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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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Alors que le Grand Marché d'Automne battait son plein samedi dans les rues de Morges, les pompiers ont dû intervenir à la suite d'une découverte insolite. Vers 17h30, la police morgienne a alerté le service du feu pour signaler la présence d'un serpent derrière l'Arsenal. Olivier Jeanneret, officier de presse du SIS Morget s'est rendu sur place et a pu récupérer l'animal sans difficulté: "Le serpent se trouvait dans un arbuste et mesurait un mètre de long, explique-t-il. Nous avons suivi une formation au vivarium pour apprendre à gérer ce type de situation et nous avons donc un crochet spécial dans notre matériel pour attrapper ces animaux". Identifiée peu après par le personnel du vivarium comme étant une couleuvre de la région, la bête a pu être relâchée sur les rives du lac. "Ne sachant pas si ce serpent présentait des risques pour la population, nous avons préféré intervenir, ajoute Olivier Jeanneret. C'est la première fois que nous devons récupérer un tel animal, nous ne savions pas s'il était venimeux ou non, et comme il y avait beaucoup de monde à Morges samedi, il était prudent d'aller vérifier!". Si une autre découverte de ce genre devait être faite, la population peut composer le 118 pour avertir les pompiers. Samantha Lunder 29.09.2014 Source
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Ça peut se faire mais pas sans investissement. Effectivement, l'éclairage pour reptiles et pour poissons n'est pas le même. Pour un serpent, il sera probablement qu'un éclairage pour chauffer. Le couvercle n'est pas adapté pour un serpent. Le serpent sera capable de prendre la fuite avec ce type de couvercle. Il faudra donc aller vers un couvercle grillagé.
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Photo empruntée sur Google image Le Plica plica est une espèce de lézard de la famille des Tropiduridae , les lézards terrestres néo-tropicaux. Ses noms communs incluent le lézard à collier arboricole, coureur des bois à collier et coureur harlequin. En Guyane , il est connu aussi sous le nom wakanama. Cette espèce se rencontre en Amérique du Sud, à l'exception du Chili, de l'Argentine, du Paraguay et de l'Uruguay. Une tribu dans la culture Tucano de la Colombie ont ce lézard en haute estime. Il est l'un des animaux les plus importants dans leur mythologie , et ils l'appellent vaimahse, ce qui signifies "seigneur des animaux". Il est également un symbole phallique. Le lézard néotropicale Plica plica a été longtemps considéré comme une espèce répandue dans l'Est de la Cordillère des Andes. Un examen préliminaire de 101 spécimens d'environ 28 emplacements principalement au nord de l'Amazonie suggère que le Plica plica est un complexe d'espèces cryptiques avec des taxons qui peut être distinguée sur la base du nombre de rangées d'écailles à mi-corps; l'agencement, la forme et l'ornementation des écailles sur le museau; le nombre de lamelles du quatrième orteil; le nombre de plaques suboculaire; ainsi que d'autres traits morphologiques externes couramment. Les espèces allopatriques abordés ici sont concordants avec la géographie du Nord de l'Amérique du Sud. Le Plica plica est associée à la Guyanes (Surinam, Guyane et le Venezuela). Une seconde espèce, le P. caribeana sp. n. est associé à la chaîne côtière des Caraïbes du Venezuela, y compris Trinité-et-Tobago. Une troisième espèces distinctif, le P. rayisp. n´est associé à l'Orénoque milieu à l'extrémité orientale du Bouclier guyanais. Deux autres espèces, le P. sp kathleenae et le P. sp medemi. chacune étant basée sur un seul spécimen, un des montagnes Acaraí de la Sierra de la Guyane, et l'autre du sud de Meta. En plus des analyses morphologiques, nous avons séquencé des fragments de gènes 12S et 16S ADNr d'une Plica plica de Trinidad pour évaluer sa relation et de la taxonomie à d'autres Plica continentale cf. plica. Les résultats suggèrent Plica caribeana sp. probablement divergé avant la séparation de la Trinité dans le nord du Venezuela. L´isolement dans la chaîne côtière des Caraïbes au cours de sa soulèvement rapide à la fin du Miocène, combiné avec une incursion marine dans le nord du Venezuela a peut-être contribué à leur divergence génétique provenant d'autres populations. Le mâle peut dépasser 17 centimètres de longueur, les femelles font environ 15 centimètres. Le corps est aplati, probablement une adaptation à se tenir sur des troncs d'arbres verticaux. Il a un bouquet d'épines sur son cou. Les écailles sont fortement carénées ce qui comtribue grandement à une apparence énigmatique. Il est principalement vert olive ou verdâtre avec des marbrures ou des bandes brun foncé. Le menton est blanchâtre, la gorge est noire, et il a un «collier» noir autour de son cou. Ce collier est de couleur chocolat-menthe ce qui lui permet de se fondre dans la mousse sur l'écorce des arbres. Le lézard abrite certains parasites tels les Digenea qui sont des vers plats (Mesocoelium monas) et plusieurs nématodes , comme les Oswaldocruzia vitti, Physalopteroides venancioi, Strongyluris oscari et Physaloptera retusa . Le protozoaire Plasmodium guyannense a été le premier décrit sur ce lézard en 1979. Il est originaire d'Amérique du Sud, y compris la Colombie , le Venezuela , le Surinam ,Guyane française , Brésil , Bolivie , le Pérou et l'Équateur . Il peut également être trouvée dans la Caraïbes , sur la Trinité . Il a été recueilli, il y a longtemps, dans la Grenade , mais ces spécimens étaient susceptibles d'avoir été transporté par l'homme. Ce lézard est diurne , actif pendant la journée, et arboricole , vivant la plupart de sa vie accroché aux troncs d'arbres et sur des rochers verticaux. Son habitat est essentiellement primaire et forêt secondaire . Là, il préfère vivre sur le plus grand des arbres forestiers. Ce lézard a un actif avec une température du corps autour 30.7ºC. Cela peut être lié à son habitude de rester sur les arbres dans la forêt ombragée, où il ya peu de chance de se prélasser. Un bon terrarium pour lui sera d'au moins 90 cm de long, 45 cm de pronfond et 60 cm de hauteur. Il lui faudra beaucoup de branches et feuillage pour grimper et se cacher. Les températures durant le jour seront de 27 à 31ºC. La nuit on peut descendre d'environ 5ºC. L´humidité sera autour de 60%. Il faudra songer à apporter un éclairage uv de type tropical favorisant les 5%. On peut utiliser un terreau ou encore le plantation soil de Exo-terra comme substrat. On peut recouvrir le tout d'une mousse de sphaigne pour faire un peu plus l'effet d'un sol de forêt. On ajoute quelques roches pour la décoration. Il vous manquera ensuite qu'un grand bol d'eau pour abreuver l'animal, lui permettre de se baigner et vous aider à garder un bon taux d'humidité. Le régime du lézard est composé d'insectes, et il favorise les fourmis. En captivité, on peut y aller avec divers vers ou grillons de tailles adaptées à l'animal. On y ajoutera du calcium en poudre et des suppléments vitaminés pour combler les carences occasionnées par la captivité. Il descend des arbres que pour pondre des œufs qu'il place à l'intérieur de palmiers en décomposition et dans la litière de forêt. La femelle produit au moins deux couvées par saison de reproduction, avec une moyenne par pontes de trois œufs. Les plus grosses femelles pondent plus d'oeufs que les plus petits. Les embryons sont sensibles aux vibrations, légèrement rouler l'oeuf peut tuer le foetus. L'hémipénis du lézard est visible à certains moments, un organe qui a été décrit ressemblant à un petit bâton rouge. La famille détient actuellement huit genres et environ 117 espèces. Townsend et al. (2011) suggèrent que la famille est apparue il y a environ 65 millions d'années (MA).
