Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

terrienne

Membres
  • Compteur de contenus

    1 078
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par terrienne

  1. je ne sais pas ..... lisez ça : http://www.ecologie.gouv.fr/IMG/html/discours19990623.html cé long mais ça vaut son pesant de cacahuètes
  2. Ils se prétendent aujourd'hui cent cinquante mille et étaient trois cents mille, il y a une vingtaine d'années. Ce sont les tueurs de canards. Ce qu'il y a de plus militant, de plus CPNT, de plus cramponné aux archaïsmes au sein d'un monde de la chasse française qui ne brille guère par son esprit d'ouverture et de conciliation. Le tueur d'oiseaux d'eau tue le jour et la nuit et entend bien ne rien concéder. La barge à queue noire fait l'objet d'un plan de protection à l'échelon européen adopté par la Commission de BRUXELLES. La France n'y sera pas soumis et obtient une dérogation en raison de la pesanteur et de la nocivité absolue de son lobby de la chasse. Alors, rien d'étonnant à ce que ces gens manifestent pour obtenir quelques facilités pour tuer davantage. Gérard Charollois ------ message transféré Les chasseurs menacent le Grenelle de l'environnement : Paris, le 02 octobre 2007 DE PARIS EN REGIONS, LE GRENELLE DES APPELANTS EST LANCE Répondant au mot d’ordre de leur Association Nationale, l’ANCGE, les délégués des 150.000 chasseurs de gibier d’eau de France étaient lundi 1er octobre dans la capitale avec leurs appelants, ces canards utilisés pour attirer par leur chant les oiseaux d’eau sauvages. L’objet était double : faire découvrir ce mode de chasse traditionnel aux Parisiens et être reçus par le ministère de tutelle, le MEDAD (Ecologie, Développement et Aménagement Durables). Opération réussie. Manifestation parfaitement organisée avec de très bons contacts durant le cortège et d’excellentes interventions sur le podium. Le candidat CPNT à la Présidentielle, F.NIHOUS, n’a pas manqué l’occasion de lancer un appel à l’unité et à la solidarité de tous les chasseurs qui a été chaleureusement accueilli tandis que le Président BETTIG dénonçait avec fermeté la situation ubuesque dans laquelle les chasseurs de gibier d’eau étaient plongés aujourd’hui. L’autre temps fort de cette action, l’entrevue au ministère, a permis, pendant plus d’une heure, de dénoncer l’absurdité de la réglementation actuelle. Alors qu’il est autorisé de traverser la France en tous sens pour aller chasser avec ses appelants sur le littoral Manche-Mer-du-Nord-Atlantique, il est interdit de les utiliser sur le lieu même où ils sont détenus. Application totalement farfelue du principe de précaution que seule l’Administration française et ses experts sont capables de concevoir. Bien évidemment, le MEDAD a dû conclure, après avoir entendu les arguments de l’Association Nationale des Chasseurs de Gibier d’Eau de France, à l’aberration du dispositif en place et à la nécessité de le réformer très vite. Une réunion interministérielle est donc programmée de toute urgence, à Matignon, pour redonner un minimum de logique à la réglementation. Dans cette attente, les chasseurs de gibier d’eau de France continuent à faire preuve, ensemble, de bon sens et à chasser avec leurs appelants tant sur le littoral que sur les zones humides intérieures ; le rôle des représentants de l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage étant de les accompagner dans cette démarche par une pédagogie adaptée. Le Grenelle des appelants risque donc d’aboutir très vite à la fin des incohérences actuelles, ce que souhaite très vivement l’ANCGE. Elle retirerait alors son appel à investir et à bloquer tous les forums régionaux du Grenelle de l’Environnement par des concerts d’appelants aussi tonitruants que sympathiques ; mot d’ordre pour l’instant maintenu. à nos canards. à nos connards.
  3. l y aura 23 ans samedi 6 octobre 2007, un modeste retraité varois, M. Cosimo LIPARTITI était lâchement assassiné de deux décharges de chevrotines tirées dans le dos par un chassassin auquel il venait de refuser l'accès de sa propriété érigée en réserve naturelle volontaire. Le tueur de sangliers, après l'avoir roué de coups, le tira délibérément alors que cet opposant à la chasse regagnait son logis. Les faits se sont déroulés à LA VALETTE DU VAR, à l'Est de TOULON, le samedi 6 octobre 1984. Nous devions rappeler la mémoire de Cosimo LIPARTITI et se souvenir qu'il paya de sa vie la passion meurtrière de ce que les honteux politiciens Français dénomment "leurs amis les chasseurs". Gérard Charollois CVN
  4. http://www.urgenceclimat.org/
  5. terrienne

    grandiose !!!

