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Le musée de l'Amiral rouvre ses portes Le musée de l'Amiral, royaume des coquillages de tous horizons, rouvre ses portes à Penhors avec, cette année, une démarche résolument écologique. Véhiculant la notion de préservation des espèces et des habitats avec pour ambassadeurs 12.000coquillages, des oiseaux de la région, des poissons et des tortues, le musée de l'Amiral ouvre sa saison. De multiples dons Guy Ségalen, le conservateur de ce musée dédié aux conchyliophiles, est là dans son élément. Tout commence en 2002, lorsque l'amiral de Pencallet lui confie sa collection de coquillages. Guy Ségalen, par ailleurs propriétaire du restaurant voisin le Breiz Armor, ne peut laisser cette collection au fond des placards: il décide de partager sa passion avec le public et d'en faire un musée. La modeste collection du départ s'étoffe à n'en plus finir grâce à des dons de collectionneurs et même un don des douanes, à l'issue d'une saisie à l'aéroport. Récemment encore, Guy Segalen a reçu en don de Mme Philippe toute la collection de son époux: 3.000 coquillages de 700 espèces différentes. Aujourd'hui ce sont 12.000 coquillages, du plus microscopique au plus grand «bénitier» qui se laissent admirer. Tortue géante et crabe royal Cette année, le public pourra découvrir la tortue géante venant des Seychelles ou ce crabe royal de Russie aux pattes démesurées dont on fait les miettes de crabe. Chez les oiseaux, il y a également quelques nouveaux invités. Comme cette buse variable, ce hibou des marais, cet épervier ou cette chouette effraie des clochers. Des minéraux, des fossiles et des coraux les côtoient dans ce musée où la moderne interactivité a su trouver sa place pour apporter un complément de sens à cette visite, véritable voyage à travers le monde. L'année prochaine le musée fêtera ses dix ans d'existence. Source
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La présence de tortues des bois aux abords de l'Etchemin sera vérifiée Le Conseil de bassin de la rivière Etchemin (CBE)entamera sous peu une série d'activités de reconnaissance en vue de confirmer la présence de la tortue des bois (Glyptemys insculpta) en bordure de la rivière Etchemin. Le CBE soupçonne que certains secteurs longeant la rivière sont des lieux d'accueil favorables à la présence de cet animal. Sujets : Fondation de la Faune du Québec , Saint-Léon-de-Standon , Saint-Romuald , Québec Il en visitera donc quelques-uns au cours des prochaines semaines, à Saint-Léon-de-Standon et à la hauteur de Saint-Romuald. Si son étude révèle la présence de populations de tortues des bois, le CBE veillera immédiatement à prendre des mesures pour protéger l'habitat de cet animal qui, au Québec, est devenue une espèce vulnérable en raison de la destruction de son habitat, du braconnage, du dérangement humain et de la pollution. Dans le bassin versant de l'Etchemin, ce sont l'urbanisation des milieux riverains et l'usage des véhicules récréatifs hors-routes qui ont une influence néfaste sur cette espèce. Pour mener à bien son projet, le CBE pourra compter sur la participation de nombreux partenaires de la région. Financièrement, il a reçu la somme de 3 330 $ du programme Faune en danger – volet acquisition de connaissances, de la Fondation de la Faune du Québec. Source
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Les serpents ont été ‘’délogés de leur terroir naturel’’ à Dakar (spécialiste) Dakar, 21 avr (APS) - Les travaux de construction un peu partout à Dakar ont délogé les serpents de leur terroir naturel pour les pousser vers d’autres espaces, a indiqué jeudi à Dakar le professeur Amadou Diouf, citant le cas de l’aéroport Léopold Sédar Senghor. ‘’Les nouvelles constructions ont fait que les serpents ont été délogés de leur terroir. Et au fur et à mesure des travaux les serpents se replient et cherchent à se réfugier ailleurs’’, a indiqué le professeur Diouf, lors d’une rencontre avec les journalistes. La manifestation était organisée en prélude à la tenue du 25 au 29 avril à Dakar de la quatrième Conférence internationale sur les envenimations par morsures de serpent et piqures de scorpions en Afrique. Entre autres endroits où migrent ces animaux, il a cité, l’aéroport international Lépold Sédar Senghor, le Centre international de commerce extérieur du Sénégal (CICES). Il a rappelé que les serpents les plus mordants sont les vipères, les cobras, ou encore le mamba. A l’aéroport, a-t-il dit, ‘’on nous a appelés pour nous dire que les serpents tapent à leur porte’’. Un ensemble de facteur qui, pour le professeur Diouf, illustre bien qu’à Dakar la propension des serpents ‘’n’est pas à négliger’’ par rapport à l’intérieur du pays. Pour se protéger d’une présence des serpents, ‘’il faut utiliser le grésille comme moyen de prévention autour des clôtures’’, a-t-il recommandé, déplorant le fait que les chantiers ont pratiquement pris tous l’espace de Dakar. Concernant l’intérieur du pays, ‘’les zones les plus touchées sont les régions sud, tout le sud du Sénégal, de Kolda, Sédhiou jusqu’à Ziguinchor’’, a-t-il souligné. Il a expliqué que si cette partie du pays a la plus grande présence de serpents, c’est à cause ‘’de la flore et de la faune’’. En remontant vers le nord, il a signalé la présence des serpents à Thiès et dans la région Saloum, affirmant que ‘’dans tout le Sénégal, il y a pratiquement des serpents, mais les zones rurales sont plus concernées à cause de la quiétude qui y règne’’. Par ailleurs, il a plaidé pour un partenariat public-privé, en vue de réduire le prix de l’anti-venin jugé ’’très cher, donc pas trop accessible aux victimes de morsures’’. Selon lui, l’anti-venin est vendu dans les services hospitaliers publics entre 70.000 et 75.000 francs, alors que dans les officines privées, il est cédé à 100.000 francs presque. AB/AD Source
