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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Qu'y a-t-il à l'intérieur d'une araignée géante ? Le site de la BBC offre une réponse très classe en GIFs. Vous avez peur des petites araignées ? Le film Arachnophobie (Frank Marshall, 1990) vous a traumatisé à vie ? Passez votre chemin. "Les tarentules peuvent mesurer jusqu'à 30 cm de diamètre, avec des crocs de plus de 2,5 cm." Voilà le type de bestiole dont on parle. Le site de la BBC rend hommage aux mygales dans une belle infographie animée en GIFs. Rappelant en préambule que les araignées géantes ne sont en général pas dangereuse pour l'homme, le texte d'introduction précise quand même que leur venin peut tuer une proie de taille conséquente, type oiseau ou souris.La base de leurs chélicères (sorte de crochets) est dirigée vers l'avant. Leurs poils, qu'on appelle setae, ne leur servent pas à vous effrayer, mais à se repérer avec les vibrations. Car les mygales ont une très mauvaise vue. Bon, mais il existe aussi des poils urticants, balancés contre l'agresseur via l'abdomen.Les amateurs pourront également observer la fabrique et les divers usages de leur soie : napperon pour le repas, sac pour les œufs, porte pour leur terrier, tapis de sol pour s’étendre pendant la mue en attendant le nouvel exosquelette... Au programme également, une visite du système digestif des grosses bestioles, featuring une soupe liquide pour dissoudre les organes intérieurs de leurs proies. Miam. Voici l'infographie, très jolie mais déconseillée aux arachnophobes (faites "clique droit" puis "afficher l'image" pour agrandir) : Source
  2. Une jeune tortue marine a été sauvée d'un braconnier ce dimanche 21 septembre 2014 à Saint-Pierre. La scène s'est passée en début d'après-midi, au niveau de la plage de la Ravine Blanche. Un jeune homme - sortant de l'eau avec l'animal transpercé d'une flèche à la tête - a été arrêté par des pique-niqueurs. Le reptile a été pris en charge par Stéphane Ciccione, directeur de Kélonia, et amené à une clinique vétérinaire de la capitale du Sud pour être ausculté en urgence. La tortue devrait ensuite être été amenée à l'observatoire des tortues marines de Saint-Leu pour recevoir des d'autres soins. (photos D.R.) Harponnée par un braconnier, une tortue a été sauvée ce dimanche à Saint-Pierre, au niveau de la plage de la Ravine Blanche. Le jeune homme, qui pensait sortir de l'eau tranquillement avec sa nouvelle capture, a été arrêté par des personnes qui étaient aux alentours du rivage. "Des pique-niqueurs l’ont vu et l’ont coursé. Ils ont ramené la tortue et appelé la police", indique l’un des témoins de la scène. Tandis que les forces de l’ordre s’occupaient du chasseur à son tour chassé, la foule s’est réunie autour de la tortue mal en point. Transpercé d’une flèche à la tête, l’animal a été pris en charge par Stéphane Ciccione. Le directeur de Kélonia est rapidement venu sur place afin de sauver au plus vite la bête blessée. "C’est une petite tortue imbriquée de 40 centimètres, elle a dû arriver sur les côtes réunionnaises il n’y a pas si longtemps. Elle n’a pas eu de chance en croisant ce braconnier. La flèche est passée par un oeil et ressorti par l’autre", indique le spécialiste. La jeune tortue a été amenée vers la clinique vétérinaire de Saint-Pierre pour être auscultée et opérée si besoin. Ce n’est pas la première fois que Stéphane Ciccione constate ce type d’histoires : "des tortues fléchées, ça fait une bonne année ou deux que ça n’était pas arrivé, ou du moins pas signalé. La dernière fois, c’était pareil, des gens étaient intervenus, sinon elle aurait certainement finie empaillée." Prise en charge par le vétérinaire, la tortue sauvée prendra ensuite la direction de Kélonia. "Après une radio, une prise de sang, nous verrons s’il est possible de faire une chirurgie réparatrice. A Kélonia, elle sera dans notre centre de soin", précise Stéphane Ciccione qui a tenu à remercier les pique-niqueurs qui sont intervenus. "Il faut vraiment les remercier, cela permet de rappeler la loi sur les espèces protégées", assure le responsable de l'observatoire des tortues marines. En juillet dernier, c’est un trafic de tortues terrestres qui a été découvert, une nouvelle fois dans le sud. Source
  3. Nous vous en parlions il y a un mois: une énorme araignée avait effrayé les habitants de Calais, dans le Nord de la France. Depuis, et cela a été confirmé par des spécialistes, le même type de bestiole a été repéré en Belgique... La photo de Christophe Pour rappel, voici donc la "bête" qui a fait le buzz du côté de Calais: Une araignée également présente en Belgique? La réponse est positive. Cela nous a été confirmé par un spécialiste (à lire ici). Mais rassurez-vous: elles ne sont pas dangereuses. « Elle est juste un peu venimeuse et peut mordre, mais rien de méchant". Mais c'est vrai: on n'a pas spécialement envie de se retrouver face à elle... Christophe, un lecteur de Mouscron, nous a envoyé il y a quelques jours de nouvelles photos (cliché qui illustre cet article), avec ce commentaire: "Bonjour. Voici notre découverte à Mouscron en sortant de notre lit. Elles commencent à envahir Mouscron... » La phobie des araignées ne risque pas de s’arrêter... Source
