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Caro18

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  1. Caro18

    Oiseaux

    Comme tu le mentionnes Animal, les journalistes ont tenté de semer le doute et de discréditer l'organisme RAG, je reconnais là les journalistes du Québec qui poses des questions niaiseuses. Les journalistes auraient dû être choqués et scandaliser au lieu de dire des niaiseries:x Pas un des journalistes a été outré de voir un vétérinaire du gouvernement de l'agence des inspections faire comme si de rien n'était devant toute cette cruauté voir même en rire, cela me choque énormément. Je vais écrire à l'agence des inspections, à tous les supermarchés, aux restaurateurs, au gouvernement et à la société de financement du Québec.
  2. Le producteur Alain Dansereau parle des conditions d'abattage des oies. Audio et Vidéo http://www.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2007/07/10/002-Gavageoies.shtml#
  3. Liiste des établissements canadiens d'abattoirs de volailles au Canada http://www.agr.gc.ca/poultry/entr-esta_s1_f.htm
  4. La SGF investit 2,3 millions dans Les Élevages Périgord MONTRÉAL, le 11 déc. /CNW Telbec/ - La Société générale de financement du Québec (SGF) est fière d'annoncer qu'elle devient partenaire à 43 % de l'entreprise Elevages Périgord (1993) inc. Située en Montérégie, l'entreprise Elevages Périgord est le plus important producteur québécois de foie gras de canard et de ses produits dérivés. Elle emploie près de 50 personnes et vend ses produits au Québec ainsi que dans les grandes villes de l'Ontario et des Etats-Unis. L'investissement de 2,3 millions de la SGF dans ce projet global de 6 millions permettra de développer cette niche de produits alimentaires spécialisés dotée d'un fort potentiel de croissance. Elevages Périgord pourra répondre à la demande grandissante et accroître sa présence sur le marché américain. "Après une dizaine d'années de travail pour construire la filière de production et de multiples efforts de communication, les produits du canard à foie gras sont maintenant bien implantés sur le marché nord-américain. Notre entreprise, Elevages Périgord (1993) inc., filiale du groupe EXCEL DEVELOPPEMENT en France, dispose d'un réel savoir-faire sur l'ensemble des métiers. Pour notre croissance, il est maintenant l'heure d'implanter cet outil industriel afin de répondre aux besoins du marché", confirme le président de la compagnie, Monsieur Christian LANUQUE. "Ce projet d'investissement nous a ainsi amenés à rencontrer les gens de la SGF. Les bonnes relations d'affaires et leurs compétences, dans les divers secteurs agro-alimentaires, nous ont rapidement convaincus que la SGF est le partenaire idéal au Québec pour mener à bien ce nouveau défi", a ajouté Monsieur Lanuque. Conformément à sa mission, la SGF fournit du capital de croissance aux entreprises performantes du Québec afin qu'elles puissent réaliser leur stratégie de développement et maximiser leurs activités. Par son investissement de 2,3 millions de dollars, la SGF entend contribuer à une nouvelle phase de croissance d'Elevages Périgord. L'entreprise construira une nouvelle usine d'abattage et de découpe dédiée au canard à foie gras. D'une capacité accrûe, cette usine disposera d'une technologie moderne et éprouvée, permettant à Périgord des gains d'efficacité substantiels. "C'est toujours un plaisir de s'associer à des gens qui veulent accélérer la croissance de leur entreprise, et c'est là où la SGF peut faire la différence, s'est réjoui Pierre Shedleur, le président de la société d'Etat. L'investissement que nous annonçons aujourd'hui permettra à Elevages Périgord de devenir un joueur compétitif à l'échelle nord-américaine dans le marché des produits alimentaires de niche. En participant au projet, la SGF permet à Elevages Périgord d'affirmer sa position de chef de file de son secteur au Canada, et d'accentuer le développement du marché américain.", a ajouté Pierre Shedleur. "Elevages Périgord est une entreprise dotée d'une vision d'affaires qui préconise l'innovation par le recours à une technologie de pointe, et qui cherche à maintenir une position avantageuse dans une niche spécialisée. Ce partenariat donnera à l'entreprise un accès aux capitaux qui lui permettront de poursuivre son développement stratégique", a déclaré le ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, M. Raymond Bachand. Le projet contribuera aussi au développement de ce créneau en croissance. En effet, grâce à sa nouvelle usine, Elevages Périgord offrira son service spécialisé d'abattage et de découpe à d'autres producteurs de canards à foie gras. Périgord réduira ainsi ses propres coûts d'abattage et de découpe tout en offrant à ses concurrents ce service à proximité de leurs installations et à un prix concurrentiel. C'est donc l'ensemble du secteur qui profite de l'investissement de la SGF pour accroître sa productivité. Périgord est une entreprise certifiée selon des normes internationales de contrôle de salubrité et de transformation alimentaire. Elle est donc autorisée à vendre ses produits partout dans le monde. La Société générale de financement du Québec (www.sgfqc.com), holding industriel et financier, a pour mission de réaliser des projets de développement économique, notamment dans le secteur industriel, en collaboration avec des partenaires et à des conditions de rentabilité normales, conformément à la politique de développement économique du gouvernement du Québec. Source: http://communiques.gouv.qc.ca http://www.agribionet.biz/Client/page1.asp?page=2240&clef=26&clef2=11
  5. L'épicerie et la semaine verte ont fait l'éloge des Élevages Périgord SEMAINE VERTE semaineverte@radio-canada.ca Élevages Périgord emballe deux mille 500 foies gras par semaine. Canard franco-québécois Les petits mulard... Les parents français, le mâle de Barbarie et la femelle de Pékin donnent un canard recherché pour la table. Un hybride stérile qui s'appelle le mulard. Petits mulard. Les petits mulard québécois voient le jour dans un couvoir où la température se maintient à 37,5. Ensuite vient le sexage. C'est un sexage visuel, les femelles ont des taches brunes alors que les mâles ont des taches noires. Comme le canard est élevé en majeure partie pour le foie gras on ne gardera que les mâles qui ont un foie beaucoup moins veiné que celui des femelles. Les mâles représentent 55% du lot. Les femelles canetons sont écartées de la chaîne. Le lendemain de l'éclosion, la couvée de mulard prend la route pour être dispersée parmi 19 fermes d'élevage des environs. Dans des bâtiments qui appartiennent à un réseau d'agriculteurs sous-traitants. Poursuivre la lecture: http://www1.radio-canada.ca/actualite/semaineverte/ColorSection/agriculture/040215/canard.shtml L'ÉPICERIE epicerie@radio-canada.ca Les secrets du gras de canard Vous avez sûrement déjà entendu parler du gras de canard. Cette sorte de gras, qui donne un goût unique aux plats, est très utile en cuisine, que ce soit pour confire, cuire ou frire. Le gras de canard est récupéré lors du dépeçage de l’animal. Mis dans un hachoir, il est ensuite fondu et filtré dans un tamis. Il est alors prêt à être utilisé. Poursuivre la lecture: http://www.radio-canada.ca/actualite/v2/lepicerie/niveau2_5950.shtml Élevages Périgord, 228, rue Principale Saint-Louis-de-Gonzague (Québec) Tél.: (450) 337-8766
