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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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Quand on pense vipères, on associe souvent grosses chaleurs et risques de morsure. Pourtant, le risque de croiser le seul reptile venimeux de la région, la vipère aspic, est plus fort au printemps ou à l’automne. « En plein été, par 30°, elles restent cachées. Elles ont plus tendances à s’exposer au soleil quand les températures sont chaudes mais pas trop élevées, comme cela peut être le cas en mars/avril ou comme cela a été le cas ces derniers jours », explique Nicolas Varanguin, spécialiste de la question à la Société d’histoire naturelle d’Autun. La morsure de ce dimanche n’est donc pas si surprenante. Elle n’en reste pas moins exceptionnelle. Car si l’espèce a proliféré en Bourgogne il y a plus d’un siècle, sa population est en très net recul depuis des décennies. De plus, c’est une espèce plutôt paisible. « Elle aime les endroits broussailleux et pierreux, où elle peut à la fois s’exposer au soleil et se cacher. mais comme tous les reptiles, elle est peureuse. Sourde, elle sent les présences grâce aux vibrations du sol et a souvent pris la fuite avant même qu’on ne la voit », explique le spécialiste. Seule la somnolence complète de l’animal peut donc générer une proximité rapprochée avec l’homme et un risque de morsure. Des morsures qui ne sont pas systématiquement synonymes de complications graves, comme le prouvent les chiffres (lire encadré). En Bourgogne, la vipère aspic est le seul reptile à présenter un réel danger. « Certaines couleuvres peuvent présenter des signes d’agressivité mais leur morsure est sans venin. « C’est moins douloureux qu’une morsure de souris », rassure Nicolas Varanguin. Source
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Marseille: Le serpent du parc Puget était un cobra d'Afrique du Sud
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
C’était bien un cobra! Le serpent qui a été repéré dans le parc Puget par plusieurs promeneurs en septembre n’était donc pas une couleuvre de Montpellier, et encore moins une chimère. L’alerte avait été lancée en septembre par un promeneur qui avait pris en photo le reptile. Malgré les battues, l’animal était resté introuvable. Au point que certains avaient émis des doutes sur l’existence du serpent. «Eh bien, ce n’était pas un canular», a lancé mardi Yves Moraine, le maire (UMP) du 4e secteur. Après avoir étudié la photo du reptile, les herpétologues du bureau d’études Ecomed sont formels. «La coiffe, que l’on voit sur la photo, est celle du type cobra», assure Julien Viglione, directeur général d’Ecomed. « Potentiellement mortel » L’animal, qui mesure entre 80 cm et un mètre, provient sans doute d’Afrique du Sud. Âgé de 3 à 4 ans, il est «potentiellement mortel». Pendant 10 jours, les herpétologues ont posé des pièges dans le parc Puget pour essayer de le capturer. Peine perdue. «La probabilité qu’il soit encore vivant aujourd’hui est assez mince», indique Grégory Deso d’Ecomed. Il est sans doute mort sous les roues d’une voiture, ou plus probablement victime d’une des battues organisées par les marins-pompiers, voire d’un prédateur (les rats par exemple). «On n’aura pas plus de certitude aujourd’hui, sauf à retrouver le cadavre», reprend Yves Moraine, qui a donc pris la décision de rouvrir le parc Puget vendredi. Trois gardiens seront présents pour rassurer les familles. Ils seront «armés» de gants, de crochets et d'un «effaroucheur», c'est-à-dire d'un bâton. 60 euros le jeune cobra Reste à savoir comment un cobra a pu arriver à Marseille. Pour posséder un tel animal, il faut le déclarer à la Direction des services vétérinaires qui délivre un certificat de capacité animalier. Selon les experts d'Ecomed, une dizaine de personnes seulement possèdent ce certificat à Marseille. Aucun d'entre eux n'a signalé de disparition. «Le serpent a sans doute été acheté illégalement, reprend Julien Viglione. Il y a des marchés européens, comme à Hamm en Allemagne, où l'on peut acheter facilement des jeunes cobras.» Leur prix: une soixantaine d'euros. «Ensuite, soit il s’est échappé de son terrarium, soit on l’a abandonné volontairement.» Source -
Toulon-sur-Arroux : héliportée suite à une morsure de vipère
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Une femme de 46 ans a été mordue par une vipère cet après-midi. Elle a été héliportée Une personne a été mordue par une vipère cet après-midi, alors qu'elle se promenait en présence d'amis dans un bois de Montmort. Elle a été amenée en voiture sur la place de Toulon-sur-Arroux, où des pompiers de Toulon l'ont prise en charge. Elle a été héliportée. Comble de malchance, la victime était venue pour participer à la Rando des Châtaignes...avec une semaine d'avance, l'événement étant fixé à dimanche 26 octobre. Source -
Chasse au reptile près d'une maternelle au cœur de Narbonne
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
U n serpent de trois mètres signalé. Les services techniques et la police mobilisés. Témoignage fantaisiste ou danger avéré ? Derrière les murs du Palais des Archevêques, aucune hypothèse n'est écartée depuis que la présence d'un serpent de plus de trois mètres de longueur a été signalée mercredi, en cœur de ville, non loin de l'école Suzanne-Buisson. Une Narbonnaise âgée d'une soixantaine d'années déclare avoir aperçu ce jour-là, dans l'après-midi, un long reptile couleur sable et tacheté de noir, à une quarantaine de mètres de l'établissement scolaire. Toujours selon sa déclaration, l'animal se serait éloigné de la maternelle, en disparaissant dans l'herbe d'un terrain privé situé à proximité. Depuis trois jours, “l'affaire” est traitée en toute discrétion. Les sapeurs-pompiers et la police municipale ont effectué des recherches sur place, en vain. Les services techniques sont également venus élaguer un terrain communal. "Pas certains du tout qu'il y ait même un serpent" "La description renvoie davantage à un python ou à un boa qu'à une couleuvre, mais nous ne sommes pas certain du tout qu'il y ait même un serpent. En tout cas, il ne faut pas que les gens s'inquiètent, ces serpents ont plutôt tendance à s'enfuir quand ils voient quelqu'un", tempère Steve Gonzalez, le patron de la police municipale. L'école, où l'hypothèse avait généré une certaine inquiétude, est désormais fermée pour cause de vacances scolaires. La propriétaire du jardin qui aurait accueilli la fuite du présumé reptile envisagerait, elle, de le faire désherber dès lundi, toujours au nom du même principe de précaution. Source -
