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Caro18

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  1. AKRON, Ohio (AP) -- Chrissie Hynde se lance dans la restauration. La chanteuse des Pretenders va ouvrir un restaurant végétarien à Akron, sa ville natale dans l'Ohio, à la fin de l'été. L'artiste a choisi de nommer l'établissement VegeTerranean, selon le journal "Akron Beacon Journal". Elle donnera un concert gratuit en compagnie d'un guitariste à l'occasion de l'ouverture du restaurant le 15 septembre. L'établissement proposera à ses clients un mélange de cuisine méditerranéenne et végétarienne. Aucune viande n'y sera servie. Chrissie Hynde vit en Angleterre mais fera équipe avec Dan Duplain, propriétaire du restaurant Fedeli, afin d'assurer la permanence. AP http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/culture/20070705.FAP3414/les_nouvelles_en_bref_du_rock_et_des_varietes_1.html
  2. Info du 18/07/2007 Pour la constitution d’un groupe sur la protection des animaux Les associations demandent la constitution d’un groupe sur la protection des animaux au Grenelle de l’Environnement ! Une quarantaine d’associations* de protection animale sollicitent aujourd’hui le Président de la République afin qu’il constitue un groupe de travail consacré à la protection des animaux au sein des Grenelles de l’Environnement. Si le climat, l’énergie, la santé, les milieux naturels, la consommation et le développement durable sont des thèmes primordiaux pour mener une politique écologique globale et efficace, la protection des animaux doit également être considérée comme un dossier prioritaire. « C’est pourquoi nous en appelons au Président de la République afin qu’il intervienne et que les associations de protection animale soient largement représentées lors de cet événement majeur » déclarent les responsables associatifs. Nos associations ne peuvent qu’encourager les prises de position de plus en plus nombreuses en faveur des animaux et de leur bien-être en France mais aussi en Europe. Aux Pays-Bas, par exemple, un « parti des animaux » a vu le jour et est largement représenté dans différentes instances du pays. La France, quant à elle, est toujours un peu en retard... « Notre pays considère toujours l’animal comme un bien meuble, ce qui est scandaleux. Il est urgent que les hommes politiques remédient à ce problème. Ouvrir les discussions, lors de ces Grenelles, sur la place de l’animal en France, serait un grand pas pour faire avancer notre cause ! » concluent les associations. * Action Nature, AGIR pour les ANIMAUX, Aidons nos molosses, Association Coup d’coeur coup d’patte, Association le rêve d’Alfa, Association végétarienne de France, Auvergne Végétarienne Attitude, l’AVENIR, CCAC, CLAN, collectif CVA (Association BOURDON, Les Amis des Chats, Association Contre la Maltraitance, Association Française et Internationale de Protection Animale (A.F.I.P.A.), ASsociation pour la Protection des Animaux Sauvages (A.S.P.A.S.), Association Nationale contre le Trafic des Animaux de Compagnie (A.N.T.A.C.), Club de Défense des Animaux du 12e (C.D.A. du 12e), Association CHEVAL (Centre d’Hébergement pour Équidés Vétérans Antenne Languedoc), Code Animal, Comité scientifique PRO ANIMA, Comité Radicalement Anti Corrida (C.R.A.C.), Convention Vie et Nature pour une écologie radicale (C.V.N.), Coordination et Information en Faveur des Animaux Martyrs (C.I.F.A.M.), École du Chat de Michel CAMBAZARD, Collectif Anti Corrida de Fréjus (C.A.C. 83), Fédération Agissons, Fédération de Liaisons Anti-Corrida (F.L.A.C.) et ses associations rattachées, Groupement de Réflexion et d’Action pour l’AnimaL (G.R.A.AL.), Ligue Contre la Cruauté (L.C.C.), Ligue Française Contre la Vivisection (L.F.C.V.), Association LI.ZA-ASPA, Notre Dame de Toute Pitié, OLGA France, Rassemblement Anti Chasse (R.A.C.), association Respectons, Révégez-vous, SOS Grand Bleu, Société de Protection des Oiseaux des Villes (S.P.O.V.) avec le soutien d’Alliance Végétarienne.), Droits des Animaux, l’Europe des lévriers, Fédération Doubs Nature Environnement, Fondation 30 millions d’amis, les Monstres de Baboon, OABA, One Voice, les Orphelins de la vie SAB, le Sanctuaire des Hérissons, La Société Protectrice des Animaux (SPA), Veg’asso Contact presse : FLAC / BP 16 34301 AGDE CEDEX 06 88 57 42 06 Sources : http://bellaciao.org/fr/article.php3?id_(...) http://www.chien.com/index20.php?page=http://www.chien.com/Echos/actua.php?id_actua=1154&from=0
  3. Selon un rapport "Perspectives de récoltes et Situation alimentaire" de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), le ralentissement escompté de la croissance de la production céréalière dans les pays à faible revenu et à déficit vivrier (PFRDV), allié à la persistance de prix d'exportation élevés, pourrait créer une situation difficile des disponibilités alimentaires pour ces pays durant l'année à venir. Après quatre années consécutives de croissance relativement soutenue, la production céréalière des PFRDV devrait augmenter d'un peu plus d'1% en 2007, soit un niveau inférieur au taux de croissance démographique, estime le rapport. Mais si l'on exclut les plus gros producteurs (Chine et Inde), la production céréalière du reste des PFRDV devrait reculer légèrement par rapport à l'an dernier, explique un communiqué publié à Rome. En Afrique du Nord, la récolte céréalière du Maroc, dévastée par la sécheresse, est estimée à un quart du niveau de celle de l'an dernier. En Afrique australe, les résultats de la campagne principale sont mitigés avec des récoltes fortement réduites au Zimbabwe, en Namibie, au Lesotho et au Swaziland, et des récoltes record ou supérieures à la moyenne au Malawi, en Angola, au Mozambique, à Madagascar et en Zambie. En Afrique de l'Ouest, les précipitations irrégulières tombées jusqu'à présent ont entraîné un démarrage tardif de la campagne agricole au Sahel. En Afrique de l'Est, les perspectives des récoltes céréalières pour 2007 sont favorables dans la majorité des pays, à l'exception de la Somalie où la production devrait être en baisse en raison de pluies irrégulières tombées dans les principales zones de culture. En Asie, les perspectives de récolte des céréales secondaires et de riz de la campagne principale seraient généralement favorables en Extrême-Orient grâce aux pluies de mousson tombées en temps utile. En Chine, en Inde et au Pakistan, des récoltes de blé exceptionnelles ont été rentrées en 2007, tandis qu'au Bangladesh, la récolte de blé a été réduite compte tenu de conditions météorologiques défavorables. Selon les dernières estimations de la FAO, de graves difficultés alimentaires persistent dans 28 pays. Des périodes de sécheresse prolongées et des précipitations irrégulières au Zimbabwe, au Swaziland et au Lesotho ont entraîné une des plus faibles récoltes de la campagne principale jamais enregistrées. Dans ces pays, la production 2007 de maïs, la principale culture de base, serait par rapport à 2006 en baisse d'environ 43% au Zimbabwe, de 51% au Lesotho et de 60% au Swaziland. La baisse de la production vivrière et la hausse des prix intérieurs et régionaux devraient se répercuter sur la sécurité alimentaire de plus de 4 millions de personnes vulnérables au Zimbabwe. L'hyperinflation a dépassé le cap des 4 500% en mai, faisant chuter drastiquement le pouvoir d'achat et limitant fortement l'accès aux disponibilités vivrières pour les ménages à faible et moyen revenu. En Afrique de l'Est, la situation au sud de la Somalie est particulièrement préoccupante compte tenu de l'impact des affrontements en cours, essentiellement dans la capitale Mogadiscio, où des centaines de milliers de personnes sont déplacées et où l'activité commerciale et économique est limitée. Au Soudan, l'insécurité demeure un des principaux facteurs entravant l'accès à la nourriture, notamment dans la région du Darfour. En République démocratique populaire de Corée, la situation des approvisionnements alimentaires demeure précaire, et les premières livraisons des 400.000 tonnes d'aide alimentaire de riz promises par la République de Corée auraient été acheminées fin juin. Au Népal, sur 75 districts, on estime que 42 souffrent d'un déficit vivrier, tandis qu'une insécurité alimentaire chronique et généralisée persiste dans les régions montagneuses occidentales, où l'aide alimentaire aux populations vulnérables reste limitée. En Iraq, la situation globale de la sécurité alimentaire continue à souffrir des conflits et des problèmes de sécurité. Les organismes humanitaires font état de plus d'1,8 million de personnes déplacées à l'intérieur du pays et de plus de 2 millions qui auraient fui le pays. En Bolivie, les ménages ruraux les plus vulnérables reçoivent une aide humanitaire après avoir été victimes de graves pertes de récoltes et d'animaux dues à la sécheresse et aux inondations durant la campagne principale en début d'année. http://www.lobservateur.ma/detail_article.asp?ref=5189