  4. L'école vétérinaire de Toulouse est habituée à voir défiler toutes sortes d'animaux. Mais il en est un qui préoccupe le Dr Jouglar, le responsable de la clinique et du centre de soins : la tortue de Floride. En tout, ce sont vingt-sept tortues à tempes rouges qui peuplent paisiblement le bassin de l'école. Le problème ? Le vétérinaire commence à en avoir trop, il ne peut pas les remettre dans la nature, et inutile de préciser qu'il n'a pas l'intention de les tuer. Cette espèce a été classée «invasive», ce qui signifie qu'elle doit être retirée du milieu naturel où elle concurrence la cistude, sa «cousine» française. Pascal Versigny de la Direction Départementale de Protection des Populations (D.D.P.P.) est chargé de saisir la «chrysemys scripta elegans», de son nom latin, chez les particuliers qui en possèdent. Il explique : «depuis qu'elle a été classée «espèce invasive» et surtout depuis qu'elle a été classée, le 10 août 2004, en annexe B de la Convention de Washington au niveau européen afin d'interdire son commerce, les particuliers n'ont plus le droit de détenir ces tortues et encore moins de les relâcher dans la nature». Or, il arrive que des gens qui avaient acheté ces tortues quand elles étaient encore autorisées à la vente, s'en débarrassent une fois qu'elles atteignent leur taille adulte, ne sachant plus quoi en faire. Elles peuvent atteindre les 30 centimètres. C'est ainsi que la tortue à tempes rouges a fait son apparition dans le Canal du Midi. «Quand des gens en trouvent sur les bords sur Canal ou qu'ils veulent s'en défaire sans toujours avouer qu'ils en sont les propriétaires, ils nous les apportent à l'école véto. Le problème c'est qu'ensuite il est très difficile pour nous de les placer, puisque la seule condition pour en détenir c'est d'être «capacitaire».», raconte le responsable de la clinique. La capacité est délivrée par la D.D.P.P à des personnes qui ont suffisamment de compétences pour s'en occuper, comme le Dr Jouglar. Le vétérinaire tient à mettre en garde le public contre la mode qui consiste à acquérir de nouveaux animaux de compagnie toujours plus exotiques : «La détention de ces animaux requiert des connaissances précises, nécessaires à leur bien-être. La preuve c'est que les tortues se sont adaptées à la vie dans les eaux du Canal, sont en bien meilleure santé que celles qui vivent chez des particuliers».». Avis aux amoureux des animaux. Le chiffre : 27 tortues de Floride > vivent dans le bassin de l'école vétérinaire. Elles manquent d' espace mais elles y resteront en attendant de pouvoir leur trouver une place chez des particuliers détenteurs d'une capacité, ou dans un zoo ou un parc naturel duquel elles ne pourront d'échapper. Source
  5. Cette fin d'été est plus douce que la moyenne. Ce qui est très favorable aux araignées l'est un peu moins pour les arachnophobes. Des experts britanniques préviennent que les bestioles à 8 pattes risquent d'être cette année plus grosses que la moyenne. Le temps doux des dernières semaines a favorisé le pullulement des petits insectes dont les araignées sont friandes. Si, pour l'instant, on ne les voit encore guère - car elles restent dans leurs toiles puisque la période de reproduction n'est pas terminée- elles risquent de trouver refuge à l'intérieur des maisons dès l'apparition des premières froidures. Et mauvaise nouvelle pour ceux qui habitent en ville, elles se sentent particulièrement bien en milieu urbain et y sont en moyenne plus grandes et plus grosses comme le stipule le magazine Plos One. Même si les araignées seront plus "grasses" cette année, il vaut tout de même mieux les laisser tranquilles dans leur coin puisqu'elles sont extrêmement bénéfiques à l'écosystème du jardin et de votre maison. Elles tuent de nombreux insectes nuisibles et évitent que ceux-ci soient trop nombreux. Par ailleurs les araignées préfèrent souvent la fuite et ne mordent que rarement. Chez beaucoup d'araignées, leurs chélicères( les crochets) n'ont tout simplement pas la force de traverser la peau de l'homme. Du coup ce qu'on prend pour une morsure d'araignée est souvent l'oeuvre d'une autre bestiole. Une morsure d'araignée se reconnait par la présence de 2 petits trous. Source
  6. INSOLITE – Un python royal s’était échappé du vivarium de son maître, près de Cholet, en Maine-et-Loire. Il a été retrouvé par les pompiers mardi. Un mètre de long, un diamètre qui doit avoisiner les 15 centimètres, des anneaux luisants… Ce python royal, qui prenait le soleil dans des broussailles près de Cholet (Maine-et-Loire) a dû en affoler plus d’un, mardi, avant d’être capturé par les pompiers. L’histoire est rapportée ce jeudi par le journal Presse-Océan. La bête a sans doute voulu s’offrir une petite escapade en pleine nature. Elle s’était en fait enfuie trois jours plus tôt du vivarium de son propriétaire, un habitant du Longeron, commune du Choletais. Après trois jours de recherche, le python a été maîtrisé à l’aide d’un crochet, sans opposer de résistance, avant d’être conduit au parc de Doué-le-Fontaine. "C'est plus fréquent qu'on ne le pense" "Avec le phénomène des nouveaux animaux de compagnie en ville et dans les campagnes, c’est plus fréquent qu’on ne le pense", indique à Presse-Océan le directeur du zoo. Lui voit arriver régulièrement des serpents, iguanes, tortues de Floride… Et pour ce nouvel arrivant, "les choses tombent plutôt bien", se réjouit le directeur : le zoo accueille déjà quatre congénères de la même espèce, originaire d’Afrique centrale. Le python va donc être en bonne compagnie, pendant les 30 jours de quarantaine médicale qu’il va devoir observer. De toute façon, le journal rassure : "Ce serpent n’est pas venimeux. Il se contente d’étouffer ses proies avant de les avaler." Voilà qui est beaucoup mieux ! Source
  7. Pro Natura a creusé une centaine de mares pour sauver les grenouilles et autres crapauds depuis l'an dernier et s'apprête à doubler ce chiffre d'ici fin 2015. Près de trente communes romandes ont répondu à l'appel tandis que l'action s'étendra désormais à toute la Suisse.Crédit: KEYSTONE Afin de sauver les grenouilles et autres crapauds, Pro Natura a construit une centaine de mares en Suisse. Une trentaine de communes romandes ont adhéré au projet. L'Opération devrait s'étendre à l'ensemble du territoire d'ici à la fin 2015. Pro Natura a creusé une centaine de mares pour sauver les grenouilles et autres crapauds depuis l'an dernier et s'apprête à doubler ce chiffre d'ici fin 2015. Près de trente communes romandes ont répondu à l'appel tandis que l'action s'étendra désormais à toute la Suisse. Jusqu'ici, elle a creusé 84 mares grâce au soutien concret du Centre de coordination pour la protection des amphibiens et des reptiles de Suisse (karch), a indiqué l'organisation dans un communiqué jeudi. Et une centaine d'autres sont en cours de planification. Mais avec sa campagne "Des gouilles pour les