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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Une tortue portée disparue Affichettes chez les commerçants, mots sur les poteaux, annonce sur des sites internet. Depuis jeudi, Carole fait des pieds et des mains pour retrouver sa tortue de race hermann, disparue à Anais. Gnout est un mâle d'une quinzaine d'années et d'une quinzaine de centimètres de long. «Elle vadrouillait dans mon jardin comme d'habitude. Quand je suis revenue d'un rendez-vous jeudi soir, elle avait disparu.» La jeune femme ne veut pas croire à un vol, même si «c'est un spécimen rare, qui est interdit à la vente depuis des années parce qu'elle est devenue une espèce protégée». Elle penche plus pour l'hypothèse de l'évasion. Ce qui l'inquiète encore plus, c'est que Gnout est malade. «Elle a été mordue par une fouine et une vipère l'an dernier. Si elle ne prend pas son traitement, elle perdra sa patte et elle mourra.» Carole demande à toute personne qui retrouvera sa tortue de l'appeler au 06.69.14.84.19. «C'est toute ma vie, j'y tiens comme à la prunelle de mes yeux.» Source
  2. Mâcon : Pont-de-Vaux. Une tortue de Floride a été pêchée... Pont-de-Vaux. Une tortue de Floride a été pêchée dans le plan d’eau. Une anomalie puisque ce genre de tortue aquatique (1,2 kg ici) n’a rien à faire dans cet environnement naturel. Le président de la société de pêche pense à un animal abandonné par son propriétaire. Notons que cette tortue peut être porteuse de germes de salmonella et que sa commercialisation est interdite. Source
  3. Une salamandre qui se transforme en végétal ! Une salamandre dont les cellules abritent des algues vertes a été découverte. C'est le premier cas d'une telle endosymbiose chez un vertébré. Certains animaux, par exemple les anémones de mer Condylactis gigantea, abritent dans leurs cellules des algues photosynthétiques (des zooxanthelles), celles-ci procurant à leur hôte des molécules organiques. Ce type de relation – une endosymbiose – entre une algue et un animal est répandu chez certains groupes, tels les anémones, mais aussi les coraux et les éponges. En revanche, chez les animaux plus complexes, les cas sont rares voire inexistants. Aussi, celui découvert par Ryan Kerney, de l'Université Dalhousie, à Halifax, au Canada, et ses collègues est-il particulièrement étonnant, car l'animal en question est un vertébré : une salamandre. Les salamandres passent la période de reproduction en groupe dans des points d'eau où les femelles pondent. On connaissait depuis longtemps l'association entre la salamandre maculée Ambystoma maculatum et les algues vertes Oophila amblystomatis, mais on l'imaginait « superficielle », ces dernières étant parfois présentes à la surface des embryons de l'amphibien. En outre, on supposait que ce rapprochement cessait avec l'éclosion des œufs. Le bénéfice est réciproque : le végétal (le genre de l'algue, Oophila, signifie d'ailleurs « qui aime les œufs ») profite des déchets azotés de l'embryon en développement, celui-ci recevant un surcroît d'oxygène produit par l'organisme photosynthétique. Les liens qui unissent les deux espèces sont plus intimes qu'on ne le pensait. En effet, les travaux des biologistes (étude de la fluorescence de la chlorophylle intracellulaire et analyses de séquences d'ADN) ont montré que les algues pénètrent à l'intérieur des cellules embryonnaires jusqu'à un stade avancé du développement larvaire. Plus encore, on détecte le végétal, sous forme de kystes, dans les œufs à des stades très précoces, avant que des algues venues de l'extérieur n'aient pu s'y glisser : l'algue était déjà là au moment de la ponte. Enfin, des traces d'algues ont été repérées dans le système reproducteur des salamandres adultes. R. Kerney en déduit que les algues sont aussi transmises d'une génération d'amphibiens à la suivante et s'installeraient de façon stable dans les cellules animales ! Le végétal échappe donc au système immunitaire de l'hôte (sans doute en envahissant les cellules avant qu'il ne se mette en place), système dont l'efficacité expliquerait la rareté des endosymbioses chez les vertébrés. L'endosymbiose a joué un rôle crucial dans le monde vivant. Par exemple, la lignée des végétaux terrestres est issue d'une cellule qui a internalisé une cyanobactérie photosynthétique, devenue un plaste (un organite cellulaire) qui assure la fonction photosynthétique. La salamandre est-elle en train de quitter le royaume animal pour rejoindre le monde végétal ? Source