Les médecins pensaient qu’il était atteint d’un cancer. Keith Pierce et ses parents se sont alors rendus dans un autre hôpital: l’enfant a été opéré d’urgence, mais il ne s’est jamais réveillé. Un jeune de garçon de 10 ans est décédé suite à une morsure d’araignée. Les médecins n’ont, dans un premier temps, pas compris qu’elle était la cause de vives douleurs. Le 30 septembre, la jambe de Keith Pierce a commencé à gonfler. Les médecins ont cru qu’il s’agissait d’un cancer. Mais en attendant les résultats, ils ont renvoyé le garçon chez lui, rapporte Het Laatste Nieuws. Une vive douleur s’est ensuite emparée du garçon, vendredi dernier. Ses parents ont alors décidé de se rendre dans un autre hôpital. Cette fois, Keith a été opéré d’urgence… mais c’était déjà trop tard. Le petit garçon, «sportif et heureux» d’après sa mère, ne s’est jamais réveillé. l’autopsie a révélé qu’une morsure d’araignée était la cause de la mort. Source
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Le vieux crocodile Billy quitte le Vivarium de Lausann
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Le Vivarium de Lausanne se sépare de sa mascotte, Billy le crocodile nain âgé de 44 ans. Le reptile sera placé dans une réserve en France pour se reproduire. Il ne reste qu’une quinzaine de jours aux amateurs de reptiles pour aller voir Billy, le crocodile nain âgé de 44 ans, au Vivarium de Lausanne. Le plus ancien pensionnaire de l’institution sera en effet transféré le 31 octobre en France, dans la réserve africaine de Sigean dans l’Aude. Seul mâle connu de son espèce provenant du Liberia, il participera à un programme de reproduction. Car à 44 ans, un crocodile nain n’est pas trop âgé pour avoir une descendance. «A Sigean, Billy rejoindra deux femelles, de son âge évidemment, explique Michel Ansermet, directeur du vivarium. Il aura encore dix à douze ans pour se reproduire deux à six fois, peut-être même dix fois.» Sauf que le crocodile n’a pas l’habitude de passer du temps avec des dames de son espèce. Pour lui éviter toute situation stressante, Billy sera donc d’abord séparé des deux femelles. Il pourra par la suite entrer en contact visuel avec elles, pour enfin être placé à leurs côtés. «C’est une approche subtile qui est nécessaire après 43 années passées dans un trou», résume Michel Ansermet. Le transfert du crocodile nain fait suite à son inscription à un programme de sauvegarde de la faune. C’est l’institution chargée de cette espèce, le Zoo de Leipzig en Allemagne, qui a intégré Billy dans le projet et lui a trouvé deux compagnes. Dès lors, il a été clair que le crocodile ne ferait pas partie des bêtes du vivarium qui emménageraient à Aquatis, le nouveau centre dédié à l’eau, dont l’ouverture est programmée pour 2016 à Vennes. Source -
Vendredi 10 octobre dernier, 155 tortues ont été saisies par les limiers, à bord d’un taxi-brousse en partance pour Antananarivo. Le chauffeur, ainsi que le président de la coopérative du véhicule ont déjà été enquêtés. Après enquête, ces deux individus ont été présentés au parquet de la région d’Anosy. Ils n’ont toutefois pas mentionné le vrai propriétaire de ces animaux protégés et dont l’exportation, voire même, le transport, est interdit par la loi. Généralement, ces tortues finissent dans l’assiette, en animal domestique, voire même dans les armoires à pharmacie de riches asiatiques (car bon nombre des pays asiatiques utilisent une partie de ces tortues à des fins médicinales). A Madagascar, l’on recense en moyenne plus de 2 000 tortues saisies par mois et un ONG a même compté qu’en 2005, plus de 60 000 tortues ont été victimes de trafics à l’échelle nationale et internationale. Un vrai record car si l’on fait le calcul, cela fait en moyenne 5 000 victimes par mois. Un haut responsable du WWF a même fait savoir que durant cette année 2014, l’on pourrait s’attendre à une augmentation en raison des dernières saisies. Car, il est bien connu qu’à part les consommation de la viande de tortue sur place, force est de mentionner notamment que l’Asie du Sud Est reste l’un des premiers preneurs de ces animaux protégées. Certains vont également aux Etats-Unis (en passant toujours par l’Asie ou en Afrique du Sud Source
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Désagréable surprise pour Dylan Thomas, alors qu’il était en vacances à Bali. Ce jeune homme de 21 ans s’est fait piquer par une araignée, à plusieurs reprises, avant de découvrir que celle-ci avait élu domicile... dans son estomac. La semaine dernière, Dylan Thomas s’est offert une semaine de vacances à Bali. Tout se passait bien jusqu’à ce que le jeune homme se réveille le matin, attaqué par une araignée. Il avait plusieurs piqûres, qui allaient de son estomac à sa cage thoracique. Embêté, il s’est rendu à l’aéroport de Bali où il a été soigné grâce à des antihistaminiques. Mais la douleur, raconte le DailyMail, allait persister. Dylan Thomas décida alors d’aller voir un dermatologue. Choix gagnant puisque celui-ci a retrouvé, dans son estomac, une petite araignée tropicale. Elle avait fait de l’organe du garçon son nouveau domicile, en rentrant par une ancienne petite cicatrice qu’il avait suite à une opération de l’appendice. Source
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Niassya : Un serpent mystérieux « dévore » deux membres d’une famille
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
SETAL.NET-Les populations de Niassya à 10 km au sud de Ziguinchor sont habitées par une peur bleue à cause d’un serpent qui a déjà tué deux membres d’une même famille dans le quartier de Bakoumoume SETAL.NET-Les populations de Niassya à 10 km au sud de Ziguinchor sont habitées par une peur bleue à cause d’un serpent qui a déjà tué deux membres d’une même famille. Les populations de la nouvelle commune de Niassya sont consternées suite à la mort de deux membres d’une famille, tous mordus par un serpent mystérieux. Le premier, répondant au nom d’André Bassène, la cinquantaine révolue a été mordue vendredi passé, alors qu’il était dans les rizières. Il avait été transporté à l’hôpital régional de Ziguinchor où il avait été hospitalisé. Tout allait bien pour lui après. Mais subitement, il a rechuté avant de succomber à la suite de la morsure. Pendant que ses parents portaient le deuil, le reptile revient à la charge le lendemain. Cette fois-ci, c’est Baîssikine Bassène, 9 ans qui est mordu. Ce dernier revenait également des rizières. Lui aussi, a rendu l’âme malgré les injections et soins qui lui sont effectués. L’Observateur Source -