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Iguanes, tortues, rongeurs et crocodiles au menu de Pâques en Colombie BIODIVERSITE - Une tradition que les autorités cherchent à combattre pour préserver ces espèces... Iguanes verts, tortues d'eau douce, crocodiles et «chiguiros» -rongeurs de grande taille- envahissent les assiettes des Colombiens à Pâques pour remplacer la viande rouge, une tradition que les autorités cherchent à combattre pour préserver ces espèces. «C'est l'époque de l'année durant laquelle nous recueillons le plus d'animaux», témoigne Carolina Rangel, l'une des nutritionnistes du centre d'accueil pour espèces protégées de la mairie de Bogota. Elle montre une trentaine de tortues aquatiques et un iguane vert de petite taille, le dernier arrivé, saisis sur des passagers d'un bus tout juste arrivé à Bogota. «Les gens les ramènent en cachette, même dans des valises, pour les partager avec des proches ou les vendre sur les marchés», explique le vétérinaire Andres Felipe Alvarez, employé de la mairie. Oeufs de tortue brouillés, bouillon d'iguane ou estouffade de crocodile Les recettes se transmettent de génération en génération dans les familles du nord de la Colombie, notamment dans les départements longeant la côte Caraïbe. On mitonne des oeufs de tortue brouillés, du bouillon d'iguane, de l'estouffade de crocodile noir ou encore de tortue, au goût rappelant le blanc de poulet, présentés avec des bananes frites (patacon) et du riz à la noix de coco. «La richesse culinaire colombienne reflète la biodiversité du pays», un bout d'Amazonie, une partie des Andes, un morceau du littoral du Pacifique et des Caraïbes. La Colombie est au deuxième rang mondial en termes de biodiversité après le Brésil, rappelle l'anthropologue et spécialiste de la gastronomie Julian Estrada. Avant la conquête espagnole et l'arrivée du catholicisme, «les habitants des rives des fleuves suivaient déjà ces traditions», assure l'anthropologue Ramiro Delgado. «Dans la mémoire des peuples indigènes la tortue hicotea (aquatique) et l'iguane sont des animaux symboliques, mystiques, faisant partie de coutumes ancestrales. En réalité, le calendrier catholique n'a fait que s'y ajuster, car à cette époque de l'année (Pâques) ces animaux sont nombreux», et donc plus fréquemment consommés, ajoute-t-il. Concilier tradition et préservation des espèces Partout dans le pays la police de l'environnement traque les vendeurs de ces espèces. Ainsi, à Barrancabermeja (400 km au nord-ouest de Bogota), où le 13 avril elle a annoncé la saisie de huit chigüiros, des rongeurs de grande taille dont la viande est également appréciée à cette époque. Face à ces traditions, le ministère de l'Environnement évoque les risques pour certaines espèces dont les «prises» pourraient dépasser la reproduction, comme dans le cas des tortues d'eau douce, dont 100.000 exemplaires vivants tirés de leur habitat ont été saisis ces quatre dernières années. On observe «une diminution notable à certains endroits» de la quantité de tortues «hicoteas», assure une représentante du ministère, Carolina Rodriguez, spécialiste en biodiversité. Dans le cas de l'iguane, la tradition veut le plus souvent qu'il soit incisé pour lui retirer ses oeufs avant d'être recousu et laissé en liberté, au risque de mourir rapidement suite à une infection. Pour les «chigüiros», la chasse est interdite entre avril et décembre afin de préserver la reproduction. Le dilemme consiste, pour les autorités, à protéger les espèces, tout en préservant la tradition. C'est pourquoi leur chasse et leur vente est interdite, mais pas leur consommation «à des fins de subsistance». «Ce sont des coutumes ancestrales et le ministère de l'Environnement tente de les canaliser», explique Carolina Rodriguez. «Nous ne voulons pas diaboliser cette consommation, d'autant que cette pratique est souvent le fait de communautés rurales pauvres, pour lesquelles c'est souvent le seul aliment disponible» contenant des protéines, conclut-elle. 2011 AFP Source
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Eh oui, il y a fort longtemps que je n'ai pas posté dans cette section. J'ai dernièrement fais l'acquisition d'un couple de BCI, une femelle pastel et un mâle het albinos. Je vous montre quelques photos. La femelle : Pour le mâle, vous le verrez mieux un peu plus tard puisqu'il fait son timide derrière son bassin d'eau.