  6. Abatage de canards: des images choquantes seront dévoilées mercredi Le 10 juillet 2007 - 10:09 Une enquête sur les techniques d'abatage du plus important producteur de foie gras du Québec, les Élevages Périgord, basé à Saint-Louis-de-Gonzague, a été révélée ce mardi par le quotidien La Presse. Elle a été menée par un organisme de défense des droits des animaux, le Réseau d'action global (RAG), qui a réussi à infiltrer l'entreprise en y faisant engager un sympathisant. Dans les images captées, on verrait des canards malades qui se font arracher la tête alors qu'ils sont toujours en vie ou qui sont littéralement frappés sur les murs. Les images en question seront présentées mercredi en point de presse. Selon le réseau LCN, les enregistrements ont été remis à la police, puisque certains actes filmés seraient illégaux. Les Élevages Périgord est une entreprise qui produit plus de 3 500 canards par semaine. 43% des parts de l'entreprise sont détenues par la Société générale de financement. http://www.matin.qc.ca/ Un producteur de foie gras dans l'embarras Le mardi 10 juillet 2007 La Presse Un groupe de défense des droits des animaux a infiltré le plus important producteur de foie gras du Québec, les Élevages Périgord, à Saint-Louis-de-Gonzague, près de Valleyfield. Le Réseau d'action global (RAG) présentera demain au public des images troublantes de canards malades dont on arrache la tête alors qu'ils sont toujours vivants ou qu'on frappe sur des colonnes de béton. Des images qui tranchent évidemment avec le lustre du foie gras, produit gastronomique par excellence. C'est la première fois qu'un groupe militant s'attaque ainsi à un producteur de foie gras québécois, la pratique étant fort connue en Europe ou aux États-Unis où le gavage a été une cible de choix l'année dernière. «Un de nos sympathisants a été engagé chez Élevages Périgord et a filmé les activités avec une caméra cachée», explique Andrew Plumbly, du RAG. Les images ont été remises à la police locale parce que, selon le groupe, certains actes sont carrément illégaux. La loi fédérale interdit que l'on inflige une souffrance injustifiée à des animaux. «Vous voyez, là, cette méthode n'a pas d'explication scientifique», dit Andrew Plumbly, montrant les images d'oiseaux maltraités, présentées à La Presse dans ses bureaux montréalais, à l'avant-veille de sa conférence de presse. Poursuivre la lecture: http://www.cyberpresse.ca/article/20070710/CPACTUALITES/707100380/6730/CPACTUALITES
  7. Protection et bien-être des animaux de compagnie - LE MINISTRE LAURENT LESSARD ANNONCE L'ATTRIBUTION D'UNE AIDE DE 800 000 DOLLARS A ANIMA-QUÉBEC SHERBROOKE, QC, le 6 juillet /CNW Telbec/ - Le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, ministre responsable des régions de Chaudière-Appalaches et du Centre-du-Québec et député de Frontenac, M. Laurent Lessard, a renouvelé l'entente avec l'Association nationale d'intervention pour le mieux-être des animaux inc. (ANIMA-Québec). La nouvelle entente d'une durée de deux ans comporte une aide financière de 800 000 dollars. Cet organisme sans but lucratif pourra ainsi poursuivre ses activités d'inspection des lieux de garde, d'élevage et de vente de chiens et de chats. «Avec la signature de cette entente bisannuelle avec ANIMA-Québec, notre gouvernement manifeste de nouveau sa confiance envers cet organisme. Une telle collaboration démontre que le sort des petits animaux a toujours constitué une préoccupation gouvernementale», a mentionné Laurent Lessard. Le ministre Lessard a par ailleurs annoncé deux initiatives destinées à intensifier les actions d'ANIMA-Québec, soit la concrétisation d'un partenariat en matière d'inspection entre la Société de protection des animaux (SPA) de l'Estrie et ANIMA-Québec ainsi que la création d'un comité de soutien à ANIMA-Québec. L'entente de service avec la SPA de l'Estrie permet aux membres de son personnel déjà engagé dans des activités visant le bien-être animal d'appliquer la loi québécoise sur la sécurité et le bien-être animal, de concert avec ANIMA-Québec. Au cours des prochaines semaines, un comité de soutien à ANIMA-Québec sera également mis sur pied. Tout en associant de nouveaux partenaires à la cause d'ANIMA-Québec, ce comité facilitera le financement de l'organisme et optimisera l'efficacité des ressources sur l'ensemble du territoire du Québec. Le comité permettra notamment à ANIMA-Québec de consacrer davantage d'efforts à ses activités d'inspection. La docteure Denise Tousignant, médecin vétérinaire et présidente d'ANIMA-Québec, s'est dite heureuse de voir le ministre renouveler sa confiance ainsi que les moyens accrus mis à la disposition de l'organisme pour mener à bien son mandat d'inspection dans les lieux de garde, d'élevage et de vente de chiens et de chats. «Après un peu plus de deux ans d'application de la loi, de nombreuses situations inacceptables ont été corrigées, a souligné Mme Tousignant. Notre personnel d'inspection, dont l'effectif ne cesse de croître, poursuit son travail sur le terrain pour veiller en continu à ce que les chiens et les chats du Québec soient correctement traités.» M. Bruno Felteau, directeur général de la SPA de l'Estrie, s'est félicité de cette entente de service avec ANIMA-Québec, qui consolide les liens de collaboration établis de longue date entre les deux organismes. «Cette entente permet à la SPA de l'Estrie de parfaire les outils légaux et juridiques - Code criminel, règlements municipaux, etc. - à sa disposition pour agir dans les cas de mauvais traitements infligés aux animaux», a-t-il indiqué. Le ministre Laurent Lessard a conclu sur la nécessité d'obtenir l'appui et la contribution de tous afin d'assurer de meilleures conditions de vie aux chiens et aux chats du