Ce jeudi matin, vers 9h, un habitant du Portel a découvert un serpent en plein milieu de sa cuisine. L’intervention aura duré presque trois heures. Un laps de temps durant lequel les sapeurs-pompiers et le service Opale capture environnement ont bataillé pour récupérer un serpent, caché dans les canalisations d’une maison de la rue de l’Amiral Courbet au Portel. Il s’agit d’un serpent des blés de type Élaphe guttata, probablement abandonné dans la nature par ses anciens propriétaires. « Je suis allé dans la cuisine pour me faire un café et j’ai vu quelque chose de bizarre, confie le propriétaire. Je me suis approché et j’ai vu qu’il s’agissait d’un serpent. il s’est faufilé derrière le plan de travail et j’ai appelé les pompiers. » L’animal a été transféré au centre de sauvegarde de la faune sauvage à Calais. Plus d’informations dans notre édition du mercredi 22 octobre. Source
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Ambleteuse : une couleuvre capturée par les pompiers rue de Marquise
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Ce mercredi, vers 8 h 30, une Ambleteusoise de la rue de Marquise a aperçu un serpent devant chez elle, niché contre le trottoir. Elle a alors prévenu la mairie et un agent municipal a pu constater qu’il s’agissait d’un reptile assez impressionnant. pompiers ont donc été prévenus et se sont rendus à Ambleteuse. Ils ont maîtrisé le serpent à l’aide d’une pince et d’une cage. Opale Capture s’est ensuite chargé de transporter l’animal, mesurant environ 1,50 mètre, vers un lieu sûr. Directeur du service animalier, Jérémie Marion explique : « C’était une couleuvre à collier, une espèce locale, qui est protégée et inoffensive. Comme elle n’était pas blessée, elle a été relâchée dans la région, dans un endroit sûr pour elle. La couleuvre vit dans des milieux humides, souvent dans des broussailles ou entre des rochers. » Que faisait-elle en pleine rue à Ambleteuse ? « Elle a pu s’enfuir de chez un particulier, ou quelqu’un a pu vouloir s’en débarrasser car le serpent devenait trop envahissant », imagine Jérémie Marion. Ce mercredi matin, au Portel, un autre serpent a donné plus de fil à retordre aux secours, puisqu’il a fallu plus de trois heures pour le capturer. Source -
Prise en charge par les soigneurs du Centre de Soins Kélonia, Lili - la tortue imbriquée harponnée le 21 septembre - va "mieux". Cette tortue a subi en urgence une lourde intervention chirurgicale après avoir été grièvement blessée par un braconnier. La flèche en question est entrée par un oeil pour ressortir par l’autre. Son oeil droit est sauvé mais la plaie de son oeil gauche s’est infectée. Un "légère amélioration" est à noter en ce qui concerne la santé de Lili. Son état général s’est amélioré selon Mathieu Barret, le chef de service des Soigneurs du Centre Kélonia. "Lili va un peu mieux. Elle réagit mieux et son oeil droit est sauvé" explique Mathieu Barret qui s’occupe au quotidien de cette tortue imbriquée, victime d’un acte de braconnage le 21 septembre dernier. Par contre, ce soigneur ne cache pas son inquiétude concernant l’oeil gauche de Lili : une infection s’est installée car les points de suture n’ont pas tenu entre les différents tissus. "Lili sera aveugle de l’oeil gauche car sa rétine a été touchée mais le plus important, c’est que l’infection qui s’est installée ne prenne pas d’ampleur". Il sera probablement nécessaire de retirer l’oeil gauche de Lili afin de limiter l’infection en question. Lili est donc toujours sous antibiotiques et elle est examinée régulièrement par un vétérinaire. Son pronostic vital n’est pas engagé mais cette tortue doit faire l’objet de toutes les attentions pour reprendre des forces, jour après jour. Lili reste sous surveillance et sous soins L’infection qui s’est installée dans l’oeil gauche de Lili est surveillée de près par les soigneurs. Cette tortue imbriquée reçoit des soins tous les jours. "Elle réagit mieux et bouge plus" précise Mathieu Barret, chef de service des soigneurs du Centre Kélonia. Une fois encore, son état général s’est amélioré mais il faut absolument éviter la propagation de l’infection. Pour rappel : dimanche 21 septembre, des riverains ont littéralement sauvé une tortue marine sur le front de mer de Saint-Pierre, tout en faisant fuir le braconnier qui tentait de l’emporter. Harponnée au niveau de la tête, la tortue a immédiatement été opérée dans une clinique de Saint-Pierre. Deouis ce jour, les soigneurs du Centre de Soins Kélonia mettent tout en oeuvre pour sauver Lili. Une fois encore, il s’agit d’une tortue imbriquée et cette espèce est menacée d’extinction. Source
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L'issue inattendue d'un affrontement entre deux araignées
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Filmé en direct, un affrontement entre deux araignées a rapidement pris une tournure pour le moins inattendue... L'issue inattendue d'un affrontement entre deux araignées par Gentside Découverte Les araignées sont de redoutables prédateurs, ce n'est plus à démontrer. Mais quand une araignée s'en prend à une autre, cela peut mener à des scènes étonnantes. Pour preuve, cette vidéo filmée par un internaute qui avait capturé deux arachnides dans sa maison. A peine mise en contact depuis quelques minutes, un affrontement a éclaté. Mais alors que le combat avait démarré depuis quelques secondes, un événement inattendu s'est produit. Soudainement, une douzaine de petites araignées ont surgi de l'abdomen d'une des combattantes. Un phénomène impressionnant qui s'explique très bien, selon le Dr. Leonard Vincent, entomologiste au Fullerton College interrogé par le Huffington Post. En effet, ces araignées-loups (de la famille des Lycosidae) portent leurs œufs dans un sac fixé à leurs filières. Donc ceux-ci suivent la femelle partout où elle va et dans le cas présent, le choc de la bataille a probablement provoqué un éclatement du sac et leur sortie prématurée. En temps normal, une fois sorties, les jeunes araignées montent sur le dos de la femelle et s'y maintiennent grâce à des poils spécialisés. Source -
Les disparitions de chats domestiques à Argentan évoquées à plusieurs reprises dans nos colonnes laissent la porte ouverte à toutes les suppositions. Plusieurs personnes avaient rapporté des actes de cruautés sur leur animal. Aujourd’hui, on raconte qu’ils pourraient servir à nourrir des boas. Mais aussi qu’un de ces serpents se serait échappé il y a quelques semaines et se promènerait en liberté. Rumeur ou pas ? Du côté des services de pompiers, du commissariat et de la police municipale, on assure n’avoir recueilli aucun signalement de ce type. Ouvrons l’œil quand même… Source
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Chavornay doit composer avec l'augmentation des abando
