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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Plus d'une dizaine de répliques de mes adultes maintenant. Encore des oeufs de pondus et encore des têtards qui se promènent. Voici des nouvelles photos.
  2. Bon à la demande de Johanne, voici des nouvelles photos de la petite bête qui a grandi Malheureusement, je dois le faire descendre au sol pour des photos sinon trop de risque d'évasions.
  3. Est-il bien sérieux d’avoir un serpent chez soi ? Animaux. Cela fait maintenant une dizaine d’années que les « nouveaux animaux de compagnie » ont fait leur apparition. De nombreuses personnes en possèdent, créant une problématique nouvelle, notamment pour les pompiers. Ils sont là ! Peut-être pas dans notre quotidien, mais dans celui de quelques – et ils sont nombreux – amoureux des serpents, lézards, furets, perroquets et autres tortues. « Je n’aime pas trop parler de NAC, remarque Jessica, vendeuse à l’animalerie de Villaverde, à Bourg-en-Bresse. Les hommes n’ont aucun lien affectif avec ces animaux. Je préfère parler d’animaux originaux. » Jérémy Brevet, qui habite à Ceyzériat, baigne depuis tout petit dans le monde des animaux et a entamé, depuis un an une « collection » de « NAC ». « J’ai un python de dix mois et quatre élaphes, une sorte de couleuvres », explique-t-il, en plus de perroquets et de tortues. Auparavant, il avait eu une centaine d’oiseaux et environ 150 poissons. Il faut dire que chacun peut se procurer ces animaux facilement : « Un particulier peut acheter tout ce qu’on vend sans autorisation, sauf pour les serpents de plus de trois mètres où il faut un capacitaire (lire par ailleurs) » explique Jessica. La venue dans notre pays de ces petits êtres a engendré de nouvelles problématiques, notamment pour les pompiers qui ont dû s’adapter. « L’unité animalière du Sdis de l’Ain a été créée il y a trois ans, se souvient l’adjudant-chef Denis Verne, qui appartient à cette unité. Aujourd’hui, trente-sept pompiers en sont membres dans le département, et l’objectif est d’arriver à soixante-dix. » Seize nouveaux « animaliers » sont ainsi formés lors d’un stage chaque année, où ils apprennent à appréhender, attraper voire soigner les animaux. Depuis le début de l’année, 15 interventions ont déjà eu lieu, de la vache dans la fosse à purin jusqu’au cygne coincé dans un étang de glace en passant par la chouette prise dans un chéneau. Mais également, évidemment, les serpents. « Ici, ce sont surtout des vipères ou des couleuvres sauvages, mais avec les NAC, on a de plus en plus de boas. Pour celui d’avant-hier, on a utilisé une caméra pour le repérer mais comme il a fallu agrandir le trou, il a eu peur et on l’a perdu », souligne Denis Vergne. « Il est déjà arrivé que mes serpents s’échappent, mais je les ai toujours rattrapés, lance Jérémy Brevet. Mais c’est logique car, pour les nourrir, il faut les sortir de leur terrarium car ils sont agressifs s’ils mangent à l’intérieur. » L’unité animalière des pompiers possède donc, pour attraper ces bêtes, tout un matériel de professionnel – filets, cages, bras-mousse, fusils hypodermiques, décharges électriques, etc. – ou presque professionnel : « On a créé un crochet pour attraper les serpents à partir d’un club de golf et d’une aiguille à tricoter ! » sourit l’adjudant-chef. Et comme selon Jessica, « la tendance des ventes de NAC est à la hausse », il ne va sûrement pas s’arrêter de dégainer son crochet de sitôt. Source
  4. Brad Pitt : son charme fonctionne aussi sur les serpents ! Brad Pitt a hérité du surnom de « Charmeur de Serpent ». Brad Pitt, le beau gosse d'Hollywood tourne actuellement son nouveau film Twelve Years a Slave, aux côtés de Michael Fassbender et Paul Giamatti. Le tournage se déroule en Louisiane, juste à côté d'un marécage occupé par des serpents. La plupart des comédiens sont terrifiés par la bête rampante, mais Brad Pitt s'en amuse beaucoup. « Les collègues de Brad, qui sont tous pétrifiés par les reptiles, lui ont donné le surnom « Charmeur de Serpent » parce qu'il a capturé trois serpents d'eau », a déclaré une source au National Enquirer. Bien qu'il ne fasse pas de mal aux créatures, Brad Pitt aime jouer avec eux. Il s'amuse à les agiter sous le nez des autres acteurs pour les pousser à bout. « Brad a appris à attraper les serpents avec un bâton et un sac en toile de jute pendant les mois qu'il a passé la Nouvelle Orléans pour aider à la reconstruction des maisons détruites par l'ouragan Katrina - c'est à ce moment qu'il s'est retrouvé face à face avec des dizaines de reptiles », ajoute la source. Source
