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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Découverte exceptionnelle au Togo d'un serpent géant de 17,69 mètres Le plus grand serpent connu mesure 15 mètres de long et vit en Indonésie. Cette découverte réalisée avec mes équipes au Togo est donc exceptionnelle. Depuis presque un an, des témoignages de villageois faisaient état de l'existence d'un serpent géant dans les marécages de la forêt primaire de Badou , une région inhospitalière située à deux cents cinquante kilomètres à l'ouest de Lomé. Echaudé par une précédente rumeur qui faisait état d'un soi-disant animal inconnu qui menaçait une population dans une région proche de Badou, alors qu'il s'agissait tout bonnement d'un chien sauvage, je n'ai pas prêté attention aux récits que me relayaient régulièrement mes équipes sur place. C'est à la demande insistante des autorités gouvernementales que j'ai fini par mettre sur pied une mission de reconnaissance et d'exploration in situ . En 2008, a été découvert en Indonésie un python long de 15 mètres et pesant quatre cents cinquante kilos. C'est jusqu'à présent le plus grand serpent connu. Guidés par des chasseurs expérimentés, nous nous sommes enfoncés dans la forêt humide. La marche est particulièrement difficile et pénible dans ce type de biotope. L'endroit n'étant ni habité ni cultivé, il faut ouvrir son chemin à l'aide de machettes. L'humidité est terrible et l'eau ruisselle de toutes parts inondant le sol transformé en magma boueux et gluant, ce qui rend notre déplacement encore plus difficile. Chaque pas coûte des efforts considérables et ce sont des kilos de boues qui restent accrochés à nos chaussures. Nous n'avons pas vu de reptiles lors de ce déplacement, mais des traces dans la boue prouvaient l'existence au bord des marécages d'un gros serpent, sans qu'il soit néanmoins possible d'affirmer qu'il était de taille exceptionnelle. Mais cette fois ma curiosité était titillée. Après avoir laissé les pluies s'éloignées et la saison sèche s'installée, une nouvelle mission fut mise sur pied avec davantage de moyens humains et matériels. Il s'agissait de rester au moins une semaine sur site pour tirer au clair ces rumeurs qui ne s'étaient pas taries depuis notre premier passage. Cette fois, je pris un fusil hypodermique et des doses de Zolétil 100, un puissant anesthésiant dont je me sers régulièrement lors de mes captures. Partis du même village avec les mêmes guides, nous décidâmes de nous diriger directement vers la zone marécageuse ou nous avions relevé les empruntes. Nous emportions avec nous deux chèvres pour servir d'appâts. Au Togo, seul le Python sebae est un géant parmi les serpents de la faune locale. Il peut mesurer plus de six mètres de long et peser 250 kg. C'est un reptile semi-aquatique. J'étais certain que l'animal que nous recherchions était un python et le fait qu'il avait été vu chaque fois à proximité des marécages par les chasseurs, me confortait dans ce raisonnement. Sur le sol, nous trouvâmes facilement de nouvelles traces dans la boue. La certitude qu'un gros python avait élu domicile dans le coin était acquise et j'étais convaincu qu'il ne s'agissait de rien d'autre que d'un banal Python de Sebae que l'imagination locale avait fait grandir démesurément. On murmurait que le reptile mesurait entre trente et cinquante mètres de long. Certaines traces du reptile paraissant fraîches, nous attachâmes les deux chèvres à des piquets à une vingtaine de mètres du marécage dans un endroit sec et découvert. Si les serpents n'entendent pas les cris de détresse de leurs proies, en revanche, ils possèdent un excellent odorat et sont sensibles aux vibrations que leurs déplacements provoquent sur le sol. Deux journées passèrent dans l'ennui le plus total. Seuls les