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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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Près de 160 carapaces de tortues ont été découvertes depuis le début de l'année sur les plages de Mayotte. Cela fait apparaître une dramatique recrudescence du braconnage sur les plages de l'île, essentiellement pour se procurer de la nourriture. Des actions devraient être engagées rapidement, sous peine de voir disparaître ces animaux du lagon. Mayotte héberge des tortues marines (principalement la tortue verte Chelonia mydas et la tortue imbriquée Eretmochelys imbricata), dont environ 2000 viennent pondre sur une centaine de plages de l’île. Les sites les plus fréquentés sont les plages de Moya et de Papani en Petite-Terre, les plages de Saziley et de Charifou au sud, les plages de Mtsanga, Nyamba, Apondra et Mutsumbatsu à l’ouest et les plages de l’îlot de Mtzamboro. Source
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Comme si une araignée ça n'était pas assez dégoûtant en un seul exemplaire, ce spécimen se promène avec toute sa marmaille grouillante sur le dos. Arachnophobes, passez votre chemin. Découvrir une araignée de dix centimètres de diamètre qui se promène dans votre garage, voilà une situation qui en ferait hurler plus d'un. Sauf que dans le cas de Bobby Brown, un habitant du Missouri, et d'un ami, l'horreur ne s'arrête pas là. En zoomant, ils constatent avec dégoût que l'arachnide transporte sur son dos l'entier de sa progéniture. Une masse grouillante et frétillante pas tout à fait du goût des deux Américains. La viédo a fait plus de sept millions de vues sur YouTube depuis la semaine dernière. C'est pourtant une pratique tout à fait normale pour l'araignée-loup de transporter ses bébés de cette manière, dès le stade de l'oeuf, explique le DailyMail. Une fois éclos, les petits continuent de s'accrocher au dos de leur mère, son abdomen offrant un excellent camouflage. Cette pratique leur permet donc d'augmenter considérablement leurs chances de survie. Source
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Ils capturent un alligator de 350 kilos à mains nues
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Deux chasseurs sont parvenus à attraper un énorme reptile qu'ils traquaient depuis plusieurs mois. L'animal était tellement lourd qu'il a cassé la balance. Cela faisait plusieurs mois qu'ils traquaient la bête, ils l'ont enfin attrapée. Dimanche 19 octobre, Keith Kelley et Kelly Sziy, deux chasseurs originaires de Jacksonville (Floride), ont capturé un énorme alligator qu'ils avaient repéré dans le fleuve Saint Johns. Le duo a réussi l'exploit d'attraper l'animal avec une corde, quelques crochets et la force de leurs bras. Jeudi, Keith Kelley n'a pas caché sa fierté d'avoir enfin neutralisé celui que son acolyte et lui ont surnommé Lumpy. «Il s'est suffisamment approché pour ne plus pouvoir résister à l'appât. J'ai mis des gants en cuir et j'ai dit à Kelly de tenir bon parce que nous allions devoir l'attraper à mains nues», a-t-il raconté au «Atlanta Journal-Constitution». Si les alligators sont nombreux dans la région, Lumpy sortait clairement du lot, puisqu'il a cassé la balance sur laquelle il avait été placé: il pesait 350 kilos et mesurait 4 mètres de long. Les deux chasseurs ont tué l'animal pour sa viande avant de poser fièrement avec lui. La tête de la créature figure désormais en bonne place sur un mur dans la maison de Keith Kelley. Le duo se réjouit déjà de repartir à la chasse, en espérant tomber à nouveau sur une bête aussi impressionnante: «Je ne sais pas s'il y en a un autre comme Lumpy, mais nous allons chercher», annonce Kelley. Source -
Le dangereux cobra du parc Puget ne fait plus peur aux Marseillais
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
ENVIRONNEMENT - A la suite de la découverte d’un cobra dans le parc Puget du 6ème arrondissement, le site avait été fermé au public. Après plusieurs semaines de recherches, le serpent n’a pas été retrouvé. La mairie de Marseille estime que le reptile est mort. Même si son cadavre n’a pas été retrouvé, personne ne redoute l’hypothétique présence du cobra. Comme si de rien n’était. Fermé depuis plus d’un mois après la découverte d’un cobra, le parc Puget dans le 6ème arrondissement de Marseille a rouvert ses portes ce week-end. Sur les bancs publics, les amoureux profitent d'un dimanche d'automne et se prélassent devant le paysage. Dans les aires de jeux, les enfants gambadent sous le regard bienveillant de leurs parents. La peur du dangereux serpent est balayée par la joie d'un moment bucolique et familial. "Quel cobra ?", nous rétorque d’ailleurs Julien, un jeune père de famille. "Je croyais que c’était du flan cette histoire", réagit-il. Et bien non. Après une période de flottement, la photo du serpent prise par un passant était bien réelle. Pire, après expertise d’un herpétologue (un spécialiste des reptiles), il s’agissait probablement d’un cobra d’Afrique du Sud, une espèce très venimeuse et potentiellement mortelle. "Faut pas s’inquiéter" Après des semaines de battues, le reptile n’a jamais été retrouvé. Conclusion en a été faite que le serpent était bel et bien mort. Mais son cadavre, lui, n’a jamais été découvert. "Jamais, jamais ?", nous demande l’air étonnée Rebah, accompagnée de son mari et de sa petite Massilya. "C’est inquiétant cette histoire, poursuit-elle, je vais peut-être me méfier des herbes hautes", prévient la mère de famille. "La mairie pourrait nous le dire quand même", peste une autre maman. "Parfois, le serpent est revenu et on ne le sait pas", souligne-t-elle. Du côté des agents du parc, c’est motus et bouche cousue. "Pas de commentaires à la presse", nous indique-t-on. "Mais faut pas s’inquiéter", dit avec assurance Fabien, un habitué du parc qui se relaxe. "C’est comme tous les serpents. S’il est encore vivant, il aura peur des vibrations", assure-t-il en tapant du pied. Source -
