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Le samedi 26 mai 2007 La SPCA est débordée Plus d'un mois avant les déménagements du 1er juillet, les locaux de la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) sont déjà remplis à pleine capacité. Le problème est particulièrement criant pour les chats abandonnés. La SPCA a dû louer une fois de plus des roulottes pour les accueillir. Pour arriver à enrayer ce problème, l'organisme rappelle aux propriétaires de chats qu'il est important de les faire castrer. Le directeur général de la SPCA, Pierre Barnoti, invite les familles désireuses d'adopter un animal de compagnie à visiter la SPCA sans tarder. En vidéo, Véronyque Tremblay fait le point sur la situation avec le directeur général de la SPCA, Pierre Barnoti. http://lcn.canoe.com/lcn/infos/national/archives/2007/05/20070526-171411.html
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Des élèves s'unissent contre la cruauté animale Geneviève Girard Collaboration spéciale LA PRAIRIE - Au terme d'activités de sensibilisation contre la cruauté envers les animaux, des élèves de l'école primaire Saint-Joseph à La Prairie ont manifesté dans les rues, vendredi. Le tout a débuté il y a quelques mois quand Catherine Le Pailleur, enseignante du groupe 330, a apporté en classe les articles du Reflet traitant de la découverte d'un chenil clandestin à Saint-Mathieu. "Les élèves ont tout de suite été dégoûtés et touchés par l'histoire de cette trentaine d'animaux maltraités. Rapidement, ils ont voulu faire quelque chose pour sensibiliser les autres enfants, les enseignants et les parents", indique la professeure, fortement impliquée depuis son enfance auprès des Sociétés pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) de la Montérégie et de Montréal Les 23 élèves se sont employés à lire et à analyser les découpures de journaux fournies, à écrire une lettre au premier ministre Jean Charest ainsi qu'à rédiger des articles de conscientisation pour le journal scolaire. Affiches médiatiques en main, ils ont aussi tour à tour visité les autres classes durant six semaines afin d'augmenter l'impact de cette campagne auprès des autres élèves. Ils leur ont notamment appris plusieurs statistiques alarmantes sur les animaux de compagnie abandonnés, les responsabilités qu'implique la possession d'un chat ou d'un chien ainsi que la réalité des bêtes errantes. "Nous avons vraiment travaillé très fort", mentionne le petit Nicolas Guérette-Berthiaume, visiblement fier de l'expérience. Leurs efforts ont été récompensés puisque plus de 125 jeunes ont participé à la marche de sensibilisation dans les rues avoisinant l'école. Escortés par un policier, ils ont déambulé, pancartes en main. "Protégeons les animaux. Il faut faire quelque chose", criaient certains. "Mettons fin aux usines à chiots", clamaient d'autres avec la ferveur de grands défenseurs. Une fois la marche complétée, tout le monde s'est rassemblé sous le gazebo attenant à l'école Saint-Joseph pour entonner une chanson spécialement écrite sur l'air de Et c'est pas fini. Non, ce n'est pas fini Bien que la campagne de sensibilisation soit terminée, les élèves du groupe 330 continuent à solliciter parents et amis pour fournir au centre de la SPCA Montérégie des denrées et des jouets pour les animaux délaissés. Tandis qu'Ariane Courchesne donnera encore une partie de son allocation personnelle aux bêtes, les autres élèves feront le suivi des améliorations observées auprès des chiens rescapés à Saint-Mathieu. "Vous souvenez-vous de Hope, la chienne? Elle avait des problèmes de peau et était très maigre. Maintenant, elle va très bien puisqu'elle a été adoptée!", assure la jeune Marianne Mourez. Malgré la fierté d'avoir vu ses petits se rendre avec succès au bout de cette aventure, la professeure se désole encore de voir ce qui se passe dans notre société. "La grandeur d'une nation et son progrès moral peuvent être jugés par la façon dont les animaux y sont traités, commente Mme Le Pailleur, en reprenant les paroles de Gandhi. Malheureusement, il semble que le Québec n'emboîte pas le pas. C'est inacceptable!" Vous pouvez aussi aider Chaque jour, les bénévoles des SPCA Montérégie et Montréal ont besoin de plusieurs kilos de denrées et de produits de soins. Toutefois, les ressources financières sont minimes et les dons sont toujours les bienvenus. Les intéressés peuvent communiquer avec le centre de la Montérégie au 450.460.3075 ou écrire à info@spcamonteregie.com http://www.hebdos.net/lrd/edition182007/articles.asp?article_id=168635
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On s'oppose à la désinformation sur la chasse aux phoques Presse Canadienne (PC) 30/04/2007 19h04 Un nouveau rapport recommande au gouvernement fédéral de s'opposer aux militants pour les droits des animaux et au mécontentement des Européens contre la chasse annuelle aux phoques sur les glaces de la côte Est du Canada. Dans son rapport endossé par des députés de tous les partis, le Comité permanent des pêches et des océans des Communes fait 18 recommandations et demande notamment à Ottawa de faire une promotion plus active de la valeur de la chasse aux phoques à l'étranger. Selon le comité, la chasse aux phoques est une activité viable et non cruelle qui joue un rôle crucial dans le maintien de l'équilibre écologique avec les autres espèces marines. Le président du comité, le conservateur Gerald Keddy, estime que la chasse aux phoques est «un élément important du tissu économique, culturel et social des populations de la côte Atlantique et du nord du Canada» et ajoute qu'elle représente pour des milliers de personnes une importante source de revenus. Le comité estime aussi que les campagnes antichasse sont «caractérisées par la désinformation et l'émotivité, par l'utilisation d'images-chocs et de langage provocateur». Dans ses recommandations, le comité fait valoir qu'Ottawa devrait inviter les législateurs européens à étudier la chasse aux phoques canadienne. Il conseille aussi de mettre sur pied des délégations de chasseurs inuits pour faire la promotion de la chasse à l'étranger et d'augmenter les distances minimales imposées à ceux qui veulent observer la chasse. http://www2.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2007/04/20070430-190407.html
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Chasse aux phoques Ottawa dénonce le gaspillage des carcasses Lundi 7 mai 2007, 11 h 33 . Le comité des pêches de la Chambre des communes considère que les milliers de carcasses de phoque abandonnées par les chasseurs constituent un véritable gaspillage. Les chasseurs prélèvent seulement la peau et la graisse sur la majorité de leurs proies. Aux îles de la Madeleine comme dans les provinces maritimes, les chasseurs rejettent ainsi à la mer 90 % des 270 000 carcasses de phoques abattus. Le comité recommande à Ottawa de promouvoir une plus grande utilisation des carcasses. Selon les membres du comité, les communautés concernées pourraient retirer davantage de revenus de la chasse. Le vice-président du comité, le député de la Gaspésie et des Îles, Raynald Blais, croit qu'il faut investir davantage dans la recherche, notamment du côté de la production du collagène. Toutefois, la mauvaise publicité des groupes de défense des animaux a considérablement ralenti le développement de cette industrie. Raynald Blais propose à Ottawa d'accorder du financement au Centre d'interprétation du phoque des Îles-de-la-Madeleine pour organiser une exposition itinérante sur la chasse aux phoques. Cette exposition, croit-il, pourrait être présentée en Europe et faire contrepoids à la promotion des groupes animalistes comme l'International Fund for Animal Welfare (IFAW) et la Human Society. Le député espère que les 18 recommandations de son comité seront entendues et mises en place. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2007/05/07/005-phoques-carcasses.asp
