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Franz Weber prie Harper de mettre fin à la chasse aux phoques Franz Weber demande au Premier ministre canadien Stephen Harper de mettre fin à la chasse aux phoques, "au moins pour cette année", alors que de nombreux bébés phoques se noient, faute de glace. Le militant écologiste suisse lui a adressé une lettre ouverte. "Une décision dans ce sens ne manquerait pas de soulever une vague mondiale de gratitude et de respect envers le Canada", souligne le président de la Fondation Franz Weber. Le Montreusien invoque un "cas de force majeur". Le Canada autorise cette année la chasse de 270'000 phoques sur sa façade atlantique. Le ministère des Pêches a souligné jeudi dernier que ce quota tenait compte de la précarité de l'état de la glace dans le sud du Golfe du Saint-Laurent. Poursuivre la lecture: http://www.edicom.ch/fr/news/suisse/6_3571142.html

LAIT DE JUMENT SOIN QUOTIDIEN DE LA PEAU UN COSMETIQUE NATUREL « Cléopâtre, la reine égyptienne, prenait des bains de lait de jument pour entretenir la beauté et la jeunesse de sa peau . » Bien avant que l'on puisse expliquer les bienfaits du lait de jument, les soldats d'Attila s'en abreuvaient pour y puiser de l'énergie...et leurs femmes s'en imprégnaient le visage pour y trouver jeunesse et éclat. Produit par les juments de l'élevage du Lauzon - Savons au lait de jument - Savon liquide au lait de jument - Lotion visage et corps au lait de jument - Lait corporel au lait de jument - Gel douche au lait de jument - Crème de jour au lait de jument - Crème de soin pour les mains au lait de jument Le lait de jument est riche en alpha lactalbumine, une protéine qui améliore le renouvellement cellulaire et augmente la résistance de la peau. Reconnu pour ses effets cicatrisants, protecteur (psoriasis et eczéma) et anti-vieillissement de peau. http://boutique.mere-nature.com/index.html?lang=fr&target=d262.html

Chasse aux phoques - Un nouvel argument des animalistes est contredit Louis-Gilles Francoeur Le mouvement animaliste international essaie d'écologiser cette année son discours en prétendant que les changements climatiques menacent le troupeau de phoques du Groenland. Mais «aucune menace de ce genre ne pèse sur le troupeau, à court et à moyen terme», explique Mike Hammill, un des spécialistes de l'Institut Maurice Lamontagne de Pêches et Océans Canada. Cher lecteur, le reste de cet article est réservé aux abonnés http://www.ledevoir.com/2007/04/04/138182.html

Peut-être que les organismes ont été informés des intentions du gouvernement et qu'il envisage l'exportation vers les pays asiatiques, ( on prépare le marché pour la viande, les huiles et les peaux), si c'est le cas, les campagnes de boycott n'auront aucun effet en Asie. On va reculer de 50 ans. Si les membres du comité ne peuvent pas assister à cette chasse, le rapport ne pourra pas avoir aucune valeur, c'est révoltant! De toute façon, est-ce qu'ils sont vraiment neutres, ils ont juste un côté de la médaille et le gouvernement joue le tout pour le tout!

Le mardi 03 avril 2007 Chasse aux phoques: les groupes de défense se préparent Presse Canadienne Saint-Jean, T.-N.-L. Les groupes de défense des animaux préparent leurs hélicoptères et leur équipement pour se rendre sur un nouveau site d'observation de la chasse aux phoques, qui se déplace cette année vers le nord du golfe du Saint-Laurent. La chasse débute mercredi dans cette région, qui sera la seule occasion pour les opposants à la chasse de capter les images dont ils ont besoin pour alimenter leur campagne contre ce qu'ils considèrent être un massacre annuel sur glace. Le gouvernement canadien a interdit plus tôt cette semaine aux observateurs d'assister aux premiers jours de chasse dans le sud du Golfe, notamment en raison de la minceur de la glace et du moins grand nombre de phoques. Rebecca Aldworth, de la Humane Society of the United States, s'oppose à la chasse aux phoques depuis plusieurs années. Elle a estimé mardi qu'il était répréhensible de la part du gouvernement de restreindre l'accès à la région sud du Golfe, même s'il ne s'y trouvait que deux bateaux et pas plus de 50 phoques. «Pour nous, cela signifie que le gouvernement canadien veut cacher quelque chose au public», a estimé Mme Aldworth. Rebecca Aldworth affirme avoir dû négocier longuement mardi avec les responsables du ministère des Pêches, qui voulaient limiter le nombre d'hélicoptères dans le nord du Golfe à un par groupe d'observateurs. À la fin de la journée, les membres de son groupe ont été avisés qu'ils pourraient utiliser deux de leurs trois hélicoptères, à bord desquels se trouveront des journalistes en provenance de plusieurs pays, dont la France et la Corée du Sud. Des membres du comité permanent des pêches et des océans de la Chambre des communes observeront aussi la chasse dans le nord du Golfe. Le comité achève la rédaction d'un rapport sur la chasse et ses membres croient que le document gagnerait en crédibilité s'ils pouvaient observer le phénomène par eux-mêmes. http://www.cyberpresse.ca/article/20070403/CPACTUALITES/70403197/5025/CPDMINUTE

