Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Max|mum-leterrarium

Membres
  • Compteur de contenus

    12 143
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Des tortues risquent de freiner un projet controversé La désignation par le ministère des Richesses naturelles de l'Ontario d'un milieu humide « d'importance » dans l'ouest d'Ottawa risque de retarder un projet domiciliaire déjà controversé en raison de la coupe à blanc d'une forêt dite « ancienne », selon un groupe d'opposants. Une étude de la Ville d'Ottawa - et entérinée par la province - dit que le marais Kizell, à la source de l'étang Beaver, est l'habitat d'une espèce menacée : la tortue mouchetée. Les lois provinciales en matière de protection des milieux humides interdisent d'utiliser l'habitat d'une espèce menacée comme aire de drainage pour un projet résidentiel. Or, c'est exactement ce que propose le promoteur KNL, dont le projet de 3200 maisons dans le secteur Kanata a reçu toutes les approbations requises au niveau municipal. « Si la Ville respecte les lois provinciales en matière de protection de l'environnement, elle doit dire à KNL de tout stopper sur-le-champ », estime Paul Renaud, porte-parole de la coalition pour la protection des hautes terres de South March. Source
  2. Bonjour tout le monde, Je voulais juste partager une tranche de vie. Ceux qui me connaissent depuis un moment, vous savez que j'aime faire grandir et partager ma passion avec tous. Je fais des expositions, je fais des présentations dans les écoles, je partage sur ce forum et sur facebook (Oui mes contacts facebook chiale parce que je transmets mes liens de nouvelles là-dessus également). Maintenant, à force d'en parler au travail, j'avais aussi un terrarium dans mon bureau, j'ai eu une proposition. Des employés sont tombés sur le forum et ils ont été impressionnés. J'ai été content de savoir ça. Ils m'ont alors proposé d'écrire des articles (que je vais vous partager ici) sur ma passion et de les publier dans le journal du travail qui est lu par les employé dont on compte près de 600 succursales. J'ai juste de la difficulté à trouver un nom pour ma chronique bihebdomadaire. J'ai pensé la chronique sang froid. Qu'en pensez-vous? Avez-vous des suggestions? Bonne journée
  3. Cinq espèces tropicales remarquables Les zones forestières couvrent actuellement 6% de la surface terrestre et offrent un habitat naturel à un nombre astronomique de végétaux et d’animaux. Gorilles, orangs-outans, tigres et autres panthères sont quelques-unes des espèces emblématiques ayant élu domicile dans les jungles ou les forêts mais beaucoup d’autres y vivent également. Petite sélection des individus les plus étranges qui peuplent les forêts tropicales. La grenouille de verre (Centrolenidae) On peut facilement distinguer les organes de cette grenouille à travers sa peau extrêmement fine et presque translucide (au niveau de l’abdomen et parfois du dos). Une spécificité qui permet surtout à l’amphibien de se confondre dans la nature et dans les feuilles et ainsi d’échapper à la vigilance de ses prédateurs. Insuffisant toutefois pour que les effectifs de ce « mini-batracien » – il mesure entre 1,4 et 3 centimètres – repartent à la hausse. Aux dernières nouvelles, il ne subsisterait enfin plus que 164 espèces de grenouilles dans les forêts tropicales d’Amérique Centrale et du Sud, dont 60 sont considérées comme menacées. Beaucoup trop pour rester les bras croisés. Le dauphin rose (Inia geoffrensis) Cousin du Tursiops australis, la dernière espèce de dauphins découverte, ce mammifère est nommé ainsi en raison de sa peau rosée, dont la coloration peut varier d’une couleur pâle à un ton flashy selon la clarté de l’eau. Contrairement à ses congénères, le dauphin du fleuve Amazone navigue en eaux douces. Sa morphologie est également différente dans la mesure où il possède une bosse à la place de la nageoire dorsale et peut tourner la tête