  4. Un serpent de légende à l'aquarium Spécialisé dans toutes les écailles, d'abord avec celles de ses pensionnaires à nageoires puis plus récemment au travers de ses lézards, ses iguanes et ses serpents, l'Aquarium du Périgord noir au Bugue accueille depuis la fin de l'hiver un spécimen qui tient le haut de l'affiche au cœur d'un espace lui étant entièrement réservé. Les Indiens du Pérou l'appellent yacunama, « mère des eaux » ; les conquistadores, matatoro, « le tueur de taureau » et les Indiens d'Amazonie « le serpent guerrier de l'onde » : l'anaconda est un dieu serpent. « Une nouvelle arrivée qui s'inscrit logiquement dans notre ouverture sur de nouveaux horizons, explique Laurent Corbel, directeur de l'Aquarium. Nous avons créé à son intention un biotope approchant son milieu naturel, avec un vivarium modulable et équipé d'une piscine chauffée. » Jusqu'à 12 mètres ! Aujourd'hui âgé de 8 ans, ce représentant mythique de la forêt amazonienne est une femelle, baptisée Lolita par son propriétaire, Thierry, herpétologue de l'aquarium, chez qui elle est née dans les Landes. Lolita mesure aujourd'hui 5 mètres et la gent féminine présentant chez les anacondas les plus grandes dimensions, elle pourra atteindre dans les années futures la taille très respectable de 12 mètres. Dans son milieu naturel, l'anaconda peut s'emparer de grosses proies, tels des jaguars ou des caïmans. En Périgord, il doit se contenter d'un menu moins exotique composé de lapins et de poulets. Enfin, si un peu plus loin les pythons montent la garde devant une statue de Bouddha, Lolita préserve quant à elle le trésor des Quechuas dans un décor approprié, avec, entre autres, des masques venant tout droit du Mexique. Et si l'anaconda est la star incontestable sur la rive droite de la Vézère en ce printemps, il pourrait bien être détrôné dès juillet par l'arrivée d'un python albinos, actuellement en quarantaine. L'Aquarium du Périgord noir est ouvert tous les jours de 10 à 18 heures. Tarifs : 10,40 € pour les adultes et 7,60 € pour les 4-15 ans. Renseignements au 05 53 07 10 74 ou sur sur le site www.aquariumperigordnoir.com Source
  5. Grenouilles et salamandres à la lumière d'une lampe de poche - Saint-Aubin-du-Cormier Dans le cadre de la semaine de la grenouille et autres batraciens, Bernard Le Garff, de la société herpétologique de France, ancien maître de conférence de l'université de Rennes, a tenu une conférence sur le monde des amphibiens, samedi 9. Suivie d'une sortie nocturne autour des mares. Une balade attendue avec impatience par les enfants. Il fait nuit noire lorsque tout le monde sort. Cette expédition a un petit goût d'aventure ! Chacun a apporté sa lampe torche et chaussé ses bottes. Yves Le Roux, enseignant du lycée, conduit l'un des groupes autour de la mare du lycée. Creusée en 1998 pour suivre la migration des batraciens, elle est entourée d'un petit barrage recouvert d'une bâche en plastique. Des seaux sont placés au pied ce qui permet de répertorier les amphibiens avant de les mettre à l'eau : cachés dans les bois l'hiver, ils en sortent pour venir se reproduire dans la mare. Plus de 500 ont déjà été répertoriés cette année. « Restaurer les mares » « En Bretagne, l'habitat est consommateur d'espace. C'est un problème pour les batraciens, il faut restaurer les mares, en creuser de nouvelles », explique Yves Le Roux. Dès l'arrivée du groupe, une petite grenouille essaye d'échapper au faisceau lumineux. Elle essaye