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Caro18

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  1. La CCE rejette la communication relative à la chasse aux phoques Montréal, 11/09/2007 – Le 6 septembre 2007, le Secrétariat de la Commission de Coopération environnementale (CCE) a rendu une décision en vertu de laquelle il met fin au processus d’examen de la communication SEM-07-003 (Chasse aux phoques). Les auteurs de la communication alléguaient que le gouvernement du Canada omet d’assurer l’application efficace de sa législation en rapport avec la chasse au phoque du Groenland qui a cours tous les printemps dans le golfe du Saint-Laurent et le long de la côte de Terre-Neuve-et-Labrador, au Canada. La communication a été déposée auprès du Secrétariat le 26 juin 2007, par Centro Mexicano de Derecho Ambiental A.C. (CEMDA) et Conservación de Mamíferos Marinos de México (COMARINO). Le 13 juillet, le Secrétariat a déterminé que la communication ne répondait pas à tous les critères d’admissibilité énoncés au paragraphe 14(1) de l’Accord nord-américain de coopération dans le domaine de l’environnement (ANACDE), et il a donné 30 jours au CEMDA et à COMARINO pour présenter une communication révisée. Le 23 août, CEMDA, COMARINO et Humane Society International (les auteurs) ont déposé auprès du Secrétariat une communication révisée dans laquelle ils allèguent que le Canada omet d’assurer l’application efficace des articles 8, 28 et 29 du Règlement sur les mammifères marins adopté en vertu de la Loi sur les pêches (fédérale), qui prescrivent les méthodes et les instruments à utiliser pour tuer des phoques. Le 6 septembre, le Secrétariat a déterminé qu’il ne pouvait pas examiner la communication révisée conformément au paragraphe 14(1) de l’ANACDE parce qu’elle n’allègue pas une omission dans l’application efficace d’une loi de l’environnement, et il a avisé les auteurs qu’il mettait fin au processus d’examen de la communication SEM-07-003 (Chasse aux phoques). La CCE a été créée aux termes de l’ANACDE pour aborder, dans une perspective continentale, les questions environnementales présentant un intérêt pour l'Amérique du Nord et, en particulier, les questions que pose la libéralisation des échanges. Le Conseil, qui constitue l'organe directeur de la CCE, se compose des plus hauts responsables de l'environnement du Canada, du Mexique et des États-Unis. Le processus de communications de citoyens de la CCE ( Commission de Coopération Environnementale ) permet au public de jouer un rôle actif en matière d'application des lois de l'environnement. En vertu de l'article 14 de l'ANACDE, toute personne ou toute organisation non gouvernementale peut présenter au Secrétariat une communication dans laquelle elle allègue qu'une Partie à l'Accord de libre-échange nord-américain omet d'assurer l'application efficace de sa législation de l'environnement. Après avoir examiné la communication, le Secrétariat peut faire enquête sur le sujet et présenter ses constatations dans un dossier factuel. Pour obtenir de plus amples renseignements, prière de consulter la page Web de la CCE http://www.cec.org/citizen/index.cfm?varlan=francais sur les communications de citoyens. http://www.cec.org/news/details/index.cfm?varlan=francais&ID=2774
  2. Végétariens centenaires ! Lundi 13 Août 2007 dans son Journal télévisé de 20h00, France-2 a diffusé un petit reportage sur les habitants de la communauté Adventiste (végétarienne) de Loma-Linda en Californie. Il est scientifiquement reconnu que les habitants de cette communauté vivent plus vieux qu'ailleurs. Leur durée de vie est en fait exceptionnelle. Il faut voir cet intéressant reportage qui comprend entre autres l'interview de Marge, dynamique mamy de 102 ans, qui précise haut et fort être végétarienne. Vidéo du reportage, cliquer : http://jt.france2.fr/20h/index-fr.php?jt=3 puis : - soit avancer le petit curseur vert de la video sur 20h 15m 01s. - soit cliquer dans le cadre "lecture sujet " sur le titre : "Les secrets de la longévité" ASSOCIATION VÉGÉTARIENNE DE FRANCE - 13 Août 2007
  3. Museau à cœur Fête et foire d’adoption d’animaux de compagnie du Village de Beaurepaire Le 22 septembre 2007 Montréal - Enfin ! La concrétisation d’un rêve à Beaurepaire : une fête et une foire d’adoption pour les animaux de compagnie Chaque semaine, les médias rapportent des histoires d’horreur de cruauté, d’exploitation et d’abus à l’égard des animaux de compagnie au Québec. Dans le but de contrer un tel fléau, les organismes d’aide à la sauvegarde des animaux, les commerçants du Village de Beaurepaire, ainsi que la Ville de Beaconsfield ont joint leurs efforts pour promouvoir l’événement « Museau à cœur ». La mission première de « Museau à cœur » est de jumeler les animaux avec des humains prêts à les adopter. Ainsi, les animaux adoptés sont sauvés de l’euthanasie, qui guette malheureusement un bon nombre d’animaux de compagnie abandonnés au Québec. Cette journée spéciale vous permettra de trouver l’animal idéal pour vous, et ce, en un seul endroit. Des chiens, des chats, des oiseaux, des lapins, rechercheront le gardien parfait pour eux. Les organismes d’aide s’assurent, par un questionnaire détaillé, si l’animal convient à vos besoins. Les animaux de compagnie mettront de l’entrain dans votre vie, vous aimeront de façon inconditionnelle, toucheront votre cœur et vous accompagneront dans vos activités quotidiennes. Date : le samedi 22 septembre 2007 (En cas de pluie remis au dimanche le 23 septembre 2007) Heures : de 11 h à 16 h Invité d’honneur : M. Bob Benedetti, maire de Beaconsfield et son assistant ‘Angus’ Endroit : 440, boul. Beaconsfield, Village de Beaurepaire, Beaconsfield Le boulevard Beaconsfield sera fermé à la circulation entre les rues St-Louis et Fieldfare. Organismes participants : · Animatch [chiens] · Ruban Bleu Secours Berger Allemand [chiens] · CASCA [chats] · La Pension du Jardin Secret [chiens et chats] · Rosie Animal Adoption [chiens] · Le Repaire de Sasha [chiens] · Secours Lapins Québec [lapins] · SPCA Laurentides Labelle [chiens et chats] · STERI-ANIMAL [chats] · The Watchdog Committee [oiseaux] Ces organismes ont une politique de pré-stérilisation avant l’adoption. La stérilisation est le moyen le plus efficace pour réduire le nombre d’animaux de compagnie abandonnés au Québec. DU PLAISIR POUR TOUTE LA FAMILLE ! Cet événement s’adresse à tous, même si vous n’avez pas l’intention d’adopter un animal de compagnie : · Démonstrations d’obéissance canine; · Séminaire sur la sécurité des animaux de compagnie, un outil nécessaire pour les gardiens actuels ou futurs d’un animal de compagnie; · Bénédiction des animaux, une activité très prisée du public; · Maquillage pour les enfants; · Concours de mode canine. Tirages, cadeaux de présence, BBQ, et bien plus … Joignez-vous à nous en cette journée unique et rencontrez votre museau à cœur. Renseignements : Johanne Tassé; johannetasse@hotmail.com ; tél. (514) 630-3805 N.B. : Pour les médias qui désirent obtenir des photos avant l’événement, veuillez communiquer avec l’un des deux organismes suivants : · Animatch; Helen Lacroix; tél. (450) 452-0321; OU Ruban Bleu Secours Berger Allemand; Lise ou Elizabeth; tél. (514) 420-0101 P.S J'espère que le BBQ est végé
  4. Caro18