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Durant l'expo à Lévis, on m'a proposé de recueillir un petit animal. Je me suis dis pourquoi pas. Je vous montre une photo pour le moment mais elle n'est pas super. Comme je suis en dïéménagement, eh oui encore avant que quelqu'un le dise, je vous montre que cette photo et je vous en prendrai des meilleurs une fois installé comme il faut.
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Nom scientifique : Testudo graeca Nom français : Tortue mauresque Nom anglais : Greek tortoise Origine : Maroc, Algerie, Turquie, Syrie, Sardaigne et Sicile. Biotope : Aride à semi-aride Température : 22 à 27°C Humidité : 30 à 50% Moeurs : Terrestre et diurne Taille adulte : Jusqu'à 30 cm Longévité : 20 à 40 ans Nourriture : végétaux Photo emprunté sur le site http://tortues-actions.naturalforum.net Le nom scientifique de cette tortue vient de sa présence en Grèce, où ont été décrit les premiers spécimens. Elle est souvent confondue à tort avec la Testudo hermanni et avec Testudo horsfieldii. L'espèce se décompose actuellement en une vingtaine de sous-espèce vivant sur trois continents, l'Asie, l'Europe et l'Afrique.
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Une tortue portée disparue
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
La tortue Gnout retrouvée saine et sauve Gnout, la tortue qui avait disparu à Anais il y a une semaine, a été retrouvée saine et sauve. Carole est soulagée. La jeune femme a la voix rieuse lorsqu'elle raconte les retrouvailles avec sa chère tortue. Gnout avait en effet disparu depuis une semaine. Samedi, le téléphone sonne chez Carole. "C'était un monsieur, qui habite à la sortie du village. Il était en train de faire une sieste dans son jardin quand il a entendu du bruit dans les feuilles mortes. Là, il l'a vu passer!". Et comme le riverain avait lu l'article dans CL, il a de suite décroché son téléphone. "Il me l'a ramené, je l'ai tout de suite reconnu rien qu'à son derrière!", raconte Carole. Gnout est en bonne santé, quoiqu'un peu fatigué. "Il s'est couché et il ne s'est relevé que le lendemain matin". Pendant deux jours, la tortue fugueuse a englouti double ration de nourriture. Source -
Sur les traces des batraciens avec Fréquence Grenouille
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Sur les traces des batraciens avec Fréquence Grenouille Grenouilles, salamandres, tritons, crapauds... Nous les connaissons mais saurions-nous les reconnaître ? Il faut déjà savoir où chercher étant donné que sur seize espèces de notre région, dix sont menacées de disparition et toutes sont protégées. -------------------------------------------------------------------------------- D'où la nécessité d'expliquer aux plus jeunes l'importance de leur conservation et donc de leur protection. Voilà l'objectif de l'association Noeux Environnement qui est intervenue mercredi dernier auprès des jeunes de l'association un Enfant, un Sourire, grâce à l'initiative d'une autre association locale, La Chance aux enfants. Menée par Amaury Cordonnier, l'animation a commencé aux alentours de 15 h au Dojo de Labourse. Une quinzaine de jeunes ont observé un diaporama présentant les fameux batraciens de notre région. Mais après la théorie, il faut passer à la pratique : direction les étangs afin d'écouter et observer grenouilles et autres amphibiens. Et pourquoi pas les titiller un peu ? Sur place, de nombreuses espèces - en pleine saison des amours - ont été observées et certaines ont même été capturées avant d'être relâchées. À l'aide de petites épuisettes, les jeunes batrachologues ont remonté quelques tritons et insectes aquatiques et ont pu les observer de près. Amaury Cordonnier et Sylvie Clausen ont poursuivi leurs explications. Amaury résume bien la situation « Les principales menaces qui pèsent sur nos amis croassant : la disparition de leurs habitats par l'artificialisation des espaces, la circulation routière (et le « Roadkill » selon l'expression anglaise), l'usage intensif des produits phytosanitaires, la disparition des zones humides (80 % en un siècle dans la région) et le sur-empoissonnement des étangs artificialisés qui pillent les pontes chaque année et freinent ainsi le renouvellement des espèces. » Source -
Australie: Mordu par un serpent venimeux, un enfant lui coupe la tête