    I always knew it !
  6. terrienne

    grandiose !!!

    t'es trop forte toi !!!
  7. Le parlement Français se comporte comme s'il était au bout des fusils des pires braconniers. Nous le disons. Nous le prouvons. Systématiquement, les parlementaires intervenant sur la chasse le font contre la Nature, contre le respect de l'animal et pour les tueurs . Le mode de scrutin et la psychologie profonde du politicien expliquent ce décalage entre les aspirations majoritaires des français, désireux d'instaurer un lien pacifique avec la faune, et ces sénateurs et députés qui pensent démagogique et populiste de flatter l'arriéré. Un sondage réalisé en 2005 à notre demande révélait que 47% des contemporains souhaitaient, non pas une limitation de la chasse, mais son abolition. Comment s'étonner du divorce entre le citoyen et les représentants lorsque ceux-ci se muent en valets de lobbies grotesques, minoritaires et nocifs. Il faut changer les politiques: vaste programme! Il faut que le parti écologiste monte en puissance sur l'éthique écologiste, terrain qui lui évitera toute récupération par les imposteurs illusionnistes, terrain sur lequel une forte attente de la société est laissée en jachère. Etre écologiste, c'est vouloir changer le rapport à l'autre, aux humains, à la Nature, aux animaux. C'est demander l'abolition de toutes les formes de mépris du vivant et de la souffrance des êtres sensibles. Gérard Charollois CONVENTION VIE ET NATURE POUR UNE ECOLOGIE RADICALE. message transféré Préservez l'environnement: n'imprimez ce document qu'en cas de nécessité. Adresse du document : http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ070901943 Inquiétudes des chasseurs de gibier d'eau 13 ème législature Question écrite n° 01943 de Mme Sylvie Desmarescaux (Nord - NI) * publiée dans le JO Sénat du 27/09/2007 - page 1692 Mme Sylvie Desmarescaux attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre de l'écologie, du développement et de l'aménagement durables sur les inquiétudes des chasseurs de gibier d’eau en raison de la position prise le 7 septembre dernier par l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments. Alors que l’Europe a validé le fait de chasser avec des appelants, dans le respect de certaines normes, l’AFSSA a émis un avis défavorable au transport et à l’utilisation d’appelants sur les zones humides de l’intérieur et sur le Domaine public maritime de Méditerranée. Or, considérant, l’absence totale de développement de propagation du virus H5N1, l’important investissement réalisé par les chasseurs en matière de traçabilité et de contrôle sanitaire des appelants et l’autorisation donnée pour le domaine public maritime de l’Atlantique, Manche et Mer du Nord, elle souhaite connaître sa position sur le sujet et savoir si des mesures sont envisagées pour que le milieu cynégétique ne soit pas une fois de plus lésé.
  8. Les chascistes Le 28 juin 1941, l’Etat Français, aux mains des réactionnaires de la Révolution Nationale, créait sous la signature de son sénescent maréchal les « sociétés départementales des chasseurs », devenues par arrêté du 15 novembre 1945 les fédérations départementales des chasseurs. Ces structures, selon l’idéologie corporatiste qui les inspira, doivent recueillir l’adhésion et la cotisation annuelle obligatoires de tout titulaire de permis de chasser, recette imparable pour constituer un lobby artificiellement pesant sur la vie publique. Ce lobby dicte des lois à des parlementaires serviles qui font de la surenchère anti-nature dès lors que survient un débat sur la chasse, dans l’ignorance et le mépris des aspirations contraires d’une majorité de contemporains. Lorsque la loi ne couvre pas le braconnage, le lobby en organise la transgression, encourage occasionnellement le non respect des dates d’ouverture du grand massacre, des modes de captures prohibés, l’emploi d’appelants en période de restriction (voire les communiqués récents de certaines officines cynégétiques). Caillassages de députés socialistes dans la Somme, occupations musclées de cols ardéchois, menaces tartarines de troubler l’ordre public à la perspective d’une moindre limitation du droit de tuer, démagogie lamentable pour capter des voix aux élections politiques, révisions des données ornithologiques pour justifier une prolongation du temps d’ouverture des plombages de grives, pressions sur les ministères, diabolisation ridicule des