  5. Linguère : des attaques d’un serpent hantent les habitants de Barkédji Les populations de la communauté rurale de Barkédji, dans le département de Linguère (nord) vivent sous la psychose des attaques d’un serpent qui aurait déjà tué plusieurs animaux, a constaté un correspondant de l’APS. Le reptile, qui présente les caractéristique du boa, aurait été chassé de son abri, un trou d’arbre, par un incendie qui l’aurait contraint à trouver refuge dans une maison inhabitée et située prés des concessions du village, d’après les témoignages recueillis sur place. Les sapeurs pompiers, déjà alertés par les populations, ne se seraient pas encore rendus sur les lieux, faute d’équipement adéquat leur permettant de chercher et de maîtriser le reptile, dont les attaques répétées ont déjà tué une chèvre, un mouton et d’autres bêtes, ont confié les habitants à l’APS. source
  6. Détention de serpents : ce que dit la loi Détention de serpents : ce que dit la loi « La réglementation est un peu la même que pour les chiens », explique Emmanuel Dupuis, directeur de cabinet du préfet. Si le serpent n’est pas classé dangereux, sa détention ne nécessite ni autorisation ni identification à trois conditions. Si le propriétaire peut justifier de son achat dans une animalerie. S’il possède moins de trois spécimens. S’il s’agit d’une détention à but non lucratif. La détention de venimeux est soumise à certification dès le premier specimen. « Ce sont un peu les pit-bulls de l’espèce. Le boa en serait le caniche ! » compare Emmanuel Dupuis. En règle « Le propriétaire du boa évadé l’a acquis dans les règles et l’élevait dans des conditions satisfaisantes » estime la préfecture. http://www.leprogres.fr/ain/2012/08/04/detention-de-serpents-ce-que-dit-la-loisource
  7. Un monde de petites bêtes Gentille couleuvre vipérine Drôles d'insectes et d'arachnides A Gournier (entre Saint-Remèze et le Garn), à l'heure où les campeurs ont à peine émergé d'une nuit de sommeil réparatrice, le ballet des circaètes Jean-le-Blanc (rapaces), a déjà commencé au-dessus des gorges de l'Ardèche, au cœur de la réserve naturelle. Ils sont en quête de couleuvres de Montpellier et seps striés (reptiles), pour le déjeuner. Olivier Peyronel, spécialiste des reptiles et insectes du Syndicat de gestion des Gorges de l'Ardèche, nous emmène sur les dunes en lisière de la forêt. C'est là, sur ces plaquages sableux, vestiges de la crue de 1890, que se cachent une faune et une flore exceptionnelles et protégées. Olivier connaît ces habitants par leur petit nom. Inventaire. Source
  8. Exposition : quand les araignées tissent leurs toiles à l'Hôtel-Dieu L'exposition phare de cette année 2012 a débuté fin juillet. En vedette, un ravissant spécimen de mygale a trouvé dansle vieux bâtiment ponot un terrarium à sa mesure. Cette mygale d'Amérique du Sud est bichonnée depuis quatorze ans par Christine Rollard, une spécialiste mondiale des araignées. On ignore son âge réel, mais on suppose qu'elle a entre quinze et vingt ans. La petite bête a fait sa mue il y a quelques semaines. Elle, est assez paisible, sa morsure n'est pas dangereuse pour l'homme, mais on ne peut pas la caresser car elle est quelque peu urticante. Assez facile à nourrir, elle peut rester une quinzaine de jours sans manger et se contente souvent de grignoter quelques grillons. En partenariat avec le Muséum national d'Histoire naturelle, l'Espace des Sciences de Rennes et le musée Henri-Lecoq de Clermont-Ferrand, cette exposition, très rare en France, sera présentée pendant près de six mois. Elle se propose de faire découvrir un monde