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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Ames sensibles s'abstenir... Le naturaliste Paul Rosolie va tenter une expérience jamais réalisée jusqu'alors : se faire avaler vivant par le plus gros serpent au monde. Cet exploit va être filmé et sera l'objet d'un documentaire, "Eaten Alive", diffusé le 7 décembre prochain par la chaîne Discovery Channel. Une combinaison spéciale L'Américain sera vêtu d'une combinaison créée spécialement pour l'occasion, qui devrait lui permettre de survivre dans l'estomac du python pendant toute la durée de la digestion. L'aventurier âgé de 30 ans n'a pas révélé au grand public par quel moyen il sortirait de l'organisme de la bête. Il a toutefois rassuré ses followers : "Je ne blesserais jamais un être vivant. Mais vous devrez regarder #EatenAlive pour découvrir comment ça se passe". Source
  2. Les petits bourgeons cellulaires où les membres postérieurs de cet embryon de serpent devraient normalement commencer (si les serpents n'étaient pas dotés de membres postérieurs atrophiés) correspondent à l'emplacement des deux pénis dont ce reptile sera doté. Crédits : Patrick Tschopp/Harvard Medical School/Department of Genetics REVUE DE PRESSE - Une étude révèle pourquoi les mammifères n'ont qu'un seul pénis, alors que certains reptiles en ont deux. Pourquoi les mammifères n'ont-ils qu'un pénis, alors que certains reptiles en possèdent… deux ? Parce que chez les mammifères, le pénis se constitue à partir du bourgeon cellulaire qui donne également naissance à la queue. Or, chez les reptiles les choses se passent différemment : le pénis est dérivé des tissus à partir desquels se forment les membres postérieurs (les "pattes de derrière"), lesquels sont bien entendu au nombre de deux. Un phénomène qui permet de comprendre pourquoi certains lézards possèdent deux pénis, lesquels sont fort opportunément appelés "hémipénis" par les biologistes. Source
  3. Ces insectes ne dépassent pas 6 millimètres de long, mais sont capables de se déplacer d'une manière étonnamment coordonnée. Des insectes qui se déplacent de manière parfaitement synchronisée par Gentside Découverte Sur ces images, nous pouvons voir des psoques se mouvoir sur un mur d'une façon assez étrange. En effet, ces petits insectes se déplacent d'une manière parfaitement synchronisée. Un comportement surprenant de la part de ces petites bestioles souvent surnommées "poux des livres". Un surnom mérité, quand on sait que les espèces de psoques aptères (sans ailes) ont pour habitude de s'installer dans les habitations et de s'attaquer aux vieux papiers. Source
  4. Le jeune vendeur animalier de 18 ans, collectionne chez lui une dizaine de serpents. Avant de devenir une passion, le reptile lui inspirait pourtant une véritable phobie… Sa chambre à coucher aurait de quoi déclencher sueurs froides et paniques nocturnes… Arnaud Carrière, 18 ans, habitant de Vesly, s’y couche pourtant chaque soir avec passion. À ses pieds, il peut contempler avant de s’endormir une dizaine de serpents répartis dans leurs terrariums. Morlia, python regius ou encore boa… Le jeune homme collectionne les espèces depuis près d’un an. Une nouvelle passion dévorante qui démarre pourtant par une phobie. Fasciné par les tortues, il devient vendeur animalier à Bordeaux. Arnaud gère alors une partie de l’approvisionnement des reptiles, malgré une terreur à l’égard des serpents. « Je ne pouvais même pas les regarder », se souvient le jeune passionné qui manipule aujourd’hui l’animal avec aisance. Une phobie avant d’être une passion « Tout a basculé le jour où j’ai dû porter à bout de bras une femelle boa de deux mètres et vingt kilos, pour les besoins de mon employeur. Il fallait faire une photo pour le site Internet. Personne n’était disponible, j’ai donc dû affronter ma peur ». L’expérience transforme sa vision de l’animal, et plus encore… « Depuis, c’est devenu une véritable raison de vivre. Je