La chasse aux phoques débute dans la discrétion Ricardo Codina ricardo.codinaSPAMFILTER@la-vie-rurale.ca LA VIE RURALE, 03 Avril 2007 La chasse aux phoques a débuté discrètement lundi 2 avril 2007 dans le sud du golfe du Saint-Laurent. Le quota de bêtes abattues s’élève à 270 000 bêtes cette année. Les protestations de plus en plus véhémentes des groupes d’animalistes se font entendre. Si la chasse aux phoques devait cesser demain matin à tout jamais, bien des groupes d’animalistes auraient des difficultés de financement. La chasse aux phoques leur permet de faire le plein de membres. Seulement deux ou trois bateaux sont partis des Îles-de-la-Madeleine lundi matin si l’on se fit à l’AFP. Un porte-parole du ministère des pêches, Phil Jenkins, a affirmé à l’Agence France-Presse qu’il y a très peu de phoques dans le sud du golfe cette année à cause d’un couvert de glace morcelé. Cela est dû au réchauffement climatique, croient de plus en plus les scientifiques. La Humane Society of the United States se plaint via communiqué de ne pas avoir obtenu de permis d’observation pour le début de la chasse. Monsieur Jenkins explique qu’aucun permis n’a été délivré lundi à cause des conditions précaires de glace et que la chasse dans cette zone sera très limitée. Manque de glace et forte mortalité des blanchons font que la chasse sera fortement compromise dans ce secteur cette année. À partir du 4 avril, la chasse va se poursuivre mais dans le nord du Golfe du Saint-Laurent. La glace y est de beaucoup meilleure. Ultérieurement, la chasse se poursuivra au large de Terre-Neuve. Humane Society et le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW) protestent contre la chasse aux phoques qu’ils jugent cruelle et inutile. Leur plus grand reproche cette année concerne le gouvernement canadien qui a autorité le chasse dans le sud du golfe. Les animalistes estiment que le peu de bébés phoques qui ont survécu seront tués par les chasseurs. Dans les faits, le gouvernement du Canada a autorisé l’abattage de 270 000 phoques cette année plutôt que 335 000 l’an dernier. Le troupeau de phoques est estimé à 5,5 millions par les autorités canadiennes. Le gouvernement du Canada et les chasseurs se défendent mieux que jamais cette année. La chasse aux phoques est contestée depuis quarante ans sans réplique de la part des principaux concernés. Phoques, le film, et le gouvernement du Canada prennent parti pour riposter contre la désinformation de certaines associations animalistes. Phoques, le film affirme que le phoque est devenu l’icône de la barbarie sur la terre. Bien des réactions que l’on retrouve sur le site la Vie rurale de la part des animaliste n’ont plus aucune mesure avec la réalité. Ces gens parlent de la chasse aux phoques comme si c’était le plus important combat auquel doit faire face l’humanité. Personne ne manifeste contre l’abattage des veaux de lait qui va dépasser de loin le 270 000 phoques abattus cette année. Pourquoi ? Pourquoi le phoque plutôt que d’autres animaux ? La chasse aux phoques va s’arrêter bientôt de toute façon avec le réchauffement climatique. Il y aura alors disparition de l’espèce qu’il y ait eu chasse ou pas lors des années précédentes. Tant mieux si la chasse aux phoques a lieu en 2007. Que les groupes animalistes s’en réjouissent, si cette chasse n’était pas revenue cette année, leur membership serait beaucoup plus bas, leurs sources de revenus aussi. Il y aura une baisse de revenus importante pour ces associations lorsque la chasse aux phoques cessera. Ceux-ci diront se réjouir de la fin de la chasse. Mais dans les faits, plusieurs disparaîtront laissant les oies gavées, les veaux de lait et autres animaux sans défenseur. À qui sert le plus la chasse aux phoques dans les faits ? Aux animalistes, pas aux chasseurs en tout cas. D’ici ce jour tant attendu, la chasse aux phoques a débuté dans la discrétion pour la saison 2007 avec un quota global de prises de 270 000 bêtes. Pendant ce temps, animalistes, gouvernement du Canada et Phoques, le film, prennent toute l’attention médiatique. VOS COMMENTAIRES ICI: http://www.la-vie-rurale.ca/contenu/11855 Commentaires Chasse aux phoques Cedric Fontaine Mardi 03 Avril 2007 @ 13:26 Je viens de publier un lien vers cet article. J'aimerais avoir l'avis des personnes qui s'opposent à cette chasse avec des arguments vrais et non biaisés. http://www.terroirsquebec.com/blog/index.php/2007/04/03/89-la-chasse-aux-phoques-debute-dans-la-discretion

Début de la chasse aux phoques au Canada La Humane Society of the United States s'est plainte dans un communiqué de s'être vu refuser un permis pour observer le début de la chasse dans le sud du golfe lundi. M. Jenkins a confirmé qu'aucun permis d'observation n'avait été délivré pour la journée de lundi, à cause "des conditions inhabituelles" dans cette zone et du fait que la chasse y est très limitée. Des organisations de défense des animaux comme la Humane Society et le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW) protestent contre la chasse qu'elles jugent "cruelle et inutile". Elles reprochent en outre aux autorités canadiennes d'avoir autorisé la chasse dans le sud du golfe, permettant aux chasseurs de tuer "les quelques bébés phoques qui ont survécu". Les autorités canadiennes ont autorisé cette année la chasse de 270.000 phoques, soit 65.000 de moins que l'an dernier. Ottawa estime à 5,5 millions le troupeau de phoques du Groenland dans ses eaux et affirme que la chasse ne menace pas sa survie. Poursuivre la lecture: http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-30374199@7-50,0.html

