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Un python est sorti de sa toilette Ramdat Punnassie a eu la peur de sa vie lorsqu'il est entré dans la salle de bain de son appartement de Toronto, mardi soir, et qu'il a aperçu un python se glisser hors de la toilette. «Je n'ai jamais vu un serpent semblable, a raconté le Guyanais d'origine. En Guyane, ils sont dans l'eau, et ça ne me dérange pas. Mais ils ne sont pas comme celui-ci.» Le serpent devait avoir un mètre de longueur et une circonférence d'environ vingt centimètres, a-t-il précisé. «Le serpent s'est enroulé sur lui-même», a expliqué M. Punnassie, qui habite dans un quartier du nord-ouest de la ville. «Ça peut vous sauter dessus et vous tuer. Je n'ai couru aucune chance. J'ai fermé la porte et j'ai appelé les policiers.» Dans un autre édifice à logements, non loin de celui de M. Punnassie, un citoyen a trouvé un serpent dans un mur de sa résidence, aussi mardi. Les deux reptiles ont été capturés et remis à des animaleries. En 2010, un locataire d'un appartement à Toronto a vu un serpent d'un mètre de longueur sortir du lavabo de sa salle de bain au moment où il se brossait les dents. Source

Dans une animalerie, il y avait une mygale à vendre sous le nom de mygale mexicaine à pattes rouges. Je n'ai pas trop porté attention mais ce nom est rattaché habituellement à la Brachypelma emilia. La mygale était réservé mais je commençais à me dire que depuis le temps, ils la remettraient peut-être à vendre. Ma copine y est allé cette semaine et a parlé avec le propriétaire qui a accepté de lui vendre à cause du délai prolongé de la personne qui l'avait réservé. Une fois chez moi, je l'ai observé pour me dire qu'ils auraient dut plutôt écrire mygale mexicaine à genoux rouges et non à pattes rouges puisqu'il s'agit d'une Brachypelma smithi. Elle est très calme. Je vous montre quelques photos qui sont prit le lendemain de son arrivé.

La biodiversité à notre porte 302 espèces pour la faune, 275 espèces pour la flore: c’est le bilan des 24 Heures de la Biodiversité organisées les 21 et 22 mai dernier, autour de l’étang Saint-Nicolas. 24 heures pour recenser le maximum de plantes et d’espèces animales, autour de l’étang Saint-Nicolas. C’est l’appel qui était lancé les 21 et 22 mai dernier, à l’occasion des 24 Heures de la Biodiversité, l’une des actions phares du plan local de la biodiversité élaboré par la ville d’Angers en 2010. L’appel a été entendu par 160 personnes, simples promeneurs ou naturalistes chevronnés représentant les associations locales. "Nous avions en effet besoin d’experts, de personnes capables de reconnaître une espèce de moustique par exemple, pour réaliser un inventaire précis, explique Benoît Mellier du muséum des sciences naturelles. Les particuliers pouvaient quant à eux profiter d’un programme de visites sur le thème des oiseaux, des amphibiens, des insectes…" 700 espèces de champignons Chacun selon sa disponibilité était invité à arpenter une zone d’étude de moins de 2 km2, englobant l’ouest de l’étang Saint-Nicolas, située sur le territoire d’Angers et d’Avrillé, un secteur limité au nord par l’autoroute A11 et au sud par le campus scientifique de l’université. "Une zone péri-urbaine intéressante d’un point de vue écologique, avec des habitats variés, propice à la découverte de nombreux animaux et plantes", ajoute Benoît Mellier. Bonne pioche en effet puisqu’à l’heure du bilan scientifique, l’étude comptabilise 302 espèces au niveau de la flore et 275 pour la faune: - 39 espèces de vertébrés, principalement des oiseaux - 231 espèces d’insectes, dont 130 espèces de papillons nocturnes - 5 espèces de groupes divers, cloportes, mollusques, araignées "La saison ne se prêtait pas à l’inventaire des champignons, mais on sait que 700 espèces différentes sont connues sur cette zone, poursuit le représentant du muséum. Ce qui porte l’ensemble à plus de 1200 espèces différentes tout confondu, sans compter la faune du sol, qui n’a pas été recensée, ni la faune et la flore aquatiques." C’est quoi la biodiversité ? Cette étude met en lumière l’importante biodiversité du territoire, même à petite échelle. "Elle permet aussi de mesurer les lacunes importantes qui subsistent dans la connaissance et l’étude de nombreux groupes, comme les algues, araignées, lichens ou mousses", reconnaît Benoît Mellier. Dans le prolongement de cette opération et pour poursuivre la mobilisation, un questionnaire est proposé aux Angevins sur le site internet du muséum. L’objectif: consulter les citoyens sur leur manière de considérer la biodiversité, et connaître les actions qui leur semblent prioritaires. Y répondre. Sans oublier l’exposition de photographies de Laurent Geslin, "Safari urbain", visible jusqu’au 31 décembre au muséum, 43 rue Jules-Guitton. Les partenaires des 24 Heures de la Biodiversité: université d’Angers, université catholique de l’ouest, Maison de l’environnement, réseau de botanique Tela-Botanica, conservatoire botanique national de Brest, muséum national, Naturalistes Angevins, Société d’études scientifiques de l’Anjou, Ligue de protection des oiseaux, Entomologistes d’Angers, Vigie-Nature MNHN et Gretia antenne Pays-de-la-Loire. Source

