Max|mum-leterrarium

Merci pour le compliment Malgré que tout propriétaire d'animaux (pas seulement reptiles) devraient s'en occuper à fond. Je crois que tout est enfin rentré dans l'ordre. Il a remangé seul pour une deuxième journée consécutive. Il mange en petite quantité, mais il mange. C'est très bon signe je trouve.

Guérison de la tortue du Ho Guom Après plus d'un mois de soins dans sa piscine spéciale installée au pied de la tour de la Tortue, au milieu du lac de l'Epée restituée (Hô Guom), la tortue a guéri de ses blessures. Durant ces soins, des scientifiques et spécialistes ont également examiné et étudié cette tortue de Hô Guom qui s'avère être une espèce endémique du Vietnam, vivant dans les bassins des fleuves Rouge, Ma et Da au Nord du Vietnam. Les scientifiques ont souligné qu'en dehors du traitement de ses blessures, l'aménagement comme le maintien d'un environnement de vie sain sont essentiels pour préserver cette tortue. En effet, "c'est l'une des espèces les plus menacées dans le monde alors que l'on ne sait que très peu de choses sur celle-ci", a indiqué Tim McCormack du groupe de protection et de recherche de Hanoï du Programme Tortue d'Asie (Asian Turtle Programme). Ce reptile qui pèse plus de 200 kilos aurait été blessé par les hameçons des pêcheurs ainsi que les tortues de Floride qui ont été relâchées dans ce lac ces dernières années. Selon McCormack, la tortue du lac Ho Guom qui est estimée âgée de plus de 100 ans serait l'une des quatre tortues "Rafetus Swinhoei" connues au monde, deux autres étant en Chine et une autre dans un lac différent de Hanoï, selon l'AFP. Selon la légende, au 15e siècle, la tortue du lac Ho Guom a donné au futur empereur Le Loi une épée magique pour bouter hors du pays les agresseurs chinois de la dynastie des Ming, lequel la lui a restituée ensuite, d'où l'autre nom de ce lac, Ho Hoan Kiem, le Lac de l'Epée Restituée... - AVI Source

Lyon: Il malmène deux tortues et finit en garde à vue Un jeune homme de 18 ans a été placé en garde à vue après avoir violenté deux tortues de Floride dans le parc de la Tête d’Or à Lyon mercredi, rapporte le journal Le Progrès. Vers 20h30, l’homme a sorti un de ces petits reptiles de son bassin pour s’amuser avec. Heurté par un visiteur, qui lui a reproché de faire mal à l’animal, le jeune homme a alors lancé la tortue dans l’eau. Il a ensuite attrapé un autre animal et l’a à son tour projeté sur plusieurs mètres. Interpellé, il a été placé en garde à vue, où il a prétendu avoir été mordu par une des tortues. Le jeune homme a été libéré jeudi après-midi, mais il sera convoqué devant la maison de la justice et du droit. Et qu’on se rassure: les deux tortues cahotées sont en pleine forme. Source

Sur les traces des lézards et des tortues L'association Cistude nature propose dès le 13 mai et jusqu'au 13 juillet des sorties découverte de la faune du littoral. Il faudra s'armer de bottes et de jumelles pour suivre le programme des sorties nature du printemps-été 2011. En partenariat avec le Conseil général, l'association Cistude nature organise des sorties-découverte de la faune du littoral au Porge. Ce n'est pas un hasard. Cette association agréée de protection de l'environnement ciblée sur la faune des zones humides a déjà deux sites pilote sur la commune : celui des pelobates ou crapauds à couteaux et celui du lézard ocellé, le plus grand lézard vert d'Europe. Ces deux-là nichent dans la forêt domaniale. La cistude, ou « tortue boueuse » a choisi le canal des étangs et les marais. Dès le vendredi 13 mai et jusqu'au 13 juillet, de 19 à 23 heures, cinq sorties à pied et quatre à vélo sont prévues le long de la piste cyclable à l'affût des lézards et amphibiens : observation de jour, écoute des chants la nuit, mieux vaut apporter le pique-nique. Zones humides Du 8 juin au 12 juillet, six sorties en matinée sont programmées le long du canal, cette fois sur les traces de la cistude pour découvrir ses lieux de chasse et de ponte. Les réservations sont obligatoires. La sortie coûte 6 euros, elle est gratuite pour les enfants de moins de 12 ans. Contact : Jessica Ramière au 05 56 28 47 72 ou jessica.ramiere@cistude.org Source

