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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Eh oui, quelqu'un chiale que je montre les autres mais pas Luis. Pour ceux qui ne le savent pas, ça fait quelques années que j'amène Luis dans des expos. Chaque fois, je chiale que Luis pogne plus que moi. C'est vrai, il a toujours toutes les femmes après lui. Un jour, quelqu'un m'a dit, ton serpent c'est un serpent de femme. Ok vrai, sauf qui les femmes vont-elles voir dans les expos? Dans les dents. J'ai commencé à montrer des tours à Luis, certaines pourront le confirmer, il entre dans les chandails et il va se coucher dans les soutiens-gorges. Prochaine étapie, apprendre à Luis à prendre des photos. Ok il est en mue mais comme ça chialait pour les photos, vous aurez ce que vous aurez.
  2. Ses dents et la force de sa mâchoire m'ont laissé croire aujourD'hui qu'il allait beaucoup mieux. Il a aussi passé la journée a sauté dans son bassin d'eau et à y resortir. Je crois que c'est bon signe.
  3. Voici un jeune Heterometrus spinifer qui a beaucoup d'énergie. J'ai de la difficulté à la photographier puisqu'il bouge sans arrêt. Je n'ai jamais vu un scorpion aussi actif que lui. En plus, il est toujours prêt à attaquer, plutôt se défendre. Toujours sur ses gardes, il est prêt à pincer ou à piquer tout ce qui le dérange.
  4. Par contre, ayant habité à McWatters dans le passé. Je peux te confirmer que les fournisseurs des animaleries sont les mêmes qu'à Montréal sauf qu'ils leur envoient ça par avion. Tu peux donc t'en faire commander un par une animalerie locale. C'est sur que tu vas payer plus cher qu'ailleurs mais sûrement moins que si tu payes ton déplacement pour aller t'en chercher un toi même.
  5. Je ne connais pas grand monde qui ont des reptiles dans ce coin là malheureusement
  6. Tu es de quel coin pour commencer?
  7. Voici un autre serpent qui m'a été vendu comme étant un Grey-banded king snake (Lampropeltis alterna) mais qui est évidemment un Lampropeltis mexicana. On me l'a identifié comme étant un Lampropeltis mexicana greeri. Je retrouve donc avec un mâle et deux femelle Lampropeltis mexicana ssp. Ce sont parmi mes serpents favoris au départ. Cette femelle est la préféré de Bella tout simplement parce qu'elle a une tache en forme de coeur derrière la tête. Ça prennait bien une fille pour le remarqué puisque depuis des mois, je ne m'en étais même pas apperçu.
  8. Max|mum-leterrarium

    mue gecko leopard

    Tu peux faire vivre ton gecko léopard avec seulement ton sun glow honnêtement. Si tu ne vois pas assez bien dans ton terrarium, tu peux ajouter un UV de 2.0%. Étant un lézard nocturne, il évite les rayons du soleil dans la nature alors il ne dépend pas des UVA/UVB.
  9. Il l'a été mais je ne l'ai plus. Celui s'est retrouvé chez Tregg je crois mais je ne suis pas certain.
  10. Eh oui, pour ceux qui suivent mes messages, il s'agit du scorpion que je gardais dans mon bureau au travail. Elle est revenue à la maison depuis environ deux mois à cause que j'ai plusieurs expositions et présentations à faire depuis. J'avais acquis un Pandinus imperator pour ces occasions à cause de sa sociabilité donc facilement manipulable pour les gens. Par contre, j'ai acquis une femelle craintive alors pas moyen de la manipuler correctement puisqu'elle songe juste à courrir loin des mains alors trop de risques de l'échapper. J'ai toujours maintenu ces scorpions individuellement. Ça fait plusieurs qui me disent avoir tenté l'expérience de groupe et ça commence à me chicoter pas mal. Pour ceux qui l'ont fait, quelle grandeur de terrarium utilisiez vous pour combien d'individus?
  11. Voici une de mes dernières acquisitions même si ça fait quand même un bout que je l'ai. C'est un scorpion que j'ai acquis de LD50. En fait, pratiquement chacun de mes scorpions proviennent de chez lui à quelques exceptions près.
  12. Eh oui, j'avais vendu mes mygales à cause de mon ex et j'ai racheté des scorpions. J'ai pourtant une mygale à la maison. Elle est en pension, quoi que je ne charge rien à la propriétaire à part un sourire de temps en temps. Ah ce qu'on ne ferait pas pour une jolie petite blonde. On peut voir l'abdomen de la mygale qui nous montre à quel point qu'elle peut être calme. Elle a encore tous ses poils. Petits faits insolites de cette mygale, je lui serre la patte de temps en temps pour voir et elle réagit à peine. Elle fait que reculer d'un pas. Elle a un caractère parfait. Tiens Bella, même avec tous ses kms qui nous séparent, tu peux encore avoir des nouvelles quand même.
  13. Max|mum-leterrarium