  4. Caro18

    Animaux d’élevage

    Le maire de Saint-Bonaventure n’en revient pas Au terme de la visite d’un inspecteur de l’Agence canadienne d’inspection des aliments sur une ferme de sa municipalité qui entreposait des carcasses de veaux dans une fosse à purin, le maire de Saint-Bonaventure, Félicien Cardin, avait émis le souhait que le terrain soit bien décontaminé, une question de santé publique, disait-il. Vendredi, il a reçu de la part de l’Agence une proposition qui le reste pantois… Ce jour-là, un 2e représentant de l’Agence s’est présenté à Saint-Bonaventure pour mesurer l’ampleur des dégâts. Au terme de sa visite, le fonctionnaire a demandé à l’inspecteur municipal s’il avait à sa disposition une grue pour enfouir les animaux morts… où ça lui chantait. «Ça n’a pas d’allure, a décrié M. Cardin. Le gouvernement adopte un paquet de règlements et, quand vient le temps de les appliquer, il pellette ses responsabilités dans notre cour. Ce n’est pas à la Municipalité de payer pour ça, encore moins à trouver un endroit pour l’enfouissement. Qui voudrait avoir ça chez lui?.» Maintenant que l’Agence a essuyé le refus de Saint-Bonaventure, Félicien Cardin se demande bien ce qu’il adviendra de ce dossier puisque les producteurs agricoles qui louaient le bâtiment visé ont déclaré faillite depuis. «Moi, j’ai bien peur qu’ils ne fassent rien…», a-t-il lancé. http://www.journalexpress.ca/article-122611-Le-maire-de-SaintBonaventure-nen-revient-pas.html
  5. Caro18

    Vive le foie gras

    Sur "Actualités Google" ton commentaire est là aussi http://news.google.com/news?hl=fr&client=ig&ie=UTF-8&oe=UTF-8&um=1&tab=wn&q=foie+gras&scoring=n
  6. Le mardi 10 juillet 2007 Des Mexicains joignent leur voix à celles de Bardot et McCartney Tout comme le chanteur Paul McCartney et son ex-femme Heather Mills, deux organismes mexicains accusent le Canada de se rendre complice de cruauté envers les animaux en n'encadrant pas correctement la chasse aux phoques. François Cardinal La Presse Emboîtant le pas à Brigitte Bardot et Paul McCartney, deux organismes mexicains accusent le Canada de se rendre complice de cruauté envers les animaux en n'encadrant pas correctement la chasse aux phoques. Ils ont déposé une plainte formelle en ce sens, il y a quelques jours, devant le secrétariat environnemental de l'ALENA. Cette pression internationale s'ajoute à celles provenant d'Europe, où plusieurs pays s'opposent à cette chasse controversée. La Belgique a choisi en début d'année d'instaurer un embargo contre les produits venant du phoque comme l'a fait avant elle l'Italie. L'Allemagne, la France et les Pays-Bas étudient la possibilité d'en faire autant. C'est dans ce délicat contexte que le Centre mexicain du droit de l'environnement ainsi que l'organisme Conservation des mammifères marins du Mexique ont décidé de se plaindre du laxisme d'Ottawa. Ils lui reprochent de fermer les yeux devant les violations répétées des lois par les chasseurs de phoques oeuvrant entre autres dans le golfe du Saint-Laurent. Les deux groupes écolos - Centro Mexicano de Derecho Ambiental et Conservación de Mamíferos Marinos de Mexico, de leur vrai nom - affirment en effet que les chasseurs sont en contravention avec le Code criminel canadien qui interdit de causer une souffrance à un animal sans nécessité. «La grande majorité» des chasseurs, selon la plainte des organismes, ne respecte pas les dispositions législatives qui prescrivent les instruments et les méthodes à employer pour tuer les phoques. Voilà sensiblement ce que reproche aussi l'Union européenne qui, en septembre dernier, a pondu une déclaration invitant les pays membres à fermer leurs frontières aux produits issus du phoque. Aucune décision officielle n'a encore été prise. Derrière ce brouhaha politique, on retrouve plusieurs personnalités dont les plus importantes sont certainement le chanteur Paul McCartney et l'actrice Brigitte Bardot. Cette dernière a d'ailleurs eu un échange épistolaire musclé avec la sénatrice Céline Hervieux-Payette, en mai dernier, dans les journaux québécois. Tout comme Mme Bardot, les deux groupes mexicains déplorent l'attitude des chasseurs, mais également celle du ministère des Pêches et Océans. On prétend non seulement que le Ministère fixe des quotas trop élevés, mais également qu'il évite de les faire respecter. Dans le résumé de la plainte déposée le 26 juin, on peut lire que le Canada «omet d'assurer l'application efficace de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement et du préambule de la Loi sur les océans du Canada, car il n'applique pas le principe de précaution lorsqu'il établit le quota annuel pour la pêche au phoque du Groenland et a permis que, dans quatre des cinq dernières années, ce quota soit dépassé». Les prétentions des groupes écolos illustrent le peu de confiance qu'ils ont à l'endroit du Canada, car ce dernier a annoncé en mars dernier de nouvelles mesures pour éviter justement le dépassement des quotas. Les flottes prises en défaut verront par exemple leur allocation réduite par le nombre exact de phoques pris en trop, l'année suivante. La Commission de coopération environnementale (CCE), qui a le mandat de s'assurer que les gouvernements appliquent leurs propres lois dans ce domaine, a pris la question en délibéré. Elle doit maintenant interroger le Ministère avant d'accueillir ou de rejeter la plainte. Si cette dernière est reçue, un dossier factuel sera rédigé par la Commission. N'ayant pas le pouvoir de renverser une décision ou d'obliger un pays à respecter ses lois, les conclusions de la CCE peuvent s'apparenter, tout au plus, à un blâme international. En juin dernier, le ministre des Pêches et des Océans, Loyola Hearn, a qualifié de «sérieux précédent» l'initiative de la Belgique et de l'Italie d'interdire la vente de produits issus du phoque. Il avait alors soutenu que son gouvernement allait «agir en conséquence», sans préciser plus avant sa pensée. «Nous estimons être capables de faire la démonstration (que la chasse aux phoques n'est pas inhumaine)», s'était contenté de dire le ministre, qui n'est pas revenu sur le sujet depuis. Le Ministère n'a pas rappelé La Presse, hier. http://www.cyberpresse.ca/article/20070710/CPACTUALITES/707100391/6730/CPACTUALITES
  7. Caro18

    Vive le foie gras

