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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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Ground english walnut sheld
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Le terrarium
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Fréquence grenouille à Maroilles Le samedi 21 mai 2011 à partir de 20h Maroilles, Maison du Parc, L’opération nationale Fréquence Grenouille a débuté le 1er mars dernier. Chaque année durant 3 mois, elle sensibilise le plus grand nombre à la richesse des zones humides et leur nécessaire préservation. Le programme est riche de projections, visites guidées, expositions, conférences, ateliers... (programme complet sur www.conservatoire- sitesnpc.org). Le Parc naturel régional de l’Avesnois prend part à cette opération et organise une sortie nocturne à Maroilles, . Armé de bottes et de lampes de poche, le public est invité à découvrir la mare prairiale d’un agriculteur retraité qui a décidé de restaurer une mare pour lui rendre sa vocation première – abreuver le bétail – tout en préservant la qualité et la biodiversité de cet écosystème singulier. Découvrez comment cohabitent vaches, tritons crêtés, grenouilles vertes et autres insectes. Apprenez les secrets d’une mare en bonne santé. Pour tout renseignement Marc Grzemski Tél. 03 27 21 49 50 ou marc.grzemski@parc-naturel-avesnois.com Source
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Je crois que beaucoup de varans des savanes ont été vendu au dernier show de vente à Pointe-Claire puisque j'ai trois personnes qui m'écrivent depuis concernant mes expériences avec le mien. Je me suis dis aussi bien répondre ici puisqu'aujourd'hui deux d'entre eux m'ont demandé avec quoi je le nourrissais. Tout d'abord, c'est un excellent mangeur. Il ne refuse pas grand chose. Il est plus jeune insectivores mais devient plus carnivores en vieillissant. Je variais avec plusieurs sortes d'insectes lorsqu'il était plus petit. J'ai commencé è le nourrir différemment avec le temps. Maintenant sa diète est plus vers foie de poulet, coeur de poulet, poissons, fruits de mer, oeufs cuit dure et rongeurs. Je le nourrissais chaque jour avant puisqu'il avalait tout ce que je donnais mais la bête devenait obèse. J'ai donc diminué à le nourrir aux deux jours. J'espère avoir répondu à votre question.
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Le Haut‐Commissaire au chevet des tortues marines de Moorea
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Le Haut‐Commissaire au chevet des tortues marines de Moorea Le Haut‐Commissaire Richard Didier s’est rendu hier au chevet des tortues marines malades et blessées de la Clinique qui leur est spécialement dédié à Moorea depuis plus de 7 ans, installée dans l’enceinte de l’hôtel Intercontinental ressort and Spa et gérée par l ‘association te mana o te moana. Lors de cette visite officielle, le Haut‐Commissaire, en présence d’Eric Berthon, secrétaire général adjoint et administrateur des Australes, ainsi que de Pierre Mery, Délégué à la Recherche et à la Technologie, a pu assister à une présentation du bilan d’activité de l’association te mana o te moana, active depuis 2004 en matière de protection de l’environnement sur le fenua et présidée par Cécile Gaspar, docteur vétérinaire. Il a ensuite visité en présence de Laurent Darcy les nouveaux locaux construits par la société Pacific Beachcomber SC et qui comportent une salle éducative : le fare d’éducation à l’environnement, la salle de soins vétérinaires et le bureau de l’association. Il a ensuite pu découvrir les pensionnaires de la clinique et comparer les trois espèces présentes : tortues vertes – Chelonia mydas, tortues imbriquées‐Eretmochelys imbricata‐ et tortues olivâtres – Lepidochelys