Québec. «L'ensemble des acteurs québécois préoccupés par le bien-être animal est invité à collaborer étroitement avec ANIMA-Québec et ses partenaires afin de maximiser leur action sur l'ensemble du territoire du Québec», a fait valoir M. Lessard. Soulignons que, dans les cas où la santé ou la sécurité des animaux de compagnie est menacée, la population peut adresser ses plaintes à ANIMA-Québec, par téléphone au 1 866 321-1771 ou au 418 688-1771 ou par courriel à info@animaquebec.com Trouvé ici: http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Juillet2007/06/c4391.html Nouvelle alliance SPA ANIMA-Québec La société protectrice des animaux de l'estrie devient le premier partenaire régional d'ANIMA Québec. L'organisme qui est responsable de faire appliquer la loi provinciale sur la protection sanitaire des animaux de compagnie a également reçu un important appui financier du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation. La nouvelle alliance entre la SPA estrie et ANIMA-Québec permettra à un inspecteur de l'organisme sherbrookois d'obtenir d'avantage de pouvoirs pour faire respecter la loi provinciale pour la protection sanitaire des animaux de compagnie. Cette association arrive au même moment où le ministère de l'Agriculture des Pêcheries et de l'Alimentation renouvelle le mandat d'ANIMA-Québec. De plus le gouvernement augmente le budget de l'organisme qui passe de 150 à 400 mille dollars. Des sommes qui permettront à ANIMA-Québec de faire plus d'inspections. Lors de 3 saisies au cours de la dernière année, plus de 70 chiens et 30 chats ont été saisis dans des conditions insalubres. Malgré le resserrement des lois sur le traitement des animaux de compagnie, chaque année dans les semaines qui suivent le premier juillet, les spa débordent d'animaux qui espèrent être adoptés. http://www.tqs.ca/infos/estrie/2007/07/Nouvelle-alliance-SPA-ANIMA-Quebec-6154
  8. Le chien, le meilleur ami de l'homme... ? (CJRC) - La Société protectrice des animaux d'Ottawa a déposé des accusations contre Yves Levergneux. L'homme de Val-des-Monts est accusé d'avoir omis de prodiguer des soins adéquats à un animal. Son chien est mort d'un épuisement dû à la chaleur. La SPA d'Ottawa a reçu une plainte le 8 juin dernier parce qu'un homme a été vu en train de jeter le corps de son chien dans un conteneur à déchets. Une autopsie a été ensuite pratiquée sur l'animal. L'homme de Val-des-Monts soutient avoir laissé son chien seul dans la voiture environ 2 heures. Marie-Lou St-Onge / CJRC http://www.corusnouvelles.com/nouvelle-chien_meilleur_ami_homme-304282-4.html
  9. Le NPD appuie la mesure législative pour lutter contre la cruauté envers les animaux Je vous remercie de votre correspondance en faveur d’une mesure législative efficace pour lutter contre la cruauté envers les animaux. Le NPD fédéral est en faveur du renforcement des dispositions du Code criminel qui portent sur la cruauté envers les animaux dans le but de décourager la violence et la brutalité et de punir les personnes qui maltraitent les animaux. À première vue, le projet de loi C-373 ressemble beaucoup à son prédécesseur, le projet de loi C-50. Comme vous le savez peut-être, le NPD a appuyé le projet de loi C-50 pendant la dernière législature. Malheureusement, il n’a pas dépassé l’étape de la première lecture, le 16 mai 2005. Le projet de loi C-50 constituait un pas dans la bonne direction parce qu’il accordait aux animaux le statut particulier d'êtres pouvant ressentir de la douleur. Nous croyons que de tels changements – notamment l’augmentation des peines imposées aux auteurs d'actes de cruauté envers les animaux – auraient dû être apportés il y a longtemps. Nous maintenons notre engagement à l’égard des politiques protégeant la nature et les êtres qui y vivent. Le NPD appuie les modifications qui retireraient les infractions relatives à la cruauté envers les animaux de la section du Code criminel portant sur les crimes contre la propriété et qui créeraient une section distincte. En considérant les crimes contre les animaux comme des crimes contre la propriété, on ne protège pas, notamment, les animaux sauvages et errants. Il y a également beaucoup d’autres points sur lesquels il faudrait se pencher. Le NPD est conscient du lien alarmant qui existe entre la cruauté envers les animaux et les crimes violents commis contre des personnes. Aussi, nous serions en faveur d'une campagne nationale de sensibilisation. Nous croyons qu'il est essentiel de pouvoir compter sur des militants convaincus au Parlement et dans l'ensemble de la collectivité, et que la sensibilisation du public jouera un rôle crucial dans l'avancement de ce dossier. J’examinerai le projet de loi C-373 plus en profondeur lorsqu’il sera étudié en Chambre. Tout comme le projet de loi S-213, le projet de loi sur la cruauté envers les animaux dont le Parlement est actuellement saisi, il est malheureusement loin de fournir les mécanismes de protection nécessaires pour les animaux. Il ne fait que demander des peines plus sévères, en vertu de la loi actuelle, pour les personnes reconnues coupables d'avoir maltraité des animaux, et ne fait rien pour augmenter les probabilités d’une condamnation pour les responsables de tels actes. Le NPD se joint au Fonds international pour la protection des animaux et à la Fédération des sociétés canadiennes d'assistance aux animaux pour s’opposer au projet de loi S-213. Soyez assuré que le NPD continuera d’appuyer les initiatives législatives sérieuses qui accordent une véritable protection aux animaux. La violence envers toute créature vulnérable, qu’il s’agisse d’un être humain ou d’un animal, est un acte que nous devrions tous prendre au sérieux. Je vous remercie de l'intérêt que vous portez à cette importante question. Veuillez agréer mes sincères salutations. Jack Layton, député (Toronto-Danforth) Chef du Nouveau Parti démocratique du Canada
  10. Les animaux interdits de vol sous peu sur Air Canada Le jeudi 21 juin 2007 Les animaux interdits de vol sous peu sur Air Canada Presse Canadienne Toronto Mauvaise nouvelle pour les voyageurs qui espéraient amener Fido ou Minou avec eux pour les vacances estivales: Air Canada a annoncé, jeudi, que les animaux de compagnie seront bannis de ses vols passagers nationaux à compter du 15 juillet. Et si elle obtient le feu vert de l'Office des transports du Canada, Air Canada les chassera aussi de ses vols à destination des États-Unis ou d'ailleurs dans le monde. Les chiens, chats et autres devront prendre un aéronef cargo. Un porte-parole d'Air Canada, Peter Fitzpatrick, affirme que le transporteur est si en demande qu'il a besoin de plus d'espace pour les bagages, d'où la mesure annoncée jeudi. «Depuis trois ans nous avons des coefficients de remplissage sans précédent, a-t-il dit. Et ce fait, combiné aux nouvelles règles de sécurité qui limitent les gels et liquides que les gens peuvent amener à bord, signifie que nous transportons plus de bagages que par le passé.» Poursuivre la lecture: http://www.cyberpresse.ca/article/20070621/CPACTUALITES/70621198/1019/CPACTUALITES