    On comprend mieux son opinion dans cyberpresse.ca, le Devoir etc, avec l'identification du monsieur en question! Le communiqué a été envoyé à plusieurs médias Vive le foie gras http://www.cyberpresse.ca/article/20070712/CPOPINIONS02/70712012/6732/CPOPINIONS http://www.ledevoir.com/2007/07/13/150274.html En séjour au Québec, Sylvain Charlebois explique dans cet article pourquoi l’industrie du foie gras au Québec doit se doter à brève échéance d’une stratégie de communication. Spécialiste en distribution et sécurité alimentaire 2007-07-12 07:00 - Commentaire d'opinion Dr Sylvain Charlebois - Associate Professor/Professeur Agrégé Faculty of Business Administration University of Regina (CANADA) -/ LBR.ca / - Le foie gras n’a manifestement plus la cote des groupes de défense des droits des animaux au Québec. Cette semaine, le Réseau d’action global (RAG) a remis des images compromettantes de canards malades dont on arrache sauvagement la tête. Le RAG présume que ces images ont été filmées sur les lieux d’un des plus importants producteurs de foie gras du Québec et l’accuse de cruauté envers les animaux. La Sûreté du Québec a répondu expéditivement à l’appel en démarrant une enquête. De surcroît, ces dernières années, le foie gras est une cible de choix pour ces groupes à travers le monde notamment en Europe et aux États-Unis. C’est la première fois cependant qu’un producteur local est pourfendu par de telles accusations publiques. Nonobstant les images rendues publiques, le RAG estime que le gavage industriel est particulièrement répréhensible et le gouvernement canadien se doit d’intervenir. Tout compte fait, cette situation incite à réfléchir davantage sur l’éthique alimentaire inhérente à la production, distribution et commercialisation d’un produit gastronomique de choix: le foie gras. D’abord, le foie gras est un mets composé uniquement de foies de canards ou d'oies qui ont été gavés afin que leur foie devienne de taille largement supérieure à la normale. L’existence du foie gras ne date pas d’hier. Les Égyptiens gavaient plusieurs espèces d'oiseaux, dont des oies, à l'aide de granules de grains rôtis et humidifiés. La pratique s'est poursuivie sous l'Empire romain. La tradition du foie gras s'est perpétuée après la chute de l'Empire romain, notamment dans certaines régions de France, dans les communautés juives et un peu partout dans le monde jusqu’à aujourd’hui. 74 % le la production mondiale provient évidemment de la France. Bien que la contribution du Québec demeure marginale comparativement à la France, la Hongrie et la Bulgarie, le foie gras québécois est de plus en plus recherché pour sa qualité. Ce qui offusque les groupes de défense des droits des animaux est le processus d'engraissement, lors duquel on enfonce de force la nourriture, du maïs essentiellement, à l'aide d'un tube métallique dans la gorge de l'animal, plusieurs fois par jour. L’idée de gaver des oiseaux à seule fin d’obtenir un bien de consommation de luxe dérange. Même si le gavage industriel exploite un phénomène tout à fait naturel où les oiseaux migratoires stockent de la graisse dans leur foie pour survivre, la symbolique persiste et ces groupes demandent d’interdire la production de foie gras au Canada, rien de moins. En effet, le gavage est de fait illégal dans de nombreux pays, soit en Allemagne, en Argentine, en Autriche, au Danemark, en Finlande, en Irlande, en Israël, en Italie, au Luxembourg, en Norvège, aux Pays-Bas, en Pologne, en République tchèque, au Royaume-Uni, en Suède et en Suisse. La Californie a de même voté en 2004 une loi interdisant la production et la commercialisation du foie gras. À l’époque, l’adoption d’une telle loi en Californie avait fait le tour du monde puisque le foie gras est souvent associé à des événements de premier plan. Par exemple, la remise des Oscars au cinéma américain dont l’extravagance n’a absolument aucune limite, offre une tribune inouïe pour le foie gras. Le gouverneur Schwarzenegger, Arnold de son prénom, une ancienne vedette de cinéma américain faut-il le rappeler, avait alors donné raison au puissant groupe PETA (People for the Ethical Treatment of Animals). Plus que jamais, les consommateurs sont invités à mettre de l'éthique dans leur assiette. Anciennement, l’agriculture vibrait par sa simplicité, presque sans histoire. Aujourd’hui, le monde devient de plus en plus complexe et les marchés sont de plus en plus fragmentés. Nous produisons du foie gras pratiquement de la même façon depuis des millénaires. Toutefois, les perceptions ont changées. Les consommateurs craignent pour leur santé, mais se préoccupent aussi de façon simultanée du bien-être des animaux agricoles. L’agriculture doit désormais comprendre que les organisations n’ont pas le sens de l’éthique. Seuls les individus qui en font partie déterminent les politiques et les consommateurs peuvent avoir le sens de l’éthique. Dans ce contexte, il faut industrialiser les processus tout en individualisant la gestion des perceptions. Autrement dit, les aliments aux yeux des consommateurs sont devenus de véritables symboles sociaux qui véhiculent des valeurs culturelles. En marge des utilités nutritives et gourmandes, le foie gras est ficelé à des valeurs sociales et culturelles qui doivent être gérées comme il se doit. Cela revient à dire, en somme, que la dimension symbolique est très importante et que les producteurs québécois de foie gras doivent en tenir compte. La symbolique évolue avec les valeurs et l’industrie se doit de s’adapter de façon continuelle. Il va sans dire, un acte criminel envers un animal de ferme est condamnable et les instances policières se doivent d’agir. Néanmoins, le Québec offre au monde un produit de qualité à valeur ajoutée. Au sein d’une économie agricole où la transformation se fait plutôt rare, il faut défendre les destinées de cette industrie. En France, l’industrie du foie gras s’est mobilisée pour humaniser leur image et informer les consommateurs des bienfaits de la production et commercialisation d’un tel produit. La filière québécoise se doit de faire la même chose et doit faire preuve de transparence. Elle doit également faciliter le débat et le dialogue en ce qui concerne l'éthique et les droits des animaux dans des domaines liés à sa mission et ses objectifs commerciaux. Sans quoi, la filière du foie gras québécois deviendra le bouc émissaire d’un autre gouvernement opportuniste qui sombre dans les sondages populaires. ___________________________________ Dr Sylvain Charlebois Associate Professor/Professeur Agrégé Faculty of Business Administration University of Regina (CANADA) Food distribution and safety specialist/ Spécialiste en distribution et sécurité alimentaire Saskatchewan Wheat Pool Faculty Fellow in Marketing/ Fellow de la Saskatchewan Wheat Pool en Marketing 3737 Wascana Parkway Regina (Saskatchewan) S4S 0A2 t. (306) 337-2695 f. (306) 585-5361 sylvain.charlebois@uregina.ca http://www.uregina.ca/admin/faculty/Charlebois/index.html Trouvé ici: http://www.lbr.ca/article-4-6361.html
  8. Caro18

    Animaux d’élevage