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Australie: Mordu par un serpent venimeux, un enfant lui coupe la tête Le petit Walker a eu beaucoup de chance. Cet enfant australien de 11 ans a été mordu sans s'en rendre compte le week-end dernier par l'un des serpents les plus venimeux au monde, rapporte ce mercredi le Townsville Bulletin. Il se baignait dans les eaux d'un barrage près de Townsville (Queensland) quand le serpent, un taïpan, s'est attaqué à son chien. N'écoutant que son courage, Walker s'est emparé du serpent de près de deux mètres par le cou et par la queue afin de l'apporter à son grand-père. «J'ai coupé la tête du serpent avec une pelle» «Mon grand-père m'a demandé s'il m'avait mordu, mais j'ai dit non et j'ai coupé la tête du serpent avec une pelle», a raconté l'enfant au quotidien australien. «Mais quelques minutes plus tard, je me suis senti malade», a-t-il ajouté, effectivement mordu par le reptile. Walker a alors été immédiatement emmené à l'hôpital par sa famille et devrait y rester une bonne semaine. Le taïpan, lui, a été placé dans le congélateur familial en attendant d'être mis en bocal pour que le garçon le montre prochainement à ses camarades de classe. Source -
L'Autriche voulant protéger ses grenouilles en a contre les braconniers italiens VIENNE, Autriche — Les autorités de protection de la faune en Autriche déplorent que leurs efforts pour sauver la population de grenouilles sont compromis par des braconniers italiens. Des responsables dans la province autrichienne de Carinthia ont affirmé mardi que les braconniers recueillent des grenouilles dans des récipients en bordure de l'autoroute destinés à les protéger de la circulation routière. Les cuisses de grenouille font partie de la gastronomie dans certaines régions de l'Italie. Des responsables ont indiqué à la télévision publique autrichienne mardi que les victimes étaient les grenouilles les plus en chair. Les grenouilles sont empêchés de traverser l'autoroute par une série de clôtures les menant à des chaudières. Une fois par jour, des bénévoles doivent venir les recueillir et les amener de l'autre côté de la route pour les libérer. Mais «les Italiens sévissent avant que les bénévoles arrivent», a déploré le responsable environnemental de Carinthian, Bernhard Gutleb. Source
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Des serpents à puce
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
Des puces électroniques ont été injectées sous la peau de serpents utilisés par des charmeurs pour tenter de contrôler la profession. Les puces, qui contiennent un code d’identification, font office de tatouages et permettent de vérifier que chaque serpent a été dûment enregistré. Depuis la fin des années 90, l’utilisation commerciale d’animaux sauvages est interdite. Mais le gouvernement local de New Delhi a offert une amnistie aux charmeurs à condition qu’ils se fassent enregistrer. Le problème, c’est que seuls dix se sont pliés à la procédure. L’expert tatoueur n’a donc œuvré que sur 42 reptiles, dont des cobras royaux, des serpents ratiers et un boa des sables. Selon lui, « l’idée est de mettre un coup d’arrêt aux collections hasardeuses de nouveaux serpents qu’entreprennent les charmeurs traditionnels ». De nombreux animaux tagués étaient en mauvaise santé. « J’ai dit aux charmeurs d’arrêter leur métier parce qu’ils ne sont pas capables de prendre soin de leurs serpents », a-t-il ajouté. Et beaucoup de charmeurs clandestins continuent de se produire Sorce -
Salon des bestioles de Lévis
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Expositions et activités
Voici quelques photos : J'avais amené une bonne amie m'aider et son fils nous accompagnait. Il n'était pas hyper intéressé par les serpents mais par contre, il nous montrait avec plaisir les dinosaures qu'il voyait Pendant ce temps, la maman s'est trouvé un homme, mon variable king snake. Mais elle partage! Par contre, le dimanche, je n'avais pas grand chose à faire puisque j'avais ma relève avec moi qui faisait tout le travail pour nous. Et au loin, on voyait le seul autre membre du forum, Jean-Michel27 Pour les autres photos, vous allez peut-être reconnaitre Anick et Anne-Rachel, peut-être Guylaine qui sont inscrite sur d'autres forums. Sinon, voici les autres photos d'animaux peut-être accompagnées de visage de visiteurs ou de gens que vous connaissez. Les photos ont été prises par mes neveus et ma soeur. -
Salon des bestioles de Lévis
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Expositions et activités