  11. Les propriétaires de calèche sont en colère contre les nouveaux règlements exigés par la ville, ils protesteront "contre" prochainement! Le jeudi 21 juin 2007 Les cochers se sentent brimés Hugo Fontaine La Presse Les cochers acceptent mal la nouvelle réglementation municipale censée améliorer la qualité dans l'industrie de la calèche en la rendant plus rentable, plus sûre et plus saine pour les chevaux. «On veut améliorer le produit en tenant compte du fait que c'est l'une des activités préférées des touristes dans le Vieux-Montréal», explique le responsable du développement durable et économique au comité exécutif de la Ville, Alan DeSousa. Le conseil municipal a adopté les nouvelles normes lundi soir. Le règlement impose désormais aux cochers d'obtenir un certificat de bonne santé du cheval au milieu de l'été, en plus de celui demandé au printemps. Ils devront aussi consigner les heures durant lesquelles leurs chevaux sont attelés. Mais la mesure qui fait le plus rager les cochers est l'abaissement de la température maximale pour faire travailler les chevaux. Elle passe de 32 degrés Celsius à 30. C'est donc dire qu'à 31 degrés, il sera interdit de sortir la calèche. Les cochers entrevoient déjà des pertes financières. «La saison est déjà courte», se plaint le cocher André St-Amant. Il note au passage qu'entretenir un cheval durant une année coûte au-delà de 5000$. «On dirait que la Ville s'en fout», ajoute-t-il. Quant à la santé des chevaux, le cocher aux 33 ans d'expérience soutient que «ça ne change pas grand-chose» pour le cheval qu'il fasse 30 ou 32 degrés. Sa collègue Sylvie Deslauriers ne voit pas où était le problème. «Il n'y a jamais eu un cheval déshydraté ici. On ne s'amuse pas à maganer les animaux. Nous les respectons.» Mme Deslauriers croit que la Ville devrait mettre d'autres moyens de l'avant pour veiller à la santé des chevaux. «Ça fait 20 ans que nous demandons des abris pour la pluie et pour le soleil. Nous n'avons rien obtenu.» Pour assurer la rentabilité de l'industrie, la Ville a déjà réduit le nombre de permis. La mesure entre en vigueur cette année. Les impacts ne sont pas encore clairs, selon M. St-Amant. Avec la nouvelle réglementation, la Ville pourra retirer le permis d'un cocher qui aura commis deux infractions. http://www.cyberpresse.ca/article/20070621/CPACTUALITES/706210466/1019/CPACTUALITES Écrivez à Monsieur Alan DeSousa adesousa@ville.montreal.qc.ca pour le féliciter de cette initiative concernant l'application de la modification de la réglementation sur les véhicules hippomobiles, le maire de St-Laurent doit savoir que la population est derrière lui dans ce dossier! _____________________________________________________________ Monsieur Alan DeSousa Saint-Laurent Maire d'arrondissement Conseiller de la ville Membre du comité exécutif COURRIEL: adesousa@ville.montreal.qc.ca http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=132,1315526&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=2488267
  12. Encore une petite avancée grâce à monsieur Alan DeSousa, celui même qui a lancé la campagne pour éviter l'abandon d'animaux domestiques lors des déménagements http://www.info690.com/nouvelle-campagne_pour_eviter_abandon-267782-27.html La Ville de Montréal modifie la réglementation sur les véhicules hippomobiles MONTREAL, le 20 juin /CNW Telbec/ - M. Alan DeSousa, responsable du développement durable, de développement économique et de Montréal 2025 au comité exécutif de la Ville de Montréal, se réjouit de l'adoption, par le conseil municipal, du règlement visant à améliorer la structure de l'industrie de la calèche et la qualité de ce produit touristique. Le règlement municipal vise à apporter plusieurs modifications, entre autres choses: << - L'obtention d'un certificat de vétérinaire au milieu de l'été en plus de celui déposé au moment du renouvellement du permis d'exploitant au printemps; - D'édicter des normes pour l'aménagement des écuries et à leur opération, entre autres, quant à la disposition du fumier et au contrôle de la vermine; - La possibilité de retirer un permis après deux infractions; - De fixer le niveau de température à partir duquel il est interdit de faire travailler les chevaux entre 9 h et 18 h dans le Vieux Montréal (abaissé de 32 à 30 degrés Celsius); - De consigner les heures durant lesquelles un cheval est attelé par jour; - Le montant d'amende dont est passible un propriétaire d'écurie en cas d'infraction; - La fixation du marchepied au châssis, et non aux garde-boue, pour des raisons de sécurité. >> "Les calèches sont considérées comme un véritable produit touristique, notamment pour les Américains, et nous souhaitons ainsi contribuer à la qualité de cette offre. L'adoption de ce règlement permettra à la Ville d'avoir un instrument pour assurer le bien-être des passagers et des animaux", a déclaré M. DeSousa. Rappelons qu'en 2006, la Ville a procédé au rachat de treize permis pour en réduire le nombre à 35, augmenté les tarifs des promenades et a établi à vingt le nombre de permis souhaitables. "Les modifications approuvé par le conseil de ville cette semaine ainsi que les mesures qui ont étaient déjà prises l'année dernière découlent de la volonté de la Ville d'améliorer le fonctionnent de cette industrie", a conclu M. DeSousa. Renseignements: Lucie-Anne Fabien, ARP, Chargée de communications, (514) 872-6063; Source: Darren Becker, (514) 872-6412 _________________________________________________________ Le mercredi 20 juin 2007 Montréal modifie la réglementation sur les véhicules hippomobiles Presse Canadienne Montréal La Ville de Montréal adopte un règlement visant à améliorer la structure de l'industrie de la calèche et la qualité de ce produit touristique. Ainsi, dorénavant, l'exploitant devra obtenir un certificat de vétérinaire au milieu de l'été en plus de celui déposé au moment du renouvellement du permis, au printemps. Des normes pour l'aménagement des écuries et à leur opération, entre autres, quant à la disposition du fumier et au contrôle de la vermine, seront édictées. De plus, un permis pourra être révoqué après deux infractions et les autorités fixeront à 30 plutôt que 32 degrés Celsius le niveau de température à partir duquel il est interdit de faire travailler les chevaux entre 9h00 et 18h00 dans le Vieux Montréal. Alan DeSousa, responsable du développement durable et du développement économique au comité exécutif de la Ville de Montréal, explique que les calèches sont considérées comme un véritable produit touristique, notamment pour les Américains, et que la Ville souhaite contribuer à la qualité de cette offre. En 2006, la Ville a procédé au rachat de 13 permis pour en réduire le nombre à 35, augmenté les tarifs des promenades et a établi à 20 le nombre de permis souhaitables. http://www.cyberpresse.ca/article/20070620/CPACTUALITES/70620063/1019/CPACTUALITES