LAMADELAINE - Lundi matin, un automobiliste s'est retrouvé nez à nez avec un serpent au moment où il voulait changer sa batterie. Un automobiliste de Lamadelaine, rue de la Maragole, a eu une mauvaise surprise, ce lundi matin. Alors qu'il voulait remplacer la batterie de sa voiture, il s'est retrouvé nez à nez avec un serpent. L'animal était lové sous le capot. Complètement inoffensif, il a été capturé et emmené au Centre de soins pour la faune sauvage de Dudelange. Il s'agissait d'un serpent des blés. Normalement originaire d'Amérique du Nord, cette espèce peut mesurer jusqu'à 1,80 mètre. Source
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L'araignée Goliath, avec ses pattes qui mesurent près de 30 cm, son poids équivalent à celui d'un jeune chiot, a tout pour horrifier, celles et ceux, qui ne supportent pas la vue de ces animaux à huit pattes. Ami(e) arachnophobe, passe ton chemin ! En effet l'araignée Goliath, avec ses pattes qui mesurent près de 30 cm, son poids équivalent à celui d'un jeune chiot, a tout pour horrifier, celles et ceux, qui ne supportent pas la vue de ces animaux. Horreur d'un côté et fascination de l'autre pour la plus grosse araignée du monde appelée également, mygale de Leblond (Theraphosa blondi). Une fascination, pour cette araignée géante, que partage Piotr Naskrecki entomologiste du Muséum de zoologie comparée de l'Université de Harvard (USA). Ce dernier a consigné, sur son blog, "la" rencontre avec la Goliath en pleine forêt amazonienne. Une "rencontre du troisième type", survenue il y a quelques années, mais dont l'intensité a manifestement marquée le scientifique : "J'écoutais les bruits de la nuit quand j'ai entendu le bruissement d'un animal qui se déplaçait. Je pouvais entendre clairement ses pattes frapper le sol dur et les feuilles sèches. J'ai appuyé sur l'interrupteur de ma frontale. Je m'attendais à voir un petit mammifère, un opossum, un rat peut-être. Je n'a pas tout de suite compris que ce que je voyais était l'araignée Golaith". Emporté par son élan scientifique, Piotr Naskrecki s'approche : "Oh comme c'est mignon !", ai-je d'abord pensé jusqu'à ce qu'un nuage de poils urticants atteigne mes yeux, me démange et me fasse pleurer pendant plusieurs jours". Source
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Aberkane : ces venins qui valent trente mille fois plus que l'or
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Les neurotechnologies ont besoin des peptides contenus dans les venins et que nous ne savons pas encore synthétiser. Mais ils ont bien plus à nous apprendre. Si un jour vous entendez un de ces pseudo-docteurs en écologie industrielle ou un de ces Nobel d'économie du café des sports disserter sur l'intérêt de bétonner la barrière de corail ou d'industrialiser la forêt primaire pour mettre au travail ces paresseux de natifs, parlez-lui de la tarentule chinoise ou du cône du Pacifique. À côté de ce petit mollusque ultra-venimeux, la poule aux oeufs d'or fait figure de plaisanterie. La mu-conotoxine GIIIB se négocie à presque 500 euros le milligramme chez Alomone Labs. La variante PIIIA est, elle, à 800 euros le milligramme chez Smartox Biotech... 800 millions d'euros le kilo ! Le platine et l'héroïne pure ? Du terreau de jardin en comparaison. Certaines variantes de la jingzhao toxine, issues du venin de la tarentule chinoise (Chilobrachys jingzhao venom), frisent 1 000 euros le milligramme, soit un milliard le kilo. L'hainantoxine, extraite elle de l'araignée chinoise Ornithoctonus hainana, se négocie à 950 euros le milligramme. En comparaison, l'anémone de mer (Anthopleura elegantissima) ferait presque figure de parent pauvre avec sa toxine APETx2 à 600 euros le milligramme. Quant au peptide toxique Tx2-6 de l'araignée très agressive Phoneutria, étudié dans le traitement des troubles érectiles, son coût de synthèse n'est pas encore disponible. Pourquoi une telle inflation ? À l'origine d'une telle envolée des venins, l'essor des neurotechnologies, les nouvelles biotechnologies, qui dopent la demande mondiale en peptides que nous ne savons pas synthétiser facilement, voire pas du tout, et qui doivent alors être collectés sur la bête. Les conotoxines, jingzhaotoxines, huwentoxines et hainantoxines affectent différents canaux à sodium, dont ceux que les neuroscientifiques inhibent pour révéler leur potentiel d'action et qui sont aussi nécessaires aux neurones pour communiquer entre eux. On utilise bien évidemment les venins en pharmaceutique, diverses toxines de scorpion traitant les polyarthrites rhumatoïdes ou les scléroses en plaques. Le venin du cobra royal peut être employé comme analgésique. Quant à l'épibatidine, un alcaloïde accumulé par la grenouille Epipedobates tricolor à partir des insectes dont elle se nourrit, elle est 200 fois plus puissante que la morphine ! Mais la leçon économique des venins ne s'arrête pas à la valeur brute, encore hautement volatile vers le haut (quand l'espèce s'éteint) ou vers le bas (quand on sait facilement reproduire son venin). La nature est une bibliothèque : lisons-la au lieu de la brûler ! C'est la leçon de la biomimétique, la science qui étudie