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Espèces menacées : COECO nous invite à les protéger
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Espèces menacées : COECO nous invite à les protéger L'association COECO, qui lutte pour la préservation de la nature et prône l'éco-tourisme, vient de lancer un site Internet proposant de parrainer une ou plusieurs espèces menacées. Une plateforme baptisée E-SPECES, qui présente un catalogue d'animaux dont les populations sont en danger, et propose plusieurs solutions pour participer concrètement à leur protection. Le crocodile du Nil, la baleine à bosse, l'éléphant d'Asie, la tortue Luth ou encore le fennec : autant d'espèces en danger d'extinction, que l'association COECO propose de parrainer afin de lutter pour leur préservation. "Partout sur la planète, des déserts aux forêts équatoriales, des espèces sauvages sont menacées de disparition. Le rythme des extinctions s’est considérablement accéléré depuis un siècle et la conservation de la biodiversité est devenue un enjeu majeur à toutes les échelles. Ce sont souvent les actions locales qui font la différence et qui, pas à pas, ici et là trouvent des solutions pour un développement humain durable. La plateforme E-SPECES s’est donnée pour objectif d’être le ciment de toutes ses briques et de contribuer à enrayer l’érosion de la biodiversité partout sur la planète", souligne COECO sur son site Internet. Dans un catalogue présentant ces espèces en danger, l'association explique quelles sont les menaces qui pèsent sur elles, et les moyens mis en œuvre pour les protéger. COECO invite alors les internautes à faire des dons uniques ou mensuels pour soutenir des projets de préservation, mais aussi d'agir concrètement sur le terrain en rejoignant l'un de ses projets. L'association demande en outre aux internautes de contribuer à la sensibilisation du public, en partageant sur les réseaux les informations concernant ces espèces menacées. Les internautes qui participeront aux actions de COECO seront régulièrement tenus informés des découvertes et résultats du programme qu'ils soutiennent. En permettant à tout un chacun de contribuer à la préservation des espèces en danger, l'association espère mobiliser et sensibiliser le plus de personnes possibles aux menaces qui pèsent sur des animaux vivant bien souvent dans des pays en développement qui n'ont pas les moyens de lutter pour leur conservation. Source -
Madagascar : extinction des tortues étoilées Les tortues étoilées de Madagascar, du nom scientifique "Astrochelys radiata " disparaissent de plus en plus dans l' environnement de la grande île, selon un écologiste malgache. Cette espèce de tortues, qualifiée de l' une des plus belles du monde en raison des motifs étoilés des écailles de sa carapace, est classée en tant qu' espèce en danger, en voie d' extinction sur la liste rouge de l' Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) et est inscrite à l' annexe I de la convention du " Commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction " (Cites) et dont sa vente est strictement interdite. Les tortues terrestres se trouvant principalement dans la partie sud et sud-ouest de la grande île, est dédiée de plus en plus à la consommation et à l'alimentation, ainsi qu' à des fins de commerce illégal. Mesurant une quarantaine de centimètre à l' âge adulte, la tortue étoilée peut peser jusqu' à 20 Kg, ce qui fait de lui un animal très vulnérable avec sa lenteur. D' un côté, les collectionneurs d' animaux venant de l' étranger comme les Etats-Unis, l' Europe, ainsi que l' Asie exportent illicitement les tortues étoilées en passant par le Bangkok. Selon une étude menée par des partenaires mondiaux orientés vers l' action pour l' extinction zéro de tortue en 21ème siècle, "avec ce rythme de consommation de sa viande et de son commerce illicite, il n' y aurait plus aucune espèce de cette tortue d' ici 20 ans". Agence de presse Xinhua 2011/04/16 Source
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Jeudi le 14 avril, je donnais une présentation dans une école de Donnacona. Les enfants étaient excité mais ça s'est quand même passé. Une chance que j'avais les éducatrices pour la discipline par contre. Les enfants ont adoré et les éducatrices ont eu que des bons commentaires à me faire. Comme toujours, je me sers des éducatrices pour faire plaisir aux enfants en leur faisant manipuler quelque chose. Je vous montre quelques photos.