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Embargo français sur les produits du phoque: Ottawa en appellerait à l'OMC La France s'apprêterait à imposer un embargo sur toutes les fourrures et tous les produits de la chasse aux phoques qui est menée au Canada, selon la Fondation Brigitte Bardot qui dit posséder une confirmation à cet effet du ministère français de l'Écologie. Informé de cette nouvelle, le ministre fédéral du Commerce international, David Emerson, a dit que le Canada pourrait porter plainte à l'Organisation mondiale du commerce (OMC). En janvier, l'Italie et la Belgique ont aussi décrété un embargo sur les produits dérivés des phoques, alors que l'Allemagne et les Pays-Bas y songent. Le Canada étudie l'embargo belge et vérifie s'il ne violerait pas les règles de l'OMC. Si c'était le cas pour la Belgique, comme pour éventuellement la France, le Canada pourrait porter plainte. Le ministre souligne qu'un pareil embargo pourrait aller à l'encontre des règles de libre-échange que les pays membres de l'OMC doivent respecter. Le ministre fédéral du Travail, Jean-Pierre Blackburn, a dit que le Canada fera valoir ses droits pour que le commerce des produits de la chasse aux phoques puisse continuer à exister. Selon M. Blackburn, il y a une quantité énorme de phoques et aucune raison de cesser cette chasse. http://www.matin.qc.ca/articles/20070425134019/embargo_francais_sur_les_produits_phoque_ottawa_appellerait_lomc.html
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En regardant en arrière on comprend mieux les efforts déployés pour la promotion de la chasse aux phoques de cette année par le gouvernement canadien. En regardant de plus près le débat du "Comité permanent des pêches et des océans de 2006" on constate que les demandes des industries et des chasseurs ont été entendues et appliquées par le gouvernement canadien pour 2007, le gouvernement a répondu favorablement à toutes les demandes faites par les exploitants de l'industrie du phoque! Comité permanent des pêches et des océans Le mercredi 8 novembre 2006 http://cmte.parl.gc.ca/cmte/CommitteePublication.aspx?COM=10480&SourceId=185182&SwitchLanguage=1 M. Jean-Claude Lapierre (président, Association des chasseurs de loup-marin des Îles-de-la-Madeleine): Bonjour, tout le monde. Je suis heureux de vous voir ici. Notre association vous dit un gros merci. Il nous fait grandement plaisir de pouvoir jaser avec vous. L'Association des chasseurs de loup-marin des Îles-de-la-Madeleine, que je représente, compte de 300 à 400 membres actifs, et de 800 à 900 permis de chasse sont vendus dans notre région chaque année. Aujourd'hui, devant les pressions de la politique européenne, qui veut voter des lois pour abolir la chasse complètement, nous prenons conscience de l'ampleur des dégâts que des images fausses et truquées ont causés à l'activité de la chasse aux loups marins. Nous croyons être presque arrivés à un point de non-retour, et cela nous inquiète beaucoup. L'opinion publique est tout à fait convaincue de ce que l'on avance, cela sans fondement et sans vérification des faits. C'est une énorme vague qui a balayé l'Europe tout entière et maintenant, le gouvernement européen vient dire à notre pays qu'il doit cesser cette activité, sinon il boycottera nos produits marins. Ces faits politiques ont incité M. Raynald Blais, député de Gaspésie—Îles-de-la-Madeleine, à entreprendre des actions et la sénatrice Céline Hervieux-Payette à faire des interventions publiques. Nous les en remercions. Ces faits ont également permis la visite de M. Blais en Europe et d'inviter des représentants européens, de même que la visite de représentants du Conseil européen, le 26 octobre, pendant qu'ils étaient présents à Québec, où l'on a pu constater l'ampleur des dégâts. Également, on est censé recevoir des députés européens le 23 novembre prochain et aller rencontrer les députés au Parlement à Ottawa. Enfin, nous recevons aujourd'hui les membres du Comité permanent des pêches et des océans, et il y aura peut-être d'autres actions que je ne connais pas encore. Enfin, cela bouge! Il y a de l'action! Les chasseurs sont heureux de ces faits politiques, mais ils se posent quelques questions. Allons-nous arriver par ces actions, si utiles soient-elles, à contrer à temps toute la désinformation accumulée depuis 30 ou 40 ans, depuis le début de l'histoire du blanchon? Pourrons-nous convaincre les représentants du gouvernement européen pour qu'à leur tour ils puissent faire face à l'opinion publique de leur pays et donner la vraie version de cette activité, et empêcher l'adoption de lois qui banniraient définitivement la chasse en fermant le marché? La troisième question qu'on se pose est la suivante: quels autres moyens pouvons-nous prendre pour faire valoir la vérité et la justice auxquelles nous avons droit vis-à-vis de cette politique, qui est établie selon des règles et des contrôles établis par notre gouvernement, mais qui ne semble pas faire le poids devant ce mur d'opinion publique bâti à grands coups d'émotions et de sensations fortes? Même dans mon propre pays, il reste encore beaucoup trop de personnes qui ne savent même pas. La contre-information n'a pas été faite. Quatrièmement, pourquoi avons-nous laissé les membres d'associations comme Greenpeace, la Humane Society of the United States et l'International Fund for Animal Welfare, et des personnes comme les Bardot, les McCartney, les Rebecca Aldworth, etc., salir et continuer à salir, année après année, les chasseurs de loups marins, et en même temps les lois du gouvernement canadien? J'insiste là-dessus: surtout les lois canadiennes. Nous, les chasseurs, ne pouvions faire le poids et nous défendre seuls. Cette fausse publicité était montée de façon à éveiller les émotions des gens et très habilement, par des images fausses et truquées, à leur fournir des informations qui installeraient chez eux une opinion solide. Pour contrer une publicité de cette sorte, il faut beaucoup de sous, et nous n'en avions pas. Nous sommes une simple petite association qui a été bâtie au printemps. Avant de terminer, je veux vous parler du film qui a été réalisé par M. Raoul Jomphe, de la Côte-Nord et descendant des Îles-de-la-Madeleine, et la productrice, Mme Céline Chevrier, descendante des Îles également. (1445) Nous sommes allés les visiter la semaine passée. Ce documentaire a été réalisé et produit par la Société Radio-Canada. Les Madelinots pourront assister à son lancement officiel vers la fin janvier. Je suis allé visionner ce film avec un chasseur des Îles-de-la-Madeleine, M. Denis Arseneau, qui est ici aujourd'hui. À notre point de vue, c'est un instrument qu'il sera essentiel de faire voir aux députés au cours de la rencontre du 23 novembre à Ottawa. Ce film peut contrer dans une large mesure la fausse publicité sur la chasse aux phoques. On y présente des images vraies et réelles, et des informations pertinentes et justes pour contrer des images fausses et truquées et des informations à caractère émotionnel et sensationnel. Avant de terminer mon exposé, j'aimerais ouvrir une parenthèse à propos des quotas. En vertu du plan de gestion de l'an passé, le quota est de 325 000 prises au total. Or, le Québec et les Madelinots n'en ont reçu que 25 