ne pourrais plus me passer d’observer cet animal, de posséder mes propres serpents, de m’en occuper… » avoue, un brin rêveur, le jeune passionné. Chaque mois, il dépense ainsi une centaine d’euros pour l’entretien de sa collection peu commune. Quitte à parfois connaître quelques « frissons ». Il raconte : « Dans mon ancien appartement, deux serpents avaient réussi à s’échapper après le passage de mon propriétaire qui avait mal refermé le terrarium ». Un serpent… suspendu au luminaire ! À son retour, Arnaud retrouve l’un des deux reptiles suspendu au luminaire de sa salle de bains. L’autre reste introuvable. Pendant près d’une semaine, il cohabite donc avec un reptile rampant qui déambule en toute liberté dans son appartement. Il finira par le retrouver dans la cuisine, niché dans la hotte ! Anecdote qui en ferait renoncer plus d’un… Mais pas ce passionné qui monte depuis trois mois déjà un dossier afin d’obtenir l’autorisation de détenir des reptiles constricteurs, c’est-à-dire qui étouffent leurs proies avant d’en faire leur festin, tels les boas. Une détention réglementée « La possession de serpents est très réglementée en France. On ne peut pas faire n’importe quoi », explique Arnaud qui voit passer dans l’animalerie Derly des Thilliers-en-Vexin où il travaille, de nombreux trentenaires – parfois même des retraités – s’intéresser de près au reptile rampant. « Il faut les conseiller car on ne se lance pas au hasard. L’entretien d’un serpent demande des connaissances techniques ». En plus des serpents, Arnaud Carrière héberge chez lui tortues et varan. Ce qui ne semble pas déranger son entourage. « Je vis avec mon frère qui est assez indifférent à l’égard des animaux », confesse-t-il. Bonne pioche, car avec une quinzaine de reptiles grouillant dans leurs « cages », une bonne dose d’indifférence n’est pas un luxe ! Source
  5. Une famille résidant rue du Limousin au Moufia a découvert hier matin dans sa cour une iguane mesurant environ 80cm. Une belle bête vert fluo qui n’a pas vraiment rassuré les enfants présents. Alertés les pompiers du CSP de Saint-Denis sont donc venus récupérer le reptile qui a dû s’échapper de chez son propriétaire. Les secouristes sont désormais habitués à ce genre d’intervention tant le marché des NAC (nouveaux animaux de compagnie) est florissant. Equipé d’une perche, un pompier a capturé avec délicatesse l’animal dans le jardin. « Nous n’avons pas rencontré de difficultés, sans doute était-il fatigué », a témoigné un pompier. L’iguane a été placé dans une cage et ramené à la caserne. Il s’agit d’un reptile d’une « belle taille » puisque les plus grand iguane d’élevage mesurent en moyenne 1,20 m pour une femelle et 1,50 m pour un mâle. Selon un spécialiste, l’iguane le plus grand à l’état sauvage avait une taille de 2,37m. Selon la procédure habituelle, l’animal va être confié à un vétérinaire référent pour le Sdis. Ce dernier va d’abord s’inquiéter de sa santé et, si besoin, le placer en quarantaine. Puis, le praticien cherchera à identifier le propriétaire de l’animal à partir d’une éventuelle puce électronique. Si aucun propriétaire n’est pas retrouvé, le vétérinaire confiera le reptile à une personne qui possède un certificat de capacité pour élever ce type d’animal. Pour le vétérinaire référent du Sdis, il devient presque courant d’avoir en pension dans son cabinet ce type de reptile. Hier, alors qu’il s’apprêtait à recevoir celui du Moufia, deux autres petits venus de Saint-Pierre lui avait été confiés par les pompiers. Source