Caméléon et tortue saisis à la douane Un contrôle inopiné du corps des gardes-frontière a permis la saisis d’animaux importés illégalement jeudi au poste de Thônex Julien de Weck | 06.05.2011 | 20:23 Saisie rare jeudi au poste de Fossard. Vers 17 heures, une voiture qui s’apprête à quitter le territoire suisse est arrêtée pour un contrôle inopiné. Vérification des papiers et inspection du véhicule. La routine. Le garde-frontière s’attaque alors au coffre de la voiture. A l’aveugle, il palpe son contenu, quand une bête s’accroche à sa main. Stupeur. L’homme découvre un caméléon. Puis une tortue. Les contrebandiers du dimanche passent au poste et les animaux sont saisis. «Ce tourisme d’opportunité est totalement irresponsable», s’insurge Michel Bachar, le porte- parole du corps des gardes- frontière, qui souligne l’inconscience de ces particuliers, au regard «des conditions atroces du transport». De retour d’Algérie, les deux Annemassiens ont passé les contrôles de Cointrin avec, dans leurs bagages, ces voyageurs illégaux. «Les animaux exotiques sont à la mode, regrette Michel Bachar. Ce type de saisie est en constante augmentation en Suisse.» Un acte illégal, réprimé par l’Administration fédérale des douanes. «Nous procédons à la confiscation des animaux et verbalisons lourdement», avertit le porte-parole du corps des gardes-frontière. Soit plusieurs centaines de francs et un risque de séquestre du véhicule si l’amende ne peut être payée. La plupart des animaux ne survivent pas au transport. «Ils souffrent de déshydratation, quand ils ne meurent pas d’hypothermie», explique Michel Bachar. Malgré les turbulences, le caméléon, surnommé Félix par les douaniers, et sa compagne d’infortune, la tortue Marguerite, ont survécu à leur périple. Hier soir, ils déposaient leurs valises au Tropiquarium de Servion, leur nouvel habitat. Source

Bon, nous sommes rendu un mois plus tard. J'ai mit du temps et de l'énergie sur ce tégu que j'adore. La dose de calcium s'est poursuivit durant chaque jour durant deux semaines et je lui fais une fois par semaine par la suite. Il réagit bien à ça. Une chance que mon tégu n'est pas agressif sinon je n'aurais plus de doigts je crois. J'ai dut le gaver pour qu'il mange depuis le début, on s'entend que ce n'est pas la meilleure méthode et on ne peut pas satsfaire son estomac correctement par gavage. Je testais de temps en temps pour lui donner de la nourriture en espérant qu'il mange par lui même éventuiellement. Le grand jour a été ce soir, il a avalé un coeur de poulet par lui même. Il était temps qu'il le fasse. Je lui en ai mit deux autres au cas où mais il ne leur touche pas pour le moment. Je trouve ça plus qu'encourageant.

Nom scientifique : Bombina orientalis Nom français : Crapaud sonneur oriental Nom anglais : Fire belly toad Origine : Sibérie occidentale, Mandchourie, Chine, Corée et Japon Biotope : Humide Température : 22 à 25°C pour l'eau et l'air à 28°C Moeurs : Aquatique et terrestre, crépusculaire Taille adulte : Jusqu'à 6 cm Longévité : 10 à 14 ans Nourriture : Insectivore. Photo emprunté sur le site http://batraciens.net/ Le Bombina orientalis est l'une des grenouilles aquatiques les plus colorées. Elle est fort populaire dans le commerce mais malheureusement, elle est mal connu donc souvent mal installé en captivité. Il lui faut une partie terrestre pour éviter les noyades. Le chant, très discret, est une sorte de "hou-hou" qui ressemble un peu au cris du hiboux, en plus léger.