Compte rendu du Colloque de 2005 sur les phoques Novembre 2005 Établi pour : Pêches et Océans Canada Question 3.8 – Permis d’observation de la chasse au phoque Les permis d’observation de la chasse au phoque sont exigés depuis 1977. Ces permis sont conçus pour assurer le bon déroulement de la chasse au phoque et ont été rendus nécessaires à la suite de confrontations entre des chasseurs et des manifestants. Les critères de délivrance et les conditions de ces permis ont été modifiés afin de tenir compte de conseils juridiques et ils font toujours en sorte que les chasseurs peuvent s’employer à respecter les méthodes d’abattage sans cruauté. Est-ce que le régime actuel relatif aux permis d’observation devrait être modifié? Si oui, comment? OUI NON Résumé des résultats des discussions en atelier : L’augmentation de l’efficacité de la gestion des observateurs fait l’objet d’un vaste appui Craintes relatives à la sécurité Augmentation de la distance Restriction du nombre des observateurs Exigence de formation Le harcèlement et l’ingérence devraient être contrôlés plus rigoureusement et faire l’objet de sanctions plus élevées Points exprimés pendant la discussion en séance plénière : Un pêcheur côtier dit qu’il désapprouve le sens donné au mot « observateur ». Il a une famille nombreuse, qui doit rester à terre. Il aimerait amener des membres de sa famille en tant qu’observateurs pour que les jeunes apprennent à chasser. Actuellement, il doit payer pour que chacun obtienne un permis d’observateur. C’est trop coûteux pour un chasseur à petit bateau. Une autorité du MPO répond qu’il ne s’agit pas d’une nouvelle disposition – elle existe depuis 1970. Les membres de la famille peuvent avoir des permis d’observateur – toute personne qui paie 25 $ peut en obtenir un. Quiconque a au moins 16 ans peut obtenir un permis de chasse au phoque. Il a toujours été nécessaire d’obtenir un permis pour participer à la chasse. Un représentant du Québec demande s’il y a une limite au nombre de permis d’observateur qu’on peut obtenir. Une autorité du MPO répond que les tribunaux ont donné aux citoyens le droit d’observer la chasse. Le MPO peut restreindre le nombre des observateurs pour des raisons de sécurité. Les personnes qui demandent un permis font l’objet d’une vérification des infractions qu’elles peuvent avoir commises. La majorité d’entre elles viennent d’Europe. Normalement, elles ne savent pas un mois d’avance si elles peuvent venir ou non. Un représentant des chasseurs de phoque dit qu’il s’inquiète du harcèlement des chasseurs de phoque par les organisations de défense des droits des animaux. Une carabine de calibre 22 est dangereuse dans un rayon d’un mille. Les gens vous observent et vous utilisez une carabine. Il arrive que des balles se perdent. S’il arrive qu’une personne est atteinte d’une balle, le chasseur de phoque va-t-il être accusé de meurtre? Puisque le chasseur doit gagner sa vie à l’aide d’une carabine, les observateurs devraient être à une distance d’au moins un mille. Une autorité du MPO répond que le permis des observateurs porte des conditions qui les obligent à se comporter raisonnablement. Certaines enquêtes ont été menées mais très rares sont les chasseurs de phoque qui se plaignent d’ingérence. La majorité des observateurs respecte les règles. En cas de conflit, le MPO n’est pas responsable de la mise en application du Code criminel. Question 3.9 – Modifier la mesure réglementaire visant les jeunes à dos bleu Il a été proposé de révoquer l’article 27 du Règlement sur les mammifères marins en vertu duquel il est interdit de vendre, d’échanger ou de troquer un jeune à dos bleu, et de protéger les très jeunes phoques à capuchon en interdisant leur chasse jusqu’à ce qu’ils soient sevrés. Êtes-vous d’accord ou non avec cette proposition? Sur quoi repose votre opinion? OUI NON Résumé des résultats des discussions en atelier : Fort soutien pour le développement d’une chasse aux jeunes phoques à dos bleu Craintes au sujet de la possibilité d’une réaction indésirable du marché Points exprimés pendant la discussion en séance plénière : Un représentant des chasseurs dit qu’ils aimeraient que l’expression « jeune à dos bleu » soit remplacée par une autre appellation, comme par exemple « jeunes brasseurs », pour décrire les phoques à capuchon ou les phoques du Groenland une fois qu’ils ont été sevrés et qu’ils ont quitté l’aire de mise bas. Cela aiderait aux relations publiques. Question 4 – Autres Avez-vous d’autres recommandations que vous aimeriez faire en ce qui concerne l’amélioration de la gestion de la chasse aux phoques? Résumé des résultats des discussions en atelier : Une campagne de communication élargie et proactive financée par le gouvernement fait l’objet d’un certain intérêt Il sera question du partage des ressources pendant la réunion du Comité consultatif Points exprimés pendant la discussion en séance plénière : Un représentant des chasseurs du Québec dit que ceux-ci s’efforcent depuis 30 ans de trouver des mécanismes pour contrer la mauvaise presse. Une réunion organisée par l’Institut de la fourrure du Canada a eu lieu dernièrement. Il demande s’il y a d’autres sources d’information pour défendre la chasse. Un représentant de l’industrie de la mise en marché de la fourrure déclare qu’il est important d’accroître les communications pour informer le public au sujet de la gestion judicieuse de la chasse. Il faut faire connaître le point de vue des chasseurs de phoque. Ils font l’objet d’assauts inéquitables de la presse internationale. Chaque année, des milliards de poulets sont abattus. Et combien de cerfs de Virginie sont tués pendant la chasse? Nous assistons à un incroyable barrage de propagande. Nous devons à nos citoyens de faire savoir à quel point la chasse au phoque est bien organisée. Il est absurde de consacrer tant de fonds à la gestion et de ne pas le faire savoir. Une recommandation doit être adoptée pour attribuer au gouvernement la responsabilité de favoriser le renforcement des communications. Un représentant de l’industrie du Québec dit qu’il est très important d’accroître et d’élargir l’effort de communication. Il y a une coalition de 57 organisations de 22 pays qui appuie l’industrie de la chasse au phoque. De 6 à 7 millions de kangourous sont tués chaque année en Australie, mais les gens reprochent encore au Canada sa chasse au phoque. La campagne doit déborder les frontières du Canada. Un représentant des pêcheurs côtiers de Terre-Neuve-et-Labrador indique que la chasse au phoque est une importante activité économique et une très importante source de revenus pour les pêcheurs. C’est une pêche et non une chasse au renard. On devrait parler de pêche plutôt que de chasse. Un participant de Terre-Neuve dit qu’il y a une excellente occasion d’établir un lien avec le système scolaire. Les enfants sauront dicter l’avenir de l’industrie de la chasse au phoque. Il est honteux que nous ne profitions pas de l’occasion d’établir des liens avec les enfants qui risquent d’être les protestataires de demain. Un autre participant de Terre-Neuve dit qu’il a donné des exposés dans des écoles des différentes parties de Terre-Neuve. Les enfants de Terre-Neuve, de l’Ontario et du Québec ne savent de la chasse au phoque que ce que le courant principal de la presse leur dit à ce sujet. Si je me lève et que je proteste, les médias sont obligés de faire écho à ce que je dis. Ils n’apprennent que ce que je leur dis. C’est une diffamation d’un segment de la société qui pose un problème national, mais le gouvernement refuse d’appuyer la population. Les ambassades et les consulats du Canada à l’étranger ne nous défendent jamais. <<On dirait bien que les demandes des chasseurs ont été acceptées cette année>> Remarques terminales Le directeur général, Gestion des ressources, du MPO exprime les commentaires suivants avant de mettre fin au Colloque : Les communications sont nettement très importantes, et nous devrions peut-être consacrer une partie appréciable du prochain Colloque aux questions de communication. Nous devrions peut-être cesser de parler de « chasse ». Nous allons y réfléchir. Nous avons entendu bien des commentaires ici qui nous aideront à aller de l’avant dans ces dossiers. Le MPO et l’industrie ont discuté de la question, mais nous avons encore beaucoup de chemin à faire. Nous avons bon nombre de produits, y compris des documents sur les mythes et réalités et les questions souvent posées, qui sont destinés à faire le point et à dissiper les malentendus. Des lettres du courrier des lecteurs ont été rédigées. Le MPO a procédé à des relevés et tenu une séance d’information technique à l’intention des médias avant la saison de la chasse au phoque de cette année. M. Garry Stenson a donné une série de conférences en Europe au sujet de la réalité de la chasse au phoque. De plus, nous avons créé un service de correspondance ministérielle et un site Web. Nous traitons de mieux en mieux des questions d’information, mais le MPO n’a pas pour rôle de promouvoir la chasse. Nous demandons aux gens de prendre des décisions en se fondant sur des points de vue éclairés. Il n’appartient pas qu’au MPO de se prononcer – on ne nous croit pas toujours sur parole. L’information et les points de vue que diffuseront l’industrie et les communautés feront toute la différence. Le directeur général remercie tout le monde de son apport et déclare que le Colloque a été un franc succès à son avis. Il y a des questions difficiles, litigieuses et parfois troublantes à régler. Nous ne pouvons pas nous entendre sur tout mais nous nous sommes entendus sur un plus grand nombre de points que prévu. Nous pouvons maintenant aller de l’avant ensemble pour instaurer une chasse durable, non cruelle, bien gérée, bien réglementée, mise en œuvre efficacement, fondée sur la science et qui contribue de façon appréciable à l’économie des communautés côtières. Pêches et Océans Canada http://www.dfo-mpo.gc.ca/seal-phoque/reports-rapports/2005-forum/2005-forum_f.htm#3.8