  6. Par hasard, des chirurgiens ont débarrassé un patient de son arachnophobie. En se faisant retirer une partie lésée, le cerveau de cet homme semble avoir perdu le réseau de cellules qui activait sa peur panique des araignées. Opéré au cerveau, un patient guérit de son arachnophobie par Gentside Découverte Aujourd'hui, en France, on estime qu'une personne sur quatre souffre d'arachnophobie : la peur immodérée des gentilles araignées. Totalement par hasard, des chirurgiens britanniques ont peut-être trouvé un traitement plus efficace que toutes les thérapies. Un homme de 44 ans qui était terrifié par les araignées a vu sa phobie s'envoler suite à une opération du cerveau. Souffrant de crises d'épilepsie, un scanner avait révélé aux médecins que son amygdale gauche - connue pour être impliqué dans les réactions émotionnelles - était atteint par la sarcoïdose. Il a donc été décidé de retirer cette partie de son cerveau, située profondément dans le lobe temporal gauche. Au réveil, sa guérison était totale, et même plus. L'homme n'a plus souffert de ses crises d'épilepsie et sa phobie des araignées s'était évanouie. Plus gênant, il a aussi développé une aversion pour la musique à la suite de l'opération. Un effet secondaire qui s'est fort heureusement estompé depuis. L'homme sans peur ? Avant l'opération, le patient resté anonyme n'aurait pas été capable d'approcher une araignée. Aujourd'hui, il peut les toucher et les trouve même "fascinantes" d'après NewScientist. Il a été suivi par Nick Medford et son équipe de l'école de médecine de Brighton et du Sussex. Malheureusement, il est difficile de comprendre cette rémission. L'homme ne souffrant pas d'autres phobies, il est impossible de comparer. Les chercheurs ont néanmoins remarqué que sa peur, contrôlée, de parler en public n'a pas disparu. L'opération ne l'a pas donc pas rendu totalement insensible à ce sentiment. Qu'est-ce qui la différencie d'une phobie ? Nick Medford explique dans son communiqué : "C'est comme quand vous voyez un serpent et vous bondissez, alarmé, mais quand vous regardez en arrière vous vous rendez compte que c'est juste un bâton. Voilà votre réponse de panique sale et rapide : pas très précise, mais nécessaire pour la survie de base. Et puis il y a la peur d'évaluation, plus nuancée, qui prend plus de temps à être traitée, mais est plus précise,". Un traitement peu ou pas généralisable Ainsi, les chercheurs pensent qu'en retirant une partie de son cerveau, les chirurgiens auraient coupé des "réseaux neuronaux liés à la réaction de peur de type panique [...] tandis que les parties de l'amygdale responsables de la peur généralisée sont restées intactes,". Le patient, ne souhaitant plus subir davantage de tests, a préféré mettre un terme à sa collaboration avec les chercheurs. Mais Nick Medford ne compte pas s'arrêter là et espère pouvoir continuer ses travaux avec d'autres patients opérés de l'amygdale : "L'arachnophobie est censée être raisonnablement commune. Ainsi, nous pourrions être en mesure de tester les gens pour cette phobie, ou tout autre type, avant et après l'opération." Néanmoins, l'amygdale est une structure cachée profondément dans le cerveau et il n'est pas envisageable de traiter des phobies par un acte chirurgical si invasif. D'autres méthodes plus douces existent, comme les thérapies ou des pilules régulant le flux sanguin. Plus récemment, nous avions aussi vu qu'une réaction de peur pouvait être effacée avec... de la lumière ! Source
  7. Une toile d’araignée gigantesque a récemment été dévoilée sur le web. Elle se trouvait dans une usine désaffectée de traitement d’eaux usées de Baltimore. Selon les experts, le nombre d’arachnides y habitant dépassait les 100 millions. Des toiles d’araignée recouvrant un espace de plus de quatre hectares ont été révélées sur le web ces derniers jours. Elles se trouvent dans une usine désaffectée de traitement d’eaux usées, à Baltimore, dans l’état du Maryland. Une surface énorme où, d’après les experts, près de 107 millions d’araignées, soit environ 35000 "individus" au mètre carré, ont élu domicile. L’apparition des premières araignées remonte à 2009… Source
  8. L'union de petites loutres devant un énorme reptile, les magnifiques papillons du Brésil et l’alliance improbable entre un arbre et des fourmis aztèques… C'est à voir cette semaine dans les documentaires animaliers de France Télévisions. Avant-goût. Source