latéralement. Tout en étant l’un des cétacés les plus intelligents, il est aussi la cible privilégiée des pêcheurs brésiliens et figure dans la liste rouge de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN). Pas sûr qu’il en soit retiré de sitôt… Gecko satanique à queue en feuille (Uroplatus phantasticus) Ce reptile ne vient pas des Enfers mais de Madagascar. Il doit son nom à une apparence que l’on pourrait qualifier de démoniaque. Si sa couleur et la texture de sa peau lui permettent néanmoins de se fondre dans le paysage, cette espèce rare et étrange n’en demeure pas moins victime de son succès. Les Uroplatus phantasticus sont en effet capturés puis vendus ou échangés comme animaux domestiques. Inadmissible, surtout quand on sait que cette espèce est particulièrement sensible aux changements, en particulier climatiques, lesquels modifient déjà son habitat naturel… L’araignée végétarienne (Kiplingi bagheera) Baptisée ainsi en l’honneur du Livre de la jungle de Rudyard Kipling, cette araignée paraît très différente des 40 000 autres espèces puisqu’elle serait végétarienne. Elle apprécie tout particulièrement les bourgeons d’acacias et grâce à sa vision très large parvient à éviter les colonies de fourmis, prêtes à tout pour défendre leur territoire. Découverte au Mexique et au Costa Rica, la Kiplingi Bagheera semble par ailleurs fonctionner différemment de ses congénères : la transition vers un régime herbivore aurait fortement influencé l’évolution biologique de l’espèce puisque des indices suggèrent que ce sont les mâles qui s’occupent des œufs et des petits. Le girl power chez les arachnides ? La chauve-souris blanche du Honduras (Ectophylla alba) Originaire du Honduras mais également présente au Nicaragua, au Panama et au Costa Rica, cette espèce de chauve-souris est particulièrement petite et ne dépasse que très rarement les 4,7 centimètres de longueur. Elle vit en colonie de six à dix individus composée d’un mâle et de plusieurs femelles. Outre son apparence, qui n’a rien à voir avec celle de ses « cousines », l’Ectophylla alba a aussi un autre mode de vie. Alors que la plupart des chauves-souris s’abritent dans les grottes, elle se loge en effet sous une feuille. Travaillée par les chauve-souris, les feuilles se replient littéralement sur elles et les protègent ainsi des regards des curieux. Plutôt ingénieux, non ? La nature regorge de surprises. Préservons-la si l’on veut continuer à observer de tels spécimens… Source
  4. Des oeufs de grenouilles pour booster la déprogrammation des cellules Transformer des cellules de peau de souris en cellules souches avec une efficacité réelle multipliée par plus de 100. Une équipe de recherche de l’Institut de génétique humaine de Montpellier du CNRS, à laquelle ont collaboré des chercheurs de l’INRA(1), vient d’y parvenir en couplant deux techniques : l’injection de quatre gènes bien spécifiques dans le noyau des cellules de peau de souris puis leur incubation dans un extrait d’œufs de grenouille Xénope(2). Ces résultats confirment l’intérêt des cellules souches issues de cellules différenciées pour réaliser des autogreffes et ouvrent des perspectives thérapeutiques intéressantes en termes de médecine régénératrice. Ils viennent d’être publiés dans les PNAS. En 2006, des chercheurs japonais ont fait une avancée spectaculaire : ils sont parvenus à déprogrammer des cellules différenciées de souris en cellules souches en injectant un cocktail de quatre gènes. Cependant, la production de ces cellules souches dites induites (iPS) reste peu efficace et leur déprogrammation loin d’être totale. »Comme pour un ordinateur, si l’on veut repartir à zéro, l’idéal est de désinstaller entièrement le système avant d’en installer un nouveau », explique Marcel Méchali, directeur de recherche à l’Institut de génétique humaine de Montpellier du CNRS et membre de l’Académie des sciences. Son équipe a réussi à multiplier l’obtention de