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Le seul centre de protection et de récupération des tortues (PRT) de Suisse a passé le cap des 20 ans. Et n’a jamais compté autant de tortues abandonnées. Ce qui inquiète les bénévoles, c’est autant la tendance qui semble inexorable que les changements de modes. Avant 2008, date de l’interdiction de son importation, c’était la mode des tortues de Floride à tempes rouge. Aujourd’hui, elles sont remplacées par des tortues à tempes jaunes, et par des tortues terrestres dont le prix baisse sur le commerce. «Depuis deux ans, on reçoit presque une tortue par jour. En août, on a même reçu 51 en un seul samedi!» compte Jean-Marc Ducotterd, directeur du centre de protection et de récupération des tortues de Chavornay. «Les gens réfléchissent moins, et oublient qu’une tortue peut vivre des dizaines d’années.» Résultat, le centre unique en Suisse, qui vient de fêter ses 20 ans, est proche de la saturation. Les bénévoles tentent de caser au mieux la cinquantaine d’espèces rares ou invasives dans leurs petits locaux, en tenant compte du sexe des tortues ou de leurs incompatibilités d’humeur. Un véritable casse-tête qui s’ajoute aux soins vétérinaires pour les animaux maltraités ou aux opérations de réintroduction d’espèce indigène, comme la Cistude. Pour lutter contre le phénomène d’abandon, Jean-Marc Ducotterd ne voit que la prévention et la sensibilisation. En plus de l’extension de la structure actuelle qui est d’ailleurs à l’étude. «Politiquement, ce serait en tout cas très difficile de limiter les importations de tortues exotiques», ajoute Isabelle Chevalley, conseillère nationale présente lors des 20 ans du centre de Chavornay. «Il serait facile de contourner l’interdiction et de faire un élevage en Suisse. Par contre il faut sensibiliser les propriétaires, on croit toujours qu’on sait.» Source -
L'odeur du serpent influe sur le comportement et la physiologie des lézards. ZOOLOGIE. Lorsqu'une femelle lézard vivipare respire l'odeur de la couleuvre, son ennemi mortel, les embryons qu'elle porte voient leur queue... s'allonger ! Un atout pour leur avenir : plus leur queue sera longue, plus ils auront en effet de chances d'échapper à leur prédateur naturel en la sectionnant pour l'abandonner dans la gueule du carnivore. Et ce n'est pas tout ! Les petits des femelles mises en contact avec cette même odeur pendant un mois se dispersent davantage ensuite et évitent dès leur naissance les endroits chauds les plus exposés pour diminuer les risques de croiser des serpents. Cet effet n'est pas reproduit par d'autres signaux donnés par la mère comme le stress. Source
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Elles ont mauvaise réputation mais elles sont essentielles à la bonne santé du jardin. Les araignées sont des actrices de la biodiversité… qu’il ne faut surtout pas écraser ! (c) nechaevkon - Fotolia (c) nechaevkon - Fotolia On recense plus de 1600 espèces d’araignées en France et des milliers d’autres dans le monde. Apparues il a des millions d’années, bien avant les dinosaures, les araignées sont présentes dans tous les milieux. Presque toutes sont insectivores, capturant leurs proies grâce aux toiles qu’elles tissent à l’aide de fils de soie secrétée par des glandes sur l’abdomen. Les araignées sont des grandes prédatrices, elles capturent plus d’insectes que les oiseaux, régulant ainsi les populations, notamment des espèces considérées comme nuisibles par le jardinier. À la maison, elles attrapent mouches, moustiques et acariens ; dehors, elles nourrissent les reptiles et oiseaux. Bref, à l’intérieur comme à l’extérieur, ce sont de vrais indispensables. Indicateur de milieu sain Vous avez beaucoup d’araignées chez vous ? Réjouissez-vous ! Cela signifie que votre environnement n’est pas trop pollué. Une large communauté d’araignées témoigne en effet d’un milieu naturel riche en insectes variés et donc d’un sol relativement épargné par les produits phytosanitaires. Des études ont prouvé la corrélation entre présence d’arachnides et richesse de la biodiversité et, au contraire, leur absence dans les lieux les plus pollués. Phobie L’araignée est un animal utile et fascinant dès que l’on prend le temps de l’observer (regardez une toile dans la rosée du matin, c’est très beau !). Pourtant elle continue de dégoûter ou de faire peur. Un Français sur quatre serait pris d’effroi devant cette créature à huit pattes. Une phobie injustifiée, qui se transmettrait des parents aux enfants. Rappelons que si les araignées sont venimeuses – puisqu’elles tuent leurs proies grâce au venin – elles sont en France pour la majorité inoffensives pour l’homme. Pour combattre sa peur des araignées, les thérapies cognitives et comportementales basées sur l’exposition graduelle au facteur de peur ont fait leurs preuves. Source
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Le sonneur à ventre jaune, un crapaud amoureux à protéger
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Parmi les espèces les plus menacées de France,le crapaud sonneur à ventre jaune fait l'objet d'un plan national d'actions qui est décliné en Auvergne depuis 2012, particulièrement dans le parc naturel régional du Livradois-Forez où il fait l'objet d'un suivi très attentif. Depuis plusieurs mois le CPIE Clermont Dôme dresse, à la demande du Parc Naturel Régional Livradois Forez, un état des lieux de la présence du crapaud sonneur sur son territoire . Un comptage est réalisé avec une identification de chaque crapaud recensé, pour permettre un suivi. Le crapaud sonneur à ventre jaune préfère les ornières aux mares, c'est donc souvent dans les chemins qu'on peut l'observer. Des actions de préservation sont menées pour sensibiliser, informer le public et les acteurs de la filière forestière pour prêter une attention particulière à ce petit crapaud, en évitant par exemple le passage des engins agricoles lors des périodes de reproduction. Source -
Espoir pour la conservation de la tortue d'Hermann dans le Var
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Dernière tortue terrestre sauvage de France, la tortue d'Hermann est une espèce menacée à l'échelle mondiale. Bonne nouvelle : le plan de conservation porte ses fruits dans le Var. CONSERVATION. Après quatre ans d'étude, les conclusions du programme de conservation des tortues d'Hermann vivant à l'état sauvage dans le Var sont très positives. Les objectifs ont même été dépassés ! Life+. Une excellente nouvelle pour cet animal endémique de la Provence dont l'espèce est menacée à l'échelle mondiale. En 2010, l'Europe s'était engagée dans un vaste programme de conservation Life+, visant à améliorer la gestion de son espace naturel. Life+ prendra fin le 31 décembre 2014, mais l'Agence régionale pour l'environnement de la région PACA, qui coordonne le projet, se félicite déjà des excellents résultats. Un document intitulé "plan de conservation après-Life" sera produit en fin de projet. Il exposera la manière dont certaines actions du programme seront poursuivies ou développées ensuite de façon à les pérenniser. Et les tortues domestiques ? Attention : la