experimentation-animale.org/actions/transports.html
  12. je ne regrette pas d'être adhérente chez eux : ils me plaisent A MORT !!! https://www.dailymotion.com/gpfrance/video/x1gnc0_greenpeace-livre-du-mais-ogm-a-sark
  13. c'était très agréable, effectivement ! non je ne suis pas sur les photos puisque cé moi qui les prend ! si j'en reçois où je suis, vous pourrez voir mon vieux visage ridé et fatigué, je vous le promets !!!!
  14. je voudrais vous montrer également les photos du repas au resto veggie mais je sais pas les transformer en lien ... je peux te les envoyer pour que tu le fasses ? tu me redonnes ton mail siouplait ?
  15. comme à chaque fois, les médias minimisent le nombre de participants : il faut multiplier par 2 !!!!!
  16. http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/0/30/54/38/manif-unitaire.html
  17. je transmets : cette personne mérite notre aide !! merci pour tous ces animaux : Et voila, les travaux on commencés, apres s être démenée courageusement pour obtenir les autorisations, Le puit peut enfin etre creusé ,ce qui signifie enfin l'espoir pour pour plus de 300 animauxn et ceux a venir... Le bail prend fin au bled, Helga ne peut plus reculer ,et avec elle ses protégés ,tout autour de son ancien bled ,des Riads se construisent ,des hotels et ces animaux dérangent ,alors Helga doit partir ,elle a donc racheté une terre de plus de 7 hectares et demi ,et compte bien sauver ses animaux . Alors il faut dabord creuser un puit,et puis ensuite commencer d urgence à batir le mur qui entourera la propriété et surtout protegera tout ces innocents. Pour ce puit la fondation a besoin dabord de 6000 euros ,et ensuite 2000 euros pour la pompe ,sans ce puit ce refuge n a aucun sens ,sans eau ,aucune vie n est envisageable. Tout ces animaux rescapés de l'enfer ,arrivés en pieces détachées a la fondation ,exploités ,maltraités ,brulés ,mutilés ,terrorisés ,enfin auront la chance de survivrent grace a ce nouveau bled. Ces ânes ,ces chevaux ,ces chiens ,chats ,sangliers ,chevres ,moutons ,singes ,paons ,canards ,poules ,perroquets ,lapins ,dromadaires ectr . Ils y en a plus de 300 ,et ils n ont que nous ,tous ces innocents qui un jour on rencontrés une femme exeptionelle qui se bat seule contre toutes ces cruautés la-bas à Marrakech ,une femme qui depuis 15 années a réussi a faire bouger les choses ,au profit du bien être des animaux ... Elle n a jamais demandé rien a personne ,et jusqu a son moindre denier passe ds ses sauvetages ,les soins ,la nourriture ,mais ici elle a besoin d aide ,d'abord de fonds ,sans argent rien n est possible ,besoin de nourriture ,de médicaments ,besoin de tout . Les réserves s 'épuisent vite ,et Helga continue de se battre ,j essaie de l aider comme je peut ,av ces courriers ,ces appels a l aide ,et surtout je demande a toutes personnes de la P.A qui pourraient se rendrent a Marrakech d aller se rendre compte sur place pour comprendre ,voir tout ces rescapés ,ces animaux qui on dans leurs regards tellement d' amour et de reconnaissance envers leurs bienfaiteurs ... 4 vieux dromadaires fatigués ,ayant des fils barbelés au museau ,devais être égorgés ds le desert ,sans la fondation ces animaux n on aucune chance .... Ce petit chaton mutilé ,trouvé agonisant ds une rigole .... Ces ânes et les autres ,on besoin de nous ,la moindre participation est importante ,je laisse le no de compte de la fondation ,ainsi que des liens ,et aussi pour nos amis Belge un compte en Belgique ,ou je remets moi mm l argent lors de mes allées et venue à la fondation. Merci de diffuser ce texte a vos contacts ,une importante mobilisation est indispensable ,nous avons besoin d aide a tout niveau ,mm