d'escalader le petit barrage autour de la mare. Les seaux sont vides, il faut s'approcher davantage et patauger au bord de l'eau pour apercevoir d'autres grenouilles cachées sous la végétation aquatique. Grâce à une épuisette, tout le monde peut observer une larve de salamandre (avec des points jaunes). « Les salamandres se cachent sous des souches ou des pierres. Chaque salamandre a ses taches personnelles, elles sont ovovivipares (elles gardent leurs oeufs dans leur utérus et font ensuite naître les larves plus tard dans l'eau) ». Plus loin, un triton alpestre, maissurtout un grand triton marbré femelle, reconnaissable à sa ligne rouge sur le dos. La sortie se termine avec l'examen d'une grenouille : « S'agit-il d'une grenouille rousseou d'une grenouille agile ? La longueur de ses pattes, l'iris plus foncé dans sa partie inférieure font penser à une grenouille agile. Leur période de reproduction est plus tardive ». Source
  6. Des serpents à puce Des experts ont injecté des puces électroniques sous la peau de reptiles utilisés par les charmeurs de serpents pour tenter de contrôler les professionnels de la flûte ensorceleuse, a-t-on appris le 13 avril auprès des autorités à New Delhi. Source
  7. Comment les serpent ont perdus leurs pattes ? Comment sont apparus les serpents issus de l'évolution d'anciens lézards aquatiques ou terrestres ? En révélant la structure cachée d'un fossile de serpent ayant conservé des pattes postérieures, une nouvelle technique d'imagerie a levé un coin du voile. "Ces serpents à pattes-là, ce sont vraiment des fossiles-clés dans la question de l'origine desserpents, parce qu'ils ont une morphologie intermédiaire", explique Alexandra Houssaye du Centre de recherche sur la paléobiodiversité et paléoenvironnements (MNHN/CNRS). "Les nouvelles images 3D obtenues mettent en évidence que l'architecture interne des os de la patte de ce serpent fossile est très similaire à celle d'un lézard terrestre moderne", résume le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN) de Paris dans un communiqué. Pour comprendre comment les serpents ont progressivement perdu leurs pattes au cours de l'évolution, l'équipe de chercheurs a utilisé des rayons X de haute énergie pour dévoiler la structure osseuse du serpent fossile Eupodophis descouensi, vieux de 95 millions d'années. Il y a six espèces connues deserpents "qui n'avaient plus de pattes antérieures mais qui avaient encore les deux membres postérieurs", a précisé Alexandra Houssaye. Mais il n'existe que trois specimens fossiles, dont celui de Eupodophis descouensi, découvert au Liban il y a dix ans. Long d'environ 50 cm, ce fossile laisse apparaître une petite patte visible d'environ 2 cm de long. Les chercheurs voulaient comprendre comment ce membre avait régressé, devenant de plus en plus court, au cours du processus d'évolution. Les secrets du serpent révélés par le synchrotron Les images haute résolution 3D ont permis de découvrir en détail la structure osseuse d'une seconde patte enfouie dans la roche montrant qu'il ne restait qu'un "petit peu de cheville", avec quatre os seulement. Et le serpent "avait déjà perdu le pied", relève Alexandra Houssaye. Les données d'imagerie révèlent en effet l'absence d'os du pied et d'orteils. "On est sûr à 100% qu'il n'y en avait pas chez l'organisme vivant", souligne Alexandra Houssaye. La patte étant enfouie dans la roche, "si les os avaient été présents, on les aurait vus", assure-t-elle. L'autre patte visible n'avait pas suffi à prouver la régression du membre : "les os auraient très bien pu avoir été perdus au moment de l'excavation ou à la surface", dit-elle. Pour percer les secrets du fossile et de la structure osseuse de sa patte cachée, son équipe a eu recours à une technique d'imagerie spécialement développée pour l'étude des échantillons plats de forme allongée, la "laminographie par synchrotron" (accélérateurs de particules). Le fossile, tournant sur 360°, a été exposé aux rayons X de hautes énergies du synchrotron, faisant apparaître des détails de quelques microns. "Les énormes machines que sont les synchrotrons nous permettent d'accéder à un niveau de détails invisibles que l'on ne peut atteindre avec d'autres techniques sans endommager ces inestimables spécimens fossiles", relève Paul Tafforeau de l'European Synchrotron Radiation Facility à Grenoble, co-auteur de l'étude publiée mardi dans la revue The Journal of Vertebrate Paleontology. Math Source