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Salon des bestioles de Lévis
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Expositions et activités
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Nos crapauds ont-ils des mycoses ? Redoutant la propagation d’une mycose chez les crapauds, les spécialistes de l’Office national des forêts (ONF) arpentent la forêt de Sénart pour s’assurer de la bonne santé des batraciens. Pendant tout le mois, il a parcouru la forêt de Sénart à la tombée de la nuit, son épuisette sous le bras et ses éprouvettes en poche. Mission? Attraper des crapauds et leur faire des prélèvements de peau. « Une mycose des crapauds, grenouilles et salamandres sévit dans les mares et les étangs d’Europe », alerte Claude Lagarde, chef de projet biodiversité à l’Office national des forêts (ONF). Davantage connue pour d’autres visiteurs nocturnes — elle est un haut lieu de prostitution —, la forêt de Sénart est l’un des 23 sites franciliens arpentés par les sauveurs des crapauds. « On craint une propagation de cette mycose, notamment dans cette forêt, riche en plans d’eau », continue le responsable de l’ONF. En France, le redoutable champignon — la chytridiomycose de son nom scientifique — s’est déclaré dans le Sud-Ouest. Il s’est propagé avec l’arrivée de la grenouille-taureau — un animal pouvant peser jusqu’à 800 g — importée pour le commerce de ses cuisses. Mais le fléau viendrait à l’origine de Suisse. « En Espagne par exemple, nous avons affaire à une véritable hécatombe, regrette Claude Lagarde. Trois espèces sont touchées dont le crapaud accoucheur et la salamandre tachetée. » Les petites bêtes malades se retrouvent recouvertes de taches brunes. Elles meurent à la fois d’étouffement et d’empoisonnement. Aujourd’hui, les spécialistes de l’ONF, gantés et équipés comme des agents de la police scientifique, passent au peigne fin et au crépuscule les plans d’eau de 23 sites en Ile-de-France. Dans chaque forêt ou parc, Claude Lagarde et ses collègues attrapent 30 batraciens à l’épuisette : « On leur passe un coton-tige sur le ventre, le cou et à la jonction des pattes et de l’abdomen. Et on glisse le goupillon dans une éprouvette, direction le labo. » Si les petites bêtes sont renvoyées à leur mare, les prélèvements sont, eux, confiés au laboratoire du Muséum d’histoire naturelle de Paris, une référence en mycose de crapauds, et à un laboratoire spécialisé amphibien à Chambéry (Savoie). A ce jour, la transmissibilité à l’homme semble écartée. L’opération de dépistage devrait s’achever en Ile-de-France à la fin avril. « Pour nous, c’est la période idéale pour les attraper, explique le spécialiste en biodiversité. C’est la saison de reproduction. Crapauds et grenouilles sont de sortie la nuit. Ils font les beaux au bord des mares, coassent et chantent… » L’opération batraciens a un coût : 600 € pour trente bestioles, soit 13800 € pour l’ensemble de l’Ile-de-France. Mais la santé des crapauds n’a pas de prix. « Si la mycose s’est propagée, c’est toute la chaîne alimentaire qui est menacée », prévient Claude Lagarde. Les crapauds mangent des insectes et des vers de terre. Mais les cuisses de nos amis régalent aussi, à leur tour, renards, putois, reptiles et oiseaux. Source
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animaux vivants se vendent en porte-clefs en Chine
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de gorezone1 dans Nouvelle
Pour pouvoir lire plus aisément mais pour voir le lien directement, cliquez en haut. En Chine, des animaux vivants se vendent en porte-clefs Les étals des commerces ambulants regorgent d'objets kitscho-insolito-cocasses allant des cartes postales aux aimants en passant par les tasses floquées des prénoms de toute la famille. A Pékin, ce sont des animaux vivants (photo) dans des poches plastique qui sont proposés aux chalands pour 1.50 dollars pièce, l'équivalent de 1 euro. Et il y a le choix: poissons, petites tortues et autres amphibiens sont proposés afin de décorer son trousseau de clefs, rapporte CNN. Conservés dans une eau colorée et oxygénée, les animaux «peuvent vivre plusieurs jours», a indiqué à CNN une vendeuse installée devant une station de métro pékinoise. Précisant qu'il faut évidemment penser à libérer ces compagnons de poches avant leur mort par étouffement. Cette conséquence évidente de ce procédé est la raison invoquée par les militants de la protection animale pour jeter l’opprobre sur les autorités et les vendeurs de ces porte-clefs d'un nouveau genre. «Le manque de nourriture et la diminution d'oxygène dans l'eau et cette poche plastique provoque la mort des animaux dans un délai relativement court», souligne David Neale, le directeur de l'association de protection des animaux en Asie. «Tombeaux colorés et transparents» Pour lui, cette histoire met en exergue un souci plus global en Chine. Celui du manque d'encadrement législatif autour des actes de malveillance à l'égard des animaux. Bien qu'un début de prise en compte du problème semble avoir vu le jour dans le pays, les défenseurs des animaux réclament plus d'encadrement. Pour ce faire, ils n'hésitent pas à utiliser l'emphase dans leurs communiqués militants, note l'agence Reuters: «Les animaux ont été parqués dans leurs tombeaux colorés et transparents. Parqués dans un espace à l'air raréfié où ils respirent pour la dernière fois en observant un monde dans lequel leur existence est considérée comme inutile. Et la période dans laquelle nous vivont peine à nous empêcher de penser que l'humanité attend un destin semblable au leur.» Reste un souci pour les hérauts de la cause animale: ces porte-clefs semblent appréciés en Chine, si l'on s'en tient à l'exemple des JO de 2008 où un vendeur ambulant eu la brillante idée de vendre des poissons rouge en porte-clefs. Un grand succès. Photo: Fin back LF Chirps/via Flickr CC license by -