Le lézard de mer disparu révèle des protéines endogènes de l'intérieur Une équipe de scientifiques en Suède a découvert le fossile d'un lézard de mer géant disparu (le mosasaure) datant du Crétacé supérieur, il y a entre 100 et 65 millions d'années. Mais la particularité de cette recherche est qu'ils sont parvenus à découvrir des restes authentiques d'un animal qui ne vit plus sur cette terre ... enfouis dans la pierre. Présentés dans la revue Public Library of Science (PLoS) ONE, les résultats offrent un aperçu sur la façon dont les biomolécules récupérées sont primaires et non des agents contaminants provenant de biofilms bactériens ou de protéines ressemblant au collagène. Les études antérieures portaient notamment sur l'identification de peptides dérivés du collagène dans des fossiles de dinosaures sur la base de diverses méthodes dont des analyses spectrométriques de masse en tandem d'extraits d'os entiers. L'inconvénient de l'utilisation de ce type de méthode est que les tissus spécifiques au site ne pouvaient pas être utilisés, ce qui oblige les chercheurs à dépendre plutôt d'extraits d'os entiers. Par ailleurs, il n'est pas encore clair si les séquences d'acides aminés obtenues par une telle analyse sont authentiques. De leur côté, les chercheurs de l'université de Lund ont utilisé une technologie sophistiquée pour relier les molécules protéiques aux fibres de matrice osseuse isolées du fossile âgé de 70 millions d'années, notamment un humérus (IRSNB 1624). Leur diligence a porté ses fruits. À l'aide de la microspectroscopie infrarouge fondée sur le synchrotron au laboratoire MAX IV, l'équipe a montré que la matière contenant l'acide aminé reste dans les tissus fibreux obtenus à partir de l'os de mosasaure. Autrement dit, les analyses fournissent une preuve solide suggérant que les molécules organiques primaires, telles que le collagène ou ses produits de dégradation, sont préservés dans les tissus osseux fibreux de l'humérus en question. «Cette technique offre des informations sur les molécules organiques complexes dans des microstructures sélectionnées», affirment les auteurs de l'étude. Il convient de noter que la préservation n'est pas une caractéristique propre aux gros os. «La préservation de tissus primaires mous et de biomolécules ne se limite pas aux gros os enfouis dans des environnements de grès fluviatile, mais survient également dans de petits éléments squelettiques déposés dans les sédiments marins», écrivent les auteurs. Par ailleurs, le fossile, affirment les chercheurs, a une capacité de préservation exceptionnelle. Des tissus enclins à la décomposition, tels que la peau et les mélanosomes (des organites contenant de la mélanine, le pigment absorbeur de lumière le plus courant trouvé dans le règne animal) sont préservés en tant que résidus phosphates ou organiques avec une fidélité morphologique considérable. «Toutefois, il est difficile d'affirmer que des fossiles de plusieurs millions d'années contiennent des composants organiques originaux et, dans ce cas, il faudrait identifier de manière positive ces biomolécules», affirment-ils. En commentant les analyses, les chercheurs affirment: «Bien que la spectroscopie en soi ne puisse généralement être utilisée pour identifier des protéines spécifiques, elle peut toutefois fournir des informations précieuses sur le contenu moléculaire dans les échantillons de composition inconnue. De la même façon, aucune autre méthode employée ne peut fonctionner seule (autrement dit, aucune ne fournit une preuve suffisante de la survie des macromolécules protéiques au fil du temps).» Des chercheurs de la Midwestern University et de la Southern Methodist University aux États-Unis ont contribué à cette étude. Pour de plus amples informations, consulter: Université de Lund: http://www.lunduniversity.lu.se/ MAX IV Laboratory: http://www.maxlab.lu.se/ PLoS ONE: http://www.plosone.org/home.action Source