les procédés naturels pour les traduire en savoir-faire humains (réservés aux abonnés). Le principe de la reine rouge Si, par exemple, les cônes produisent une telle diversité de toxines, c'est probablement en raison du "principe de la reine rouge" selon lequel en évolution parfois "il faut courir pour rester à la même place", comme le dit la reine rouge dans Alice au pays des merveilles. Bref, continuer à évoluer et à se diversifier pour survivre, une intéressante leçon industrielle que la sidérurgie allemande a très bien comprise, au grand dam de la nôtre. Meilleure leçon encore : celle du couple proie-prédateur composé de la salamandre Taricha granulosa et du serpent Thamnophis sirtalis en Californie. Dans la compétition entre la salamandre toxique et le serpent résistant, ce dernier a toujours un temps d'avance sur son prédateur. Hanifin et al. (2008) [1] ont démontré que là où la salamandre fait de la compétition quantitative (travailler plus pour gagner plus) en produisant plus de sa tétrodotoxine, le serpent fait de la compétition qualitative en produisant un nouvel antidote : travailler mieux pour gagner... beaucoup plus. Pour sa dernière campagne de dons, l'Institut Pasteur présente un chercheur en blouse blanche en pleine forêt primaire... Macroéconomiquement, c'est de plus en plus vrai. [1] Phenotypic Mismatches Reveal Escape from Arms-Race Coevolution Hanifin CT, Brodie ED Jr, Brodie ED III (2008) Phenotypic Mismatches Reveal Escape from Arms-Race Coevolution. PLoS Biol 6(3): e60. doi: 10.1371/journal.pbio.0060060 Source -
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Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Alban1 dans Gekkonidés
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Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Alban1 dans Gekkonidés
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Pour faire face à une espèce invasive, un lézard vivant dans des îles au large de la Floride a développé des doigts lui permettant de grimper aux branches les plus hautes. Anolis sagrei, espèce invasive en provenance de Cuba. Dr. Todd Campbell COMPÉTITION. Les lézards Anolis carolinensis (appelés anoles verts) vivaient autrefois, bien tranquilles, dans tout le Sud des États-Unis, sans grande concurrence. Mais l’arrivée d’un intrus, appartenant à une espèce voisine, Anolis sagrei, ou anole brun en provenance de Cuba, a perturbé leur quiétude : il les a forcé à évoluer, en l’espace de quinze ans, soit une vingtaine de générations. L'anole vert a développé des pattes avec des doigts lui permettant de grimper aux branches hautes des arbres. Todd Campbell. pattes qui s’adaptent pour grimper aux arbres Des chercheurs de l’université du Texas ont étudié les lézards peuplant de petites îles au large de la Floride. Sur certaines, les deux espèces d’anoles sont présentes tandis que d’autres n’hébergent que l’anole vert, indigène. PROGÉNITURE. Sur les territoires où les envahisseurs ont posé la patte, les scientifiques ont observé qu’Anolis carolinensis a développé des doigts plus larges équipés de ventouses plus collantes et de griffes plus longues pour l’aider à mieux s’agripper aux petites branches aux sommets des arbres. Les jeunes anoles verts évitent ainsi d’être croquer par les lézards bruns, les deux populations ayant une forte propension à dévorer la progéniture de leurs concurrents. Déjà, les pinsons de Darwin... Dans les îles où les A. sagrei n’ont pas débarqué, les scientifiques n’ont en revanche observé aucun changement au niveau des pattes. Ils relatent leurs observations dans un article publié dans la revue Science et en concluent que des changements évolutifs peuvent se produire rapidement quand deux espèces étroitement apparentées entrent en compétition. "DÉPLACEMENT". Ce type d’évolution est appelé "déplacement de caractères". Il consiste en l’accentuation de différences entre deux espèces voisines se côtoyant ; elles peuvent ainsi profiter de niches écologiques différentes. Un exemple célèbre de ce type spéciation est celui des pinsons de Charles Darwin. Le savant avait remarqué qu’aux Galapagos plusieurs espèces de pinsons ayant la même corpulence différaient par la forme et la taille de leurs becs, ce qui leur permettaient d’avoir chacun accès à une source de nourriture différente. Source
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Dans la version vietnamienne de Masterchef, une candidate a choqué les téléspectateurs en décapitant une tortue pour la cuisiner ! Les téléspectateurs vietnamiens ont assisté à une scène que l’on espère ne jamais voir dans la version française de Masterchef. Une candidate a en effet créé une vive polémique en tuant cruellement une tortue devant les caméras ! Indignés par ces images, les téléspectateurs ont envoyé des centaines de plaintes à la chaîne VTVT3, qui diffuse l’émission. Une tortue mise à mort sous les yeux des spectateurs L’incident s’est produit dans l’émission diffusée le 20 septembre au Vietnam. Les candidats devaient préparer un plat en utilisant des animaux vivants. Une tâche qui s’est manifestement révélée plus difficile que prévu pour Khanh Phuong, 21 ans, qui a eu les plus grandes difficultés du monde à tuer la tortue qu’elle devait préparer. Perdant patience, la candidate a violemment frappé le ventre de l’animal avant d’utiliser des ciseaux et un couteau pour faire sortir sa tête. Elle a finalement épinglé la tête de la tortue sur la planche à découper avec une lame avant de la trancher en criant. Cette scène violente a scandalisé les téléspectateurs, qui