Que dirait un chef d'état sur la chasse aux phoques? Les Européens font mal paraître nos chasseurs. 2007-04-02 07:26 - Commentaire d'opinion - / LBR.ca / - Les Européens font mal paraître nos chasseurs. Depuis 30 ans ils nous dépeignent en barbares des banquises. Il faudrait que nous ayons un chef d’état qui soit capable de leur dire quelque chose comme : « Français! Belges! Européens! Vous aimez les phoques. Vous amassez plus de 77 millions de dollars par an pour les sauver. J’aimerais vous signaler que vous nous exaspérez. Pour nous, ces phoques sont une récolte, comme toutes les autres récoltes. L’humanité récolte plein d’animaux et les phoques n’en sont qu’un parmi tant d’autres, comme les poissons, les crevettes ou les bernaches, les poules, les porcs et les bœufs. La méthode que nous utilisons pour abattre ces animaux, le gourdin, interrompt leur vie et toute leur sensibilité en moins de 2 secondes. C’est la méthode la plus humaine possible, une méthode meilleure que ce qui se fait dans les abattoirs. Si vous nous critiquez au nom des animaux, vous devez mener vos principes jusqu’au bout et devenir tous végétariens. Car pensez-vous que les poissons ne souffrent pas dans vos filets? Même le poisson vous devrez donc l’abandonner. Et pensez vous que les animaux ne souffrent pas quand on les égorge dans vos abattoirs? Toutes vos viandes sont donc suspectes. Car la douleur du phoque n’est pas différente de la douleur du poisson ou des autres animaux. Et si vous ne voulez pas avoir l’air ridicules, vous devez être cohérents face aux principes que vous affichez pompeusement. Et si vous affichez pareille compassion face aux animaux, vous devez fermer toutes vos boucheries et charcuteries, petites et grandes. (Entre vous et moi, ce serait bien triste!) Nous pouvons bien abandonner nos récoltes à cause de votre compassion, mais nous devrons alors sonder nos cœurs pour y chercher la même compassion pour tous vos porcelets, et toutes vos oies gavées. Et en larmoyant nous verserons des seaux de sang sur les portes de toutes vos boucheries et charcuteries, qui ont tout autant de sang sur les mains que nos chasseurs. Et nous verrons bien qui sera le plus ridicule. Mais si vous aimez la chasse et la pèche, au petit poisson ou au grand gibier, venez nous voir. On vous emmènera avec nous dans nos forêts ou sur nos glaces. Vous pourriez même rencontrer parmi nous les autochtones qui vivent encore en symbiose avec leurs traditions de chasse, de pêche et de cueillette. Et vous entendrez nos patrimoines français, irlandais et autochtones entremêlés. Vous pourrez marcher là où nous avons marché, et où nous marchons encore. Et vous pourrez goûter nos gibiers cuits au feu ou mijotés. Ce sera un bien meilleur usage de ces millions que vous gaspillez en polluante peinture rouge et en manipulation de vedettes pour dénoncer une chasse qui n’a rien de plus inhumain que ce qui se passe dans le moindre de vos abattoirs, dans la moindre de vos boucheries, charcuteries et poissonneries. » Je me demande bien si l’un de nos représentants élus aura la candeur de s’Adresser ainsi à l’Europe… François Privé Québécois Alma Réagir à cet article http://www.lbr.ca/article-4-5711.html

Les stocks de morue atteignent leur plus bas niveau au large des Iles ILES-DE-LA-MADELEINE (PC) - La biomasse reproductrice du stock de morue du sud du Golfe est passé de 55 000 tonnes l'an dernier à 50 000 tonnes. Il s'agit de son plus bas niveau historique. Le biologiste Doug Swain, du ministère fédéral des Pêches et des océans, explique que la situation ne s'améliore pas à cause du recrutement très faible de l'espèce. Les pêcheurs n'ont d'ailleurs capturé que les trois-quarts de leur faible quota de 4000 tonnes en 2006. M. Swain prédit que la biomasse du stock de morue de la zone 4-T autour des Îles-de-la-Madeleine diminuera encore de cinq à 10 pour cent cette année, même s'il n'y a pas de pêche. Il explique notamment la faible croissance des recrues par des changements génétiques dûs à la mortalité sélective par la pêche. De plus, le fort taux de mortalité naturelle des petits poissons serait non seulement attribuable à la prédation par les phoques, d'expliquer le biologiste Swain, mais aussi à celle des maquereaux et des harengs qui se nourrissent des oeufs et des larves de morue. M. Swain n'était pas en mesure de dire si la faiblesse du stock reproducteur de morue a atteint un point de non-retour. Trouver ici: http://www.tqs.ca/infos/2007/03/N033006AU.php