  13. Notre-Dame-de-Stanbridge Incendie dans un refuge pour animaux Un incendie a ravagé un refuge pour animaux à Notre-Dame-de-Stanbridge dans la région de Brome-Missisquoi. Les deux bâtiments de la «Chaumière sur quatre pattes» ont été lourdement endommagés. Une centaine d’animaux, des chats et des chiens, ont péri dans l’incendie. Les pompiers sont parvenus à sauver une trentaine de bêtes. Le refuge invite les citoyens qui souhaiteraient adopter un chat ou un chien à les contacter. Les dons sont aussi bienvenus. En vidéo, écoutez les explications de Denis Therriault. http://lcn.canoe.com/lcn/infos/regional/archives/2007/06/20070620-083021.html
  14. Le Canada menace les pays interdisant les produits du phoque 19/06/07 02h54 Le ministre canadien des Pêches, Loyola Hearn, a qualifié lundi de "sérieux précédent" l'initiative de pays européens visant à interdire la vente de produits issus du phoque, indiquant que son gouvernement allait "agir en conséquence". La Belgique a instauré un embargo en janvier, imitant l'Italie qui avait légiféré en 2005, mais précédant la France où la mesure devrait bientôt être appliquée. L'Allemagne et les Pays-Bas étudient également la possibilité d'un tel embargo. "Des pays membres de l'UE, dont la Belgique, ont banni le phoque et ses produits dérivés. Il s'agit d'un sérieux précédent... et nous allons agir en conséquence", a déclaré M. Hearn à la Chambre des communes, sans donner plus de précision sur les actions futures d'Ottawa dans ce dossier. "L'Union européenne (UE) elle-même n'a pas interdit ou n'est pas en train d'interdire des produits dérivés de la chasse aux phoques", a fait valoir M. Hearn. Il a rappelé que la question de "l'humanité" de la chasse aux phoques était à l'étude à Bruxelles. "Nous estimons être capables de faire la démonstration (que la chasse aux phoques n'est pas inhumaine)", a poursuivi le ministre canadien. En septembre 2006, le Parlement européen avait adopté une déclaration écrite invitant la Commission à fermer les frontières de l'UE aux produits issus du phoque, mais celle-ci n'a pas encore statué. Les autorités canadiennes ont autorisé cette année la chasse de 270.000 phoques, soit 65.000 de moins que l'an dernier. Ottawa estime à 5,5 millions le troupeau de phoques du Groenland dans ses eaux et affirme que la chasse ne menace pas sa survie. (belga) Trouvé ici: http://www.7sur7.be/hlns/cache/det/art_497518.html?wt.bron=homeArt7
  15. Caro18

    Où est Maggie ?

    Où est Maggie ? GILLES PILON Le Journal de Montréal 18/06/2007 08h01 «Maggie, c'est un membre de la famille, on l'avait depuis six ans... 2000 $ de récompense, c'est pas cher pour la retrouver...» Le 6 mai dernier, Éliane Labonté et Pierre Moreau vivaient une peine atroce, leur petite chienne Maggie, une Lakeland terrier, de six ans, disparaissait sans laisser de traces à l'occasion d'une promenade sur le mont Royal. L'affaire pourrait sembler banale, mais derrière la disparition de cette petite boule de poils enjouée se cache un drame quasi familial. «Nous étions sur le mont Royal, c'était dimanche aprèsmidi et nous l'avons laissée aller jouer un peu plus loin... Il y avait des familles qui pique-niquaient... Quand je me suis rendue compte que je l'avais perdue de vue, je me suis mise à sa recherche...», dit Éliane Labonté en se remémorant les tristes événements. De 16h à 23h, la maîtresse a cherché désespérément son petit animal chéri, demandant aux passants s'ils l'avaient vu, fouillant les bosquets et interrogeant même les policiers qui patrouillaient le parc. Peine perdue, on n'a trouvé aucune trace de l'animal. Loin d'abandonner, Mme Labonté a publié plusieurs annonces dans les journaux de la métropole, qui lui ont coûté près de 300 $ ainsi que sur des sites Internet spécialisés. Elle a même offert une récompense de 2000 $ à quiconque l'aiderait à retrouver Maggie. Kidnapping «Je crains qu'elle ait été kidnappée pour être amenée dans une " usine à chiots» ( puppy mill). Si c'est le cas, j'ai peur qu'elle souffre beaucoup... Dans de tels endroits les chiens sont maltraités et Maggie a eu beaucoup de difficulté à avoir sa première portée... Elle pourrait mourir si elle devait avoir une deuxième portée», disait samedi sa Éliane Labonté. Selon elle, il n'y a qu'un seul éleveur de Lakeland terriers officiel au Québec et la demande pour cette race de chiens est grande. «Maggie, c'était le chien parfait... Elle allait spontanément aux gens, elle n'était jamais agressive... Elle adorait jouer avec les enfants...», dit la propriétaire éplorée. Arnaque L'offre de récompense de 2000 $ a attiré des gens mal intentionnés. Il y a quelques semaines, un rigolo a fait croire au couple qu'il savait où trouver Maggie et que, contre une commission de 200 $, il était prêt à leur ramener l'animal. Ce fut une cruelle déception pour le couple puisque le malin a finalement réussi à leur soutirer 100 $ sans qu'ils retrouvent Maggie. Encore de l'espoir Les propriétaires de Maggie espèrent encore retrouver leur petit animal chéri. Aux personnes qui l'auraient vu, ils demandent de le rapporter, ils sont prêts à verser la récompense. S'il s'agit de ravisseurs, ils leur demandent de ne pas faire de mal à Maggie et de ne pas l'enrôler dans une usine à chiots. «Elle ne fera pas une bonne reproductrice et elle va souffrir énormément...», de dire Mme Labonté. Maggie est un Lakeland Terrier, (comme Milou, le chien de Tintin), âgée de six ans, pesant environ 19 livres, de couleur beige. Elle porte une micropuce. Elle est enregistrée au Club canin canadien. Toute personne pouvant fournir des renseignements sur la disparition de Maggie est priée de le faire en composant le (514) 990-7249. http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2007/06/20070618-080101.html