    Marche pour le cancer

    J'avais écrit en 2006 à la Société concernant cette marche de l'espoir avec Fido, j'avais mentionné dans ma lettre que le public qui participait à cette marche n'était pas au courant que les fonds amassés "pourraient" servir à l'expérimentation animale et que je trouvais cela scandaleux de se servir des chiens pour amasser des dons qui serviront justement par la suite à faire souffrir plusieurs toutous dans les labos! J'ai écris à mainte reprise car on tardait à me répondre, finalement, j'ai eu une réponse après un très long délai. LA RÉPONSE: La Société canadienne du cancer Les march-o-thons Les pattes de l’espoir 2006 Madame, La Société canadienne du cancer a à cœur les préoccupations des Canadiens en matière de santé. Elle est consciente que certaines personnes puissent se soucier de l’utilisation des animaux d’expérimentation dans l’avancement de la recherche sur le cancer. Comme vous êtes l’amie des animaux et que vous souhaitez participer à notre activité Les pattes de l’espoir, nous tenions d’une part à vous assurer que la Société s’engage à ce que tous les fonds qui seront amassés dans le cadre de cet événement ne serviront pas à financer des recherches impliquant des animaux d’expérimentation et d’autre part, à vous transmettre les procédures quant à l’utilisation des animaux dans le cadre des recherches sur le cancer. Voilà pourquoi nous avons pris un certain temps avant de répondre à votre demande Parce que nous reconnaissons qu’il existe différents points de vue par rapport à l’implication des animaux d’expérimentation, la Société prend sérieusement ses responsabilités dans ce domaine. Environ 25 % des projets de recherche que nous finançons par l’entremise de notre partenaire scientifique, l’Institut national du cancer du Canada (INCC), impliquent l’utilisation d’animaux. Nous croyons que l’utilisation des animaux dans l’avancement de la recherche est nécessaire pour aider les scientifiques à mieux comprendre le cancer et à développer et à améliorer de nouvelles thérapies et stratégies dans la prévention de la maladie. Ces recherches sont sources d’espoir pour des millions de Canadiens, autant ceux qui sont diagnostiqués d’un cancer que ceux qui pourraient un jour en être atteints. Dans un monde idéal, les découvertes scientifiques ne devraient pas se faire avec des animaux. Voilà pourquoi l’Institut national du cancer du Canada a adopté une politique qui s’assure du respect des normes inscrites dans le Manuel sur les soins et l'utilisation des animaux d'expérimentation publié par le Conseil canadien de protection des animaux. Cette politique vise à minimiser le nombre d’animaux utilisés, éviter l’utilisation d’animaux vivants et améliorer la quantité et la qualité des traitements humanitaires. De plus, les recherches impliquant l’utilisation des animaux sont régulièrement examinées et étudiées, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’INCC, comme une condition préalable au financement : •Les propositions soumises à l’INCC pour obtenir une subvention de recherche de la Société sont strictement examinées. Si une proposition implique l’utilisation d’animaux, nos examinateurs devront s’assurerqu’elle est nécessaire et justifiée par les bénéfices potentiels de la recherche proposée. •L’INCC est un membre actif du Conseil canadien de protection des animaux (CCPA). Toutes les agences gouvernementales commanditées, les universités, les collèges et les hôpitaux doivent consentir à respecter les lignes directrices émises par le Conseil. Leur mandat est de s’assurer que les animaux soient traités de la façon la plus humaine et éthique possible dans la recherche, l’enseignement et l’expérimentation. Leurs activités sont soutenues par les efforts de plusieurs personnes qui s’inquiètent du bien-être des animaux : éthiciens défenseurs des animaux, vétérinaires et membres du public. L’INCC ne subventionne rien avant que nous ne soyons assurés que toutes les exigences du CCPA pour la protection des recherches avec les animaux seront respectées Nous avons franchi de grandes étapes dans la compréhension du cancer qui représente plus de 200 maladies. Ces découvertes n’auraient pas été possibles si nous n’avions pas utilisé des animaux dans nos recherches. Le cancer est une maladie complexe et le fardeau s’alourdit. En 2006, nous estimons que plus de 153 000 personnes recevront un diagnostic de cancer et que plus de 70 000 mourront de la maladie, au Canada. Toutes nos recherches, incluant celles qui impliquent l’utilisation d’animaux, offrent un avenir prometteur à mesure que s’élargira le champ de nos connaissances et ainsi, notre capacité à vaincre le cancer. Nous espérons avoir répondu à votre question. Cordialement, Marie-Claude Lafleur Directrice, communications et marketing
  5. Caro18