moustiques avaient trouvé une occupation et nous étions en train d'en payer le prix fort. Finalement c'est à la tombé de la nuit, le troisième jour, que le serpent fit son apparition. Alertés par les bêlements terrifiés des chèvres, nous le vîmes enfin. La forme rampante apparut, se dirigeant lentement vers les appâts vivants. Le serpent semblait effectivement de très grande taille, bien qu'une partie de son corps restait encore invisible au milieu des hautes herbes. Avec une lenteur calculée, je saisis mon fusil hypodermique et quand je fus certain de ne pouvoir manquer ma cible, je tirais une fléchette anesthésiante sur le reptile. Il ne s'agissait pas d'un python sebae comme je m'y attendais, mais d'une espèce que je n'avais jamais rencontré au Togo , le Titanoboa Toganimensis. L'animal dépassait toutes nos espérances en termes de taille. Pas moins de 17,69 mètres de la pointe du museau au bout de la queue, pour un poids de 997 kilos. Il s'agit à ce jour du plus gros serpent jamais trouvé au monde. Et pour cause ... Et vous, aimez-vous le 1er Avril ?? Source
  2. Un Sérésien devant la justice pour possession de 58 NAC Un Sérésien de 30 ans qui détenait chez lui illégalement 58 nouveaux animaux de compagnie (NAC), dont six étaient venimeux, a comparu jeudi devant le tribunal correctionnel de Liège. Le parquet avait réalisé chez lui une des plus importantes saisies de l'arrondissement en la matière en découvrant un boa de Duméril, une espèce rare, 25 autres serpents, 23 lézards et trois mygales. La commune de Seraing a toujours refusé d'octroyer aux demandeurs les permis de détention de NAC. Le prévenu bénéficiait pourtant d'installations qu'il estimait conformes et faisait suivre ses animaux par un vétérinaire. Il détenait dans des terrariums aménagés 26 serpents, 23 lézards, 3 mygales et 3 mégapodes sans autorisation. Pour les nourrir, il avait également pratiqué l'élevage de rongeurs. Six de ces animaux étaient venimeux. Parmi ceux-ci, un boa de Duméril, une espèce particulièrement interdite et qui fait l'objet de spécificités reprises à la convention de Washington. Le prévenu l'avait acheté dans une boutique, dans un état qu'il qualifie de pitoyable. Le Sérésien l'avait soigné et entretenu, tout en portant plainte contre le vendeur. Mais c'est à la suite de cette plainte qu'il a été identifié comme détenteur de NAC. Le parquet a réclamé une peine de 6 mois de prison, sans s'opposer à une mesure particulière. Le prévenu a réclamé la suspension du prononcé. Mais la sanction sera surtout financière car, après avoir refusé durant deux ans d'abandonner ses animaux, l'homme pourrait être condamné à payer les frais de justice et de saisie pour un montant de 25.000 euros. Jugement le 28 avril. (belga) Source
  3. Les enfants rencontrent les amphibiens en forêt Pavée - Moisdon-la-Rivière L'association Bretagne vivante en partenariat avec le conseil général a mis en place début janvier et jusqu'à début avril, un dispositif en Forêt pavée visant la protection des amphibiens qui sont amenés au moment de leur migration saisonnière à franchir la RD 178 pour rejoindre leur site de reproduction. Sans cette action, ces mouvements migratoires dans cette zone sensible entraînent une forte mortalité pour ces espèces qui ont peu de chances d'échapper à la très forte fréquentation routière. L'association, qui a aussi un objectif d'éducation à l'environnement, a proposé à 2 classes des 2 écoles de Moisdon-la-Rivière un projet pédagogique composé de 3 séances. Au menu : découvrir les amphibiens, leurs besoins vitaux, découvrir l'impact de l'homme sur ces espèces et réfléchir à des solutions pour perturber le moins possible leurs déplacements. Cette séance, dans la nature, a permis aux enfants d'identifier : grenouille agile, grenouille rousse, crapaud commun, triton palmé et triton marbré. Au bord de la mare, les enfants ont observé les pontes de grenouilles agiles et les têtards fraîchement éclos ainsi que des larves de salamandre. Un autre rendez-vous au bord de ces mêmes mares, programmé courant mai, leur permettra de découvrir de ce que sont devenues les larves de ces amphibiens ! Source