olivacea‐ (plus rarement observées sur le Territoire). Il a ensuite participé à la préparation de la tortue « Pearl » en vue de la relâcher au large de Moorea : pose de bagues métalliques sur les nageoires antérieures (136‐138), apposition d’un numéro d’identification sur la carapace (M72 : la 72ieme tortue relâchée) et prélèvement d’un échantillon de peau pour analyse génétique. Cette tortue imbriquée, de 58 cm de longueur de carapace pour 14 kilos, avait été trouvée le 10 mars dernier flottant autour des bungalows de l’hôtel Pearl Beach à Moorea, avec la flèche d’un fusil de chasse encore présente et perforant le cou de part et d’autre. Après deux mois de soins appropriés par l’équipe de te mana o te moana, elle était en parfaite condition hier pour être relâchée au large de Moorea avec l’accord de la Direction de l’Environnement. Richard Didier s’est vu remettre par Cécile Gaspar un certificat de relâche et un « passeport du Citoyen de l’Océan » . Si vous trouvez une tortue marine nécessitant des soins ou pour toutes observations de tortues en mer ou en ponte, l’association est joignable 24h sur 24 : Matthieu Petit : 715 344 , Cécile Gaspar : 70 60 66 ou sur les adresses mail matthieu.temana@gmail.com ou temanaotemoana@gmail.com Notre site : www.temanaotemoana.org Source -
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Rhône: Un serpent s'invite chez les pompes funèbres
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Rhône: Un serpent s'invite chez les pompes funèbres Il venait de l'étage du dessus. Un Elaphe rouge et blanc, un reptile non venimeux, a été découvert mardi dans un magasin de pompes funèbres de Craponne, dans le Rhône, rapporte Le Progrès. C'est en se rendant au service des archives de la boutique que la gérante a repéré le reptile. Une unité de pompiers spécialisée dans les animaux sauvages a dû intervenir et a pu remonter jusqu'au propriétaire du serpent... qui était le voisin du local. Source -
La dernière tortue de son espèce cherche l'amour
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
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RÉMIRE : Trois mois de prison pour le pilleur d'oeufs
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
RÉMIRE : Trois mois de prison pour le pilleur d'oeufs Un pêcheur avait été contrôlé par la police au rond-point des Maringouins à Cayenne avec 143 oeufs de tortue luth. Durant la nuit du 31 mars au 1er avril, vers 3 heures, les policiers contrôlent au rond-point des Maringouins, à Cayenne, un homme qui porte un gros sac sur le dos. Dans celui-ci, ils découvrent des oeufs de tortue luth, pas moins de 143. Agé de 64 ans, Juliano Maciel Filho, un ressortissant brésilien en situation régulière, déclare qu'il est pêcheur professionnel et qu'il tend régulièrement son filet au large de la plage du Rorota à Rémire-Montjoly. Cette nuit-là, il a vu une tortue luth venir pondre, aussi il a attendu qu'elle reparte pour prendre les oeufs de son nid. Il se justifie en affirmant qu'il n'avait pas mangé depuis deux jours et que c'était pour sa consommation personnelle, niant tout commerce. Il reconnaît savoir que ce braconnage est interdit, « comme au Brésil » , précise-t-il. Des affirmations qu'il n'est pas venu réitérer devant les juges vendredi. Bien que présent en tout début d'audience, il est absent lorsque son affaire est appelée. « Une priorité » pour le parquet A l'examen, le président de l'audience rend hommage à la police et au parquet pour « un dossier complet » sur la protection des tortues luth. Un « enlèvement d'oeufs d'animaux non domestiques protégés » qui constitue une atteinte grave à l'environnement, « qui est une priorité » pour le parquet. L'occasion d'évoquer l'action menée par les associations de protection de la nature, comme Kwata. Le