grenouilles", Pro Natura ne peut pas stopper à elle seule la régression des populations. L'association a donc cherché des communes en Suisse romande, prêtes à s'engager. Trente d'entre elles se sont annoncées, et onze étudient actuellement l'aménagement de plans d'eau. Cités d'eau L'organisation environnementale étend maintenant son appel au reste de la Suisse, dans le cadre de l'action "Cités d'eau". Les communes qui creusent des mares pour les espèces les plus menacées comme la rainette, le sonneur à ventre jaune, le crapaud accoucheur, le crapaud calamite, le triton crêté ou le triton lobé reçoivent une prime de 2000 francs ainsi que des conseils concrets. "Pro Natura espère que cette action attirera l'attention des associations locales de protection de la nature, des entreprises forestières, des commissions de protection de la nature, des bourgeoisies et des personnes privées et qu'elles motiveront les communes à participer", explique Philippe Steiner, de Pro Natura. Toujours moins d'amphibiens Les populations d'amphibiens régressent dramatiquement depuis des années en Suisse, poursuit Pro Natura. C'est surtout la perte de leurs habitats causée par les activités humaines comme l'agriculture intensive ou la construction de bâtiments et de routes qui est en cause. Les espèces les plus menacées sont celles qui se reproduisent dans des plans d'eau temporaires. En effet, ces eaux de frai ont été drainées pour être asséchées toute l'année afin de gagner des terres agricoles. Source
  8. Bien que tolérée auparavant, l'entomophagie est officiellement autorisée en Belgique depuis le 25 mai dernier, date d'entrée en vigueur de la circulaire correspondante de l'Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (AFSCA). Vendredi, des produits à base d'insectes seront introduits pour la première fois dans des supermarchés belges, a annoncé jeudi le groupe Delhaize dans un communiqué. En Europe, la politique relative à la consommation humaine d'insectes reste floue. Pour supprimer cette incertitude juridique et permettre aux entreprises belges qui se développent dans le domaine d'agir légalement, l'AFSCA avait annoncé fin 2013 l'autorisation de mise sur le marché d'une dizaine d'espèces. Désormais, les grillons domestiques, les criquets migrateurs africains, les vers de farine traditionnels et géants, les vers Buffalo, les chenilles de la fausse teigne, de la petite fausse teigne et du Bombyx, de même que les criquets pèlerins d'Amérique et les grillons à ailes courtes peuvent atterrir dans nos assiettes en toute légalité. "Pour autant que leurs producteurs respectent les règles générales de la législation alimentaire en vigueur, entre autres l'application de bonnes pratiques d'hygiène, la traçabilité et la notification obligatoire. Ils sont responsables des produits qu'ils mettent sur le marché", précise Yasmine Ghafir, porte-parole de l'AFSCA. De plus, la réglementation pourrait encore changer, prévient-elle. "L'Europe est en train d'étudier la question des 'novel food' dont font partie les insectes. Dès qu'elle se prononcera, la Belgique devra s'aligner sur sa décision." Depuis l'entrée en vigueur de la circulaire, le 25 mai dernier, cinq éleveurs se sont enregistrés auprès de l'Agence. La consommation humaine d'insectes présente de nombreux avantages. D'après le groupe Delhaize, ils "sont un formidable moyen d'évoluer vers une alimentation plus durable et constituent une excellente source alternative de protéines". En effet, la population mondiale devrait atteindre les 9 milliards d'individus à l'horizon 2050 et "si notre consommation reste la même qu'actuellement, la production de protéines devra être multipliée par deux pour répondre aux besoins nutritifs", avertit Frédéric Francis, responsable de l'unité d'entomologie de Gembloux Agro-Bio Tech (ULg). En termes d'espace, les insectes ont plus d'une corde à leur arc, "ce sont d'excellents recycleurs: élevés, ils peuvent se nourrir de pelures, de déchets de brasserie, des invendus des grands magasins... Ils émettent très peu de CO2 et se prêtent à des élevages verticaux, économes en espace", avance encore le professeur Francis. Leur "taux de conversion" est également attrayant, "avec 10 kilos de biomasse, on ne peut produire qu'un kilo de bœuf mais jusqu'à 9 kilos d'insectes", conclut-il. Déjà présents dans certaines épiceries bio ou spécialisées, les produits à base d'insectes feront leur entrée dans les grandes surfaces vendredi avec le lancement d'une nouvelle gamme Delhaize, "Green Bugs" à base de vers de farine. Dès le mois d'octobre, toutes les grandes surfaces de Belgique, à l'exception des magasins Colruyt, Aldi et Lidl, proposeront également des burgers à base de vers Buffalo du producteur limbourgeois Damhert. Source
  9. Ikrandraco avatar doit son nom au célèbre film de James Cameron. Deux fossiles incomplets ont permis d'identifier cette nouvelle espèce de ptérosaure qui volait dans le ciel chinois il y a 120 millions d'années. Ikrandraco, un reptile volant préhistorique baptisé en hommage à Avatar par Gentside Découverte Baptiser un nouveau fossile reste un moment fort dans la vie d’un paléontologue, mais certains chercheurs vont puiser leur inspiration dans des sources surprenantes. Deux spécimens de reptiles volants ont ainsi été nommés en hommage au film Avatar de James Cameron. Vieux de 120 millions d’années, Ikrandraco avatar a été décrit grâce à des fossiles mis au jour en Chine. Le ptérosaure volant tire son nom d’ikran, le nom donné aux reptiles volants du film Avatar, et du mot latin signifiant dragon. Ikrandraco avatar peuplait les cieux du Crétacé inférieur et les deux fossiles connus ont été retrouvés dans la province chinoise du Liaoning, frontalière avec la Corée du Nord, alors chaude et grouillante de vie. Selon l'étude parue dans Scientific Reports, la créature possédait une envergure de 2,5 mètres ainsi qu’une poche sous la gorge qui évoque celle des pélicans. Les chercheurs estiment que ce reptile se nourrissait de poissons d’eau douce dans des lacs grâce à une mâchoire, pleine de dents, avec