vente d'animal sauvage est interdite. Et de façon générale : La tortue d'Hermann fait partie de la faune sauvage et supporte mal la captivité. Dans la nature son espace de vie s’étant de 2 à 5 hectares" - ARPE. Adopter. Détenir une tortue d'Hermann chez soi n'est possible que si l'animal est né en captivité. Mais cela ne suffit pas, il faut demander une autorisation d'élevage d'agrément (de 1 à 6 individus) ou de certificat de capacité (au delà de 6) auprès de la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) de votre département. Se séparer. Avant toute adoption, mieux vaut s'accorder le temps de la réflexion car il n'est pas plus aisé de se séparer de l'animal. En effet, contrairement à ce que l'on pourrait penser, il ne suffit pas de relâcher la tortue dans la nature, même si vous habitez le Var. D'une part, elle pourrait présenter un risque sanitaire (maladies) et génétique pour les populations sauvages. D'autre part, la tortue ne s’adapterait pas. Seule solution : la placer dans un centre d’accueil, comme le Village des Tortues de Gonfaron qui prendra grand soin de cet animal précieux. Source -
Le genre Stenodactylus fait parti de la famille des Geckonidés et de la sous famille des Geckoninés. Il y a 11 espèces de Stenodactylus. Stenodactylus petrii, décrit par ANDERSON en 1896, est l’espèce la plus couramment rencontrée en captivité. Les noms communes de S. petrii trahissent son apparence : « Cat’s eyes gecko » (Gecko œil de chat) ou ses mœurs « dwarf Sand Gecko » (Gecko nain des sables). Photo empruntée au site http://www.hippocampus-bildarchiv.com/ Ce sont de petits lézards mesurant entre 8 et 10 cm. Il y a de grandes variations entre les spécimens, et cela en fonction de leur origine, ce Gecko mettant un accent particulier sur le camouflage. La coloration de fond va de la couleur sable clair à brun en passant par le jaune et le gris. Le ventre est blanc. La peau est fine, presque transparente, on peut y voir les vaisseaux sanguins passer dessous ! Le dos est parsemé de taches plus claires que la coloration du dos ou plus sombres jusqu’au noir. On remarque parfois deux grandes lignes irrégulières ou rangées de taches noires sur les flancs. Le fond de l’œil est de même couleur que la peau et parsemé de petites rayures sombres ce qui contribue au camouflage car dépourvu de paupières, ses grands yeux doivent passer inaperçus ! La pupille est ovale et en journée réduite à un simple trait vertical aux bords irréguliers. La queue est très fine. On repère les mâles à deux bosses devant le cloaque qui correspondent aux hémipénis. La finesse du corps et de la peau rend le sexage aisé par la présence de ces deux bosses. Le museau est fin et aplati horizontalement, une rangée d’écailles labiales supérieure est visible depuis les narines jusqu’au dernier tiers de la gueule. Stenodactylus petrii se rencontre dans tout le nord de l’Afrique et fait une percée jusqu’en Israël. La répartition de ce Geckonidés est centrée sur le grand désert du Sahara. A l’est on le trouve jusqu’à l’océan Atlantique : Au Maroc, Mauritanie,, Sénégal. A l’est il pousse jusqu’en Erythrée (Djibouti) en passant par le Niger et le Mali. Il est confiné aux zones déesertiques de ces pays. Il s’aventure profondément au cœur du Sahara. C’est un habitant des étendues désertiques, sablonneuses ou rocailleuses. Il est parfaitement à l’aise dans le sable. Nocturne, il trouve refuge sous des rochers ou des racines de buissons voire dans le sable. On le trouve vivant dans des populations denses dans som aire de répartition. Il passe souvent ses journées dans un petit terrier qu'il aura creusé et qu'il aura obstrué l'orifice. Cette méthode permet à ce lézard de s´abriter des températures extrêmes et de se protéger des prédateurs. Notre petit gecko petri a souvent plusieurs terriers sur son territoire. Après en avoir occupé un durant quelques jours, il ira en fréquenter un autre par la suite. Son activité maximal semble se situer juste après le coucher du soleil. On peut aisément maintenir 3 à 4 sujets dans un terrarium de 60x40x40 cm. La hauteur importe peu car il ne grimpe pas. La décoration est simple : le fond garni de 5 à 10 cm de sable pour Reptiles et quelques pierres. Le sable de rivière est le meilleur choix selon moi. On peut aussi disposer des plantes grasses non épineuses. Un bol d'eau pour leur permettre de s'abreuver est quand même important. Le chauffage sera si possible aérien, une ampoule de 40 W fait alors l’affaire. Un chauffage au sol risque de voir nos Lézards s’enterrer en permanence à le recherche de chaleur. La lampe chauffera la moitié du terrarium, la température y sera de 32-35°C et peut monter à 40°C tant que cela reste localisé. L’autre partie non chauffée sera maintenue à 28-30°C. En s’enfonçant dans le substrat, le Lézard pourra y trouver de la fraîcheur. Certains préconisent le placement d’une boite humide comme chez Eublepharis macularius. Il s’agit d’une boite type tuperware, fermée par son couvercle et percée d’un trou sur de côté. L’intérieur de la boite est rempli d’une couche d’écorces pour Reptiles humidifiées. Les aérations seront larges et permettront une bonne circulation de l’air, évacuant ainsi l’humidité et la chaleur durant la nuit qui descendre autour de 20-22°C. L’éclairage peut se faire via un tube pour Reptiles, mais certains amateurs le considère inutile vu les mœurs nocturnes de S. petrii. Si nous n'utilisons pas de lampe uv, il sera impératif d'ajouter la vitamine D3 à son alimentation. La lumière est branchée 12 à 14 heures par jour en période d’activité normale. Terrestre et fouisseur, il reste très farouche en début de captivité car la plupart des adultes disponibles sont des sujets d’importation. Vous en le verrez presque pas en journée, toutefois, avec le temps et la connaissance de son nouvel environnement il sera de plus en pus observable le jour. Il est assez tolérant vis à vis de ses congénères. On rapporte une cohabitation entre mâles dans un terrarium de 80x50x50. Toutefois c’est plutôt déconseillé, car si il n’y a pas de réels combats entre mâles, il y a toujours un rapport de domination. S. petrii n’est pas un chasseur très rapide, on évitera donc les proies tel que les petites blattes à moins de les avoir « ralenties » via un passage de cinq minutes dans le bac à légumes du réfrigérateur. Son menu sera principalement constitué de petits grillons. À celà on ajoutera des vers de farine, des Zophobas morio, des teignes de ruche et des larves de cétoines. Ces larves seront bien sûr saupoudrées de Calcium. Il est nourrit tous les deux à trois jours avec une dizaine de grillons par spécimen environ. Réussir la reproduction de ce Lézard nécessite une période de repos à une température avoisinant les 15°C. Il ne s’agit pas d’une