    CANADA: ANIMAUX DE BOUCHERIE MOURANTS ENVOYÉS AUX ABATTOIRS L’Agence canadienne d’inspection des aliments a récemment conduit deux enquêtes nationales, non statistiques, qui se sont concentrées sur les postes d’inspection des installations d’abattage et des marchés aux enchères de tout le Canada. Une partie seulement de toutes ces installations soumises à l’inspection fédérale est représentée dans les études. Il s’agissait de se faire une idée générale de l’incidence des bovins et des porcs non ambulatoires acheminés vers les abattoirs et les marchés aux enchères soumis à l’inspection fédérale. Pendant l’année civile 2001, ces établissements ont reçu 7 382 bovins non ambulatoires, dont 89,8 % ont été classés de race laitière et 10,2 % ont été classés de boucherie. En 2001, le nombre total de bovins abattus dans les 31 abattoirs soumis à l’inspection fédérale a été de 3 235 517. Les données portent fortement à croire que la très grande majorité des bovins n’étaient pas ambulatoires à la ferme, tandis que moins de 1 % le sont devenus pendant le transport ou accidentellement. L’inspection a mené à la saisie de la carcasse de 37 % des animaux non ambulatoires de race laitière. L’enquête sur les porcs de marché et les truies de réforme s’est concentrée sur 35 postes d’inspection dans tout le Canada (22 installations d’abattage et 13 marchés aux enchères et points de rassemblement). En deux mois, en 2003, on a inspecté 3 433 823 porcs et truies, parmi lesquels 4 684 se sont révélés non ambulatoires à leur arrivée (322 truies et 4 362 porcs de marché). Après l’inspection, il a fallu saisir 1 284 animaux non ambulatoires (47 truies, 1 237 porcs de marché). On a ensuite saisi partiellement 1 508 carcasses des animaux non ambulatoires (49 truies, 1 459 porcs de marché). Cela signifie que sur dix porcs non ambulatoires reçus dans les installations susmentionnés, il a fallu saisir au moins en partie la carcasse de six d’entre eux. D’après les données, les porcs sont devenus non ambulatoires en proportions à peu près égales à la ferme et pendant le transport. À la ferme, 1 547 porcs de marché et 117 truies étaient non ambulatoires. Dans les parcs de rassemblement, 32 porcs de marché et 2 truies se sont révélés être devenus non ambulatoires ; pendant le transport, 1 236 porcs de marché et 136 truies. Outre les deux enquêtes susmentionnées, il n’y a à peu près pas de données canadiennes détaillées, si ce n’est les données se rapportant aux certificats vétérinaires délivrés conformément aux règlements de l’Ontario sur le transport du bétail non ambulatoire. En 1999, aux États-Unis, Roeber, Mies, Smith et al. (3) ont constaté que 1,5 % des bovins de race laitière et 0,6 % des bovins de boucherie reçus dans les installations auditées étaient non ambulatoires. 12,9 % des bovins de boucherie et 14,7 % de bovins de race laitière souffraient de boiterie grave. Grandin (4) a conclu que les vaches boiteuses risquent davantage de devenir non ambulatoires et il a observé qu’environ 10 % des vaches laitières représentent 90 % des « vaches couchées ». Speer, Slack et Troyer (5) mentionnent que, chaque année, aux États-Unis, 80 000 porcs de marché meurent pendant le transport. 70 % des pertes surviennent dans le camion et 30 % après l’arrivée à l’abattoir. http://www.inspection.gc.ca/francais/anima/heasan/transport/informationf.shtml
  9. En prime, ils convergent tous dans le même sens
  10. Pour écrire à ce Courriel: michel.vastel@lactualite.rogers.com Site: http://www.lactualite.com/article.jsp?content=20051011_175705_3780
  11. Québec : une enquête filmée dans la filiale d'une entreprise française provoque la stupeur Une association de défense animale1 a frappé fort au Canada. Elle vient de dévoiler les images révoltantes d'une enquête filmée menée chez le plus gros producteur canadien de foie gras, Elevages Périgord, filiale de l'entreprise française Excel Développement basée dans les Landes. Élevages Périgord a bénéficié du soutien de la SGF (holding industriel et financier mis sur pied par le gouvernement du Québec) qui détient 43 % de son capital. Le débat public autour de l'interdiction de la production de foie gras s'étale aujourd'hui dans tous les médias canadiens2. La Sûreté du Québec (services de police) a ouvert une enquête après avoir vu la vidéo. Une investigation de grande envergure L'enquêteur3 a travaillé pour Élevages Périgord pendant plus de douze semaines et a recueilli près de 100 heures d'images vidéo en caméra cachée : canards malades dont on arrache la tête alors qu'ils sont encore vivants ou violemment assommés contre les murs, canetons enfermés vivants dans des sacs plastiques ou agonisants dans des poubelles, canards jetés au travers d'un hangar et poussés à coups de pied... Des séquences difficilement soutenables auxquelles viennent s'ajouter les images classiques de la production de foie gras4 : canards gavés à la pompe pneumatique enfermés en cages individuelles, canards morts des suites du gavage, canards mal étourdis à l'abattoir, démontrant ainsi que la pratique du gavage est en elle-même un acte de cruauté. Contacter Stop Gavage pour obtenir les images vidéo ou photo en haute résolution de cette enquête. Le savoir-faire français s'exporte mal au Canada Un appel au boycott a été lancé. L'interdiction de la production de foie gras au Canada est demandée comme c'est déjà le cas en Californie et dans de nombreux pays5. La production de foie gras au Canada n'a pas plus de 15 ans. Comme ailleurs en Amérique, c'est la filière française qui s'y est implantée. Emmanuel Nassans, le directeur général d'Elevages Périgord est originaire du Sud Ouest. Le président d'Elevages Périgord est également président d'Excel Développement en France. Les canes et canards reproducteurs utilisés chez Elevages Périgord sont expédiés par avion depuis la France. La filière foie gras est donc fortement impliquée à l'international quand il s'agit de défendre ses intérêts. Autre exemple, Rougié (Euralis) s'est associé à un producteur des Etats-Unis pour créer l'Artisan Farmers Alliance, organisation de lobbying américaine pour lutter contre le mouvement anti-gavage. http://www.stopgavage.com/actu_elevage_perigord.php
  12. Canards violentés Rien à voir avec le gavage selon Le Canard Goulu Le Journal de Québec 12/07/2007 08h20 La co-propriétaire du Canard Goulu, Marie-Josée Garneau, est catégorique, les images de canards violentés largement diffusées sur les différentes chaînes de télévision n'ont rien à voir avec le gavage et la façon d'élever les canards destinés à l'abattage. Elle n'aime pas voir ce genre de chose à la télévision. «N'importe quelle personne à ma place n'aimerait pas ça. Assommer un animal sur le béton et le déplacer à coups de pied ça n'a rien à voir avec le gavage ou la production de canards», explique la femme qui produit du foie gras de canard depuis 10 ans. Même si l'entreprise Périgord, chez qui les images auraient été tournées, est l'un de ses compétiteurs, Mme Garneau se porte à sa défense. «Je suis convaincu que ce que nous avons vu ne sont pas des pratiques courantes. Je vous garantis qu'une entreprise qui travaille tout croche où les employés maltraitent les animaux de cette façon ne peut pas survivre. Périgord est une entreprise qui va bien», ajoute Marie-Josée Garneau. Elle ajoute que son compétiteur a probablement été malchanceux en tombant sur un employé sans jugement. Abattage L'abattage des animaux est sous juridiction provinciale. Le Canard Goulu est l'une des rares entreprises artisanales à posséder son abattoir. À chaque fois qu'on y abat des bêtes, un vétérinaire et un inspecteur du gouvernement sont présents. «On abat une fois par semaine. Le vétérinaire et l'inspecteur font une inspection des animaux avant et pendant l'abattage. Ils s'assurent qu'ils n'ont pas été maltraités et vérifient leur état de santé. Élevage Périgord n'échappe pas à cela. Ce sont les mêmes règles», ajoute Mme Garneau. La procédure est assez simple. Les canards reçoivent une décharge électrique qui les rend inconscients. On les vide ensuite de leur sang jusqu'à leur mort. «La loi nous oblige à les insensibiliser avant de les tuer», conclut Marie-Josée Garneau. http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2007/07/20070712-082004.html
  13. Caro18

    Réactions - foie gras

    Vive les Québecois Foie gras: la bataille est ailleurs. P.S voir les commentaires http://blogues.cyberpresse.ca/lortie/?p=170 Vive le foie gras http://www.cyberpresse.ca/article/20070712/CPOPINIONS02/70712012/6732/CPOPINIONS La souffrance de l'animal d'élevage Mais ces bêtes, ne l'oublions pas, existent uniquement pour qu'on leur prenne leur lait, leur oeufs ou leur viande. Autrement, elles n'auraient jamais vu le jour. http://www.cyberpresse.ca/article/20070712/CPOPINIONS03/707120546/6742/CPOPINIONS
  14. Caro18

    Animaux d’élevage