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Le « monstre » du Raizet n'était qu'une couleuvre
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Le serpent tué jeudi au Raizet n'était finalement pas si méchant. Le redoutable corail n'était en réalité qu'une inoffensive couleuvre, sans doute échappée d'un vivarium. Quant aux prétendus oeufs du reptile, ils avaient été pondus... par un gros escargot. Jeudi, des jeunes du Raizet témoignent, rigolards, devant une caméra de télévision. Ils racontent comment, en train de manger des chips, ils ont aperçu un serpent. Ils ignoraient si le reptile était dangereux, mais, bravement, ils ont décidé de le tuer. Dans le reportage, la bête est identifiée par un témoin qui a l'air de s'y connaître en reptiles : il s'agit d'un serpent corail, une espèce extrêmement venimeuse qu'on peut trouver notamment dans les forêts tropicales d'Amérique centrale ou du Sud, mais certainement pas dans une zone urbaine de Guadeloupe. « Si cela avait été un serpent corail, ça aurait posé un réel problème de sécurité publique » , note Dominique Gitton, vétérinaire du Parc zoologique des Mamelles. « Le vrai corail, seuls quelques professionnels en détiennent, notamment les laboratoires de recherche travaillant sur le venin. » Or, ce n'était pas le cas. L'animal estourbi au Raizet était une inoffensive couleuvre qui vit à l'état sauvage en Amérique centrale. Elle appartient à une espèce bien connue des amateurs des terrariophiles et sa possession est parfaitement légale. Canular ? Pas forcément, la confusion était facile. Le serpent du Raizet, un Lampropeltis triangulum hondurensis, « ressemble comme deux gouttes d'eau au corail. On l'appelle d'ailleurs faux-corail » , précise Dominique Gitton qui l'a identifié sur une photo. « Ce qui les distingue, c'est la largeur des lignes noires et leur emplacement sur les lignes jaunes. » La mise à mort du faux corail a en tout cas mis le quartier en émoi, d'autant que, deux semaines auparavant, une centaine d'oeufs avait été découverte dans le jardin d'une résidence, non loin de l'endroit où le serpent a été tué. DES OEUFS D'ESCARGOT Il n'en fallait pas plus pour faire le lien entre le serpent redoutable et sa progéniture. Et pour imaginer qu'une compagne ou un compagnon - on ignore le sexe de la victime - traînait dans les environs. « Des gens disaient avoir vu des serpents divaguer et se cacher dès qu'ils arrivaient » , explique le commandant Gisèle Granchamp, conseiller technique cynotechnique auprès des sapeurs-pompiers. Là aussi, l'expertise s'est révélée rassurante. « C'était des oeufs ronds, poursuit la vétérinaire. Après avoir été examinés en laboratoire par Dominique Gitton, on s'est rendu compte que c'était des oeufs d'escargot. » Plus exactement d'achatines, c'est-à-dire de gros escargots. Un mystère demeure toutefois. La pauvre couleuvre a-t-elle été abandonnée ou s'est-elle échappée d'un appartement ? Nous l'ignorons, son propriétaire ne s'est pas manifesté. Nouveaux animaux domestiques : une épée de Damoclès pour la biodiversité Les sapeurs-pompiers guadeloupéens vont devenir incollables sur les serpents. Un comble puisque leur archipel n'en compte qu'une espèce qui, de plus, est menacée : la couleuvre de Guadeloupe. « Nous faisons des interventions pour des pythons, des boas et des couleuvres » , explique le commandant Granchamp. Des bestioles achetées en animalerie et qui font la joie des foyers. La vétérinaire s'attend à voir ce type d'opération se multiplier, avec la mode des nouveaux animaux de compagnie ou Nac (insectes, reptiles, amphibiens, etc.), occasionnant quelques frayeurs, même si ces espèces domestiques sont pour la plupart inoffensives. « Il y a un mois environ, dans une maison de Morne-à-l'Eau, une couleuvre s'était glissée dans la gouttière. La dame qui s'y trouvait était enceinte. Elle est tombée en syncope. » Vétérinaire au Parc des Mamelles, Dominique Gitton fait office d'expert auprès des sapeurs-pompiers. Pour ce spécialiste des reptiles, l'engouement pour ces charmantes bestioles est lourd de menaces. « Il y a déjà des mygales, des scorpions qui arrivent et qui risquent de se retrouver dans la nature. Le jour où cela arrivera, ce sera une catastrophe, prévient-il. En Europe, au pire, l'animal mourra au premier gel. Mais ici, on est en milieu tropical. Une telle introduction d'espèce serait grave pour la biodiversité comme pour les hommes. » Problème : la Guadeloupe ne possède pas de réglementation spécifique pour interdire l'entrée sur son territoire de ces animaux potentiellement menaçants. « Les services de l'État, déplore-t-il, n'ont pas fait de liste d'espèces invasives, contrairement à d'autres départements d'Outre-mer, comme La Réunion où la Daaf a pris des dispositions. Il n'y a pas d'arrêté préfectoral qui interdise l'importation d'un animal qui est autorisé à l'intérieur de l'Europe. Il suffirait d'un arrêté pour solutionner le problème. » Source -
Nyon et Morges: scorpion et couleuvre donnent chaud aux pompiers
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Interventions insolites ce week-end pour les soldats du feu. Les pompiers de Morges et de Nyon ont eu coup sur coup des interventions pour le moins singulières ce week-end. Dimanche soir, une famille de Nyon a eu la mauvaise surprise de se trouver nez à nez avec un scorpion qui s'était invité dans son appartement, sans lui demander son avis. Paniquée, elle a appelé les pompiers nyonnais pour qu'ils l'en débarrassent. Arrivés sur place, les trois hommes du SDIS (Service de défense incendie et de secours) se sont emparés de la bestiole de trois centimètres. "Nous l'avons attrapé à l'aide d'un Tupperware", a expliqué Pierre-Yves Corthésy, commandant du SDIS de Nyon, assurant cependant que les sapeurs pompiers ont tout l'équipement nécessaire pour se protéger. "Cela ne nous arrive pas souvent d'être appelés pour ce genre de bêtes." L'animal a été emporté à la caserne. Puis, ne sachant qu'en faire, les pompiers ont téléphoné au vivarium de Lausanne. "Pour les scorpions, nous