ont été 70% à dire que ce passage n’aurait pas dû être diffusé selon un sondage en ligne. Après les faits, la candidate a avoué avoir du mal à trouver le sommeil après avoir tué cette tortue "de façon très cruelle". La chaîne parle d’un "accident" Devant les réactions très négatives que cette scène a provoquée, le directeur de la chaîne VTV3, Lai Van Sam, a déclaré : "La diffusion d’une scène d’une telle violence était un accident." Quant au Shine Group, qui distribue Masterchef dans le monde, il déplore cet incident : "Nous n’encourageons pas les tâches qui incluent la préparation d’animaux vivants. Malheureusement, la production du Vietnam ne nous a informés de cette scène qu’après la diffusion. Il s’agit clairement d’un incident inacceptable et regrettable." Seul l’un des juges estime que cette scène violente n’avait pas à être coupée au montage : "Cette image était liée à l’histoire. Tuer des animaux vivants est une situation que tous les chefs doivent surmonter." Surmonter, d’accord, mais de là à diffuser les images à la télé, il y a un pas qu’il est manifestement préférable de ne pas franchir. Source
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Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Alban1 dans Gekkonidés
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Pas moins de 2.040 personnes ont été victimes de piqûres de scorpion, de janvier à fin aout de 2014, dans la wilaya de Ghardaïa, sans causer de décès, a-t-on appris auprès de la direction locale de la Santé et de la population (DSP). La commune de Guerrara est lÆune des localités les plus touchées par les piqûres de scorpion, avec 528 cas, suivie de celles de Ghardaïa (304), Berriane (287), El-Menea (178) et Métlili (146), révèlent les statistiques de la DSP. Les piqûres et les envenimations scorpioniques continuent d'être un problème de santé publique pour la région de Ghardaïa, malgré l'objectif zéro décès atteint durant cette période, a-t-on déploré au service de la prévention de la DSPH de Ghardaïa. Ce fléau de piqûres de scorpion constitue le premier cas d'intoxication dans la wilaya de Ghardaïa, devant les intoxications alimentaires avec 49 cas durant la même période, a-t-on précisé en se référant aux données épidémiologiques de la wilaya. La mise en place d'une couverture sanitaire de proximité répondant aux exigences de lutte contre l'envenimation et la généralisation de l'électrification publique, dans les différentes localités de la wilaya, ont permis de sauver de nombreux cas d'une mort certaine, notamment chez les enfants en milieu rural, a-t-on expliqué. Pour accompagner cette démarche, il est opportun que les services des communes déploient plus d'efforts pour lutter contre l'insalubrité publique, notamment dans les zones urbanisées et encourager le ramassage et la collecte de ces insectes au profit de l'institut Pasteur d'Algérie afin de fabriquer le sérum anti-venin de scorpion, selon la même source. Seul 291 scorpions ont été ramassés durant les huit mois de l'année en cours par les jeunes de quelques communes, selon les statistiques des services de la santé, précisant que cette opération n'a pas pu se faire dans plusieurs communes de la wilaya faute de financements. La wilaya de Ghardaïa a enregistré, l'an dernier, 2.734 cas de victimes de piqûres de scorpion, dont trois décès, et le ramassage, dans six communes sur treize, de 3.739 scorpions au profit de l'IPA, a-t-on rappelé. Source
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Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Alban1 dans Gekkonidés
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Le braconnier de la tortue Lilly jugé le 18 Décembre
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Le 21 Septembre 2014, Lilly, tortue imbriquée victime d’un braconnier à Saint-Pierre avait été sauvée par des témoins. Le chasseur sous marin a été identifié. Interpellé et placé en garde à vue, le suspect, âgé de 18 ans, sera jugé le 18 Décembre prochain. Le 21 Septembre 2014 à 14h30, des familles installée sur la plage de la Ravine-Blanche, voient un chasseur sous-marin sortir de l’eau avec une tortue sous le bras. L’incrédulité passée, les témoins décident d’intervenir pour obliger le braconnier à relâcher sa victime. Après des échanges verbaux virulents et une course poursuite pédestre, le chasseur finit par libérer l’animal et abandonne son fusil harpon. Au fil des semaines et des soins Lilly a pu être sauvée. Très gravement touchée au niveau du crane, l’état de santé de la petite tortue est resté incertain très longtemps. Désormais, elle a été libérée de son harnais et nage librement dans un bassin. Prison et amende pour les braconniers Ce fait divers particulier a ému la population. La justice a demandé aux policiers de Saint-Pierre d’identifier le braconnier. C’est chose faite ! C’est un Saint-Pierrois de 18 ans. Interpellé et placé en garde à vue, il a reconnu les faits, tout en expliquant qu’il a confondu la tortue avec un congre (Ndlr : murène en créole). Si sa version des faits est peu crédible, il dispose d’un mois et demi pour réfléchir à sa défense. Il est convoqué devant le tribunal de Saint-Pierre le 18 Décembre 2014. La loi prévoit un an de prison, la saisie du matériel et des amendes très élevées quand il est question d’une espèce protégée par la convention de Washington, ce qui est le cas de cette tortue imbriquée (Ndlr : liste rouge des espèces menacées). Source -
Des serpents de plus en plus nombreux autour de Saskatoon