    Tout ce beau monde ne fait rien pour les animaux de boucherie Juste du bla bla de bureaucratie Infrastructure canadienne de protection des animaux d’élevage L’« Infrastructure nationale de protection des animaux d’élevage » est un réseau d’organismes canadiens responsables qui s’occupent des questions relatives à la protection des animaux. Le vaste éventail des questions qui se rattachent à la protection des animaux d’élevage englobe notamment les pratiques d’élevage intensif, le transport des animaux sans cruauté, leur abattage sans cruauté, la biotechnologie et d’autres encore. Résumé des normes législatives et volontaires canadiennes qui régissent la protection des animaux A. Transport sans cruauté de tous les animaux au canada Titre de la Loi : Loi sur la santé des animaux (fédérale) La partie XII du Règlement sur la santé des animaux définit les conditions nécessaires au transport sans cruauté de tous les animaux au Canada, peu importe le moyen utilisé. Le Règlement : interdit l’entassement, le transport d’animaux incompatibles dans la même stalle et le transport d’animaux qui ne sont pas en mesure de voyager; précise les conditions nécessaires de chargement et de déchargement des animaux, les régimes d’alimentation et d’abreuvement, les temps de parcours maximums, les temps de repos minimums, les exigences relatives à la litière, et stipule par ailleurs que les animaux dont l’état les rend inaptes au transport en cours de voyage ne doivent pas être transportés au-delà de l’endroit le plus proche où ils peuvent recevoir des soins. L’Agence canadienne d’inspection des aliments veille à l’application du Règlement en procédant à des inspections courantes, à des inspections inopinées sur place et elle intervient en cas de rapport de non-conformité. B. Manipulation et abattage sans cruauté des animaux destinés à l’alimentation Titre de la Loi : Loi sur l’inspection des viandes (fédérale) Les articles 61 à 80 du Règlement sur l’inspection des viandes établissent des normes pour la manipulation et l’abattage sans cruauté des animaux destinés à l’alimentation dans les établissements d’abattage assujettis à des inspections fédérales. Les inspecteurs de l’Agence canadienne d'inspection des aliments délégués dans chaque établissement agréé par le gouvernement fédéral surveillent la manipulation et l’abattage des animaux destinés à l’alimentation. C. Prévention de la cruauté envers les animaux Titre de la Loi : Code criminel du Canada (fédéral) Aux termes de l’article 446 du Code criminel, il est interdit de provoquer volontairement la souffrance d’un animal en le négligeant ou en lui infligeant une douleur ou une blessure. Les plaintes de non-conformité sont analysées par la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux ou par des agents de police. D. Législation provinciale régissant la protection des animaux Chaque province est dotée de ses propres lois en ce qui concerne la protection des animaux. Les lois et règlements provinciaux sont souvent de portée générale et ils ciblent tout un éventail de paramètres relatifs à la protection des animaux. Certaines provinces sont dotées de règlements qui régissent des paramètres particuliers ou qui ont trait à certaines espèces. E. Codes nationaux de pratiques volontaires recommandées régissant le soin et la manipulation des animaux d’élevage Les Codes de pratiques nationaux recommandées pour le soin et la manipulation des animaux de ferme, rédigés sous les auspices du Conseil de recherches agroalimentaires du Canada par des associations de producteurs, contiennent des recommandations volontaires qui touchent la protection des animaux d’élevage (depuis 2005, ces codes font partie des responsabilités du conseil national pour le soin des animaux d'élevage). Ces codes sont analysés par des comités composés de producteurs, de vétérinaires, de transporteurs, de chercheurs, d’entreprises de transformation, d’organismes de réglementation publics et de représentants d’organismes de soins et de protection des animaux. Ces codes précisent les normes de soins et de manipulation sans cruauté des animaux d’élevage à toutes les étapes de leur vie, depuis leur lieu d’origine jusqu’à l’abattage. Il existe des codes de pratiques recommandées pour les poulettes, les poules pondeuses, les volailles de réforme, les poulets, les dindons et les oiseaux reproducteurs, les visons d’élevage, les renards d’élevage, les bovins laitiers, les bovins de boucherie, les porcs, les ovins, les cervidés d’élevage, les veaux de boucherie, les caprins, les bisons et les chevaux. On trouvera le Code de pratiques recommandées pour le soin et la manipulation des animaux de ferme durant le transport ici. F. Organismes non gouvernementaux de protection des animaux De nombreux organismes non gouvernementaux canadiens ont pour mandat de protéger les animaux et ils assument diverses responsabilités dans ce sens. Les rôles des principaux organismes sont décrits ci-après. Le Conseil national pour le soin des animaux d'élevage (CNSAE) a été établi en 2005. Il est composé de représentants des 11 catégories suivantes d'intervenants : (1) groupes nationaux de producteurs, (2) secteur du détail et de la distribution, (3) secteur de la restauration et des services alimentaires, (4) secteur de la transformation, (5) conseils provinciaux pour le soin des animaux d'élevage, (6) secteur du transport et des soins des animaux, (7) profession vétérinaire, ( collectivité des universitaires et des chercheurs sur le bien-être des animaux, (9) gouvernements fédéral et provinciaux, (10) secteur des organisations vouées à la protection des animaux, (11) associations générales du secteur agricole. Les objectifs du CNSAE sont a) de faciliter la collaboration entre tous ses membres en ce qui concerne les questions relatives aux soins des animaux d'élevage, b) de favoriser le partage d'information et la communication et c) de surveiller les tendances et initiatives sur les marchés intérieur et international. Le CNSAE a établi des lignes directrices pour les Codes de pratiques et modifié le processus d'élaboration des Codes. Ce dernier inclut dorénavant un examen des plus récentes données scientifiques sur les soins des animaux par un comité de scientifiques qui formulera des recommandations. Le Comité chargé de l'élaboration des Codes sera responsable de leur rédaction à la lumière des recommandations formulées par le Comité de scientifiques et conformément aux lignes directrices à cet égard. Conseil de recherches agroalimentaires du Canada Par l’entremise de son Comité d’experts sur le bien-être et le comportement des animaux de ferme, le Conseil de recherches agroalimentaires du Canada détermine les besoins de recherches sur la protection des animaux, il les classe (par ordre de priorité) selon leur importance et leurs répercussions prévues, et préconise les mesures et les recherches qui s’imposent pour résoudre les questions d’actualité. Il se compose de représentants d’associations nationales d’éleveurs et d’autres entreprises de production animale, de représentants d’organismes nationaux de protection des animaux, d’organismes professionnels et gouvernementaux pertinents et de membres nommés en raison de leurs compétences dans le domaine de la protection des animaux d’élevage, de l’éthologie des animaux d’élevage ou les deux. Le Conseil de recherches agroalimentaires du Canada fournit des directives sur la coordination et la constitution de réseaux de recherches et de transfert de technologies et il sert de catalyseur à l’établissement des priorités de recherche au Canada. Fédération des sociétés canadiennes d’assistance aux animaux La Fédération des sociétés canadiennes d'assistance aux animaux est un organisme de bienfaisance national enregistré. Elle représente, en plus d’être leur porte-parole, plus d’une centaine de sociétés provinciales et régionales de protection des animaux, de même que