Libre opinion dans le devoir Un autre point de vue sur la chasse aux phoques Rodrigue Leblanc, Cap-aux-Meules, îles de la Madeleine Il est dur de croire qu'un Madelinot puisse être opposé à la chasse aux phoques. Et pourtant, ça existe! Seulement, dans un environnement comme les Îles, où presque tout le monde est en faveur de la chasse aux phoques, il est difficile et dangereux de se faire entendre. Personne n'ose donc s'élever contre cette chasse. J'entendais ces derniers jours à la radio des Îles les animateurs du matin, se croyant plus malins l'un que l'autre, trouver toutes les bonnes raisons à cette chasse pour répliquer aux opposants. Et ça y allait d'arguments de plus en plus stupides: les phoques mangent maintenant les saumons, encore une nouvelle bonne raison de tuer les phoques, etc. Il est facile de prêcher pour sa paroisse à l'intérieur de l'église. Je crois fermement que cette chasse est complètement inutile, absurde et d'un autre âge. S'il est vrai que certaines communautés autochtones isolées du Grand Nord ou du Labrador, où il est difficile de se faire livrer de la nourriture, peuvent ressentir le besoin de chasser le phoque, ou un autre animal, pour se nourrir (et non pas pour en faire le commerce), le fait de chasser le phoque aux Îles en 2007 est insensé. Qui a besoin de chasser le phoque pour se nourrir? Les marchés d'alimentation n'existent-ils pas aux Îles? On n'est plus en 1920! En plus, il y a des animaux d'élevage qui se font tuer quotidiennement par milliers pour satisfaire expressément les gens qui mangent de la viande, alors pourquoi tuer des animaux «sauvages» (moins sauvages que beaucoup d'humains qui ne pensent qu'à faire des guerres)? On me répond que c'est pour faire vivre la tradition... mais alors, pourquoi utiliser une auto, un VTT ou une motoneige? Et pourtant, il y a de plus en plus de ces véhicules polluants aux Îles. Pourquoi ne pas s'éclairer à la chandelle, tant qu'à faire? C'est incohérent! Le plaisir de tuer Le seul plaisir de la chasse aux phoques, c'est de tuer un animal. L'homme a depuis longtemps cette fâcheuse habitude de tuer les animaux qui lui font concurrence et les gros animaux. Comme les phoques et les hommes mangent tous les deux de la morue, on tue notre adversaire, comme ça les poissons seront tous pour nous. C'est la loi du plus fort. Et l'homme se croit maître des animaux. Mais qui donc a fait disparaître les morues ces dernières décennies? Ce ne sont pas les phoques, c'est la surpêche des hommes! Ce n'est pas parce que le phoque mange de la morue qu'il faut le tuer. Ce n'est pas parce que le phoque ne sent rien quand on le tue qu'il faut le tuer. Ce n'est pas parce que certains s'enrichissent par la transformation des produits dérivés du phoque qu'il faut le tuer. Ce n'est pas parce que certains défenseurs de la chasse aux phoques font mal leur travail (comme le montre le documentaire de Raoul Jomphe) qu'il faut tuer des phoques en représailles. Ce n'est pas parce qu'il y a six millions de phoques dans le golfe du Saint-Laurent et à Terre-Neuve qu'il faut en tuer un seul. Soyons un peu plus objectifs aux Îles. Il n'y a aucune raison valable de tuer un phoque, quel que soit son âge. Les gouvernements fédéral et provinciaux pourraient très facilement dédommager les chasseurs qui revendent les peaux de phoques et les usines de transformation des produits dérivés de cette chasse pour qu'on n'en parle plus. Quant à la chasse aux blanchons, prétendument interdite, tout le monde sait aux Îles que le braconnage existe et que les chasseurs ne se privent jamais de tuer un blanchon lorsqu'ils le peuvent. La police et la garde côtière le savent, mais c'est le silence absolu. Et quand on les appelle pour dénoncer les faits, ils ne bougent pas. C'est ça, le désavantage d'un petit milieu fermé comme les Îles. Surtout, on n'en parle pas à la presse extérieure ou étrangère, ça ferait tellement pas sérieux! http://www.ledevoir.com/2007/03/30/137496.html

Anthony «Bardot» Kavanagh Des barbares. Voilà une fois de plus l’image que la planète aura bientôt de nous. Des barbares sanguinaires, armés de gourdins et de fusils de chasse. Eh oui, vous l’avez deviné, c’est dans quelques heures que la chasse aux phoques du Groenland débute. Même si le quota a été sensiblement réduit cette année, passant de 325 000 l’an dernier à 270 00 cette année, les organismes de défenses des animaux sont scandalisés. Poursuivre la lecture et voir les commentaires http://doa.blogue.canoe.com/dominicarpin/2007/03/30/anthony_lbardotr_kavanagh

Monsieur, Rodrigue Leblanc

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Phoques, mensonges et vidéo Par Rebecca Aldworth D'année en année, les défenseurs de l'exploitation commerciale du phoque ont recours à des tactiques de plus en plus malhonnêtes pour promouvoir le massacre des bébés phoques. Mais un nouveau film de propagande remporte vraiment la palme. Financé et diffusé par un réseau de télévision appartenant au gouvernement canadien, ce prétendu documentaire est délibérément farci de désinformation sur les opposants à la chasse aux phoques. J'ai grandi à Terre-Neuve, et je reconnais à tous le droit à des opinions différentes. Mais en attaquant ceux qui s'efforcent de protéger les phoques, ce film dépasse les bornes. La partie peut-être la plus outrageante de ce film est une séquence qui laisse croire que non seulement les observateurs de la HSUS ont filmé un phoque blessé pendant 40 minutes, mais que quand ce phoque a glissé à l'eau, ils l'en ont ressorti pour continuer à filmer sa souffrance. C'est une bassesse, un mensonge éhonté. En réalité, des chasseurs de phoque ont assommé ce bébé phoque et ont enfreint la loi en l'abandonnant à sa souffrance. Nous l'avons trouvé là, brisé et ensanglanté, à côté d'un bébé mort. À quelques mètres de là, nous avons vu deux autres phoques blessés et convulsés, du sang coulant à flot de leur bouche. Quelques minutes plus tard, les chasseurs sont revenus dans le secteur et ont assommé 40 à 50 autres bébés, les laissant blessés et agonisants sur la banquise. Au milieu de ce carnage, le premier bébé phoque blessé a glissé à l'eau. Pendant d'interminables minutes, il s'est débattu pour en ressortir, le bord de la glace se brisant constamment sous son poids. Nous avons fait ce qui nous a paru le plus charitable, en l'aidant à sortir de l'eau. Puis, commençant à espérer qu'il puisse survivre à un transport en hélicoptère, nous avons tenté d'organiser sa réception par le Collège vétérinaire de l'Atlantique. C'est à ce moment là que les chasseurs sont revenus et ont de nouveau enfreint la loi en lui transperçant le crâne avec une pointe de métal. Cliquer sur le lien suivant pour voir notre vidéo filmé ce jour-là. : http://www.hsus.org/video_clips/cruelty_of__canadas_hunt.html Imaginez l'angoisse d'être légalement contraints de ne pas intervenir pendant que les chasseurs attaquaient ces bébés sans défense. Imaginez être obligés de demeurer impuissants pendant que les bébés phoques abasourdis et terrifiés étaient brutalement battus, un par un, devant les autres. Imaginez maintenant que la seule arme que vous ayez en main pour arrêter le carnage, c'est votre caméra. Voilà pourquoi nous avons filmé tout ce qui s'est passé ce jour-là. Et voilà pourquoi nous avons présenté toutes les images filmées aux autorités. Parce que nous l'avons fait, des accusations sont maintenant portées contre ces chasseurs. Tragiquement, aussi impensables et horribles qu'aient été ces évènements, ils ne sont que routine dans ce massacre. Les chasseurs sont payés par phoque abattu, et tuent donc autant d'animaux qu'ils le peuvent, aussi vite qu'ils le peuvent. Des animaux blessés et souffrants sont toujours abandonnés derrière leur passage. Et ce n'est qu'une des nombreuses raisons pour lesquelles la HSUS s'efforce de mettre fin pour toujours à cet horrible carnage. J'ai beau être frustrée de voir attaquer ainsi les groupes de défense des animaux, je sais que ce film est la preuve de notre progrès. Les marchés s'évaporent pour les produits du phoque et le boycottage des fruits de mer canadiens gagne du terrain. Il est évident que les profiteurs du massacre des bébés phoques font des efforts désespérés, et que la fin de cette chasse approche à grands pas. Trouvé ici: http://www.hsicanada.ca/phoques/lefilm.html