Conserver du sperme pendant cinq ans? Un cas rare d'un serpent qui a accouché après avoir été en captivité pendant cinq ans a conduit les généticiens à confirmer pour la première fois que les reptiles peuvent stocker le sperme pendant plusieurs années. Selon le magazine New Scientist, la femelle serpent à sonnettes faisait partie d’une collection privée en Floride et n’avait pas de contact avec d'autres serpents pendant ce temps. À la fin de l'année dernière, elle a donné naissance à 19 petits serpents. Afin d’étudier le phénomène, Warren Booth de l'université d’État de Caroline du Nord a prélevé des échantillons d'ADN de la mère et des bébés. D'autres reptiles sont capables d’emmagasiner du sperme pendant plus longtemps, selon le chercheur. Il est certain que les serpents ont des moyens non conventionnels de se reproduire, y compris le stockage du sperme à long terme, a expliqué William Holt, de l'Institut de zoologie de Londres, en Angleterre, précisant que même si jusqu'ici, on ne sait pas comment ils le font. Source

Biarritz : le musée de la Mer s'appuie sur ses réseaux Le musée coopère avec ses homologues français, mais aussi avec le Honduras, Saint-Domingue et la Guadeloupe. Une tortue verte est arrivée il y a quelques jours à l'aquarium musée de la Mer de Biarritz ! Elle provient de l'aquarium de la Rochelle. Protégée par la convention de Washington, elle a été recueillie le 2 février 1988 à Arès, en Gironde, où elle s'était échouée et a longtemps séjourné dans l'aquarium d'Arcachon devenu trop juste. « Cela faisait plusieurs années que nous avions entamé des démarches pour l'accueillir. Il fallait au préalable que le chantier d'agrandissement soit achevé et que nos installations soient classées au titre de la protection de l'environnement », explique Olivier Briard, le conservateur. Placée en quarantaine, la tortue verte (chelonia mydas) qui pèse aujourd'hui 25 kg et dont la carapace mesure 50 cm devrait rejoindre l'ancien aquarium des requins où elle évoluera en compagnie de raies et d'une tortue caouanne (caretta caretta). « Elle peut atteindre les 300 kg et 1,50 m de diamètre et vivre une centaine d'années si tout va bien », souligne Olivier Briard. Avec Saint-Domingue Ce transfert entre La Rochelle et Biarritz illustre le travail en réseau entre les grands aquariums français ou européens mais aussi l'encadrement très strict en matière de conservation et sauvegarde d'espèce protégées. Voilà pourquoi le musée de la Mer a noué ces dernières années plusieurs accords de coopération. Le dernier en date a été lancé il y a dix jours à peine lors du Foro de Biaritz en République dominicaine. « Nous avons jeté les bases d'une coopération avec l'aquarium national de Saint-Domingue », explique Françoise Pautrizel, directrice du musée. « Le but est d'avoir des espaces de prélèvement notamment pour les coraux. En échange, nous allons leur apprendre à élever et conserver les coraux. On prévoit aussi une aide technique pour améliorer leur système de filtration, la présentation, l'animation pédagogique. Des échanges d'étudiants sont également envisagés. » Le musée de la Mer a déjà noué depuis plus de dix ans des partenariats avec le Honduras et la Guadeloupe. « Le Honduras est un véritable paradis sous marin avec un patrimoine incroyable. Et ils ont un projet de se doter d'un aquarium à but pédagogique dans la capitale Tegucigalpa, pour lequel nous sommes consultés. » La Guadeloupe et Biarritz travaillent par ailleurs sur la conservation et l'élevage des coraux. Source