  9. Non, vous n'êtes pas ivre, ce serpent pin noir a bien deux têtes. Il est la dernière acquisition de Todd Ray, le plus grand collectionneur d'animaux à deux têtes (voir diaporama ci-dessus). D'après le Guinness World Records, il en détient une trentaine, exposée en partie dans sa réserve "Venice Beach Freakshow", le long de la promenade de Venice. Originaire de Caroline du Sud, Todd a essuyé une carrière de vingt en tant que producteur de musique. Trois Grammy et des collaborations avec Mick Jagger, Santana ou Beastie Boys ont construit sa réputation. Une collection à 150.000 dollars Des artistes à grosses têtes, le pro de la musique est passé aux spécimens à deux têtes. Plusieurs tortues, un dragon, une rare couleuvre albinos et même un mouton font partie de ses bébés malformés. Avec une telle ménagerie, les situations cocasses ne sont pas rares. Par exemple, quand Ray nourrit son serpent roi, il doit placer une carte à jouer entre les deux têtes pour éviter qu'elles se mangent mutuellement. Au total, ce passionné aurait dépensé près de 150.000 dollars (environ 120.000 euros) pour obtenir une telle collection. Reste à trouver deux noms pour son dernier spécimen. "Jayplu" et "Unetune" peut-être ? Source
  10. Le Centre international d'étude de la physiologie et de l'écologie des insectes (ICIPE), un centre de recherches basé au Kenya, a entrepris un projet de recherche visant à promouvoir la consommation d'insectes par les humains en Afrique. Ce projet, baptisé Insectes comme nourriture, nutriments et autres usages (INSEFF), ambitionne d'accroître la consommation d' insectes comme moyen de lutter contre l'insécurité alimentaire sur ce continent. Saliou Niassy, chercheur à l'ICIPE, a déclaré à Xinhua à Nairobi que plus de 500 espèces d'insectes étaient consommés comme nourriture en Afrique. "Parmi les insectes les plus fréquemment consommés figurent le charançon des palmiers, les sauterelles, les criquets et les chenilles", a déclaré M. Niassy en marge de la 6ème Conférence panafricaine sur l'agriculture animale. La plupart des insectes sont prélevés dans la nature de sorte que la production est saisonnière. "Nous voulons apprendre aux Africains à élever les insectes afin d'assurer une production constante tout au long de l'année", a-t-il dit. Le taux de conversion alimentaire des insectes est très élevé en raison du type de substrat qu'ils consomment, a ajouté M. Niassy. "En général ils ne contiennent aucun produit toxique ou métal lourd. Il faut seulement prendre quelques précautions car certains insectes peuvent contenir des substances pathogènes", a précisé le chercheur. Les gens qui se nourrissent de ces insectes utilisent fréquemment des méthodes traditionnelles pour les conserver, comme le séchage ou l'utilisation de miel ou d'huile de palme.  L'ICIPE aidera également les gouvernements africains à mettre en place une législation pour réglementer et promouvoir la consommation d'insectes par les humains. L'organisme de recherche est en train de développer la technologie pour que le secteur privé peut commercialiser le secteur. Felix Meutchieye, maître de conférences en génétique animale à l'Université de Dschang (Cameroun), a expliqué que la consommation d'insectes est très commune en Afrique occidentale et centrale. Le charançon, ravageur qui attaque les palmiers comme raphia, huile de palme et de cocotier, est un mets de choix dans des pays comme la RDC, la Centrafrique, le Congo-Brazzaville, le Cameroun, l'Angola, le Nigeria, le Bénin, Côte-d'Ivoire et la Guinée, a-t-il expliqué. Selon M. Meutchieye, traiter les larves de charançons du palmier est une activité lucrative au Cameroun, et les larves et les adultes sont consommés. Une poignée de larves de charançons coûte deux dollars américains, un revenu important pour les petits commerçants. Bien que ce commerce soit encore informel, la fourniture de cet insecte des forêts implique divers acteurs. Tous les jours, les