  4. Puicheric. Le serpent de cinq mètres qui circulait dans les égouts… Puicheric, dans les Pyrénées Orientales. Plusieurs jours que cela durait ! Où çà ? Rue Félix-Roquefort ! Dans un lotissement l'inquiétude était grande en raison des phénomènes anormaux constatés, précise L'Indépendant. Des bruits bizarres dans les toilettes du 41... Des reflux intempestifs et bizarres au n°12... C'était irrégulier mais le problème se manifestait de temps en temps, jusqu'au jour où les habitants en ont eu marre et ont été se plaindre à la mairie. Hier, c'est le summum... un habitant aperçoit la tête énorme d'un serpent dans la cuvette de son WC... Aussitôt il prévient les services techniques de la ville et les pompiers qui accourent sur les lieux... Ne serais-ce pas le monstre du Loch Ness, s'interroge le journal ? Non pas du tout... Un employé soulève une plaque d'égout devant la maison signalée et il voit un énorme serpent ! Avec ses collègues, il le saisit et le sort de là, le ramène ensuite dans les locaux municipaux avant de le loger dans une baignoire... Finalement le maire (qui en a vu d'autres surtout le premier jour d'avril) s'est renseigné... Ce serpent se serait échappé du cirque Piazzola qui se trouvait récemment place Carnot à Carcassonne. Il a 36 dents et mesure 4 mètres 99 cm. Le plus étonnant (et le plus difficile à croire !), « c'est qu'il serait parti ce de la Fontaine de Neptune, qu'il aurait ensuite rejoint le fleuve Aude et qu'il aurait profité d'une dernière crue, avant de s'arrêter dans la Venise du Minervois, nous décrit très précisément le journal... Alors le directeur du cirque est venu rechercher son animal et il n'a pas manqué de remercier chaleureusement l'équipe des sauveteurs. L'essentiel est qu'il n'y a eu ni dégât, ni victimes... Juste un peu de peur... et peut-être de rires pour ceux qui liront ce post, ce jour, 1 er avril 2011 ! Source
  5. Le cobra échappé du zoo du Bronx a été retrouvé Vendredi dernier, un cobra égyptien s'était échappé du zoo du Bronx, à New York. Après presque une semaine de cavale, le serpent a été retrouvé. Cette évasion avait passionné les médias new-yorkais, qui sont aujourd'hui nombreux à annoncer la nouvelle, rapporte le site de LCI. Disparu depuis vendredi dernier, le serpent a été retrouvé jeudi matin. Alors qu'un internaute avait créé un compte Twitter sur lequel le cobra racontait son voyage dans les rues de New-York, le serpent n'avait finalement pas quitté le zoo. C'est une équipe de nettoyage qui l'a découvert dans un bâtiment du parc animalier. "Trouvé ! La patience aura été la stratégie gagnante", se félicite le zoo sur le site de micro-blogging. Le cobra va être examiné par des vétérinaires avant de rejoindre la "Maison des reptiles", qui va pouvoir rouvrir ses portes. Le zoo l'avait en effet fermée après la disparition du serpent, une jeune femelle qui ne mesure que cinquante centimètres de long, alors qu'adulte, elle pourrait atteindre jusqu'à 2,5 mètres de longueur. Si la disparition du cobra égyptien a amusé médias et internautes, elle a aussi inquiété les New-Yorkais. Ce serpent vivant en Afrique du Nord et au Proche-Orient est extrêmement venimeux. Sa morsure peut provoquer des morts foudroyantes. Source