écologistes, climat de guerre civile suscité ici ou là, caractérisent une fraction importante du monde de la chasse française. Il se trouve même des animateurs notoires de ce lobby pour réitérer les nauséabonds comportements de certains Français dans les années noires de l’occupation nazie. Ils osent périodiquement adresser aux diverses autorités gouvernementales des lettres de délation invitant à sanctionner, pour délit d’opinion, les hauts fonctionnaires exprimant des convictions abolitionnistes de la mort loisir. Merveilleux ! Ces personnages prouvent ainsi ce qu’ils sont et de quelle idéologie ils s’abreuvent. Attitude méprisable de quelques individus, dont il ne sera pas soutenu qu’ils sont majoritaires au sein même de leur caste, égarés en démocratie et qui rêvent d’un temps, pour eux heureux, où leurs devanciers dénonçaient le communiste, le juif, le franc-maçon, le gaulliste, envoyant ainsi leurs ennemis à nacht und nebel. Ils oublient que leur idéologie liberticide a perdu la guerre et que la droite actuelle n’est plus celle de « l’ordre moral » mais de l’argent. Bien sûr, cette droite contemporaine flatte encore les lourdeaux de la chasse, les pesants notables provinciaux, mais elles s’en distingue sociologiquement et le fera de plus en plus. Au fond, le délateur style 1940 pourrait figurer au musée des horreurs et au nombre des espèces en extinction. Avouons qu’il ne mérite guère une mesure de sauvegarde même s’il justifie un hommage à Antoine CONDORCET. D’aucuns s’étonnent de voir stabiliser en 2006 la réduction du nombre des amateurs de tueries animales. C’est tout simplement que la chasse comme le tabagisme s’étant féminisée, l’inéluctable régression est momentanément masquée par ce renfort d’effectifs . L’abolition de la mort loisir et de la mort spectacle s’inscrit dans le processus d’hominisation qui appelle au respect du vivant, de l’autre, de soi-même, de la liberté et de la sensibilité de tous les êtres. La liberté et le respect du vivant seront toujours incompatibles avec l’amour des fusils. Les médias bruissent d’une propagande caricaturale du Pouvoir. La droite décomplexée prétend parler comme Jean JAURES, pour justifier l’affaiblissement des partis sociaux-démocrates, parler écologie comme les VERTS, pour justifier l’effacement de tout parti écologiste, parler en nationaliste un peu xénophobe, pour justifier le laminage de la droite ancienne, bref parler toutes les langues idéologiques pour tout dissoudre et absorber. Elle agit en néo-conservateur au service des firmes et entreprises. Ce pays a plus que jamais besoin de sociaux-démocrates pour défendre ses services publics, ses salariés, ses fonctionnaires sacrifiés sur l’autel de l’antifiscalisme et du tout pour les ploutocrates. Il a plus que jamais besoin d’un parti écologiste fort, rigoureux, clair pour exprimer que l’écologie n’est pas une fioriture pour peindre en vert les subventions et le profit des exploiteurs . Le pouvoir ne fera rien contre le lobby de la chasse et n’attentera pas aux appétits des semenciers, céréaliers, marchands de pesticides et aux bétonneurs car ils sont le noyau dur du parti unique qui tient l’Etat et nombre de médias écrits et télévisés. Quelle que soit l’excellence des travaux des associations au GRENELLE de l’environnement, quelle que soit la bonne volonté des ministres,(soulignons ici les opinions constructives de Madame COSCIUSCO MORIZEt), c’est le chef de l’Etat et lui seul qui décidera et il le fera sous forme de taxes et de subventions et non par des lois et règlements transformant les rapports à la Nature et à l’animal. Pour vaincre les discours fumigènes et éviter toute récupération, pour exister et recueillir les soutiens d’une société en pleine mutation comportementale,j’invite le parti VERT à inscrire clairement dans son programme l’abolition de la chasse et de la tauromachie. Voilà une proclamation courageuse et irrécupérable, attendue par une majorité de contemporains, qui le rendrait visible, spécifique et conforme à une éthique nouvelle ! Sociologiquement, un processus prometteur est en marche en profondeur, processus qu’entrave une régression politique momentanée et accidentelle. Là où va l’évolution, il n’y aura plus de place pour les chascistes et leur instinct de mort, puisque notre espèce se réconciliera avec la Nature ou disparaîtra. Gérard CHAROLLOIS CONVENTION VIE ET NATURE POUR UNE ECOLOGIE RADICALE
  9. terrienne