PerpignanTêt : une espèce de tortue rare découverte Dans le cadre d'une collaboration scientifique entre le Centre de formation et de recherche sur les environnements méditerranéens (CEFREM, CNRS-Université de Perpignan Via Domitia) et Veolia-eau, des chercheurs du CEFREM-UPVD ont découvert, sur le cours d'eau de la Têt, la présence d'une espèce de tortue en voie de disparition. Le CEFREM et Veolia-eau Perpignan ont établi, depuis avril 2011, un contrat de collaboration de recherche portant sur la réalisation d'une étude pluridisciplinaire consacrée à l'analyse, notamment en aval de la station d'épuration de Perpignan, de certains contaminants chimiques et de la biodiversité sur la Têt. Les premiers résultats viennent de révéler la présence inattendue d'une espèce de tortue endémique appelée Émyde lépreuse. Une population fonctionnelle d'une douzaine d'individus a été identifiée sur la partie basse du cours d'eau, entre Bompas et Villelongue-de-la-Salanque. Considérée comme "en danger de disparition" et inscrite sur la Liste rouge nationale de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN français) cette espèce n'est répertoriée que dans les pays du Maghreb, la péninsule ibérique et les P.-O. Son existence n'était avérée en France que sur les cours d'eau de La Baillaury, du Tech et en partie basse de l'Agly. Cette découverte pourra servir d'indicateur biologique de l'état de santé des eaux. Source

Voici quelques photos de ce qu'on pouvait observer. Je sais, il n'y en a pas beaucoup mais maintenant, je parle beaucoup plus qu'observer dans les expositions. J'ai même droit aux interrogations des gens à faire comment ça tu n'exposes pas... Le coup de coeur de ma copine :

De l’arachnide pour guérir le cancer du sein De l’arachnide (venin d’araignée) va être testé pour lutter contre les cellules cancéreuses et notamment pour guérir du cancer sein Le test sera établie par des chercheurs australiens qui cherchent une réponse à la guérison du cancer du sein. Du venin récoltés sur les toiles d’araignées et leur tentacules seront testés sur des molécules cancéreuses afin de trouver une réponse scientifique au combat de la maladie du cancer. Alors que certains tests scientifiques ont démontré que le venin de scorpion pourrait être susceptible de guérir des cellules cancéreuses sur des souris, les chercheurs souhaitent trouver un remède pour les cancers humains et plus particulièrement le cancer du sein qui touche un grand nombre de femmes. L’Institut pour la bioscience moléculaire de l’Université du Queensland souhaite que le « mélange complexe » contenu dans le venin d’araignée pourra caractérisé un traitement naturel du cancer du sein. Source

Neuf bébés pythons naissent en public au centre de Vevey Les cinq premiers reptiles sont sortis de leur coquille, dans la nuit de vendredi à samedi. Quatre sont encore attendus. Unique en son genre pour le grand public, cet heureux événement peut être vécu en direct à l’expo «Reptiles». Aucun danger, ces bouts de chou au sang froid ne sont pas venimeux. Ils font partie de la famille des plus petits serpents du monde. Adultes, ils ne dépassent pas 1,5 m. Et sont très faciles à entretenir. Les enfants les adorent et les adoptent volontiers à la maison, assure Karim Amri, responsable de l’exposition reptilienne, «la plus grande d’Europe», qui se tient depuis jeudi dans le bâtiment de l’ex-EPA au centre de Vevey. Les neuf petits sont des pythons regius, nom latin du python royal originaire d’Afrique centrale. Ils n’ont pas de nom. Seules les stars de la foire en ont un, comme «Tom et Jerry», le serpent à deux têtes. Karim Amri précise que les petits derniers ne sont pas à vendre. Ils rejoignent le cheptel de «Reptiles du monde», la société basée à Servion qui est responsable de la manifestation. Près de 400 autres animaux dévoilent leurs charmes à Vevey, jusqu’au 4 décembre. Le public peut découvrir entre autres des serpents venimeux, des tortues, des scorpions, des lézards, des mygales et des caïmans. Source