la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux et ses succursales, en plus des membres de ces sociétés, dont le nombre dépasse quatre cent mille. La Fédération des sociétés canadiennes d'assistance aux animaux collabore avec les pouvoirs publics, l’industrie, les groupes de défense des droits des animaux et le public afin d’améliorer la situation de tous les animaux, notamment le bétail, la faune, les animaux d’expérimentation et les animaux domestiques. Association canadienne des médecins vétérinaires L’Association canadienne des médecins vétérinaires a inscrit la protection des animaux au nombre de ses trois grandes priorités. Son Comité sur le bien-être des animaux examine tout un éventail de questions relatives à la protection des animaux et à l’engagement des vétérinaires. L’Association canadienne des médecins vétérinaires a publié une série d’ exposés sur la protection des animaux (p. ex. les animaux non ambulatoires, l’euthanasie, l’électro-immobilisation, etc.) de même que des exposés généraux sur un certain nombre de sujets d’actualité (comme la médecine dentaire chez les animaux, les produits biologiques, les implants de micropuces). Conseil canadien de protection des animaux Le Conseil canadien de protection des animaux est l’organisme national chargé de surveiller les soins donnés aux animaux utilisés pour la science au Canada, de même que l’usage qui en est fait. Le Conseil canadien de protection des animaux fixe et maintient des normes scientifiques régissant le bien-être physique et psychologique des animaux. Il évalue, au moins tous les trois ans, les établissements qui utilisent des animaux pour la recherche, l’enseignement et l’expérimentation, et effectue des visites de suivi au besoin. Les établissements évalués par le Conseil canadien de protection des animaux qui se conforment aux lignes directrices et aux méthodes du Conseil se voient attribuer un certificat de bonnes pratiques animales. Ce certificat atteste clairement que l’établissement satisfait aux normes reconnues qui régissent les animaux utilisés pour la recherche, l’enseignement et l’expérimentation, peu importe qu’il s’agisse d’animaux de laboratoire, ou d’élevage ou d’animaux sauvages. Soin des animaux de fermes Présent en Ontario, Manitoba, Saskatchewan, et Alberta, ces organismes de protection des animaux d’élevage dirigé par l’industrie s’occupent de promouvoir les soins responsables et sans cruauté des animaux dans les entreprises d’élevage et d’alimentation. Ils prodiguent entre autres des conseils aux producteurs et signalent les cas graves de négligence ou de sévices aux autorités compétentes, comme la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux ou l’Agence canadienne d’inspection des aliments. Ces organismes fournissent également des informations et dispensent des séances de formation et, par ses activités dynamiques, ils opèrent des modifications dans les lois et les méthodes qui régissent le traitement des animaux d’élevage. De plus, ces groupes participent à l’appui et à la mise en oeuvre de recherches sur le bien-être des animaux d’élevage. Comité permanent de la manipulation sans cruauté des animaux la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux de Colombie-Britannique, le ministère de l’Agriculture de Colombie-Britannique, la Insurance Corporation of British Columbia, la Section du bétail de la Gendarmerie Royal du Canada et l’Agence canadienne d’inspection des aliments siègent au sein de ce comité, dont les objectifs sont de resserrer les rapports et la collaboration entre les différents organismes et de discuter, d’évaluer et de traiter des questions d’actualité et nouvelles qui ont un rapport avec la protection des animaux en Colombie-Britannique. Groupe de travail de l’Ontario sur le transport sans cruauté La Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux de l’Ontario, le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation de l’Ontario, l’Agence canadienne d'inspection des aliments, l’Ontario Farm Animal Council, une association d’éleveurs, une entreprise de transport du bétail et une entreprise de transformation des viandes font partie de ce groupe de travail. Les objectifs de ce groupe sont de cerner les problèmes relatifs au transport sans cruauté des animaux d’élevage et de collaborer à ce sujet. Canadian Farm Animal Care Trust Cet organisme se voue à l’élaboration de méthodes d’élevage et d’abattage sans cruauté des animaux d’élevage destinés à l’alimentation humaine, et il s’occupe de sensibiliser le public canadien aux systèmes de production animale actuels et de remplacement. Animal Livestock Protection System Ce groupe de création récente coordonne les activités de l’Alberta Society for the Prevention of Cruelty to Animals, de la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux de l’Alberta et du ministère de l’Agriculture de cette province pour assurer le traitement sans cruauté des animaux. La Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux et la Gendarmerie royale du Canada sont responsables de l’application des mesures décrétées par l’Animal Livestock Protection System. Animal Welfare Foundation of Canada Les objectifs de cet organisme sont : a) de promouvoir l’éducation et la recherche sur des problèmes précis liés à la protection des animaux; b) de prévenir la cruauté et d’encourager le respect envers tous les animaux; c) d’encourager et d’appuyer l’application des lois adoptées pour la protection des animaux; d) d’appuyer en général les objectifs des sociétés provinciales de protection des animaux; e) d’aider à l’établissement, à la mise au point et à l’appui de tout organisme dont les objectifs sont semblables ou complémentaires des siens. Établissement d’enseignement et de recherche l'Université de Guelph, l' Université de la Colombie Britanique, et l' Université de l'Ile-du-Prince-Edward sont toutes dotées de centres/programmes sur la protection des animaux. Ces centres font de la recherche et de l’éducation sur la protection des animaux, ils forment des étudiants de 2e/3e cycle pour qu’ils mènent des recherches sur le bien-être des animaux et prodiguent des conseils et des directives intellectuelles sur les questions d’actualité aux usagers des animaux et au public. -------------------------------------------------------------------------------- Veuillez noter : Les liens ci-dessous peuvent ne pas être disponible en français LOIS CANADIENNES RÉGISSANT LA PROTECTION DES ANIMAUX D’ÉLEVAGE Poursuivre la lecture: http://www.inspection.gc.ca/francais/anima/heasan/transport/infrastructuref.shtml
  15. Pour protester vous pouvez écrire aux personnes suivantes: Centre québécois d'inspection des aliments et de santé animale (CQIASA) 200, chemin Ste-Foy Québec (Québec) G1R 4X6 Tél. : 1 800 463-5023 Télec. : 418 380-2169 dga@mapaq.gouv.qc.ca Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation Laurent Lessard 200, chemin Sainte-Foy 12e étage Québec (Québec) G1R4X6 Téléphone : 418 380-2525 Télécopieur : 418 380-2184 ministre.mapaq@mapaq.gouv.qc.ca L’honorable Chuck Strahl Ministre Agriculture et agroalimentaire Canada Édifice Sir John Carling 930, avenue Carling Ottawa (Ontario) K1A 0C5 No tél. : (613) 759-1059 No téléc. : ((613) 759-1081 Courriel : ottawa@chuckstrahl.com Élevages Périgord Contact: Emmanuel Nassans 228 rue Principale St-Louis-Gonzague, QC , J0S 1T0 Phone: 450-377-8766 commandes@perigord.ca La Société générale de financement du Québec (SGF) INFORMATIONS GÉNÉRALES Téléphone : 514 876-9290 Télécopieur : 514 395-8055 info@sgfqc.com Agence canadienne d'inspection des aliments Formulaire: http://www.inspection.gc.ca/francais/tools/feedback/commenf.shtml Les deux exploitants qui soutiennent les élevages Périgord MARIPOSA Ian Walker Suzanne Lavoie 6468 ch. comté / County Rd. 17 Plantagenet (Ontario) K0B 1LO