  16. Des citoyens d’Authier-Nord dénoncent un producteur de bétail Par Yvon Audet Des résidants du rang 8-9 Ouest d’Authier-Nord, Évelyne Pelletier et Gilbert Bélanger, dénoncent l’irresponsabilité de leur voisin, Pierre Ménard, qui laisserait paître n’importe où son bétail et ceux d’autres éleveurs dont il a la charge, sans les nourrir et sans les garder dans des pâturages clôturés. Cette situation qui leur causerait beaucoup de désagréments au point où ils demandent aux organismes concernés de prendre les mesures qui s’imposent pour remédier à cette situation. «Cela fait cinq ans que nous nous plaignons des mauvais soins, de son manque de jugement, de tout ce qui se passe et il n’y a pas encore de changements, ont confié Mme Pelletier et M. Bélanger au journal, récemment. À tous les ans, ses bêtes saccagent tout sur leur passage. Cela nous coûte cher.» Le couple prétend que le problème s’est accentué avec le temps du fait qu’en plus de son propre cheptel (environ 100 têtes), M. Ménard accueille également sur ses lots ceux d’autres producteurs. «Ça peut monter entre 350 et 700 bêtes, incluant les vaches et les moutons.». Or, le 13 mai 2007, deux habitants du coin auraient aperçu l’un des bovins blessé à une patte. «Une broche de clôture lui serrait fortement une partie du jarret», racontent les dénonciateurs dans un document transmis au journal. «Deux bêtes sont gravement blessées en raison au mauvais entretien de la clôture». Le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) a été avisé de la chose le 15 mai. Puis, les 20 et 21 mai, les deux résidants ont reçu la visite d’une cinquantaine d’animaux qui ont traversé chez eux en saccageant leurs deux jardins, leur pelouse et leurs petits arbres. Leur cerisier se fait bouffer, les bêtes ont même passé dans la piscine et laissé des traces de leurs excréments sur leur parterre, selon leurs dossier. Agronome de formation mais sans détenir de carte de membre, M. Ménard laisserait traîner sa clôture par terre, ce qui risque de causer des blessures aux animaux, pensent les plaignants. Ces derniers prétendent que leur voisin «laisse souffrir ses bêtes, les laisse mourir, que les vaches accouchent seules» et qu’il y aurait «des animaux morts près des cours d’eau.» Ils lui reprochent aussi de ne pas clôturer adéquatement ses terres, ce qui permet aux troupeaux d’aller n’importe où, y compris sur le chemin, ce qui pourrait être dangereux pour les accidents et ce qui cause des dommages importants aux propriétés des environs. Démarches vaines Mme Pelletier et M. Bélanger affirment avoir effectué des démarches auprès de M. Ménard lui-même, de la municipalité, du MAPAQ, du ministère de l’Environnement, de la Commission de protection envers la cruauté des animaux, récemment, mais sans obtenir de résultats concrets.. http://www.hebdosquebecor.com/eaa/06132007/eaa_06132007_A12.shtml
  17. Beagles flown to labs for testing Air Canada confirms shipments to Europe MAX HARROLD, The Gazette Published: Tuesday, May 29, 2007 Clients don't have to tell us anything." Air Canada spokesperson Isabelle Arthur said a 1998 ruling by the Canadian Transportation Agency forbids the airline from refusing to ship animals simply because of their purpose. The ruling was made after Air Canada refused to carry monkeys intended for vivisection. But Jadrino Huot, a spokesperson for the CTA, said the ruling was made to force Air Canada to apply its own policies and that the airline was entirely within its rights to change its policies. "Air travel is a deregulated industry," he said. "They set their own policies." One Air Canada flight attendant, who asked not to be identi- fied, said the dog shipments have been kept "hush, hush." "It's a business," she said. They shouldn't be doing this." mharrold@ thegazette.canwest.com www.canada.com/montrealgazette/news/story.html%3Fid%3D0010ae9f-d017-444f-8bb8-3b69dedf7528%26p%3D2+Beagles+flown+to+labs+for+testing&hl=fr&ct=clnk&cd=2&gl=ca" target="_blank" rel="nofollow">http://64.233.167.104/search?q=cache:hi4wmnUj8CsJ:www.canada.com/montrealgazette/news/story.html%3Fid%3D0010ae9f-d017-444f-8bb8-3b69dedf7528%26p%3D2+Beagles+flown+to+labs+for+testing&hl=fr&ct=clnk&cd=2&gl=ca
  18. Montréal | Jeudi 07 jun 2007 | 14:35 Campagne pour éviter l'abandon d'animaux domestiques lors des déménagements MONTREAL (PC) - Des groupes de défense des animaux s'associent à la Ville de Montréal pour lancer une campagne de sensibilisation visant à faire diminuer le nombre d'abandons d'animaux domestiques durant la période des déménagements. Chaque année, autour du 1er juillet, un grand nombre d'animaux de compagnie sont abandonnés par leur propriétaire. Alan DeSousa, membre du comité exécutif de la Ville de Montréal, affirme que ce problème est plus important dans les grands centres comme Montréal et Québec. Il souligne qu'environ 43,6 % des foyers québécois possèdent au moins un animal. Selon la Société québécoise pour la défense des animaux, près de la moitié de ces ménages gardent leur animal de compagnie environ deux ans. Le sort d'une grande partie des animaux abandonnés est l'euthanasie. Dans un effort de sensibilisation, Alan DeSousa fait appel aux maires des arrondissements de Montréal afin que des affiches à ce sujet se retrouvent dans tous les édifices municipaux de l'île. Il estime que le problème est plus fréquent qu'on ne le croit, alors que certains organismes prétendent que des milliers d'animaux domestiques sont abandonnés. M. DeSousa qui est aussi maire de l'arrondissement Saint-Laurent, à Montréal, souligne que son arrondissement a mis en place un programme de stérilisation des chats errants. Il recommande aux propriétaires d'animaux de faire stériliser leur animal s'ils ne peuvent s'occuper de leurs petits. Enfin, Alan DeSousa estime que la Loi québécoise sur la cruauté envers les animaux est difficile à appliquer et qu'il y a trop peu d'inspecteurs pour faire respecter cette loi à travers la province. http://www.info690.com/nouvelle-campagne_pour_eviter_abandon-267782-27.html