    grandiose !!!

    aaaaaaaaaaah ! bah voilà !!!!!!!!!!!!!!
  10. terrienne

    grandiose !!!

    ouiiiiiiiiiiiiiiii !!! maintenant !!!!!!!!!!!!!!
  11. terrienne

    grandiose !!!

    of course my dear !!!!!!!!!!!!!!!! j'ai cliqué sur le lien et ça fonctionne parfaitement ....... c'est incompréhensible.
  12. terrienne

    grandiose !!!

    DAMNED !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! c'est encore un coup des extraterrestres ça !!!!!!!!!!!!!!!!! comment puis-je faire pour vous aider ? :batman:
  13. terrienne

    grandiose !!!

    bah enfin !!!!!!!!!!!! cé quoi ce délire !!!! vous voyez pas la bande-annonce, le making of, le casting ?
  14. http://crigas.spaces.live.com/Blog/cns!AADA28617BF54809!2052.entry
  15. terrienne

    grandiose !!!

    http://www.loveearth.com/
  16. Hier, ouvrant comme on dit chez les pédants le quotidien vespéral, coup de sang. Je suis sanguin, j’avais oublié de prévenir. Coup de sang, car Le Monde infligeait à ses lecteurs un titre de une mensonger. Mensonger, rien de moins. Le voici : “La France s’oriente vers la fin des cultures OGM”. Ne cherchez pas plus loin, c’est un coup commercial. Celui qui a trouvé - ou imposé - ce titre savait qu’il serait cité, et que les confrères, à la télévision notamment, reprendraient cette “information”. Qui n’en est pas une. Je connais assez la chanson pour l’accompagner en fredonnant. La source de cette “information”, c’est Borloo et son cabinet. Borloo est comme les autres compères de cette funeste aventure sarkozyenne : il lui faut exister auprès des médias. Faute de quoi, il disparait. La question des OGM au Grenelle de l’Environnement est au coeur de la machinerie. J’ai écrit depuis longtemps que Sarkozy lâcherait quelque chose sur le sujet. Peut-être quelque chose de spectaculaire. Je ne dis pas : important, mais spectaculaire. Les OGM sont en effet le sujet symbolique par excellence. En prince de la com’, Sarkozy sait que l’issue se jouera sur ce terrain, puisqu’il n’est pas question d’inverser quelque tendance lourde que ce soit. Borloo, le sachant aussi bien que n’importe quel benêt, tente de gagner quelque obole médiatique dès maintenant. Et il lâche aux journalistes du Monde - ils sont deux à signer l’article qui accompagne le titre - une phrase entortillée qui se termine par : “Donc on ne va pas prendre le risque”. C’est beau, oh si beau ! Avant de vous dire deux ou trois choses désagréables sur Le Monde, sachez que je ne mets pas en cause les journalistes. Je le pourrais, je le ferais sans hésiter, mais il se trouve qu’ils n’y sont pour rien. Ils ont fait leur travail, et l’article, si vous le lisez, contredit largement la grotesque mise en scène du titre. Alors, ce titre. Eh bien, pour commencer, “La France”, c’est à cet instant précis le chuchotis de Borloo ou de l’un de ses tout proches. Ce qu’on appelle une promotion. L’information aurait consisté à dire que des sources proches du ministre laissaient entendre que, sur le dossier des OGM, le gouvernement envisageait de lâcher du lest. Fais donc un titre “vendeur” avec ça, coco ! Deuxième point bien plus grave : La France s’oriente vers la fin des cultures OGM. Et là, c’est directement de la désinformation. Car, quelle que soit la décision finale de Sarkozy notre roi - qui peut surprendre, je me répète sans me lasser -, elle ne marquera pas la fin des cultures OGM en France. Il ne s’agit en aucun cas d’arrêter, même à suivre le plan de com’ de l’ami Jean-Louis. En aucun cas. Au reste, Limagrain, la FNSEA, l’Europe, la concurrence mondiale ne laisseraient jamais passer une telle mesure. Jamais. Et Sarkozy, qui se fout autant de l’agriculture que des OGM, est et demeurera à jamais ce naïf absolu qui croit la propagande qu’il délivre chaque matin. Une sorte de scientiste un peu mou, pour qui les OGM - et le reste - c’est tout de même le progrès. Je me résume : merci au Monde pour cette leçon de déontologie. Merci à Borloo et à toute son équipe. Merci à notre maître à tous, NS, sans qui nos jours seraient gris. Conclusion provisoire : ce matin, Borloo est vaguement contraint de démentir, sur injonction de son patron. Et je lis, fatalitas !, que des militants écologistes siégeant au Grenelle présentent la “décision” de la “France” de renoncer aux OGM comme une première victoire politique (1). Saurez-vous reconnaître la perversité cachée dans le décor du Grenelle ? Désormais, le gouvernement et les ONG partagent, volens nolens, des intérêts communs. Le premier doit cajoler les secondes, et les balader jusqu’au bout, de manière à montrer que cette “négociation” est sérieuse. Et ces dernières doivent légitimer le premier de façon à prouver à leurs mandants que cette discussion a un intérêt et un sens. Le piège se referme de jour en jour. Fabrice Nicolino
  17. terrienne

    hi girls, help me, please !