000, alors que Terre-Neuve-et-Labrador en a reçu 300 000. Nous jugeons ce partage tout à fait inéquitable. Il s'agirait de 7 000 phoques à Blanc-Sablon sur la Basse-Côte-Nord et de 18 000 aux Îles-de-la-Madeleine. Pour faire marcher l'usine ici, nous avons été obligés d'acheter des peaux à Terre-Neuve. Et même à Terre-Neuve, on veut transformer toutes les peaux. On ne pourra plus en sortir. Que ferons-nous de la création d'emplois et de notre usine? Ce sont des questions qu'on se pose actuellement. Je vous remercie de votre attention. M. Raynald Blais: J'aimerais avoir certaines précisions, qui permettront également d'éclairer la lanterne des membres du comité. D'une part, en ce qui a trait aux moyens à utiliser pour faire contrepoids à l'actuelle campagne de désinformation, on a dit qu'il était nécessaire que le gouvernement canadien soit énergique et présent, et vous appuie. Cela peut se faire par toutes sortes de moyens. Ces moyens peuvent-ils être financiers, et peuvent-ils impliquer plusieurs ministères? On se pose parfois la question. Le dossier de la chasse aux phoques fait partie des responsabilités de Pêches et Océans Canada, mais le ministère des Affaires étrangères et du Commerce est aussi responsable de ce qui se passe et peut intervenir. J'aimerais que vous nous entreteniez de la façon d'organiser, de structurer ou d'effectuer cette contre-attaque. M. Paul Boudreau: La meilleure façon pour le gouvernement canadien d'affirmer qu'il se porte à la défense de la chasse serait que le premier ministre fasse une déclaration claire, nette et précise au moment de la chasse. Le premier ministre pourrait affirmer clairement que le gouvernement canadien est en faveur de la défense des chasseurs et que la chasse se pratique correctement. Ce monsieur a été entendu, voici un communiqué du gouvernement Harper LE NOUVEAU GOUVERNEMENT DU CANADA APPUIE LA CHASSE AU PHOQUE SUR LA CÔTE EST ET DANS L’ARCTIQUE http://www.google.ca/search?q=David+Emerson+phoques&hl=fr&start=30&sa=N Poursuivre la lecture du Comité: http://cmte.parl.gc.ca/cmte/CommitteePublication.aspx?COM=10480&SourceId=185182&SwitchLanguage=1
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Des chameaux assoiffés en Australie
Caro18 a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Des chameaux assoiffés en Australie Agence Science-Presse L’Australie connaît actuellement sa pire sécheresse depuis un siècle. Le sol craque et la soif rend les chameaux sauvages agressifs et dangereux. Des centaines de milliers d’animaux désespérés devront être tués ou conduits à l’abattoir pour prévenir des dommages importants qu’ils causent à l’environnement et aux infrastructures. Poursuivre la lecture: http://www.cyberpresse.ca/article/20070425/CPSCIENCES/70425064/1020/CPSCIENCES -
Cruauté extrême envers les animaux Yan Gagné écope de 30 jours de prison Au Lac-Saint-Jean, un jeune homme de 24 ans a été condamné à 30 jours de prison pour un cas de cruauté extrême envers les animaux. Yan Gagné a tué son chien en le frappant à coups de hache notamment. Il a par la suite traîné l’animal par les pattes jusque sur le perron où il l’aurait achevé. Il a été incapable d'expliquer pourquoi il a fait ça, sinon qu'il était très ivre ce jour-là. Yan Gagné avait reçu le chien seulement un mois avant les événements. Il purgera sa peine les samedis et les dimanches pour continuer à travailler pendant la semaine. En vidéo, écoutez les explications de Robert Maranda. http://lcn.canoe.com/lcn/infos/faitsdivers/archives/2007/04/20070426-092341.html
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LE 25 AVRIL 2007 - 12:57 ET Embargo national sur les peaux de phoque : l'IFAW applaudit la décision du Parlement autrichien VIENNE, AUTRICHE--(CCNMatthews - 25 avril 2007) - Hier, le Parlement autrichien a voté à l'unanimité en faveur d'une interdiction d'importation, de transformation et de distribution de peaux de phoques. L'IFAW (Fonds international pour la protection des animaux) travaille depuis maintes années à interdire l'importation des produits de phoques dans de nombreux pays et oeuvre présentement à l'implantation d'un embargo paneuropéen. Le Ministre de l'environnement autrichien, Josef Pröll (OVP), a déclaré qu'il travaillerait également à la mise en place d'une interdiction d'importation au sein de l'UE. Des embargos existent déjà aux E-U, au Mexique, en Croatie ainsi qu'en Belgique. Malgré les dizaines d'années de vive opposition internationale, le gouvernement canadien a continué de permettre l'abattage de plus d'un million de phoques du Groenland en trois ans. En réponse à cette décision, plusieurs pays mettent en place des embargos nationaux afin de fermer les marchés et espèrent ainsi envoyer un message clair au Canada. "Par l'entremise de cet embargo, le gouvernement autrichien s'est joint aux nombreuses voies européennes demandant la fin de cette chasse cruelle," a souligné Sheryl Fink, porte-parole de l'IFAW. "Le gouvernement canadien a gaspillé l'argent des contribuables, plusieurs milliers de dollars, pour envoyer des délégations en Europe afin de promouvoir la chasse commerciale des phoques du Canada. Quoi qu'il en soit, les Européens semblent décidés à s'en tenir aux faits, et les faits démontrent que cette chasse est une activité cruelle, insoutenable où la ressource est gaspillée sans scrupule, une chasse qu'ils ne soutiennent aucunement et à laquelle ils ne veulent pas prendre part." Les quotas de chasse ont été fixés à 270 000 phoques pour l'année 2007. Jusqu'à présent, le nombre de phoques tués est estimé à 195 693. POUR PLUS D'INFORMATION, COMMUNIQUEZ AVEC: Fonds international pour la protection des animaux Marie-France Lettre 613-241-3982 poste 225 Portable : 613-355-3281
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Brigitte Bardot sur le point de réaliser son rêve EMBARGO DE LA FRANCE SUR LES PRODUITS DE LA CHASSE AUX PHOQUES Brigitte Bardot sur le point de réaliser son rêve Michel Dolbec Presse canadienne Paris La France s’apprêterait à imposer un embargo sur toutes les fourrures et tous les produits de la chasse aux phoques menée au Canada. La nouvelle émane de la Fondation Brigitte Bardot. Celle-ci a annoncé dans un communiqué, diffusé mercredi matin, que le président Jacques Chirac, qui quittera bientôt l’Élysée, avait décidé d’aller de l’avant avec cette interdiction, réclamée depuis des décennies par l’ancienne star du cinéma français. «Alors que les phoques sont actuellement massacrés sur la banquise canadienne (quota fixé à 270 000 bêtes cette année), le président de la République française et son gouvernement ont informé la Fondation Brigitte Bardot qu’ils répondraient favorablement à sa demande d’adopter un embargo sur les produits issus de cette chasse», affirme le groupe de défense des animaux. La Fondation Brigitte Bardot, qui avait été informée il y a «quelques jours» des intentions de l’Élysée, affirme avoir reçu mardi une «confirmation» du ministère de l’Écologie. La décision a «bien été prise», déclare la fondation, tout en précisant que sa mise en oeuvre par décret «pourrait prendre quelques mois». En conséquence, les fourrures et les peaux utilisées dans l’industrie textile et les graisses de phoques, riches en oméga 3 et 6, employés dans bon nombre de compléments alimentaires, «ne pourront plus entrer sur le territoire français», se réjouit la fondation. Brigitte Bardot a exprimé «toute sa reconnaissance» au président Chirac. «Trente ans presque jour pour jour après m’être rendue sur la banquise, j’ai le sentiment, peut-être pour la première fois, que mon combat, ma vie, n’auront pas été tout à fait inutiles. Merci!» déclare Mme Bardot. La Fondation Bardot rappelle qu’en janvier, l’Italie et la Belgique ont elles aussi décrété un embargo sur les produits dérivés des phoques. L’Allemagne et les Pays-Bas s’apprêteraient également à prendre des mesures semblables, selon elle. http://www.cyberpresse.ca/article/20070425/CPSOLEIL/70425117/5024/CPDMINUTE