Madagascar : les exploitations illicites gagnent du terrain Les exploitations illicites gagnent du terrain depuis la crise qui a débuté depuis décembre 2008 et elles touchent les différents types de ressources malgaches et sur tout le territoire national. Malgré le décret émis par le gouvernement de la Haute Autorité de transition (HAT) malgache en mars de l’année dernière, concernant l’interdiction de coupe de bois précieux et leur commercialisation, l’exploitation du bois de rose prend de l’envergure à une année du décret. Le bois de rose est pourtant classé par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) dans la catégorie des espèces en voie de disparition et très protégés. A la mi-avril, une trentaine de tonnes de bois de rose ont été saisies à bord de deux camions dans un village d’Antalaha, dans la côte nord-est de la grande île, là où les bois de rose sont en grand nombre et dans une grande superficie, exceptionnellement dans le parc national de Masoala. En début du mois d’avril dernier, 824 pièces et 186 rondins de palissandre, un autre type de bois luxe et précieux, ont également été saisis à Fort-Dauphin, dans l’extrême-sud de la grande île, par les autorités locales. 250 conteneurs de ce bois sont encore bloqués au port de Majunga, à l’ouest de Madagascar, pour n’avoir pas l’autorisation d’exportation. En restant encore dans le secteur de l’environnement, la chasse illicite des lémuriens ainsi que des espèces d’animaux endémiques a pris de l’ampleur ces derniers mois. Les tortues étoilées de Madagascar sont en voie de disparition, et selon les chercheurs, cette espèce de tortue qui se trouve dans la partie sud et sud-ouest de la grande île, serait disparue d’ici 20 ans si la consommation ainsi que son commerce illicite continuent encore. Les collectionneurs d’animaux des Etats-Unis, d’Europe ainsi que d’Asie, en passant par Bangkok, sont les principaux clients des exportateurs illégaux. Notons que ces tortues sont classées dans la catégorie d’espèce en danger, en voie d’extinction sur la liste rouge de l’UICN et sont inscrites à l’annexe de la convention du "Commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction" (Cites) et dont la vente est strictement interdite. Les lémuriens de Madagascar subissent le même sort. Les viandes de lémuriens sont de plus en plus dédiées à l’alimentation dans la partie nord-est et est de la grande île. Les plats sont vendus de 6.000 Ariary à 10.000 Ariary (1 dollar équivaut à 2.000 Ariary). En 2010, près de 3.000 lémuriens ont disparu, toutes espèces confondues. Dans le secteur minier, cette exploitation illicite s’étend dans le domaine de l’or jusqu’aux pierres précieuses. Récemment, 2 kg de poudre d’or ont été saisis par la gendarmerie nationale sur la route nationale reliant Antananarivo à Majunga. D’après les sources, l’origine de ces poudres d’or est du côté de Maevatanana, dans l’ouest de la grande île où se trouve le plus grand gisement d’or du pays. De l’autre côté, des tonnes de "cristal" sont transportées par voie maritime de Maroantsetra, dans le nord-est de la grande île vers le port de Toamasina, à l’est, sans aucune mesure n’est prise pour la protection de l’environnement. Selon les observateurs économiques, la crise politique que le pays connaît depuis décembre 2008 a engendré cette viré vers les exploitations illicites. "La pauvreté et la cherté de la vie quotidienne incitent les gens à trouver des moyens plus faciles pour avoir de l’argent au risque et péril de leur propre vie", affirment les experts. Quelques 228.000 pertes d’emplois directs ont été enregistrées en 2010, selon les chiffres de la Banque mondiale. De l’autre côté, les prix des produits locaux ont augmenté de 12% en un an, engendrant un glissement annuel de 11,5% du prix à la consommation. (Xinhua) Source

Nouvelle stratégie de la Commission européenne pour protéger la biodiversité (2011-2020) La nouvelle stratégie élaborée par la Commission pour préserver la biodiversité poursuit plusieurs objectifs : faire reculer d'ici à 2020 le taux très élevé d'extinction des espèces, rétablir autant que possible les écosystèmes naturels dans l'UE et contribuer davantage à la lutte contre la perte de biodiversité au niveau mondial. La biodiversité - c'est-à-dire la grande variété des écosystèmes, des espèces et des gènes présents sur notre planète - est menacée. Le taux d'extinction des espèces est extrêmement élevé : il est entre 100 et 1 000 fois supérieur au rythme naturel. Dans l'Union européenne, seuls 17 % des habitats et des espèces et 11 % des écosystèmes protégés par l'UE sont dans un bon état de conservation. Les autres subissent des pressions, en particulier des activités humaines, ou sont en déclin. Ainsi, un quart des espèces animales sont menacées d'extinction - comme le phoque moine de Méditerranée, le lynx ibérique et la grenouille de Karpathos. La diminution de la biodiversité est une perte immense, qui affaiblit les systèmes naturels dont dépendent nos sociétés et nos économies. C'est, avec le changement climatique, la plus grande menace environnementale à laquelle nous devons faire face. Source