en référons toujours à un spécialiste bénévole qui se rend sur place et s'en occupe", a informé Michel Ansermet, directeur du vivarium (lire encadré). Espèce fréquente au Tessin - qui n'est pas dangereuse - ce scorpion, mâle en l'occurrence, a vraisemblablement voyagé dans les bagages de la famille qui avait séjourné dans cette région peu de temps auparavant. Couleuvre à la nuit des épouvantails A Morges, c'est un serpent d'au moins un mètre vingt qui a voulu participer samedi clandestinement à la Nuit des Epouvantails, caché qu'il était dans un buisson non loin du Parc de l'Indépendance. C'est la Police Région Morges qui a alerté le SIS Morget. Les sapeurs présents ont photographié l'animal avant de transmettre le cliché au vivarium pour que celui-ci en détermine l'espèce et sa dangerosité. La réponse a rassuré les pompiers. Il s'agissait d'une couleuvre tesselée, inoffensive. "C'est une espèce originaire du Tessin, mais qui est établie sur les rives du Léman depuis une cinquantaine d'années" , a souligné le directeur du vivarium. Les pompiers ont donc fini par relâcher l'animal au bord du lac, loin des promeneurs. Spécialistes de bêtes exotiques Le vivarium de Lausanne est souvent contacté lorsqu'un animal, tels que serpent ou scorpion, est susceptible d'être dangereux. "Depuis début 2013, nous ne nous pouvons plus nous déplacer pour récupérer des animaux, par manque de moyens financiers" , regrette Michel Ansermet, directeur du vivarium. "A présent, on nous envoie des photos de ces bêtes, pour nous permettre de déterminer l'espèce et d'évaluer leur dangerosité. Près de 90% des serpents trouvés sont des couleuvres." Le vivarium reçoit de 70 à 100 téléphones par année pour ce genre de découvertes. Pour les scorpions, le vivarium s'adresse à un spécialiste en la matière, Vincent Vagnière, qui va les récupérer et les ajouter à sa collection. Passionné de ces arthropodes depuis une quinzaine d'années, il en loge 300 chez lui, de 60 à 70 espèces différentes. Il organise des expositions et livre du venin à un centre de recherche à Genève. "Plus fines sont les pinces des scorpions, plus ceux-ci sont dangereux, contrairement à ce qu'on pourrait croire. Cela n'a rien à voir avec leur couleur" , avertit Vincent Fragnière. A défaut de se déplacer, le personnel du vivarium dispense des formations aux corps de police et aux sapeurs pompiers professionnels sur la façon d'attraper et de traiter ces bêtes exotiques. A Morges, les sapeurs sont équipés d'un matériel spécifique (caisse et crochet) depuis l'année dernière. Les sapeurs de Nyon ont également suivi des formations spécialisées. Par SYLVIE GUGGENHEIM Source -
Le directeur du Centre de Soins Kélonia annonce que la tortue qui a été harponnée dimanche 21 septembre va "légèrement mieux". Prénommée Lili, cette tortue imbriquée a subi une lourde intervention chirurgicale après avoir reçu une flèche en pleine tête lui perforant la boître crânienne. La flèche en question est entrée par un oeil pour ressortir par l’autre. A lire également tortue Kélonia Saint-Leu Don du sang - La Réunion Don du sang : alerte stock pour les groupes B+ et 0+ Une tortue blessée, un braconnier mis en fuite Une tortue blessée, un braconnier mis en fuite Un "léger mieux" est à noter en ce qui concerne la santé de Lili. Selon le directeur du centre de soins Kélonia, cette tortue - victime d’un acte de braconnage dimanche dernier - ne veut plus rester dans son harnais, ce qui prouve qu’elle a repris "un peu de force". "Les soigneurs se sont occupés d’elle tout le week-end. Et samedi matin, elle est retournée chez le Docteur Schneider à Saint-Pierre pour une visite de contrôle avec prise de sang" explique Stephane Ciccione. Avant de préciser que "l’hématome de l’oeil droit est en partie résorbé, mais l’oeil gauche reste très gonflé. Cependant les saignements se sont arrêtés". Lili reste sous surveillance et sous soins deux fois par jour "Bemer Réunion et Spiruline LaLeu ont proposé de participer aux soins de Lili" précise Stéphane Ciccione. Concernant Lili, un prochain bulletin de santé sera délivré dans une semaine. Pour rappel : dimanche 21 septembre, des riverains ont littéralement sauvé une tortue marine sur le front de mer de Saint-Pierre, tout en faisant fuir le braconnier qui tentait de l’emporter. Harponnée au niveau de la tête, la tortue a immédiatement été opérée dans une clinique de Saint-Pierre mais son pronostic vital était alors engagé. Depuis une semaine, les soigneurs du Centre de Soins Kélonia mettent tout en oeuvre pour sauver Lili. Une fois encore, il s’agit d’une tortue imbriquée et cette espèce menacée d’extinction. Quant au braconnier pourchassé dimanche dernier par des riverains, il est toujours recherché par la police. Source
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Dilemne pour une Trifluvienne Serpent cherche appartement
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Brisson de Trois-Rivières lance un cri du cœur. Le propriétaire de l'immeuble où elle demeure lui demande de déménager ou de se débarrasser de son animal domestique. Il s'agit de Junior, un python de Birmanie de 17 ans qui mesure 14 pieds de long et pèse 80 livres. Elle souhaite trouver un logement où elle et son serpent seront bienvenus. Selon elle il n'est pas venimeux, il est doux et habitué à l'humain. Elle voudrait qu'il puisse sortir dehors sous surveillance. «Il vit avec moi, il dort avec moi, je partage mon divan avec lui. Si je le met dans une cage il va mourir, il va se laisser mourir», affirme Manon Brisson. Selon le règlement municipal la Ville de Trois-Rivières il n'est pas interdit de posséder un serpent tant qu'il n'est pas venimeux. Toutefois, il doit être gardé dans un endroit adapté et ne doit pas troubler la paix ou nuire à la sécurité publique. Mathieu Naud, expert en reptiles, croit qu'il y a encore trop de préjugés concernant les serpents. Il précise que les serpents comme le python de Birmanie, ne s'attaquent pas aux humains. Source -
Pikine : Un gros serpent sème la panique à la cité Pépinière.