laquelle Ikrandraco avatar ratissait la surface de l’eau. La position de la crête Contrairement à la plupart des ptérosaures, ce reptile volant n’avait pas de crête osseuse sur le haut du crâne. La protubérance se situe au contraire au niveau de sa mâchoire inférieure, un trait surprenant que possèdent aussi les créatures du film Avatar. C’est cet os qui permettait à leur poche de tenir en place. "La structure du crâne de ce ptérosaure est similaire à celles de l’ikran d’Avatar", explique à Reuters le paléontologue chinois Xiaolin Wang de l’institut de paléontologie des vertébrés et de paléoanthropologie de l’académie chinoise des sciences de Pékin. Mais "bien sûr, rien ni personne ne pouvait chevaucher ce ptérosaure". Les ptérosaures sont les premiers vertébrés volants de notre planète, seuls les insectes ont décollé plus tôt. Ces reptiles sont apparus il y a 220 millions d’années et ont pris leur envol bien avant les oiseaux et les chauves-souris. S’ils ne font pas partie de la famille des dinosaures, ils se sont par contre éteints avec ces derniers il y a 65 millions d’années suite à une catastrophe planétaire. Source
  10. Echappé de son vivarium samedi au Longeron, près de Cholet, le python royal a été capturé par les pompiers mardi matin et a été transporté au zoo de Doué-la-Fontaine. Le python royal d'un mètre de long s'est offert une petite virée de trois jours au Longeron. Echappé samedi de son vivarium après un coup de sang de son propriétaire, le reptile a été retrouvé mardi sur la pelouse de l'usine de la Saur au Longeron. Transféré au zoo de Doué-la-Fontaine, le serpent a été mis en quarantaine. Source
  11. Du nouveau dans les chaînes de mails racontant des histoires farfelues, relayées sur les réseaux sociaux. Selon le site about.com, qui débusque les hoax, le dernier faux en date sont des photos de pseudo-araignées géantes, créées génétiquement dans le plus grand secret par un laboratoire américain de l’Etat du Missouri. Des animaux, qui, désormais en liberté, se reproduiraient à vitesse grand V et menaceraient les périphéries des villes. Comme «preuves», sont publiées deux photos où apparaissent les animaux monstrueux, presque aussi gros qu’un chien. De quoi effrayer l’internaute crédule. Car à l’évidence, les photos posent problème: dans le Missouri, un Etat du centre des Etats-Unis, il n’y a pas de palmiers. Et les araignées n’ont pas six pattes, mais huit. Des crabes vivant dans les océans Indien et Pacifique Non, les photos ne représentent pas une nouvelle espèce d’araignée géante mutante. Il s’agit en réalité d’un autre animal qui vit très loin du Missouri: des crabes de cocotier, qui vivent dans les océans Indien et Pacifique, du Japon aux Vanuatu en passant par les Seychelles. Pour la petite histoire, le crabe de cocotier, qui peut casser des noix de coco grâce à ses pinces, est le plus grand arthropode terrestre. L’animal est menacé, et est répertorié sur la liste rouge mondiale des espèces en danger par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Source
  12. Très peu de personnes ont croisé sa route. La “demoiselle” iguane a quitté son domicile en mars dernier et, malgré une surveillance pointue des environs et des recherches menées régulièrement, elle n’a pas été retrouvée. Elle mesure environ un mètre, sa tête est bleutée et son corps arbore un dégradé de jaune, orange et vert. Une crête dorsale habille son corps. Son nom : Iguana Iguana. Certes, la population locale n’a pas coutume de côtoyer cette espèce et l’on ne saurait quelle attitude adopter en cas de rencontre fortuite. Et bien, cet animal n’est pas dangereux, et les températures baissant, “la bestiole” est plutôt passive en cette saison. Contrairement à sa sœur vivant à l’état sauvage, elle n’est pas effrayante, et l’on peut s’aventurer sans danger à la prendre afin de la ramener chez elle. Néanmoins deux précautions s’imposent : ne pas l’attraper par la queue qui risque de se briser, telle celle des lézards, et se munir d’une paire de gants de bricolage ou de jardinage et d’un vêtement à manches longues pour se protéger d’un éventuel pincement, pur réflexe de défense. Herbivore, ses “semblants” de dents aplaties ne lui servent qu’à broyer salades et autre verdure. Pour sa survie, son propriétaire espère son retour avant l’hiver. Si une personne parvient à la capturer, elle peut tout simplement la déposer dans son jardin, dernière maison à droite (volets rouge foncé) à la sortie du village, en direction d’Avot. Source
  13. Le lieutenant de vaisseau Guillaume Daessle est responsable de la section sauvetage, déblaiement et cynotechnie au bataillon de marins-pompiers de Marseille. Il parle de son équipe à 20 Minutes. Quelle est la spécificité de cette unité? Les hommes travaillent dans le cadre de la section opérationnelle spécialisée qui englobe le sauvetage de déblaiement, de tremblement de terre, comme on l’a vu récemment à Paris. On a une section cynotechnie intégrée qui est composée de huit marins-pompiers. C’est une unité très restreinte mais disponible 24h/24. Le cœur de métier est d’être maître-chien. On intervient en milieu urbain et périurbain. On peut donner des coups de main à la section Grimp du bataillon s’il faut chercher quelqu’un qui est perdu dans les Calanques, ou à la police. Quelle formation reçoivent ces hommes? Ils sont tous formés pour faire du péril animalier, lié à ce que l’on appelle les NAC, les nouveaux animaux de compagnie, légaux ou illégaux: serpents, tortues, grenouilles, mygales, iguanes... Pour ça, ils ont des formations spécifiques au zoo de la Barben avec un formateur dont le métier est de connaître les animaux, leurs spécificités, de savoir comment les approcher et les reconnaître. Ils s’entraînent chaque jour, ou avec leur chien, ou pour se familiariser à la reconnaissance des serpents par exemple, pour savoir les différencier. Nous disposons d’un terrain de décombres et d’un terrain où on dresse les animaux pour qu’ils nous obéissent au doigt et à l’œil. Quel est l'intérêt de travailler avec des chiens? L’animal a la particularité d’avoir