    Abattoirs Cachers du Québec

    Suite: En Israël, alors qu’ils n’ont pas l’avantage de pouvoir vendre la moitié de l’animal à la clientèle non-Cachère, des M’nakrim hautement formés (qui maîtrisent le Nikkur) traitent le quartier arrière pour la consommation Cachère. [Afin de retirer la petite quantité de Chelev que contient la partie postérieure de l’animal, y compris certains larges vaisseaux sanguins, il existe différents types de Nikkur, voir plus bas.] Par ailleurs, l’interdiction du Chelev ne s’applique qu’aux animaux domestiqués (“B’hemot”, tel que le bœuf et le mouton. Bien que les règles relatives au Chelev ne s’appliquent cependant pas aux espèces sauvages d’animaux Cachers (“Cha’yot”), tel que le cerf, les Halahot relatives au Gid Ha’Na’ché sont par ailleurs applicables. Le statut du Chelev du buffle est controversé, puisqu’il se peut que le buffle soit le “Koy” rapporté par Chazal et qu’il possède un statut de Sa’fek (statut incertain) de B’hemah ou de Cha’yah (conf. Bi’kurim 2:8 et Tiferet Israël s.k. 38). Ainsi, nous sommes Mahmirim (strictes) et d’une part, nous interdisons la consommation de son Chelev car il peut s’agir d’une B’hemah, et d’autre part le Ki’suy Ha’Dam (recouvrir le sang) peut être requis, car il peut s’agir d’une Cha’yah. [Kisuy Ha’Dam est une Mitzvah qui s’applique lors de l’abattage des oiseaux Cachers, ainsi que des animaux sauvages. Avant la Chehita de ces espèces, le Chohet place une couche de terre ou de sciure sur le sol, sur lequel le sang est versé lors de la Chehita. Après la Chehita, le Chohet recouvre le sang d’une autre couche de terre ou de sciure, accomplissant ainsi la Mitzvah. Cependant, cette Mitzvah ne s’applique pas aux animaux domestiqués.] L’étape suivante du processus de cachérisation de la viande Cachère est le Nikkur de petites quantités de Helev dans la partie avant de l’animal (qui se trouve généralement près des côtes proches du quartier arrière, du diaphragme et du foie), ainsi que du retrait du sang de la viande. La Torah interdit la consommation de sang, et nous suivons donc deux étapes afin de nous assurer que le sang ne demeure pas dans la viande. La première étape consiste à retirer toutes les larges artères et veines qui retiennent le sang coagulé après l’abattage, ce que l’on nomme également Nikkur. [La viande abîmée ou du sang coagulé doit également être retiré.] La seconde étape consiste à vider la viande même de son sang en trop. C’est cette étape que l’on nomme communément Cachérisation. Il s’agit de tremper la viande dans de l’eau froide pour une demi-heure, la recouvrir de gros sel et laisser le sang s’écouler pendant une heure entière, et ensuite rincer cette viande trois fois afin d’en retirer tout le sel. La Halaha nous enseigne que ce processus permet de retirer tout sang interdit, et cette viande peut ensuite être cuite et consommée. Un autre détail important est que ce processus doit être fait dans les trois jours qui suivent l’abattage. Après cette période, on considère que le sang est déjà trop “ancré” dans la viande pour qu’il puisse être retiré en laissant tremper la viande et par salaison. (conf.Y.D. 69:12). Dans certaines situations, lorsque la viande doit être entreposée pour de plus longues périodes avant la Cachérisation, on autorise de la tremper dans de l’eau pour une demi-heure avant l’expiration des trois jours. En trempant la viande, ceci permet d’éviter que le sang ne s’empreigne, et le compte des trois jours peut donc recommencer (ce processus peut être répété, si nécessaire). Selon certaines opinions halahiques et dans certains cas, ‘rincer’ la viande peut suffire à cet effet. (conf. Ta”Z, ibid., s.k. 33 et Aruch Ha’Shulchan, ibid., s.k. 77). Cependant, la plupart des autorités halahiques, ne s’appuient pas sur cette opinion, et exigent que la viande soit entièrement trempée pendant une demi-heure. Par ailleurs, d’importants débats entre Poskim demeurent quant à la période de restriction de trois jours, en ce qui a trait à la viande surgelée. (conf. Aruch Ha’Shulchan, ibid., s.k. 79 et Igrot Moshe Y.D. II:42). La majorité des décisionnaires exigent cependant que la viande soit trempée et salée, à l’intérieure des trois jours, y compris lorsqu’il s’agit de viande congelée.] Il existe une méthode alternative de cachérisation de la viande. Il s’agit de griller la viande. Cette méthode comporte également un délai de restriction de trois jours. D’un point de vue pratique, la grillade de la viande en grande quantité n’est pas efficace comme moyen de distribution du produit, et la majorité des usines de préparation trempent et salent la viande. De plus, une viande qui est grillée après une période de trois jours, ne peut être cuite par la suite. Lorsque le régime alimentaire exige l’ajout de sel, pour des raisons de santé, il est possible de prendre certaines mesures afin de pouvoir Cachériser la viande en la faisant griller. Quant au foie, il doit être cachérisé uniquement par grillade, puisqu’il contient beaucoup trop de sang pour que le processus de tremper et saler la viande fasse effet. [Selon la plupart des opinions, le foie grillé doit être traité comme étant de la viande grillée, et s’il n’est pas grillé à l’intérieur d’une période de trois jours suivant la Chehita, il ne pourra pas être ensuite cuit.] Tel que nous l’avons vu, contrairement à la viande non-Cachère, le processus de cachérisation de la viande Cachère implique de nombreux autres facteurs importants. Entre autres, l’animal doit être choisi pour la Chehita et des vérifications rigoureuses sont effectuées avant que le produit ne soit vendu au consommateur. En effet, la qualité de la viande Cachère ainsi que les produits qui en découlent, sont considérés comme étant de qualité supérieure aux produits non-Cachers comparables. Bien que les horreurs rapportés par Upton Sinclair dans The Jungle ne se retrouvent plus dans les usines d’emballages modernes, les parties restantes qui sont fréquemment employées dans les saucisses non-Cachères (e.x., les oreilles, les joues, les parois d’œsophage) ne font pas partie des saucisses Cachers, car il n’est pas pratiquement aisé de maintenir leur statut de Cacheroute dans l’usine de viande Cachère. Les saucisses cachères contiennent uniquement de la viande dorsale, et de nombreux consommateurs non-Cachers choisissent les produits Cachers pour cette raison, bien que leurs coûts soient plus élevés. La Torah nous dit “tizbach v’achaltah ba’sar k’virkas Hashem E’lokecha” – “tu sacrifieras et tu mangeras de la viande selon la bénédiction d’Hashem” (Dévarim 12:15). C’est en s’efforçant à maintenir les plus hautes normes de Cacheroute dans la viande que nous consommons, que nous nous assurons la bénédiction qu’Hachem nous a réservée. Poursuivre la lecture: http://www.mk.ca/page6_6.php Manger halal - Le jeûne du ramadan débute le 24 septembre. Pendant un mois, les musulmans pratiquants ne devront rien manger du lever au coucher du soleil. Et quand viendra l’heure de se mettre à table, ils mangeront halal, comme le veut le Coran. Manger halal est obligatoire pour tout musulman pratiquant. Halal est un terme coranique qui signifie permis ou licite. Une équipe de L’épicerie s’est rendue au restaurant Arabesque, à Montréal. C’est un des rares restaurants, au Québec, à servir des mets certifiés halal. Vous y trouverez notamment la brochette d’agneau et les merguez. Pas de porc et pas d’alcool Chez les musulmans, le poulet, le bœuf, le veau et l’agneau sont permis, mais le Coran interdit la consommation du porc, un animal considéré comme impur. Les produits dérivés du porc, comme le saindoux, sont aussi proscrits. Les musulmans pratiquants n’ont pas le droit de consommer d’alcool non plus. Et ce, jusque dans les sauces. On ne trouvera donc pas de bœuf bourguignon ni de coq au vin au menu. Le rituel de l’abattage Marzougui M. Habib, inspecteur et imam En plus du restaurant Arabesque, Taher Bouzid est propriétaire de l’Abattoir central des viandes halal, à Champlain, près de Trois-Rivières. On y sacrifie veaux, bœufs et agneaux, selon les préceptes religieux de l’islam. Ichem Aroud, boucher-sacrificateur: « Il faut bien aiguiser le couteau pour faciliter l’égorgement, pour ne pas faire souffrir la bête. On invoque le nom d’Allah […] et on égorge, c'est tout. » Le boucher-sacrificateur doit couper à la main la gorge de l’animal pour qu’il se vide de son sang. Chez les musulmans, il est interdit de consommer du sang, considéré comme le siège de l’âme. Si le geste est bien fait, la bête ne souffre pas, même si elle n’est pas insensibilisée, comme dans l’abattage conventionnel. Le Coran exige aussi que la bête soit sacrifiée en direction de La Mecque, en Arabie Saoudite, la ville sainte de l’islam. Dans le cas des abattoirs de poulet, il est parfois difficile d’orienter la chaîne de production vers La Mecque. Les autorités religieuses tolèrent même que les volailles soient abattues mécaniquement. Tout ce qui compte, c'est qu’Allah soit invoqué. De la viande certifiée halal Abdelhamid Aouchiche possède la boucherie Tassili et il est le président de l’Association musulmane des commerces de viande halal. Un organisme qui vient de voir le jour au Québec. L’association offre une certification d’authenticité des produits halal aux commerces qui le demandent. Comme l’explique Abdelhamid Aouchiche, cet organisme s’assure que la viande vendue par tel ou tel commerçant est produite selon les règles et les traditions de la religion musulmane. L’association vérifie également que les produits laitiers, comme le yogourt ou le fromage, ne contiennent aucun produit dérivé du porc, comme la gélatine ou la présure. C'est l’imam, une autorité religieuse, qui s’assure de la conformité du procédé. Les affaires vont bien puisque les musulmans n’ont d’autres choix que de manger halal! Halal = kascher? Il y a une parenté entre le halal et le kasher. C’est le même procédé d’abattage, sauf que pour le kascher, c'est un rabbin qui officie. L’abattoir halal de Champlain ouvre même ses portes à la communauté juive de Boisbriand, comme l’explique Taher Bouzid: « C'est eux qui viennent, avec le rabbin, pour faire leur abattage kascher. » Pas besoin d’être musulman pour acheter de la viande halal. Vous ne verrez pas de différence de goût notable. Mais l’agneau est généralement moins cher, parce que c’est une de leur spécialité. http://www.radio-canada.ca/actualite/v2/lepicerie/niveau2_10785.shtml Video: http://www.peta.org/swf/undercover-agri.swf