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
gros serpent a semé une peur terrible chez les populations de la Cité Pépinière de Pikine hier. Le reptile, qui n’est rien d’autre qu’un gros boa qui circulait dans la cité nichée entre Texaco et Tally Bou Bess à Pikine, a fortement terrorisé les populations. Ces dernières très inquiètes ont appelé les sapeurs Pompiers qui sont arrivés pour maîtriser le boa. Mais ce n’était pas gagné d’avance car le serpent s’est réfugié dans les maisons abandonnées du quartier pour échapper aux soldats du feu. Ces derniers étaient obligés d’allumer un grand feu pour que la fumée fasse sortir le boa de sa cachette. Ce qui n’était pas encore fait au moment où nous mettions sous presse. Les habitants de la cité Pépinière, dans la psychose générale, n’attendent que le serpent soit capturé. L’AS Source -
Ces petites tortues luth, une espèce en voie de disparition, rejoignent la mer après avoir été libérées... Sur l'île de Lankayan en Malaisie, 150 juvéniles de tortues luth ont été relâchées sur la plage. Il s’agit d’une espèce menacée : seule 1 tortue sur 1.000 à 1 tortue sur 10.000 parvient à l'âge adulte. Bien souvent, ces bébés se font manger par des prédateurs ou capturer dans les filets de pêcheurs. Le trajet qu'ils effectuent pour atteindre la mer est très important car il leur permet de reconnaître la plage où ils sont nés et de revenir y pondre par la suite. Source
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FAITS-DIVERS La tortue harponnée se remet doucement
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Son cas a suscité un certain émoi. Dimanche dernier, un braconnier avait tiré sur une tortue dans le lagon de Saint-Pierre, la blessant grièvement à la tête (lire nos éditions précédentes). Baptisé Lili, ce reptile est depuis en convalescence à Kélonia, l'observatoire des tortues marines de Saint-Leu. Hier, le directeur de cette structure, Stéphane Ciccione, a fait savoir que son état était "stationnaire" : "Elle doit rester dans son harnais au calme, pour éviter qu'elle ne se cogne sur les parois du bassin, l'hématome au niveau de son œil gauche restant très important". Quant au chasseur "marron", toujours pas de nouvelles depuis qu'il s'est évanoui dans la nature, mis en fuite par des témoins outrés par son geste. La scène s'est déroulée au niveau de la Ravine-Blanche, en début d'après-midi. De fait, le geste de ce jeune homme tombe sous le coup de la loi. Non seulement, il est interdit de pratiquer la chasse sous marine dans les lagons mais, de surcroît, les tortues sont protégées. D'autant que celle en question est une tortue imbriquée, une espèce particulièrement menacée d'extinction car beaucoup chasser auparavant pour la qualité de ses écailles. La Réunion comme pouponnière Pour information, Lili est une Eretmochelys imbricata, que l'on observe sur les récifs coralliens de La Réunion, où elle se nourrit de coraux mous, d'éponge et d'algues. "Les études menées par Kélonia, grâce à la participation des plongeurs et apnéistes, montrent que la répartition des tortues imbriquées n'est pas homogène sur tout le littoral réunionnais avec une relative fidélité à leur site d’alimentation. Cependant, certaines de ces tortues peuvent se déplacer pour rejoindre des sites plus propices distants de plus de 15 kilomètres", indique Stéphane Ciccione. Et d'ajouter : "On observe surtout des jeunes tortues imbriquées à La Réunion, qui serait surtout un site de développement. À partir d'une certaine taille, les tortues quitteraient La Réunion pour des sites plus favorables, puis elles rejoindraient les îles où elles sont nées. Aucune ponte de tortue imbriquée n'a été décrite à La Réunion". Source -
L'association chéloniophile balmanaise (Acb), qui vient de fêter ses 10 ans, organisait dernièrement dans la salle des fêtes de Balma son exposition annuelle sur la tortue. À cette occasion, 400 personnes sont venues découvrir ce sympathique reptile. «Cette année, nous avons organisé l'exposition en partenariat avec le Bonsaï-club unionais, puisque nous avons des adhérents communs. C'est assez logique finalement, car on retrouve le même côté zen avec les tortues et les bonsaïs», explique Gaël Frazier, président de l'association chéloniophile balmanaise. Conseils et accompagnement Au-delà de la passion qui les anime, les membres de l'association se sont donnés pour mission de conseiller et accompagner les futurs propriétaires de tortue. Gaël Frazier avertit : «En fait, avant d'acheter une tortue, il faut faire comme elle : prendre son temps pour se décider». Il poursuit : «C'est un animal que l'on garde longtemps. En plus, bien souvent, il faut prévoir un enclos extérieur. Et puis, la tortue reste un animal sauvage, alors il ne faut pas s'attendre à ce qu'elle fasse des câlins». Du reste, derrière leur attitude placide, certaines tortues peuvent même se révéler agressives. «À l'instar des tortues serpentines ou des tortues alligators, qui vivent dans l'eau», précise le président. Il rappelle en outre que l'acquisition de tortues non autorisée expose à des poursuites judiciaires et de lourdes amendes. L'association chéloniophile balmanaise prodigue conseils et avis à tous les propriétaires, et acquéreurs potentiels, de tortues. Renseignements : asso.chelo.balma@gmail.com ou 06 71 62 33 13. Source
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Un bébé tortue-alligator à deux tête Trouvé dans le Maine
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
HUDSON, États-Unis - Une résidante du Maine a aperçu un bébé tortue-alligator à deux têtes qui tentait de traverser une route. Kathleen Talbot a raconté à la chaîne locale WLBZ-TV avoir trouvé la minuscule créature cette semaine, alors qu'elle surveillait des bébés tortues afin de s'assurer qu'ils traversaient en toute sécurité. Elle s'est alors aperçue que l'une des tortues était laissée derrière. Elle a d'abord cru que la bête, qui était très sale, avait deux pattes sur le devant. Ce n'est que lorsqu'elle l'a ramenée chez elle pour la laver qu'elle a réalisé qu'elle avait en fait deux têtes. La tortue tient facilement dans la paume de sa main. Elle l'a baptisée «Frank and Stein». Source -
Les cinq serpents les plus dangereux du monde à Palexpo
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