un odorat beaucoup plus puissant que celui de l’homme. Il repère plus facilement l’odeur corporelle des personnes ce qui nous permet de trouver une personne par l’odeur qu’elle laisse derrière elle. Pour des recherches sous des décombres, le chien localise la personne. Cela permet aussi, si l’endroit ne s’y prête pas car il est dangereux, d’envoyer le chien avant d’envoyer les humains. Les maîtres-chiens amènent aussi les chiens chez eux, ce qui fait que le chien à l’approche d’une victime et notamment d’un enfant ne va pas être agressif car il évolue tout le temps avec des êtres humains. Combien faites-vous d'interventions à Marseille? On en fait 180 par an environ. Sur les dernières années, on augmente de 10 à 15 interventions chaque année. Il y a de plus en plus de gens qui ont de vivariums chez eux, des araignées et des serpents, des tortues aussi. On recherche souvent des chiens, où des couleuvres de Montpellier dans les espaces verts. L’année dernière, on a fait un cheval, chemin de Palama (13e). Il était tombé entre une benne et un ponton. Nos interventions se déroulent plutôt dans des endroits proches d’habitations, et dès qu’il y a une menace. Une fois que l’on a capturé un animal, on le donne à la SPA. Le serpent de Puget Depuis vendredi, une équipe de marins-pompiers recherche un cobra ou une couleuvre de Montpellier dans le parc de la colline Puget (6e). Les marins-pompiers disposent seulement de gants et de perches permettant de maintenir l’animal à distance tout en le capturant. En fin de semaine dernière, un promeneur dit avoir aperçu un cobra de deux mètres de long, photo à l’appui. Depuis, le parc a été fermé. Source
  14. Neuf personnes ont été tuées et onze autres grièvement blessées par des crocodiles dans cinq villages du secteur de Tanganyika, territoire de Fizi au Sud-Kivu, a indiqué à la presse lundi 15 septembre la société civile du village Mboko. Parmi les victimes, il y a quatre femmes et trois enfants. Cette information a été confirmée par le chef de secteur de Tanganyika et le médecin chef de zone de santé de Nundu, précisant que certains blessés sont pris en charge dans l’hôpital Nundu. Le cas le plus récent d’attaques des crocodiles remonte au lundi 15 septembre. Selon le président de la société civile de Mboko, une jeune fille d’une dizaine d’années s’est faite happer par un crocodile. Elle a eu la vie sauve grâce à l’intervention des militaires. Selon la même source, la victime est présentement soignée à l’hôpital de Nundu. Il y a une semaine, deux jeunes filles et un septuagénaire sont tombés dans la gueule d’un crocodile. Le corps d’une de jeunes filles reste introuvable, affirme la famille de la victime. Le chef de secteur de Tanganyika, John Mlondani, dit être saisi de la situation et avoir enregistré treize cas d’agression dont huit morts. Il affirme avoir transmis au gouvernement provincial un rapport sur ce sujet. John Mlondani demande ses administrés à ne pas se baigner dans le lac Tanganyika et les rivières, surtout le soir. Source
  15. Stressée et déprimée, une Thaïlandaise de 65 ans a plongé dans un bassin rempli de crocodiles. Une femme de 65 ans s'est tuée en se jetant dans un bassin rempli de crocodiles dans une ferme-zoo de la région de Bangkok en Thaïlande, révélait ce mardi la police locale. Le drame s'est produit le vendredi 13 septembre dans l'après-midi dans la ferme aux crocodiles de Samut Prakan, attraction dominicale familiale populaire, à moins d'une heure de Bangkok. "Sa soeur a dit que la victime souffrait de stress et de dépression ces derniers jours", a déclaré un responsable de la police, le colonel Preecha Iam-nui. Plusieurs centaines de crocodiles Le clou de cette ferme-zoo est un show de crocodiles où des dresseurs mettent leur bras ou leur tête dans la gueule des animaux, avant de les saisir dans leurs bras, lors d'un spectacle intitulé "Crocodile Wrestling Show". Le drame de vendredi s'est produit dans un grand bassin voisin, contenant plusieurs centaines de crocodiles, surmonté d'une promenade depuis laquelle les visiteurs peuvent nourrir les crocodiles de carcasses de poulets accrochées au bout de cannes à pêche. Le directeur du zoo, Charron Yongprapakorn, a assuré que ses employés avaient prévenu la police dès l'incident survenu. Les normes de sécurité non respectées "Nous avons fait notre possible en installant de hautes barrières, un système de télésurveillance et une patrouille de sécurité", a assuré le responsable à la télévision thaïlandaise. Pourtant, la promenade au-dessus du bassin n'est équipée que d'une palissade de bois d'environ un mètre de haut. Les normes de sécurité, dans les parcs animaliers comme sur les ferries, ne sont que rarement respectées en Thaïlande, où sont organisées des séances-photo pour les visiteurs avec des tigres ou des crocodiles. Source
  16. Depuis la disparition des Aztèques, on n'avait plus entendu parler de lui. Eh bien il semble que le quetzalcoatl soit réapparu à Marseille... Faux cobra ? Vraie couleuvre ? Ou bien énorme canular ? Ce serpent géant qui aurait été aperçu la semaine dernière au jardin Puget est en passe de devenir une légende urbaine. Après une première battue organisée vendredi, une nouvelle chasse au reptile a été ouverte hier au jardin Puget toujours fermé au public. Gantés pour se protéger des morsures de la bête, armés d'une longue pince métallique pour se saisir du monstre, et munis d'une cage en plastique, trois marins pompiers ont soulevé chaque feuille de chaque bosquet sur les 1,6 hectare du parc. À leurs côtés, les spécialistes des serpents tentaient d'orienter les recherches. La technique est rodée : en été, le bataillon intervient en moyenne une fois par semaine pour capturer des serpents. Avec une consigne claire : ne pas tuer l'animal. "S'il s'agit vraiment d'un cobra, il sera transporté au vivarium du zoo de La Barben. Si on a affaire à une couleuvre, elle sera relâchée dans les collines", expliquait Stéphane Anthouard, chargé par la SPA des captures animalières. Mais cette fois encore, les chasseurs sont rentrés bredouilles. "On