  8. Une tortue verte mortellement blessée par une flèche de chasse sous-marine Les soigneurs de l'Aquarium de Guadeloupe n'ont rien pu faire : dimanche dernier, la tortue verte qu'ils ont récupérée dans la baie de Deshaies a succombé à ses blessures avant de pouvoir être opérée. Âgée d'environ 8 ans, elle était censée avoir passé la période la plus critique de sa vie, en évitant de se faire dévorer par les poissons ou attaquer par des oiseaux... « D'ici 7 ou 8 ans, elle aurait commencé à se reproduire » , indiquait hier midi l'un des soigneurs de l'Aquarium de Guadeloupe. Cette digne représentante d'une espèce pourtant protégée qui nageait du côté de Petite-Anse, à Deshaies, a semble-t-il croisé la route d'un individu profondément mal attentionné qui n'a pas hésité à la blesser mortellement lors d'une partie de chasse sous-marine. Le tir n'aurait rien eu d'accidentel. C'est du moins ce qu'assurent les professionnels de l'Aquarium : « Nous avons pu observer la blessure. Et sur ce point, il n'y a guère de doute : la flèche utilisée a touché le centre de la carapace. D'après l'angle de pénétration, le tireur devait se trouver à 2 mètres d'elle. Il est impossible qu'il ne se soit pas rendu compte de ce qu'il faisait. » Quant à la raison du geste, il ne serait pas allé chercher bien loin. « Il doit s'agir d'un individu qui a très certainement voulu tester la résistance d'une carapace. » Une plainte déposée L'explication semble ahurissante. D'autant qu'elle a coûté la vie à un animal appartenant à une espèce encore « fréquente en Guadeloupe mais menacée du fait de la dégradation de son habitat. » Malgré l'alerte lancée par le club de plongée Nautica, mercredi après-midi, le petit animal marin n'avait que très peu de chance de survie. « La flèche lui a perforé les poumons qui sont situés juste sous la carapace. Le bout de cette arme était même inscrusté dans ses organes internes. Lorsque nous l'avons prise en charge, elle était déjà en train de suffoquer. » Un petit détail qui pousse les soigneurs de l'aquarium à penser que la tortue a été blessée peu de temps avant sa découverte. « Tout s'est fait dans un laps de temps qui n'a certainement pas dû dépasser la demi-heure. Dans le cas contraire, on l'aurait retrouvée morte : trop de sang et d'eau serait entré dans ses poumons. » Malgré la réactivité du club de plongée et bien évidemment celle des sauveteurs, l'animal n'a pu être sauvé. « La tortue est morte avant que nous puissions l'opérer. » Un véritable coup dur pour tous les défenseurs de l'écosystème... « Nous nous apprêtons à déposer plainte, afin qu'une enquête de gendarmerie soit menée. Nous espérons que l'auteur de ce tir sera retrouvé. » D'ici là, le cadavre de la petite tortue verte a été congelé en vue de son autopsie par un vétérinaire. « Même si nous aurions préféré effectuer nos analyses de son vivant, nous allons l'étudier dans le cadre de recherches. Pour nous, il s'agira d'en apprendre davantage sur sa vie, de déterminer si elle était en bonne santé ou encore d'effectuer quelques prélèvements pour mener une étude sur son patrimoine génétique. » Source
  9. J'irais bien disons en fds j'en avais envie
  10. Il est en forme, il maigrit puisqu'il refuse toujours de manger par lui même.
  11. Comme Marc a dit, 3-4 grillons par jour est trop. C'est ce que la mienne mange par semaine.
  12. Max|mum-leterrarium

    Nouveau terra

    Ce n'est pas moins cher mais plusieurs m'ont affirmé que pour la différence de prix, la vitre valait bien plus la peine que le plexi.