Québec Centre de Foires de Québec (ExpoCité), 250 boulevard Wilfrid-Hamel Samedi 22 octobre 2011 : 10 h à 21 h Dimanche 23 octobre 2011 : 10 h à 17 h PRIX D’ENTRÉE : Adultes : 12.00 $ Âge d’or et étudiants : 10.00 $ Enfants de 5 à 11 ans : 8.00 $ Enfants de moins de 5 ans : Gratuit AUCUN ANIMAL EN PROVENANCE DE L'EXTÉRIEUR N'EST ADMIS SUR LE SITE. En exclusivité à Québec : Une compétition canine comportant plus de 400 chiens et organisée par le « Mouvement Canin Québécois » permettra de voir quelques-uns des plus beaux chiens en Amérique compétitionner autant en obéissance qu’en conformation ! À ne pas manquer ! Il y aura aussi une exposition féline en conformation, avec plus de 100 chats sur place. Des milliers d'animaux (lapins, rongeurs, poissons, oiseaux) Enfin, vous pourrez assister à une compétition nationale d’agilité organisée à l’intérieur ! http://www.snac.ca/fr/quebec

Un millier de mygales en fraude Un Suisse se livrait à un trafic juteux... de mygales. Les douanes helvétiques ont stoppé ses agissements. Près de mille mygales! C'est le nombre d'araignées importées illégalement par un trafiquant suisse. Les douanes helvétiques ont mis fin à ses agissements en découvrant fin août un lot caché dans les bagages d'un passeur à l'aéroport de Zurich-Kloten. Les contrevenants risquent une forte amende. Les trafics du genre sont plus répandus qu'on ne le pense et très lucratifs, les mygales les plus rares pouvant atteindre une valeur de 15'000 francs. Lors d'un contrôle en août dernier, les douaniers ont découvert 261 mygales cachées dans six boîtes en carton et emballées séparément dans des sachets en plastique. Ces araignées protégées provenaient de République dominicaine. Toutes n'ont pas survécu aux conditions de transport: dix mygales mexicaines (brachypelma smithi), des spécimens aux couleurs noire et orange, étaient mortes, a précisé Nicole Spiess, cheffe de service adjointe aux douanes de Zurich. D'autres étaient en piteux état. L'enquête a montré que les araignées ont été achetées pour le compte d'un revendeur en Suisse. Une perquisition chez ce dernier a permis de découvrir 665 autres mygales et 72 scolopendres ou mille-pattes introduits illégalement en Suisse, acheminés par poste depuis l'Amérique centrale. Les mygales ont été saisies par l'Office vétérinaire fédéral et réparties dans différents vivariums en Suisse. Le passeur et son client seront poursuivis pour infraction à la loi sur les espèces protégées et à la loi sur la TVA. Ils encourent une amende, voire la prison. Bestioles plutôt timides D'apparence effrayante et souvent mises en scène dans les films, les mygales ont une réputation de dangerosité un peu usurpée et sont en réalité des bestioles plutôt timides. Elles ne mordent que si elles se sentent menacées. En général, leur morsure se traduit par une vive douleur, comparable à celle occasionnée par une piqûre de guêpe, mais l'issue n'est pas fatale. Des réactions de caractère allergique sont toutefois possibles. Cette affaire n'est que la pointe de l'iceberg. Les trafics d'animaux rien qu'en Suisse représentent des millions de francs, selon Sébastien Guerne, responsable du vivarium de La Chaux-de-Fonds. «Le trafic d'animaux est le troisième plus important après les armes et la drogue», explique-t-il. Le commerce de mygales, en tout cas, peut rapporter gros. Une mygale peut valoir entre cinq francs et 15'000 francs, selon l'espèce, estime Sébastien Guerne. On en trouve aux alentours de 50 euros sur Internet. Le commerce démantelé par les douanes zurichoises porte donc sur plusieurs dizaines de milliers de francs. Source