  19. Saguenay Le bénévolat d'une femme remis en question À Laterrière, à Saguenay, Gisèle Tremblay, une résidante, s'est donné pour mission d'aider les personnes handicapées et les enfants avec les animaux de sa petite ferme. Mais des plaintes de certains citoyens pourraient forcer la municipalité à l'obliger de cesser son bénévolat. Une cinquantaine d'animaux habitent la ferme. Des bêtes malades soignées par la propriétaire, ou des animaux offerts par des citoyens ou la SPCA. Ils sont nourris grâce aux dons. Des bénévoles aident à l'entretien du site. Le problème pour certains voisins, c'est l'odeur de ce fumier. Parce qu'il est trop près des résidences voisines. La ville lui donne 15 jours pour tout nettoyer. La municipalité menace aussi dans son avis de lui retirer ses animaux. En après-midi, le maire est intervenu pour s'assurer que les animaux ne lui serait pas retiré. Et le fumier sera bientôt déménagé. Une bonne nouvelle pour la dame qui aurait tout perdu si on lui avait enlevé ce qu'elle a de plus cher. En vidéo, écoutez le reportage de Sonia Lavoie. http://lcn.canoe.com/lcn/infos/regional/archives/2007/06/20070602-213710.html
  20. Cruauté : 101 animaux trouvés dans des conditions infectes » (INFO690)- Un récidiviste en matière de cruauté envers les animaux se retrouve de nouveau devant la justice. La police de Thetford Mines a effectué cette semaine une perquisition à la suite d'informations provenant de citoyens. Yves Simoneau, de la police de Thetford Mines, précise ce que les policiers ont trouvé... Le suspect, un homme de 59 ans, était sous le coup d'une ordonnance de probation lui interdisant d'être en possession d'animaux. Il a deux antécédents en matière de cruauté envers les animaux. Il n'a pas encore comparu, sa santé le retenant à l'hôpital. http://www.corusnouvelles.com/nouvelle-cruaute_101_animaux-227592-2.html Thetford: un individu comparaîtra concernant une affaire de cruauté envers les animaux Le 18 mai 2007 - 15:10 | Presse Canadienne Un homme fera face à la justice concernant une affaire de cruauté envers les animaux. Mardi, les policiers de la Sûreté du Québec ont effectué des perquisitions dans la cour arrière d'une résidence de Thetford Mines ainsi que dans le logement du suspect dans cette affaire. Des animaux avaient été abandonnés dans des cages dans un cabanon malpropre. Un total de 101 bêtes ont été retrouvées dont des lapins, pigeons, rongeurs, chats et chiens. Le suspect dans ce dossier, un homme de 59 ans, était sous le coup d'une ordonnance de probation depuis septembre 2005, lui interdisant d'être en possession d'animaux, à la suite d'une déclaration de culpabilité dans un dossier antérieur. Le suspect n'a pas encore comparu en raison de son état de santé. Il était à l'hôpital lorsque les perquisitions ont été effectuées. Tous les animaux ont été confiés à la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA). http://www.matin.qc.ca/articles/20070518151055/thetford_individu_comparaitra_concernant_une_affaire_cruaute_envers_les_animaux.html Voici l'inventaire des 101 animaux "en photos" http://www.zone911.com/index.php?option=com_content&task=view&id=1963&Itemid=108
  21. Émission du mardi 22 mai 2007 Les animaux ont-ils des droits? Une discussion avec Jacques Godin, Martine Lachance, Luc-Alain Giraldeau, Jacques Dancosse et Cyrille Barrette. Écoutez l'audio »]: http://www.radio-canada.ca/radio/emissions/emission.asp?numero=1663 Quel est notre rapport aux animaux et à la vie sauvage? Comment cohabitons-nous avec eux? Qui se soucie des animaux sauvages autrement qu’en regardant des documentaires télés? Les changements climatiques contribuent à la disparition d’espèces animales, mais notre appropriation du territoire constitue aussi une menace certaine. La question centrale À la question « Les animaux ont-ils des droits? », Jacques Dancosse croit qu'ils « ont le droit à leur vie, dans un habitat qui est le leur et qui répond à leurs besoins ». La juriste Martine Lachance répond que les animaux n’ont pas de droits dans notre système légal. « L’animal n’est pas une personne au sens du droit. Il est un objet. On donne à l’homme des devoirs à son égard. » Le comédien et grand défenseur des animaux Jacques Godin trouve regrettable que les animaux n’aient pas de droits en termes juridiques. Il propose que les animaux aient des droits différents de ceux accordés à l’homme. Pour le biologiste Cyrille Barrette, les animaux n’ont pas de droits. « La nature est tout à fait neutre. Il y a seulement des lois: la loi du plus fort, de l’économie, de la reproduction. » Le zoologiste Luc-Alain Giraldeau hésite. Il croit que l’homme a des devoirs envers les animaux. Il propose une reformulation de la question: « Est-ce que certains animaux pourraient avoir des droits? » Une longue cohabitation L’homme a longtemps côtoyé les animaux. Ils partageaient le même territoire. L’homme vouait un respect particulier aux animaux parce qu’il en avait besoin pour sa subsistance. Le respect des chasseurs-cueilleurs n’a rien à voir avec le droit des animaux, selon Cyrille Barrette. Le respect du chasseur-cueilleur envers les animaux était motivé par la survie. « Cette relation entre l’homme et l’animal a toujours été une relation de vie ou de mort », déclare Martine Lachance. Les animaux de laboratoire Au Québec, la loi sur la protection et le bien-être des animaux ne s’applique qu’aux chats et aux chiens. Mais cette loi ne s’applique pas aux animaux de laboratoire, même s’ils sont des chats et des chiens, précise la juriste Martine Lachance. Jacques Godin dénonce la recherche qui utilise les animaux. Selon le comédien, on ne peut extrapoler les effets que peut avoir un médicament qui peuvent varier d’une espèce à une autre. La simulation par ordinateur pourrait remplacer les animaux de laboratoire. Une société américaine a développé une souris virtuelle afin de poursuivre des recherches sur le diabète. Un certain désintérêt L’homme ne s’intéresse plus aux connaissances précises sur les animaux, estime Serge Bouchard, à l’exception des scientifiques qui les observent et, parfois, qui interviennent dans leur développement. En accord avec ses invités, Serge Bouchard constate que même s’il n’a pas de droits, l’animal a droit à la dignité et au respect. http://www.radio-canada.ca/radio/emissions/document.asp?docnumero=37936&numero=1663