au niveau main d oeuvre ,car ca n avance pas les travaux la-bas ,Helga doit toujours être sur place ... Pour les dons ,mettre comme courrier " le puit de Marrakech " ci-bas le compte de la fondation a Marrakech Le R.I.B est aussi le IBAN, alors le: 007 450 0000 00495 300 0121 66 Le Code SWIFT : BCMAMAMC Pour nos amis Belges ,voici le compte en Belgique ing courrier " le puit a Marrakech " 360-0512391-43 ING en Belgique Le moindre don est important ,merci pour eux . Voici le lien vers qlq photos de la fondation a Marrakech . http://tinyurl.com/23ko43
  18. Plus vite ! plus fort ! plus loin ! Une activité très prisée, quasi sacralisée, érigée en tabou que chacun doit vénérer illustre merveilleusement les tares de cette société. Il s’agit du sport de compétition. Il représente un résumé, une caricature du système économico-politique fondé sur les mythes trompeurs de « l’effort », de la « croissance », de la « compétition ». Tares, car loin des images d’EPINAL, le sport est une école de violence, de dopage et une débauche d’argent arrogant et indécent. La violence : certes ritualisée, par principe, mais violence tout de même et les ritualisations dérapent parfois amenant l’affrontement à sortir des strictes règles du jeu. Le dopage : car il serait naïf d’imaginer qu’eu égard aux enjeux financiers et aux prestiges engagés, l’athlète, le champion, l’équipe ne soient pas appelés à se « dépasser ». La médecine de pointe leur offrira des moyens nullement naturels et absolument malsains de faire tomber sans cesse des records pour l’édification des foules médusées par l’exploit. L’argent : car les sommes brassées par les sports de compétition font honte à cette société qui ne parvient pas à extirper la misère, à subventionner la recherche fondamentale, mais qui couvre d’or des spécialistes du coup de pieds dans le ballon. Il y a une quinzaine d’années, la Justice perdit son temps et ses moyens durant une interminable instruction pénale parce qu’un dirigeant d’un club de football avait payé les joueurs adverses pour perdre . Etonnement du philosophe : Est-il tellement plus moral de les payer pour gagner que de les payer pour perdre ? Tant que le sport n’est qu’un amusement, une détente, une aération, il faut le louer, voire s’y adonner. Lorsqu’il devient école de tribalisme haineux, de violence fut-elle ritualisée, de débauche d’argent, il vire à la toxicomanie collective. L’esprit de clocher exacerbé animant les foules captives s’avère d’autant plus ridicule que les équipes sensées représenter une ville, une région, sont composées de joueurs exogènes achetés à prix d’or. Le sport représente la quintescence de la pensée libérale-conservatrice : des dominants, des vainqueurs braillant qu’ils ont enfoncé les vaincus, les vainqueurs partant avec le butin. Et quel butin ! La société rémunère mieux les virtuoses du ballon que les scientifiques travaillant à vaincre le cancer ou le sida. Entre une analyse sommaire et bâclée de géopolitique et l’annonce d’un fait divers, les médias vous abreuvent de résultats sportifs dont la débilité afflige tout observateur désintoxiqué. Est-il si grave que DIJON ait battu GRENOBLE, deux à zéro ? Du pain et des jeux et le peuple sera heureux et ne se posera pas trop de questions. Faute de gagner à la loterie nationale et son avatar moderne, les petites gens peuvent se consoler en rêvant que leur rejeton, un peu fruit sec, deviendra peut-être un grand footballer aussi riche que quelques icônes médiatisées. La machine à décérébrer fonctionne merveilleusement. Pendant que les gens pensent au foot ou autre enjeu d’aussi fondamentale portée, ils ne contestent pas le désordre établi qui repose sur les