a pensé lui tendre un piège avec de la nourriture, mais les serpents ne sortent pour chasser que quand ils ont faim. Et ils mettent dix jours à digérer", expliquait un marin pompier. "La pluie tombée dans la matinée n'arrange pas les choses : les serpents sortent quand il fait chaud", ajoutait le maire de secteur (UMP) Yves Moraine. Les idées fraîches après son "Ice bucket" du week-end (NDLR : défi en vogue sur Internet , consistant à se verser un seau d'eau glacée sur la tête après avoir fait un don à une association), l'élu a eu beau potasser son herpétologie (science des serpents), lui non plus n'a pas réussi à charmer le cobra. Par mesure de précaution, une nouvelle battue est prévue aujourd'hui, même si l'existence du reptile laisse perplexe. La photo qui aurait été prise vendredi ne convainc pas les experts. "Il pourrait s'agir d'une inoffensive couleuvre dite de Montpellier, qui présente la même posture d'attaque que le cobra. Et surtout, rien ne prouve que ce cliché, en noir et blanc, a bien été pris au jardin Puget. La photo peut tout aussi bien être extraite d'un livre", suppute à juste titre un marin pompier. Vendredi matin, l'homme qui a vu l'ours, ou plutôt le cobra a simplement donné cette mystérieuse photo au gardien. Depuis, comme son serpent, cet habitué du parc qui se prénommerait Pierre, a disparu dans la nature. Vrai boa, faux alligator... Après la célèbre affaire de la panthère des calanques qui mit Marseille en émoi l'été 2004, les marins pompiers ont en mémoire un autre animal fabuleux qui les a occupés il y a quelques années. Photo à l'appui, un... alligator leur avait été signalé au parc des Bruyères à Saint-Loup . Des battues avaient été organisées, mais après enquête, il s'avéra que le reptile était un animal empaillé, photographié par des farceurs. En janvier 2012 en revanche, c'est un boa en chair et en écaille de plus de 2 mètres qui fut découvert dans un TGV. Alertés par son propriétaire, les marins pompiers avaient démonté une partie des cloisons du wagon pour capturer la bête qui s'était cachée dans un conduit d'aération. Source
  17. Un élève de 14 ans est mort, dimanche 14 septembre 2014 suite à une piqûre de scorpion dans le gouvernorat de Kairouan. L’élève devait reprendre le chemin de l’école de base aujourd’hui dans la région de Saadlia, délégation Bouhajla. Il est décédé à l’hôpital Aghlabite et cela après avoir été transporté tardivement par sa famille. Selon shems fm, l’élève n’a pas pu être sauvé en l’absence de l’antidote nécessaire à l’hôpital. Source
  18. Des paléontologues ont découvert un squelette complet de Spinosaurus. Ce dinosaure, mélange entre le Tyrannosaurus rex et le crocodile, rodait sur notre Terre il y a 97 millions d'années. Le mois de septembre aura été fructueux pour les paléontologues. Après la découverte du Dreadnoughtus et du Rukwatitan, des spécialistes dévoilent leurs recherches sur l’un des plus grand prédateurs que la Terre ait porté, le Spinosaurus. Les caractéristiques du Spinosaurus Avec ses 15 mètres de long et ses 20 tonnes, le Spinosaurus, plus gros que le Tyrannosaurus rex, possédait une crête dorsale faite de longues épines osseuses effilées fixées sur ses vertèbres ainsi qu’un museau allongé similaire à celui des crocodiles. A l’instar de cet animal, le dinosaure géant passait probablement la moitié de son temps dans l’eau. Les paléontologues français ont d’ailleurs analysé que les ratios entre les différentes isotopes de l’oxygène étaient assez proches de ceux que l’on retrouve aujourd’hui chez la tortue. « De nombreux caractères morphologiques montrent une adaptation étonnante à la nage », détaille Nizar Ibrahim, paléontologue à l'université de Chicago et premier auteur de l'étude. « La queue, très flexible, pourrait avoir servi à se déplacer dans l'eau. Les narines sont assez hautes sur la tête pour éviter que l'eau n'y entre. Les pieds assez plats permettent à la fois de pagayer efficacement et de se déplacer sur un sol boueux. » Enfin, les os des pattes sont très lourds pour favoriser l'immersion. Une particularité anatomique que l'on retrouve aujourd'hui chez les hippopotames. Pas vraiment une première En réalité, le premier squelette de Spinosaurus a été découvert en Egypte en 1912 par le paléontologues Ernst Stromer. Cependant, ces recherches ont été entièrement bombardées par l’armée britannique lors de la Seconde Guerre mondiale. Ce nouveau squelette, déterré au Maroc, aurait plus de 97 millions d’années. Par Mathilde Bourge Source
  19. (Seychelles News Agency) - D’une forme plus ou moins ovale, composée de quatre îles coralliennes (Picard, Malabar, Grande Terre, et Polymnie) qui forment la ceinture de l'atoll d'Aldabra, entourés des eaux turquoise. L’atoll se situe à plus d'un millier de kilomètres à l'ouest de l'île principale de l'archipel des Seychelles, Mahé, le groupe Aldabra est très vaste, est difficile de s’y rendre, car il n’y a pas de liaison maritime ou aérienne. Bien que ces îles soient inhabitées, elles sont peuplées par des tortues géantes d’Aldabra - plus de 150 000 d’après le dernier recensement - une grande variété d'oiseaux, et des espèces exotiques ont pris refuge dans ces îles, y compris une petite population escargot bagué d'Aldabra, déclarée éteint en 2007, mais qui a refait surface le mois dernier. Classée au patrimoine mondial de l'UNESCO en 1982, Aldabra est l'un des plus grands atolls coralliens au monde. La réserve est gérée et protégée par la « Seychelles Islands Fondation » (SIF), créée en 1979. La SIF travaille actuellement sur le renouvellement du plan de gestion d’Aldabra dans le cadre du Fonds de l'environnement mondial (FEM) consacré aux zones protégées et de consolider le système des aires protégées aux Seychelles, et renforcer les mécanismes de leur viabilité financière. Selon un bulletin de la SIF, un expert en gestion de l'environnement l’Australien, Andrew Hill, a été nommé conseiller principal pour développer le nouveau plan qu'il espère développer à long terme pour Aldabra. Cela définira les valeurs de base du site tel que la tortue géante