La mare aux têtards La réserve naturelle du marais d'Yves participe à l'opération Fréquence Grenouille Le pélobate cultripède est d'humeur mélancolique. Le triton palmé a du vague à l'âme, la rainette méridionale en perd le nord et le crapaud commun l'est de moins en moins. Bref, le chant de nos amis batraciens a la couleur du blues. Fréquence Grenouille l'a bien compris. Il ne s'agit pas d'une station de radio diffusant exclusivement des coassements, mais d'une opération annuelle menée au niveau national par les conservatoires d'espaces naturels et les réserves naturelles, afin de sensibiliser la population à la sauvegarde des zones humides, sans lesquelles les amphibiens sont voués à l'extinction. Hormis quelques endroits protégés, la menace est bien réelle dans ce pays. « Environ 10 000 mares disparaissent chaque année en France. L'homme assèche les zones humides, sans penser à toutes les espèces qui en dépendent, dont les batraciens. Pour ne rien arranger, il n'a pas plu au mois d'avril… », s'inquiète Jean-Paul Pillion, salarié de la Ligue de protection des oiseaux (LPO), en charge de l'animation à la réserve naturelle du marais d'Yves, l'une des antennes relais de Fréquence Grenouille. Huit espèces à Yves Cette lagune entourée de dunes, de prairies et de prés salés, située entre La Rochelle et Fouras, est l'un des rares endroits de la Charente-Maritime où cohabitent huit espèces d'amphibiens : la grenouille agile, la grenouille verte, le crapaud commun, le crapaud à couteaux ou pélobate cultripède, le triton marbré, le triton palmé, le pelodyte ponctué et la rainette méridionale. Comment les distinguer ? En consultant le cahier édité par la LPO, nouvel outil pédagogique proposé à l'accueil de la réserve d'Yves. Ce petit guide, destiné tant aux enfants qu'aux parents, dévoile la vie secrète des vertébrés tétrapodes, leurs amours, leurs habitudes alimentaires et leur fragilité face à l'essor de l'activité humaine. Contrairement à l'étiquette que se plaisent à nous coller les sujets de la reine Elizabeth II, l'appétit des Français n'est pas la première des menaces. « Certains pensent que la grenouille verte peut se pêcher. Sauf qu'il en existe plusieurs espèces. Celle qui vit en Charente-Maritime, dite de Pérez, est en voie de raréfaction. Comme tous les autres batraciens présents à Yves, elle est protégée au niveau national. la loi interdit de les capturer », prévient Jean-Paul Pillion, dont les protégés en question ont été décimés par une catastrophe, bien naturelle celle-là. « Après la tempête de 1999, les trois quarts des amphibiens ont disparu. Nous avons une personne chargée d'évaluer à nouveau les populations au printemps, mais on peut déjà imaginer que Xynthia a provoqué les mêmes dégâts là où la réserve a été inondée par l'eau de mer. » Le centre nature de la Réserve d'Yves est ouvert tous les dimanches, en dehors des périodes de vacances scolaires, de 14 heures à 18 heures. Tél. 05 46 56 41 76. Courriel : marais.yves@espaces-naturels.fr. Site Internet : http://marais.yves.reserves-naturelles.org Source

Tu es à Granby, la faculté de medecine vétérinaire de St-Hyacinthe a son département reptiles. C'est le plus réputé en Amérique du Nord en plus. Il suffisait de demander.