  6. La Cacheroute est une discipline aux multiples facettes. Il s’agit d’un ensemble de Mitzvot qui ont permis au Peuple juif de conserver son identité depuis Matane Torah. En préservant la Kédoucha (sainteté) des aliments que nous consommons, nous élevons la Kédoucha de nos Néchamot. En effet, Hazal nous enseigne que consommer un aliment non-cacher, endommage notre nature spirituelle (Métamtem et Ha’Lev). La Cacheroute de la viande est un des aspects élémentaires d’une alimentation Cachère, et sa préparation est régie par des Halachot extrêmement complexes et précises. Ainsi, depuis toujours, la mise en place de normes locales de Chehita (Abattage Cacher) a été la principale responsabilité des Rabbanim de chaque communauté juive. Nos ennemis ont, eux aussi, également reconnu son importance – la Chehita fut souvent l’un des premiers aspects religieux qui était banni, en cherchant à détruire une communauté juive. Autrefois, alors que les moyens de réfrigération n’existaient pas, la viande ne pouvait pas être facilement conservée ou expédiée, et historiquement, chaque communauté juive possédait sa propre Chehita locale afin de répondre à ses besoins. D’ailleurs, c’est en reconnaissant l’importance du respect des lois de Chehita dans leurs moindres détails, que la Halaha a confié aux Rabbanim locaux des obligations de surveillance des normes locales de Chehita. De nos jours, cependant, l’industrie de la viande a élargi ses opérations, et les abattoirs dépassent de loin les limitent territoriales de production. Ainsi, de nombreuses communautés ont perdu leur Chehita locale. Désormais, de grands abattoirs Cachers approvisionnent en viande, de nombreuses communautés à travers les États-Unis et le Canada. Par ailleurs, la Ville de Montréal, est chanceuse de continuer à posséder sa propre Chehita traditionnelle, effectuée sous le contrôle directe du Va’ad Ha’Rabanim local, ce qui permet d’offrir à la communauté juive de Montréal, une viande qui rencontre les plus hautes normes de Cacheroute. Le processus de préparation de la viande Cachère est accompli de façon minutieuse, et en analysant les étapes de base qui s’y attachent, il est alors possible de mieux saisir son importance. La viande Cachère doit tout d’abord provenir d’une espèce animale ou d’une volaille Cachère. Les animaux Cachers comportent deux caractéristiques: ils doivent ruminer et avoir les sabots fendus. La viande Cachère provient essentiellement de bœuf et de moutons, bien que certains préfèrent le cerf et le bison. Les oiseaux Cachers sont des non-prédateurs et dont la Cacheroute nous est traditionnellement connue. Par exemple, le poulet, la dinde, le canard et l’oie. L’identification d’un animal « Cacher » ne suffit cependant pas pour déterminer son statut de Cacheroute. En effet, de nombreux autres facteurs doivent être bien contrôlés. L’animal Cacher doit ensuite être abattu selon certaines règles prescrites. La Torah nous dit “v’zavahta … ka’acher tzi’vitiha” – “et tu procéderas à l’abattage … tel que je t’ai ordonné” (Devarim 12:21) – tel que transmis dans la Torah she’Be’al Peh (la Loi orale), qui prescrit les détails de la Chehita. La Halaha prévoit qu’un animal doit être en bonne santé et qu’il doit être abattu par un Chohet, un rabbin qui maîtrise les règles minutieuses de la Chehita. Pour réaliser la Chehita, on emploie une lame parfaitement aiguisée (nommée Ha’lef) pour trancher la trachée-artère, l’œsophage, ainsi que les artères du cou de l’animal, aussi précisément et rapidement que possible, afin d’éviter les souffrances de l’animal. De nombreux facteurs peuvent rendre invalide une Chehita. Tout d’abord, le Halef doit être parfaitement lisse, et il ne peut pas comporter des indentations ou des entailles, et il est donc vérifié, juste avant et aussitôt après la Chehita. Si une entaille est découverte après la Chehita, l’animal n’est pas Cacher. [Dans le cas de volailles, il n’est pas pratique de vérifier le Halef après chaque oiseau. Dans ce cas, on vérifie généralement le Halef après de nombreux oiseaux – mais si un défaut est découvert, tous les oiseaux qui ont été égorgés depuis la dernière vérification du Halef deviennent non-Cachers.] Ensuite, si l’animal bouge son cou lors de la Chehita, celui-ci devient également non-Cacher, car la coupe précise qu’exige la Chehita n’a pas été accomplie. Maintenir la stabilité de l’animal lors de l’abattage n’est pas chose facile, surtout que la Halacha interdit que l’animal soit “étourdi” avant d’être abattu, ce qui est fréquemment pratiqué dans les abattoirs de viandes non-Cachères. Par souci de minimiser toute souffrance et afin de respecter les règles de chaque Chehita, la ligne de production Cachère opère de façon plus lente que les abattoirs non-Cachers, alors que ces derniers abattent les animaux par balle à la tête. Un des autres critères qu’exige l’abattage Cacher est que l’animal doit être en santé. Si les organes internes d’un animal comportent des défauts, celui-ci est considéré comme étant une Treifah (pluriel de treifot) [au sens littéral, “déchiré”] et il n’est pas Cacher. Le Bo’dek (l’inspecteur) vérifie ainsi certains organes internes (ex : les poumons) de chaque animal après la Chehita avant que l’animal soit considéré comme étant Cacher. On nomme cette étape Bédikah. [Au niveau technique, le terme “treifah” fait référence à un animal endommagé pour certaines raisons. Par contre, on définie communément le terme “tareif” comme signifiant “non Cacher” peu importe la raison.] Puisque les animaux choisis sont donc plus en santé, par souci de treifot, seuls des animaux de hautes qualités sont employés pour la Chehita Cachère. Bien que ces animaux soient plus dispendieux, la viande retirée est de bien meilleure qualité. En effet, de nombreuses personnes non-juives, préfèrent la Viande Cachère précisément pour cette raison. Lors de l’inspection de l’animal, une vérification particulière est effectuée sur les poumons de l’animal qui sont les plus à risque. En effet, une perforation des poumons rend l’animal non-Caher – tareif, ce qui est généralement détecté par le Bo’dek qui vérifie au toucher la surface des poumons, alors que ceux-ci se trouvent encore dans la cage thoracique. De façon générale, une perforation des poumons cause la formation d’une lésion muqueuse ou une croûte, qui obstrue de façon temporaire le trou, pour permettre aux poumons de continuer à fonctionner pour un certain temps. Cependant, la Halacha prévoit que ce type d’« adhésions » - nommée – n’est que temporaire et qu’éventuellement celle-ci finit par tomber et cause à l’animal de tomber malade. Ainsi, la Halaha considère que des animaux qui comportent certains types de sirhot puissent être des treifot, et donc, non-Cachers. Le Bo’dek s’assure donc que chaque poumon vérifié est bien lisse, et qu’il ne comporte pas d’importantes lésions. Il gonfle ensuite le poumon pour éliminer tout doute quant à la présence de petites adhésions non-décelées. Dans le cas de bœuf, cependant, certaines types de sirhot peuvent être acceptables selon la coutume Ashkénaze mais non conformes pour les Sépharades. Selon la coutume Ashkénaze, une sirha légèrement attachée et qui peut facilement être retirée des poumons, n’est pas un signe qui indique nécessairement la présence d’une lésion. Si le Bo’dek peut retirer une telle sirha sans créer de trou dans le poumon (ce qui est vérifié en gonflant le poumon et en le plaçant dans l’eau pour vérifier si de l’air s’en échappe) l’animal peut néanmoins être considéré Cacher selon la tradition Ashkénaze. Cette viande n’est cependant pas considérée comme étant “Glatt” (du mot allemand qui signifie lisse), qui est par ailleurs, le critère exigé par la tradition Sépharade. Les animaux qui remplissent ces critères rigoureux se nomment “ Glatt Beth Yossef ”, basé sur l’opinion exigée par le Beth Yossef (Rabbi Yossef Karo). Il est à noter que cette souplesse Ashkénaze n’est autorisée qu’en matière de bœuf – un veau doit être conforme aux règles du Beth Yossef selon toutes les opinions. Mis à part les sirhot, les B’dikot sont des vérifications qui sont effectuées de façon très détaillée. Par exemple, dans un lot d’animaux donné, une Chehita est considéré comme étant très productive si on en retire seulement 30 à 60% de la bête après vérification. Certains animaux, tels que les veaux nourris au lait, sont élevés dans des conditions qui ne favorisent pas une bonne santé. Dans ces cas, seulement 10% de ces bêtes passent avec succès la vérification afin de devenir Cachers! Les animaux qui ne rencontrent de telles strictes normes, doivent être vendus comme viandes non-Cachères, ce qui diminue la quantité de viande Cachère disponible sur le marché. Il est également intéressant de noter que de la même façon que le sens du terme “treifah” n’est plus limitée à son sens technique, un autre terme, relatif à la Chehita est également employé dans un sens plus large que sa définition technique. L’expression “ viande glatt cachère” fait référence à un produit qui rencontre les ‘plus hautes normes de Cacheroute’. Ainsi, dans le cas du bœuf, il peut s’agir d’une bête dont un petit nombre de sirhot (deux ou trois) sont découverts dans la viande, ce qui est considéré par de nombreux Poskim européens comme faisant partie du terme “glatt”. Évidemment, cela ne signifie pas que l’animal comportait des poumons entièrement lisses! La plupart des organisations de Cacheroute emploient uniquement de la “ viande glatt Cachère ”, ce terme signifiant que de très hautes normes de Cacheroute sont respectées, plutôt que le sens plus étroit de l’expression. D’autres exigences spéciales sont également requises pour la viande Cachère, après la Chehita et la B’dika. Bien que la Torah autorise la consommation d’une viande qui a été abattue selon les règles de Cacheroute, certaines graisses situées sur le flanc de l’animal Cacher, ainsi que certains organes internes (ex. : les reins et les intestins) d’animaux d’élevage (ex. : le bœuf et l’agneau) sont néanmoins interdits. De telles graisses nommées Chelev, doivent être retirées car leur consommation entraîne un des interdits les plus sévères de la Torah (Karet – une mort prématurée). De plus, la Torah interdit la consommation du Gid Ha’Na’ché (le nerf sciatique), et il est donc nécessaire de le retirer avant de pouvoir consommer le quartier arrière. Le processus de retrait du Chelev et du Gid Ha’Na’ché – nommé Nikkur en hébreu (“Treiboring” en Yiddish, d’origine Tchèque) – est compliqué et il exige beaucoup d’efforts et d’expertise pour être accompli adéquatement. Puisqu’on retrouve le Gid Ha’Na’ché ainsi que la plupart du Chelev dans le quartier arrière de l’animal, la majorité des communautés qui vivent à l’extérieur d’Israël ont adopté la coutume de consommer uniquement la partie avant de l’animal, afin d’éviter toutes les problématiques relatives aux graisses et aux veines interdites. Il est possible d’appliquer de telles mesures dans les pays qui possèdent un marché important de viandes non-Cachères, et surtout lorsqu’on considère que la viande qui provient des parties postérieures de l’animal est plus tendre et plus recherchée. Il est intéressant de noter que le Rabbin Yaakov Yosef zt”l, le premier (et dernier) Grand Rabbin de New York, a instauré cette coutume aux États-Unis à la fin des années 1800. Ses nombreux efforts devant servir à améliorer les normes de Cacheroute du Nouveau Monde ont été, par ailleurs, contesté par le marché de « Viande Cachère » déjà bien implanté, au cours de sa vie. En effet, les calomnies et les retombées de ces mesures ont entraîné sa mort prématurée. Ses accomplissements dans ce domaine ont néanmoins été une réussite dans la promulgation de règles pour empêcher la consommation du quartier arrière, ce qui permet d’éviter les problématiques de Gid Ha’Na’ché et de la plupart du Chelev de l’animal, pour les consommateurs Cachers.