notions truquées d’efforts, de compétitions, de dominations de pacotilles. Ici, pour l’esprit lucide, à l’inverse du sport, l’essentiel est de ne pas participer de la mascarade. Ne soyons pas dupe de la finalité idéologique et sociologique du culte du sport . Si les foules s’en détournaient, l’argent qui corrompt tout ne remplirait plus les caisses des clubs et fédérations. Mais BIG BROTHER n’a pas de souci à se faire : le troupeau est sous contrôle et les valeurs de domination, d’humiliation, de combat de l’absurde, n’ont pas fini de faire des victimes. Inversement, l’empathie, la gratuité, la réflexion complexe, l’émotion et le respect des êtres ne sont guère des valeurs de saison. Dans ce contexte, l’humanitaire, privatisation de la Justice et du Droit, est là pour panser les maux d’une société féroce et fière de l’être et le spectacle sportif tient lieu de drogue onirique. Au fond, le foot et autres tiennent la place naguère occupé par la religion et celle-ci reste en réserve de soporifique, en cas de nécessité. Pas très étonnant que les Français, sept ans après les Etats-Uniens, s’apprêtent à voter comme des pieds ! Gérard CHAROLLOIS
  19. http://www.webactionsanimaux.fr/ MERCI POUR EUX
  20. Canard Enchaîné, 14/03/2007, page 5. Animal, on a mal Tiens, si on parlait des animaux ? On ne les entend pas beaucoup, dans cette campagne. Nous autres humains avons déjà assez à faire : s'il fallait, en plus, s'occuper des bestioles, n'est-ce pas... Voici pourtant l'occasion : pour le film "Notre pain quotidien", qui sort cette semaine, Nikolaus Geyrhalter a planté sa caméra dans les abattoirs, les élevages industriels, les serres géantes, les champs, les mines de sel, les vignes de notre moderne Europe. Il nous motre ce que nous n'aimons pas voir : comment fonctionne l'énorme machinerie grâce à laquelle nous remplissons nos assiettes. Non, nous ne voulons pas voir ces milliers d'animaux qui passent leur vie entassés, enfermés dans leurs boîtes, leurs cages, leurs prisons ; voir ce boeuf qui tremble de terreur devant le tueur qui va l'exécuter d'un coup de pistolet électrique, et son cadavre être retourné par un robot, saisi par les pattes arrière, suspendu à la chaîne, et son successeur s'affoler à cette vue, rouler des yeux effarés et trembler devant le pistolet qui s'approche... C'est trop facile de jouer sur notre sensibilité de citadins, sur notre, lâchons le mot, sensiblerie. Nous savons bien qu'on ne fait pas d'omelette sans casser d'oeufs ni de steaks saignants sans tuer les boeufs. Ne nous montrez pas ces robots qui tuent, éventrent, découpent, trient ; et qui laissent à de rares salariés le soin de faire ce que les machines ne peuvent encore exécuter habilement, édenter les porcelets, leur couper la queue, etc. Ne nous montrez pas ces ouvriers solitaires, enfermés dans le mutisme et le boucan mécanique, esclaves de la cadence imposée par la machine, cheptel pas moins entravé que l'autre. Que l'industrie agroalimentaire n'ait plus aucun rapport avec la ferme d'antan ; que le vivant y soit formaté pour la consommation de masse ; que ses méthodes déshumanisent, nous le savons, évidemment. Mais nous préférons croire au monde enchanté des publicités, où de braves paysans aux tronches authentiquement "à l'ancienne" nous vantent leurs "produits du terroir". Nous voulons du rêve et de la légende, pas du réel. La dernière fois qu'on nous a parlé d'animaux, c'était il y a un mois, lorsque le virus H5N1 a débarqué dans un élevage de dindes anglais. 860 bêtes sont mortes, mais, plutôt que de soigner ou d'épargner les autres, on a préférer les tuer. 160 000 dindes exécutées. Oublions vite. Arrêtez de nous parler des animaux...