fascinant et méconnu, celui des araignées. Une exposition où l'on pourra sympathiser avec ces adorables bestioles et tout savoir sur leur univers surprenant. Au travers de supports interactifs variés et parfois inattendus, de reproductions aux dimensions décuplées, le public pourra faire plus amplement connaissance avec ces petits bêtes familières qui sont souvent craintes et détestées, bien que généralement inoffensives. Conçus comme une découverte progressive de l'animal, les parcours qui sont proposés explorent les différents aspects de la vie de l'araignée, sans omettre la part d'imaginaire et les raisons, réelles ou mythiques, de la peur qu'inspire ce si redoutable et si ingénieux prédateur. L'exposition a naturellement un aspect scientifique et l'on peut découvrir les travaux de recherche du Muséum et d'autres études en cours sur les outils étonnants dont l'araignée est dotée, en particulier ses fils de soie et son venin. Ainsi on découvrira par exemple les liens entre la bestiole et un gilet pare-balles, ou encore… le Viagra ! Plusieurs spécimens d'araignées, vivantes ou naturalisées, peuvent être observés dans les salles de l'Hôtel-Dieu. L'exposition Au fil des araignées sera visible à l'Hôtel-Dieu jusqu'au 6 janvier 2013. Durant l'été, l'exposition est ouverte tous les jours de 10 heures à 18 h 30. Source
  9. Le crapaud calamite est la nouvelle star de la route de Prévessin, fermée aux voitures Ce batracien jusqu'alors absent de cette partie du canton a traversé la frontière pour rejoindre les marais de Mategnin. Depuis avril 2011, la route de Prévessin, entre la frontière franco-suisse et le village de Mategnin, est fermée au trafic automobile. Le tronçon sur lequel circulaient en moyenne 6000 véhicules par jour entre les deux pays ne laisse désormais plus passer que piétons, cyclistes, petites bêtes et grosses bêtes. Une nouvelle espèce de batracien dans le canton La revitalisation de tout le secteur semble avoir porté ses fruits puisqu'un nouveau venu vient d'être recensé: le crapaud calamite! «Les modifications du marais ont attiré cette espèce présente en France voisine mais absente dans cette partie du canton. Quelques crapauds ont pris le risque de traverser la frontière» explique Alain Demierre, directeur du bureau d'étude Gren. «Mais il s'agit d'une population faible et fragile, on ne peut que croiser les doigts pour qu'ils se reproduisent!» Plus de danger sur la route! L'objectif premier du projet porté par Pro Natura Genève était de créer un corridor biologique entre les deux marais des Crêts et des Fontaines. Rappelons que ces derniers sont classés site d'importance nationale pour la reproduction des batraciens. Les fameuses petites grenouilles en ont-elles profité pour se multiplier? «Elles pondent par grappes, en général dans des gouilles, entre février et avril. Cette année, la ponte a été nettement plus importante» précise Alain Demierre. «D'autant qu'elles ne se font plus écraser en traversant la route, on a pu le remarquer cet hiver, saison à laquelle a lieu la migration de ces espèces.» Une halte prisée des oiseaux migrateurs Mais les batraciens ne sont pas les seuls bénéficiaires de la disparition des voitures sur ce tronçon de frontière. «La route de Prévessin s'inscrit dans un cadre plus large de revitalisation du secteur et l'impact biologique est nettement positif» explique Sébastien Miazza, de Pro Natura Genève. «Des plantes rares, de type carex, ont fait leur apparition sur le site. Des oiseaux migrateurs que l'on n'avait plus vu depuis les années 80 ont choisi Mategnin pour faire une halte cette année, comme le petit-gravelot ou encore la sarcelle d'hiver. C'est un signe révélateur.» Source