léthargie complète, mais de provoquer une variation climatique reproduisant l’hiver qui dans son biotope est souvent plus doux et les nuits carrément froides avec parfois des températures proches de zéro. Les femelles sont matures vers 18 à 24 mois, les mâles au bout d’un an. Néanmoins, il est préférable d’attendre dans tous les cas la seconde année pour les reproduire. Lors de l’accouplement, les mâles peuvent se montrer violent, les femelles peuvent signifier leur désaccord lors de la parade nuptiale par un petit cri sourd et rauque. Les femelles gestantes sont particulièrement reconnaissable peu de temps avant la ponte. En effet les œufs font deux bosses au niveau du bas ventre. Cet embonpoint donne le signal du placement du pondoir dans le terrarium : Une boite type tuperware où l’on a percé un grand trou sur un côté à environ 5 cm de hauteur. L’intérieur de la boite est recouvert de vermiculite légèrement humide sur 4 à 5 cm d’épaisseur. Le pondoir est enfoncé dans le sol, seule l’ouverture affleure à la surface. On le place dans un endroit assez chaud, où à un endroit où la femelle a tendance a beaucoup creuser. La ponte dure une vingtaine de minutes, puis la femelle reste une heure, les pattes arrière accrochant les œufs à attendre qu’ils sèchent et que leur coquille se solidifie. La ponte se fait en général la nuit. Les œufs stériles sont souvent abandonnés à même le sol sans aucune précautions. Une ponte contient deux œufs souvent collés entre eux, on peut compter jusqu’à 5 pontes dans l’année si la femelle est en bonne santé. Comme beaucoup de Geckos, dès la première ponte, la femelle suit un cycle d’environ un mois où se succèderont les pontes. Les œufs de forme ovoïde mesurent seulement 5 mm et sont donc très fragiles !. L’incubation se fait à 28-30°C et dure environ 60 jours. La vermiculite sera très légèrement humidifiée, les œufs ne doivent pas être en contact direct avec l’humidité qui ne dépassera pas les 60%. Par ailleurs, certains auteurs ont parfaitement réussi une incubation dans un incubateur « sec » (30 à 50 % d’humidité) et d’autres dans un incubateur plus humide. Les jeunes sont très petits, environ 3,5 cm à la naissance, et doivent être élevés séparément. On peu les placer dans de petites boites ferplast dont le fond est recouvert de papier essuie-tout et décoré par une petite cachette tel un morceau de tube PVC ou une coupelle de pot de fleur cassée en deux. Les paramètres seront les même que chez les adultes. Les UVB et le calcium sont indispensables. On les nourrit de micro-grillons et de drosophiles aptères.
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Ils ont remplacé les hamsters et autres cochons d’Inde. Les nouveaux animaux de compagnie (NAC) se sont ainsi multipliés… avec tous les dangers qu’ils peuvent présenter, relâchés même involontairement dans la nature. « Dernièrement, un serpent venimeux a été découvert dans un carton au centre de tri de Carvin. Et la semaine dernière, nous sommes intervenus à Bouin-Plumoison pour deux couleuvres vipérines, impressionnantes par leur taille mais qui ne sont pas venimeuses… » Des exemples d’interventions comme celles-ci, le caporal-chef Olivier Bouget en a plus d’un. Un phénomène qui s’est accentué en même temps que le nombre de serpents et autres reptiles envahissaient les foyers. En cas de fuite de l’animal, ou si celui-ci est abandonné par son propriétaire dans la nature, les pompiers sont en première ligne. C’est pourquoi, il est essentiel pour eux d’être formés à la maîtrise des bestioles. Ils ont tenu les animaux dans leurs mains Samedi après-midi, quatorze jeunes sapeurs-pompiers de troisième année du centre d’intervention et de secours d’Hesdin, accompagnés du caporal-chef Olivier Bouget, ainsi que du commandant vétérinaire Alain Colle et du lieutenant Bruno Vandecasteele, ont ainsi eu droit à un cours pratique très spécial. Après avoir reçu un cours théorique en salle, le groupe s’est rendu à l’animalerie Au Canari (lire ci-dessous) pour être mis au contact des NAC. Sébastien Hedin, le propriétaire des lieux, a commencé par présenter ceux qu’il a dans son local. Des animaux qui peuvent impressionner, comme les lampropeltis, inoffensifs pour l’homme, le boa ou le python royal, le pogona vitticeps, le gecko léopard… Certains jeunes sapeurs-pompiers se sont montrés téméraires et n’ont pas hésité à tenir dans leurs mains ces fameuses bêtes. Sébastien Hedin a ensuite donné d’importantes consignes : « Lorsque vous devez attraper un NAC, désinfectez-vous les mains et lorsque vous le relâchez, vous devez vous les redésinfecter car il peut vous donner ces microbes ! » Source
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Quand les insectes aident les musées à nettoyer leurs Squelettes
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Lorsqu'un spécimen est trop délicat pour être désossé à la main, les musées d'histoire naturelle font appel à des scarabées charognards. Ceux-ci nettoient toute la chair et laissent le squelette intact et articulé. Quand les insectes aident les musées à nettoyer leurs squelettes par Gentside Découverte Des millions de postes sont à pouvoir dans les musées d’histoire naturelle du monde entier, ils sont hélas réservés aux scarabées. Lorsque que des équipes nettoient des carcasses d’animaux pour exposer leurs squelettes ou pour les transmettre à des chercheurs, le travail peut s’avérer trop minutieux pour l’homme. Afin de n’obtenir que des os propres sans abîmer les plus fragiles d’entre eux, les musées utilisent donc des colonies de scarabées charognards. Si nettoyer un crâne de baleine n’est pas bien délicat, les conservateurs des musées se retrouvent souvent face à des carcasses de petits animaux tels que des oiseaux ou des rongeurs. Ceux-ci contiennent de nombreux os minuscules et fragiles, impossibles à nettoyer à la main, explique le blog Factually de Gizmodo qui s’est penché sur cette technique aussi improbable qu’efficace. De plus, séparer les os un par un peut rendre difficile le remontage exact du squelette et lui faire perdre son caractère articulé. Certaines espèces se différencient par de très légères nuances dans leurs ossatures et il est essentiel de les altérer le moins possible. Inoffensifs pour l’homme Pour cela les chercheurs commencent à enlever les plumes et la peau des spécimens. Ils retirent le gros de la chair à la main et font sécher la carcasse. Une fois préparé, le cadavre est placé dans un compartiment à l’intérieur d’aquariums où pullulent des colonies de scarabées charognards. Ils appartiennent à la famille des dermestidae, dont certains membres s’attaquent aux réserves de céréales et à toutes sortes de collections organiques. Les insectes se mettent alors au travail. Les larves et les adultes dévorent de concert toute la chair morte qui passe à leur portée et ne laissent qu’un squelette presque parfaitement nettoyé derrière eux. Si jamais ils commencent à caler et à dédaigner leur tâche, les conservateurs peuvent asperger la zone d’ammoniac. Entre ça, les carcasses et les excréments d’insectes, les employés ne se pressent pas dans les salles réservées aux dermestidae. Mais il n’y a heureusement aucun risque pour eux, ces scarabées ne s’intéressent qu’aux chairs mortes et n’attaque jamais les vivants. Les insectes font économiser des centaines d’heures de mains d’œuvre aux musées. Il suffit de les laisser travailler, puis d’épousseter les scarabées hors des squelettes et de passer le résultat à l’eau pour un dernier nettoyage. Les ossements sont alors parés pour être exposés ou pour atterrir dans le laboratoire d’un zoologue. Source -