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L'interdiction européenne d'importer des produits du phoque enfreint les droits de la personne OTTAWA et ST. JOHN'S, le 13 avril /CNW Telbec/ - Les membres de la délégation canadienne pro-chasse au phoque qui s'étaient rendus en Europe sont revenus au pays stupéfaits du niveau d'ignorance des politiciens européens au sujet des droits de la personne et de la conservation de la faune. "Ils sont complètement inconscients des graves répercussions que pourraient avoir leurs interdictions d'importation sur les moyens de subsistance et les cultures des chasseurs et des pêcheurs qui dépendent de la chasse", a déclaré M. Rob Cahill, directeur exécutif de l'Institut de la fourrure du Canada. "Les législateurs de l'UE sont sur le point de prendre la mésinformation des animalistes extrémistes et d'en faire des lois qui menacent [b]les droits de la personne des habitants côtiers et leur utilisation des ressources[/b] naturelles", a affirmé M. Cahill dans une déclaration aux politiciens de l'UE. "C'est très grave. Cette décision pourrait aller à l'encontre des recommandations de la Convention sur la diversité biologique (CDB) et de l'Union mondiale pour la nature (UICN)." M. Cahill faisait référence à l'article 8.j. de la Convention sur la biodiversité (1992), dans lequel les membres s'engagent à préserver l'aptitude des collectivités autochtones et locales à se servir de leur savoir traditionnel en vue de conserver et d'utiliser la diversité biologique de la région. Au congrès de 2004, l'UICN a également exhorté officiellement ses membres à ne pas introduire de lois interdisant l'importation ou la commercialisation de produits dérivés de populations abondantes de phoques. L'Allemagne, les Pays-Bas, l'Angleterre et la Belgique, qui ont tous adopté des lois contre l'importation de produits du phoque du Canada ou prévoient le faire, sont parties aux accords de l'UICN et de la CDB. La délégation canadienne a soulevé ses inquiétudes au sujet de la conservation et des droits de la personne auprès des principaux législateurs à Bruxelles, à Londres et à Berlin. (Les politiciens de La Hague ont refusé de rencontrer la délégation canadienne.) "Lorsque nous avons demandé en quoi les interdictions proposées d'importation de produits du phoque sont conformes à la politique acceptée de l'UICN, certains politiciens de l'UE semblaient ne pas être au courant et d'autres paraissaient indifférents au fait que l'UICN ait demandé expressément à ses gouvernements membres de ne pas introduire de nouvelles interdictions d'importation, a déclaré M. Trevor Taylor, ministre de l'Innovation, du Commerce et du Développement rural de Terre-Neuve-et-Labrador. "Ils ne se préoccupaient pas du fait qu'on pratique la chasse au phoque dans certains pays de l'UE et il n'était pas pertinent que des mesures de conservation et de bien-être des animaux existent pour la chasse d'espèces comme le sanglier, le cerf et le rat musqué, même dans leur propre pays. Ils ont fermé les yeux sur ce qui se passe chez eux mais continuent à critiquer le Canada." M. Eugène Lapointe, ancien secrétaire général de CITES et président de l'IWMC World Conservation Trust, a déclaré que : "L'utilisation durable est un principe de conservation que nous défendrons. Les communautés locales doivent se battre pour leurs droits et leurs traditions. La chasse au phoque bien réglementée est aussi justifiée qu'une autre utilisation durable de la faune, un principe qu'appuie maintenant tout organisme de conservation digne de ce nom. Malheureusement, étant très éloignés de la nature, la plupart des politiciens et des défenseurs des droits des animaux d'Europe ont complètement oublié, passé outre ou ne comprennent simplement pas ce que signifie vraiment l'utilisation durable, tant pour les gens que pour les espèces sauvages." Le Réseau des phoques et de la chasse au phoque (sous l'égide de l'Institut de la fourrure du Canada, un organisme national sans but lucratif qui promeut les principes d'utilisation durable et judicieuse) s'engage à conserver et à récolter de manière respectueuse les populations de phoques du monde par le biais d'une saine scientifique et de méthodes d'utilisation durable reconnues à l'échelle internationale. Le Réseau des phoques et de la chasse au phoque se compose de représentants du gouvernement, d'Inuits, de vétérinaires, de conservationnistes, de professionnels de la santé et de l'industrie. Pour obtenir de plus amples renseignements, prière de visiter www.fur.ca ou www.sealsandsealing.net. La Convention sur la diversité biologique est un des traités environnementaux internationaux qui compte le plus d'adhérents au monde. Ouvert aux fins de signature lors du Sommet de la Terre de Rio de Janeiro en 1992, il compte actuellement 190 Parties, dont 189 Etats et la Communauté européenne, qui se sont engagées envers ses trois objectifs principaux : la conservation de la diversité biologique, l'utilisation durable de ses composantes et le partage équitable des bienfaits découlant de l'utilisation de ses ressources génétiques. Le Secrétariat de la Convention est situé à Montréal. L'Article 8 de la Convention sur la biodiversité peut être consulté en ligne à http://www.biodiv.org/convention/articles.shtml?a=CDB-08 Renseignements: M. Robert B. Cahill, directeur exécutif, Institut de la fourrure du Canada, (613) 231-7099 http://www.newswire.ca/en/releases/archive/April2007/13/c5033.html
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11 avril 2007 INVITATION SPÉCIALE - L'UNION FAIT LA FORCE On ne peut que constater que le mouvement humanitaire au Québec est fractionné en groupuscules qui, hormis l’amour des animaux qu’ils partagent tous, demeure divisés par une multitude de croyances voulant que chacun d’eux pense qu’il est le seul à travailler de façon valable à l’amélioration de la cause des animaux. Cette situation est des plus destructiveS et ne bénéficie qu’aux opérateurs des usines à chiots que nous cherchons tous à combattre et qui ont le beau jeu de faire valoir aux autorités compétentes qu’elles ne devraient pas confier le mandat d’inspection à des gens qui en partant se déchirent entre eux et ne partagent pas une même philosophie! La SPCA qui est perçue par plusieurs comme étant le porte étendard de la lutte contre les usines à chiots au Québec (plus de 30,000 signatures à date sur la pétition adressée à l’Assemblée Nationale le prouvent ainsi que 113,000 signatures déposées en 2000). Nous sommes d’ailleurs soutenues dans nos efforts par le RECC (Le Regroupement des Éleveurs de Chiens Champions du Québec) ainsi que l'APEECQ (Association Professionnelle des Eleveurs et Educateurs Canin du Quebec), d’autres nous perçoivent comme l’organisme qui ne fait rien pour arrêter la prolifération de ces éleveurs cruels. Certains vont même jusqu’à accuser la SPCA d’être complaisante avec ces éleveurs ignobles malgré le fait que la SPCA est sans contexte le précurseur de cette lutte au Québec. Il est grand temps de rectifier le tir! La SPCA a été la première à exposer la situation déplorable des usines à chiots du Québec (prouvé par les nombreux reportages médiatisés auxquels nous avons participés). Nous