LE 26 MARS 2007 - 14:31 ET Le nouveau gouvernement du Canada et les groupes de conservation unissent leurs forces pour la gestion de l'habitat OTTAWA, ONTARIO--(CCNMatthews - 26 mars 2007) - L'honorable Loyola Hearn, ministre de Pêches et Océans Canada (MPO), a annoncé, aujourd'hui, la signature d'un important et unique Protocole d'entente avec une coalition de neuf grandes organisations non gouvernementales du domaine de la conservation, qui aura comme objectif de viser une meilleure conservation et une plus grande protection du poisson et de son habitat. "Cette entente constitue une excellente occasion pour notre gouvernement de travailler en collaboration avec les organisations de la conservation sur un programme de gestion de l'habitat, qui soit plus efficace et efficient, a déclaré le ministre Hearn. Ensemble, nous pouvons partager l'information et créer de solides politiques pour mieux conserver et mieux protéger le poisson et son habitat." Cet accord a été signé ce matin, au Musée canadien de la nature, par le ministre Hearn et des représentants de neuf organisations régionales et nationales non gouvernementales de conservation. Dans ce regroupement, on retrouve Canards Illimités Canada, la Fédération du saumon Atlantique, la Fédération canadienne de la faune, Nature Canada, la Société canadienne pour la conservation de la nature, la Fondation du saumon du Pacifique, Trout Unlimited of Canada, la Coalition nationale pour l'intendance des bassins hydrographiques et Habitat faunique Canada. "Le partenariat établi entre Pêches et Océans Canada et les neuf organisations de conservation est un pas en avant qui fait progresser la conservation de l'habitat dans les bassins hydrologiques dans tout le pays, a déclaré Gord Edwards, vice-président exécutif de Canards Illimités Canada. En partageant l'information et en travaillant en collaboration sur la restauration et la gestion de l'habitat, nous nous assurerons de la bonne santé des bassins hydrologiques pour des générations à venir." Aux termes de cette entente, chaque organisation nommera un représentant à un comité directeur qui travaillera à la promotion d'une gestion responsable de l'habitat du poisson. Les organismes de conservation auront l'occasion de fournir leurs précieux conseils au gouvernement sur les enjeux et les politiques ayant une incidence sur l'intendance de l'habitat du poisson. L'entente permettra également une meilleure utilisation des ressources collectives pour améliorer les résultats dans le domaine de la conservation et de la protection du poisson et de l'habitat du poisson. "Nous saluons l'occasion qui nous est offerte de travailler avec Pêches et Océans Canada et avec les huit autres organisations non gouvernementales à la promotion de l'intendance des bassins hydrologiques du Canada. La communauté des ONG qui est représentée dans ce Protocole d'entente continuera d'être un défenseur puissant et actif de la santé du poisson et de son habitat", a déclaré Bill Taylor, président de la Fédération du saumon Atlantique. "Trout Unlimited of Canada est heureux de s'allier à cette coalition avec Pêches et Océans Canada et avec nos autres partenaires nationaux et régionaux pour la conservation, a souligné Douglas Cressman, PDG de Trout Unlimited of Canada. La protection et la restauration des environnements aquatiques forment des entreprises complexes, qui font appel à de nombreux bénévoles capables d'idées originales ainsi que d'un éventail de perspectives. En travaillant ensemble sur des initiatives clés, nous pouvons faire des gains importants dans la conservation et la protection de l'eau froide propre pour le poisson et la population." L'entente fait partie de l'engagement continu de ce gouvernement de travailler avec une variété d'organismes dans tout le pays pour sensibiliser le public, fournir du soutien et engager activement les Canadiens dans la gestion de l'habitat. Les neufs organisations non gouvernementales travailleront avec le MPO à la promotion des plans de bassins hydrologiques intégrés qui répondent à la protection et à la restauration des priorités de la gestion de l'habitat, au partage de l'information sur la recherche et à la surveillance et au renforcement d'une approche de gestion adaptive face à la conservation et la protection du poisson et de son habitat. POUR PLUS D'INFORMATIONS, COMMUNIQUEZ AVEC: Pêches et Océans Canada, Ottawa Sophie Galarneau Gestionnaire, Relations avec les médias 613-990-7537 http://www.dfo-mpo.gc.ca ou Canards illimités Canada Leigh Patterson Spécialiste des relations avec les médias 204-467-3306 l_patterson@ducks.ca http://www.ccnmatthews.com/news/releasesfr/show.jsp?action=showRelease&searchText=false&showText=all&actionFor=642301

Code:La télé, seule source d'information des Québécois Alors Jomphe sera bien content d'apprendre ça, ce soir son documentaire (annoncé à outrance partout dans les médias) passe sur les ondes de Radio-Canada.