Les droits d’accès aux parcs de la Montérégie augmentent de plus de 50% Les utilisateurs des parcs nationaux du Québec doivent s’attendre à plonger la main un peu plus profondément dans leurs poches, car les droits d’accès aux parcs viennent de faire un bond de plus de 50 %. Depuis le 16 avril, il en coûte à un adulte, pour accéder à un parc, 5,50$ au lieu de 3,50$. Le tarif familial, lui aussi, suit la courbe, car il en coûtera 11$ au lieu de 7$ pour deux adultes et deux enfants. On s’entend pour dire que ça ne fait pas une sortie bien bien dispendieuse, malgré les hausses, surtout si l’on considère la qualité des parcs nationaux du Québec. Les trois parcs de la Montérégie, soit le parc des Îles-de-Boucherville, le parc du Mont Saint-Bruno et le parc national de la Yamaska n’échapperont évidemment pas à cette hausse de tarifs qui permettra, selon les gestionnaires, de maintenir la qualité des services aux usagers. Des agriculteurs de la Montérégie veulent sauver la tortue des bois 16 agriculteurs de la Montérégie ont accepté de couper leur foin un peu plus haut, cette année, ce qui devrait sauver de nombreuses tortues des bois. En fait, selon une récente étude, il semble que la tortue des bois soit en danger lorsqu’elle s’aventure dans les champs, en bordure de son milieu naturel… l’eau. Les cultivateurs, en coupant l’herbe dans leurs champs, faucheraient beaucoup de tortues imprudentes. Dans le secteur de Sutton, en milieu agricole, on recense 23% moins de bébés tortues qu’ailleurs, c’est pourquoi les 16 agriculteurs qui bordent les rivières Missisquoi Nord, Sutton et Tomifobia relèveront leur fauche de 5 à 10 centimètres sur les bandes de 200 mètres, de chaque côté des rivières. Le foin sera un peu plus haut, mais les tortues imprudentes seront épargnées par les lames mortelles des faucheuses… Début de la saison de pêche En raison des conditions climatiques misérables du mois d’avril, la majorité des lacs de la Montérégie, de l’Estrie et des Laurentides n’étaient pas calés lors de l’ouverture de la saison de pêche, le 22 avril dernier. La pluie et le temps plus chaud des derniers jours ont cependant fait caler de nombreux lacs. Le lac Brome, le lac Massawippi tout comme le Memphrémagog offrent maintenant de bonnes possibilités de pêche à la truite. Si vous préférez la pêche en rivière, les trois rivières ci-haut mentionnées ne recèlent pas que des tortues des bois… Avis aux amateurs de pêche à la mouchetée sauvage… Source

Après Paul le poulpe, une tortue à deux têtes devient une star des pronostics La Coupe du monde de hockey sur glace a débuté le week-end dernier et une tortue à deux têtes tente de prédire les résultats. Une tortue à deux têtes et cinq pattes née récemment en Slovaquie est en train de devenir une vraie star. En effet, Magdalena est aujourd’hui en passe de prendre le rôle de Paul le poulpe, qui avait pronostiqué avec succès plusieurs matches lors de la Coupe du monde de football en 2010. Cette fois, la tortue est mise à contribution lors de la 75e Coupe du monde de hockey sur glace, qui se déroule depuis le 29 avril en Slovaquie. Pour accomplir ses prédictions, l’animal est placé sur un modèle réduit de patinoire avec les deux équipes représentées par des figurines, explique l'édition britannique de Metro. Ensuite, Magdalena se déplace sur le terrain et fait son choix. Pour son premier essai, la tortue a bien donné le nom de l’équipe gagnante et son propriétaire, Roman Gresak, ne cache pas sa fierté. Toutefois, il ne veut pas trop surmener son animal star qui ne sera utilisé que pour quelques matches précis lors de la compétition. Pour découvrir cette tortue à deux têtes, cliquez ci-dessous: http://www.zigonet.com/tortue/une-tortue-a-cinq-pattes-et-deux-tetes_art20555.html Source

haha je ne sais pas pourquoi mais dans les expos mes kiosques attirent toujours l'attention et bien souvent, ce ne sont pas mes bêtes les plus populaires. Il faudrait que j'offre la manipulation pour voir l'effet que ça donnerait

Effectivement, mais le corn snake sur les photos n'est pas à moi. Il est à l'éducatrice en question qui ne peut pas l'avoir chez elle en ce moment donc je lui garde temporairement.

Tu veux insinuer quoi là?

Eh oui, les enfants ont demandé à leur éducatrice pour que je revienne. L'éducatrice qui est une bonne amie m'a demandé de revenir faire plaisir aux enfants donc je suis retourné faire un tour.

Oui je l'ai toujours. Il grandit pas mal par contre. Quoi que tu l'as vu à St-Jean-sur-Richelieu donc tu sais un peu la taille qu'il fait. Il a un plus grand terrarium maintenant.

J'y allais quand je travaillais encore en animalerie, plus maintenant. J'y suis allé au printemps dernier où j'ai acheté deux Lampropeltis mexicana qui m'était vendu comme des Lampropeltis alterna mais bon, je les voulais parce que je le savais ce que c'était pareil.