procureur souligne également que pour de tels faits le prévenu encourt une peine d'un an de prison ferme et une amende de 15 000 euros. Prenant toutefois en compte l'absence d'antécédent, tout en regrettant l'absence du prévenu, le parquet requiert une peine de deux mois de prison ferme. Après délibérations, le tribunal prononce une peine de trois mois de prison ferme à l'encontre de Juliano Maciel Filho. Lors des faits, début avril, le commissaire Terry avait précisé que des patrouilles sur les plages avaient été mises en place pour dissuader les éventuels braconniers et il invitait les témoins de vols d'oeufs à prévenir la police. Source -
La dernière tortue de son espèce cherche l'amour Difficile de trouver l'amour lorsque vous êtes le seul membre connu de votre espèce... C'est le cas de Lonesome George, la dernière tortue géante des Galapagos. Depuis la découverte de George en 1971 - à une époque où son espèce était considérée comme éteinte, les scientifiques ont cherché à lui trouver une compagne. Ils l'ont mis en contact avec des femelles appartenant à des espèces similaires, mais George n'aurait tenté sa chance qu'une seule fois... Un peu limite pour sauver une espèce! "Nous avons tellement cherché... mais nous n'avons pas réussi à trouver une tortue de son espèce, que des squelettes", explique un soigneur. Et George, qui a presque 100 ans, n'a tout simplement pas montré beaucoup d'intérêt aux demoiselles placées dans son enclos. Le sentiment semblait partagé puisqu'aucune des demoiselles n'a approché le vieux mâle. Mais l'espoir fait vivre: "Il doit apprendre à les connaître" ajoute le soigneur. Pendant ce temps, George est devenu la star du coin: T-shirts et autres babioles à son effigie se vendent comme des petits pains et un repas local a même été nommé en son honneur! (ca) 11/05/11 16h20 Source
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Que veux tu dire par ce que tu as déjà vu en animalerie? Le crapaud d'Amérique vit dans des milieux terrestre et humides. Il ne vit pas fans l'eau mais il y va seulement pour se reproduire. C'est un excellent mangeur, il va avaler tout insectes et vers de terre qui peut entrer dans sa gueule. Ce sont des amphibiens, donc ils absorbent toute substances par la peau. Si le terrarium n'est pas propre donc polluer, l'animal va s'en ressentir. Ils ont des glandes à venin derrières la tête qu'ils secrètent lorsqu'ils ont stressé, ce qui amène l'importance de se laver les mains.
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Découverte d’une nouvelle espèce de lézard, aveugle et sans pattes
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Découverte d’une nouvelle espèce de lézard, aveugle et sans pattes Des zoologistes cambodgiens viennent de publier, dans la revue Zootaxa, la description d’une nouvelle espèce de lézard fouisseur qu’ils ont découverte dans leur pays. Il est dépourvu de pattes, mais ce n’est pas un serpent. Il n’a pas d’yeux, mais cela ne lui manque guère. Dibamus dalaiensis ("le lézard aveugle de la montagne Dalaî") est bien un lézard, dont les mœurs souterraines expliquent l’étrange anatomie : pas besoin d’yeux ni de pattes pour vivre sous le sol, et y ramper en se tortillant. Découvert par Neang Thy, zoologiste travaillant pour le ministère de l'Environnement cambodgien et pour l’ONG Fauna & Flora International (FFI), lors d’une exploration du massif des Cardamomes, au Cambodge, l’animal est nouveau pour la science. "Au début, je pensais que c'était une espèce commune", a déclaré le scientifique, spécialiste des reptiles et amphibiens locaux depuis presque une décennie. Lui et ses collègues ont passé près d'un an à s'assurer que cet étrange animal était bien une nouvelle espèce. "Ils ont dû revenir sur toutes les descriptions scientifiques de toutes les autres espèces, et étudier des spécimens de musées. Ce qui est vraiment passionnant, c'est que c'est la première fois qu’un Cambodgien a découvert une nouvelle espèce, réuni l'ensemble des preuves scientifiques et publié les conclusions", commente le Dr Jenny Daltry, biologiste à FFI. Source -