  7. Une animalerie réduite en cendres Le lundi 10 septembre 2007 Plusieurs animaux se trouvaient à l'intérieur du commerce lors de l'incendie et aucun n'a pu être sauvé. Les pertes sont évaluées à plus de 300 000 $. Il y a presque un an jour pour jour, Marcel Viens et sa conjointe ont acheté un bâtiment, sur la route 112, à Saint-Césaire, qu'ils ont transformé en animalerie. Ils souhaitaient en faire une entreprise familiale qu'ils auraient éventuellement léguée à leurs deux filles. Dans la nuit de samedi à hier, leur beau projet s'est envolé en fumée. L'animalerie La Coqueterie a été complètement ravagée par les flammes, vers 4h, hier matin. Plusieurs animaux se trouvaient à l'intérieur du commerce lors de l'incendie et aucun d'entre eux n'a pu être sauvé. Les pertes sont évaluées à plus de 300 000 $. Le logement voisin de l'immeuble détruit par le feu a dû être évacué. La majeure partie du deuxième étage - où demeurait la fille aînée de M. Viens - est une perte totale. Un des six locataires évacués a été incommodé par la fumée et a dû être transporté à l'hôpital. Son état n'inspire toutefois aucune crainte. Les pompiers n'écartent pas la possibilité que le feu soit d'origine criminelle. «Présentement, on parle d'une origine inconnue. Les policiers ont ouvert une enquête afin de déterminer la cause de l'incendie», affirme le directeur du service d'incendie de Saint-Césaire, Jacques Bienvenu. La suite dans La Voix de l'Est de lundi. http://www.cyberpresse.ca/article/20070910/CPVOIXEST/709100727/5054/CPVOIXEST Les pauvres animaux étaient emprisonnés dans des cages, ( comme ça se passe aussi trop souvent dans les fermes du Québec ), ils ont dû souffrir atrocement
  8. Les leçons offertes par les animaux handicapés Un cacatoès sur ses genoux et un cockatiel perché sur sa tête, Guillaume Onsow raconte comment son amour pour les animaux est devenu une véritable raison de vivre. Le Nord-Montréalais présentera d'ailleurs une conférence, le 30 septembre, à la Maison culturelle et communautaire de Montréal-Nord pour partager son expérience. M. Onsow a été contraint à arrêter de travailler en 1993. Il lutte quotidiennement contre la fibromyalgie et l'hépatite C. « J'aurais pu pleurer sur mon sort, mais finalement, j'en fais plus dans ma journée que certaines personnes qui sont en santé. Ma béquille, ce sont les animaux », raconte Guillaume Onsow devant son cacatoès qui l'écoute religieusement, comme s'il comprenait tout. Ses animaux ont ceci de particulier: ils souffrent, pour la plupart, d'un handicap. L'un de ses petits oiseaux est dépourvu de plumes en raison d'un problème au foie, un autre cockatiel a les jambes complètement atrophiées depuis sa naissance, pendant qu'un autre se dandine sur une seule jambe. « Chacun a son problème. Mais certains sont corrects. Ceux-là montrent aux autres comment être un oiseau et leur redonnent la joie de vivre », explique M. Onsow prenant un soin jaloux de ses animaux à qui il promet de les accompagner jusqu'à la mort. Chaque matin, il doit mettre plus de deux heures pour tout nettoyer et s'occuper de son petit monde, puis tout autant en après-midi. Ce don de soi n'est pas resté sans récompense. « Je me suis rendu compte qu'ils me rendaient plus humain et plus sensible. Ils m'ont appris à vivre le moment présent », raconte l'amoureux des animaux, qui au départ, voulait seulement aider des animaux démunis. Des leçons de vie, M. Onsow dit en avoir tiré plusieurs de ses petits compagnons, dont la découverte de soi à travers eux. Ils l'aident aussi dans son cheminement pour combattre la maladie. Ce sont ces expériences que le Nord-Montréalais veut partager dans le cadre d'une conférence qu'il a élaborée et qu'il présentera pour la première fois grâce à l'appui d'Un itinéraire pour tous. Guillaume Onsow veut aussi profiter de cette tribune pour faire de la prévention et prévenir la cruauté envers les animaux. La conférence de Guillaume Onsow sera présentée le 30 septembre, à 14 h, à la Maison culturelle et communautaire de Montréal-Nord, au 12004, boulevard Rolland. On peut s'informer au 514 328-5579. L'entrée est gratuite. http://www.guidemtlnord.com/article-136755-Les-lecons-offertes-par-les-animaux-handicapes.html
  9. Pas assez de moutons pour la fête du sacrifice Il risque d'y avoir pénurie de moutons pour la fête musulmane du sacrifice Aïd-el-Kebir qui se déroulera les 19 et 20 décembre. La maladie de la langue bleue a eu des retombées sur le cheptel ovin qui est limité actuellement entre 115.000 et 120.000 têtes, ce qui constitue un niveau dramatiquement bas. Des importations sont prévues... Un éleveur sur deux est confronté à l'épizootie et des milliers d'animaux risquent encore de périr. Des experts européens estiment qu'une pénurie menace. A l'occasion de la fête du sacrifice, 10.000 à 12.000 mouton seront vendus en Belgique. En cas de pénurie, il serait possible d'importer des moutons du Sénégal ou du Mali, deux pays africains confrontés à un surplus au niveau des élevages ovins. http://www.rtlinfo.be/news/article/32082/--Pas+assez+de+moutons+pour+la+f%C3%AAte+du+sacrifice
  10. Commensal innove avec quatre nouveaux plats aux saveurs irrésistibles ! BOISBRIAND, QUEBEC--(Marketwire - 7 sept. 2007) - Le garde-manger Commensal, qui compte près de 50 succulents mets préparés réfrigérés ou surgelés, s'enrichit de quatre nouveaux produits tout simplement irrésistibles, soit un potage au bon goût maison, deux plats de pâtes classiques apprêtés à la sauce Commensal en version santé ainsi qu'un délicieux dessert au chocolat. Des produits sains et savoureux qui se glissent facilement dans la boîte à lunch, qui se dégustent sur le pouce en toute bonne conscience ou encore en famille, pour de succulents repas nutritifs préparés en un tour de main ! Un potage velouté et léger Le nouveau potage aux tomates et poivrons rouges Commensal est versatile à souhait : réconfortant lorsqu'on le sert bien chaud, il est également excellent froid agrémenté d'une garniture à base de concombre, de crème ou de fines herbes fraîches. On peut également l'utiliser pour cuisiner des sauces savoureuses et autres astuces créatives. Au bon goût de tomates bien fraîches et de poivrons rouges, il présente une combinaison de saveurs unique sur le marché et ne contient pas de gras. Deux plats de pâtes classiques réinventés Avec ses nouveaux repas individuels de pâtes, Commensal innove en proposant de grands classiques en version santé ! Le macaroni délice aux fromages - des pâtes al dente accompagnées d'une sauce onctueuse aux deux fromages - est le seul produit dans sa catégorie cuisiné avec de véritables fromages biologiques, soit un fromage cheddar extra-fort et un succulent parmesan! Le spaghetti style bolognaise - des pâtes cuites juste à point et nappées d'une sauce savamment aromatisée - offre toute la saveur de ce grand classique en version végétarienne ! Une douceur chocolatée au coeur tendre et moelleux Les nouveaux carrés au chocolat Commensal, cuisinés avec de la farine biologique moulue sur pierre et du chocolat noir, deviendront vite des incontournables pour les vrais amateurs de chocolat. Un dessert comme seul Commensal sait les faire ! Disponibilité et prix Les produits Commensal sont offerts dans tous les supermarchés, dans la section des mets préparés réfrigérés et surgelés, ainsi que dans les magasins d'aliments naturels et, pour la plupart, dans les restaurants Commensal. Le contenant de 800 ml de potage réfrigéré (environ 3 portions) est vendu au prix de détail suggéré de 4,29 $. Les plats de pâtes en format individuel surgelé de 280 g sont vendus au prix de détail suggéré de 3,99 $ chacun. Les carrés au chocolat, en format de 375 g (environ 10 portions), sont vendus au prix de détail suggéré de 6,99 $. Pour plus d'information, il suffit de visiter le site Web du Commensal au www.commensal.com/fr ou de composer le 1-800-565-0091. Visez Santé(MC) Le potage aux tomates et poivrons rouges, le macaroni délice aux fromages et le spaghetti style bolognaise se qualifient au programme Visez Santé(MC) (www.visezsante.org) conçu par la Fondation des maladies du coeur. Le programme permet d'aider les consommateurs à identifier rapidement des produits qui peuvent contribuer à une diète saine et équilibrée. Le programme assure le respect de standards nutritionnels élaborés et vérifiés par la Fondation des maladies du coeur. Campagne publicitaire Afin d'appuyer le lancement de ses nouveaux produits, Commensal a mis sur pied différentes actions promotionnelles et publicitaires, dont le concours Le plaisir de découvrir ! publicisé dans le cadre d'une campagne télé mettant en vedette la dynamique Josée Lavigueur. L'entreprise a également conçu du matériel promotionnel qui sera installé dans les points de vente. Commensal Véritable pionnier au Québec dans le secteur de la restauration et des mets préparés santé, Commensal compte sept restaurants, une gamme de produits pour les services alimentaires et près de 50 mets préparés vendus sous les marques Commensal(MC) et Le Petit Chef(MC) dans quelque 800 points de vente au Québec. Confectionnés pour le plaisir de manger sainement, les prêts-à-manger Commensal, en plus d'être végétariens, sont cuisinés avec des ingrédients choisis, sans gras trans artificiels, sans agents de conservation, sans colorants ni saveurs artificielles. En plus de répondre aux besoins des consommateurs soucieux d'atteindre un équilibre alimentaire, les produits Commensal proposent une savoureuse expérience culinaire. Pour Source : Luce Davidson Relations publiques 514-484-2082 Pour Renseignements : http://www.lelezard.com/communique-68580.html
  11. Un objectif de 25 000 $ pour le Souper moules et frites Si plus ou moins 300 participants répondent à l'invitation et que les commanditaires sont au rendez-vous, le 8e Souper moules et frites de la Fondation Charles-Joseph-Ducharme du collège Lionel-Groulx engrangera environ 25 000 $, le tout cette année au profit du programme Techniques de santé animale. Depuis huit ans il est de tradition au collège Lionel-Groulx de tenir un souper-bénéfice moules et frites organisé par la Fondation Charles-Joseph-Ducharme, vers la troisième semaine de septembre, une fois la rentrée des élèves complétée. Cette année l'événement se tiendra le vendredi 21 septembre à 18 h au Centre culturel et communautaire Thérèse-De Blainville, et en plus du souper moules et frites il y aura soirée dansante animée par un orchestre de profs de musique du collège. Notre éditeur Louis Sauvageau et le directeur général de la Caisse Desjardins Thérèse-De Blainville Joé Bélanger assurent conjointement la présidence de l'événement et ne reculeront sans doute devant aucun obstacle, pour écouler les quelque 300 billets à 90 $ pièce, assurant le rayonnement de la soirée. Les profits iront au programme de Techniques de santé animale du collège, fréquenté par quelque 150 élèves. Les responsables de ce programme anticipent d'acheter deux appareils de pointe avec les fruits du souper moules et frites: un appareil pour le suivi des animaux sous anesthésie générale et un autre pour l'anesthésie des lapins. Les personnes intéressées à se procurer des billets pour le souper peuvent communiquer directement avec les bureaux de la fondation, au (450) 430-3120, poste 259. http://www.journallecourrier.com/article-136246-Un-objectif-de-25-000-pour-le-Souper-moules-et-frites-2007.html
  12. Caro18