  10. Un reptile marin de 180 millions d'années découvert en France CHARNAY, Rhône (Reuters) - Une équipe de paléontologues français, anglais et estoniens a découvert pour la première fois en France le fossile d'un reptile marin de 180 millions d'années, en parfait état de conservation, dans une carrière de calcaire du Beaujolais. Cette découverte est le résultat d'une fouille organisée chaque année dans cette carrière exploitée par le cimentier Lafarge et située à une trentaine de kilomètres de Lyon, au milieu d'une ancienne exploitation viticole. "C'est une découverte exceptionnelle", estime Jérémy Martin, paléontologue qui dirige les fouilles. "On trouvait généralement beaucoup de mollusques, des nautiles, des bélemnites, mais c'est la première fois qu'on trouve un ichthyosaure entier en France". D'autres spécimens d'ichthyosaure ont été mis au jour en Allemagne en en Angleterre. "Mais ils sont généralement aplatis, écrasés", explique Guillaume Suau, sédimentologue qui participe aux fouilles. "Celui-ci est exceptionnel car en trois dimensions". Les chercheurs ont également découvert les "parties molles" de l'animal: système digestif, estomac, viscères, nageoire, ainsi que son enveloppe corporelle qui va permettre pour la première fois de lui donner une forme. "Il ressemblait un peu à un dauphin", résume Jérémy Martin. Cette découverte va permettre de le comparer à ses congénères exhumés en Allemagne et en Grande-Bretagne et d'étudier les différences entre la faune des différentes régions de l'océan Téthys qui recouvrait alors l'Europe, ne laissant apparaître que quelques archipels. "Il s'agit aussi d'étudier le contexte climatique de l'époque, de voir comment les animaux se sont adaptés au réchauffement climatique rapide qui a sévi à l'époque du Toarcien", poursuit le sédimentologue. L'ichtyosaure, qui mesure trois mètres de long, est enroulé sur lui-même. Il est aujourd'hui prisonnier d'un "nodule", sphère minérale d'une demi-tonne qui a assuré sa parfaite conservation pendant 180 millions d'années. Ce nodule a pu être détaché de la carrière avec l'aide du cimentier. "L'animal doit maintenant être extrait de ce nodule", explique le paléontologue. "C'est un travail très compliqué et technique, il faudrait bien encore une année de travail". Une fois cette délicate mise à nu opérée, les chercheurs pourront poursuivre leurs investigations. Le public devrait profiter de cette découverte scientifique. Le futur musée des Confluences, à Lyon, qui finance la campagne de fouilles, devient en effet propriétaire de l'ichthyosaure, qui pourrait être exposé à l'ouverture du musée, au printemps 2014. Catherine Lagrange, édité par Gérard Bon Source
  11. La preuve que je dors toujours tout croche!
  12. Tsé quand on est un tégu en captivité, on devient de vrais gloutons. On pense qu'à manger. On voit notre propriétaire arriver et on pense aussitôt qu'on va avoir de la nourriture. Quand il me met de la nourriture, je dois m'empresser de tout manger puisque de toute façon, je vais récupérer les restes des autres. On finit par trop manger. Une fois qu'on a le ventre plein, ce n'est pas facile. C'est difficile de marcher alors on reste en place, couché n'importe comment. Petit à petit, les paupières deviennent très lourdes mais on veut rester à l'affût tout d'un coup que d'autres nourritures nous seraient donné. Un moment donné, on perd la carte complètement et on dort malgré nous. C'est alors qu'on se retrouve à dormir comme un bébé la tête en bas.
  13. Depuis des années, j'ai une fascination pour ce petit serpent insectivore. Je suis entré dans une animalerie avec ma copine et des amies la semaine dernière et je suis tombé sur cette merveille. En le voyant, j'ai dis je le veux. Ça m'a quand même fait rire que la fille me réponde moi je ne touche pas à ça c'est beaucoup trop agressif. J'ai donc dut me servir moi même. Il n'était pas agressif mais agité. Ça été du sport de le mettre dans sa boîte de transport et non de l'attraper
  14. Julie, Kim et Johanne (fuck les nicknames) attendent les photos avec impatience. Ok, j'avais dis une journée mais ça fait un peu plus d'une semaine. J'ai fais l'acquisition d'un bébé gargouille pour un prix plus que très modique. Ceux qui disait que je n'avais pas payer cher mon dernier à 55$ bien celui ci était même moins cher que ça Et niveau coloration, il est dans ma palette celui ci
  15. Les petites se portent bien. Je recherche un terrarium un peu plus grand pour eux puisque j'aimerais bien agrandir la colonie.