Voyage dans les entrailles d’un python Offrez un rat à un python birman de 5kg et attendez. Affamé, il fond sur sa proie. En une fraction de seconde il s’enroule autour de l’animal. Il sert fort pendant un long moment. Le rongeur agité fini par se détendre, mort d’asphyxie. Tout doucement, le reptile se déroule libérant le rat de son emprise. Le gober prend plusieurs minutes; à la fin, le python est droit comme s’il avait avalé un parapluie. On voit alors son corps onduler et une grosse bosse reculer lentement, de la glotte vers la queue de l’animal: le voyage du rongeur commence… Mais que se passe-t-il au juste? Kasper Hansen and Henrik Lauridsen, MR Research Center, Aarhus University Hospital, Skejby, Denmark and Department of Zoophysiology, Biological Sciences, University of Aarhus, Denmark. Une équipe danoise de Zoophysiologie s’est posée la question. Pour arriver à leur fin, les chercheurs ont allié deux techniques de scan, une vraie nouveauté. Le résultat est saisissant. Kasper Hansen and Henrik Lauridsen, MR Research Center, Aarhus University Hospital, Skejby, Denmark and Department of Zoophysiology, Biological Sciences, University of Aarhus, Denmark. Oui oui, c’est bien, le python birman. Le rat – qui semble s’être lancé dans une petite brasse coulée- est arrivé à mi-parcours, il a rejoint l’estomac. Les formes ovales et rouges qu’on voit à l’arrière sont des œufs. Et, juste en-dessous, si vous y regardez de plus près, on découvre les restes d’un ancien repas. Sûrement des os et des poils pas très digestes… Une fois la proie dans l’estomac, la digestion peut commencer. Pour arriver à la voir, l’équipe a anesthésié le python 8 fois: une heure avant la petite collation puis 2h, 16h, 24h, 32h, 48h, 72h et 132h après. Le reptile a donc mis cinq jours et demi à digérer le rongeur ! Bon d’accord, les anesthésies multiples ont pu ralentir la digestion mais il fallait bien que le prédateur ne bouge pas pendant la photo ! Kasper Hansen and Henrik Lauridsen, MR Research Center, Aarhus University Hospital, Skejby, Denmark and Department of Zoophysiology, Biological Sciences, University of Aarhus, Denmark. Impressionnant. Imaginez alors ce que ce sera pour un vrai festin. Car certains pythons birmans peuvent avaler… des chèvres ou des cerfs ! Ce dangereux reptile est un prédateur « sit and wait », sa stratégie c’est : « s’asseoir et attendre » ce qui veut dire qu’il peut attendre un long moment avant de faire un gros repas! D’ailleurs, son organisme le montre: le système digestif se réveille rapidement et les organes s’adaptent à l’arrivée du repas. Mais le plus stupéfiant, ça reste la qualité des images ! Du jamais vu ! Kasper Hansen and Henrik Lauridsen, MR Research Center, Aarhus University Hospital, Skejby, Denmark and Department of Zoophysiology, Biological Sciences, University of Aarhus, Denmark. Pour obtenir ces clichés, l’équipe a couplé deux techniques complémentaires : la tomodensitométrie et l’IRM La tomodensitométrie est une technique très classique (qui n’est pas réservé aux pythons). Très fréquente dans les hôpitaux, elle permet d’obtenir des « tranches » – de crâne par exemple- grâce à un scanner à rayons X. En fait, un faisceau de rayons traverse le patient et on mesure l’absorption des rayons par les tissus : les tissus mous (les organes) absorbent plus les rayons que les tissus durs. Les os sont donc plus lumineux sur l’image. Grâce à la rotation du faisceau autour du corps, on obtient une image à 360° qui permet de