  6. «En 2009, explique le biologiste Clément Robidoux, on a mis en place la première phase du projet. Il s'agissait de cibler quelques actions à poser et des mesures d'atténuation pour assurer la survie de la tortue des bois. Pour cela, on a créé une équipe de travail formée de spécialistes en agriculture et de spécialistes sur la tortue des bois.» (Lac-Brome) Quelques champs de la région de Brome-Missisquoi, surtout très au sud comme à Sutton et à Abercorn, risquent fort d'être plus garnis que par les années passées dès cet été. C'est que 16 agriculteurs ont accepté de faire passer la hauteur de la fauche du foin et des praires de 5 cm à 10 cm sur des bandes de 200 m de profondeur de chaque côté des rivières ciblées, soit Missisquoi, Missisquoi Nord, Sutton et Tomifobia. But de l'initiative: réduire le nombre de collisions de la machinerie avec les tortues des bois, une espèce menacée qui s'aventure parfois jusqu'à 300 m des rives pendant la saison estivale. Selon une étude réalisée dans la région de Brome-Missisquoi, il y avait 23% moins de bébés tortues dans les populations de tortues des bois vivant en milieu agricole que dans celles vivant en milieu forestier. Les bêtes avaient également deux fois plus de blessures à la carapace à cause des collisions avec des lames de faucheuses à disque. L'organisme Corridor appalachien, situé à Lac-Brome, en partenariat avec la Fondation de la faune du Québec, l'Union des producteurs agricoles (UPA) et le ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ), a décidé d'agir. «En 2009, explique le biologiste Clément Robidoux, on a mis en place la première phase du projet. Il s'agissait de cibler quelques actions à poser et des mesures d'atténuation pour assurer la survie de la tortue des bois. Pour cela, on a créé une équipe de travail formée de spécialistes en agriculture et de spécialistes de la tortue des bois.» Source
  7. Le GPS magnétique des tortues En détectant le champ magnétique terrestre, les tortues déterminent la latitude de leur position, mais aussi leur longitude : une première dans le monde animal ! Loïc Mangin Pour se repérer à la surface de la Terre, on doit connaître la latitude et la longitude de sa position, ce que nous fournissent les GPS actuels. Auparavant, on déterminait la latitude grâce aux étoiles, mais la longitude a longtemps été un problème, notamment pour les marins, jusqu'à l'invention de chronomètres performants à la fin du XVIIIe siècle. Qu'en est-il des animaux migrateurs ? Certes, plusieurs espèces sensibles à l'intensité du champ magnétique terrestre (il varie du Nord au Sud) obtiennent des indications sur leur latitude lors de leurs pérégrinations, mais on pensait la longitude hors de portée du monde animal. Ce n'est pas le cas. En effet, Nathan Putman, de l'Université de Caroline du Nord, aux États-Unis, et ses collègues ont montré que la tortue caouanne (Caretta caretta) percevait la longitude. Les biologistes ont capturé des tortues fraîchement écloses, en Floride, et les ont placées dans des arènes où étaient reproduites les conditions magnétiques de deux zones (Porto Rico et les îles du Cap Vert), situées sur leur route migratoire à travers l'océan Atlantique, à la même latitude (20° Nord), mais à des longitudes différentes. Ils ont ensuite observé dans quelle direction elles s'orientaient. Les premières nageaient vers le Nord-Est, les secondes vers le Sud-Est. Des tortues à peine nées ne pouvant recourir à leur mémoire pour leur premier périple, ces observations montrent que les animaux disposent d'informations sur la longitude, mais de quelle sorte ? En un point de la Terre, le champ magnétique est notamment défini par son intensité et son inclinaison, c'est-à-dire l'angle de la direction du champ par rapport à l'horizontale. Selon l'équipe de N. Putman, ces deux paramètres suffisent à caractériser toute région de la route migratoire des tortues. Les tortues détermineraient leur position grâce à ces deux informations. Elles n'ont pas besoin des satellites du système GPS. Source