larves sont expédiés des villages aux marchés locaux, puis aux grandes villes. Les larves sont habituellement élevés sur les palmiers Raphia grâce aux connaissances autochtones. Les insectes sont riches en protéine, calcium, magnésium, potassium et sodium. Les larves de charançons du palmier sont vendus avec des fibres de palmier fraîches afin de maintenir les larves vivant jusqu'à quatre jours. D'après M. Meutchieye, le commerce de charançons du palmier est contrôlé par les femmes au Cameroun. La région de l'Afrique centrale est le point chaud pour les insectes comestibles récoltés dans la forêt de l'Afrique équatoriale, mais la surexploitation constitue une menace sérieuse pour les écosystèmes des palmiers au Cameroun.   M. Meutchieye a préconisé une récolte durable d'insectes, pour permettre d'assurer "un approvisionnement continu d'insectes qui créera des emplois pour les femmes et les jeunes". Source
  11. Il aura fallu passer cette tortue aux rayons X pour savoir de quoi elle souffrait. La radio est on-ne-peut-plus claire : l'animal a avalé un pendentif... en forme de tortue, rapporte AP. Selon le docteur Don Harris, du centre médical vétérinaire de Miami, cette tortue sillonnée mâle nommée Lola était constipée depuis un mois et très malade le week-end dernier. Après la radiographie, le Dr Harris a repéré l'objet en forme de tortue à l'intérieur de son patient âgé de 10 ans. "Je pensais que les techniciens me faisaient une blague", a-t-il confié à CBSMiami.com. Le propriétaire de l'animal a dit ne pas reconnaître le pendentif, mais selon le médecin, les tortues broutent comme du bétail, avalant sans distinction de l'herbe, des plantes et autres végétaux et parfois des cailloux et de petits objets. Lola est traité à la clinique avec des lavements et des laxatifs, en espérant qu'il évacue le bijou par lui-même. Si les vétérinaires ne parviennent pas à récupérer le pendentif, la tortue pourrait être opérée. Source
  12. Il n'en restait qu'une quinzaine en 1960, leur nombre s'élève aujourd'hui à un bon millier. ESPANOLA. Au sud-est de l'archipel des Galapagos, l'île d'Española abrite une population endémique de tortues géantes qui a failli disparaître au milieu du siècle dernier, leur population tombant à moins d'une quinzaine d'individus en 1960, selon une étude publiée dans la revue PLOS ONE. Les chèvres en cause Ce ne sont pas les humains qui sont responsables directement de la périclitation des tortues mais des chèvres sauvages, introduites sur l'île (par des hommes certes) à la fin du 19ème siècle. Les caprins ont en quelques dizaines d'années rasé la végétation locale composée de graminées et de cactus dont les tortues étaient friandes, les condamnant à une quasi famine. CAPTIVITE. Des mesures de sauvegarde prises par le Service du parc national des Galapagos ont permis tout d'abord de retirer les chèvres de l'île puis de réintroduire des tortues élevées en captivité. Ces dernières, une fois relâchées, ont commencé à se reproduire et au final l'île compte plus d'un millier de tortues géantes aujourd'hui. Les cactus ont laissé place aux arbustes Si la réhabilitation de la population des tortues a été un succès la restauration de l'écosystème de l'île sera plus compliquée. Après le passage des chèvres, ce sont des arbres et des arbustes qui ont poussé en lieu et place des herbes et cactus. Les tortues n'en raffolent pas et les services du parc complètent leur alimentation. De plus, ces arbres entravent les mouvements de l'albatros des Galapagos qui se reproduit exclusivement sur Española et qui est également classé comme espèce en danger critique d'extinction selon l'UICN. Une nouvelle phase de réhabilitation commence donc "qui sera beaucoup plus longue" estime James P. Gibbs, biologiste spécialisé en conservation des vertébrés et principal auteur de l'étude. Il s'agira en effet d'éliminer les arbres les plus gênants et de travailler les sols pour favoriser la repousse des cactus. Source