ces cellules souches iPS par un facteur de plus de 100. Pour cela, Olivier Ganier chercheur au sein de cette équipe, a fait pénétrer dans des cellules de peau de souris le cocktail de quatre gènes mais aussi des extraits d’œufs de Xénope, une grenouille africaine bien connue des chercheurs. L’intérêt de ces œufs d’amphibiens réside dans la facilité à en obtenir de grandes quantités, au contraire des ovocytes de mammifères. Avec ces deux traitements, le noyau est doublement déprogrammé, même si ce n’est pas encore total. Autre avantage : l’extrait a permis de déprogrammer d’autres voies que, seul, le cocktail de gènes ne permet pas encore. Reste maintenant à identifier les composants présents dans les extraits d’œufs capables d’effacer l’identité des cellules différenciées. Les scientifiques ont également testé les propriétés de reprogrammation de ces cellules iPS »doublement déprogrammées ». Ils ont injecté dans des embryons de souris blanches des cellules iPS »doublement déprogrammées » provenant de souris noires. Des individus au pelage métissé ont été obtenus, prouvant que ces cellules iPS se sont différenciées en cellules de la peau. Ces chimères(3) ont par la suite donné naissance à des souriceaux entièrement blancs mais aussi entièrement noirs démontrant ainsi que certains noyaux des cellules iPS »doublement déprogrammées » se sont aussi différenciés en noyaux de cellules sexuelles. Ces travaux confirment les potentialités des cellules iPS dans le domaine de la médecine régénératrice. Capables de se redifférencier dans n’importe quelle voie tissulaire, les cellules iPS pourraient demain permettre le remplacement des cellules malades ou détruites par une greffe de cellules du patient et reconstruire ainsi un organe ou tissu lésé par une maladie ou un accident, sans problème de rejet. (1)Cette étude a été menée par des chercheurs de l’Institut de Génétique Humaine du CNRS, du laboratoire de biologie du développement et reproduction de l’INRA et l’Institut de génétique moléculaire de Montpellier (CNRS/Universités Montpellier 1 et 2). (2)Le Xénope est un des systèmes modèles les plus connus en biologie pour des études de développement embryonnaire et des études des mécanismes de duplication de l’ADN et du cycle cellulaire. (3)Chimère : organisme porteur de deux ou plusieurs génotypes différents. Contacts : Chercheur CNRS l Marcel Méchali l T. 04 34 35 99 17 l marcel.mechali@igh.cnrs.fr Source
  5. 12 nouvelles espèces de grenouilles nocturnes répertoriées en Inde Au terme d’une mission de seize ans, une équipe de chercheurs de l’université de Dehli en Inde a répertorié douze nouvelles espèces de grenouilles nocturnes Nyctibatrachus, un genre encore peu connu. Lorsqu’il s’agit d’explorer le monde des amphibiens, les biologistes de l’université de Dehli font les choses en grand. Une équipe de chercheurs, formée en 1994 et dirigée par Biju Das, a passé de nombreuses nuits à parcourir les forêts de la côte ouest de l'Inde. Leur mission : rechercher de nouvelles espèces de grenouilles nocturnes appartenant au genre Nyctibatrachus. Conclue en 2010, cette grande expédition a fait l’objet d’une étude publiée le 15 septembre dans la revue Zootaxa. Au total, 12 nouvelles espèces ont été répertoriées et toutes se sont avérées extrêmement rares, uniquement localisées dans des "petites poches de forêts protégées", a précisé Biju Das cité par le National Geographic. Au cours de leurs observations, les chercheurs ont néanmoins réussi à observer le mode de vie des batraciens et notamment leur mode de reproduction. Certaines des espèces identifiées ont ainsi montré un style "parental" bien particulier : c'est le cas de la grenouille nocturne découverte dans les chutes de Jog chez qui les deux parents, mâle et femelle, veillent sur les oeufs avant qu'ils éclosent. Par ailleurs, les chercheurs ont également retrouvé trois espèces d’amphibiens déclarées comme éteintes parmi lesquelles la grenouille Coorg décrite pour la première fois en 1920 et disparue depuis. Découvrez en images les grenouilles découvertes par Biju Das et son équipe de chercheurs : http://www.maxisciences.com/grenouille/inde-decouvrez-des-especes-d-amphibiens-nocturnes-extremement-rares-photos_art17072.html Source