    2 gecko

    Parfois ils les enterrent aussi. On ne les voit pas toujours. Ça va en fonction de ce qu'il mange.
  14. Max|mum-leterrarium

    2 gecko

    Effectivement, je conseille toujours une cachette par animal. Parfois, ça ne change rien deux mâles, mais il peut y avoir aussi conflit de territoire.
  15. Depuis un bout de temps, il y a une bête qui se cache dans cette grotte chez moi. Eh oui, voici un serpent que j'ai acheté sur un coup de tête vendu comme étant un grey-banded king snake (Lampropeltis alterna) mais qui n'en est pas un. Après décompte d'écailles et tout, le résultat le plus probable est un intergrade de Lampropeltis mexicana. Si on se fit à certains traits de la tête, couleur de l'iris, décompte d'écailles, le résultat le plus plausible est Lampropeltis mexicana mexicana X Lampropeltis mexicana thayeri. Ceci reste qu'une hypothèse ne connaissant pas l'arbre généalogique de l'animal. Malgré tout, ça reste une magnifique bête. . Quand je l'avais acheté, c'était pour cadeau à mes neveus donc je n'ai pas eu le serpent chez moi. Ma soeur m'a fait part en me le retournant que le serpent avait acecpté que deux repas en six mois chez elle. C'est là que je me suis rendu compte que c'était qu'une question de paramètres puisque cette jolie femelle mange férocement chaque semaine à la maison. La peau du cou qui s'étire pour laisser entrer la proie J'adore les Lampropeltis!
  16. Max|mum-leterrarium

    2 gecko

    Photo emprunté à http://www.vmsherp.com/ Tu parles de ça? C'est une coloration seulement du gecko léopard donc il reste de la même espèce.
  17. Max|mum-leterrarium