reconstruire sur ordinateur des images 2D ou 3D. ( une vidéo bien faite sur ce site) La seconde technique ? l’IRM : Imagerie par résonance magnétique. Le nom est barbare, mais vous connaissez forcément la machine à IRM: on la voit dans toutes les séries médicales ! Le patient – notre python – s’allonge sur une longue table qui glisse à l’intérieur d’une machin en forme de tunnel. Et là, si on veut de belles images, il ne faut surtout pas bouger. Le corps est alors soumis à un puissant champ magnétique. Celui-ci va agir sur les atomes d’hydrogène, présents en très grand nombre dans notre corps. Ces atomes tournent sur eux-même pèle-mêle mais, sous l’influence du champ magnétique, ils vont tous s’aligner (vidéo explicative ici). Lorsqu’on interrompt le champ, les atomes vont peu à peu retrouver leur position d’origine, tout en émettant de l’énergie. Selon le tissu, ce « retour à la normale » va prendre plus ou moins de temps. D’où une différence d’émission d’énergie qu’on observe sur l’image. Comme pour la première méthode, on obtient des « coupes » qui permettent de reconstruire des images en 2D ou 3D. Voilà une technique très efficace pour l’étude des tissus mous qui contiennent beaucoup d’eau (et donc beaucoup d’atomes d’hydrogène). Les contrastes sont meilleurs qu’avec la tomodensitométrie. Par contre, l’IRM est moins efficace que la tomodensitométrie pour les os car ils renferment peu d’hydrogène. Voilà donc un couple idéal ! Précis, l’un pour les os, l’autre pour les organes. A quand le léopard, la chauve souris, le scorpion et la grenouille? Les chercheurs n’ont pas attendu! Ils se sont déjà lancés dans d’autres investigations: alligator, tortue, tarentule et grenouille ont déjà eu droit à un scanner grande classe comme les vrais patients d’un hôpital. Les images sont tout aussi époustouflantes, aussi bonnes que celles des livres d’anatomie. Meilleures même selon les chercheurs. Eh oui, on évite les erreurs d’observations liées au dissection (comme les poumons de la tortues qui s’effondrent lorsqu’on ouvre la carapace) et puis, c’est pratique, on peut réutiliser le même animal encore et encore. Enfin, détail non négligeable : on ne tue pas l’animal. Kasper Hansen and Henrik Lauridsen, MR Research Center, Aarhus University Hospital, Skejby, Denmark and Department of Zoophysiology, Biological Sciences, University of Aarhus, Denmark. Pauline de Wurstemberger Source
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Oisy Des tritons et salamandres Il existe en France plus de trente espèces de batraciens. Ces animaux, qui sont les ancêtres de tous les vertébrés terrestres, ont la particularité de partager leur vie entre des phases terrestres et des phases aquatiques. C'est la raison pour laquelle les batraciens sont aussi appelés amphibiens, ce qui signifie « à double vie ». Découverte des batraciens Fréquence Grenouille est une opération annuelle de sensibilisation à la préservation des zones humides, organisée par les conservatoires d'espaces naturels et les réserves naturelles. De mars à mai, le grand public et les scolaires sont invités à venir découvrir les zones humides et les batraciens, par le biais de sorties, de diaporamas, de sauvetages sur les routes… Parmi les nombreux types de zones humides, les mares et les étangs constituent l'un des écosystèmes préférés des batraciens. Les amateurs de nature étaient conviés, à visiter une mare, située derrière l'estaminet du Tiot péqueux. Dimanche, en début d'après-midi, ils étaient une vingtaine à découvrir cet endroit, avec les explications éclairées d'une intervenante du Conservatoire des espaces naturels. Grenouilles, crapauds, tritons et salamandres leur ont révélé tous leurs secrets. Source
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Bonne fête des mères!!!