  21. http://users.skynet.be/jdelacre/2050/unedelecologie.html
  22. l’ourse, les chassassins et l’Etat complice Le premier novembre 2004, un tueur de sangliers tirait sur CANNELLE, la dernière ourse de souche pyrénéenne dont l’espèce fut éliminée par les chasseurs « gestionnaires » de la faune. L’émotion fut vive dans le pays. Le Président de la République s’en fit l’écho et trois mille personnes manifestaient, à PARIS, quatre jours plus tard en faveur de la Nature et des animaux. L’information judiciaire ouverte contre le tueur aboutit à une ordonnance de non lieu, le fusillot ayant été menacé par l’ourse et se trouvant, selon le juge d’instruction de PAU, en légitime défense, comme l’avait été l’assassin de MELBA, dix ans plus tôt. Jamais aucun promeneur pacifique fréquentant les Pyrénées ne s’est trouvé en état de légitime défense face aux ours et seuls les chasseurs prennent peur de l’animal auquel, n’en doutons pas, ils vouent une affection tendre. Les associations de protection de la Nature ont interjeté appel de l’ordonnance de non lieu afin que justice soit faite. L’affaire vient vendredi 9 mars devant la chambre de l’instruction de la cour d’appel de PAU. Le préfet des Pyrénées Atlantiques, représentant de l’Etat, qui avait déposé plainte initialement, ne s’associe pas à ce recours et le procureur général de la cour d’appel conclut contre l’ourse et pour le tueur, c’est-à-dire à la confirmation de l’ordonnance de non lieu. Or, le Procureur Général représente, devant l’institution judiciaire, le ministre de la Justice. L’Etat est complice des forces arriérées qui anéantissent la faune sauvage et la réduisent à n’être qu’un cheptel d’élevage en milieu ouvert, de pauvres animaux qualifiés de "gibiers", animaux de tirs introduits, nourris, favorisés pour servir de cibles aux maniaques de la mort loisir et dont les propagandistes de ce loisir osent par ailleurs dénoncer les méfaits justifiant la chasse. Etat coupable et société fautive, car il faut bien reconnaître que nos mouvements n’ont pas réagi avec la fermeté et la clarté qui s’imposent. Ici, on achève bien les espèces et la lâcheté intellectuelle bêle des sornettes sur les « gestionnaires » de la Nature qu’il conviendrait de ne pas déranger dans leur obscurantisme pesant. Notre voix, à la CVN, intègre et libre, ne se mêlera jamais à ce chœur des imposteurs. La Nature a des ennemis. Qu’elle ait au moins des défenseurs ! Gérard CHAROLLOIS
  23. Élevée par des parents végétariens, écologiste engagée, Stella McCartney ne pouvait qu'imaginer une ligne de beauté en accord avec ses principes écocitoyens. Développés avec le concours de Yves Saint Laurent Beauté, ces produits cosmétiques pour homme et femme sont composés d’actifs certifiés bio et d’ingrédients 100% naturels. Sans OGM, sans silicone et sans conservateur chimique, ces produits n’en sont pas moins hautement performants. Ils ne contiennent, en outre, aucun composant d’origine animale et leurs formules ne sont pas testées sur les animaux. http://www.sephora.fr/browse/brand_hierarchy.jhtml?brandId=STELLACARE
  24. terrienne

    appel greenpeace

    Bonjour, Greenpeace a lancé un important programme de harcèlement des candidats à l'élection présidentielle, programme qui se poursuivra par la suite autour des candidats aux législatives. Le but de ce « harcèlement démocratique » ? Obtenir un positionnement clair et précis des candidats sur des objectifs concrets de protection de l'environnement. Ce programme comporte deux volets essentiels : Un volet Energie avec notre campagne « révolution Energétique » - Demande d'engagement sur l'abandon du projet de construction du réacteur de 3ème génération EPR à Flamanville. - Demande d'engagement sur des mesures d'efficacité énergétiques et notamment sur la rénovation thermique des bâtiments anciens. Un volet OGM Demande d'un moratoire sur la culture en plein champ des OGM (Pour rappel : 86% des français sont contre les OGM - sondage CSA / Greenpeace, septembre 2006 - et 62 % des agriculteurs - sondage Ifop/Fiducial/JDD, février 2007). Voici donc tout l'enjeu de cette campagne qui vise à maintenir la pression sur les principaux candidats tout au long des semaines à venir. Vous aussi, vous pouvez apporter votre contribution à ce programme majeur ! Des actions concrètes et simples vous sont proposées : * En vous inscrivant à la newsletter " Révolution Energétique " : www.its-not-too-late.com, (rubrique " Rejoignez-nous "), vous recevrez une fois par semaine un e-mail vous proposant de renforcer notre campagne par des actions à réaliser : interventions sur des blogs des candidats, d'émissions de TV et de radio... * En consultant le nouveau site OGM (en ligne à partir du 13 mars) pour relayer l'information pour défendre le moratoire sur les OGM. * En rejoignant temporairement le groupe local le plus proche pour préparer et participer aux journées nationales d'information du grand public : La prochaine est le 24 mars pour le moratoire sur les OGM. Dans l'immédiat : ne ratez surtout pas le grand rassemblement anti-EPR du 17 mars prochain à Lille, Strasbourg, Rennes, Lyon et Toulouse. Plus d'information sur le site : www.stop-epr.org Plus nous serons nombreux et présents sur le terrain, plus nos messages seront entendus, repris et rapportés aux oreilles de nos candidats. Nous comptons sur vous, Toute l'équipe de Greenpeace
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