avons saisi et fermé plusieurs de ces élevages opérant de façon ignoble. Nous avons fait des représentations auprès de tous les ministres de l’agriculture qui se sont succédés à la tête de ce ministère et ce depuis 13 ans. Nous avons offert des solutions viables d’identification des animaux d’élevage et d’enregistrement des éleveurs. Nous avons préparé maintes « mémoires » que nous avons présentés aux différents partis gouvernant le Québec. Finalement nous avons offert au gouvernement de créer une équipe d’inspection à la grandeur du territoire sans que pour autant il ne coûte un sous aux payeurs de taxes québécois. Toutes nos propositions ont accusé un avis de non-recevoir, et ce parce qu’elles étaient structurées et avaient toutes les chances de succès si elles avaient été appliquées. Il est clair que les décideurs préfèrent cette situation de confrontation entre les parties où, en ayant l’air d’écouter les uns et les autres ils gagnent du temps et ne sont pas obligés de se mouiller. Nous sommes devenus tous les dindons de la farce! Les amoureux des animaux, qui jugent les actions de la SPCA et trouvent qu’elle n’en fait pas assez, ont perdu de vue certains faits : - La cruauté envers les animaux est prescrite par la loi si des accusations ne sont pas portées dans les six (6) mois suivant l’événement (la SPCA a les mains liées par la loi pour les cas où on nous rapporte de la cruauté vieille souvent de plusieurs années); - La SPCA ne peut procéder à une saisie sans avoir au préalable obtenu un mandat de perquisition (ne peut être obtenu que si le juge est convaincu que le témoin est crédible, que son témoignage est vécu et « de visu » et non pas du « oui dire »). Les juges n’émettent pas de mandats de perquisition pour aller « à la pêche » lorsque l’on suspecte de la cruauté; - Que « l’intention volontaire » de vouloir faire souffrir un animal est primordiale à l’acte d’accusation (et ce en vertu du Code Criminel Canadien); - Que la loi actuelle n’oblige qu’aux soins minimums et nécessaires (articles 446 et 447 du Code Criminel); - Que la SPCA et ses inspecteurs n’ont pas le droit d’appliquer la loi provinciale sur le bien-être et la sécurité des animaux (P-42). Seul Anima-Québec a ce mandat. Malgré le fait que nous partageons autant que tout un chacun le désir d’agir rapidement et radicalement pour mettre un terme aux opérations des usines à chiots, la SPCA ne doit ni ne peut se permettre de transgresser la loi, même si cela porte certains individus à croire qu’elle n’en fait pas assez. L’avantage de s’unir Si, malgré nos différences d’opinions, de vision, et d’interprétation de la meilleure solution pour régler le problème, nous choisissions tous de nous unir pour présenter un front commun, d’accepter humblement de faire passer la cause du bien-être animal devant tous les irritants qui nous séparent, si nous mettions notre fierté de côté au profit des animaux, nous en ressortirions tous grandis et la cause que nous défendons tous deviendrait inattaquable par ceux et celles à qui nos différences profitent. La SPCA veut être la première à mettre en action ce qu’elle prêche et à cet effet nous invitons toutes les personnes désireuses de s’unir pour le bien-être de la cause à se manifester en nous envoyant un courriel ( pierre@spca.com ). Suite à la réception et à la compilation des données reçues, une réunion sera organisée donnant aux intervenants représentant les différents groupes la chance de s’exprimer librement sans agressivité sur un même pied d’égalité pour trouver tous ensemble un terrain d’entente nous permettant de nous unir tous. Pierre Barnoti SPCA http://www.spcamontreal.com/news.php?lg=fr&id=21
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La chasse aux phoques s'ouvrira vendredi au nord de Terre-Neuve Vendredi 13 avr 2007 SAINT-JEAN, T.-N.-L. (PC) - La chasse aux phoques s'ouvrira vendredi au nord-est de Terre-Neuve, un endroit connu sous le nom de «Front», où la plupart des animaux seront tués. La chasse devrait être ouverte pour une journée, selon les caprices de la météo. La chasse dans les parties nord et sud du golfe du Saint-Laurent a ouvert la semaine dernière. Le Département fédéral des pêches évaluera après la journée de vendredi si les quotas permettent d'ouvrir la chasse pour une journée supplémentaire dimanche. Environ 70 % du quota de 270 000 phoques seront tués au «Front». Le quota est en baisse par rapport à celui de l'an dernier, qui se chiffrait à 335 000 bêtes. Les groupes de défense des droits des animaux risquent d'être moins présents au «Front», une région difficilement accessible par hélicoptère, ce qui fait dire à certains groupes que la chasse s'en trouve moins surveillée par les autorités canadiennes.
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La chasse aux phoques n'est plus une menace Louis-Gilles Francoeur Édition du mercredi 07 avril 2004 Sur la banquise, les animalistes ont remplacé les écologistes Pas un seul groupe écologiste ne fait campagne contre la chasse aux phoques à Terre-Neuve ou aux îles de la Madeleine, y compris Greenpeace, un mouvement qui affirme ne plus voir de menace écologique pour le troupeau de loups marins du golfe Saint-Laurent. «Il y a des lustres qu'on n'a plus personne là-bas car, tout simplement, Greenpeace ne fait plus de campagne contre la chasse aux phoques. L'espèce n'est pas en danger, contrairement à d'autres mammifères marins -- ce qui est le cas de plusieurs espèces de baleines, notamment -- que nos organisations essaient de protéger et de défendre sur d'autres océans. Mais il y a des gens aux Îles qui voient encore des militants de Greenpeace dans chaque adversaire de la chasse aux phoques. Les gens de la région l'avaient vraiment mal pris à l'époque, ce qui explique encore la confusion qui perdure dans l'esprit de certains», explique Steven Guilbeault, de Greenpeace-Québec. Le premier à corroborer les dires de ce militant écologique est nul autre que le directeur régional de Pêches et Océans Canada, Daniel Caron, qui confirme lui aussi que le troupeau de phoques du Saint-Laurent n'est «absolument pas menacé» et qu'effectivement, on ne voit plus le moindre écologiste en chasse contre les chasseurs de phoques. Poursuivre la lecture: http://www.ledevoir.com/2004/04/07/51681.html
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Une oeuvre d'art choque les défenseurs des animaux Une composition artistique mettant en scène une série d'insectes et de reptiles a provoqué la colère de militants canadiens pour la protection des animaux. L'oeuvre de l'artiste chinois Huang Yong Ping, qui expose actuellement dans une galerie de Vancouver, réunit sauterelles, cafards, tarentules, mille-pattes, lézards, scinques et scorpions, sous un dôme en forme de carapace de tortue. Cette pièce, intitulée "Théâtre du monde", représente selon les commissaires de l'exposition "un microcosme des conflits mondiaux" qui sévissent entre les hommes. "Il est clair que son but est de faire voir au spectateur des conflits entre les animaux, et cela ne peut franchement sortir que d'un cerveau plutôt malade", a affirmé Peter Fricker de la Vancouver Humane Society, une organisation de défense des animaux qui appelle au retrait de l'exposition. "Ce n'est pas acceptable de faire ça sous prétexte d'art", a-t-il ajouté. L'exposition a déjà été présentée aux Etats-Unis, dans le Minnesota et le Massachusetts, sans susciter de critiques. Elle se déplacera bientôt à Pékin. http://www.rtl.be/page/rtlinfo/articles/insolitearticle/233.aspx?articleid=71974