d'Aldabra où les récifs coralliens vierges, et d'analyser les menaces qui pèsent sur l'atoll, comme le braconnage, les événements météorologiques extrêmes, et le blanchissement des coraux. "Ce plan est d'une telle importance pour le bien-être d'Aldabra et la SIF, qu'il s'agit d'une exigence à la fois du gouvernement des Seychelles et de la Commission du patrimoine mondial de l'UNESCO pour que les aires protégées soient à jour," précise l'article. « Hill’s environmental management company, Range to Reef » a déjà dressé des plans de gestion pour les lieux sensibles tels que l'île isolée de Noël dans le pacifique sud et Ningaloo Reef, un site classé au patrimoine mondial de l'UNESCO qui est une aire marine protégée. La SIF entend que le plan de gestion d’Aldabra se déroule en trois phases; l'élaboration de documents d'orientation, une phase de visite du site et l'achèvement du plan, qui devrait être conclue d'ici à la fin de cette année. «Nous sommes maintenant dans la première phase du processus," peut-on lire dans le bulletin de la SIF. "Les documents d'orientation ont été rédigés, et plusieurs consultations fructueuses entre Andrew et la SIF ont orienté le plan de gestion sur la bonne voie." «Nous nous réjouissons de l'achèvement du nouveau plan de gestion pour guider et soutenir les efforts de la SIF pour s'assurer qu'Aldabra continue de recevoir le plus haut niveau de protection et de gestion." Source
  20. Manger des animaux vivants, c'est une coutume partagée aux quatre coins du monde. Si, vu de France, un oursin ça parait normal, quand il s'agit d'une pieuvre, d'un serpent ou d'une grenouille, c'est tout de suite autre chose. On vous laisse apprécier avec cette petite compilation non exhaustive. Source
  21. 200 des 800 habitants du village ont signé la pétition pour que la propriétaire s’en départisse Un climat de terreur règne à Sainte-Rose-de-Watford, dans la région de Chaudière-Appalaches, depuis qu’une femme s’est installée avec ses serpents et de nombreux autres reptiles. «Un serpent s’est échappé cet été. Là, on a tout le temps peur de tomber là-dessus», a confié Claude Jacques, un voisin de la dame qui s’est établie dans la petite municipalité il y a environ quatre ans avec ses protégés, dont un boa arc-en-ciel. En juillet dernier, un des reptiles a réussi à s’extirper de son terrarium avant de se retrouver dans la nature. Un autre voisin de la femme a eu la frousse de sa vie alors que le serpent s’est réfugié dans son garage. «Je faisais une sieste sur le divan dans mon garage. J’ai senti grouiller sur mon bras. J’ai ouvert les yeux et j’ai vu le serpent, la gueule ouverte, près de mon visage. J’ai pris un balai pour le pousser. Il l’a mordu et s’est enroulé autour. Je l’ai sorti dehors et tué avec une barre de fer», a relaté l’homme qui préfère garder l’anonymat par peur de représailles. La hantise du village Terrorisé, le couple a été incapable de dormir les jours suivant l’événement. «La police est venue. (…) Je suis allée voir la dame. Elle a tout nié. Elle disait que ce n’était pas à elle, alors qu’à travers la fenêtre, le soir, on voit qu’elle a plusieurs aquariums et plusieurs reptiles. Elle reste avec sa fille et sa petite-fille de six ans. Il pourrait lui arriver malheur», a-t-il déploré. Rapidement, tout Sainte-Rose-de-Watford s’est mis à craindre les serpents. Souhaitant ardemment que la dame s’en départisse, des citoyens ont lancé une pétition il y a deux mois. Près de 200 résidents y ont apposé leur nom, alors que le village ne compte que 800 habitants. Elle nie Rencontrée par Le Journal, Yvonne Lapointe, la propriétaire des reptiles, a refusé de commenter et a soutenu ne posséder que trois couleuvres. La dame a par contre affirmé qu’elle avait récem­ment mis ses serpents en vente sur le site internet Kijiji. Ladite annonce permet d’apprendre qu’elle possède d’imposants spécimens, comme un boa arc-en-ciel et un Taiwan Beauty. Elle a confié son intention de quitter le village. «De toute façon, plus personne ne veut nous voir ici. Je suis obligée de me débarrasser de tout ça», a mentionné la principale intéressée TAIWAN BEAUTY Taille : Entre 1,80 m et 2,44 m Régime alimentaire: Souris Longévité: De 12 à 20 ans BOA ARC-EN-CIEL BRÉSILIEN Taille: Entre 1,20 m et 1,50 m Régime alimentaire: Rongeurs, oiseaux, lézards; en captivité, se contente de rats et de souris Longévité: 20 ans Source
  22. Un cueilleur de la plantation bio de Marc Ballat a fait une étrange découverte mardi matin à Bombaye. En plein travail, il est tombé nez à nez avec un iguane de plus d’un mètre au sommet d’un poirier. Averti, l’inspecteur principal Graindor est rapidement intervenu. Une première en trois ans de service pour ce référent en matière de nouveaux animaux de compagnie. Après quelques heures de recherche, Frédéric Graindor a trouvé le fin fond de l’histoire. « Le reptile appartient à un particulier qui habite dans ce secteur », constate l’inspecteur principal et référent en matière de nouveaux animaux de compagnie. « Par maladresse, un enfant a ouvert la cage de l’iguane. Ce dernier est alors sorti de son enclos. Le lendemain, un cueilleur de la famille Ballat de Bombaye l’a retrouvé au sommet d’un poirier, soit à plus de deux mètres du sol. Surpris, il ne savait pas quoi faire. Je peux le comprendre. On ne s’attend jamais à se retrouver face à face avec un aussi grand lézard. Ainsi, j’ai été contacté vers 11h par un membre de cette famille ». Ni une ni deux, Frédéric Graindor s’est rendu sur le champ à Bombaye. « En arrivant, j’ai remarqué que c’était un iguane vert. Il ne s’agit pas d’un carnivore : il est herbivore et frugivore. De surcroît, il a besoin de luminosité pour être en forme. Sans oublier que c’est un animal grimpant. Voilà les raisons pour lesquelles il se trouvait au sommet d’un poirier ». Afin de lui porter secours, l’inspecteur principal, vêtu d’une longue veste et de gants anti-griffures, a placé le reptile dans une boîte transparente. Une opération délicate car l’animal se cramponnait à une branche. « C’était une bête impressionnante. Elle mesurait