Salon des bestioles de Lévis
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Expositions et activités
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Un étrange serpent de Chine Un étrange serpent avec une patte a été découvert en Chine il y a 2 ans. Mme Duan de Suining, au sud-ouest de la Chine a découvert l'étrange créature : "Je me suis réveillé en entendant un bruit étrange de grattement. J'ai allumé la lumière et j'ai vu ce monstre qui avançait le long du mur en utilisant sa griffe», a t'elle déclaré. Mme Duan a dit qu'elle avait eue si peur qu'elle a attrapé une chaussure et battue le serpent à mort avant de conserver son corps dans une bouteille d'alcool. Le serpent mesurait 16 cm de long et était de l'épaisseur d'un petit doigt. Aux dernières nouvelles il est à l'étude au Département des sciences de la vie à l'Université de la Chine de l'Ouest à Nanchang. Comment expliquer une telle créature : est ce un hybride entre le serpent et le lézard? une anomalie génétique? une évolution de l'espèce? l'efet d'une mutation suite à des radiations? A ma connaissance l'Université de Nanchang ne s'est pas encore prononcée sur la raison de l'existence de ce bien étrange serpent. Source
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Progression encourageante du nombre de tortues luth venant pondre en Floride Publiée dans la revue Ecological Applications, une étude américano-britannique montre une progression constante du nombre de nids de tortues luth (tortues marines) sur les plages de Floride. Une augmentation liée aux mesures de protection, mais aussi à la modification de facteurs écologiques divers. Parmi les 68 plages étudiées, les plus prometteuses ont affiché des hausses annuelles de plus de 16% depuis 1979, et les moins favorisées, de 3,1% : le dénombrement des nids de tortues luth en Floride rend optimistes les auteurs de cette étude, membres de l’Université de Bath (Royaume-Uni), de la Florida Fish and Wildlife Conservation Commission, et surtout du Duke Center for Marine Conservation (États-Unis). Son directeur, Larry B. Crowder, explique : "Cela suggère que les efforts de conservation et de valorisation, faits en vertu de la loi sur les espèces en voie de disparition, sont payants à l'échelle régionale. Mais la nidification est en hausse même là où la protection n'a pas été améliorée. Des changements dans les conditions océaniques, liés à la variabilité climatique, peuvent influer sur la chaîne alimentaire marine, et créer un environnement qui favorise les tortues en réduisant le nombre de leurs prédateurs et en accroissant l'abondance de leurs proies, en particulier les méduses". Abondance de nourriture et effondrement des populations de requins dans le nord-ouest de l'Atlantique au cours de la dernière décennie : des facteurs clés permettant probablement aux tortues luth femelles de nidifier plus fréquemment, selon Kelly Stewart, auteur principal de l'étude, qui a fait sa thèse de doctorat sur ce sujet. En revanche, les populations ont chuté sur les plages du Pacifique est, au Mexique et au Costa Rica. "La bonne nouvelle est que, bien que la plupart des tortues de mer continuent à disparaître, certaines populations sont en progression. Nous avons besoin de comprendre pourquoi elles augmentent ici autant que pourquoi elles baissent ailleurs, afin que nous puissions transférer cette compréhension à d'autres espèces à risque, comme les tortues luth du Pacifique", conclut Crowder. Source
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A New York, un cobra s'échappe du zoo du Bronx
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
Le cobra de New York a enfin un nom ! L'animal star du zoo du Bronx de New York a enfin été baptisé, quelques jours après avoir fait le buzz en disparaissant de la maison des reptiles. Il est la nouvelle star de New York. Il, c'est ce cobra égyptien disparu du zoo du Bronx fin mars et retrouvé quelques jours plus tard, non sans avoir provoqué le buzz dans la grosse pomme. En effet, sa disparition avait passionné les habitants de la ville. Le compte Twitter @BronxZoosCobra a même été créé en son nom, attirant plus de 240 000 abonnés. Après avoir retrouvé l'animal, le zoo a voulu surfer sur la vague médiatique en lançant un concours pour donner un nom au serpent. Plus de 60 000 propositions plus tard, c'est finalement "Mia" qui a été retenu, le serpent étant une femelle et MIA étant les initiales de Missing In Action (disparu). De son côté, l'internaute derrière le compte Twitter a continué de jouer le rôle du cobra égyptien qui remerciait ses modèles : "Je tiens à remercier les animaux du film 'Madagascar'. Ils ont été une véritable inspiration." Il a aussi commenté le nom qui a été donné à l'animal : "D'après le vote, les gens veulent m'appeler Mia. Mais dans mon cœur, je sais que mon vrai nom est Mme Justin Bieber." A noter que le cobra égyptien est revenu dans la maison des reptiles du zoo du Bronx dimanche. Source -
L'escroc au serpent , une arnaque pas comme les autres !