L’exposition «Reptiles du monde» ouvre samedi à Palexpo. Serpents, mygales ou encore scorpions sont visibles jusqu'au 2 octobre. Vendredi, 10 h. Une fois n’est pas coutume, il fait chaud dans la Halle 7 de Palexpo. Les puissantes lampes des 80 terrariums montés durant la semaine ont fini par réchauffer l’entrepôt. A moins de 24 heures de l’ouverture de la grande exposition «Reptiles du Monde», tout est désormais prêt pour accueillir les bêtes: 400 reptiles dont les fameux «big five», les cinq serpents les plus dangereux au monde. «Écartez-vous! Lorsqu’on le sort volontairement, il est toujours un peu nerveux», prévient Karim Amri, directeur de l’exposition, posant une petite boîte en plastique grise devant lui. Un des «big five» se trouve à l’intérieur: un cobra royal de près de 4 mètres de long. Sur la fiche placardée au terrarium, on apprend que son venin peut tuer un éléphant en quelques heures. Karim Amri décolle précautionneusement les scotchs, puis soulève le couvercle à l’aide d’un long crochet métallique. La boîte à peine ouverte, le serpent à collerette se dresse gueule ouverte. «C’est sa manière à lui de nous dire qu’il faut le laisser tranquille», explique très calmement le directeur. Puis, à l’aide de sa fourche, il guide le cobra vers sa cage. «Le crochet nous permet de garder une certaine distance au cas où l’animal se retournerait pour attaquer. Chaque manipulation avec un serpent venimeux présente un danger.» Le spécialiste tient toutefois à préciser que les serpents les plus venimeux ne sont pas forcément les plus dangereux. «La dangerosité de l’animal dépend aussi de son agressivité et de sa zone d’habitation», explique-t-il. L’Échide carénée est ainsi le serpent qui tue le plus chaque année, une espèce présente en Afrique du Nord, au Moyen-Orient et en Inde. Les 400 reptiles de l’exposition appartiennent à la société vaudoise Reptiles du Monde. Les animaux ont fait le trajet depuis Servion – au-dessus de Lausanne – jeudi, tassés dans une petite fourgonnette. «C’est mieux s’ils sont confinés, ils sont moins stressés», note Karim Amri. Pour éviter tout risque, le directeur demande toujours à un autre spécialiste des reptiles de suivre le véhicule chargé pour pouvoir donner des consignes aux pompiers ou manipuler les bêtes en cas d’accident. «On en a jamais eu», précise-t-il d’emblée. Vendredi matin, une centaine de petites boîtes en plastiques attendent sur une palette au milieu de la Halle 7. Sur certaines, un autocollant «tête de mort» informe sur la dangerosité de son locataire. En transparence, on aperçoit les pattes velues des mygales, les pinces noir ébène des scorpions ou les langues fourchues des serpents faisant des va-et-vient rapides. Malgré son expérience, Karim Amri ne néglige par la dangerosité des animaux qu’il transporte. Lui-même s’est fait mordre une fois par une Vipère du Levant lors d’une seconde d’inattention. Depuis, il possède ses propres sérums pour les venins des animaux les plus dangereux. «Ça permet au moins de commencer le traitement rapidement en cas de morsure», confie-t-il. A la Halle 7, le directeur a également pris ses précautions: au minimum un spécialiste est présent 24 h sur 24 h à l’exposition. Que les ophiophobes soient rassurés. Si le quartier des «Big five» et le serpent à deux têtes raviront les amateurs de sensations fortes, l’exposition présente également d’autres reptiles étonnants. Par exemple, la Matamata, une tortue marine qui semble tout droit descendre de la préhistoire. Au fond des eaux troubles de l’aquarium, on découvre un animal à la carapace bosselée et tête plate se terminant par un groin. Quelques mètres plus loin à sa droite, l’impressionnante tortue alligator mérite également un coup d’œil. «Exposition Reptiles du monde», du samedi 27 septembre au jeudi 2 octobre à Palexpo, à Genève. Source -
MOOREA - LA TORTUE IMBRIQUÉE “TUMU HIVA HINA“ RETROUVE L’OCÉAN
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Dernière photo de groupe avec la tortue “Tumu Hiva Hina” avant sa remise en liberté : 350 tortues ont été accueillies, parfois très jeunes par l’association Te Mana O Te Moana. Créée le 23 septembre 2004, l’association Te Mana O Te Moana, présidée par Cécile Gaspar, a fêté mardi son 10e anniversaire. C’était l’occasion de présenter au maire, Evans Haumani, et à la nouvelle équipe communale les actions et le travail de l’association. Pour la circonstance, la tortue imbriquée “Tumu Hiva Hina“, soignée depuis quelques mois à la clinique, a été relâchée. Dix ans déjà et un sacré bout de chemin parcouru pour l’association Te Mana O Te Moana. Créée le 23 septembre 2004 par Cécile Gaspar, vétérinaire et présidente, aidée de quelques bénévoles amoureux du milieu marin. Au départ, c’est pour la protection de l’environnement, l’accueil des tortues blessées et leur suivi que l’association a été créée. Les membres ne s’attendaient pas à un tel engouement, et rapidement ils ont dû se structurer pour faire face au nombre sans cesse croissant des tortues recueillies. Très vite, un partenariat avec l’hôtel InterContinental Resort and Spa Moorea et un programme de conservation, d’éducation, et de recherche ont été mis en place. Avec Miss Tahiti 2013 L’anniversaire de l’association a été aussi l’occasion d’une rencontre avec le maire et une partie de la nouvelle équipe communale. Pour la circonstance, la marraine de l’association, Mehiata Riaria, Miss Tahiti 2013, était également présente ainsi que tous les enfants de l’association Tumu Hiva Hina, qui ont participé au sauvetage de la tortue imbriquée au mois de juin. Après la présentation de l’association, les élus ont participé à la mise en place des bagues sur la tortue imbriquée, qui a été relâchée pour l’occasion. C’est aux environs de 11 heures que l’ensemble des invités a embarqué pour procéder à la remise à l’eau de la tortue Tumu Hina Hiva. C’est au maire et à Mehiata Riaria que cette mission a été confiée. Cet anniversaire a donc été fêté comme il se doit et Cécile Gaspard et toute l’équipe de Te Mana O Te Moana ont pu voir leurs efforts récompensés avec la remise à l’eau de cette magnifique petite tortue. De notre correspondant Philippe Vinckier Des chiffres éloquents Aujourd’hui Te Mana O Te Moana, ce sont 350 tortues marines accueillies à la clinique des tortues dont 135 relâchées, 2 observatoires orientés l’un sur les tortues marines, l’autre sur les cétacés. Sa vocation de protection de l’environnement n’a pas été oubliée : ainsi, 30 séances de ramassage de détritus ont collecté plus de 8 tonnes de déchets et 6 sentiers maritimes et jardins coralliens ont été créés. Autre vocation de l’association, l’éducation : durant ces dix ans d’exercice, 56 000 enfants ont été accueillis et sensibilisés. Quatre programmes éducatifs ont été élaborés au travers de 7 livrets, 10 plateaux de jeux. Plus de 320 journées événementielles ont été célébrées avec des manifestations, conférences nationales et internationales. Du côté de la recherche, 1 200 événements de pontes de tortues vertes ont été observés et 11 balises satellites ont été posées sur des tortues. Tumu Hiva Hina tortue imbriquée : “Quelque part, j’ai sauvé la vie de mon agresseur” “Je m’appelle maintenant Tumu Hiva Hina, du nom de l’association qui m’a sauvée. Je suis une tortue imbriquée âgée entre 5 et 7 ans. Je mesure 44 cm et pèse 7 kilos. Le 7 juin à Arue j’ai été fléchée à la tête par un braconnier, je n’ai rien compris car en théorie je suis une espèce protégée. J’ai réussi à m’échapper malgré ma blessure et quelque part, j’ai sauvé la vie de mon agresseur car ma chair est empoisonnée. J’ai bien pensé que ma dernière heure était arrivée, mais dans mon malheur, la chance m’a conduite sur le chemin des enfants de l’association Tumu Hiva Hina. Très vite ils se sont aperçus que quelque chose n’allait pas, car j’étais sur le dos. Ils m’ont recueillie et tout de suite une chaîne de solidarité s’est mise en place pour me sauver. Tous les enfants étaient à mon chevet jusqu’à mon départ pour Moorea, où j’ai été accueillie dans une clinique pour tortues afin d’y être soignée. J’ai eu beaucoup de mal à récupérer et il m’a fallu trois mois de soins prodigués par toute l‘équipe de l’association Te Mana O Te Moana. Aujourd’hui je suis parfaitement rétablie et je vais être relâchée pour retrouver l’océan ainsi que tous mes amis. Je suis la 135e tortue relâchée après avoir été soignée. Je n’oublierai jamais toutes les personnes qui m’ont sauvé la vie et qui se sont si bien occupées de moi.” Source -