  13. Lui ouvrir la bouche délicatement et lui mettre un insecte mort ou encore lui faire prendre a la seringue
  14. Ca peut être un idée mais le vet en question ne peut pas passer de test de selle?
  15. Niveau température c'est bien. Le test de selle pourrait être bon
  16. Faudrait passer un test de selles pour confirmer. Sinon les températures du terrariums sont de combien?
  17. Bienvenue Jade. Il y a aussi le groupe facebook du même nom que le forum aussi si tu veux y jeter un coup d'œil
  18. La faune et la flore du polder brestois vont bénéficier d'un traitement particulier. Un crapaud, même « commun », pourrait faire l'objet d'un déplacement spécifique vers d'autres zones humides compatibles à... Plougastel. Là même où un escargot (« de Quimper ») avait plombé le projet de centre d'entraînement du Stade brestois. C'est décidément devenu très compliqué de développer un nouvel espace industriel. Sur cette zone du polder, les études sur la faune et la flore ont mis en évidence la présence d'une grosse centaine d'espèces. Côté flore, 123 espèces différentes ont été répertoriées, dont une seule est protégée, le sérapias à petites fleurs. De l'autre côté, ce même polder abrite neuf espèces envahissantes, dont la fameuse herbe de la pampa. Côté faune, la petite linotte mélodieuse, inscrite sur la liste rouge en tant qu'espèce vulnérable, est présente sur le site. Mais c'est bien un crapaud qui pourrait déclencher les grands moyens, avec capture et déménagement à prévoir. Parmi les trois espèces d'amphibiens répertoriées sur le site, entre le triton palmé et l'alyte accoucheur, le crapaud commun pourrait faire l'objet d'un déplacement vers les zones humides de Plougastel. On mesure la complexité de ce genre de dossier, dans son moindre détail et sa moindre composante. Et on comprend mieux pourquoi le compte rendu des éléments d'enquête publique dépasse les 10 kg de papier ! Source
  19. L'un des moments forts de ce vendredi se vivra lorsque le jour sera à peine tombé: le film «Le règne de l’araignée» de Vincent Amouroux sera projeté à partir de 18 heures en plein air (un ciel dégagé est annoncé) sur un écran géant au centre du parking du parc commercial tandis que le son sera diffusé dans les haut-parleurs de la coursive. Vous réfléchirez à deux fois avant de l’écraser… «C’est un film de 42 minutes diffusé sur Arte récemment. Nous avons obtenu l’autorisation du distributeur de le projeter pour la première fois en Belgique, indique Christophe Deneve de la cellule environnement complété par son échevine, Ann Cloet. L’araignée fait peur alors qu’elle est très utile. C’est ce que permettra de découvrir ce documentaire.» Un reportage intéressant que nous avons visionné. Sans forcément tout dévoiler, outre ce que l’araignée apporte à la Terre, vous serez surpris d’apprendre qu’il en existe «42 000 espèces et qu’il en reste des dizaines de milliers à découvrir», qu’on en trouve «en haute montagne comme sur les îles éloignées. Où que vous soyez, il y a toujours une araignée près de vous… sauf aux deux pôles». Prises de vue stupéfiantes Les outils utilisés par l’équipe ayant mis en boîte le documentaire offriront des images étonnantes, permettant de frissonner face notamment aux yeux de l’une ou l’autre espèce. Ou d’être étonnés sur la manière de tisser la toile, avec là aussi des infos qui intéresseront les petits comme les grands. On vous apprendra par exemple que l’araignée «recycle la soie en mangeant sa toile pour mieux la refaire!» Pour la parade nuptiale, aucun détail: vous apprécierez par vous-même le courage des mâles… Le distributeur de l’œuvre (ZED) indique que «grâce à des techniques de prises de vues exceptionnelles, ce documentaire nous plonge au cœur du monde méconnu des araignées – que nous côtoyons pourtant tous les jours! Un monde surprenant qu’il suffit d’aller chercher au-dessus de notre armoire, sur notre balcon ou dans notre jardin». Source
  20. Ce mardi vers 9h25, rue des Alliés un jeune de 23 ans qui visitait le parc de Wasmes s’est retrouvé confronté à un reptile de l'espèce elaphe d'une longueur d’un mètre ! Selon des experts, serpent n’est pas jugé dangereux pour l’homme. Le service CRISP a pris en charge le reptile pour le transférer à Pairi Daiza. Source