  6. Les tortues caouannes du Pacifique nord en danger d'extinction Les tortues caouannes du Pacifique nord ont été classées dans la catégorie "en danger d'extinction" par les Etats-Unis, afin de relever leur niveau de protection. Celles de l'Atlantique restent en revanche considérées comme une "espèce menacée". Vendredi, les Etats-Unis ont annoncé avoir relevé le niveau de protection des tortues caouannes vivant dans le Pacifique nord, rapporte l'AFP. Du statut d'espèce menacée, ces tortues marines carnivores sont passées à la catégorie "en danger d'extinction", tandis que celles de l'Atlantique restent pour l'heure dans la première catégorie. Dans le Pacifique Nord, les populations de cette espèce ont diminué de 80%. Sans effort accru pour les protéger, elles risquent de disparaître dans les décennies à venir. Neuf populations de tortues caouannes, dont deux aux Etats-Unis, ont été recensées par le service fédéral de la pêche et de la vie sauvage (USFWS). "Dans cette décision finale, nous classons quatre espèces de tortues caouannes comme espèce menacée et cinq comme étant en danger d'extinction", explique le service avant d'annoncer son intention de proposer la désignation de deux zones protégées pour préserver ces populations de tortues. La décision de l'USFWS a été saluée par les associations environnementales, mais celles-ci déplorent que les tortues caouannes de l'Atlantique n'aient pas vu leur statut relevé comme elles le demandaient. "Bien que la décision fédérale annoncée vendredi donne un nouvel espoir pour les tortues caouannes du Pacifique nord, elle laisse une menace planer sur le sort de la population de ces tortues de l'Atlantique", regrette dans un communiqué cité par l'AFP l'organisme de protection de la faune marine Oceana. Source
  7. Un crocodile géant préhistorique, voisin du plus grand serpent du monde C’est dans une mine de charbon colombienne, là où des scientifiques avaient retrouvé la plus grande espèce connue de serpents qu’une nouvelle découverte vient d’être réalisée. Il s’agit d’un spécimen de crocodile préhistorique de six mètres de long. L’Acherontisuchus guajiraensis est un crocodile préhistorique vieux de 60 millions d’années qui présentait une taille conséquente de 6 mètres de long si l'on en croit le fossile qui a été découvert dans une ancienne mine de charbon en Colombie. Mais plus intéressant encore : d'après cette récente découverte, le spécimen aurait côtoyé le Titanoboa, le plus grand serpent connu à ce jour et toutes sortes d’autres reptiles dans des rivières semblables à l’Amazone, dans un milieu tropical aujourd’hui disparu et qui se situait certainement là où se trouve maintenant la mer des Caraïbes. Selon les chercheurs, le crocodile utilisait son museau pour capturer des poissons... les mêmes que ceux que le Titanoboa appréciait. Les deux géants devaient donc se livrer à des combats sans merci pour se nourrir, au risque que de jeunes crocodiles finissent dans l'estomac du serpent. En grandissant, les Acherontisuchus "devaient faire en sorte d'essayer d'attraper du poisson sans irriter le Titanoboa au point que, au lieu de s'attaquer au poisson, il opte finalement pour le crocodile", a confié Alex Hastings, principal auteur de l'université de Floride. De mystérieux survivants Les premiers fossiles de l'animal ont en fait été découverts en 1994 mais de nouvelles recherches ont permis de mettre au jour d'autres ossements, complétant le squelette d'un spécimen adulte. Grâce à celui-ci, les chercheurs ont pu découvrir que ce crocodile appartenait à la famille des dyrosaurus, sous-groupe de crocodyliformes qui comprend aussi