Vos réactions Pourquoi ? Lorsque les mots perdent leur sens Les gens perdent leur liberté Confucius Soyons sérieux monsieur Cauchon votre article dans le Devoir du 24 mars intitulé « le film que Bardot va détester » me rends perplexe Raoul Jomphe fils et petit fils de chasseur de phoque fait un film se portant à la défense de son troupeau grand bien lui fasse mais vous? Que faites vous dans cette galère ? Que Monsieur Raoul Jomphe accompagné de Jean Claude Lapierre président de l'association des chasseurs de loups marins des îles de la Madeleines préparent une tournée Européenne pour promouvoir la chasse au phoques de l'Atlantique et tout ça subventionné par le gouvernement du Canada ne vous fait pas sourcillé. Le comble est que vous écrivez que le film démontre que la façon de tuer l'animal est instantanée et un peut plus loin vous noté qu'un groupe pro animal tombe par hasard sur un phoque en train d'agoniser qu'un chasseur a raté (en fait de mort instantané on repassera) et vous décrivez cette situation comme une aubaine pour les animalistes (C'est la fête pensez vous?) et puis tant qu'à y être poussons à l'extrême reprochons à ces animalistes perfides de ne pas avoir mis fin à l'agonie du phoque de façons instantanée. Quel cynisme. Et puis il y en a tant de ces malheureux phoques et le salaire de 510 000us $ du président de la Humane Society et les bobettes de la reine monsieur Cauchon qu'en faites vous ? Je sais qu'il est de bon ton de caricaturer la pensée animaliste et de la réduire à un sentimentalisme primaire mais si l'homme n'était qu'une partie de l'ensemble et non le maître absolue de l'univers. Hummm. Et puis cette brave Brigitte semble une proie facile aux amateurs d'armes de tout acabits. Je pensais qu'un amant de la chasse choisirait une cible plus vigoureuse mais quand on voit la manière qu'ils fracassent le crâne des phoques qui se prélassent plus rien ne me surprend. Et puis Monsieur Cauchon les subventions pour faire ce film? Raoul Jomphe, Cécile Chevrier, Phare Est, Radio Canada, Tous le monde en parle, RDI, Tournée Européenne,, Ministère des affaires étrangères et du commerce international, Pèches et Océans Canada. Je sais ça coûte cher un film mais enfin ... Paul Caissie un acadien http://www.ledevoir.com/2007/03/24/commentaires/0703261559393.html

ILES-DE-LA-MADELEINE - ILES-DE-LA-MORT

Fondation Guy Chevrette Sainte-Adèle, le 22 février 2003 - Le président de la Fédération québécoise des gestionnaires de zecs, monsieur Claude Beausoleil, a annoncé, en présence de monsieur Guy Chevrette, ex-ministre du gouvernement du Parti québécois, la création de la Fondation Guy Chevrette lors du 21e congrès annuel de la FQGZ. La Fondation Guy Chevrette aura pour but la promotion, la protection et la mise en valeur de la faune aquatique et terrestre sur tous les territoires de zecs de chasse et de pêche du Québec. La recherche et les études spécifiques à certaines problématiques fauniques seront également supportées par la nouvelle fondation. Monsieur Chevrette a tenu à souligner l'enthousiasme avec lequel il a reçu la proposition de la FQGZ. " La protection et la mise en valeur de la faune se sont avérées, parmi les différentes fonctions que j'ai occupées, des dossiers où je me suis investi avec cœur, énergie, voire même avec passion " a déclaré avec émotion monsieur Chevrette. " La Fondation Guy Chevrette sera un levier pour mobiliser les utilisateurs et les acteurs locaux vers le développement économique des régions par l'exploitation optimale de notre patrimoine faunique. En ce congrès du 25e anniversaire de la création des zecs, je vous invite à poser avec fierté un regard sur le passé et à lever les yeux vers l'avenir ", a tenu à souligner monsieur Beausoleil. " De plus, les zecs fêtent leur 25e anniversaire en 2003. Elles ont su gérer avec professionnalisme leurs territoires et aujourd'hui, la Fédération québécoise des gestionnaires de zecs fait preuve de vision stratégique pour ses membres en mettant sur pied la Fondation Guy Chevrette. Je tiens à transmettre mes félicitations à tous les gestionnaires de zecs et à redire ma fierté d'être associé à ce réseau ", a conclut monsieur Chevrette. Trouvé ici: www.zecquebec.com/comm3.jsp%3Fid%3D6895+chasse+chevrette&hl=fr&ct=clnk&cd=3&gl=ca" target="_blank" rel="nofollow">http://72.14.205.104/search?q=cache:hOaysgdwxH4J:www.zecquebec.com/comm3.jsp%3Fid%3D6895+chasse+chevrette&hl=fr&ct=clnk&cd=3&gl=ca

Drapeau du canada en berne avec la feuille d'érable ensanglanté au siège social de Peta pour protester contre le massacre des phoques. Bloody Canadian Flag Flying Over Our Office

Cruauté envers les animaux : que promettent les partis politiques ? Je remarque qu'aucun des partis ne prévoit un budget et des actions contre la cruauté faite aux animaux. Pas plus tard qu'hier, un couple de la région de Québec est parti en vacances dans le Sud laissant son bouvier bernois attaché dans la cour arrière. Il est mort gelé... À Saint-Robert, il y a deux semaines, des animaux laissés à eux-mêmes sans nourriture, sans eau et exposés au froid sans abri pour les protéger... Des usines à chiens naissent ou continuent leur opération sans jamais être dérangées. Est-ce normal dans une société dite évoluée ? Je ne crois pas! Anima-Québec reçoit un maigre 150 000$ par an pour ses opérations. Deux inspecteurs couvrent la province. C'est nettement insuffisant. On se dote d'une armée sans soldats. On donne un mandat sans donner les ressources. Non seulement sommes-nous la risée des autres provinces mais nous sommes la risée des autres pays. Il y a 300 inspecteurs pour couvrir l'Ontario. MM. Salvas, Simard, Rochat et les autres... lequel d'entre vos chefs se penchera sur la question ? J'en ai vraiment plein mon casque de ces histoires d'horreur. Quand vient le temps d'empocher la TVQ perçue sur les articles pour animaux vendus, là vous êtes là. Si 1% de cette taxe revenait à ces animaux en subventions contre la cruauté, le Québec ne passerait plus pour des sans-cœur. Selon les ventes enregistrées, 500 000$ de TVQ pourraient permettre à Anima-Québec de faire un job adéquat. Que le plus réveillé lève la main... Francine Gosselin Saint-Robert (pôvre Québec !) http://www.hebdos.net/vst/edition132007/articles.asp?article_id=164293