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Chasse aux phoques Un promoteur vit des difficultés en Europe Presse Canadienne (PC) 10/04/2007 09h50 Le président de l'Association des chasseurs de loups-marins des Iles-de-la-Madeleine, Jean-Claude Lapierre, qualifie d'ardue la mission diplomatique à laquelle il a participé en Europe, ces dernières semaines. La tournée avait pour but de faire la promotion de l'industrie de la chasse comme une activité durable et sans cruauté. Or, M. Lapierre a constaté que ce qu'il qualifie de 40 ans de désinformation à ce sujet ont causé un tort difficilement réparable. La tournée était organisée par le ministère canadien des Affaires extérieures et du Commerce international, en collaboration avec Pêches et Océans. Jean-Claude Lapierre a déploré l'absence du Québec au sein de la délégation. Il ne s'étonne d'ailleurs pas que la province n'aie pas obtenu de bonification de sa part du contingent de chasse au phoque, dans le Golfe du Saint-Laurent cette année. Au terme de son voyage de 10 jours, Jean-Claude Lapierre a dit avoir convenu, avec les Innus, Amériendiens et autres chasseurs membres de la délégation diplomatique canadienne, de former une coalition qui visera à maintenir la pression sur le gouvernement canadien pour qu'il rattrape les 40 ans considérés perdus à laisser les groupes abolitionnistes démolir l'industrie de la chasse, selon son expression, par la désinformation. http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2007/04/20070410-095013.html
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Le massacre des phoques L’opposition à la chasse aux phoques est devenue quasiment le symbole le plus répandu à travers le monde de la défense animale, à cause notamment de la publicité que l’ex-actrice Brigitte Bardot a insufflé à cette opposition en s’y associant en 1977 et en se rendant elle-même sur la banquise à cette époque. C’est Marguerite Yourcenar qui avait informé Brigitte Bardot du gigantesque massacre des phoques, des blanchons en particulier, à la fin de chaque hiver sur la banquise, au nord-est du Canada. Pour plusieurs qui ne veulent pas remettre en question l’attitude dominatrice, destructrice des animaux humains à l’égard des animaux non-humains, il y a empressement à réduire tout le mouvement de défense animale, qui comporte bien des nuances, voire des différences majeures en son sein, à cette croisade de Brigitte Bardot, voire à Brigitte Bardot tout court. Il suffit alors d’attaquer Brigitte Bardot sur ses points faibles, de la ridiculiser, pour s’imaginer clore le débat. Les machos s’en donnent à coeur joie de manière particulièrement puérile. On peut certes critiquer Brigitte Bardot. Elle est sans doute dans l’erreur dans l’évaluation de certaines situations, mais ce n’est pas parce qu’un individu se trompe à certains égards, qu’il se trompe en tout. N’en déplaise aux « vrais » hommes, Brigitte Bardot, une femme certes, célèbre certes, mais un être humain avant tout, se porte depuis 30 ans à la défense des animaux et la légitimité de cette cause est de plus en plus reconnue même si, il ne faut pas se le cacher, il y a grand péril en la demeure avec l’écocide en cours. Le mouvement de défense animale se divise essentiellement en deux approches. L’approche dite du bien-être animal et celle de la libération animale. Dans le premier cas, on trouve légitime d’exploiter les animaux non-humains mais on veut que cela se fasse avec « humanité ». Dans le second cas, on trouve illégitime, immoral, d’exploiter les animaux et on veut que cessent toutes les formes d’exploitation : élevage, chasse, piégeage, pêche, vivisection, etc. Cette dernière approche s’inscrit dans un mouvement de libération plus large qui remet en cause d’autres rapports de domination que l’humanité a généré en son propre sein au cours de son histoire. Toutes les formes d’oppression entre les humains et des humains à l’endroit des non-humains sont donc dénoncées et combattues : le sexisme, le racisme, l’homosexisme, les discriminations selon l’âge, les classes sociales,... et le spécisme. Actuellement, l’approche dite du bien-être animal, l’approche écologiste, de conservation des espèces, et l’approche économique sont les perspectives à partir desquelles est contestée la chasse aux phoques au Canada. Abordons donc en premier lieu cette tradition violente et meurtrière à partir de cet angle de vue. La cruauté est au rendez-vous chaque année Cette année, le gouvernement canadien autorise le meurtre de 319 500 phoques. Sur ce nombre, 90% des individus tués auront entre 12 jours et 12 semaines d’âge. Ce ne sont pas des phoques adultes, mais le gouvernement a décrété qu’ils l’étaient du seul fait que leur fourrure blanche s’est muée en une autre fourrure... Si le gouvernement le dit, il faut le croire, n’est-ce pas ? Un phoque ne peut se reproduire qu’à partir de l’âge d’environ 5 ans... Bref, on ne tue plus les blanchons, mais on tue encore des individus extrêmement vulnérables, des bébés, beaucoup ne sachant en effet même pas encore nager, n’ayant même pas encore pris le moindre repas solide. Ce n’est pas de la chasse à proprement parler. Les « chasseurs » arrivent sur la banquise à peu près comme s’ils pénétraient dans une pouponnière... et ils s’arrogent le droit de tuer ces tout jeunes êtres en leur fracassant le crâne avec diverses sortes d’armes (plusieurs sont illégales), dont le fameux hakapik (gaffe ressemblant à un pic à glace). Comme tous ces tueurs ne sont pas maîtres dans l’art de tuer du premier coup, il leur arrive de frapper les phoques à répétition, parfois au visage, et dans la frénésie de tuer pour atteindre les quotas permis, une équipe de vétérinaires indépendants a évalué que plus de 40% sont dépecés alors qu’ils sont toujours vivants. Leurs corps auxquels la peau aura été arrachée sans souci des souffrances atroces subies, agoniseront dans une douleur insoutenable juste à l’imaginer... La chasse aux phoques au Canada n’est rien de moins que le plus grand abattage de mammifères marins sur la planète. Après le kangourou en Australie, c’est le second plus grand abattage d’espèces sauvages. C’est le seul abattage de masse qui implique des animaux sauvages nouveaux-nés, le seul abattage de masse où des bébés sont tués sous le regard de leurs mères. Pourtant les promoteurs de cette sanglante barbarie disent que tout se déroule « humainement », sans cruauté, et que les cas de violation des règlements, pourtant bien documentés par les opposants à cette chasse, sont l’exception... On concède que c’est une pratique brutale, mais pas cruelle... Le fait de tuer aussi violemment de si jeunes êtres heurte évidemment les sensibilités, et pour cause, mais le problème n’est pas fondamentalement lié au fait que ce soit des bébés qui sont tués. Le problème est le suivant : on violente, on tue, mais pourquoi ? Vos commentaires sont les bienvenus Poursuivre la lecture: http://www.naturavox.fr/article.php3?id_article=520