États-Unis - Animaux sauvages en fuite dans l'Ohio Des dizaines d'animaux sauvages dont certains sont dangereux - notamment des lions, des tigres, des guépards et des grizzlis - se sont échappés mardi d'une réserve privée dans l'Ohio dont le propriétaire se serait suicidé. Les forces de sécurité de l'État, qui ont reçu l'ordre de tirer à vue, tentent par tous les moyens de retrouver les bêtes encore en fuite. Depuis la découverte de l'évasion, mardi après-midi, les autorités ont recommandé aux habitants de la région de Zanesville, dans le centre de l'Ohio, de rester chez eux. Par précaution, les écoles ont été fermées. Selon plusieurs sources, 40 des 48 animaux qui se sont échappés de leur cage ont été tués par balle. Les bêtes toujours en liberté sont cependant parmi les plus dangereuses. Faute de seringues hypodermiques pour endormir les fugitifs et face à une situation qu'ils qualifient d'« explosive », les policiers n'ont eu d'autre choix que de « neutraliser ces animaux avant qu'ils n'agressent le voisinage », a déclaré le shérif du comté de Muskingum, Matt Lutz, qui n'a pas voulu prendre le « risque de voir ces bêtes en liberté ». « C'est une situation très dangereuse et nous prenons toutes les précautions possibles », a confirmé le vice-directeur du zoo voisin de Colombus, la capitale de l'État, dont les employés ont été recrutés pour prêter main-forte à la police. « Toutes ces bêtes sont carnivores. Nous parlons de lions, de tigres, d'ours : ils sont tous dangereux, surtout maintenant qu'ils ont quitté les cages dans lesquelles ils ont l'habitude d'être », a encore expliqué le vice-directeur, ajoutant que les animaux n'ont pas été nourris depuis lundi. Circonstances troublantes Le propriétaire de la réserve, Terry Thompson, a été retrouvé mort à proximité des cages de la cinquantaine de fauves et ours qui se sont échappés. Les cages étaient ouvertes à l'arrivée de la police du comté. « J'ai appris hier soir que Terry Thompson [...] avait ouvert les cages de ses animaux avant de se tirer une balle », a confié mercredi matin le maire de Zanesville, Howard Zwelling, à l'antenne de CNN. L'homme âgé de 62 ans avait été libéré de prison trois semaines auparavant, après avoir purgé une peine d'un an pour détention illégale d'armes. Selon une voisine interrogée par le journal Columbus Dispatch , la femme de Thompson l'aurait quitté peu de temps avant le drame. Des dizaines d'autres animaux, surtout des primates, vivaient dans des installations couvertes et sont toujours captifs. L'Ohio est l'un des États américains où la réglementation concernant les animaux sauvages est la moins restrictive des États-Unis. Radio-Canada.ca avec Associated Press et Reuters Source

Ile de Groix. une tortue luth sur la palangre Lundi après-midi, les sauveteurs côtiers du CSI de Lorient étaient en exercice au large de la pointe de Pen men (île de Groix). Ils ont repéré une tortue luth qui s'était noyée en s'emmêlant dans le bahot (palangre) d'un pêcheur. L'animal, d'un poids estimé à près de 300 kg, a été remorqué jusqu'à Port Tudy. Les services techniques de la commune ont placé l'animal dans un big bag pour le transporter par le bateau de la compagnie Océane vers le port de pêche de Lorient. L'aquarium de La Rochelle devait venir récupérer l'animal pour pratiquer une autopsie. (Photo DR) Source

c'est leur systeme digestif qui n'est pas comme le notre, disons, qu'il travaille différemment. Quand nous digerons, notre métabolisme produit de la chaleur, pas eux Avec un maximum de 200 mots par articles, il est difficile de tout décrire. J'ai été coupé, recoupé et rerecoupé pour donner celà.

Je vous mets mon premier article ici. Bonjour, Je suis heureux d'avoir la chance de pouvoir partager ma passion hors du commun avec vous tous. Il s'agit de celle des reptiles, des amphibiens, des insectes et des arachnides de ce monde. Cette fascination a commencé à mon plus jeune âge. Un jour, mon père m'a dit : ''chaque être vivant à une raison d'être sur terre. Prends le temps de les observer et tu verras.'' Depuis ce jour, ma curiosité m'a amené à observer les particularités uniques de ces bêtes si peu connues. Pour cette première chronique, dont le titre a un double sens, pourquoi ne pas vous expliquer ce qu'est un animal à sang froid? Ces petites bestioles, qui ont le don de faire glacer le sang de certaines personnes, n'ont pas le système qui les tient au chaud comme la majorité des êtes vivants. Elles sont donc obligées de trouver des sources de chaleur, ou de fraîcheur, afin de garder une température corporelle adéquate pour elles. Effectivement, elles vont aller sur une roche se dorer au soleil afin d'augmenter la température de leur corps, mais, si jamais celle-ci monte trop haut, elles iront volontiers se cacher dans un terrier pour se refroidir. Les animaux à sang froid sont donc un très bon exemple à suivre quand on dit qu'il faut être à l'écoute de notre corps. Article paru vendredi le 7 octobre 2011 dans le journal Le hibou.