    Your Mommy Kills Animals

    Le samedi 08 septembre 2007 Your mommy kills...: Des souris et des hommes Aleksi K. Lepage La Presse Collaboration spéciale La cause est noble. Les moyens, parfois discutables. Parmi les gens qui se portent à la défense des animaux, projet parfaitement légitime et porté à bout de bras par des personnes généralement de bonne foi, se trouvent des tapageurs, des délinquants, des vandales et même... de véritables terroristes, paraît-il. De fait, les hautes autorités américaines considèrent ces regroupements de «pacifistes», qu'on imagine le plus souvent écolos, plus ou moins pouilleux et inoffensifs, comme de vrais nids de bandits. C'est mille fois exagéré, mais ce n'est pas tout à fait faux: certains militants, révolutionnaires de pacotille, sont prêts à tout au nom de leurs amis les animaux. Tout, jusqu'à la menace de meurtre, le harcèlement et la destruction. Le brûlant documentaire de Curt Johnson Your Mommy Kills Animals (le titre fait référence à une bande dessinée anti-fourrure) propose un regard fascinant et objectif (autant que possible) sur ces groupes de pression aux vues vertueuses mais aux actions parfois hors de contrôle. Tout le monde est sensible à la cruauté faite aux bêtes. Nul n'aime penser que les crèmes de beauté et les anxiolytiques qu'il utilise ont été testés sur de pauvres rongeurs. Mais on se dit qu'ainsi vont les choses. Le documentaire ici n'est pas un pamphlet et ne cherche en rien l'endoctrinement. Même si l'on devine les positions personnelles du réalisateur, Your Mommy Kills Animals veut surtout alimenter le débat de façon posée et pertinente. Parfois dur à regarder, par ses images de torture et de mauvais traitement infligés aux créatures (on va de la chasse aux baleines aux chenils mal tenus, en passant par les cobayes de labo), prouvant qu'il s'agit là d'un problème réel et non d'une fantaisie imaginée par les idéalistes lunatiques, le film s'intéresse aussi, surtout, à l'histoire du mouvement pour les droits des animaux, à ses réussites mais également aux agissements assez pathétiques des défenseurs extrémistes. Enfin, ce documentaire de choc pose une question qui nous change des stériles placotages de fin d'été, une question qui touche toutes les causes et leurs sympathisants: jusqu'où peut-on aller au nom de la justice et de la morale sans transformer le combat en pitoyable spectacle de bêtise humaine? Your Mommy Kills...Documentaire de Curt Johnson. Observation à la fois empathique, critique et historique du mouvement pour les droits des animaux. Documentaire qui suscitera des débats sur le sort des animaux mais aussi sur la frontière qui sépare l'engagement de l'aveuglement. *** http://www.cyberpresse.ca/article/20070908/CPARTS01/709080861/5316/CPARTS01
  13. Caro18

    Your Mommy Kills Animals

    Zéro Mais sur le suite suivant... http://www.vegetariansareevil.com/index.html
  14. Caro18

    The Price Is Still Right

    The Price Is Still Right Most people are familiar with Bob Barker's trademark reminder to "spay and neuter your pets" at the end of each episode of The Price Is Right, but not everyone knows that Barker is a passionate animal rights activist who has used every opportunity throughout his career to speak up on behalf of animals used for their fur or flesh, or exploited for our entertainment. One of Barker's many accomplishments to help prevent animal suffering was to enact a ban on his show of giving away fur coats as prizes. He wanted to have no part in promoting something as horrible as fur, and The Price Is Right was fur-free right up until Barker's retirement. The good news that we just received this week, after writing to the show's producers to make sure that things were going to stay that way, is that the show's new host, Drew Carey, and the team behind The Price Is Right, share Bob Barker's anti-fur stance 100 percent. Here's the note they sent us: "The Price Is Right," the show will honor Bob Barker's rule not to give away fur coats as prizes. 'The Price Is Right' is very proud that we were one of the first shows to realize, through Mr. Barker, that glamorizing fur coats as prizes must stop." Right on, guys—we wish you the best of luck with the new show.
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    RIP Luciano Pavarotti

    RIP Luciano Pavarotti It was with great sadness that we learned of the death of PETA booster Luciano Pavarotti this morning. In addition to his legendary voice and his pioneering work bringing an appreciation for opera and classical music to millions of new people around the world, Pavarotti was known for his kindness, his compassion, and his philanthropic work, raising his voice on behalf of animals on many occasions throughout his life. In 1998, Pavarotti lent his name and his considerable influence to PETA’s campaign to raise animal welfare standards in Taiwan—where scores of homeless dogs were rounded up by garbage collectors to be poisoned, electrocuted, drowned or slowly starved. The cruelty touched Pavarotti deeply, and, with his help, the campaign resulted in the first ever animal welfare law in that country, which has since passed progressive legislation banning circuses and prohibiting the export of exotic animals as pets. Pavarotti also raised his voice for animals who are electrocuted, gassed, and drowned in the fur industry, having signed another PETA petition against fur following one of his performances at LaScala. Pavarotti's great voice will be missed around the world, and at PETA, he will be particularly missed as a powerful voice for animals. http://blog.peta.org/
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    Your Mommy Kills Animals