Deux touristes qui avaient loué une voiture se sont retrouvées avec un passager quelque peu indésirable. Les deux femmes qui partaient d'un aéroport du Maine pour commencer leurs vacances transportaient à leur insu un python royal. C'est en arrivant à leur hôtel qu'elles ont trouvé dans le coffre le reptile qui s'était bien gardé de signaler sa présence. Après avoir lâché un énorme cri, elles ont appelé la police. Deux touristes qui avaient loué une voiture se sont retrouvées avec un passager quelque peu indésirable. Les deux femmes qui partaient d'un aéroport du Maine pour commencer leurs vacances transportaient à leur insu un python royal. C'est en arrivant à leur hôtel qu'elles ont trouvé dans le coffre le reptile qui s'était bien gardé de signaler sa présence. Après avoir lâché un énorme cri, elles ont appelé la police. (Crédit photo: capture d'écran, CNN) «Au moment de sortir leurs bagages, elles ont trouvé le python dans le coffre de la voiture», explique le lieutenant Eric O'Brien. À leur arrivée, les policiers ont cru que le serpent pouvait être venimeux. Mais même après avoir appris qu'il ne l'était pas, ils étaient assez réticents à le prendre dans leurs mains. «On a emprunté une taie d'oreiller», avoue candidement le lieutenant O'Brien. Impossible de savoir d'où vient le python, il a donc été amené à un homme qui s'occupe de reptiles. Celui-ci attend de voir si son propriétaire le réclamera. Source
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Les insectes ajustent le nombre de bactéries bénéfiques
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Découverte scientifique: les insectes recyclent leurs bactéries symbiotiques quand leur bénéfice devient caduc. Les insectes ont mis en place une stratégie moléculaire qui leur permet d'ajuster le nombre des bactéries bénéfiques à leurs besoins physiologiques, et d'optimiser le rapport coût/bénéfice de la symbiose. Ils ont "appris" au cours de leur évolution à recycler leurs bactéries symbiotiques, et ils le font proprement ! C'est ce que viennent de montrer des chercheurs de l'INSA et de l'Inra dans un article paru le 18 septembre dans Current Biology. Ces travaux menés sur le charançon des céréales ouvrent la voie à de nouveaux moyens de lutte contre ce parasite. Les résultats des recherches ont démontré que les insectes savent cultiver les bactéries symbiotiques, ajuster leur nombre à leurs besoins physiologiques, et les recycler quand leur bénéfice devient caduc. Ces travaux moléculaires s'ajoutent aux recherches biologiques menées sur le compromis coût/bénéfice établi entre les espèces biologiques associées (symbioses). Ils font écho au message sociétal sur la nécessité du recyclage biologique et l'optimisation des ressources naturelles pour un développement durable. Ils permettent aussi d'imaginer dans le futur de nouveaux moyens de lutte contre les infections bactériennes qui ne reposeraient plus uniquement sur le système immunitaire mais aussi sur la régulation des interactions métaboliques entre notre organisme et les bactéries pathogènes. Héros de cette découverte: le charançon des céréales Sitophilus Insecte ravageur des céréales, le charançon est en couverture du journal Current Biology, édition du 6 octobre 2014, et en avant-première dans la version On Line du 18 septembre (Vigneron et al., http://dx.doi.org/10.1016/j.cub.2014.07.065). On savait déjà que cet insecte d'environ 3 mm vivait en symbiose avec les bactéries présentes dans son organisme. En poursuivant les investigations, cette équipe de chercheurs a maintenant démontré que cette présence bactérienne est régulée par l'insecte lui-même en fonction de ses exigences physiologiques pendant les périodes critiques de son développement. Etape emblématique: sa dernière mue après laquelle il doit se reconstruire une armure, la cuticule, pour pouvoir affronter les conditions de l'environnement Enfermé et protégé dans un grain de céréale dont il se nourrit pendant tous les stades larvaires, le charançon effectue ensuite une métamorphose avant de sortir du grain sous forme d'adulte. C'est alors qu'il va pouvoir se reproduire et réinitialiser ce cycle grâce à la ponte de nouveaux oeufs dans d'autres grains, expliquant ainsi son pouvoir destructif sur les denrées céréalières. Une femelle peut pondre jusqu'à 300 oeufs durant sa vie. Le charançon doit trouver en grande quantité la matière première à la fabrication de sa cuticule après sa métamorphose en adulte: un acide aminé, la tyrosine, qu'il transforme par la suite en DOPA. Cette brique de construction de la cuticule lui est fournie par des bactéries symbiotiques qu'il domestique en son sein et qui ont la faculté de fabriquer la tyrosine. Dès la mue adulte, le charançon va multiplier de façon impressionnante ses bactéries symbiotiques, et ce jusqu'à l'achèvement de sa cuticule 5 à 6 jours plus tard. Une fois cette mission accomplie, les bactéries deviennent inutiles et leur maintenance coûteuse. S'engage alors un processus de recyclage organique. Dans ce cas précis, c'est la DOPA, molécule médiatrice, qui va en s'accumulant signaler au charançon la fin du processus de formation de la cuticule. Par le biais de l'autophagie (digestion intracellulaire) et de l'apoptose (mort cellulaire programmée), le recyclage de ces bactéries va s'effectuer proprement, sans inflammation, dispersion ni rejet dans l'organisme. Du métabolisme aux processus immunitaires d'élimination des bactéries De nouvelles voies dans la lutte contre les insectes ravageurs des cultures peuvent être désormais ouvertes. Après avoir mis en lumière le rôle de la réponse immunitaire dans le contrôle des bactéries symbiotiques chez le charançon (édition du 21 octobre 2011 de la revue Science), l'équipe du Professeur Heddi vient de découvrir que des mécanismes anciens, tels que l'autophagie et l'apoptose, sont impliqués dans l'élimination puis le recyclage des bactéries symbiotiques. Ces mécanismes sont activés par un état physiologique de l'insecte et médiés par des molécules métaboliques. Cette découverte ouvre de nouvelles perspectives de lutte ciblant la symbiose entre l'insecte et sa bactérie. Ces solutions, plus respectueuses de l'environnement, offriront des alternatives aux insecticides et pesticides. Sur un autre plan, "L'élimination rapide et sans inflammation de nombreuses bactéries représente un rêve pour la recherche en infectiologie. Ce travail constitue aussi une ouverture conceptuelle dans la lutte contre les bactéries pathogènes: comprendre comment le système immunitaire est connecté à d'autres processus cellulaires et métaboliques, et maîtriser la complexité de ce réseau d'interactions, permettrait d'apporter de nouvelles réponses dans la lutte contre les infections bactériennes", conclut le Professeur Abdelaziz Heddi, directeur de l'UMR Inra/INSA Lyon BF2i. Pour plus d'information voir: - http://www.insa-lyon.fr/files/rte/CP_bf2i_092014.pdf Source -