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Un rôdeur insaisissable Catherine Handfield Le Journal de Montréal 05/04/2007 07h57 La présence d'un chien vagabondant depuis un mois au Jardin botanique de Montréal donne lieu à une véritable course contre la montre pour sauver le jeune animal, laissé à lui-même. La rocambolesque saga met en vedette un labrador noir nommé Tatoum, que personne au Jardin botanique ou à la Ville, pas plus que sa propriétaire ou les organismes de protection des animaux, n'est parvenu à attraper. C'est que Tatoum, qui n'est pas agressif pour un sou, a plus d'un tour dans son sac pour éviter le retour au bercail. «Ça fait un mois qu'on essaie de l'attraper, mais toutes nos tentatives se sont avérées vaines pour le moment», dit Marie-Joëlle Fillion, porte-parole du Jardin botanique de Montréal. Le périple du canin a commencé au début de mars. Une vétérinaire de l'École vétérinaire de Saint-Hyacinthe avait décidé d'adopter Tatoum, recueilli par sa clinique. Mais le pitou est une bête froussarde. Quand la propriétaire l'a sorti de la voiture pour le faire entrer dans son domicile de l'arrondissement Rosemont, à Montréal, Tatoum a réussi à se défaire de son harnais et a pris la poudre d'escampette. Mangeur de corneilles Par la suite, des marcheurs ont commencé à apercevoir le chien rôder dans les parages, sans trop savoir d'où il venait. Le voyant maigrir, les habitués du Jardin botanique ont pris l'animal en pitié et ont commencé à le nourrir occasionnellement. Poursuivre la lecture: http://www.canoe.com/infos/societe/archives/2007/04/20070405-075701.html
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Le jeudi 05 avril 2007 Chasse au phoque : peu d'échos hors Canada Judith Lachapelle La Presse Quelques brèves mentions dans la presse francophone hors Canada, quelques articles dans la presse anglophone mondiale... Jusqu'ici, la chasse au phoque a peine à se hisser dans le palmarès des 1000 sujets de l'heure dans la presse britannique, américaine et française. Selon la firme Influence Communication, une soixantaine d'articles sur le sujet ont été publiés la semaine dernière dans la presse anglophone mondiale, et une quinzaine dans la presse francophone. Une attention " négligeable ", dit le président de la firme, Jean-François Dumas. «Ce qu'on découvre en faisant la recherche, c'est que la presse internationale n'est pas vraiment intéressée par le sujet», dit M. Dumas. En fait, la chasse au phoque fait davantage jaser dans la presse canadienne. Au pays, la semaine dernière, la chasse au phoque a fait partie du top 50 des nouvelles de l'heure - une attention de 0,09 % au Québec et de 0,23 % au Canada. La recension a été faite du 24 au 31 mars. À l'étranger, lorsqu'il a été question des phoques, c'était la plupart du temps sous la forme de nouvelles brèves dans les pages internationales. Par exemple, dans le numéro du 30 mars du journal français Le Figaro, une brève concernant les nouveaux quotas de chasse au phoque côtoyait une autre brève sur une nouvelle station de télémesures de l'Agence spatiale européenne (ESA) en Nouvelle-Zélande. «On a aussi remarqué que certains journaux thaïlandais ont publié des lettres de lecteurs canadiens, dit M. Dumas. On peut penser que les groupes de pression ont utilisé le courrier des lecteurs pour dénoncer la chasse au phoque.» La chasse - qui s'est ouverte lundi ou hier, selon les régions - continue néanmoins d'être mentionnée dans la presse étrangère cette semaine. Plusieurs médias, surtout américains, ont publié (du moins sur leur site internet) un article à l'occasion de l'ouverture de la chasse. Les groupes de défense des animaux se préparent cependant à une nouvelle offensive médiatique au cours des prochains jours, puisqu'ils survoleront en hélicoptère le site de chasse au nord du golfe du Saint-Laurent. Pêches et Océans Canada a aussi noté une baisse de l'intérêt étranger, cette année, pour la chasse au phoque.« L'an dernier, la visite de Paul McCartney a suscité beaucoup d'intérêt, rappelle la porte-parole Sophie Galarneau. Plusieurs médias étaient également présents pour la chasse. Mais cette année, avec l'état de la glace, c'est plus difficile d'aller voir.» Les blanchons en difficulté La minceur de la glace, attribuable au mauvais temps et peut-être au réchauffement climatique, a causé la mort de nombreux blanchons ce printemps. Les femelles accouchent sur la banquise et leurs petits, incapables de nager, doivent y rester pendant les trois premières semaines de leur vie. Les chasseurs doivent naviguer pendant plusieurs heures cette année pour trouver des phoques sur la banquise. Ils étaient d'ailleurs beaucoup moins nombreux à prendre la mer cette semaine. Les groupes de défense des animaux demandaient d'ailleurs que la chasse soit suspendue cette année à cause de la hausse de mortalité chez les blanchons. Mais les quotas de prises ont tout de même été fixés à 270 000 bêtes, une baisse de 65 000 par rapport à l'an dernier. Malgré la glace mince et la chasse, Pêches et Océans Canada estime que le troupeau de phoques canadien, évalué à 5,5 millions de têtes, est bien loin de l'extinction. Les phoques contre Hérouxville Quelques nouvelles québécoises et canadiennes qui ont fait jaser à l'étranger davantage que les phoques : - Le procès du présumé meurtrier en série Robert Pickton. - Le code de vie de Hérouxville et les accommodements raisonnables québécois. - L'expulsion d'une joueuse de soccer voilée d'un tournoi à Laval. - La nomination de Stéphane Dion à la tête du PLC. - Les élections québécoises. - Le Carnaval de Québec. Source : Influence Communication http://www.cyberpresse.ca/article/20070405/CPMONDE/704050551/5281/CPMONDE
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LE 2 AVRIL 2007 - 14:46 ET La chasse commerciale des phoques du Canada 2007 est officiellement ouverte-Vidéos exclusifs de l'IFAW maintenant disponibles Rédacteurs : Des fiches d'information, photos et une vidéo, ainsi qu'un reportage relatifs à la chasse commerciale des phoques au Canada sont disponibles via le site www.thenewsmarket.com/ifaw . CHARLOTTETOWN, CANADA--(CCNMatthews - 2 avril 2007) - La chasse commerciale des phoques 2007 commence aujourd'hui au Canada et le total autorisé de capture a été fixé à 270.000 phoques du Groenland. Cette année, le Ministère canadien des Pêches et Océans (MPO) a échelonné les dates de début de la chasse, en ouvrant aujourd'hui la saison dans la partie sud du Golfe du St. Laurent, alors qu'il a annoncé que le reste du golfe sera ouvert à la chasse à partir du mercredi 4 avril 2007. Dans le monde entier, les écologistes, et notamment les experts d'IFAW (Fonds international pour la protection des animaux - www.ifaw.org) ont condamné la chasse comme étant cruelle et inutile. Le Canada a autorisé l'abattage de plus d'un million de phoques au cours des trois dernières années. Cette année, le total autorisé des captures (TAC) a été fixée à 270.000 phoques. C'est donc la quatrième année consécutive où le nombre accordé par le gouvernement canadien dépasse la quantité de phoques pouvant être prélevée sans engendrer de déclin de la population. L'an dernier, le gouvernement avait fixé la limite à 335.000 phoques, alors que le nombre total de phoques réellement tués a dépassé 354.000, d'après les chiffres officiels publiés par l'Etat canadien. "Cette chasse est d'une cruauté inacceptable et inutile," a déclaré Sheryl Fink, Chargée de recherches auprès d'IFAW et présente à Charlottetown, (Ile du Prince Edouard), pour observer la saison de chasse. "Au cours des années passées, lors de nos observations, nous avons été les témoins de niveaux inimaginables de cruauté envers les animaux et je suppose que cette année ne fera pas exception." Cette chasse commerciale à grande échelle vise les bébés phoques. Les statistiques fournies par les scientifiques missionnés par le gouvernement canadien montrent que sur les 354.000 phoques tués l'an dernier, 98% avaient moins de 3 mois. Les chasseurs sont autorisés à tuer les bébés phoques dès qu'ils commencent à muer et à perdre leur fourrure blanche, alors qu'ils sont à peine âgés de 12 jours. La date de début de la chasse a été retardée cette année, en raison d'un manque de glace inhabituel