    2 gecko

    Un artic blast? Tu peux mettre deux geckos de la même espèce dans le même terrarium s'il est assez grand pour accueillir les deux. J'ai bien dis, de la même espèce, donc deux geckos léopards en exemple.
  18. Eh oui, je parle d'un jeune berber skink d'environ 3 ans. Je l'ai acquis l'an dernier au cours de l'été. Une animalerie me devait de l'argent pour un crédit donc je suis parti avec le berber qu'ils avaient. Espèce commune mais que je trippe quand même avec ça. C'est une espèce diurne qui est quand même assez active donc on voit de l'action dans leur terrarium. Mon petit bonhomme ne sait pas qu'il est un berber puisqu'il a une branche dans son terrarium et il passe beaucoup plus de temps à grimper qu'à être enfoui comme la majorité de son espèce. Mais à passer ses journées à escalader comme ça, c'est épuisant alors un bon repas puis dodo.
  19. Eh oui, la saison va commencer sous peu. Peut-être qu'elle est commencé dans certaines régions mais Québec semble trop froid et enneigé encore pour débuter. Je voulais savoir si certains d'entre vous voudrait se joindre à moi pour du herping durant l'été? Faîtes signe, je suis même ouvert à me déplacer.
  20. Joël ou le rêve de la vie sauvage Joël se lève le matin à l’heure où son jardin crépite de pépiements d’oiseaux divers. Chaque jour il parle aux perroquets, taquine l’iguane, sifflote avec les perruches. C’est une façon pour lui d’être en résonance avec la nature. e matin, avec sa compagne, il prend son petit-déjeuner à la table contiguë à une volière où évoluent un couple de perruches et un autre d’inséparables. “C’est un bonheur de les entendre, de les voir s’éveiller en même temps que nous. Ils s’étirent, se douchent, se font des bisous, autant de choses communes à l’espèce humaine,” s’émerveille Joël. La nature a toujours été, et reste, un enchantement pour ce fringant quinquagénaire qui dès l’âge de 10 ans élevait déjà des loriquets de Swainson, avant de donner l’hospitalité sur le balcon de sa chambre (et pendant 4 ans) à un lémurien ramené de Madagascar par le capitaine d’un bateau. Dans le grand jardin zen que cet amoureux des confins de l’Inde et de l’Asie cultive avec ferveur, aujourd’hui encore les loriquets aux couleurs chatoyantes, y ont toute leur place. “Ce sont des oiseaux joueurs, joyeux, pleins de vie.” La famille, s’est agrandie il y a de cela deux mois pour la plus grande joie du maître des lieux. Des oiseaux bien discrets comparativement aux amazones à front bleu (des perroquets) qui logent tout à côté. De prime abord leur caractère quelque peu ombrageux n’incite pas à la communication, mais “Jolie”, la femelle, par quelques mots bien à elle, sait retenir l’attention du visiteur et briser la glace. “Je rêve de les élever en liberté” “Jolie” est l’une des rares pensionnaires du parc enchanteur de Joël affublée d’un prénom. L’autre est un magnifique iguane, à la cuirasse luisante et dont les griffes incitent au plus grand respect. “Godzila” est âgé de 8 ans, pèse 4 kg et, bien déplié, développe 130 centimètres. “Il m’arrive parfois de le sortir de sa cage, mais je préfère le faire la nuit. Il est alors plus facile à aborder. La journée il faut se battre, car il passe le plus clair de son temps au soleil et du coup, il est gorgé d’énergie.” Fut un temps, où Joël, élevait également des serpents, mais notre homme est un grand sensible, adepte du bouddhisme, respectueux de la vie. “Pour nourrir les serpents j’étais obligé de garder des souris à la maison et de les savoir condamnées, cela me posait, pour ainsi dire, comme un cas de conscience.” Depuis, les vivariums qui leur étaient destinés accueillent diverses variétés de tortues. Des Radiatas, bien sûr (toutes titulaires d’une puce signalétique, conformément à la réglementation), aussi prisées des voleurs que le “zamal”, mais également des Terrapene Carolina (originaires du Mexique et des USA, friandes d’escargots, de limaces et de vers de terre) et même une tortue-léopard (africaine). “Il faut savoir que la tortue-léopard, toute mignonne lorsqu’elle est jeune, peut, à l’âge adulte, atteindre le quintal, mais surtout sa spécialité est de creuser des galeries pouvant atteindre les 3 mètres de profondeur !” prévient celui dont chaque initiative est empreinte de discernement. Autre conseil précieux : “Les tortues végétariennes ne doivent pas se contenter de salade exclusivement. C’est là une nourriture pauvre. Il faut y ajouter, entre autres, de la tomate, du concombre, du chou, des pommes.” A savoir également : “La tortue doit vivre sur un sol tendre et son habitat doit être capable de lui offrir des zones à l’ombre, mais aussi des espaces ensoleillés. Faute de soleil, elle fera une carence en vitamine et sera sujette à des malformations.” Chez lui, celles habituées en eau douce (originaires de Floride et carnivores) cohabitent avec des “goupys”, petits poissons, dont la robe multicolore et scintillante, met de la lumière dans les bassins où croissent diverses sortes de nénuphars. “Grâce aux nénuphars, j’ai des fleurs tous les jours, tandis que les goupys me permettent d’éviter les moustiques.” Joël apprécie également la compagnie des “comètes” et des “syphos”, pour les mêmes raisons. Son rêve : “Pouvoir élever tous mes amis en liberté tout autour de la maison. En attendant je leur accorde le maximum de place.” Des amis, sources d’inspiration pour ce passionné de bricolage, de décoration, de voyages, de photos et - accessoirement - adepte du kung-fu. Il n’y a qu’à voir son jardin, havre de paix, épicentre de la douceur de vivre et, pour lui, le dernier étage avant le ciel. Alain Junot Source