Les pompiers de Tubize ont été appelés ce jeudi vers 7h50 par un habitant de la Grand-Place de Rebecq. Très inquiet, celui-ci apercevait depuis sa fenêtre, dans la cour de son habitation, un serpent tricolore, immobile et long d'une bonne soixantaine de centimètres. Une grosse frayeur pour rien puisqu'il s'est avéré qu'il s'agissait d'un serpent farces et attrapes en caoutchouc... Source
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La semaine passée, un Lucernois a surpris un scorpion en train de grimper le long d'un mur de son appartement. Le lecteur l'a probablement ramené à son insu d'un voyage au Tessin. Stefan* n'en revient toujours pas. Sa soirée tranquille devant la télévision a été quelque peu perturbée par un petit intrus venu de loin. Le Lucernois et sa femme s’apprêtaient à regarder leur série préférée lorsque le couple a découvert un scorpion sur un des murs de leur salon. «Ma femme a commencé à crier», se rappelle Stefan qui avoue ne pas avoir été rassuré non plus par la présence de l'arthropode. Intimidé par les pinces de la bestiole, il a appelé sa voisine au secours: «Elle a poussé le scorpion dans un verre à l'aide d'une carte». Le lecteur pense que le scorpion s'est faufilé dans sa valise quelques jours auparavant alors qu'il était au Tessin avec des amis. Car arrivé chez lui, le Lucernois a laissé sa valise vide dans le salon. «Il a dû sortir de la valise et grimper le long de mon mur.» Une explication plausible, selon Ambros Hänggi, expert en scorpions auprès du Musée d'histoire naturelle de Bâle. «Au Tessin, on retrouve régulièrement des arthropodes dans les maisons. Mais les scorpions tessinois ne sont pas dangereux. Leur piqûre est comparable à celle d'une guêpe ou d'une abeille.» *Prénom d'emprunt Source
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Après une opération de taxidermie d’un an, la tortue géante des Galapagos, Georges le solitaire est finalement exposée temporairement à l'American Museum of Natural History de New York en tant qu’emblème de la conservation animale. Tortue : Georges le solitaire entame une "seconde vie" pour défendre les espèces menacées par Gentside Découverte La mort ne l’aura pas fait tomber dans l’oubli, bien au contraire. Après une longue opération de taxidermie, Georges le solitaire est fin prêt pour profiter de sa seconde vie à l'American Museum of Natural History de New York. Ce mâle, tortue géante des Galapagos d’1,5 mètre de long y sera exposé en tant qu’icône de la conservation animale. Pour ceux qui seraient passés à côté de son histoire, voici quelques repères. La découverte du spécimen remonte à 1971. Georges le solitaire a été identifié un peu par hasard sur l’île de Punta, au cœur de l’archipel équatorien des Galapagos. Il doit son sobriquet à la conviction des conservateurs d’avoir affaire au seul et dernier représentant de la sous-espèce Chelonoidis nigra abingdoni. Pour éviter que le groupe ne s’éteigne, les experts ont tenté par tout les moyens de faire se reproduire la tortue géante, en vain. Ni les cousines de George des îles voisines ni le prélèvement de son sperme n’auront conduit à une quelconque descendance. Par sa situation quelque peu dramatique, l’animal est ainsi devenu au fil du temps l’emblème d’une faune locale fragile et en voie de disparition. Une délicate opération d'un an Georges le solitaire est décédé en juin 2012 aux alentours de 100 ans. Un âge relativement précoce étant donné que les tortues de son genre peuvent vivre jusqu’à près de 180 ans. Mais selon l'autopsie menée, Georges serait bel et bien mort naturellement. Au delà du décès de l’animal, les experts y ont vu un la fin historique d’une espèce caractéristique et symbolique de la région. En réalité, d'autres spécimens génétiquement très proches de la tortue géante ont été retrouvés quelques temps après sur l’île voisine d’Isabella. Une heureuse nouvelle qui n’enlève toutefois rien à la notoriété de Georges qui ne pouvait disparaitre comme si de rien n'était. Afin que la tortue puisse traverser les âges, le Musée d'histoire naturelle de New York l’a fait rapatrier dans un caisson spécial. Les meilleurs taxidermistes de la structure l’ont ensuite soumise à un traitement complexe qui aura duré plus d’un an et dont le but était de redonner à la tortue toute sa prestance. L’opération s’est avérée un franc succès. Un porte-parole des espèces en danger Depuis le 18 septembre, Georges le solitaire est montré à tous les visiteurs dans le cadre d'une exposition qui lui est consacrée et qui évoque aussi l'importance des Galapagos et de la biodiversité dans le monde. Après quoi, George retournera vers sa terre natale où il sera accueilli par un musée consacré aux tortues. "Le dernier individu d'une sous-espèce entière a disparu à cause de l'activité humaine. Donc nous pensons qu'il est important de comprendre la situation critique des tortues géantes et ce qui est arrivé aux tortues de l'île Pinta, et penser ensuite à comment utiliser cela pour prendre soin des tortues restantes aux Galapagos et de toutes les espèces en danger dans le monde", a conclu Eleanor Sterling du Center for biodiversity and conservation. Source
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Une famille Brésilienne retrouve sa tortue, perdue depuis 1982!
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Ce n'est pas un secret, les tortues sont très résilientes, et la famille Almeida l'a découvert en 2013! En 1982, alors que leur maison de Realengo, au Brésil était en rénovation, ils ont noté la disparition de leur animal de compagnie, une tortue charbonnière à pattes rouges, assumant qu’elle était sortie faire un tour par une porte laissée ouverte par un travailleur. 30 ans plus tard, suivant le décès de leur père, les enfants décident d’aller faire un petit ménage dans la pièce où il gardait plein d’objet trouvées au fil des années. Comme il s’agissait principalement de trucs plus ou moins utiles, ils décident de mettre tout ça aux ordures. Alors que Leandro, son fils, transportait une boite pleine de vieux disques dans le conteneur à déchets, un voisin lui demande si il a l’intention de jeter la tortue qui passait sa tête par un trou. C’est comme ca qu’ils ont appris que Manuela la tortue avait survécu 30 ans dans la maison, en se nourrissant principalement de termites qui vivaient aussi dans le même fouillis. Source -
E lle a été aperçue ce mardi matin par un pêcheur. L'animal nageait et se laissait porter par le courant en direction de l'étang de Thau. Une tortue marine - qui pourrait être une tortue caouanne - a été aperçue ce mardi matin par un pêcheur dans les eaux du canal maritime de Sète. L'animal nageait et se laissait porter par le courant en direction de l'étang de Thau. Ce reptile, même si des visites dans les étangs ne sont pas rares, pourrait avoir été pris dans des filets puis relâché. Autre hypothèse : la tortue a été secouée et désorientée par le dernier coup de mer. Source
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Un bébé attaqué par un varan sur une île touristique de Malaisie