Quand les crocodiles attaquent des chauves-souris en plein vol
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Des caméras ont réussi à filmer un crocodile d'eau douce se jeter sur une colonie de chauves-souris venue s’abreuver. Quand les crocodiles attaquent des chauves-souris en plein vol par Gentside Découverte Les crocodiles sont des prédateurs redoutables et même s’ils évoluent la plupart du temps sous l’eau, mieux vaut éviter de s’attarder au-dessus de la surface. Lorsque l’on est une proie, le danger peut venir de partout. Ces chauves-souris l’auront appris à leur dépens. Dans cette nouvelle vidéo, on peut voir en effet l’énorme reptile surgir instantanément de l’eau et s’élancer pour dévorer les petits mammifères volants. Ces images inédites ont été enregistrées par une équipe de la BBC pour une nouvelle série documentaire intitulée "Wonders of the Monsoon" (littéralement "Merveilles de la mousson"). Les scènes ont été tournées au nord de Australie. Les chauves-souris que l’on peut observer dans la séquence sont endémiques de cette région du globe. Elles sont connues sous le nom de petit renard volant (Pteropus scapulatus). Une saison sèche problématique pour les chauves-souris Pour ces mammifères, la saison sèche représente une véritable problématique. En effet, les spécimens ont besoin de beaucoup d’eau pour répondre aux besoins de leur mode de vie extrêmement riche en énergie. Or à cette période de l’année, les sources d'eau douce deviennent limitées ou dangereuses. Pour se réapprovisionner, les petits renards volants doivent s’aventurer vers des rivières connues pour abriter le dangereux crocodile de Johnson (Crocodylus johnstoni). Contrairement à leurs cousins des eaux salées, ces crocodiles sont de relativement petite taille. Les adultes mesurent en moyenne 2 mètres de long et ne dépassent que très rarement les 3 mètres. Il est très rare que ces reptiles osent s’attaquer aux humains. Les chauves-souris en revanche sont pour eux des proies idéales. Pour immortaliser une de ces scènes de chasse, le réalisateur Nick Lyon et le caméraman Warwick Sloss se sont rendus près d’une de ces rivières où les colonies de petits renards volants viennent régulièrement s’abreuver durant la saison sèche. Des séquences filmées pour la première fois à haute vitesse Équipés d’une caméra haute vitesse, ils ont enregistré depuis un petit bateau le comportement redoutable des crocodiles de Johnson. Bien que ces reptiles manquent d’endurance, ils sont capables en quelques fractions de secondes seulement de sortir de l’eau pour abattre leurs puissantes mâchoires sur les chauves-souris en vol. Cette attaque leur demande un peu d’énergie de telle manière qu’ils ne peuvent se permettre de rater leur proie à de nombreuses reprises. Même si ce comportement avait déjà été documenté dans le passé, c’est la première fois qu’il est filmé avec une caméra haute vitesse et retranscrit au ralenti. Ces images devraient apporter un nouvel éclairage scientifique sur la manière dont les crocodiles attaquent leur proies et sur la technique qu’utilisent les chauves-souris pour se réapprovisionner en eau. Source -
Ce couple n'avait rien remarqué en achetant la maison. Mais le nombre d'araignées a fini par les faire déménager. Des araignées dans tous les coins : dans la cheminée, dans les volets, derrière le papier peint. Une famille du Missouri a finalement jeté l'éponge et décidé de quitter le ranch de 2.500 m2 qu'elle partageait avec 6.000 araignées violoniste, rapporte le site Gawker. Une espèce qui mord et peut causer de graves douleurs et infections. Brian et Susan Trost avaient acheté cette maison de l'enfer en 2007 dans la petite ville de Weldon Spring. Ils n'étaient pas au courant de l'invasion de ces rampants, antérieure à leur arrivée. Dans un procès contre les anciens propriétaires de la maison, qui ne les auraient pas avertis de ce problème d'araignées, Susan Trost a expliqué qu'elle n'avait pas remarqué les insectes ni les toiles d'araignées lors de l'état des lieux. En revanche, lors de son premier jour en tant que propriétaire, elle note "une grande toile d'araignée autour d'une applique", selon le journal local "St. Louis Post-Dispatch". Peu à peu, elle réalise que les araignées sont partout. Les jours suivants, elle voit des araignées et leurs toiles tous les jours. Elles se trouvent dans les stores, le système d'aération, le garde-manger, la cheminée. Leurs exosquelettes tombent des plafonniers. Une fois, sous la douche, elle esquive une araignée alors qu'elle tombe du plafond et tombe dans le siphon de la douche." Selon un professeur de l'université du Kansas, il y avait entre 4.500 et 6.000 araignées dans la maison dans la période d'hiver. Après plusieurs tentatives de désinfection et plusieurs plaintes contre les compagnies d'assurance, les Trost ont fini par laisser les araignées gagner et quitter la maison. Elle appartient désormais à la Federal National Mortgage Association, une société d'hypothèques gouvernementale. Elle sera passée au fumigène cette semaine. Le traitement au fluorure de sulfuryle devrait tuer les araignées et leurs oeufs. L'entreprise de fumigation en est en tout cas persuadée : "Il ne restera plus rien de vivant après ça". Source