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Après la découverte de couleuvres dans le sous-sol d'une résidence de Regina, voilà que d'autres reptiles se font voir en grand nombre, cette fois près de Saskatoon. Selon Neil Mooney, agent de contrôle antiparasitaire de la Municipalité rurale de Corman Park, il y a de plus en plus de résidents qui se plaignent de la présence de ces reptiles. L'agent a plus entendu parler de serpents cette année qu'au cours des dix années précédentes. Il ne s'inquiète toutefois pas de leurs présences. « Pour moi, la présence de serpents est naturelle. Je pense que c'est une bonne chose qu'ils soient là. Ils aident à se débarrasser de beaucoup de choses qui crées des problèmes, alors pourquoi ne pas les avoir ? », dit-il. La meilleure stratégie à son avis pour ne pas être incommodé par ces reptiles est de bien repérer tous les endroits autour des résidences où ces serpents pourraient s'infiltrer et de sceller toutes ces ouvertures. Neil Mooney ne peut expliquer pourquoi plus de gens observent des serpents cette année. L'une de ses hypothèses est qu'il y a de plus en plus de maisons en construction dans la communauté rurale, dans des zones qui étaient traditionnellement sauvages. Source -
Des ossements de varan ont été découverts par une équipe internationale d’archéologues sur la Grande Terre. Rien ne prouve que ce gros lézard, qui éclaire d’un nouveau jour certains mythes kanak, ait complètement disparu de Nouvelle-Calédonie. Les fouilles ont eu lieu dans les grottes de Pindaï, d’où ont été sortis de terre de nombreux fossiles depuis les années 70, notamment sous l’impulsion de Jean-Christophe Balouet. (Crédit photo : LNC) Les fouilles ont eu lieu dans les grottes de Pindaï, d’où ont été sortis de terre de nombreux fossiles depuis les années 70, notamment sous l’impulsion de Jean-Christophe Balouet. (Crédit photo : LNC) Des crocodiles terrestres, des tortues à cornes ou des oiseaux géants ancrés au sol… Avec une truelle pour pinceau, c’est un vrai bestiaire que les archéologues ont dévoilé au fil de leurs fouilles calédoniennes. Cette ménagerie, aujourd’hui disparue mais que les premiers habitants de la Grande Terre ont pu croiser, ne cesse de s’enrichir, alimentant les manuels d’histoire locale comme les revues scientifiques. Pour preuve, la prochaine publication* de la découverte, à Pindaï, de fossiles de varan, grand lézard qui aurait lui aussi vu arriver les premières migrations et peut-être cohabité plus longuement avec les hommes. Quand en 2003, une équipe internationale lance une campagne de fouilles dans les grottes de la péninsule de Népoui, dont la richesse archéologique est connue de longue date, l’identification du reptile n’est pourtant « ni un objectif, ni une éventualité», note le Calédonien Christophe Sand, coauteur de l’article. Ossements. Certes, par le passé, certains fossiles avaient permis de poser l’hypothèse, non vérifiée, de l’existence de l’espèce. Mais elle avait été mise de côté, au profit d’études d’animaux moins connus. « La campagne visait à compléter les informations existantes sur la méga faune éteinte, notamment le Sylviornis, explique l’archéologue. On a trouvé ce que l’on cherchait, des ossements de grands oiseaux, mais aussi de lézards ou de geckos, et certains posant des questions. » Pour lever les doutes sur les fragments non identifiés, l’équipe fait appel à l’Américain Aaron Bauer, spécialiste des fossiles de reptiles. « On lui a envoyé des milliers d’ossements, continue-t-il, et il a isolé trois fragments qui ont fait l’objet de recherches poussées. » Et longues. Onze ans plus tard, « il n’y a plus d’hésitation, affirme le directeur de l’Institut d’archéologie de la Nouvelle-Calédonie, une espèce de varan a bien existé dans le pays. » Sa taille ? « Difficile à dire, continue-t-il. Rien ne laisse à penser qu’il est aussi gros que le dragon de Komodo, mais il mesure peut-être un mètre. » Mythe. Il faut recueillir davantage d’informations sur les caractéristiques du varan calédonien pour baptiser son espèce. Mais, au-delà de son intérêt paléontologique, la découverte pourrait avoir une résonance culturelle. Le « lézard » est en effet profondément inscrit dans la culture kanak. « C’est un des animaux totémiques les plus importants, explique Emmanuel Tjibaou, directeur de l’ADCK. On le retrouve dans la toponymie, les noms de clans, de personnes, les mythes de la création. » Or, comme le requin, la tortue ou la roussette, la plupart de ces animaux totems se singularisent par leur taille ou leurs caractéristiques. Pourquoi les « petits » lézards de Calédonie ont-ils pris une telle place dans l’imaginaire ? « On peut émettre l’hypothèse que dans les mythes, quand on parle en français de lézard, on fait en fait référence au varan », note Christophe Sand. Comme dans la culture aborigène ou indonésienne, où le varan tient une place prépondérante. A cette hypothèse s’ajoute une question qui « turlupine » le scientifique : l’espèce a-t-elle réellement disparu ? « Au vu du nombre significatif d’histoires et de témoignages récoltés en Brousse ces cinquante dernières années, décrivant un gros lézard croisé en forêt ou en bord de route, on peut se poser la question de la survie du varan, sourit le directeur. On n’est jamais à l’abri qu’une fable se révèle être la réalité. » LNC Source
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98 couleuvres trouvées dans une maison sont relâchées près de Regina