C'est pour ça aussi que je te conseillais un vet puisque le serpent ne te dit pas ce qu'il ressent

Australie: Il se débarrasse d'un crocodile en le frappant dans les yeux Un crocodile a attaqué un pêcheur dans le nord de l'Australie ce week-end, le mutilant grièvement, rapporte ce mardi le Northern Territory News. La nuit était déjà bien avancée lorsque le crocodile a bondi hors de l'eau, attrapant l'épaule de l'homme, âgé d'une soixantaine d'années, qui était dans un petit bateau de pêche avec un ami endormi. Gravement mutilé, le pêcheur a dû son salut à un coup porté dans les yeux du reptile. L'homme a été transporté à l'hôpital de Darwin où il a subi une opération à la main. Deux autres attaques du même genre ont eu lieu ce week-end dans cette région du nord de l'Australie, connue pour ses marécages infestées de crocodiles. Source

Une reptilophilie rampante Marseillais d'origine, Thomas Vidal 27 ans a ouvert son magasin de matériel pour reptiles à Cancon il y a deux mois. Mystic Reptile, son magasin aux aspects caverneux, lui permet de vivre de sa passion. Situé entre Villeneuve-sur-Lot et Bergerac, ce magasin est unique en Lot-et-Garonne. Thomas Vidal est aujourd'hui dans l'attente d'un certificat de capacité afin de pouvoir vendre ces animaux rampants. « Ma passion a débuté alors que je n'avais que 12 ans avec un dragon d'eau ». Pourtant, rien ne prédestinait à ce que cela devienne son gagne-pain. Diplômé en restauration et hôtellerie, il fait carrière au service de la reine de Belgique. Puis à 25 ans, il devient directeur d'hôtel. Sa carrière se termine « sur un coup de tête ». Après une année sabbatique à mûrir son projet, ce dernier voit le jour le 8 février dernier. Mais ce « reptilophile » n'en est pas à sa première expérience. Le magasin « est une suite logique à l' association ». Créée en 2009, Association Terrariophile du Lot-et-Garonne (ATLG) est une fois de plus unique dans le département. Elle a pour but d'ôter l'appréhension des gens sur ces animaux particulièrement sujets aux critiques et enfin, recenser les détenteurs de reptiles dans le département : « Plus de 200 personnes possèdent un reptile ». « Cela n'est pas une mode » Selon Thomas Vidal, les reptiles pourraient un jour venir remplacer les chiens et les chats. Ils attirent de plus en plus de monde et cela peu importe les âges et la situation sociale. Lui-même a commencé à collectionner ces nouveaux animaux de compagnie jeune et ne s'est jamais arrêté. Aujourd'hui, il en possède 13 sur les 24 autorisés par la législation française. Thomas Vidal déplore la vente faite par les grandes enseignes animalières qui ne fournissent aucun renseignement lors de l'achat de ces animaux. Pour les novices, il prodigue conseils et terrariums d'occasion. Mais tout ceci est loin de son ambition : un magasin de 700m² totalement dédié aux reptiles et inspiré de Mystic Reptiles, son homologue à Miami. Source