    tu me parles-tu en chinois ma chérie ?!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! I DON'T UNDERSTAND !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
  18. terrienne

    hi girls, help me, please !

    ahahahaha ! j'me roule par terre là !!!!!!!!!!!!!!!!! je sais pas où tu vois des p'tits carrés jaunes et des p'tites boules bleues mais moi j'vois rien de rien !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! j'ai cliqué sur l'image sur le foutu site, chuis revenue icite et j'ai cliqué sur insérer une image et ça m'a renvoyé sur le foutu site !!!! et si je clique sur "lien", bah y se passe rien !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! si je t'envoie ce foutu truc, tu peux le mettre pour moi stp ? dans la section environnement ?
  19. terrienne

    hi girls, help me, please !

    et bien quand je me connecte sur https://servimg.com/, je clique "sur mes images" et elle est là ! mais je m'en fous qu'elle soit sur ce foutu site ! moi je veux qu'elle apparaisse ICI !!!!!!!!!!!!!!!!!! et je ne comprends pas que, lorsqu'on clique sur "insérer une image", là, ici, juste au-dessus, ça oblige à aller sur cette adresse dont je n'ai rien à faire !!!!!!!
  20. On croyait avoir gagné la bataille. Plus modestement, une bataille. Cette bataille-là. Celle de la fourrure. Ça remonte à loin. Des années. Personne n’osait plus en porter. Oh, pas par amour des bêtes au poil somptueux, même pas par pitié. Par trouille. Il y avait eu l’époque des commandos. Qui traquaient la salope en renard ou en vison. Les filles qui s’enfermaient dans l’ascenseur avec la poufiasse fière de son chinchilla (j’écris « chinchilla », je ne sais même pas si c’est une fourrure chère, enfin, mettons) et lui déversaient un demi-litre d’encre de Chine, ou de Javel, ou carrément d’acide sur l’ondulante toison, et puis s’esbignaient à l’étage, laissant hurler la rombière. Il y avait eu les manifs, les boutiques de fourreurs saccagées. Il y avait eu nous, Charlie Hebdo, Paule l’enragée en tête … Bref, la fourrure avait reculé. Disparu, pour ainsi dire. On était bien contents. Ça ne pouvait pas durer. Les générations de connes succèdent aux générations de connes. Et tout est à recommencer. Les couturiers et tous ceux qui peuvent se faire du fric autour du martyre des bêtes ont fait ce qu’il fallait. La fourrure est tendance, la fourrure revient en force, c’est l’invasion massive, irrésistible. Ce ne sont plus seulement les toisons prestigieuses, les traditionnels visons, les zibelines rarissimes, cadeaux de gros cons friqués à petites connes ambitieuses, qui font le gros du trafic, mais, figurez-vous, les peaux des chats et des chiens. Très mode, très très. En zappant comme je zappe, je tombe l’autre jour -ne me demandez pas quelle chaîne, j’ai coupé le jus avant la fin et je me suis sauvé- sur l’horreur des horreurs. Un film pris en douce par un amateur, je suppose. Un élevage de chats. Plutôt, un endroit où l’on entreposait des chats volés. Des centaines. Ah, oui : en Chine. Des ouvriers chinois massacraient les chats. Rationnellement. Les attrapaient par les pattes de derrière, les élevaient haut en l’air et puis les abattaient, hargne donc, de toutes leurs forces sur une espèce de billot. De vrais pros. Le chat hurlait, se débattait, la sale bête, il fallait cogner encore, et encore, il n’en finissait pas de crever. D’ailleurs, on ne le contrariait pas. Tu ne veux pas clamser ? M’en fous, pourvu que tu te tiennes peinard. Et en effet, le chat, assommé mais vivant, gigotant vaguement, était sur-le-champ ouvert du haut en bas par le spécialiste, un autre, pas le même, débarrassé de sa peau en trois coups de couteau, la peau mise à sécher et le chat jeté tout palpitant dans une espèce de poubelle à roulettes où miaulait une masse sanguinolente et bien tassée de chats sans peau. Finalement, ce n’était peut-être pas une prise de vues clandestines. Car on nous montrait complaisamment toutes les étapes