et donc de la réduction du nombre de phoques dans le Golfe du St. Laurent. Les vols de surveillance organisés par IFAW au cours des deux dernières semaines ont confirmé les rapports qui annonçaient de très nombreuses ruptures de la glace et la présence de petits groupes de phoques très dispersés. Ces conditions n'empêcheront cependant pas l'industrie de la chasse aux phoques d'essayer d'atteindre les quotas fixés à 270.000 animaux. "Avec le terrible manque de glace constaté dans le Golfe du St. Laurent cette année, il est vraisemblable que de nombreux phoques seront tués par les chasseurs en pleine mer," ajoute Sheryl Fink. "Malheureusement, ceux qui ne sont pas tués immédiatement glissent bien souvent dans l'eau et endurent une mort lente. Compte tenu de ces conditions, nous pensons que des dizaines de milliers de phoques souffriront et mourront de cette manière." Pendant toute l'année dernière, le Canada a fait l'objet de vives critiques au niveau international en raison de sa chasse commerciale des phoques, qui est considérée par beaucoup comme étant cruelle et inutile. Plusieurs pays ont pris des mesures pour arrêter le commerce des produits de phoques en Europe. En janvier, la Belgique est devenue le premier pays de l'UE à adopter une interdiction nationale, et l'Allemagne a ensuite annoncé vouloir instaurer son propre embargo. IFAW continue d'inciter d'autres gouvernements, ainsi que le Parlement européen, à fermer les marchés aux produits des phoques. Pour en savoir plus sur la lutte d'IFAW pour faire cesser la chasse commerciale des phoques au Canada, rendez-vous sur le site http://www.stoppezlachasseauphoque.ca/ Note aux rédacteurs : - IFAW dispose d'une équipe de cadreurs et photographes professionnels prêts à obtenir des documents sur la chasse. Les images seront diffusées par l'intermédiaire du site www.thenewsmarket.com/ifaw au fur et à mesure qu'elles seront obtenues. - La chasse dans la partie sud du Golfe du St. Laurent commence lundi 2 avril. La chasse dans la partie nord du Golfe du St. Laurent commence le mercredi 4 avril. La date de début pour la côte nord-est de Terre-Neuve n'a pas encore été annoncée par les pouvoirs publics. - Visitez régulièrement sur le site www.thenewsmarket.com/ifaw pour obtenir des photos et vidéos de qualité broadcast relatives à la chasse commerciale des phoques 2007. - Des images seront diffusées par le satellite APTN une fois le document disponible. D'autres détails sont disponibles via World Television, Londres. Veuillez contacter Caroline Jackson au numéro : +44 (0)20 7388 8555. POUR PLUS D'INFORMATIONS, COMMUNIQUEZ AVEC: Fonds international pour la protection des animaux-Canada Marie-France Lettre 1-613-241-3982 poste 225 Cellulaire : 1-613-355-3281 mlettre@ifaw.org
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Embassy, April 4th, 2007 Gitte Seeberg, un membre du Parlement européen, est venue tenter d'observer la chasse, mais a dû retourner, à force de se faire niaiser par les autorités canadiennes. OPED By Gitte Seeberg Seals Need Protection from Hunting and Climate Change Last April, a fellow member of the European Parliament travelled to Canada to observe first hand the commercial harp seal hunt. He was prevented from doing so by angry mobs of people from sealing communities. He returned from Canada, frustrated that his trip had been largely futile and felt the sealers clearly had something to hide. Having seen footage of the 2005 and 2006 seal hunts, I think I understand what they were trying to keep him from seeing, and so this year I, too, have come to Canada to try to personally witness the hunt for seals. As a Member of the European Parliament, I have been following, with great interest, the seal issue both here in Canada and, of course, within the European Union. I was one of a record number of members of the European Parliament that passed a written declaration expressing opposition to the seal hunt and calling for the European Commission to bring in legislation that would ban seal imports. The declaration specifically excluded seal products from the aboriginal subsistence hunt. It clearly reflected European public opinion, but prompted a large (and expensive) counter lobby from the Canadian government. The European Commission recently replied to the Parliament, announcing it intends to examine the issues surrounding the cruelty of the hunt. It is clear from this that the Commission does not accept the assurances made repeatedly by the Department of Fisheries and Oceans that the hunt is humane. In addition to action at the community level, some member states have also chosen to bring in their own measures. Belgium has recently banned the import of all seal products and the German parliament just voted unanimously to do the same. Italy has implemented a temporary ban pending EU legislation, and the UK has repeatedly expressed its opposition to the hunt and is asking the European Commission to bring in a ban as soon as possible. Outside the EU, the United States has had a ban on the import of all marine mammal products since 1972. Mexico and Croatia have also banned seal imports. I am now deeply concerned that hunting will irreversibly impact the seal population as baby seals must also contend with the added threat of global warming. Global warming is significantly diminishing the ice off the east coast of Canada. This year, I flew over the Gulf of St. Lawrence and witnessed the lack of ice as compared to previous years. Ice maps show just how serious this decline is and a recent report has shown that for nine out of the last 11 years, the ice cover has been significantly below the average for the last 37 years. Baby seals are not yet strong enough to swim and when they are forced into the open water as the ice melts, they drown. The current lack of ice will undoubtedly have an impact on pup mortality and therefore the future population of seals. The WWF points out that "climate change is not occurring in a vacuum" and that over-harvesting is one of the stresses affecting the ecosystem. Even scientists with Canada's Department of Fisheries and Oceans acknowledge that the current level of seal killing is above the replacement yield of the seal population and even before this year's disastrous lack of ice, the population was in decline. But all of this aside, it is the way the seals are killed that causes most offence. Seals are cruelly clubbed and they often bleed to death. In 2002 a study by an international team of veterinarians found that up to 42 per cent of the dead seals may have been skinned while conscious. Within the EU there is growing opposition to the hunt and the good name of Canada is being tarnished as government representatives' attempts to defend the hunt look increasingly desperate and lacking in credibility. In Europe, we are used to compensating fishermen who have to give up their work and Canada has experienced this as well. Sealing is dangerous and dehumanizing work and it would be appropriate for the government to give sealers fair compensation by buying back their licenses. As a member of the largest political group in the European Parliament, the Conservative European People's Party, I appeal to Prime Minister Stephen Harper to consider the impact of global warming on the seal population, to listen to the growing tide of opposition to the hunt from around the world and to call off the hunt. Gitte Seeberg is a member of the European Parliament for Denmark. editor@embassymag.ca http://www.embassymag.ca/html/index.php?display=story&full_path=/2007/april/4/seeberg/