Les serpents en liberté causent quelques frayeurs sur la Côte d'Opale Ces derniers jours, le service animalier Opale capture a récupéré cinq serpents sur la voie publique, chez des particuliers... et même dansun restaurant. La dernière intervention a d'ailleurs failli mal tourner pour un agent, qui a été mordu à la main par une vipère. Il a été hospitalisé pendant deux jours à Lille. PAR SYLVAIN DELAGE Dire qu'il passe son temps à récupérer des chiens et des chats errants sur la voie publique... et qu'il n'a jamais été mordu. Samedi, Jérémie Marion a finalement été « baptisé » par un serpent. Et pas n'importe lequel : c'était une vipère péliade. Cet agent de la société privée Opale capture a été appelé vers 10 h 30 à Audresselles, pour récupérer un serpent qui s'était caché dans le renfoncement d'une porte d'entrée. Jérémie Marion, muni de gants et épaulé par les pompiers, a placé le reptile dans un terrarium (aquarium à reptile). Mais l'animal, dans un brusque mouvement, a réussi à le mordre au pouce. Les premiers symptômes du venin sont apparus une demi-heure plus tard. « Mon bras a commencé à enfler jusqu'au tronc, mes lèvres ont doublé de volume, raconte-t-il. J'ai commencé à avoir un voile devant les yeux, puis des points blancs, et j'ai perdu totalement la vision. » Fort heureusement, il a immédiatement été pris en charge par les pompiers, qui l'ont conduit à l'hôpital Duchenne. Jérémie Marion a ensuite été héliporté jusqu'au centre hospitalier de Lille, où il a reçu un antidote et a été mis sous perfusion. Il est resté hospitalisé deux jours au service réanimation, avant de reprendre le service hier. Un nouveau typede commerce Cette mésaventure, qu'il raconte avec le sourire, traduit un phénomène surprenant. Depuis le mois dernier, Opale capture est intervenu à cinq reprises pour récupérer des serpents en liberté, sur la Côte d'Opale. Pour trois d'entre eux, des espèces locales, c'est probablement la chaleur qui les a poussés hors des champs. C'était le cas de cette vipère capturée à Audresselles et de deux couleuvres, à Baincthun et Wimereux. Mais les deux autres reptiles retrouvés sont plus habitués aux plaines d'Amérique qu'au froid climat du Pas-de-Calais. Une couleuvre mexicaine a ainsi été capturée le 19 avril dans la rue de la Paix, à Boulogne, et un serpent des blés, dimanche soir... dans le restaurant Flunch du supermarché Auchan ! Ces deux espèces, heureusement inoffensives, sont vendues librement dans les animaleries de la région - dont celle de la galerie d'Auchan - depuis quelques mois. Un nouveau type de commerce qui répond à l'engouement grandissant des jeunes de moins de 30 ans en faveur des « nouveaux animaux de compagnie » ( lire ci-dessous). Or, malgré les efforts de sensibilisation des vendeurs en la matière, certains « maîtres » font trop souvent preuve de négligence ou d'inconscience, en laissant leurs petits compagnons s'échapper... ou en les abandonnant comme un chien ou un chat dans la nature. • En présence d'un serpent, ne surtout pas le toucher. Contacter les pompiers (Tél : 18) et les services de mairie. Source

Plus de 20.000 personnes tuées chaque année en Afrique par les morsures de serpent et piqûres de scorpion Plus de 20.000 personnes meurent chaque année en Afrique à cause des envenimations par morsures de serpent et piqûres de scorpion, ce qui en fait un grave problème de santé publique sur le continent, selon des experts. Selon ces experts, dont des Marocains réunis mercredi et jeudi à Dakar pour la 4ème conférence internationale sur les envenimations par morsures de serpent et par piqûres de scorpion en Afrique, plus d'un million de morsures de serpents et plusieurs centaines de milliers de piqûres de scorpions sont enregistrées annuellement en Afrique, provoquant plus de 20.000 morts. En Afrique subsaharienne, les taux de morbidité et mortalité sont très élevés dans les zones de forte prévalence qui sont surtout peuplées, en majorité, par des paysans et des pasteurs. L'éloignement des centres de soins et l'absence de formation du personnel pour la prise en charge des envenimations aggravent le fléau. L'objectif de cette conférence internationale est de contribuer à l'amélioration de la prise en charge des envenimations par morsures de serpent ou par piqûres de scorpion dans les pays africains, notamment en Afrique subsaharienne où le phénomène prend plus d'ampleur, en raison de la faiblesse des moyens et l'absence de structures de santé. Selon Jean Phillip Chipaux, président du Comité scientifique de la conférence, la prise en charge des envenimations demeure un grave problème de santé publique en Afrique à cause de la faiblesse des moyens thérapeutiques et de l'accès aux anti-venins. Après la 3ème conférence tenue à Brazzaville en 2007, où l'accent avait été mis sur le manque de données épidémiologiques, il était question à la réunion de Dakar de faire une mise à jour de la situation et d'aborder les problèmes se rapportant aux recours aux soins, à l'accessibilité des anti-venins, la formation des professionnels de santé au traitement des envenimations et la sensibilisation des autorités politiques nationales. Au Sénégal, 7.000 à 8.000 cas de morsures de serpent sont enregistrés chaque année entraînant la mort de 150 à 200 personnes, selon des statistiques officielles. Quelque 200 experts, dont des responsables du centre anti-poison de Rabat, ont pris part à cette conférence en vue d'élaborer une meilleure politique de prise en charge des envenimations par morsures de serpent et piqures de scorpions, à travers notamment le renforcement de la formation du personnel médical. Source