    Dès le 7 septembre, le Cinéma du Parc présentera l’un des documentaire les plus percutant de l’année, YOUR MOMMY KILLS ANIMALS. Il s’agit d’un film très controversé sur la guerre entre le gouvernement américain et les activistes défendant les droits des animaux, ces derniers ayant été officiellement déclarés comme la menace terroriste domestique numéro un ! ‘’YOUR MOMMY KILLS ANIMALS soulève des questions qui transcendent le domaine de la cruauté envers les animaux. Par exemple : pourquoi les plus extrémistes parmi les manifestants Pro-Vie n’encourent-ils jamais des sentences aussi sévères? Ce document, courageux et essentiel, nous apprend que le droit de protester publiquement, la liberté d’expression, n’ont jamais été aussi menacés qu’en ce moment.’’ – FANTASIA 2007 (MEILLEUR FILM DOCUMENTAIRE – FANTASIA D’ARGENT 2007) Pour encourager le public à venir voir cet important film, nous vous encourageons à communiquer l’information à vos membres et partenaires. N’hésitez pas à communiquer avec nous si vous désirez organiser des activités, tel un tirage de laissez-passer, il nous fera plaisir de vous aider. Bien à vous, · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · Frédéric Otis Marketing / Promotion · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · Cinéma du Parc 3575, Av. du Parc, Montréal, QC, H2X 3P9 T : 514·281·5199 · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · >>Cliquer ici pour acheter vos billets<< www.cinemaduparc.com Site officiel: http://www.myspace.com/yourmommykillsanimals
  17. Une amie de Robert Pickton a remarqué du sang dans sa maison NEW WESTMINSTER, C.-B. (PC) — Une bonne amie du présumé meurtrier en série Robert Pickton a changé son témoignage mercredi et indiqué avoir vu du sang dans sa roulotte résidentielle. Pendant six mois, autour de 1996 ou 1997, Ingrid Fehlauer a fait le ménage chez Pickton. Elle passait l'aspirateur, lavait les planchers et faisait la lessive. Elle a dit qu'elle était une bonne amie de l'accusé, mais qu'ils n'ont jamais entretenu une relation intime. Dans son témoignage mercredi matin, Mme Fehlauer avait dit n'avoir rien remarqué d'anormal dans sa roulotte résidentielle ou son abattoir, sauf de la saleté sur la moquette. Toutefois, durant le contre-interrogatoire en après-midi, elle a déclaré au procureur de la Couronne que le récit précédent n'était pas véridique. Le procureur, Me Mike Petrie, a rappelé que par deux fois, la défense lui avait demandé si elle avait relevé quelque chose d'anormal et elle avait dit non. "En fait, à une occasion, vous avez vu beaucoup de sang partout", a souligné Me Petrie. "Oui", a-t-elle rétorqué. Il lui a demandé pourquoi elle avait donc livré un autre témoignage en matinée. "J'avais compris que cela ne serait pas mentionné ici", a-t-elle argué. Elle a expliqué que les deux avocats de la défense lui avaient assuré, avant qu'elle n'aille à la barre, que le sujet ne serait pas abordé. La Couronne lui a demandé si le premier témoignage, sur la saleté, était faux. Elle a acquiescé. "Vous saviez que cela n'était pas vrai au moment (où vous avez témoigné)", a-t-il lancé. "Oui", a-t-elle admis. Avant que le procureur n'enchaîne avec d'autres questions, le juge s'est adressé aux jurés. Il leur a souligné que l'avocat de la défense ne s'était pas conduit de façon inappropriée en disant à Mme Fehlauer qu'il ne fallait pas faire mention du sujet. "Je pense que les questions et les réponses que nous venons d'entendre permettent d'établir qu'elle a faussement répondu à des questions ce matin", a-t-il ajouté. Plus tôt, Mme Fehlauer avait dit qu'elle avait cinq ou six ans la première fois qu'elle a rencontré Pickton. Aujourd'hui âgée de 36 ans, la femme le visitait trois à quatre fois par semaine, du temps où elle habitait juste en face de chez lui, à Port Coquitlam, et, parfois, elle veillait chez lui passé minuit. En contre-interrogatoire, elle a aussi admis qu'elle s'était trompée sur la période au cours de laquelle elle vivait en face de chez l'accusé et qu'elle avait aussi donné la mauvaise adresse. A l'avocat de la défense, elle avait précisé qu'elle avait vécu près de chez Pickton entre 1994 et 1998, mais au procureur de la Couronne, elle a plutôt dit entre 1996 et 1998. "Pourquoi vous en rappelez-vous maintenant?", a lancé le procureur, Mike Petrie. "Je ne sais pas quoi dire, a-t-elle confié. J'ai fait une erreur." La Couronne lui a aussi demandé si elle savait que des prostituées venaient parfois à la propriété de Pickton. Elle a soutenu qu'elle n'était pas au courant et que durant ses séances de nettoyage, elle n'avait jamais remarqué de vêtements féminins ou d'aiguilles. Le procureur lui a aussi demandé à de nombreuses reprises de quoi elle et Pickton discutaient. Elle a indiqué que leurs conversations portaient sur le travail de Pickton et les animaux. Pickton tenait en effet un abattoir. Le jury a aussi appris que Mme Fehlauer était l'ancienne belle-soeur du frère de Pickton, Dave, dont le nom est revenu souvent au cours du procès. Pickton est accusé du meurtre prémédité de six prostituées, mais il sera jugé dans un procès ultérieur pour 20 autres chefs d'accusation d'homicide. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5iAP5gIZm1T0sjLxJ_SeRJHMcOHFA
  18. Caro18