  8. Les tortues marines victimes du braconnage à Mayotte Jeudi, l’île de Mayotte est officiellement devenue le 101 ème département français. Cette île, dotée d’un patrimoine naturel exceptionnel, est le lieu de prédilection des tortues marines. Malheureusement, le braconnage de ces animaux protégés fait encore des ravages. Isolée et accessible seulement par la falaise, la plage de Papani est un endroit privilégié par les braconniers de tortues marines. A l’abri des regards, ils peuvent se livrer au trafic de ces animaux pourtant protégés. Les policiers de l’environnement de la brigade Nature Mayotte se rendent régulièrement sur place et constatent les dégâts. Des carapaces encore récentes, de vieilles carcasses, des fragments d’écaille, c’est ce qu’il reste de plusieurs dizaines de tortues, massacrées par les braconniers alors qu’elles venaient pondre sur la plage. Malgré de nombreuses arrestations et des peines de prison ferme, les braconniers continuent de tuer. Au total, des milliers de tortues sont exterminées chaque année, alors que l’espèce est protégée. Un braconnage juteux pour les chasseurs qui vendent la viande de tortues sur les marchés de Mayotte, autour de 5 euros le kilo. Une tortue contenant 50 kilos de viande, le calcul est rapidement fait pour ces marchands, qui gagnent aux alentours de 250 euros par spécimen capturé. Si la lutte contre ce braconnage est si difficile, c’est aussi parce que cette pratique est ancestrale. Mais les autorités mahoraises sont aujourd’hui déterminées à y mettre un terme, pour préserver ces tortues protégées et érigées en symbole de la richesse naturelle de Mayotte. A quelques centaines de mètres de Papani, la plage de Moya est devenue le sanctuaire des tortues marines. Parfois, il est même possible d’avoir la chance d’observer une émergence de bébés tortues. Les gardes de cette espace protégé sont toujours émus devant ce spectacle étonnant. Said et ses collégues se relaient 24 heures sur 24 pour surveiller le site en permanence. Leurs missions : sensibiliser le public et protéger les tortues. La probabilité de survie pour un bébé tortue est infime. Environ un seul sur 200 survit. Chaque naissance représente une victoire pour ceux qui se battent pour protéger ces tortues. Aujourd’hui elles sont de plus en plus nombreuses à venir pondre sur ce site. Source
  9. Celle qu'on m'a proposé aussi est vraiment petite. J'ai faillis succomber aussi mais bon.
  10. Héhé j'ai faillis acheté une Psalmopoeus Irminia qui provient du même sac que la tienne tantôt. On m'a proposé ça tantôt ici à Québec et ça venait de chez Martin et Amanda justement.
  11. Le cobra disparu de New York devient une star sur Twitter Disparu depuis le week-end dernier, le cobra du zoo du Bronx, à New York, est toujours introuvable. Pourtant, il donne de ses nouvelles sur Twitter... Le cobra égyptien de New York a donné de ses nouvelles ! Disparu du zoo du Bronx depuis le week-end dernier, le reptile était introuvable. Heureusement, il a été repéré... sur Twitter, où il a créé un compte pour raconter ses aventures dans Big Apple. @BronxZoosCobra a d'ailleurs du succès, puisqu'il rassemblait jeudi matin environ 185 000 abonnés, tous impatients de suivre ses aventures reptiliennes. "Cher New York, depuis l'aube des temps les pommes et les serpents s'entendent bien" ou "Sur le toit de l'Empire State Building! Vu d'ici, les gens ressemblent à des petites souris. De délicieuses petites souris" sont les messages qu'il est possible de lire sur Twitter. Aussi, le cobra égyptien n'hésite pas à faire de l'humour : "Je me régale avec un petit gâteau chez Magnolia Bakery. Cela va directement sur mes hanches. Oh mais attends. Je n'ai pas de hanches. Cool!". "Si jamais je trouve une ceinture en peau de serpent..." @BronxZoosCobra fait également dans