Paris : une araignée venimeuse géante dans une salle médicalisée de la police Une araignée géante (très venimeuse) provenant de Guyane a été remarquée il y a quelques jours par un policier dans la salle médicalisée des gardés à vue d'un hôpital parisien qui doit être désinfectée, a annoncé la préfecture de police de Paris (PP). L'araignée était probablement dans les bagages d'une Guyanaise Le 7 octobre, relate la PP, dans la salle Cusco de l'hôpital de l'Hôtel-Dieu (IVème arrondissement), où sont placées les personnes en garde à vue nécessitant des soins, un policier a remarqué une araignée et l'a écrasée. Intrigué par la taille, il a effectué des recherches, a dit la PP, et déterminé la provenance de l'insecte, Brésil ou Guyane. Il est ensuite parvenu à déterminer qu'une habitante de la Guyane avait été accueillie ce jour là dans la salle Cusco et que ses bagages avaient été stockés à proximité d'où l'arachnide aurait pu s'extraire. Une désinfection totale demandée "Au terme de (la) croissance" de celui-ci, a affirmé la PP, "l'insecte aurait pu atteindre une trentaine de centimètres". Une "désinsectisation totale" des locaux concernés "a été demandée". Source

Un fossile de python vieux de 15 millions d'années découvert en Allemagne DÉCOUVERTE | Le fossile d’un python de 3,5 m, a été trouvé à proximité du petit village de Griesbeckerzell, à environ 80 km au nord-ouest de Munich. C'est la première fois qu’une trace de ce serpent est retrouvée dans une région située aussi au nord. Le fossile d’un python de 3,5 m, vieux d’environ 15 millions d’années, a été découvert dans le sud de l’Allemagne, démontrant pour la première fois une présence de ce serpent sous ses latitudes, a annoncé ce lundi l’université de Tübingen, à l’origine de la trouvaille. Le fossile, un groupe de sept vertèbres à partir duquel les scientifiques ont déduit la taille de l’animal, a été trouvé à proximité du petit village de Griesbeckerzell, à environ 80 km au nord-ouest de Munich par des chercheurs du centre de paléontologie de l’université de Tübingen (sud-ouest de l’Allemagne) et de l’université Masaryk de Brno (République tchèque). C’est la première fois qu’une trace de ce serpent, aujourd’hui plus habitué aux régions tropicales d’Afrique ou d’Asie, est retrouvée dans une région située aussi au nord. "On est parti du principe que les températures annuelles moyennes étaient à l’époque de 19 degrés, faute de quoi ces serpents ne se seraient pas senti bien", a expliqué le professeur Madeleine Böhme, responsable du groupe de travail de paléontologie terrestre au sein l’université allemande. "A cette époque d’optimum climatique, des températures comprises entre 25 et 28 degrés devaient être observées durant les mois d’été et devaient être de 13 degrés durant l’hiver alors que la température moyenne annuelle dans la région avoisine les 8 degrés de nos jours", a-t-elle souligné. "Avec la chute brutale des températures il y a 14 millions d’années, le destin de ce python (...) était scellé", a ajouté Mme Böhme. Source