  13. Maladies rénales aigües et chroniques Les lézards ont un métabolisme très lent. Chez eux, la plupart des maladies laissent donc écouler un laps de temps assez conséquent avant d’atteindre un seuil critique. Et la guérison, à son tour, nécessite beaucoup de temps. Parmi les maux qui affectent les lézards en captivité, les maladies du rein -chez les adultes notamment- sont une des causes majeures de mortalité. Ces maladies, entraînées par une insuffisance rénale chronique, sont contractées suite à un mauvais traitement ou une mauvaise alimentation ayant souvent des répercussions infectieuses ou toxiques. Afin de pouvoir cerner la problématique des maladies rénales chez les lézards, il faut savoir que ces reptiles éliminent les sous-produits du métabolisme des protéines par l’excrétion d’acide urique, et ce à l’aide des reins. Des niveaux élevés d’acide urique sont ainsi susceptibles de provoquer la goutte chez les lézards déshydratés (cette pathologie est surtout rencontrée chez des lézards végétariens qui sont nourris de façon inadaptée avec de la viande animale, comme par exemple la nourriture en conserve pour chats). Chez les lézards, l’urine produite par les reins s’écoule pour passer par la vessie ou dans le colon distal avant d’être évacuée par excrétion. Une maladie rénale aiguë se traduit généralement ici par l’apparition de la dépression, de la léthargie, d’une production d’urine faible ou inexistante, et d’une perte de forces. L’administration de médicaments (ceux-ci pouvant se révéler toxiques pour les reins) ou l’accumulation de toxines ou divers poisons en sont souvent la cause. Chez les lézards, le potentiel de la maladie rénale peut régulièrement être mesuré par les conditions d’élevage (faible humidité et manque d’eau sur le long terme menant à une déshydratation) ou des facteurs nutritionnels (richesse en protéines ou administration excessive de vitamines D3). Et les effets sont visibles : Perte d’appétit et perte de poids viennent renforcer une mauvaise condition physique et des douleurs abdominales chez ces animaux. Lorsque survient le diagnostic, le vétérinaire doit bien souvent procéder à un hémogramme complet et à une analyse d’urine, et les radiographies sont préconisées pour évaluer la taille des reins et détecter la présence de calculs rénaux et/ou de goutte. La biopsie rénale s’avère ici déterminante pour établir un état des lieux de la maladie. Les chances de guérison complète sont réelles. Pour cela, l’animal souffrant doit être réhydraté et faire l’objet de tests réguliers en laboratoire. L’allopurinol (un médicament hypo-uricémiant faisant baisser l’uricémie) sera dans certains cas préconisé pour réduire la production d’acide urique par le foie. Dans le cas du déclenchement de la maladie par une toxine, Il faudra extraire cette dernière, et dans le cas d’une maladie rénale aiguë causée par une infection bactérienne, un traitement aux antibiotiques sera préconisé. Bien souvent, le propriétaire de l’animal ne détectera pas les premiers signes de la maladie, et le vétérinaire devra donc stabiliser le lézard en apportant un traitement spécifique. Y compris, au besoin, en faisant appel à la chirurgie. A long terme il s’agira d’évaluer les besoins en protéines. Et si une présence trop importante de phosphore est détectée dans le sang, des chélateurs de phosphates pourront être prescrits. Par ailleurs, une exposition aux rayons du soleil fournira au lézard des vitamines D3, un niveau d’humidité adéquat devra lui être apporté, et son appétit pourra lui être rendu par le biais d’injections de vitamines B et des stéroïdes anabolisants. Dans le cas d’une persistance des maux, les chances sont grandes pour que l’animal ait la goutte. une prise en charge diététique est alors requise, bien que peu de recherches aient été effectuées pour déterminer le traitement approprié de la goutte chez les reptiles. Source
  14. Découverte d'une espèce de tortue sur le plateau de Lang Biang L'habitat naturel de la tortue boite à front jaune (Cuora picturata) vient d'être découvert dans les forêts du plateau de Lang Biang, province de Lam Dong (Hauts-Plateaux du Centre). C'est le résultat d'une enquête menée du juillet 2010 au janvier 2011 par un groupe de scientifiques comprenant notamment les professeurs Hoang Duc Huy du département de biologie de l'Université des Sciences naturelles de Ho Chi Minh-Ville, et Bryan Stuart du musée des sciences naturelles de la Caroline du Nord (États-Unis). Cette espèce rare et précieuse a été identifiée pour la première fois en 1998 à Ho Chi Minh-Ville. Cette découverte a un rôle important dans la conservation et la protection de l'habitat naturel de cette tortue boite à front jaune comme d'autres tortues rares. - AVI Source