la politique : "Donald Trump (promoteur immobilier américain, ndlr) songe à la présidentielle? Pas de problème, je m'en occupe, où est la Tour Trump exactement?". Parfois, il lui arrive même de lutter pour la cause animale, comme ce tweet adressé à la créatrice Diane von Furstenberg : "Si jamais je trouve une ceinture en peau de serpent gare à vous!". Le retrouver pourrait prendre plusieurs semaines Contacté par Reuters, l'internaute se cachant derrière le compte Twitter du cobra a expliqué avec humour : "Pourquoi tout le monde trouve tellement improbable qu'un serpent du Bronx puisse se promener tranquillement dans la ville en tweetant sur son iPhone ?". Le compte du cobra égyptien pourrait en tout cas être actif encore longtemps, puisque le personnel du zoo du Bronx a déclaré qu'il pourrait mettre plusieurs semaines avant de retrouver le reptile disparu. La taille de l'animal rend notamment la tache difficile, puisqu'il mesure "seulement" 50 centimètres, alors que les cobras adultes peuvent atteindre jusqu'à 2,50 m de longueur. Cette nouvelle n'est pas pour rassurer, les habitants de New York puisque le cobra égyptien est réputé pour être très dangereux. Selon les experts, son venin est capable de tuer un éléphant adulte en 3 heures, et un homme en seulement 15 minutes. Source
  12. La faune aquatique surveillée par le centre d'initiatives - Tillières Le Centre permanent d'initiatives pour l'environnement (CPIE) met en place une campagne pour la connaissance et le repérage des espèces aquatiques (grenouilles, crapauds, tritons...) sur le territoire maugeois. C'est ainsi que vendredi soir, une douzaine de personnes se sont déplacées au village de la Poterie et dans les marais du Grasselier à l'occasion de l'animation « Un dragon ! Dans mon jardin ? ». Tiphaine Heugas, chargée d'action au CPIE, a conduit la rencontre. Muni d'une lampe torche, le groupe s'est dirigé vers des mares où certaines espèces d'amphibiens se développent. Dans les Mauges, il existe plus de dix espèces mais 20 % des espèces ont déjà disparu. Depuis quelque temps, une alerte a été mise en place concernant une espèce particulièrement dangereuse pour ses congénères et autres petits animaux aquatiques : la xènope lisse. Cette espèce de grenouille est issue à l'origine d'Afrique Australe et s'est échappée d'un centre d'élevage des Deux-Sèvres qui fournissait des laboratoires. Depuis, celle-ci se déplace d'un km tous les ans et détruit tous les amphibiens qu'elle côtoie ainsi que les petits poissons et les larves. Pour l'écosystème, c'est un véritable fléau puisqu'elle n'a, pour le moment, pas d'autres prédateurs que l'homme. Le CPIE lance donc un appel pour inciter les populations à appeler s'il est remarqué une variété inconnue. Un spécialiste sera alors envoyé. Contact : tél. 02 41 71 77 90, courriel : undragon@paysdesmauges.fr, site Internet Source
  13. Thégra. A la découverte des grenouilles et crapauds Samedi 2 avril, dans le cadre de ses « Découvertes nature et patrimoine », le Parc naturel régional des Causses du Quercy, en partenariat avec la commune de Thégra et l'association Thégra Animation, propose « Fréquence Grenouille », une sortie animée par l'équipe du Marais de Bonnefont. Fréquence Grenouille est une campagne de sensibilisation organisée par le réseau des Conservatoires d'espaces naturels et Réserves naturelles de France en faveur de la préservation des zones humides. A cette occasion, l'équipe du Marais de Bonnefont (communauté de communes du Pays de Padirac) a préparé une soirée de découverte des fontaines, lavoirs et points d'eau de Thégra pour mieux connaître et comprendre la vie des grenouilles, crapauds, tritons et salamandres. Prévoir des vêtements chauds, des bottes et une lampe de poche. Places limitées, sur inscription auprès de la communauté de communes du Pays de Padirac (Sonia Récoppe au 06 78 00 93 07). Visite grand public sur réservation (nombre de places limitées) Rendez-vous à 17 h 30 à Thégra. Départ de la 1re balade : 17 h 30 (petite boucle de 2,5 km). Pique-nique tiré du sac vers 19 heures (sous abri). Départ de la 2e balade : 20 h 30 (boucle de 3,7 km). Source