  16. Il y a un certain moment, j'avais commandé une mygale étant sensé être de cette espèce. Finalement, c'était une Brachypelma boehmei que j'avais reçu. Ça ne changeait pas grand chose pour moi mais j'étais resté dans l'idée qu'un jour j'aurais une emilia quand même. Maintenant, je sors avec une fille du nom d'Émilia mais ce n'était pas suffisant pour moi. J'ai une amie qui m'a texté pour me dire j'ai trouvé deux Brachypelma emilia, je devrais les prendre? Elle les a donc acheté, une pour elle et l'autre pour moi que je lui rembourserais bien sur. C'est alors que j'ai dis à ma copine que je l'aime tellement qu'il me fallait une deuxième Émilia!
  17. Ma grosse fille se porte à merveille. Je reste impressionné par son tempérament calme. C'est la douceur réincarné pour un tégu.
  18. Maintenant, on est ami et elle se laisse manipuler. Par contre, il serait temps que je lui coupe les griffes parce que ma peau s'en plaint
  19. Petit update photo puisque j'adore la photo que j'ai prise de lui
  20. Je viens de m'apercevoir que je ne l'avais jamais montré. C'est un mâle que j'ai acquis de geckolive en allant au salon des reptiles de Montréal. Il n'était pas prévue mais bon. Je voulais un mâle point alors je ne regardais pas vraiment la couleur. Aujourd'hui, ma copine est en amour littéralement avec lui à cause de son caractère exemplaire. Lors de sa dernière visite à la maison, ma copine s'était acheté un nouvel appareil-photo donc j'en ai profité pour prendre quelques photos pour l'essayer. Voici la bête en question.
  21. Des promeneurs assistent à un combat de serpents Des promeneurs ont eu une drôle de surprise au cours d'une randonnée dans les environs de Tonnac. En effet, ils ont rencontré sur leur chemin deux serpents qui se battaient. Au même moment, un peu plus loin dans le sous-bois, un chevreuil «aboyait», certainement effrayé par la scène qui était en train de se produire. Impressionnés par ce spectacle, les marcheurs se sont arrêtés à distance respectable, sécurité oblige. Tel un véritable combat de coqs, les deux reptiles livraient une lutte sans merci. Ils ont fini par s'exterminer mutuellement en cessant de faire de grands bonds, parfois «de plus d'1 mètre selon les témoins» et de siffler. QUELS SERPENTS ? Les promeneurs n'ont pas hésité à prendre des photos avant d'identifier les deux victimes : l'une serait une vipère (vivipare) et l'autre une couleuvre (ovipare). La vipère, énorme, était pleine. Pour mieux comprendre le phénomène, les randonneurs ont entrepris de disséquer le serpent. À l'intérieur, se trouvaient dix petites vipères et des œufs. La couleuvre, elle, mesurait plus d'un mètre. Pour Jean-Luc Raynaud, herpétologue habitant Vabre, ce phénomène est plutôt rare. «Je ne pense pas qu'il s'agissait d'une couleuvre et d'une vipère. Ce sont deux reptiles qui vivent dans des biotopes différents. Il arrive que les vipères se battent entre elles, les couleuvres aussi soit parce que c'est le mâle contre la femelle ou pour des questions de territoires» explique le spécialiste qui n'a pas vu le cliché pris par les marcheurs et admet «que tout peut arriver». En cette période estivale de forte chaleur il est recommandé aux promeneurs de se munir de baskets et faire attention à leurs orteils aux abords des fossés. Les couleuvres seraient particulièrement agressives en cette saison. Quant aux vipères, elles sont encore plus dangereuses. Source
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