    Your Mommy Kills Animals

    septembre 2007 Your Mommy Kills Animals Réagissez à ce texte ! Brève cinéma Michel Defoy Your Mommy Kills Animals de Curt Johnson. Depuis 2005, le FBI considère les défenseurs des droits des animaux comme la plus sérieuse menace terroriste en sol américain. Que reproche-t-on à ces activistes? Leurs méthodes radicales, qui donnent souvent dans l'intimidation? Non, c'est plutôt leur propension à inciter les citoyens à la désobéissance civile qui est source d'inquiétude. Documentaire touffu, Your Mommy Kills... présente le "combat" d'organismes tels que le SHAC7 et l'ALF (Animal Liberation Front) avec force arguments et images-chocs. S'inscrivant dans la foulée des cinéastes-agitateurs menés par Michael Moore, le réalisateur Curt Johnson sert un film dérangeant, qui suscite nombre de questions épineuses. D'accord, on pense que le montage aurait bénéficié d'un petit coup de ciseau supplémentaire et on aurait aimé que le dialogue entre camps opposés soit plus équilibré. Mais il sera toujours possible de googler plus avant à la maison. http://www.voir.ca/cinema/cinema.aspx?iIDArticle=53292
  19. Les Etats-Unis vont-ils cesser de tester les produits chimiques sur des animaux ? Failles des tests actuels sur des animaux Le Conseil national de la recherche (NRC) des Etats-Unis a récemment publié un rapport intitulé "Tests de toxicité au XXIe siècle: une vision et une stratégie", dans lequel il dénonce les failles des tests actuels sur des animaux et propose de mettre au premier plan les tests réalisés sur du matériel humain. L’industrie chimique et pharmaceutique en a pris bonne note, cette dernière étant déjà bien engagée dans cette voie. Un rapport qui serait particulièrement opportun en Europe, où vient d’entrer en vigueur le règlement REACH: Enregistrement, évaluation et autorisation des substances chimiques. La Commission européenne a estimé à plus de 100.000 les substances présentes dans notre environnement et de plus en plus de publications scientifiques suggèrent ou démontrent un lien entre notre exposition permanente à un cocktail de ces substances et de nombreuses maladies graves dont l’incidence ne cesse d’augmenter : cancer, maladies neurologiques (Alzheimer, Parkinson...), allergies, etc. Pourtant, les effets précis de la majorité de ces substances sur notre santé, ainsi que leurs mécanismes d’action, sont mal connus, et pour cause : le Professeur Thomas Hartung, directeur d’ECVAM et, donc, conseiller scientifique de la Commission européenne, qualifie les actuels tests de toxicité sur des animaux de "tout simplement de la mauvaise science." Il était donc grand temps de se tourner vers des méthodes véritablement scientifiques. Les résultats obtenus sur des animaux n’étant pas transposables aux humains, c’est avec grande justesse que le rapport du NRC annonce : "Les progrès en toxicogénomique, bioinformatique, biologie des systèmes, épigénétique et toxicologie modélisée sur ordinateur pourraient transformer les tests de toxicité d’un système fondé sur des tests sur l’animal entier vers un système fondé principalement sur des méthodes in vitro qui évaluent les changements dans les processus biologiques en utilisant des cellules, des lignées cellulaires ou des composantes cellulaires, de préférence d’origine humaine." et aussi : "Il est attendu du changement prévu que soient générées des données plus robustes sur les risques potentiels posés aux humains par l’exposition à des agents présents dans l’environnement et que l’on dispose d’une plus grande capacité de tester des substances chimiques de façon plus efficace." Un article paru début août dans la revue Chemical Engineering News, très diffusée dans le milieu concerné, présente le rapport du NRC et souligne la différence de stratégie entre l’industrie pharmaceutique, qui a recours depuis longtemps à des tests sur du matériel humain (bien que non exclusivement) et l’industrie chimique où la toxicologie demeure largement fondée sur les tests sur des animaux. Pourtant, l’industrie chimique européenne a tout intérêt à se tourner vers les nouvelles méthodes, ne serait-ce que parce que REACH impose désormais des tests dont le coût sera prohibitif (en particulier pour les PME) s’ils doivent se faire sur des animaux. Antidote Europe et ses partenaires européens ont obtenu que REACH encourage la toxicogénomique, la première méthode citée par le rapport du NRC. Il est nécessaire d’apporter une contribution majeure à cette méthode, en développant d’avantage une approche qui permette de tester des centaines de substances en parallèle, de façon automatisée, en moins d’une semaine (alors qu’un test de toxicité "classique" dure deux ans) et pour un coût d’environ 10.000 euros par substance (contre plusieurs centaines de millions de dollars pour la toxicologie du XXe siècle... qui n’avait pas beaucoup évolué depuis le XIXe !). La communauté scientifique dans son ensemble devrait encourager le NRC et inciter vivement les autorités européennes à adopter, elles aussi, la toxicologie du XXIe siècle, dans l’intérêt de notre santé, de l’environnement, mais aussi de la compétitivité et de l’image de marque de l’industrie chimique. Antidote-europe.org Antidote Europe http://www.antidote-europe.org/
  20. S,V.P.Écrivez un mot à votre député et aux Ministres de l’Agriculture du Québec et du Canada Honorable Gerry Ritz, Ministre de l’Agriculture et Agroalimentaire Canada http://www.gerryritzmp.com/contact.html et Laurent Lessard, Ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec http://www.mapaq.gouv.qc.ca/Fr/nousjoindre/formulairequestions.htm Lettre-type Dear Hon. _________________: It has come to my attention that tens of thousands of horses are killed annually in Canadian slaughterhouses, and that their flesh is shipped overseas for food. Some "meat" horses are victims of live export, and are therefore at the mercy of foreign laws or lack of them. I am further aware of an Ipsos-Reid poll that was conducted in May 2004. This survey revealed that 2/3 (64%) of adult Canadians polled "do not believe in the slaughter of Canadian horses for human consumption" ( http://www.ipsos-na.com/news/pressrelease.cfm?id=2252 ). Slaughter-bound horses originate from many sources. Show horses, racehorses, foals born as a "byproduct" of the Premarin industry (a female hormone replacement drug), wild horses, carriage horses, and family horses have fallen prey to the horse slaughter industry. Horses have not traditionally been raised for human consumption in Canada; however, they are being killed to satisfy the palates of overseas diners in Italy, France, Belgium, and Japan. Overcrowded feedlots, poor transport conditions, and cruel treatment of equines at slaughter plants are concerns that have been widely documented and continue to horrify many Canadians who believe that this industry must be abolished on humane grounds. Horses continue to be found dead on arrival at slaughter plants following transport. The slaughter process itself is not humane euthanasia; undercover video tells a story of terror, pain and prolonged suffering--hardly a fitting end for the noble horse. Economically speaking, it is clear that live horses provide far more boost to Canadian economy than horses killed and exported as meat. Consider this excerpt from an online report: "The horse industry in York Region [Ontario] provides a significant contribution to the economy. With about $400 million in capital investment, the industry contributes $40 million in revenue to local farms and stables, $37 million in direct expenditures to local feed, bedding, product and service providers, and provides more than 6,000 full-time jobs within the Region. In addition, the industry brings approximately 100,000 people to the Region each year to participate in riding and other horse-related activities." As your constituent, I seek your support in banning the slaughter of horses in Canada, and look forward to your prompt reply. Yours truly,
  21. Atrocités envers les animaux Un autre cas à Edmonton La police d'Edmonton est inquiète de la multiplication d'actes d'atrocité envers les animaux. Elle croit que le cadavre d'un chat partiellement écorché ferait partie d'une série de récentes mutilations dans la capitale. L'animal a été découvert dimanche matin sur un terrain derrière l'école Holy Cross, au coin de la 151e rue et de la 104e avenue. Selon le sergent Jeff Anderson, le chat aurait été délibérément mutilé et non pas attaqué par un autre animal. Au moins 17 chats ont été trouvés morts dans la ville durant le mois d'août. Une unité policière fait enquête sur ce phénomène depuis le 20 août. http://www.radio-canada.ca/regions/alberta/2007/09/03/002-chat-mutile-police-edmonton_n.shtml
  22. Nepal Airlines sacrifie deux chèvres pour conjurer les pannes de ses avions La compagnie aérienne Nepal Airlines a sacrifié deux chèvres en offrande à un dieu hindou pour conjurer une série d'avaries techniques de ses Boeing 757. ( Les animaux ont été décapités, à l'aide d'un couteau traditionnel.) POURSUIVRE LA LECTURE: ( photo ) http://www.cyberpresse.ca/article/20070904/CPINSOLITE/70904049/5406/CPINSOLITE
  23. septembre 2007 - 07:42 L’expérimentation animale en augmentation Après avoir connu une forte baisse à la fin du 20e siècle, l’expérimentation animale est à nouveau davantage pratiquée en Suisse, selon la Fondation «Recherches 3R». Fêtant son 20e anniversaire, l’organisation, soutenue par la Confédération et l’industrie, milite notamment pour de méthodes de substitution. Le nombre d’animaux utilisés pour des expérimentations médicales est passé de 2 millions à moins d’un demi-million entre 1983 et 2000, soit une baisse de près de 80%. Mais cela n’empêche pas la Fondation Recherches 3R de tirer la sonnette d’alarme, car la courbe est repartie à la hausse dès 2001, en Suisse et en Europe. Lors d’une manifestation publique organisée fin août pour fêter ses 20 ans d’existence, l’organisation a insisté: il reste beaucoup à faire pour améliorer le sort des animaux de laboratoire. Selon l’ancien conseiller national Hugo Wick, membre fondateur et président de 3R, «des souris manipulées sont très souvent utilisées dans les études sur des défaillances génétiques», a-t-il expliqué. Gènes inactivés Ainsi, pour étudier certaines maladies telles qu’Alzheimer, les chercheurs peuvent inactiver des gènes du patrimoine héréditaire de souris en remplaçant ou en ajoutant des éléments d’ADN dans les cellules. La perte de l’activité génétique entraîne des changements d’apparence et de comportement. Certaines caractéristiques physiques et biochimiques s’en trouvent également affectées. Souvent, pour un seul projet de recherche, ce sont plusieurs milliers de souris qui sont utilisées. Selon la fondation, quelque 94'000 souris génétiquement modifiées ont été utilisées en 2005 en Suisse. «Remplacer, réduire, améliorer» La Fondation 3R a été créée en 1987 pour encourager la recherche et le développement de méthodes de recherche ne recourant pas à l’expérimentation animale. Les 3 «R» signifient «replace», «reduce», «refine» (remplacer, réduire, améliorer). «La création de la fondation était une première en Europe», a rappelé sa vice-présidente, la radicale argovienne Christine Egerszegi. «Il s’agissait en effet du premier partenariat entre des institutions publiques et l’industrie privée dans ce domaine.» Ces partenariats public/privé sont aujourd’hui nombreux, mais aucun n’est adapté au financement de la recherche, a-t-elle déclaré lors de la cérémonie d’anniversaire. Pour la présidente du Conseil national (chambre basse du parlement), la situation en Suisse n’est pas comparable à ce qui se passe en Angleterre, où des activistes de la cause animale s’en prennent tous les jours aux chercheurs, au mépris des règles de l’Etat de droit. Typiquement suisse «En Suisse, les personnes impliquées, qu’elles proviennent de l’industrie pharmaceutique, des milieux de la protection des animaux ou de la politique, se mettent autour d’une table et dialoguent», a encore relevé Christine Egerszegi. Une «disposition» typiquement suisse, selon elle, que Thomas Cueni, secrétaire général d’Interpharma, l’association de l’industrie pharmaceutique suisse qui soutient le travail de la Fondation 3R, attribue à la tradition de la démocratie directe. Par ailleurs, celui-ci a souligné le «respect» dont les sociétés pharmaceutiques font preuve à l’égard des animaux lorsqu’elles doivent pratiquer l’expérimentation animale. «La question est évidemment épineuse, a ajouté Thomas Cueni. Comment protéger les êtres humains grâce à l’expérimentation animale tout en évitant aux animaux de souffrir inutilement?» swissinfo, Faryal Mirza (Traduction et adaptation de l’anglais: Ariane Gigon Bormann) http://www.swissinfo.org/fre/a_la_une/detail/L_experimentation_animale_en_augmentation.html?siteSect=105&sid=8164621&cKey=1188884507000&ty=st
  24. Sherbrooke Des tests sur les animaux dans la région L’arrivée prochaine à Sherbrooke de l'entreprise américaine Charles River crée bien des remous. Le promoteur a dû calmer le jeu cette semaine sur les travaux effectués par la multinationale du secteur pharmaceutique. L'entreprise effectue des tests sur des animaux. «Avant d'en arriver à faire des tests de molécules sur les humains, on doit passer par l'étape des animaux pour évaluer la toxicité, etc.», explique Pierre Quirion, directeur général de Biomed. Ces démarches scientifiques font l'objet d'un suivi très strict de la part des organismes réglementaires. «Il y a des normes canadiennes et internationales sur les expériences qui sont faites en laboratoire avec les animaux, souligne Jean Perreault, maire de Sherbrooke. Toutes les informations qui nous ont été données nous rassurent là-dessus.» Sur un horizon de sept ans, on parle d'un potentiel de 1000 emplois. À titre d'exemple, aux laboratoires de Senneville, la moyenne d'âge des 1600 travailleurs est de 25 ans: 70% des emplois sont occupés par des techniciens des sciences de la vie issus du réseau collégial. En vidéo, regardez le reportage de Jean-François Desbiens. http://lcn.canoe.com/lcn/infos/regional/archives/2007/09/20070903-211743.html
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