  14. Nom scientifique : Elaphe schrenckii Nom français : Couleuvre de l'Amur Nom anglais : Amur ratsnake Origine : Chine, Corée, Russie, Mongolie Biotope : Semi-humide à humide Température : 26 à 28°C Hygrométrie : 60 à 80% Moeurs : Terrestre, mais aime grimper et crépusculaire Taille adulte : Moyenne de 1,5 mètres mais peut atteindre jusqu'à 1,8 mètre. Longévité : 10 à 15 ans Nourriture : Rongeurs, dans la nature, des oiseaux également Voici l'une des couleuvres dont j'ai trippé le plus à voir. Son nom provient d'un fleuve dont son aire de répartition suit. Il s'agit d'un ratier asiatique donc reconnu pour être plus caractériel que nos ratiers nord-américains. Comme on dit souvent, c'est relatif aux spécimens. Ce sont de bons mangeurs et ils peuvent être assez impressionnant. Pour ceux qui me connaissent depuis longtemps, vous vous rappellez peut-être de mon gros mâle de 6 pieds que j'avais. Une chance qu'il n'avait pas le caractère de ma femelle.
  15. Les producteurs agricoles, alliés de la tortue des bois La tortue des bois, espèce menacée confinée à une zone restreinte au sud du Québec, subit la pression des activités agricoles. C'est pourquoi l'organisme Corridor appalachien en est à réaliser la deuxième phase d'un projet de protection de cette espèce, initié par le Groupe de mise en oeuvre du plan de rétablissement de la tortue des bois. Le projet fait appel à la collaboration des producteurs agricoles situés aux abords des rivières Missisquoi, Missisquoi Nord, Sutton et Tomifobia. Source
  16. Condamnée pour l’importation de 41 tortues de la Réunion La retraitée varoise de 65 ans qui avait mis en place un trafic de tortues en provenance de la Réunion a été condamnée à 5000 euros d’amende et son vétérinaire à 2 000 euros, rapporte le journal Var Matin. L’affaire remonte au 18 avril 2010. A Gillot, avant de prendre son avion la métropole, Jacqueline Viot-Baueur, 65 ans, une retraitée installée dans le Var est interpellée. Les douaniers ont découvert dans ses bagages une caisse en bois contenant une tortue radiata de 8 kg et douze petites tortues de la même espèce dissimulées dans des chaussettes. La plus grosse est dotée d’une puce. Mais les données enregistrées ne correspondent pas à l’animal. Il s’agit d’une femelle et le certificat informatique fait état d’un mâle. D’autres curiosités sont retrouvées dans les affaires de la retraitée : un lecteur de puces et des seringues. Dans le Var, le domicile de la retraitée est perquisitionné. Au total, 41 tortues sont recensées. Outre la fameuse radiata - dont le prix est estimé à 9000 euros à la revente -, les enquêteurs évaluent la valeur de l’ensemble de la saisie à 70000 euros. L’enquête va montrer que Jacqueline Viot-Baueur s’est procuré des kits auprès d’un vétérinaire, le Dr Gérard Nis, afin de pucer les tortues. Ces kits étaient par ailleurs accompagnés de formulaires pré-remplis par le professionnel. La retraitée qui se décrit comme une passionnée de tortues ainsi que le vétérinaire ont été renvoyés devant le tribunal correctionnel de Toulon où ils ont été jugés avant-hier. LA SEXAGENAIRE NIE UN TRAFIC À la barre, la sexagénaire a dû s’expliquer sur la détention et le transport d’espèces protégées. “Vous êtes une passionnée, vous dites aimer les tortues et vous les transporter dans des chaussettes en soute. Vous avez déjà voyagé en soute à bagages madame ?” a demandé la présidente du tribunal. “On a aussi trouvé beaucoup d’espèces protégées à votre