Les chasseurs de phoques canadiens défendent leur cause à Bruxelles 26.03.07 | 17h36 Les partisans canadiens de la chasse aux phoques ont plaidé lundi à Bruxelles pour que l'UE n'interdise pas l'importation des produits dérivés du phoque, une mesure "irrationnelle" qui mettrait, selon eux, en péril l'existence des communautés rurales du Grand Nord. "Il faut faire la part des choses entre les mythes et la réalité. Non, les blanchons (ndlr, petits du phoque du Groenland) ne sont plus chassés depuis 25 ans et les phoques adultes ne sont pas écorchés vifs", a déclaré au cours d'une conférence de presse l'ambassadeur Loyola Sullivan, représentant du gouvernement canadien pour la Pêche durable. Depuis plusieurs mois, le Parlement européen demande à la Commission d'imposer un moratoire sur le commerce des produits dérivés du phoque mais l'exécutif européen a refusé de prendre position avant de disposer des résultats d'une étude de l'autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA). Pour M. Sullivan, cette chasse est une activité "durable", qui ne met pas l'espèce en danger, le nombre de phoques étant passé de 3 à 5,5 millions en 30 ans. De plus, elle se déroule "dans des conditions plus humaines que dans de nombreux abattoirs", dit-il, en soulignant que les phoques chassés, qui ne sont pas des nourrissons mais des animaux sevrés, étaient tués sur le coup dans la grande majorité des cas. Chez les Inuits, la viande de phoque, qui est un apport essentiel en protéines, est "très important" culturellement, a insisté Mary Simon, présidente d'une association représentant les peuples de l'Arctique. Trouvé ici: http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-30277087@7-50,0.html

L'ambassadeur pour la conservation des pêches est en Europe afin de faire valoir que la chasse au phoque est humaine et durable Le 26 mars 2007 Nº 45 Le ministre des Affaires étrangères et ministre de l’Agence de promotion économique du Canada atlantique, l’honorable Peter MacKay, et le ministre des Pêches et des Océans, l’honorable Loyola Hearn, ont annoncé aujourd’hui que l’ambassadeur pour la conservation des pêches du Canada, M. Loyola Sullivan, se trouve en Europe pour faire valoir que la chasse au phoque au Canada est sans cruauté et durable. « Je veux signaler aux Européens que la chasse aux phoques est sans cruauté, durable, bien encadrée et réglementée. Elle fait partie de notre patrimoine culturel et économique », a déclaré l’ambassadeur Sullivan. Du 26 mars au 6 avril 2007, l’ambassadeur Sullivan se rendra en Belgique, au Royaume-Uni, en Allemagne, aux Pays-Bas et en Autriche. Il sera accompagné de plusieurs groupes importants qui dépendent de la chasse aux phoques, notamment des phoquiers et des représentants de communautés inuites. Pour plus de renseignements sur la chasse aux phoques au Canada, prière de consulter le site suivant : http://www.dfo-mpo.gc.ca/seal-phoque/index_f.htm. - 30 - Pour de plus amples renseignements, les représentants des médias sont priés de communiquer avec : Le Service des relations avec les médias des Affaires étrangères Affaires étrangères et Commerce international Canada 613-995-1874 http://www.international.gc.ca Steve Outhouse Directeur des communications Cabinet du ministre des Pêches et des Océans 613-992-3474 http://www.nouvelles.gc.ca/cfmx/view/fr/index.jsp?articleid=287109

Humane Society of United States fait de la désinformation selon Pêches et Océans Canada Controverse Ricardo Codina ricardo.codinaSPAMFILTER@la-vie-rurale.ca LA VIE RURALE, 26 Mars 2007 Roger Simon, porte-parole de Pêches et Océans Canada, estime que Humane Society of United State fait de la désinformation. Cet organisme fait campagne actuellement contre la chasse aux phoques et pour tenter de briser l'image négative que risque de véhiculer Phoques, le film, sur les ondes de RDI le 29 mars. Déjà en crise de crédibilité avec ce film, l'organisme aurait fait des déclarations infondées. Qu'en est-il exactement ? Pour appuyer leur cause contre la chasse aux phoques, Humane Society of United States invoque que le réchauffement climatique menace la survie des bébés phoques cette année. Rebecca Aldworth, représentante de l'organisme controversé, affirme qu'elle survole le golfe depuis quelques jours (merci pour les GES) et ce qu'elle voit lui déplaît. Elle ne voit que le bleu de l'océan plutôt que les blanchons. Mme Aldworth estime que le taux de mortalité des blanchons sera de 100% dans le sud du golf cette année. C'est ce chiffre que Pêches et Océans Canada conteste et qualifie de désinformation. Roger Simon, porte-parole de l'organisme, a affirmé à Radio-Canada : «pas 100 % comme Mme Aldworth dit, 50 % à peu près [ ... ] J'appelle ça des demies-vérité ou l'absence de faits. Ils vont rapporter certains faits, mais oublier de faire mention de certains autres ». De plus, Monsieur Simon dément entièrement les déclarations de Mme Aldworth en affirmant que les amas de glace dans le sud du golfe sont tout de même assez grands et nombreux. Dans le nord du golf, la glace est bien prise. Mais ça, la Humane Society n'en parle pas, déplore-t-il. Dans le nord, le troupeau va très bien tout comme le couvert de glace. La Humane Society a son quartier général à l'Île-du-Prince-Édouard tout comme elle le fait annuellement depuis trois ans. La saison actuelle de chasse n'a pas commencé, ce groupe d'animalistes est prêt à monter au front. Comme tous les opposants à la chasse, Humane Society obtient de Pêches et Océans Canada un permis pour s'approcher à 500 mètres des chasseurs en action. Ce permis n'est pas donné à vie, si Humane Society continue à diffuser de fausses informations, Pêches et Océans Canada pourrait bien le lui retirer. J'ai bien hâte de voir Phoque, le film, pour mieux connaître La Humane Society et ses procédés d'endoctrinement. Surtout comment elle fait pour ramasser autant d'argent. Si elle en faisait autant pour la faim dans le monde ou le réchauffement climatique, ce serait bien. Mais pourquoi choisir une cause plutôt qu'une autre... Ça c'est une autre histoire. VOS COMMENTAIRES http://www.la-vie-rurale.ca/contenu/11688