  15. La mairie au chevet du bois Mercredi soir, une vingtaine de riverains du Bois des Mérigots ont répondu à l'invitation de Jean-Claude Belot à participer à une réunion d'information. Entouré par plusieurs conseillers et de Sébastien Pardies, responsable des services techniques, le maire-adjoint aux bâtiments et à la voirie a fait le point sur les travaux dont le bois va faire l'objet. « Nous avons lancé un programme sécuritaire d'abattage des arbres déjà morts, a-t-il expliqué. Il s'agit d'éviter les accidents, notamment pour les promeneurs très nombreux. » Jean-Claude Belot sait le sujet assez sensible : une association, l'Amicale des amis du bois, s'est en effet constituée il y a deux ans pour veiller à la sauvegarde de cet écrin de nature niché au cœur de la ville. « On s'occupe des arbres morts et des branches menaçantes, et on ne touche à rien d'autre », a-t-il précisé. À partir du mois de juin, les services techniques procéderont à l'abattage d'une trentaine de sujets, dont la plupart se trouvent côté ouest, c'est-à-dire aux abords de la rue de l'Épargne. Certains secteurs du bois pourront ainsi être temporairement fermés aux promeneurs le temps des travaux. Sauver la salamandre Mais les services techniques vont également procéder à des aménagements naturels visant à sauvegarder une espèce animale bien présente dans le bois : la salamandre. Cet amphibien protégé ne connaît certes pas de prédateurs mais, à l'instar du hérisson, paie un lourd tribut à la circulation routière. « Nous allons curer des fossés et restaurer les anciennes mares de façon à lui restituer son milieu naturel ancien », a expliqué le maire-adjoint. En effet, les élus veulent conserver au Bois des Mérigots son caractère « sauvage » et éviter d'en faire un parc. Pour cela, il leur faudra résoudre le problème posé par la circulation, pourtant interdite, des véhicules à moteur, notamment les deux-roues. Les riverains présents à la réunion se sont en effet inquiétés du phénomène Source
  16. Ok, je ne le connais pas lui. Si tu cherches un mâle, ça veut dire qu'elle est sexé officiellement femelle?
  17. Max|mum-leterrarium

    La famillia !!!

    Belle petite famille à plumes!
  18. Max|mum-leterrarium

    Nouveau terra

    Pour ce qui est de la peinture, tant que tu fais bien sècher et aérer, il n'y aura pas de problème. Tu devrais comparer les prix entre la vitre et le plexiglass, tu verrais que pour la différence de prix, tu devrais peut-être investir dans quelque chose qui ne graffignera pas pour rien.
  19. À cause du flash on voit mal la beauté de la bête
  20. Je t'invite à lire une petite fiche que j'ai écrite il y a un bout de temps. /t288-python-regius-python-royal Ton serpent fait quelle taille? Ce qu.il faut savoir, c'est que le python royal est un animal nocturne. Sa période d'activité principale est la nuit à l'abris des regards. Souvent lorsqu'on les voit très actif le jour, c'est tout simplement parce qu'ils ont faim. Tes paramètres semblent avoir besoin d'être travaillé. La température est un peu base. La grandeur de ton terrarium empêche pas mal d'avoir un bon gradient de température ce qui fait en sorte que je te suggère d'aller chercher 30 degré d'un côté. Pour ce qui est du taux d'humidité, c'est trop élevé 80%. Si tu te maintiens aussi haut, tu peux saluer les infections pulmonaires. Si tu as un bol suffisamment grand pour permettre à ton serpent de s'émerger complètement, ça sera parfait. Tu vaporises de temps en temps aussi. Il ne faut jamais oublié que dans leur milieu naturel, ils ne sont jamais à un taux hygrométrique fixe en permanence. Selon les moments de la journée, les journées, les saisons, le taux hygrométrique varie.
  21. Comme je te disais sur un autre forum, je te suggère un terrarium de 4 pieds par 2 pied et demi. Ça reste que mon opinion. Il y a la compagnie Atasuki qui auront quelque chose pour te convenir. http://www.groupeipa.com/terrariums_01.php Ils déservent dans beaucoup d'animaleries alors il sera facile pour toi de trouver de quoi qui te convient. Pour ce qui est du millet, même avec un substrat naturel comme ça, j'ai vu des cas de blocage. Ce qui arrivait, c'est que le millet germait dans l'estomac de l'animal et ça venait bloquer par la suite. Personnellement, ce que j'utilise c'est le walnut sheld. C'est un substrat de noix concassé. J'adore ce substrat mais il est dispendieux pour beaucoup de gens. Certains utilisent de la céramique ce qui peut être esthétique et c'est facile à nettoyer.