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S'il n'avait pas enfilé les pénalités sur le pré d'Armandie, nul doute que Raphaël Lagarde aurait opté pour la blouse blanche de vétérinaire. Quand on arrive chez le buteur, ce sont deux chats qui nous accueillent. Rien d'anormal. Mais à l'étage, deux terrariums sont occupés par des locataires particuliers : un gecko à crête — petit lézard nocturne avec des ventouses aux pattes — et deux couleuvres du sud-est des États-Unis. «Des élaphes guttata», précise le jeune homme. Car s'il possède des NAC, ce n'est pas par effet de mode. Des appellations latines à leurs environnements d'origine, le rugbyman maîtrise son sujet. Comme souvent avec les passionnés. Une fascination pour les serpents qui lui est venue de son époque montpelliéraine : «Mon coéquipier Benjamin Thierry avait plein de reptiles et il avait demandé une dérogation à l'ancien maire Georges Frêche pour mettre son grand boa dans la salle commune des joueurs. C'était devenu l'attraction et, comme j'aime les animaux, ça m'a intrigué.» Mais avant de franchir le cap, le joueur se documente et fait une rencontre décisive avec Marc Samirant, un éleveur de serpents, avec qui il garde un contact fréquent. Pas froid, ni visqueux Raphaël opte donc pour deux couleuvres, une femelle en septembre 2011 et un mâle en août 2012. «C'est une espèce docile, il y a peu de risques de morsure, c'est facile de les maintenir à température (son terrarium est constamment à 28°, ndlr). La couleuvre est idéale pour se faire la main, elle ne demande pas beaucoup d'attention», détaille-t-il. Pour cause, une souris par semaine contente ses amis rampants. Et pour le gecko, c'est petit pot pour bébé au menu. Forcément, ces reptiles attirent la curiosité des voisins et des amis qui défilent à la maison pour voir les «bêtes». L'occasion de faire tomber certains clichés : «Beaucoup ont peur des serpents mais certain ont voulu les prendre dans leurs mains. Ce n'est pas froid, ni visqueux comme on peut le croire.» Même pas de jeux de mots possibles entre le buteur et les serpents autour du sang-froid car, là aussi, c'est une croyance populaire. Et la famille Lagarde devrait s'agrandir dans les semaines à venir. Raphaël monte actuellement un dossier pour obtenir l'autorisation de détenir un boa de Guyane française. Un serpent une taille au-dessus. Mais quand on aime, on ne compte pas. Les animaux, le troisième trafic mondial Pour beaucoup, les animaux ne représentent qu'une économie souterraine comme les autres. Que ce soit les différentes espèces venues de l'étranger et revendues «sous le manteau» ou sur Internet, mais aussi des «produits» qui en proviennent comme l'ivoire des défenses d'éléphants. Ce qui fait du trafic d'animaux, le troisième au monde derrière la drogue et les armes. Plus qu'une mode Ils ont beau porter le nom de Nouveaux animaux de compagnie, on ne peut pas parler de phénomène de mode. Les NAC font désormais partie des meubles. Les animaleries possèdent de plus en plus un imposant rayon reptiles comportant uniquement des espèces en détention libre. Et surtout, les ventes se portent bien. «Depuis quatre ans, le nombre de clients est en hausse chaque année. On vend cent vingt tortues, une cinquantaine de serpents et une soixantaine de lézards par an», estime Julien Geyssely, responsable du rayon vivant, reptiles du magasin Animal & Co, dans la zone O'Green. Tous les vendeurs possèdent d'ailleurs un certificat capacitaire vente. «On peut refuser une vente» Mais qui dit «détention libre», ne signifie pas que les animaux doivent être vendus à tout prix. «On conseille le client avant d'acheter un serpent, par exemple. Beaucoup demandent des renseignements mais ne vont pas au bout de la démarche. D'autres prétendent vouloir un serpent pour faire les malins devant les copains mais quand on leur propose de tenir le serpent, ils parlent loin», dit le jeune homme en plaisantant, avant de continuer les explications. «En accord avec les services vétérinaires, on peut même refuser une vente. Mais ce n'est arrivé qu'une seule fois.» Des envies d'axolotl ? Les furets, serpents, caméléons et leurs amis NAC comment agrandir leur famille. Un nouvel animal est de plus en plus recherché : l'axolotl. Ce petit amphibien fascine, notamment pour ses incroyables capacités de régénération. Le petit dernier en attendant, dans les années à venir, de nouveaux improbables animaux de compagnie. «Des règles de protection à respecter» Nathalie Gruy est inspectrice environnement faune sauvage et captive à la Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCSPP). Elle se charge des demandes d'autorisation de détention, des certificats de capacité élevage, vente et centre de soin, concernant les espèces protégées. Comment se passe la remise de certificat capacitaire à quelqu'un qui voudrait posséder un animal ? Pour détenir une espèce protégée, il faut trois ans d'expérience acquise au contact d'une autre personne capacitaire. Le but n'est pas d'ouvrir grand les portes à la possession d'espèces protégées, parfois porteuses de maladies. On est les flics de l'environnement. Le plus important, c'est le bien être de l'animal. Le candidat rempli un dossier puis je me déplace pour tester ses connaissances sur la biologie, la physiologie, les origines des espèces qu'il souhaite. Je vérifie également que l'animal sera reçu dans de bonnes dispositions, que la structure d'accueil correspond aux dires qu'il m'a décrit. Il y a beaucoup de refus ? On a principalement à faire à des passionnés. Certains ont souvent des installations énormes pour des petites tortues. Mais je préfère qu'ils en fassent trop que pas assez. J' ai refusé une demande qu'une seule fois. Pour quelles raisons ? Une dame souhaitait un ara ararauna (perroquet à dominante jaune et bleu). Elle possédait l'animal avant d'avoir obtenu mon autorisation et il évoluait librement dans l'appartement. La dame avait un bébé en bas âge. Mais ces oiseaux peuvent couper un doigt. Et il n'y avait pas de volière pour que l'animal puisse se retrouver dans son «cocon». Comment pouvez-vous pénaliser les possesseurs illégaux d'espèces protégées ? Les gens, je les connais quand ils se dévoilent. Nous ne sommes pas à l'affût des personnes qui ne sont pas en règle, nous ne sommes pas des cow-boys. Mais on peut le savoir par dénonciation écrite, par exemple. Après, certains possesseurs ne savent pas qu'il faut une autorisation. Quand ils l'apprennent, on se rencontre, on parle, on trouve des solutions s'ils sont de bonne foi. Y a-t-il un NAC plus courant que les autres ? J'ai un peu plus de demandes pour les tortues terrestres, elles aussi soumises à une autorisation de détention. Il faut que l'animal soit issu de l'élevage, on doit pouvoir justifier son origine. Si on tombe sur des animaux issus de leur milieu naturel, on saisit et on verbalise (9 000 € et six mois d'emprisonnement). Nous sommes vigilants car au niveau des tortues, il y a un trafic conséquent. Elles remontent du Maghreb, transitent par l'Espagne et sont revendues sous le manteau. Quels conseils donneriez-vous à quelqu'un qui veut posséder un NAC ? Qu'il m'appelle pour commencer ! (rires) Je lui dirais de ne pas faire n'importe quoi, il y a des règles de santé et de protection à respecter. Il faut s'y connaître. Certains achètent des animaux sur Internet mais ne savent pas s'en occuper et les rejettent. On a déjà retrouvé un iguane en liberté au Passage ! Source