du traitement des peaux jusqu’à leur finale expédition pour l’Europe. Le massacre n’était qu’une des étapes de l’opération, présentée avec la même indifférence, le même intérêt technique que les autres. Les Chinois ont beaucoup à apprendre quant à la sensiblerie occidentale. Ce film, qui se veut peut-être de propagande, leur fait du tort. Tant pis pour leurs gueules. Je voudrais qu’il soit projeté dans tous les coins pourris où des bonnes femmes s’affublent de ces peaux volées. Qu’elles touchent du doigt ce que c’est que la prestigieuse industrie de la fourrure, ce qui se passe avant que le grand couturier la drape sur les corps de ses déesses. Oui, je me bourre le mou. Elles le savent, tout ça, ou s’en doutent. Elles ne veulent pas le savoir. On leur racontera que ce que j’ai vu là est exceptionnel, des bandits, des clandestins, qu’en vrai tout se passe en douceur, le chat s’endort tranquille, on a fait ce qu’il faut, il est heureux de donner sa peau pour que Paris soit toujours Paris … Et elles marcheront, elles ont tellement envie … Toutes les copines ont de la fourrure de chat - on ne dira pas ça comme ça, les gars du marketing auront trouvé un mot chic, un mot mode - je ne vais pas être la seule à m’en passer ! J’aurais bonne mine tiens ! Ah, oui : les chiens. Pareil. En Chine, toujours. Cinq ou six gros lascars en train d’éclater les crânes sur des billots, sur le pavé, à tour de bras, cadences infernales, doivent pas être payés gras. Qu’ils crèvent ! Attendez-vous donc à voir rappliquer, je ne sais trop sous quelle forme, une marée d’accessoires vestimentaires à base de fourrure de chats et de chiens dans l’hiver qui vient. Savez-vous quoi ? Ils les font passer pour du synthétique i Ce qui tendrait à suggérer qu’en Chine la peau des chiens et des chats, malgré les manipulations, revient beaucoup moins cher que le Nylon ou les acryliques ! Jusqu’ici, les massacreurs de chats, chez nous, étaient des voyous ruraux qui fournissaient certaines officines fabriquant des sous-vêtements en peau de matou pour tenir au chaud les rhumatismes des vieux cons à rhumatismes. Activité d’ailleurs réprimée par la loi. Les Chinois, qui sont un grand peuple travailleur et industrieux, ont élevé la chose aux dimensions d’une entreprise nationale. Je retire de tout ça l’impression débilitante que cet incessant combat contre la souffrance animale, que ces efforts sans cesse et sans cesse recommencés en faveur du respect de la vie, de toute vie, qui sont déjà si décevants quand on s’adresse à des peuples dits « évolués », se heurtent, hors de ce cercle restreint, à un formidable mur d’indifférence, pour ne pas dire de sadisme. L’Asie est terrifiante. Ne parlons pas de l’Afrique… Oui, bon. Il y a du boulot. Les filles, à vos bouteilles d’encre ! Les gars, refusez votre coït à toute merdeuse portant fourrure ! François CAVANNA
  21. je voudrais mettre ici une image (un texte + une photo que j'ai scanné). j'ai suivi la procédure pour "insérer une image", donc ça m'a ouvert un compte sur servimg.com et maintenant je sais plus où est mon image ! je n'y comprends RIEN !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! dom, aide-moi !!!!!!!!!!!
  22. EGYPT - dog shootings has started again , now for the sake of tourism - please sign petition & send letter to the Egyptian President Il suffit d'aller sur le lien en jaune "sign the petition" ! Merci à toutes et à tous ! C'est une horreur ! Canadian Voice for Animals Argentina Miembro de OIPA OIPA es una Organización Internacional asociada al Departamento de Información Pública de las Naciones Unidas www.canadianvoiceforanimals.org/argentinabranch_index.html Dear Friends, please help these poor dogs in Egypt, the shooting has started again. www.canadianvoiceforanimals.org/shame.html. There's a letter for you to send and a petition. Please crosspost far and wide. Thank you so much on behalf of these poor doggies. Coqui Montiel President CVFAF - ARGENTINA
  23. terrienne