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Salthaven West a relâché 98 des 102 couleuvres trouvées dans une maison près de Regina. Les quatre dernières couleuvres sont soignées pour des blessures et des maladies au Centre Salathaven West. Même si la présence de couleuvres dans les sous-sols n'a rien d'anormal à cette période de l'année, la directrice de la réhabilitation du Centre Salthaven West, Megan Lawrence, avoue avoir été surprise par le nombre élevé de bêtes. Elle a participé à la collecte des couleuvres, qui commençaient leur hibernation. Les 98 couleuvres ont été relâchées dans la réserve naturelle de Condie, une zone située au nord-ouest de Regina. Elles devront maintenant se trouver un autre lieu d'hibernation pour l'hiver. L'une des quatre couleuvres restantes a été soignée pour une vertèbre brisée, alors qu'une autre a été soignée pour une infection à l'œil. Les deux dernières sont gardées en observation parce qu'elles avaient un comportement étrange. Megan Lawrence n'exclut pas de devoir retourner dans la maison où les couleuvres ont été trouvées, car elle croit que d'autres bêtes y sont toujours cachées. Source -
Au début de l'affaire, personne n'y croyait au vu du peu d'indices. Mais grâce à une minutieuse enquête de voisinage, les policiers de Saint-Pierre sont parvenus à l'identifier. Le jeune homme qui a harponné une tortue dans le lagon de Saint-Pierre, le dimanche 21 septembre, a été interpellé hier. Il sera jugé le 18 décembre prochain. SAINT-PIERRE Il croyait que c'était "un congre". Et quand il a remarqué qu'il s'agissait d'une tortue, il s'est dit que cette prise ferait plaisir à sa mère pour qu'elle en fasse un cari... Le tout sans savoir que sa pêche du jour était illégale car protégée. Telles sont les explications fournies par le jeune homme devant les policiers de Saint-Pierre. Une version comme une autre, même s'il paraît peu vraisemblable, qui ne l'a pas empêché de reconnaître les faits. Le 18 décembre prochain, ce Saint-Pierrois de 18 ans sera jugé pour "mutilation, capture et détention d'une espèce protégée". Une infraction pour laquelle la loi prévoit un an d'emprisonnement et des amendes, cela restant une peine maximale et théorique. L'histoire avait fait grand bruit et remonte au 21 septembre dernier. Ce dimanche-là, des familles profitent de la plage au niveau de Ravine-Blanche. Et quelle n'est pas leur surprise quand, vers 14 h 30, ces badauds voient un chasseur sous-marin sortir de l'eau avec une tortue agonisante. Non seulement la chasse est interdite à cet endroit, car il s'agit du lagon, mais de surcroît cet animal est protégé. Très vite, des témoins prennent à partie le jeune homme. Le ton monte et le braconnier prend la fuite avec la tortue sous le bras. Choqué par ce comportement, un des témoins le course dans les rues du quartier. "Je ne pouvais pas laisser passer ça", racontait Baptiste Escamez dans nos colonnes au lendemain des faits. Après 300 mètres de course-poursuite, le fuyard finit par lâcher la tortue et son fusil. Alors que le chasseur poursuit son chemin, Baptiste préfère s'arrêter pour secourir le reptile qui a encore la flèche fichée en pleine tête. Il la ramène alors sur la plage où les pompiers sont prévenus. L'animal est remis aux soigneurs de Kélonia, l'observatoire des tortues marines basé à Saint-Leu. L'animal sauvé par les témoins Les policiers sont également alertés mais ils disposaient de très peu d'indices au début de leur enquête. Ils avaient récupéré le fusil-harpon abandonné par le suspect mais ce type d'arme n'est pas répertorié. Et la description fournie par les badauds ne permettait pas d'identifier la personne. Au final, de minutieuses investigations de voisinage ont permis de remonter jusqu'à l'auteur et de l'appréhender. Malgré son jeune âge et ses explications qui évoquent un tir malencontreux, ce braconnier a fait preuve d'un comportement choquant et devra donc s'en expliquer devant la justice. Quant à la tortue, baptisée Lili par ses soigneurs, elle s'en est miraculeusement sortie. "La flèche a traversé le crâne, elle est rentrée par l'arrière d'un œil et est ressortie par le globe oculaire opposé. Elle est très grièvement blessée", s'inquiétait Stéphane Ciccione, directeur de Kélonia, le soir des faits. Opérée en urgence par le docteur Schneider, vétérinaire à Saint-Pierre, Lili va mieux désormais. Après avoir passé de nombreux jours en "soins intensifs", elle a repris du poil de la bête et a recouvré "une autonomie qui lui permet d'évoluer en bassin". Le but étant de pouvoir la relâcher dans son milieu naturel à terme. Pour rappel, Lili est une jeune tortue imbriquée de 7,4 kg, ce qui permet de situer son âge entre 6 et 12 ans. Cette espèce est particulièrement menacée. Si le goût de sa chair n'a jamais été très prisé, son écaille de grande qualité faisait d'elle une cible de choix. Source
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Le crocodile à front large, né il y a un mois, grandit à la nurserie. « Un cri rauque a retenti sous la coquille et son œil est apparu », raconte Sandrine Silhol, directrice scientifique. Le 25 septembre, un crocodile à front large a vu le jour au zoo des Sables, après 96 jours d'incubation à 31 °C. « À la sortie de l'œuf, il ne pesait guère plus de 32 g. » Placé dans un terrarium, installation destinée à l'élevage, avec piscine chauffée à 27 °C, il a pris son premier repas à l'âge de cinq jours. « À présent, il pèse 40 g et mesure 23 cm. »Les visiteurs peuvent désormais l'observer à travers la vitre de la nurserie. Source