  21. Les animaux de compagnie se mettent parfois en danger en jouant. C’est le cas de cette chienne, Shadow, qui jouait ce jour-là à attraper des crapauds. Malheureusement, l’un d’entre eux était venimeux. La chienne a aussitôt fait une attaque. Son maître a toutefois eu les bons réflexes. Les faits se passent en Floride et Shadow joue avec des crapauds, le long d’un canal, explique Fox News Insider. Elle en attrape un, le croque et s’effondre... La pauvre chienne venait en fait de se faire empoisonner... Son maître ne va pas hésiter. Il va pratiquer un massage cardiaque et le bouche à bouche. «J’étais au bon endroit au bon moment», a tout simplement commenté l’homme. La scène a été filmée par une caméra de surveillance. Aujourd’hui, Shadow se porte bien. Merci pour elle... Source
  22. Une jeune Brésilienne de 13 ans a été victime d’une vilaine morsure de serpent, causant une nécrose et une paralysie partielle de sa jambe droite. Elle a dû être amputée face à la violence du venin du serpent et ce, malgré tous les efforts des médecins brésiliens et vénézuéliens pour guérir cette plaie. jeune fille de 13 ans, restée anonyme, a perdu sa jambe droite suite à une balade dans une forêt tropicale au Brésil, explique le Daily Mail. Elle a été mordue par un serpent et le venin a rapidement empoisonné sa jambe. Selon l’utilisateur du réseau social Instagram « juventudmedica » qui a envoyé la photo de cette jambe nécrosée, les tissus de la peau sont rapidement tombés, quelques jours seulement après la morsure, avant que le pied puis la jambe soient paralysés. La jeune fille a d’abord été soignée par les médecins locaux, avec des remèdes indigènes qui n’ont toutefois pas sauvé sa jambe. Elle a finalement dû être transférée au Venezuela afin d’être examinée par des experts, un mois après sa morsure. La nécrose a ensuite mené à une maladie appelée rhabdomyolyse, qui mène à une dégradation rapide des cellules des muscles squelettiques dans les vaisseaux sanguins. Les cellules peuvent alors s’infiltrer dans les reins et d’autres organes. La victime de cette maladie doit également éviter tout effort, au risque de briser ses os et muscles plus facilement… L’adolescente s’est vue amputer sa jambe droite et continue sa revalidation au Venezuela. Source
  23. Le Conseil Supérieur de la Santé (CSS) et le Comité Scientifique de l'Agence Fédérale de Sécurité de la Chaîne alimentaire (Afsca) ont émis lundi un avis pour répondre à la question "la consommation d'insectes présente-elle ou non des risques pour la santé?". Les dangers potentiels peuvent, en grande partie, être maintenus sous contrôle par une application correcte de la législation, ont annoncé les deux institutions lors d'une conférence de presse. Le CSS et l'Afsca ont analysé douze espèces d'insectes en vente sur le marché belge. "Les apports en vitamines, fibres, minéraux et acides gras des insectes sont extrêmement intéressants", ont analysé l'Afsca et le CSS. "Certains insectes comprennent autant d'Omega 3 qu'un saumon." Mais, si le consommateur et le producteur ne sont pas vigilants, l'entomophagie (consommation des insectes, ndlr) peut comporter certains dangers. Au niveau microbiologique, on peut retrouver des bactéries pathogènes dans des insectes mal nourris, mal cuits ou mal conservés. Il existe aussi des dangers physiques si l'on consomme les ailes et les pattes des insectes, des résidus de chitine pouvant provoquer des constipations. Enfin, certaines personnes peuvent développer des allergies, surtout celles qui réagissent déjà négativement aux mollusques, crustacés et acariens. Le CSS et l'Afsca ont fourni plusieurs recommandations. A l'adresse des éleveurs, ils réclament une séparation stricte entre les chaînes de production pour l'alimentation humaine et les aliments pour animaux. Ils conseillent également de travailler dans des milieux d'élevage secs, nettoyés régulièrement. L'étiquetage doit pour sa part mentionner les risques d'allergies et l'importance de retirer des pattes et les ailes avant de consommer. L'insecte doit également être cuit suffisamment, le blanchiment étant un strict minimum. Source