Métatron : un laboratoire pour mesurer les effets du réchauffement climatique sur les espèces Le Métatron. Un nom religieux (NDLR : dans la culture judaïque, le Métatron est l’ange portant la voix de Dieu, qu’il est le seul à avoir pu voir) pour un laboratoire unique au monde basé dans la plaine de Caumont, à quelques kilomètres de Moulis (Ariège), qui s’étend sur quatre hectares et qui, vu de l’hélicoptère de Yann Arthus-Bertrand, ressemble à un vaste dédale… C’est dans cette zone rurale qu’a été implantée la seule structure au monde capable d’assurer la reproduction en milieu d’élevage du protée, une espèce d’amphibien qui a fait son apparition sur Terre il y a… 1,6 million d’années. Une structure qui n’a longtemps pas bénéficié du soutien qu’elle aurait mérité, est devenue station d’écologie expérimentale début 2007 et abrite depuis cet été quarante-huit enclos destinés à accueillir des « méta-populations » de vertébrés, d’insectes et de plantes. « Chaque cage est constituée d’une première partie pour le maintien en captivité des lézards, reptiles, amphibiens et d’une seconde pour celui d’insectes comme les papillons ou les araignées. Ce système reproduit pratiquement à l’égale la biodiversité et nous permet d’étudier le phénomène de dispersion, jusque là trop peu observé », décrypte Olivier Guillaume, chercheur au laboratoire de Moulis. À noter également que chaque cage a été conçue et aménagée par des artisans locaux et qu’un système de gestion informatisée autorise leur gestion au cas par cas. Directeur de recherche sur place interrogé par nos confrères de La Dépêche du Midi, Jean Clobert a conçu, porte et développe ce remarquable projet qui associe une quinzaine de scientifiques et « une centaine d’autres agrégés dans le monde ». Leur but ? Mieux connaître l’évolution des espèces et leur capacité de survie face au réchauffement climatique. C’est dire l’importance de ce laboratoire étant donné le nombre de celles qui sont actuellement menacées d’extinction, le rétrécissement probable d’une grande quantité d’animaux et la hausse perpétuelle du thermomètre mondial. « Il est urgent d’apporter des réponses aux gestions locales des écosystèmes et à l’aménagement du territoire » « La planète se réchauffe deux fois plus vite depuis trente ans. Cela devrait continuer de progresser de 1,5 à 4,5 degrés celsius dans les cinquante ans qui viennent », rappelle M. Clobert, pour qui « il est urgent d’apporter des réponses aux gestions locales des écosystèmes et à l’aménagement du territoire », en d’autres termes d’aiguiller la politique des espèces des décideurs. Le temps ne joue évidemment pas pour les experts mais M. Clobert reste optimiste, d’autant que « la recherche n’a pas de temps imparti pour donner des réponses à toutes les questions qu’elle se pose ». Ça n’empêche : les investigations devront rapidement porter leurs fruits, les stocks de lézards, pour ne citer que cet exemple-là, accusant déjà une diminution très préoccupante précisément à cause de l’augmentation des températures. Les travaux des troupes de M. Clobert ne sont pas sans rappeler ceux que conduisent actuellement deux cents scientifiques brésiliens en partenariat avec l’Institut national de recherche amazonienne (INPA). Baptisé « Adapta », leur projet consiste à fabriquer trois grandes salles qui doivent reproduire les conditions climatiques prédites par les climatologues dans la forêt amazonienne d’ici respectivement 25, 50 et 100 ans et servir à jauger la résistance des espèces ayant élu domicile dans le premier poumon d’oxygène de la planète. Il ne sera pas non plus de trop pour tenter de sauver ceux qui peuvent encore l’être. Source

Tu es du côté européen si je ne me trompe pas? Les produits sont parfois différents d'ici et à chez toi. Tu peux aller voir un pharmacien et lui expliquer le problème. Souvent, ils ont des listes de médicaments que tu peux utiliser sur des animaux.

Il y a présence de blessures? Sinon c'est probablement un problème dût à un parasite et il te faudra une pommade pour règler ça.

Nous sommes du Québec, il est difficile de t'aider sur ce point.

albinos est seulement l'absence de pigmentation noir. Chez les Pantherophis guttatus, il va rester la pigmentation rouge. L'animal sera donc orangé avec les yeux rouge. Dans ce cas-ci, l'absence de pigmentation rouge fait parti du serpent aussi. Il y a donc une double mutation génétique affectant la pigmentation noir et la pigmentation rouge, ce qu'on appelle un snow.

Aulnoye-Aymeries : un serpent retrouvé dans une pharmacie Était-il tombé en extase devant le caducée de l'enseigne pharmaceutique ? Hier peu avant ... 20 heures, un serpent multicolore d'une quarantaine de centimètres de long a été retrouvé dans une trousse d'outillage, dans la pharmacie de la rue Paul-Vaillant Couturier selon nos informations. Les sapeurs-pompiers aulnésiens se sont rendus sur les lieux, ont calmé la bête et l'ont emmenée avec les moyens du bord, en l'occurrence un bocal prêté par le pharmacien. Il pourrait s'agir d'un elaphe guttata, une variété de couleuvre américaine carnivore qui aime autant se nicher qu'escalader. Qui allait sans doute passer la nuit à la caserne. • Source