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Les NAC (nouveaux animaux de compagnie) fourmillent depuis un moment déjà dans les foyers du Boulonnais. Mais ils sont de plus en plus nombreux à quitter le domicile de leurs propriétaires, de leur plein gré ou non, pour rejoindre le monde libre. Une menace pour les habitants ? Deux reptiles en deux jours. La semaine dernière, l’actualité serpentait entre les découvertes étonnantes : au Portel, dans une cuisine, un « elaphe guttata » ; à Ambleteuse, en pleine rue, une couleuvre. Celle-ci, d’origine locale, a été relâchée dans la nature. Le serpent du Portel, plus exotique, a été transporté dans un centre à Calais. D’après nos informations, personne ne l’a réclamé. « Ce n’est pas étonnant. Il y a de plus en plus de gens qui achètent des NAC illégalement. Ils ne vont pas se manifester lorsque leur animal se sauve ou qu’ils s’en débarrassent », peste Gilbert Pilloy, président de la SPA du Boulonnais. Il poursuit : « Pour posséder un chien de certaines catégories, il faut avoir un permis. Pour adopter un NAC, ça devrait être pareil et ça devrait être plus poussé. » Ce « permis », Laëtitia Gomel l’a en poche. À la jardinerie d’Hesdigneul, elle s’occupe des NAC depuis trois ans : « Il faut au moins une personne ayant un certificat de capacité pour en vendre. » L’enseigne ne propose que des espèces non venimeuses et disponibles sans autorisation. La jeune femme a vu les comportements des clients évoluer : « Avant, c’était un effet de mode. Maintenant, les clients qui viennent savent déjà où ils mettent les pieds. Soit ils ont déjà eu des NAC, soit ils en ont vu dans leur entourage. » À ses côtés, Corentin Thelier, lycéen de 18 ans, suit une formation de technicien conseil vente en animalerie. Il renseigne les amateurs : « Il s’agit de présenter les différentes caractéristiques des espèces, l’habitat qu’il faut leur recréer, l’alimentation à donner. Nous précisons aussi aux clients que l’animal va grandir en atteignant la taille adulte. » Cette évolution reste la cause principale d’abandon. Le président de la SPA retourne le problème : « Les propriétaires ne peuvent plus s’en occuper et ils les relâchent, puisqu’il n’y a pas de structures habilitées à les reprendre. Ces animaux sont inoffensifs. Ils sont en danger face à l’homme, qui cherche à se défendre de l’inconnu. » Pour nous, la menace tient plus du choc émotionnel que du risque sanitaire. «De plus en plus d’interventions» Les opérations de capture de NAC se multiplient depuis trois ans. Les pompiers sont en première ligne lors de la découverte de bêtes menaçantes. Depuis quelques années, les soldats du feu reçoivent des formations pour savoir gérer les NAC. Tant au niveau de la protection des populations que concernant leur propre sécurité. Bien souvent, dans le Boulonnais, ils sont épaulés par Opale Capture. Jérémie Marion, du service animalier, a vu ses activités croître : « Depuis trois ans, il y a de plus en plus d’interventions sur le domaine public. Au moins une fois par mois, nous ramassons des NAC. Mais que des espèces autorisées à la vente et non dangereuses. » Il faut dire que la réglementation est très stricte concernant la détention des NAC. Pour certaines espèces, il faut un certificat de capacité. Parfois, l’habitat (vivarium, terrarium) doit être fermé à clef pour éviter toute mauvaise surprise. Certaines personnes passent pourtant outre les textes de loi et commandent des animaux sur Internet ou à l’étranger, dans des pays où les réglementations ne sont pas les mêmes qu’en France. Pour cela, pas besoin de se rendre dans des contrées lointaines. La Belgique toute proche est déjà plus souple en termes de vente de NAC. Un singe qui mange des raviolis Mais le Boulonnais n’est visiblement pas une terre d’asile pour animaux exotiques. Jusqu’à présent, la plupart des interventions d’Opale Capture concernent des serpents. Certaines expériences sont toutefois plus originales. Jérémie Marion se souvient : « Je suis intervenu dans une habitation où un perroquet était détenu illégalement. Il a été saisi puis placé au zoo de Lille. Il y a eu aussi un homme qui est arrivé dans une clinique vétérinaire avec un singe dans les bras, qui était en train de mourir. Et pour cause, c’est un singe qui mangeait des raviolis. Son propriétaire n’avait pas forcément un comportement adapté. » Source
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NANCY : MYGALE ET SCORPIONS DANS L'APPARTEMENT D'UN ÉTUDIANT
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Les agents de l’ONCFS ont saisi des scorpions et une mygale détenus illégalement à Nancy. Faute d’avoir trouvé un établissement en capacité de les accueillir, les scorpions et la mygale ont été euthanasiés. Ph. P. MATHIS S’ils veillent sur la nature, bottes aux pieds et arme à la ceinture, les cinq agents de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) ont également un œil sur la toile. Pas celle tissée par cette Grammostala rosea, une mygale poilue et trapue saisie jeudi dans l’appartement d’un étudiant nancéien. Une saisie incidente pour les policiers de l’environnement dont le service départemental est basé à Lunéville. À la base, leur attention avait été attirée par une petite annonce parue sur le site « Leboncoin » et dans laquelle le vendeur faussement domicilié à Tomblaine, vendait des scorpions. À 80 € l’unité. « Deux modèles disponibles, 2 mâles, dont un plus petit, plus vif, plus hargneux et intrépide », stipule le propriétaire, joignable uniquement par courriel. Son duo d’heterometrus scaber, un spécimen originaire d’Inde dont la piqûre peut entraîner des troubles de la vision, vomissements et de la fièvre. Si l’attaque est douloureuse, elle n’est a priori