  21. Emmanuel Lemagnen ou la passion tortue Voilà plus de trente ans qu’Emmanuel Lemagnen voue une véritable passion pour les tortues, iguanes, serpent et lézards. Une passion non dénuée de raison qu’il nourrit chez lui, du côté de La Ressource, sur les hauteurs de Sainte-Marie. epuis petit, j’attrape des papillons, des coléoptères, j’élève des lézards, je capture des vipères… Je construisais des petites cages dans l’atelier de papa pour y capturer des petits animaux que je nourrissais avec des insectes”. Entre Emmanuel Lemagnen et les animaux, l’histoire d’amour dure depuis toujours. Il a la cheloniophilie, autrement dit, l’amour des tortues. “J’ai une soixantaine d’espèces différentes”, annonce celui qui est président de la Société cheloniophile de Bourbon, forte de plus de 2 000 adhérents. Ses tortues de terre (20 espèces) et d’eau douce (40 espèces) viennent du Brésil, d’Australie, de Chine, ou encore de Méditerranée. La plus vieille a 118 ans. C’est son père Roger qui lui a transmis le sens mystérieux des animaux. “L’une de nos spécialités est que nous arrivons à nous mettre à la place des animaux. Par exemple je sens quand il va y avoir bientôt une éclosion, quand une de mes tortues va tomber malade ou quand il va y avoir une ponte”, confie l’éleveur. Dans son jardin entièrement aménagé afin de respecter au mieux les biotopes en matière végétale, des bassins accueillent les différentes tortues. Elles sont dix-sept espèces à s’y reproduire régulièrement dont la tortue “Hermann”. Des naissances qui ont de quoi surprendre les scientifiques qui affirment que “la reproduction est impossible sans hibernation”. Emmanuel Lemagnen démontre le contraire depuis de nombreuses années… Il place les œufs de ses pensionnaires dans une couveuse afin d’éviter leur destruction par les fourmis. Le cheptel est rigoureusement répertorié et doté d’une puce électronique. Une puce qui lui a permis de retrouver rapidement ses compagnons lors de vols. Sa collection compte notamment des spécimens géants. La plus impressionnante espèce est sans aucun doute la tortue alligator dont le bec tranche comme une lame de rasoir. Emmanuel Lemagnen attrape d’ailleurs la belle bête par la queue pour nous la montrer. “Je ne mets jamais la main dans son parc”, souligne-t-il. Il y a également la tortue jaune (Trionyx ferox albinos), la tortue léopard d’Afrique (Stigmocholys pardalis), la tortue à ventre rouge d’Australie (Emydura susglobosa) ou la tortue géante (Dypsochelys dussumieri). “La tortue n’est pas un jouet” Son grand regret : “A ce jour, il n’y a jamais eu de thèse sur la tortue Radiata alors qu’elle est en voie de disparition dans son pays d’origine, Madagascar”. Le message est lancé aux étudiants... Une chose est sûre : Emmanuel Lemagnen sera une source intarissable d’informations. “La tortue n’est pas un jouet, un cadeau de Noël. Ce n’est pas un animal qu’on met dans la chambre à coucher. Il doit être maintenu sans intervention humaine”, dit-il. Et même s’il n’a pas donné de petit nom à ses compagnons, il leur doit de sacrées émotions : “Chaque tortue qui sort de l’œuf, c’est quelque chose, surtout quand c’est une espèce peu courante. L’accouplement des tortues géantes, c’est un phénomène. C’est la préhistoire qui vous cause...”, souligne-t-il. Le bestiaire d’Emmanuel Lemagnen compte aussi des serpents, des souris kangourous d’Egypte, des lézards, un iguane et le plus gros mille-pattes du monde. Fruits, légumes, liane de patate-à-durand, salades, mais aussi blattes nourrissent ce petit monde. Emmanuel Lemagnen voue une plus vieille passion à l’entomologie. Sa collection personnelle se renforce au fil des jours. Ce grand amoureux des petites bêtes est fier d’y compter un coléoptère endémique de la Réunion qui porte son nom : “le syzygops lemagneni”. Mais çà, c’est une autre histoire... d’amour. Source
  22. Nom scientifique : Heterometrus spinifer Nom français : Scorpion noir géant d'Asie Nom anglais : Asian black scorpion ou Asian forest scorpion Origine : Malaisie, Thaïlande, Cambodge, Vietnam Biotope : Humide Température : 24 à 28°C Hygrométrie : 80 à 90% Moeurs : Terrestre et nocturne Taille adulte : Jusqu'à 15 cm Longévité : 8 ans Nourriture : Insectes Voici un scorpion qui est souvent comparé avec le populaire scorpion africain, le scorpion empereur (Pandinus imperator). Par contre, l'H. spinifer est légèrement plus toxique avec son venin de degré 2. La piqure est donc très douloureuse et peut cause des troubles de visions temporaires, de la fièvre et des vomissements. Le corps de l'H. spinifer est moins large et imposant que son homologue africain. Même qu'il a des larges pinces, elles sont moins grosses que chez le Pandinus imperator.
  23. Eh oui, certains le savent puisque je leur en ai parlé. Mon tégu avait eu un deux jours à trembler comme une feuille pour ensuite vomir et tout était revenu dans l'ordre. Je ne l'avais pas apporté à l'expo de St-Jean pour le laisser se reposer. La semaine passée, ça recommencé mais vraiment intense. J'ai compris le pourquoi. J'avais un néon UV depuis 4 mois mais il a brulé deux jours après donc c'était de la marde que j'avais pogné. J'ai tenté de trouver un vétérinaire pour le voir mais c'est difficile à Québec apparamment. J'ai donc commencé un traitement maison qu'on pourrait dire. De la poudre de calcium mêlé avec de l'eau 4:1 pour lui ingérer avec une seringue pas d'aiguille. Il a droit à 5 cc par jour depuis jeudi dernier. Comme il refuse de manger depuis, je dois le gaver. Plus les jours avancent, mieux il se porte. Je crois bien qu'il va s'en sortir. Il a un nouveau UV. Si vous connaissez quelqu'un qui peut tester vos UV, faites le faire, ça peut être pratique parfois. Mon gros garçon ne tremble presque plus sauf le bout des doigts des pattes arrières seulement. Je mets beaucoup de temps sur lui actuellement mais le but est qu'il s'en sorte. Je faisais ce message juste pour dire d'être vigilant et agissez aussitôt que vous voyez des signes de maladies pour être capable de soigner vos bêtes à temps.
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