Serpents à risques domptés par les pompiers par Francesco Brienza - Les soldats du feu de la Riviera ont suivi un cours pour maîtriser les animaux de compagnie dangereux. Karim Amri en connaît un rayon sur les reptiles. Avec son pendentif en forme de crochet autour du cou, il parcourt l’Europe pour présenter «Reptiles du monde», la plus grande exposition du continent sur ces vertébrés. Mais ses activités ne s’arrêtent pas là. Le Centre Régional de Défense Incendie et Secours de la Riviera a profité de sa présence hier à Vevey pour suivre un stage de manipulation de serpents. Au programme, une heure de théorie et deux de pratique. Après un instant d’appréhension, les soldats du feu se sont jetés à l’eau. D’abord au crochet, puis au gant, ils se sont attaqués à quatre spécimens de serpents, le tout dans la bonne humeur. «C’est comme la fondue, s’esclaffe l’un d’eux. Tu passes dessous, et tu tournes!» Pendant les manipulations, Karim poursuit ses explications. «La clef, c’est d’identifier le serpent auquel on a affaire», dixit le spécialiste, qui confirme que les inscriptions à son cours explosent. Les pompiers de Villeneuve et de plusieurs casernes valaisannes ont déjà fait appel à lui. «J'ai appris plein de choses!» La source de ce phénomène est simple. «Toujours plus de particuliers s’offrent un serpent venimeux de compagnie, ajoute Karim. Souvent, ils ne sont pas déclarés. Les secours n’interviennent donc pas en cas de doute sur un spécimen en cavale». A la sortie, les huit apprentis herpétologistes n’ont pas vu le temps passer. «J’ai appris plein de choses, confie Pierre, 28 ans. Je suis tombé deux fois sur de petits serpents, et je me rend compte que j’ai fait pile ce qu’il ne fallait pas!», rigole-t-il à présent. «Sérieusement, je serai plus à l’aise le jour où je devrai en manipuler un.» Source

HISTOIRE D’UNE TORTUE D’EAU DOUCE : LA CISTUDE D’EUROPE Réintroduite dans la Réserve Naturelle Nationale du Bagnas CONFÉRENCE - DÉBAT À LA MAISON DES SAVOIRS D’AGDE MERCREDI 19 OCTOBRE 2011 de 18h30 à 20h30 De nombreux indices archéologiques et bibliographiques témoignent de la présence ancienne de la Tortue Cistude d’Europe dans la plupart des cours d’eau et marais languedociens, du littoral jusqu’à l’arrière pays. La régression marquée depuis plus d’un siècle de cette tortue a abouti à sa grande rareté et à une présence cantonnée à quelques foyers de populations dans les marais de Petite Camargue gardoise et de l’Etang de Mauguio. Ce constat alarmant a fait émerger l’idée d’un programme régional de réintroduction de l’espèce dans deux sites héraultais : les réserves naturelles nationales de l’Estagnol (Villeneuve-lès-Maguelone) et du Bagnas (Agde) qui présentent plusieurs atouts pour la faisabilité d’un tel projet. Ainsi en 2008, sur le Bagnas, 26 individus ont été mis en enclos d’acclimatation en conditions semi- naturelles puis relâchés dans la réserve. Un suivi scientifique a été effectué afin de connaître les conditions écologiques et la survie des tortues relâchées. Les résultats de ce suivi indiquaient déjà en 2009 des taux de survie et de fixation importants des cistudes réintroduites. Ces résultats, confirmés en 2010 et 2011, permettent d’affirmer le succès de ces phases du programme de réintroduction. Par ailleurs, des élevages de jeunes cistudes sont en cours dans des établissements d’élevage autorisés. Ces tortues devraient rejoindre le Bagnas en 2012 afin de renforcer le premier lot d’adultes réintroduits. Espèce protégée au niveau national et européen, la Cistude se porte donc bien au Bagnas, Réserve naturelle et Site du Conservatoire du Littoral. Elle est aussi présente en conditions naturelles dans les Verdisses et les marais du Clot. L’équipe de l’ADENA qui gère la réserve, ainsi que le Conservatoire d’espaces naturels du Languedoc Roussillon, qui coordonne ce programme de réintroduction régional, seront là pour vous faire découvrir, avec diaporamas et documents à l’appui, cette sympathique tortue et la petite histoire de sa réintroduction dans la réserve naturelle nationale du Bagnas. L’entrée de la conférence est gratuite. ADENA Réserve Naturelle Nationale du Bagnas Domaine du Grand Clavelet 34300 AGDE Tél : 04.67.01.60.23 adena.bagnas@free.fr CONSERVAROIRE d4ESPACES NATURELS Carré Montmorency 474 Allée Henri II de Montmorency 34000 Montpellier Tel : 04 67 02 21 28 cenlr@cenlr.org ADENA (14-10-11) Source