bien les crocodiles à proprement parler que les alligators, les caïmans et les gavials, entre autres. Désormais, les scientifiques peuvent donc en apprendre davantage sur l’évolution des dyrosaurus, dont l’histoire n’est pas encore très claire, comme l’indique Christopher Brochu, un paléontologue de l’université de l’Iowa. En effet, si l’on sait que ces créatures vivaient en Amérique du Sud il y a environ 75 millions d’années, on sait également qu’elles font partie des rares groupes d’animaux à avoir survécu à l’extinction de masse qui tua tous les autre dinosaures il y a 65,5 millions d’années. Or, des facteurs environnementaux comme les changements climatiques auraient dû avoir raison des crocodyliformes également, indique Christopher Brochu. Pourtant, on a déjà retrouvé des fossiles de dyrosaurus datant de l’Eocène, une période qui s’étend d’il y a 56 à 49 millions d’années. "Parvenir à mieux comprendre la diversité et les relations entre ces animaux favorise notre capacité à utiliser ces fossiles pour explorer les changements environnementaux qui sont intervenus au cours du temps", précise ainsi le paléontologue américain. Source
  8. 12 espèces de grenouilles découvertes Il leur aura fallu des années de recherches au fin fond des forêts tropicales montagneuses d'Inde pour qu'enfin leur travail paie. Ces scientifiques indiens ont découvert 12 nouvelles espèces de grenouilles, ainsi que trois qu'on pensait disparues. Parmi ces nouvelles espèces, on retrouve une grenouille miaulante dont le croassement ressemble au miaulement du chat; une grenouille dont les mâles et les femelles veillent sur les oeufs conjointement (une exception!) et la grenouille Wayanad qui a la taille d'une balle de baseball. Parmi les espèces qu'on pensait disparues, la grenouille Coorg n'avait pas été vue depuis 91 ans. "Nous devons d'abord trouver les espèces, les connaître et les protéger, afin que nous puissions les étudier plus en profondeur" explique le chercheur principal de cette étude, Sathyabhama Das Biju, de l'Université de Delhi. Dans le monde, 32% des espèces connues d'amphibiens sont menacées d'extinction, principalement en raison de la perte de leur habitat ou de la pollution. "Les grenouilles sont des indicateurs extrêmement importants du changement climatique, mais aussi du niveau de pollution d'un environnement", a déclaré Biju. (7sur7Sydney/ca) Source
  9. Max|mum-leterrarium

    Stade 1

    Merci pour la réponse LD50
  10. Max|mum-leterrarium

    Stade 1

    Eh oui, je me questionnais sur le fait du stade 1 chez les scorpions. Je me demandais si on appelait stade 1 dès la naissance du scorpion ou si c'était après la première mue?
  11. Suite à l'expo que nous avons fait au festivent de Lévis, ma copine voulait avoir un barbu orangé. Il est quand même difficile de prévoir la coloration qu'il sera à l'âge adulte. Par contre, ce tout-petit commence déjà à prendre du orange malgré ses deux mois. Voici cette petite poubelle vivante (surnom donné à tout ce qui entre dans la bouche de ce type de lézard).
  12. Je me suis rendu compte que mon varan aimait bien les rayons du soleil. Les rayons du soleil frappe un peu son terrarium chaque jour et il les attend avec impatience pour en profiter pleinement!
  13. Aujourd'hui, je me suis gâté. Je me suis acheté des bébés Androctonus australis qui viennent à peine de descendre du dos de maman. Voici leur petites frimousses :
  14. Max|mum-leterrarium

    Ragdoll

    Eh oui, quand le monde me parle, ils font toujours le saut quand je dis que je n'ai pas que des amis à écailles à la maison. Au mois de juillet, nous avons vu une annonce sur le net de chats qui se cherchaient une belle famille pour les accueillir à la maison. Il s'agissait de deux belles chattes Ragdolls. Elles sont totalement magnifiques et adorables. Je vous les présente en photos. Voici le belle Nerfée : Maintenant voici la grosse Clarisse et ses 17 lbs d'amour!