  22. Des ressemblances entre la façon dont Pickton abattait les porcs et le traitement réservé aux cadavres de femmes Presse Canadienne (PC) 16/05/2007 21h47 Plus tôt mercredi, un vieil ami de la famille de l'accusé, qui le connaît depuis environ 50 ans, a raconté que Pickton débitait les porcs de façon traditionnelle après les avoir tués avec une arme à feu de calibre .22. Robert Korac, qui gagnait sa vie comme boucher commercial, a indiqué aux jurés qu'il connaissait la famille de Pickton depuis des décennies et qu'il en avait été assez proche pour porter le cercueil de ses deux parents. M. Korac a expliqué que Pickton tuait d'abord les porcs d'un coup de feu dans le front, avant d'en chauffer la carcasse dans de l'eau bouillante pour en retirer les poils et les pendre ensuite par une patte arrière. «Il les levait dans les airs pour les saigner», a précisé Robert Korac. Pickton utilisait un couteau de boucherie, qu'il plantait sous le cou des animaux. Parfois, il utilisait un grattoir ou un chalumeau pour retirer les poils les plus rudes. La Couronne espérait, avec ce témoignage, souligner des ressemblances entre la façon dont Pickton abattait les porcs et le traitement réservé aux cadavres de femmes retrouvés sur sa propriété. Pickton est accusé du meurtre au premier degré de six femmes. Il sera jugé plus tard pour le meurtre de 20 autres femmes. http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2007/05/20070516-214738.html
  23. Israël interdit les tests sur les animaux pour les produits cosmétiques et d'entretien Israël a interdit les tests sur les animaux pour les produits cosmétiques et d’entretien. Cette loi concerne entre 2000 et 3000 animaux chaque année en Israël. La modification de la loi a été proposée par le parlementaire Gideon Sa’ar du Parti du Likud. Ce dernier aurait réaffirmé l’importance de cette loi qui rendrait compte de la manière dont Israël serait en train d’évoluer en matière de droits des animaux. La directrice de l’association israélienne ‘Let the Animals Live’ aurait également fait part de sa satisfaction et de son souhait qu’Israël ne devienne pas « l’arrière-cour des fabricants de produits cosmétiques qui veulent tester leurs produits » La tendance est aujourd’hui à l’interdiction de tels tests dans les pays développés, mais certains pays comme les Philippines et le Vietnam sont très en retard pour stopper de telles pratiques et sont devenus de véritables Eldorado pour les entreprises qui souhaitent continuer cette pratique illégale en Europe et aux USA. D’après le site spécialisé Paroles d’Animaux, M. Sa’ar aurait juré qu’il proposera une seconde loi visant à interdire l’importation de produits testés sur les animaux. La précédente tentative de M. Sa’ar en la matière aurait échoué à une voix près. M.F http://www.israelvalley.com/news/2007/05/29/10501/israel-animaux-isrannl-interdit-les-tests-sur-les-animaux-pour-les-produits-cosmnntiques-et-d-entretien
  24. POLLUTION. Quelque 10 millions de tonnes de plastique se déversent chaque année dans les océans. Elles causent la mort d'innombrables animaux. Greenpeace dénonce le massacre dans sa dernière campagne. Etienne Dubuis Mardi 29 mai 2007 Des centaines de morceaux de plastique de couleurs variées, les uns minuscules et informes, les autres grands et aisément reconnaissables, comme un bouchon et un briquet. Cette collection sert d'image choc à la dernière campagne de Greenpeace contre la pollution des océans. Et pour cause: elle a été récemment découverte dans l'estomac d'un poussin albatros, trouvé mort, affamé, sur une plage des îles Hawaï. Victime, parmi beaucoup d'autres, de la transformation des mers en poubelle planétaire. Le phénomène n'est pas nouveau. Mais il prend au fil du temps des proportions toujours plus dramatiques. On estime que quelque 10% du plastique produit chaque année finit dans les océans. Ce qui représente aujourd'hui quelque 10 millions de tonnes de déchets. Or, cette matière, aux qualités de résistance éprouvées, ne se dilue que très lentement dans son environnement – une pièce retrouvée dans un estomac d'albatros en 2005 provenait d'un avion abattu durant la Seconde Guerre mondiale. Et lorsqu'elle a fini de se désintégrer sous l'action du soleil, du vent et du sel, elle subsiste longtemps encore sous forme de minuscules particules. Conséquence: depuis que sa fabrication a explosé, dans les années 50, elle a envahi une grande partie du monde marin. Poursuivre la lecture: http://www.letemps.ch/template/societe.asp?page=8&article=208063
  25. Un zoo jette en pâture des vaches vivantes à des tigres Une vache jetée d'un camion sur laquelle se ruent une demie-douzaine de tigres de Sibérie... sous l'œil d'un public ravi. Telles sont les images choquantes filmées par une équipe de Sky News. La chaîne de télévision britannique enquêtait sur les pratiques de certains zoos chinois, aux côtés de défenseurs des droits des animaux. Le Wild Life Park de Harbin, un "safari park" situé dans le Sud-Est de la Chine, propose ce "spectacle de cirque romain", selon les termes de Pierre Gay, directeur du zoo de Doué-la-Fontaine (1) et président du Comité conservation de l'Association des zoos et aquariums européens (Eaza). "Il y a là un manque de moral vis-à-vis des animaux domestiques mais aussi vis-à-vis des visiteurs", déclare-t-il à LCI.fr. "Cette pratique est extrêmement condamnable et ne présente aucun intérêt pédagogique", insiste-t-il. "Cela insiste seulement sur la férocité des fauves sans rien apporter à la connaissance des visiteurs : la vache n'a pas le temps de fuir ; quant aux tigres, ce sont des animaux solitaires qui ne chassent jamais en groupe", poursuit-il. "Pas tendres avec les animaux" "En Asie du Sud-Est — Chine, Vietnam, Cambodge... — tout ce qui est vivant se mange et tout ce qui ne se mange pas a des vertus thérapeutiques : on récupère poils, os, bile, testicules pour la pharmacopée chinoise", pointe le spécialiste français. Et de rappeler que "les Chinois ne sont pas tendres avec les animaux" et sont davantage tolérants envers la cruauté contre les animaux que les Occidentaux. Les zoos chinois restent encore à l'écart des organismes internationaux même si des premiers contacts ont pu être noués depuis quelques années, souligne Pierre Gay. Il affirme n'avoir jamais vu ailleurs des fauves nourris avec des animaux vivants dans d'autres zoos. L'Eaza a mis en place des comités scientifiques et d'éthique qui interdisent à ses 300 membres (dont 39 en France) de se livrer à une telle mise en scène. En France, une réglementation encadre depuis 1977 l'activité des parcs zoologiques. Selon Pierre Gay, le problème viendrait davantage des cirques qui, sur les 800 en activité (dont la moitié officiellement répertoriée), utilisent encore des animaux sauvages. (1) Le zoo de Doué-la-Fontaine (Maine-et-Loire) abrite "600 animaux issus de 70 espèces toutes menacées", indique Pierre Gay. Leur présence est à chaque fois liée à un projet de conservation dans leur pays d'origine. VIDÉO http://tf1.lci.fr/infos/sciences/0,,3456416,00-spectacle-choquant-dans-zoo-chinois-.html Trouvé ici: http://tf1.lci.fr/infos/sciences/environnement/0,,3456408,00-zoo-jette-pature-vaches-vivantes-tigres-.html
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