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Une fillette de huit mois a été blessée à la tête mardi après avoir été attaquée par un varan sur une île touristique située au sud de la Malaisie, ont indiqué des médias locaux. Le bébé souffre de profondes coupures au front. La mère, qui travaille dans le secteur du tourisme sur l'île Tioman, dans l'État de Pahang, à 240 kilomètres au sud-est de la capitale du pays, Kuala Lumpur, s'est inquiétée pour son enfant après avoir entendu un grand bruit. Elle a aperçu un varan en train de griffer la tête du bébé, a précisé le New Straits Times. La fillette a été emmenée en urgence dans une clinique voisine avant d'être transférée dans une institution plus importante du pays. Comptant de denses forêts sur son territoire, l'île Tioman, très peu habitée, fait le bonheur des touristes locaux et étrangers pour ses sites de plongée. Source -
Hier, vers 14 h 30, un chasseur sous-marin a tiré sur une tortue dans le lagon, au niveau de la Ravine-Blanche. Pris à partie dès sa sortie de l'eau par des badauds outrés, il a tenté de prendre la fuite avec sa prise. Coursé par un jeune homme, le braconnier a fini par tout lâcher en pleine rue pour mieux disparaître. Il est désormais recherché par la police. Opéré, l'animal n'est pas sûr de survivre. SAINT-PIERRE Pour les témoins, pas de doute : "Ce n'était pas un tir accidentel. Le gars a délibérément visé la tête de la tortue. Une fois sur la plage, il a même confié à des gens qu'il voulait la revendre". Une telle sauvagerie fait froid dans le dos, en plus de tomber sous le coup de la loi. La scène se déroule hier, vers 14 h 30. Alors que de nombreuses personnes profitent de la plage, elles ont la surprise de voir un chasseur sous-marin sortir de l'eau, au niveau du boulodrome de Ravine-Blanche. Déjà qu'il est formellement interdit de pratiquer cette activité dans le lagon, le jeune homme exhibe en plus un animal protégé en guise de proie : une tortue imbriquée, soit l'une des espèces marines les plus menacées d'extinction… "Tout de suite, des gens sont allés le voir pour lui reprocher son geste, explique Baptiste Escamez, témoin des faits. Il y a eu un attroupement et il a dû sentir que la situation tournait mal. Il a alors pris la fuite avec son fusil et la tortue. Elle vivait encore mais la flèche lui transperçait la tête. Je me suis dit que je ne pouvais pas laisser passer ça et je l'ai coursé". Après 300 mètres de poursuite dans les ruelles de la Ravine-Blanche, le braconnier finit par jeter sa prise et son fusil dans la rue. "Là, il s'est enfui par un trou dans un mur. J'ai préféré m'arrêter pour m'occuper de la tortue", poursuit Baptiste. Ce dernier ramène le reptile sur la plage et, en attendant les secours, la solidarité s'organise : "Pendant que je la tenais sur le sable, des gens faisaient des allers-retours pour l'hydrater". Sous surveillance à Kélonia La police, les pompiers et une équipe de Kélonia, l'observatoire des tortues situé à Saint-Leu, arrivent sur les lieux. Les premiers prennent alors la description et les affaires du braconnier qui est désormais recherché. Les autres s'occupent du sauvetage. "Grâce à cette bonne réaction des gens, on a pu rapidement conduire la tortue chez un vétérinaire. Elle a été opérée par le docteur Schneider, salue Stéphane Ciccione, directeur de Kélonia. Cependant, on reste très inquiet pour son état de santé. La flèche a traversé le crâne, elle est rentrée par l'arrière d'un œil et est ressortie par le globe oculaire opposé. Elle est très grièvement blessée". Cette tortue devait rester sous surveillance toute la nuit. "Vu son poids, 7, 4 kg, c'est un jeune individu. Il doit avoir entre 6 et 12 ans, c'est compliqué d'être plus précis chez les tortues, commente Stéphane Ciccione. De toutes les manières, il n'y a que des jeunes tortues dans les lagons. Cette espèce est réputée comme étant mauvaise au goût, voire toxique". Une chasse pour la nécessité est donc peu crédible. En revanche, les tortues imbriquées sont connues pour la qualité de son écaille…. Le braconnage de tortue est heureusement rare à la Réunion. Le dernier cas signalé à Kélonia date de plus de deux ans et s'était déjà déroulé à Saint-Pierre, à Terre-Sainte plus précisément. Etienne Mvé Source
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KARACHI, 22 septembre 2014 (AFP) - Les autorités pakistanaises et des environnementalistes ont réintroduit lundi dans l'Indus 200 tortues d'une espèce menacée qui avaient été retrouvées en Chine par des douaniers lors d'une opération contre des contrebandiers. Tortue noire à taches jaunes, la "Geoclemys hamiltonii" est une espèce vulnérable établie dans le sous-continent indien et qui se nourrit de plantes, crevettes et poissons. Deux cents animaux ont été retrouvés en juin dans la province chinoise du Xinjiang, frontalière du nord-est pakistanais. Selon les autorités chinoises, les douaniers locaux ont saisis les reptiles dans un camion lors d'une opération à l'issue de laquelle un contrebandier présumé et cinq acheteurs ont été écroués. Les services de la faune du Pakistan se sont rendus en Chine le mois dernier afin de récupérer ces tortues pour les ramener à Sukkur, ville située à 470 kilomètres au nord de Karachi dans la province du Sind. Après une quarantaine, les tortues ont été réintroduites lundi dans leur habitat naturel, le fleuve Indus. "C'est un accomplissement important pour notre équipe, comme si nous avions sauvé un bateau à la merci des pirates", a déclaré à l'AFP Javed Mahar, chef du service de la faune de la province du Sind. Source
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Agbozoumé : Un prêtre vaudou victime de son zèle aux fétiches
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Togo - La scène s’est déroulée ce week-end à Agbozoumé, un village situé à une vingtaine de kilomètre de la frontière Togo-Ghana, d’où est originaire le prêtre vaudou. Le zèle excessif, le « mazin mazin » du prêtre lui a coûté la vie devant ses adeptes qui n’ont pu rien faire face à la situation. Les faits. Lors d’une cérémonie communément appelée dans le milieu « Péta-trotro » (une fête dédiée aux fétiches) qui rassemble des centaines d' adeptes chaque année, un serpent (cobra), long de trois mètres, a fait son apparition au milieu des chants et danses au son des tam-tams et autres instruments de musique traditionnelle. Cet invité surprise a créé une débande dans la foule, malgré les tentatives du prêtre vaudou de convaincre les gens à ne pas céder à la panique. Il a réussi quand même persuader un nombre important des adeptes à rester sur les lieux. « Le fétiche Dan est sorti de son palais, inclinons-nous devant lui », a lancé le prêtre à l’endroit de ses adeptes et invités, tout en leur demandant de se prosterner devant l’horrible bête. Et comme pour donner l’exemple, il se place devant le serpent pour l’adorer. Agenouillé, le prêtre vaudou n’aura pas le temps de toucher le sol avec son front. Le serpent lui mord la tête . Il tombe devant les adeptes qui regardent la bête s’éloigner. En tentant de réanimer le corps, les témoins ont constaté que ce dernier se noircit en prenant la couleur du serpent qui, entre-temps, a disparu dans les buissons proches des lieux. Le prêtre vaudou qui a voulu élevé le serpent au rang des dieux n’a visiblement pas réussi à convaincre la bête qui l’a renvoyé auprès de ses ancêtres. Ce prêtre connu pour son efficacité et sa puissance a perdu toutes ces qualités devant le serpent. Comme quoi, trop de zèle tue. Source