  15. Eh oui, c'était journée nourriture pour tout le monde aujourd'hui. À ma grande surprise, je suis tombé sur un scorpion en pleine mue. C'est la première fois que je tombe sur un scorpion en mue. J'en ai profité pour prendre quelques photos question d'avoir des souvenirs de ce moment. Pourquoi vous montrer le résultat quant à y être!
  16. Nom scientifique : Eumeces schneideri Nom français : Scinque berber Nom anglais : Berber skink Origine : Nord-ouest de l'Afrique jusqu'au sud de la Russie Biotope : Semi-aride Température : 28 à 32°C Hygrométrie : 40 à 50% Moeurs : Terrestre à tendance fouisseur et diurne Taille adulte : Environ 30 cm Longévité : 7 à 12 ans, record de 20 ans Nourriture : Insectes de taille adaptés, végétaux Plusieurs affirment que les geckos léopards sont les lézards par excellence pour débuter, mais les scinques berber font parti de cette catégorie. Ils sont d'une résistance incroyable aux mauvaises conditions. Il vaut leur donner les meilleures conditions possible afin d'avoir un animal en santé. Ils sont terrestre à tendance fouisseur. Par contre, tous ceux que j'ai eu aimaient particulièrement grimper aux branches que je leur mettais dans leur terrarium.
  17. Maintenant rendu au bord de ses 17 ans, la pauvre petite bête a rendu l'âme!
  18. Kelly Brook serpent sexy pour PETA Kelly Brook a accepté de poser nue, le corps peint en peau de serpent, pour la nouvelle campagne de l'association de défense des animaux PETA. Cette fois, il n'est pas question de fourrure mais de peau. "Dans la peau de qui êtes-vous?" dit l'affiche, "les animaux appartiennent à la nature, pas à votre garde-robe. L'actrice de 31 ans souhaite ainsi attirer l'attention sur les traitements violents que subissent les serpents pour concevoir des chaussures. "J'ai la chair de poule quand je pense aux façons violentes dont sont élevés et tuées les serpents, lézards, alligators et autres créatures exotiques pour des bottes, des sacs et des ceintures", a déclaré à Kelly Brook à "The Drum". (7sur7) Source
  19. Souvent, c'est qu'ils se replacent les mâchoires en faisant ça
  20. Des biologistes attrapent un anaconda géant Des biologistes anglais ont pu attraper un énorme anaconda lors d’une expédition en Guyane. Il fait plus de 5.5 mètres et pèse une centaine de kilos. Niall McCann, un biologiste de 29 ans, s’est rendu en Guyane pour une expédition dans la jungle. C’est au bord de la rivière Rewa qu’il aperçoit l’énorme serpent."J'ai toujours rêvé de voir un anaconda" dit-il. "Je savais que notre travail dans cette région nous donnerait l'occasion d'en voir ". La capture ne fut pas de tout repos. "Le serpent essayait sans cesse de m’attraper" raconte-t-il fièrement. L’anaconda fait partie des plus grands serpents au monde et peut atteindre 9 mètres et plus de 250 kilos. Il étouffe sa proie pour mieux l’avaler d’une traite. Le temps de digestion dépend de la taille du "repas". Source
  21. Le python d'Essigny-Le-Petit est rentré au bercail ESSIGNY-LE-PETIT (Aisne). Finalement, il ne se trouvait pas bien loin ce python royal porté disparu depuis quelques jours à Essigny-le-Petit près de Saint-Quentin. Alors que l'animal avait quitté son terrarium pour partir en vadrouille, son propriétaire avait donné l'alerte déclenchant au passage une montée d'adrénaline dans le voisinage. Or, le reptile avait simplement ressenti le besoin de prendre l'air et d'aller visiter quelques lieux difficiles d'accès de la maison. Il est rentré au bercail mercredi en début d'après-midi, affamé mais en bonne santé. Source