CANADA Courriel : iwalker@mariposa-duck.on.ca Alain Dansereau, propriétaire de L'Oie Naudière http://www.loienaudiere.com/index.html info@loienaudiere.com Engagez-vous! Six choses que vous pouvez faire pour mettre un terme à la cruauté du foie gras 1. N’achetez pas de foie gras! Le foie gras est commercialisé comme un aliment de choix, mais il s’agit du produit d’une cruauté extrême envers les animaux. Refusez d’acheter des produits de foie gras et incitez tous vos amis et les membres de votre famille à faire de même. 2. Dites aux dirigeants de tous les supermarchés d’arrêter de vendre du foie gras! La façon la plus rapide d’arrêter la production de foie gras est de couper les points de vente. Les supermarchés ont votre fidélité, à titre de client, à cœur, alors veuillez communiquer avec les dirigeants des chaînes de supermarchés qui vendent du foie gras : Loblaw possède les chaînes québécoises Maxi et Provigo. Celles-ci vendent toutes deux du foie gras. De plus, les magasins Loblaw en Ontario indiquent qu’ils vendent parfois du foie gras. Veuillez communiquer avec le chef de l’exploitation de Loblaw, M. Dalton Phillips, et dites-lui que vous ne ferez pas vos emplettes dans les supermarchés appartenant à Loblaw tant et aussi longtemps qu’il ne donnera pas la directive aux entreprises qu’il dirige d’arrêter de vendre du foie gras. M. Dalton Phillips, chef de l’exploitation Les compagnies Loblaw limitée 1 President's Choice Way Brampton (Ontario) L6Y 5S5 No tél. : (905) 861-2192 No téléc. : (905) 861-2602 Courriel : customer_service@Weston.ca Métro possède les magasins québécois portant la bannière Métro et Marché Richelieu. Ceux-ci vendent tous deux du foie gras. Veuillez communiquer avec le PDG de Métro, M. Pierre Lessard, et dites-lui poliment que vous ne ferez pas vos emplettes dans les supermarchés Métro tant et aussi longtemps qu’il ne donnera pas la directive aux entreprises qu’il dirige d’arrêter de vendre du foie gras. M. Pierre H. Lessard, PDG Métro inc. 11011, boul. Maurice-Duplessis Montréal (Québec) H1C 1V6 No tél. : (514) 643-1000 No téléc. : (514) 643-1215 Service à la clientèle : 1-800-561-8429 Courriel : consommateurs@metro.ca Sobeys possède les magasins québécois portant la bannière IGA. Ceux-ci vendent du foie gras. Veuillez communiquer avec le PDG de Sobeys, M. Bill McEwan, et dites-lui poliment que vous ne ferez pas vos emplettes dans les supermarchés appartenant à Sobeys tant et aussi longtemps qu’il ne donnera pas la directive aux entreprises qu’il dirige d’arrêter de vendre du foie gras. M. Bill McEwan, PDG Sobeys inc. 115, rue King Stellarton (Nouvelle-Écosse) BOK 1S0 No tél. : (902) 752-8371, poste 2132 Vous pouvez également envoyer des courriels à Bill McEwan à l’attention de son adjointe : barbara.curry@sobeys.com 3. Ne fréquentez pas les restaurants qui servent du foie gras! Si vous voyez du foie gras sur le menu d’un restaurant, ne leur offrez pas votre clientèle! Et prenez bien soin d’expliquer vos motifs aux propriétaires de ces restaurants. Parlez-leur de ce site Web de manière à ce qu’ils puissent être éclairés au sujet des origines cruelles du produit qu’ils vendent. 4. Dites au ministre de l’agriculture du Canada d’interdire la production de foie gras! Veuillez communiquer avec le ministre d’Agriculture et agroalimentaire Canada, Chuck Strahl, et dites-lui que vous voulez que le Canada interdise la production de foie gras. En agissant de la sorte, le Canada se joindrait à l’état d’Israël, l’Italie, l’Autriche, la République tchèque, le Danemark, la Finlande, l’Allemagne, le Luxembourg, la Norvège, la Pologne, les Pays-Bas, la Suède, la Suisse et le Royaume-Uni qui interdisent tous la production de foie gras. L’honorable Chuck Strahl Ministre Agriculture et agroalimentaire Canada Édifice Sir John Carling 930, avenue Carling Ottawa (Ontario) K1A 0C5 No tél. : (613) 759-1059 No téléc. : ((613) 759-1081 Courriel : ottawa@chuckstrahl.com 5. Signalez-nous les entreprises qui vendent du foie gras! Lorsque vous apercevez du foie gras dans un magasin, un restaurant ou un supermarché de votre localité, faites-nous le savoir. Envoyez un courriel au Réseau action globale à l’adresse suivante : contact@gan.ca, pour nous informer au sujet des entreprises qui vendent du foie gras. http://www.gan.ca/campagnes/foie+gras/engagez-vous%21.fr.html
  16. Il n'y a aucune loi de protection pour les animaux de ferme, les exploitants doivent seulement suivre un code de pratiques CODES DE PRATIQUES POUR LE SOIN ET LA MANIPULATION DES ANIMAUX DE FERME http://www.carc-crac.ca/french/codes_de_pratique/index.htm Si les faits vont devant la justice Bien qu'ils peuvent certainement servir de documents d'appoint important pour un conseil d'expert ou dans le cadre d'un témoignage devant une cour de justice, les codes ne devraient pas être utilisés seuls pour déterminer la conformité ou la légalité d'une exploitation particulière. Ce sont des lignes directrices et non pas des normes obligatoires. Les agriculteurs ne sont même pas obligés de suivre les codes, le tout se fait sur une base volontaire! Sécurité et bien-être animal http://www.mapaq.gouv.qc.ca/Fr/Productions/santeanimale/securitebienetre/securitebienetre.htm
  17. Les journalistes n'ont pas questionner le directeur ou le gouvernement sur la présence d'un vétérinaire de l'Agence canadienne d'inspection des aliments, "celui qu'on voit rigoler sur la vidéo en présence de l'abatteur de l'abattoir Périgord, ce vétérinaire a été témoin des violations et n'a rien fait à part: rire et discuter pendant la saignée des animaux non insensibilisés à l'abattage".
  18. Conférence de presse de Périgord à 18 h sur LCN
  19. À PROPOS DE MARIPOSA http://www.mariposa-duck.on.ca/index.htm Pour écrire à Madame Lavoie: iwalker@mariposa-duck.on.ca
  20. Le foie gras est dangereux Le mets pourrait jouer un rôle dans le développement de maladies telles qu'Alzheimer ou le diabète Pauvre Madame Lavoie LONDRES Que le foie gras soit mauvais pour le canard propriétaire de l'organe malmené, on le savait déjà depuis longtemps. Mais voilà que l'hebdomadaire The Sunday Times révèle que ce mets de luxe est également nocif pour les gourmets qui le dégustent. En effet, des maladies comme celle d'Alzheimer, le diabète 2 et l'arthrite seraient provoquées, ou en tout cas favorisées, par le foie gras. Le foie gras, qui provient du foie de canards ou d'oies gavés de force de nourriture grasse de manière à augmenter le volume de l'organe, était déjà connu des anciens Égyptiens. Il reste aujourd'hui, pour certaines personnes, un mets très cher et très apprécié tandis que, pour les défenseurs des animaux, il constitue l'un des exemples les plus condamnables de la manière dont les hommes traitent les animaux. Une nouvelle étude américaine des protéines "amyloïde" contenues dans le foie gras démontre que ces protéines sont très dangereuses pour le consommateur lui-même, surtout pour ceux dont certains membres de la famille souffrent de diabète ou d'Alzheimer. Les chercheurs ont découvert que les souris qui reçoivent du foie gras à manger commencent à développer des protéines "amyloïdes" dans différents organes où ces protéines ne se trouvent normalement pas. "De ce fait, il n'est pas conseillé aux personnes qui appartiennent à un groupe de personnes qui risquent d'être atteintes de maladies provoquées ou facilitées par les amyloïdes", a écrit le responsable de l'étude de l'université du Tennessee. Cela se produit lorsque des protéines solubles changent de forme et s'agglutinent, ce qui entraîne un mauvais fonctionnement de l'organe. http://www.dhnet.be/dhjournal/archives_det.phtml?id=725888