domicile : des hermann, des radiata, des cistudes. Même des cadavres de tortues dans le congélateur. Vous trouvez ça normal.” Jacqueline Viot-Baueur campe sur sa position. Ces bêtes, elle les aime. Elle a commis des erreurs mais assure n’avoir pas monté de trafic. Et la magistrate de s’étonner. “À La Réunion, vous achetez 800 euros, en liquide, une tortue sortie d’un coffre. On peut se demander ce que vous alliez en faire. Surtout lorsque l’on sait qu’elle peut être revendue près de 9000 euros”. La prévenue conteste. Elle voulait simplement remplacer une tortue décédée. Sur l’utilisation des kits et des puces d’identification, elle précise les avoir utilisés sans intention mercantile. “Et puis, j’avais engagé des démarches pour être dans la légalité. J’ai obtenu une capacité pour détenir des espèces protégées. Le renouvellement était en cours. Je n’ai jamais pensé à mal.” La réponse de la présidente fuse. “En général, d’abord on passe le permis et après on conduit.” Interrogé, le vétérinaire, poursuivi pour exercice illégal de la chirurgie vétérinaire, a expliqué ne pas être un spécialiste des tortues. “Je connaissais cette dame depuis des années, je n’ai pas pensé à mal en lui vendant des kits.” La représentante du ministère public a requis trois mois de prison avec sursis et 5 000 euros d’amende pour la prévenue et 1000 euros pour le vétérinaire. En défense, les conseils ont tour à tout écarté la thèse d’un trafic de tortue. Me Angelico a évoqué une passion dévorante et la possibilité de détenir en toute légalité de tels spécimens. Sa consœur a quant à elle décrit le professionnalisme du vétérinaire et l’absence d’intérêt quelconque. “Il n’est pas non plus un spécialiste. Sur 26 000 animaux qu’il a traités, 29 sont des tortues.” Le tribunal a prononcé une amende de 2 000 euros à l’encontre du vétérinaire et 5 000 euros pour l’éleveuse Pegguy Poletto (Var Matin) Source
  17. Vous voyez qu'il y en a d'autres qui sont aussi weirds que moi
  18. Ça pousse comme de la mauvaise herbe
  19. Pollution : 75 % des tortues vertes absorbent des débris de plastique Dans le dernier numéro du bulletin d'information sur les tortues marines, des biologistes expliquent que les trois quarts des animaux qu’ils ont examinés avaient avalé des morceaux de plastique. Récemment, une tortue s'était échouée en Argentine, l’estomac rempli de centaines de ces débris. Les tortues de mer ont tendance à avaler les sacs en plastique qu’elles confondent avec des méduses, un de leurs aliments préférés, ce qui peut bloquer leur tube digestif et entraîner leur mort. L’issue n’est heureusement pas toujours fatale, car 75 % des tortues vertes auraient déjà expérimenté ce régime peu digeste, selon Colette Wabnitz, de l'Université de Colombie Britannique, et Wallace Nichols, de l'Académie des Sciences de Californie. "Les organismes de presque toutes les espèces marines, y compris certaines des plus vulnérables qui passent pourtant presque toute leur vie loin de l'homme, contiennent aujourd'hui du plastique. On en retrouve dans les nids des oiseaux, autour des bernard-l'hermite en guise de coquille, dans les estomacs des tortues de mer, des baleines et des albatros. Plus de 260 espèces ont déjà été signalées ingérant ou s'emmêlant dans des débris de plastique", précisent ces chercheurs. 260 millions de tonnes de plastique sont produits chaque année dans le monde - contre à peine une demie-tonne en 1950. Un milliard de sacs en plastique à usage unique sont distribués gratuitement tous les jours, dont beaucoup finissent dans l'océan. "L'année dernière, debout à la proue de notre bateau, en Indonésie, à la recherche de tortues marines, j'ai compté 76 sacs en plastique en une seule minute" résume tristement le Dr Nichols. Source
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