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Général
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Psalmopoeus Cambridgei Evolution
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de GuerillaMarc dans Arachnides
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Un vivarium où il fait bon… vivre ! Avant de vous lancer dans la chasse au vivarium, pensez à respecter quelques règles. C'est quoi d'abord, un vivarium ? Un vivarium est un espace d’élevage vitré, esthétiquement proche de l’aquarium mais équipé d'une paroi sur le dessus, dans lequel on garde des reptiles, des amphibiens, mais aussi éventuellement des insectes et des petits mammifères. Classiquement, on y trouve, chez la plupart des maîtres, des reptiles comme les serpents, les caméléons ou les lézards… Le vivarium doit reconstituer le milieu naturel de l’animal, d’où le respect de certaines règles. Les serpents, dont la force et la ruse pour s’échapper sont impressionnantes, doivent avoir des vitres très épaisses car ils parviennent facilement à faire céder les plus minces. Comment le choisir ? Un vivarium peut se garder durant toute la vie de l’animal, c’est pourquoi il est important de bien le choisir. Pour le bien-être de votre bête, le vivarium doit être grand (minimum 100 litres) et comporter : - un abri dans lequel il peut se cacher ; - un bassin car, même si certains serpents ne se baignent pas, l’eau sert à humidifier le vivarium et favorise la mue ; - des branches d’arbres, préalablement désinfectées, pour élargir le champ d’action et aider les serpents à muer ; - un sol synthétique, de préférence du gazon, à nettoyer et à désinfecter régulièrement. Méfiez-vous du sable que l’animal pourrait avaler en même temps que sa proie ; - une source calorifique et lumineuse. La chaleur recommandée pour un serpent se situe entre 26 et 32 °C le jour et 20 et 22 °C la nuit. Il existe différents systèmes de chauffage, le tapis chauffant à glisser sous le sol ou dans un coin du vivarium étant le plus courant. Certains utilisent des lampes à rayons ultraviolets pour combiner chaleur et éclairage. Êtes-vous prêt à vous lancer ? Un serpent est strictement carnivore et ne se nourrit que de proies entières. Donnez-lui des rongeurs, de préférence déjà morts (il existe des souris vendues congelées dans les animaleries) pour éviter que le serpent ne se blesse. La taille et la quantité des proies dépendent de l’âge et de la race. Certains ont dû mal à donner des êtres vivants en guise de nourriture : dans ce cas, oubliez le serpent et tournez-vous plutôt vers des reptiles végétariens ou éventuellement insectivores. Les vivariums se trouvent dans des animaleries spécialisées, parfois sous le nom de terrarium ou d’aquarium-vivarium, et sont souvent très onéreux – au même titre d'ailleurs que les soins à prodiguer à l'animal qu'ils accueillent. L'aspect financier de votre hobbie doit donc absolument être pris en compte avant l'achat ! Romance Lebeau Source
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Guerre des crapauds à Miaoli ! Environ 60 spécimens de la famille du Lithobates catesbeianus aussi appelé ouaouaron, la plus grosse grenouille d’Amérique du Nord, se sont retrouvées par erreur dans un groupe d'autres batraciens dispersés dans la nature dans l’objectif de renforcer la biodiversité de certaines zones de la région. C’est donc le branle-bas de combat car cette grosse grenouille est une féroce prédatrice d’autres espèces d’amphibiens et sa présence en nombre dans les zones concernées fait désormais peser une grave menace sur l’existence des autres espèces. Branle-bas de combat, il faut retrouver ces crapauds ! Source
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Psalmopoeus Cambridgei Evolution
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de GuerillaMarc dans Arachnides
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Débutant en a peu près tout
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de terrasouf dans Le terrarium
Je ne suis pas le plus grand expert en terrarium planté. Je vais faire de mon mieux pour t'aider. Il existe des moyens de recréer une filtration naturel sans l'utilisation d'un filtreur. Je ne pourrais pas te dire comment mais on m'a déjà expliqué ça dans le passé. Pour les billes d'argiles au fond, c'est nécessaire pour qu'il y ait une bonne respiration du sol, l'eau circule librement et éviter que le fond pourrisse par un mauvais assèchement. Pour te faire un bon filet, je te suggère un moustiquaire. -
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8 mai 2011 (Boa constrictor imperator)
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans L'espèce de la semaine
Nom scientifique : Boa constrictor imperator Nom français : Boa à queue rouge Nom anglais : Red tail boa Origine : Du Mexique jusqu'en Argentine Biotope : Semi-humide à humide Température : 28 à 32°C Hygrométrie : 60 à 70% Moeurs : Terrestre, mais aime grimper et nocturne Taille adulte : 1.2 mètre à 3 mètres Longévité : Environ 20 ans Nourriture : Mammifères, dans la nature, des oiseaux également Le boa constrictor imperator est l'une des espèces les plus populaires en captivité. Il s'sgit d'un serpent de grande taille dont le comportement fait qu'on réussit généralement à la manipuler aisément. Ce long ophidien est doté d'une force inscroyable alors il vaut mieux le manipuler avec précaution tout de même. Il existe une multitude de coloration suivant les localités et la reproduction sélective dans le but de créer des phases.