    agrocarburants

    www.ecologie-radicale.org Les seuls biocarburants s'appellent charbon et pétrole puisqu'ils sont les produits naturels de la décomposition d'êtres vivants. Il a fallu des végétaux et le travail de microorganismes anaérobies pour générer ces biocarburants naturels prisonniers des couches géologiques. Les lobbies et les "forces vives" qui trompent, mentent, intoxiquent l'opinion veulent faire prendre les céréales gonflées aux pesticides et engrais pour des "biocarburants" et pour une solution respectueuse de l'Environnement garantissant une source quasi-inépuisable puisque renouvelable d'énergie. combien d'énergie faut-il pour produire une tonne d'engrais ? que deviendra la biodiversité si l'agrochimie accroît son emprise sur l'espace ? Que seront les taux de pollutions des eaux et des sols résultant des mises en culture pour alimenter les moteurs ? Les réponses à ces questions sont tellement évidentes que les médias soporifiques se gardent bien de les poser . Vous qui pouvez réfléchir et vous informer en dehors des vérités révélées par les puissances d'argent, refusez les agrocarburants, abusivement qualifiés de "biocarburants", qui ne seront pas une solution à la crise énergétique future mais qui aggraveront la crise écologique. Gérard CHAROLLOIS CONVENTION VIE ET NATURE POUR UNE ECOLOGIE RADICALE. ------message transféré . Étude de l'OCDE: Les biocarburants plus nocifs que le pétrole Un rapport publié, la semaine dernière, par l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) révèle que les biocarburants auraient en fait des impacts plus importants sur l'environnement que le problème auquel il tente de répondre. Les biocarburants, souvent perçus comme la solution ultime aux problèmes de dépendance énergétique, une nouvelle source de revenus pour les agriculteurs et une aide précieuse dans le combat contre les gaz à effet de serre, pourraient en fait être extrêmement nocifs pour l'environnement et créer une augmentation significative des prix des aliments. Le rapport arrive un an après la sortie publique contre l'éthanol de l'un des plus grands botanistes de la planète, Peter Crane, alors directeur du Jardin botanique britanique (voir Ethanol = Mauvais). «La poussée actuelle pour le développement des biocarburants crée des tensions non-durables qui vont déstabiliser les marchés sans pour autant créer de bénéfices significatifs pour l'environnement», affirme le rapport cité par l'agence de presse Reuters. «Lorsque l'acidification, l'utilisation de fertilisant, la perte de biodiversité et la toxicité des pesticides agricoles sont pris en considération, l'impact environnemental global de l'éthanol et du biodiesel peut très facilement dépassé ceux du pétrole et du diesel minéral», poursuit le rapport. L'OCDE en appelle donc aux gouvernements pour qu'ils coupent leurs subventions à ce secteur et propose d'encourager plutôt la recherche dans des technologies qui éviteraient de faire compétition à l'usage des terres pour la production alimentaire. Les incitatifs pour encourager la production de biocarburants tels que les réductions de taxe mises en place dans plusieurs régions - dont l'Union Européenne et les États-Unis - pourraient en fait cacher d'autres objectifs que les impératifs environnementaux. Toujours selon Reuters, le rapport affirme que «les politiques encourageant la production de biocarburants apparaissent comme une manière facile de protéger l'agriculture domestique des contrecoups des négociations sur la libéralisation des marchés agricoles». Le rapport encourage plutôt l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC) à redoubler d'efforts pour diminuer les barrières économiques face à l'importation de biocarburants. Ceci permettrait aux pays en développement qui possèdent des systèmes écologiques et climatiques plus adaptés à la production de biomasse. Il encourage enfin la promotion d'efforts de réduction de l'utilisation des transports mécaniques nécessitant du pétrole. Rappelons également qu'une étude dirigée par Mark Jacobson, un professeur de génie civil et environnemental de l'Université Stanford, publiée en avril dans la revue Environmental Science and Technology, affirmait que l'impact de l'éthanol sur la qualité de l'air et le smog est équivalent, sinon légèrement pire, que celui du pétrole (voir Santé: Éthanol plus polluant que le pétrole) _________________________________________________________ L'agriculture pourraient s'effondrer d'ici 2080 Presque au même moment que la publication du rapport de l'OCDE, une autre étude dévoilait que le réchauffement climatique pourrait justement faire s'effondrer les systèmes agricoles autour de 2080. L'étude conjointe du Center for Global Development et du Peterson Institute for International Economics de Washington affirme que l'augmentation annuelle des récoltes est en diminution depuis vingt ans alors que la demande devrait tripler d'ici la fin du siècle. http://environnement.branchez-vous.com/2007/09/etude_de_locde_les_biocarburan.html