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
L'escroc au serpent , une arnaque pas comme les autres ! On sait que les escrocs sont d'une grande inventivité pour pièger leurs victimes, mais celui-ci a oublié certains détails qui avaient leurs importances. L'afrique a son lot d'escrocs très imaginatifs qui sévissent pour la plupart via internet. Escroqueries aux sentiments, ventes de faux camping car, héritages bidons ou encore produits miracles pour multiplier les billets de banque sont le quotidien de ces hommes et femmes sans scrupules qui rêvent d'argent facile aux dépens d'Européens trop crédules. Les escroqueries sont toujours bien huilées et ne varient guère. Pourtant, un jeune homme a eu l'idée d'une escroquerie peu banale surfant sur l'engoûement de milliers de personnes à travers le monde pour les animaux exotiques étranges et la génétique. C'est par un coup de fil venu des états-unis que cette singulière histoire va débuter. Un ami spécialiste des reptiles me contacte afin d'avoir des précisions sur une offre exceptionnelle d'un Python régius présentant une modification génétique très rare. Nous sommes quelques années en arrière et les herpétologistes commencent seulement à s'intéresser à la biologie de l'hérédité. A cette époque pas si lointaine, l'internet en est à ses balbutiements en Afrique, c'est donc par fax que notre homme se trouve informé de la naissance en captivité dans une ferme soit disant agréée, d'un python pieball. Cette forme rarissime de mutation génétique chez un reptile est due à un gène récessif qui donne une couleur blanche à l'animal. Ce spécialiste américain des reptiles est très intéressé par l'animal et se propose de l'acquérir contre une somme plus que rondelette, qui me laisse à la fois perplexe et rêveur. N'ayant personne de confiance sur place, il me charge de récupérer l'animal auprès du responsable de la ferme d'élevage et de faire les papiers officiels pour son exportation. Le contact téléphonique qu'on me donne s'avère être celui d'un pays voisin du mien. Un léger doute s'installe mais sans plus. L'appel aboutit et une voix jeune et assurée me répond. Nous discutons de l'animal, de son prix et des modalités d'acquisition. Le serpent est toujours à vendre et il possède bien tous les documents administratifs prouvant son origine et permettant son exportation vers l'étranger. Je propose alors une rencontre afin de finaliser l'achat pour le compte du centre d'études des reptiles qu'anime mon ami américain. Étrangement, mon interlocuteur n'est pas emballé par une rencontre. Il biaise, s'excuse, met en avant son agenda professionnel chargé et finalement me propose de lui faire parvenir l'argent par western union et il se chargera de l'exportation. Une lumière rouge se met aussitôt à clignoter dans un coin de ma tête. J'explique que mon rôle d'intermédiaire ne me permet pas de donner satisfaction rapidement et que dans l'attente il me faut absolument une photographie de l'animal. A ma grande surprise, trois jours après notre conversation téléphonique un courrier me parvient avec à l'intérieur la photo d'un magnifique python pieball. C'est la première fois, à l'époque, que j'en vois un. Je suis en admiration devant la beauté du reptile quand je remarque un détail : l'animal n'est pas photographié dans une ferme d'élevage, mais dans un village de brousse. J'inspecte plus attentivement le cliché, ma seconde remarque porte sur le tissu qui protège l'épaule du personnage et sur lequel repose une partie du corps du serpent. Quelque chose cloche vraiment, mais je ne vois pas. C'est finalement, mon adjoint togolais qui trouve la solution. Il remarque des traces blanches sur les mains de l'homme et sur son pantalon. Un examen à la loupe montre que ces traces sont en fait de la peinture.( vous pouvez repérer tous ces détails sur la photo ci-dessus qui est celle qui m'est parvenue à l'époque ) Le serpent de la photo est un reptile très ordinaire, transformé en rareté génétique par notre apprenti escroc d'un coup de "pinceau magique". Malheureusement pour lui, son empressement l'a trahi . Comme quoi, quant on veut filouter quelqu'un, il ne suffit pas d'avoir de l'imagination, il faut également être patient et avoir bien préparé son coup. Et vous, avez-vous déjà été victime d'une escroquerie ? Eric Fcd Source