  21. Élevages Périgord Des images cruelles Nancy Beaulieu Le Journal de Montréal 11/07/2007 06h15 - Mise à jour 11/07/2007 09h12 Les images des canards destinés à la production de foie gras des Élevages Périgord filmées en cachette et obtenues par Le Journal de Montréal risquent d'en choquer plusieurs. «Le fait de tordre la tête des canards et de les assommer sur du béton est pratique courante à cette ferme», affirme Andrew Plumbly, du Réseau Action Globale (RAG). Le groupe de défense des animaux de Montréal a infiltré la ferme de Saint-Louis-de- Gonzague, près de Valleyfield. Son but était de dénoncer les pratiques d'élevage et d'abattage qui ont cours, selon lui, dans l'industrie du foie gras. Selon M. Plumbly, les employés de la ferme agissent ainsi lorsqu'ils estiment qu'un canard est trop petit ou malade. Cette pratique va à l'encontre de la loi, selon le RAG. Celle-ci interdit de faire souffrir les animaux de manière injustifiée. «Ils sont supposés rendre inconscient un animal avant de le tuer», explique M. Plumbly. Le groupe a déposé une plainte à la Sûreté du Québec. Une enquête serait en cours. Abattus à froid Abattre les canards matures en les égorgeant alors qu'ils sont toujours conscients constitue également un acte répréhensible. Le RAG dit avoir observé cette pratique aux Élevages Périgord. La loi oblige les abattoirs à donner un choc électrique aux volailles avant de les saigner. Pourtant, l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) avait déployé un inspecteur et un vétérinaire en permanence à cette ferme afin de s'assurer que les normes d'abattage sont respectées. «Je ne peux vous certifier qu'ils surveillaient en permanence l'étape de l'égorgement comme tel», a expliqué Marc Richard, de l'ACIA. Aux bureaux d'Élevages Périgord, on tente de se faire rassurant. On affirme que les canards abattus à mains nues par les employés de la ferme étaient malades et qu'il y a toujours de la souffrance dans la mort. Aussi, selon ce plus important producteur de foie gras du Québec, certaines des images diffusées à la télévision mardi montraient des animaux qui ne leur appartenaient pas. «Ils ont certainement utilisé des photos d'archives», a déclaré une porte-parole de la compagnie. Le propriétaire de l'entreprise, Emmanuel Nassans, n'était pas disponible pour accorder une entrevue. http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2007/07/20070711-061501.html
  22. Mise à jour: 11/07/2007 10h34 En vidéo, regardez les nouvelles images diffusées par le Réseau d'action globale au cours de sa conférence de presse ( cliquez à droite de la page suivante http://lcn.canoe.com/lcn/infos/regional/archives/2007/07/20070711-103416.html pour voir la vidéo ) Canard maltraités Le Réseau d'Action globale appelle au boycott Le Réseau Action Globale, le groupe à l'origine des dénonciations des actes de cruauté chez Élevages Périgord, demande à la population de boycotter le foie gras au Québec. En conférence de presse, l'organisme a montré de nouvelles images-chocs tournées dans les locaux de l'entreprise de Saint-Louis-Gonzague. On y voit des employés lancer des canards à bout de bras, leur arracher la tête, les saigner alors qu'ils sont encore vivants ou les laisser étouffer dans des sacs de plastique. Le Réseau Action Globale estime qu'il faut faire cesser immédiatement ces pratiques. Le groupe de défense des animaux a infiltré Élevages Périgord pendant 12 semaines et a réussi a accumuler près de 70 heures d'enregistrement. Des accusations pourraient être portées contre les auteurs de ces actes car des plaintes formelles ont été déposées à la Sûreté du Québec. http://lcn.canoe.com/lcn/infos/regional/archives/2007/07/20070711-103416.html
  23. Le mercredi 11 juillet 2007 La ferme Mariposa continuera de vendre des produits Périgord Dominique La Haye Le Droit Le coup d'éclat d'un groupe de défense des droits des animaux plongeant dans l'embarras le producteur de foie gras québécois les Élevages Périgord se répercute jusqu'à la Ferme Mariposa dans l'Est ontarien, principale représentante pour Ottawa-Gatineau de l'entreprise ciblée. "Ça fait plus de 10 ans que je revends les produits des Élevages Périgord, y compris du foie gras et j'en suis fière. Je vais continuer de porter l'étiquette Périgord", lance la copropriétaire de la Ferme Mariposa près de Plantagenet, Suzanne Lavoie. Avec son conjoint Ian Walker, Mme Lavoie élève le canard sur sa ferme depuis 1980 et revend depuis moins longtemps les produits Périgord à quelque 200 clients d'Ottawa et de Gatineau, essentiellement des restaurateurs. Dans un article paru hier dans La Presse, le Réseau d'action global (RAG) disait avoir infiltré le plus important producteur de foie gras au Québec situé près de Valleyfield. Le groupe de défense des animaux devrait présenter aujourd'hui au public des images troublantes de canards malades dont on arrache la tête alors qu'ils sont toujours vivants. "Ça m'affecte et ça m'attriste pour le monde de l'agriculture, ce genre de sortie, ajoute Mme Lavoie, car les producteurs n'ont aucun intérêt à être cruels envers les animaux. Ce sont nos gagne-pains. "Si on veut s'en prendre à la production de foie gras, alors il faudrait revisiter l'ensemble du secteur agricole, soit la production laitière intensive et la production de porc et de volaille." Aux États-Unis, où des campagnes contre la pratique sont plus fréquentes, des gouvernements ont déjà adopté des lois interdisant la production ou le commerce du foie gras. Au Canada, la loi fédérale interdit que l'on inflige une souffrance injustifiée à des animaux. Mme Lavoie rappelle que le gavage se fait instinctivement chez le canard. "Depuis toujours, le canard fait ses réserves de gras à l'automne avant de migrer pour pouvoir effectuer un long voyage. Les procédés utilisés par les agriculteurs pour engraisser le foie du canard est semblable et ne pourrait pas être recréé sur d'autres animaux." Mme Lavoie qualifie de sensationnalisme les dénonciations du RAG, convaincu qu'il s'agit là d'un cas isolé. "Les canards sont abattus dans un abattoir fédéral, donc en présence d'un inspecteur d'Ottawa qui suit les normes fédérales." Trouvé ici: http://www.cyberpresse.ca/article/20070711/CPACTUALITES/707110352/6790/CPDROIT
  24. Le mercredi 11 juillet 2007 Les Élevages Périgord sous enquête Stéphanie Bérubé La Presse La Sûreté du Québec a ouvert une enquête sur les présumés cas de cruauté envers les animaux aux Élevages Périgord, une production de canards spécialisée en foie gras. Le groupe militant pour les droits des animaux Réseau d'action global (RAG) a remis à la police des images tournées clandestinement sur la ferme, montrant ce qu'il juge être des actes illégaux, parce que faisant preuve de cruauté injustifiée envers les bêtes. « La première chose que nous devons faire, c'est vérifier que le tournage a bel et bien eu lieu sur cette ferme «, confirme l'agent Ronald McInnis, porte-parole de la SQ. Les enquêteurs ont déjà interrogé des représentants du RAG, tard lundi soir. Ils doivent aussi avoir la version des gens d'Élevages Périgord, une ferme qui a un dossier sans tache. Au ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec (MAPAQ), on estime qu'il y a une douzaine de signalements de cas de mauvais traitements sur des fermes, chaque année. « La plupart du temps, nous apportons du soutien au producteur parce que c'est un cas de détresse «, explique Hélène Trépanier, du MAPAQ. Dans de rares occasions où il y a violation du code criminel, le dossier est transmis à la police, explique-t-elle. Ce matin, le RAG va rendre publiques toutes les images tournées aux Élevages Périgord. Le groupe est d'abord et avant tout férocement opposé au gavage des canards. Leur enquête a été menée conjointement avec Farm Sanctuary, puissant organisme américain qui milite aussi pour la défense des droits des animaux. Trouvé ici: http://www.cyberpresse.ca/article/20070711/CPACTUALITES/707110502/1019/CPACTUALITES
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