  24. Les résultats de la recherche devraient réduire les entraves au commerce et doper les mesures de lutte contre les nuisibles 28 octobre 2014, Rome/Vienne - Quatre variétés de redoutables ravageurs ailés des cultures fruitières sont, en fait, une seule et même mouche des fruits, selon les résultats d'une recherche mondiale diffusés aujourd'hui. Cette découverte devrait réduire certaines restrictions au commerce international tout en facilitant les mesures de lutte contre la capacité de reproduction de ces insectes nuisibles, indiquent les experts. La mouche aux diverses appellations – Orientale, Philippine, Invasive, Asiatique de la Papaye – appartient en fait à la même espèce biologique, à savoir Bactrocera dorsalis, responsable de préjudices incalculables à l'horticulture et à la sécurité alimentaire à travers l'Asie, l'Afrique et le Pacifique. Cette découverte est le fruit d'une collaboration internationale entamée en 2009 et coordonnée par la FAO et l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) avec la participation d'une cinquantaine de chercheurs de 20 pays. Elle a été précédée d'une approche intégrative axée sur un examen empirique ayant fait appel à diverses disciplines. La capacité d'identification précise des nuisibles est un élément essentiel de la lutte contre les ravageurs, notamment en ce qui concerne les mesures quarantenaires ou les interdictions frappant parfois les échanges internationaux de produits agricoles tels que les fruits et légumes. Maintenir les mouches des fruits exotiques à distance est une préoccupation majeure pour beaucoup de pays. Mais les résultats de l'étude coordonnée par la FAO et l'AIEA montrent que les restrictions commerciales relatives à la mouche Orientale des fruits ne sont plus de mise lorsque l'insecte est présent aussi bien dans le pays exportateur que dans le pays importateur, selon M. Jorge Hendrichs, expert auprès de la Division mixte FAO/AIEA des techniques nucléaires en alimentation et agriculture, dont le siège se trouve à Vienne. "Ce résultat a des conséquences importantes pour la biosécurité des plantes au niveau mondial, en particulier dans les pays en développement d'Afrique et d'Asie", indique l'auteur principal de l'étude, M. Mark Schutze, expert australien auprès du Centre de recherche coopérative sur la biosécurité des plantes (PBCRC) et chercheur à l'Université de technologie du Queensland (QUT). "A titre d'exemple, les ravages provoqués par la mouche des fruits Invasive - aujourd'hui Orientale - à la production de fruits africaine avec des pertes de plus de 80 pour cent ont entraîné des restrictions commerciales sur les expéditions sous forme de refus d'entrée en Asie, en Europe et au Japon, ce qui a eu un impact économique et social négatif considérable sur les communautés paysannes", précise M. Schutze. La technique de l'insecte mâle stérile Les résultats de l'étude ont, par ailleurs, rendu encore plus simple l'utilisation des méthodes qui recourent à la technique de l'insecte mâle stérile pour empêcher la multiplication des colonies de ravageurs. La technique de l'insecte mâle stérile, forme de contrôle des naissances appliquée aux nuisibles, consiste à lâcher dans les zones infestées un nombre considérable de mâles qui auront été auparavant stérilisés en laboratoire par de faibles doses de radiations. Ces mâles vont s'accoupler dans la nature avec des femelles sauvages mais celles-ci n'auront pas de descendance. Ainsi, cette technique, appliquée systématiquement sur une large zone géographique, permet d'éliminer les populations de nuisibles d'une manière respectueuse de l'environnement. Les laboratoires FAO/AIEA d'agriculture et de biotechnologie ayant démontré que les quatre mouches des fruits se croisent librement entre elles, il n'est pas nécessaire de recourir à des mâles des soi-disant différentes espèces, il suffit de lâcher uniquement des mouches mâles Orientales stériles contre les différentes colonies. "Au plan mondial, accepter le fait que ces quatre nuisibles ne forment en réalité qu'une seule et même espèce réduira les obstacles au commerce international, améliorera la lutte contre les ravageurs et facilitera la coopération transfrontière internationale. Cela aura également pour effet de rendre les mesures quarantenaires plus efficaces, d'élargir le champ d'application des traitements post-récolte, d'améliorer la recherche fondamentale et, ce qui est encore plus important, de renforcer la sécurité alimentaire dans certains des pays les plus pauvres du monde", affirme M. Schutze. Les résultats de cette étude coordonnée par la FAO et l'AIEA ayant été publiés dans la revue scientifique Systematic Entomology, il ne fait plus de doute que les quatre mouches des fruits, auparavant considérées comme distinctes, seront désormais regroupées sous une appellation unique: Bactrocera dorsalis, mouche des fruits Orientale. Source
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