plus d’un mètre. Mais elle n’était pas agressive. En fait, cet iguane vert était quelque peu groggy. Il faut dire qu’il faisait nettement plus froid que dans son environnement habituel ». Frédéric Graindor est ensuite retourné dans son bureau afin d’en savoir plus sur ce grand lézard. « Nous avons retrouvé son propriétaire. Puis, nous avons vérifié s’il avait les autorisations nécessaires pour détenir un tel animal. Enfin, nous nous sommes assuré que le reptile n’était pas maltraité. Comme tout était en ordre, nous avons rapidement restitué l’animal à son maître ». Mais comment des reptiles sauriens débarquent-ils dans nos contrées ? « Il faut savoir que la législation s’est fortement assouplie à ce sujet. Maintenant, on peut détenir toutes sortes d’animaux exotiques. Qu’à cela ne tienne, voilà trois ans que je suis référent en matière de nouveaux animaux de compagnie et c’est la première fois que je suis appelé pour capturer un aussi grand lézard. Cela prouve que ce n’est pas fréquent de retrouver de telles bêtes dans notre région. Par contre, j’ai vu un reportage télévisé montrant que la situation est différente à Charleroi. On recense en effet davantage d’animaux exotiques dans cette ville ». Source
  23. Elle n'a rien d'une mygale, et pourtant cette araignée est à l'origine d'un véritable engouement sur internet depuis quelques jours. Découverte à Calais, cette arachnide aux longues pattes, sans être exceptionnelle, est pourtant parvenue à susciter l'intérêt chez de nombreuses personnes rarement témoins d'une telle apparition en ville. Des araignées géantes découvertes à Calais font le buzz par Gentside Jamais une araignée n'aura peut-être réussi à créer un tel buzz en si peu de temps. Depuis la semaine dernière, la ville de Calais est en effet en effervescence après la découverte d'une araignée de belle taille, venue se réfugier sur le mur d’une boutique du centre ville. Une araignée qui a rapidement fait le buzz Tout debute mardi 9 septembre, lorsqu'une cliente signale au gérant de cette boutique qu'une énorme araignée a trouvé refuge sur un mur de son établissement. En voyant la bestiole et surtout en découvrant la taille de celle-ci, le gérant ne sachant que faire, appelle alors les pompiers de la ville de Calais pour qu'ils puissent lui venir en aide. En arrivant sur les lieux, les hommes découvrent ainsi une araignée qu'il est peu commun de rencontrer en ville et qui possède des pattes longues de 10 centimètres. Appelée Tégénaire géante, cette araignée d'une envergure plutôt impressionnante, n'a pourtant rien d'une dangereuse mygale. Même si sa taille impressionnante permet parfois de confondre les deux espèces. Inoffensive pour l'Homme, la tégénaire géante possède un abdomen pileux et des pattes qui peuvent atteindre les 13 cm de long chez certaines femelles. Des milliers d'internautes se passionnent pour l'araignée de Calais Révélée par le quotidien La Voix Du Nord, cette histoire d'araignée aurait pu rester presque confidentielle si des milliers d'internautes de toute la France ne s'étaient pas tout à coup enflammés pour le sujet. Seulement 24 heures après la parution de cette information, La Voix Du Nord comptabilisait plus de 400 000 visites rien que sur la page de l'article, et plus de 80 000 likes sur sa page Facebook. Un record d'audience qui n'a pas manqué d'étonner Denis Tirmarche, bénévole à la Ligue Protectrice des Animaux de Calais qui assure que cette araignée est inoffensive "tant qu’on ne vient pas l’embêter". Ces impressionnants crochets noirs (chélicères) placés sur sa tête n'étant adaptés qu'à la capture de petites proies. Source
  24. EdA Des animaux de compagnie? Des chiens ou des chats? Mais d’aucuns ont des goûts plus exotiques et n’hésitent pas à rechercher des espèces surprenantes appelées «NAC». Romain Lejeune a ouvert en juin un magasin à la «marchandise» vraiment insolite: lézards, caméléons, geckos, iguanes, pythons, boas, grenouilles, tortues, mygales, scorpions. «Les animaux ici, élevés en captivité, n’ont aucun potentiel dangereux. Depuis mon enfance, je suis fasciné par ces bestioles qui rebutent pas mal de gens. Le fait de les replacer dans un biotope reproduit est passionnant. Elles exigent des soins particuliers. Mon rôle est d’en informer le client: température, humidité du terrarium, nourriture, détention légale, etc.» Vous trouverez aussi plantes vivantes, matériel spécifique. Un monde dans lequel il faut surmonter ses phobies mais si riche. Un petit détour vaut la peine. Reptiles Mag Rue du Centre, 60 à Ciney 0470 46 94 03 Source
  25. FAIT DIVERS – A la suite du signalement de la présence d’un serpent dans le parc de la colline Puget à Marseille, les grilles ont été fermés jusqu’à nouvel ordre. Après la fausse panthère du parc des Calanques, le vrai serpent de la colline Puget ? Depuis vendredi, le parc situé le long du boulevard de la Corderie est fermé au public. Non pas pour entretenir les belles pelouses surplombant la ville mais pour éviter tous risques de tomber sur un serpent. Une mésaventure qu'aurait vécu par un riverain dans les allées. Aussitôt, les services de la ville ont été prévenus. Vendredi après-midi, une équipe cynotechnique du bataillon des marins-pompiers a fait une recherche. En vain. Rebelote lundi, une nouvelle "battue" a été organisée pour effectuer "une levée de doute". Un canular ? "Nous cherchons dans les trous, sous les feuilles où il pourrait se cacher", indique le bataillon. Un exercice délicat d'autant qu'aucune trace du reptile n'a été pour le moment visualisée. Pas de peaux mortes, ni de sillons laissés sur la terre. Pour le moment, les marins-pompiers n’écartent aucune hypothèse. "Qu’il s’agisse d’un cobra, d’une couleuvre de Montpellier, espèce plus courante sous nos latitudes, à la méthode de défense semblable au cobra mais non venimeuse, ou bien d’un canular, les équipes restent vigilantes et mettent tout en œuvre pour tenter de trouver le spécimen aperçu quelques jours plus tôt", précise le bataillon dans un communiqué. Source
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