  22. Juste un petit rappel pour cet expo là. Elle aura lieu dans une semaine et demi. L'horaire est de 10h à 16h. Venez en grand nombre puisque c'est gratuit.
  23. Un pêcheur arrêté avec 147 oeufs de tortue Hier matin, un homme s'est fait contrôler au rond-point des Maringouins à Cayenne. Dans son sac à dos, les policiers ont trouvé des oeufs de tortue luth. Il s'apprêtait à les partager avec un de ses amis. La saison de ponte des tortues luth a démarré. Et, avec elle, celle des vols d'oeufs. Hier matin, un homme s'est fait arrêter avec 147 oeufs dans son sac à dos. L'interpellation s'est passée un peu avant 3 heures du matin. Des policiers repèrent le suspect près du rond-point des Maringouins, à Cayenne. Son sac à dos a l'air bien rempli. Ils lui demandent de l'ouvrir et découvrent son butin à l'intérieur.Pendant sa garde à vue, le suspect s'explique. Il raconte qu'il est pêcheur professionnel. Il a tendu son filet au large de la plage du Rorota. La pêche a été mauvaise. Il aperçoit alors une tortue luth sortir de l'eau. Il la laisse pondre et prend les oeufs avant qu'elle ne les ait enterrés.Aux policiers qui l'interrogeaient sur le sujet, le pêcheur répond qu'il sait que les tortues luth sont une espèce protégée et qu'il est interdit de prendre leurs oeufs. Il précise qu'il se rendait au Larivot, où il devait partager son butin avec un ami amérindien.Au commissariat de Cayenne, le commissaire Joël-Patrick Terry rappelle que le vol d'oeufs de tortue est « une infraction grave, même si ça peut faire sourire certains. C'est le capital historique et culturel de la Guyane. Les tortues luth l'ont fait connaître à travers le monde. Il faut se poser les bonnes questions. Certes, manger des oeufs de tortues, c'est culturel. Mais qu'allons-nous laisser à nos enfants ? » Le vol d'oeufs de tortue et la destruction du nid sont des délits. Les peines encourues sont d'un an de prison et 15 000 euros d'amende. « Nous avons déjà commencé les patrouilles sur les plages, poursuit le commissaire Terry. Le but est de dissuader les gens de s'adonner à ce genre de commerce. Le jeu n'en vaut pas la chandelle et les juges sont sur la même longueur d'onde que nous. Quelqu'un qui voit une personne en train de voler de détruire des nids de tortue ne doit pas hésiter à nous appeler en composant le 17. » Source
  24. Grenouilles tropicales d’Amérique : plus elles sont toxiques, plus elles sont toniques Publiée dans Proceedings of the National Academy of Sciences, une étude américaine montre que, parmi les grenouilles d’Amérique latine, les espèces à la peau chamarrée et hautement toxiques sont les plus vigoureuses : une question de régime… Les Dendrobatidaes, que les anglo-saxons appellent "grenouilles pour dards empoisonnés", sont des amphibiens que les indiens d’Amérique du Sud utilisent en effet pour empoisonner leur flèches : leur peau recèle des alcaloïdes mortels, et arbore les couleurs criardes synonymes, pour les autres animaux, de l’avertissement "danger : poison !". Mais des biologistes viennent de prouver que ces grenouilles sont aussi les plus "costaudes" de leur famille. Testant 500 batraciens appartenant à plus de 50 espèces différentes de Colombie, de l'Équateur, du Venezuela et du Panama, Juan Santos, du National Evolutionary Synthesis Center à Durham (Caroline du Nord), a mesuré leur consommation d'oxygène pendant et après l’effort. Il a constaté que l'espèce la plus colorée - et la plus mortelle - avait une plus grande capacité métabolique que ses cousines plus ternes et non toxiques. "Elles sont mieux en mesure d'extraire l'oxygène à chaque respiration et de le transporter à leurs muscles, tout comme les athlètes bien entraînés", déclare Santos. Son confrère David Cannatella, de l'Université du Texas à Austin, explique : "Elles acquièrent leurs toxines en mangeant des fourmis et des acariens. Si les grenouilles non vénéneuses restent au même endroit et mangent tout insecte qui passe à leur portée, les grenouilles toxiques, elles, doivent se déplacer pour trouver suffisamment de nourriture, les fourmis et les acariens étant plus dispersés". D’où leur tonicité physique. Source
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