pas mortelle, à moins que la victime ne déclenche une réaction allergique. Amende maximale encourue : 15.000 euros et un an de prison « Nous ne savions pas trop sur quoi on allait tomber », explique-t-on à l’ONCFS. Les agents prenaient toutes les précautions en évitant un contact direct avec ces Nouveaux animaux de compagnie (NAC) et saisissaient les bêtes avec leur terrarium. « Mygale et scorpion sont considérés comme des espèces dangereuses et tant leur commerce que leur détention sont strictement réglementés », note l’ONCFS. « Il faut être titulaire d’un certificat de capacité ainsi qu’une autorisation préfectorale. Le cas échéant, l’amende maximale encourue est de 15.000 € et une peine d’un an d’emprisonnement ». L’étudiant nancéien était en infraction avec la législation. Une procédure est actuellement en cours. « De plus, l’avis d’un vétérinaire spécialisé dans les NAC, a confirmé que leurs conditions de détention ne garantissaient pas la sécurité ». Faute de trouver un établissement en capacité de les accueillir, scorpions d’Inde et mygale du Chili ont été euthanasiés sur décision judiciaire. La semaine précédente, l’ONCFS procédait à une autre saisie, moins exotique, au domicile d’un quinquagénaire du Pays-Haut. Sans emploi, l’homme faisait le commerce – toujours sur Leboncoin – d’oiseaux, des chardonnerets, une espèce protégée. Des passereaux colorés et chanteurs vendus 70 € pièce. « L’homme achetait quelques spécimens en Belgique ou la réglementation est différente et se servait de l’un d’eux comme appelant afin de capturer des chardonnerets dans la nature. « C’est interdit ! Certains les croisent même avec des canaris », souligne l’ONCFS qui, là encore, a engagé une procédure. Mais la dizaine de chardonnerets saisie n’a pas connu le même sort que les scorpions et la mygale. L’ONCFS a ouvert la cage aux oiseaux qui, aujourd’hui, chantent joyeusement sous la pluie. Source -
Nez à nez avec une mygale de la taille d'un chiot
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Un scientifique de l'université de Harvard a fait une «charmante» rencontre lors d'une promenade nocturne dans une forêt tropicale en Guyane En pleine exploration nocturne dans une forêt tropicale de Guyane, Piotr Naskrecki a récemment fait une rencontre dont même les amis des bêtes se passeraient bien. Cet entomologiste à l'université de Harvard (Massachusetts) s'est en effet retrouvé nez à nez avec une énorme araignée. Son corps avait le volume d'un poing et l'envergure de ses pattes atteignait la taille de l'avant-bras d'un petit enfant. Il s'agissait en fait d'une araignée Goliath, la plus grande espèce de mygale découverte à ce jour. Espèce très rare «Quand j'ai allumé ma lampe, je n'arrivais pas à bien comprendre ce que je voyais», raconte le scientifique au site Live Science. Le chercheur a d'abord cru avoir affaire à un rat ou un opossum avant d'identifier l'animal. Selon le muséum de Zoologie comparée de Harvard, ce type d'araignée peut peser jusqu'à 170 grammes. Elle chasse les vers, les rats et d'autres petits animaux. Sa piqûre n'est pas mortelle pour l'homme, à moins qu'il soit allergique, mais peut le rendre malade pour plusieurs jours. Piotr Naskrecki explique que les araignées Goliath sont rares: il n'en a rencontré que trois tout au long de sa carrière. Source -
Des biologistes explorent les neurones avec... du venin de mygale
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
De nouvelles sondes qui combinent une toxine de mygale avec un composé fluorescent permettent de mesurer l’activité électrique des cellules. VENIN. Le venin de mygale est composé de nombreuses toxines dont l’une a la capacité de se lier aux cellules électriquement actives (comme les neurones) quand elles sont au repos. Des canaux qui s’allument La sonde (outil couramment utilisé en biologie) mise au point par les scientifiques du Marine Biological Laboratory (MBL) combine la toxine avec une protéine fluorescente. Elle permet ”d’éclairer” la surface des cellules de certains canaux ioniques (ion/potassium) quand ils sont au repos. Ces canaux permettent le passage des ions à travers la membrane des cellules. Lorsqu’ils sont activés par des signaux électriques les cellules ”s’éteignent”. C’est la première fois que les scientifiques peuvent observer visuellement ces canaux sans d’abord les modifier génétiquement. ”Il s’agit d’un prototype de sonde. Mais dans l'avenir nous pourrions utiliser des sondes pour mesurer l’état de l’installation électrique dans un organisme qui n’a pas été génétiquement modifié” signale Jon Sack, de l’université de Californie-Davis et principal auteur de l’étude. Par exemple, il est imaginable de réaliser la cartographie électrique d’un cerveau et ainsi d'identifier des cibles thérapeutiques pour contrer certains troubles neurologiques. Cellule baignant dans une solution de toxine. A droite l'intensité électrique varie. Quand elle augmente leur éclairage diminue. Enregistré par Kenneth Eum, Lillian Patrón, et Christophe Dupré au MBL. Video mise à disposition par Jon Sack, UC-Davis. "Nous avons une incroyable diversité de canaux ioniques. Le véritable problème est de déterminer quels sont ceux qui exécutent des rôles. Lesquels s'allument et quand dans le fonctionnement normal du système nerveux ? Lesquels sont impliqués dans des états ou des syndromes anormaux ?” s’interroge Jon Sack. "Le rêve est d'être en mesure de voir ce que les différents types de canaux ioniques font et quand, pour comprendre comment ils contribuent à la physiologie et la physiopathologie." Source