  24. A faire circuler à tous ceux qui mangent de la viande, à tous ceux qui croient que ça se passe bien, que l'horreur n'existe pas dans les abattoirs. On se demande qui aura le courage de regarder ce qu’il provoque chaque jour, à chaque instant, on voudrait croire que tout est rapide, que la vache ou le veau ne souffriront pas, ni durant le transport, ni durant l'abattage. mais ne dit-on pas que pour pouvoir donner un avis valable, il faut connaître la réalité des choses ? Alors apprenez à la connaître ! Nath
  25. GRENELLE de l’environnement : où est la protection de la Nature ? La CONVENTION VIE ET NATURE POUR UNE ECOLOGIE RADICALE ne siège pas au GRENELLE de l’environnement, le gouvernement n’ayant pas cru devoir nous y convier. C’est normal. Deux raisons expliquent notre éviction : ---- D’une part, le ministère ne pouvait pas inviter « tout le monde » et il y a beaucoup de mouvements se réclamant d’environnement ! ---- D’autre part, nous ne sommes pas « tout-le-monde » et nous militons pour l’écologie et la protection de la Nature, pas pour l’environnement, concept éminemment anthropocentrique. Cela ne nous dispense nullement de souhaiter aux véritables défenseurs du vivant participant à ces débats un succès, ne serait-ce qu’un tout petit succès en faveur de la biodiversité. Pour nous, cette cause seule vaut et nous nous déterminerons toujours par rapport aux objectifs éthiques et pratiques qui fondent notre militantisme. Bien sûr, si le GRENELLE de l’environnement n’enfantait qu’une flamboyante déclamation sur les périls climatiques et sur des mesures financières en faveur des industries du bâtiment et de l’agrochimie sous couvert d’environnementalisme, nous pourrions constater l’échec des participants et l’imposture du promoteur de cette opération médiatique. En revanche, si les dévastations et les horreurs pouvaient n'être que très légèrement contenues, il conviendrait de s’en réjouir et de féliciter les militants écologistes ayant obtenu peu, sans doute très peu, mais tout est bon à prendre pour le vivant. Bien évidemment, les actuels gouvernants, adorateurs des entreprises privées, sont des adeptes de la croissance quantitative, du développement perdurable au profit des promoteurs et aménageurs. Ils caressent leurs « amis les chasseurs » et aiment les industriels de l’agrochimie, du BTP, des forces vives qui assassinent la terre, noyaux durs de leur électorat. Le monarque opte en faveur de l’agriculture productiviste, décrète avant toute conclusion du prétendu GRENELLE, la création d’une autoroute supplémentaire en Alsace et les gouvernants font silence sur les projets les plus nocifs que concoctent les affairistes. Ce contexte politique s’avère défavorable aux avancées écologistes et il faudrait davantage de naïveté ou de lâcheté que nous en cultivons pour le taire. Il y a incompatibilité entre l’idéologie conservatrice (tout pour les entreprises) et l’écologie (tout pour la vie). La logique droitière est celle d’une expansion des gains immédiats, des affaires, de l’enrichissement des copains. Cette cupidité, cette culture de l’accaparement, cette exaltation de la prédation égoïste se sont magnfiquement illustrées dans la funeste invitation « travailler plus pour gagner plus ». Pour un écologiste, l’objectif n’est pas de « gagner toujours plus » mais de vivre toujours mieux. La logique écologiste substitue une croissance purement qualitative, celle du bien-être, du bonheur individuel à la croissance spéculative des ploutocrates. La propagande massive développée par les medias aux ordres, aidés en cela par quelques écologistes intégrés au système voudrait accréditer l’idée selon laquelle l’écologie serait soluble dans tout le reste, que tous les partis sont écologistes ce qui dispense un parti écologiste d’exister. Il s’agit-là d’un énorme mensonge. Les mensonges s’avèrent payants. Qui pourrait encore douter de l’efficacité de la propagande pour égarer les peuples, du moins durant un certain temps. Le verbe peut travestir la réalité. Ceux qui veulent toujours davantage d’autoroutes, qui servent les intérêts des firmes semencières en autorisant les OGM, qui urbanisent sans frein au nom du développement tout en dissertant sur le climat et les pollutions n’ont d’écologistes qu’un faux nez. Un néo-conservateur parlant d’écologie vaut le MEDEF parlant de social, un leader fasciste traitant des droits de l’homme, un dirigeant stalinien créant une République Démocratique. C’est un oxymore. Dès lors, les espoirs d’avancées en faveur de la Nature dans les mois à venir sont pour le moins restreints, nonobstant les convictions personnelles de madame KOSCIUSKO MORIZET, exception de lucidité, au sein de son parti d’affairistes réactionnaires hermétiques à l’écologie et valets des chasseurs, des agrochimistes productivistes, des bétonneurs. Paroles, paroles responsables et éclairées, claironnées tapageusement, pendant que dans le silence des médias les forces vives bétonnent, asphaltent, empoisonnent au nom d’une croissance absurde et sans fin ni but , sans autre limite que la destruction finale. Gérard CHAROLLOIS CONVENTION VIE ET NATURE POUR UNE ECOLOGIE RADICALE.
×
×
  • Créer...