  22. Le poti marara des pêcheurs de tortues définitivement confisqué Les douanes avaient le sourire, hier matin, devant les magistrats de la cour d’appel, les pêcheurs un peu moins. Les juges ont en effet confirmé les peines prononcées contre les braconniers en première instance. Mais ils ont surtout confirmé les dispositions complémentaires, qui prévoyaient la confiscation définitive, par la justice, des biens saisis lors de leur interpellation, à savoir le matériel de pêche et surtout le poti marara. De source proche du dossier, leur avocat, s’il avait bien fait appel de la condamnation par le tribunal correctionnel en première instance, aurait par contre oublié de faire appel de ces dispositions complémentaires. En novembre 2010, les gendarmes de Bora Bora avaient arrêté ces deux trafiquants de viande de tortue, un père et son fils, qui se livraient à un véritable commerce organisé. Ils stockaient des sacs pouvant contenir jusqu’à 5 kilos de viande, dans leur congélateur, et tenaient des livres de compte. Les enquêteurs ont ainsi pu établir que, sur les trois mois précédents leur interpellation, les deux hommes avaient réussi à écouler 700 kilos de viande de cette espèce menacée d’extinction et protégée. Les gendarmes avaient été alertés par la présence inhabituelle, à différents endroits de l’île, de carapaces et de restes de tortues. Source
  23. PLUSIEURS DIZAINES DE REPTILES « FONT » LA FOIRE JUSQU’À CE SOIR Les visiteurs charmés Après avoir travaillé pour des parcs animaliers, Jérôme Keyser a monté son entreprise d’élevage d’animaux non domestiques et prend plaisir à distiller ses connaissances sur les reptiles. Une femelle boa constrictor de six kilos en écharpe, Stéphanie affiche un large sourire devant ses amis. « Il y a une heure, j’en avais une phobie », livre cette visiteuse sur le stand de Jérôme Keyser. « Là, je commence à apprécier la compagnie des serpents ! ». Pari gagné pour le biologiste de formation, gérant de l’entreprise Reptile Zoo. « On veut montrer que les serpents ne sont pas forcément dangereux. Pour ça, on sélectionne des espèces qui ne sont pas venimeuses », fait valoir le jeune creusotin avant de vérifier que l’animal qui mesure quelque 2,30 m ne serre pas trop sa « cobaye ». « Nous habituons nos animaux à être manipulés, à voir du monde. Il n’y a aucun risque », explique le responsable qui a travaillé pour de grands parcs animaliers pour finalement se lancer à son compte. « Généralement, les gens sont très friands de détails sur la vie des reptiles. Je leur dit ce qu’ils mangent, le poids qu’ils font, etc. ». Titulaire notamment d’un certificat de capacité préfectoral, Jérôme Keyser a fait de sa passion un métier et continue de distiller ses connaissances relatives aux animaux exotiques. Dans ses terrariums chauffés à 28 °C, des pythons birmans, des pythons royaux, des couleuvres américaines, des boas arcs-en-ciel mais aussi des lézards asiatiques ou encore des dragons barbus semblent placides. S’ils ont donné quelques sueurs froides aux visiteurs — notamment lorsque leur propriétaire a arpenté les allées de la foire avec l’un de ses protégés autour du cou -, les reptiles n’ont eux aucunement l’intention de se perturber. Source
  24. Une nouvelle espèce de grenouille nommée en référence à la VUB Des biologistes qui avaient obtenu leur doctorat à la Vrije Universiteit Brussel (VUB) ont donné le nom de leur université à une nouvelle espèce de grenouille qu'ils ont découverte en Inde. Une section consacrée à l'herpétologie, l'études des amphibiens et des reptiles, sera par ailleurs créée cette année à la VUB. La nouvelle espèce porte le nom de 'Nyctibatrachus vrijeuni', ce qui signifie à peu près "grenouille de nuit de la VUB". L'amphibien mesure au maximum 4,5 centimètres de long. La femelle pond ses oeufs sur des rochers à proximité des rivières et le mâle se charge de leur surveillance jour et nuit. L'espèce se trouve uniquement dans une partie de la chaîne montagneuse des Ghâts occidentaux dans le sud de l'Inde, le long de la frontière entre les états de Tamil Nadu et Waynad. Belga Source
×
×
  • Créer...