nebli

plus sérieusement cet oiseau est particulièrement hautain il a en plus développer plus que tout autre ds l'équipage la faculté de modifier le vol du pigeon comme le ferait un chien de berger jusqu'à l'endroit où il portera son piqué. cette façon de faire est spectaculaire mais ne peut s'appliquer qu'à du gibier "volant" comme un pigeon par exemple chez nous le couvert ( bettraves) permet au gibier de se remiser très rapidement . nos oiseaux l'ont d'ailleurs bien compris, ils attendent que le gibier quittent l'abris de celles ci avant d'attaquer, parfois ils piquent au raz du couvert pour essayer de les lier avant la plongée ds celui ci . le parrallèle avec le milieu aquatique est assez frappant !

j'ai du me tromper de vallée : peut être des abondances? des tarines? ou alors mes préférées des herens suisses?

il existe le fauconnier des alpages(otzi en est un exemplaire parfaitement préservé ,différant remarquablement peu de ses descendants actuels), rude , dont l'oiseau trousse le lièvre variable comme lui une montbeliarde, sans se pauser de questions, puis il existe les fauconners des pays de par de ça, qui ont préservés tout le raffinement et l'art des fauconniers de phillipe le bon possèdant l'art subtil de créancer leurs oiseaux sur un gibier particulier à l'exclusion de tout autre. cet art bien sûr est difficile et demande de la part du fauconnier une grande subtilité dans l'application des arcanes de son art . lorsque l'on prépare un oiseau pour gagner une fois de plus un championnat majeur de sky trial , il faut savoir sacrifier certains plaisirs "vils" et faciles( comme les vols des gallinacés par exemple lago ) pour celui bien plus difficile du pigeon de sky. une des étapes vise à mettre l'oiseau à l'épreuve en le tentant avec des proies plus faciles et de le voir résister à cette tentation pour ce concentrer sur son but , le pigeon . bien sur un oiseau affaité ainsi, tout en finesse ,serait sans doute abîmé dans des mains moins expertes pour transformer cette joconde, cette vénus de Milo, en phytefaucon des alpages il suffit d'y développer l'instinct de survie plutôt que le culte du raffinement le plus sybarite et toc

"l"épervier noir" est sans doute un spyzaètus tyrranus. qd à la fauconnerie , elle ne se pratique pas là bas ni ailleurs sur le continent américain ds les sociétés à cultures précolombiennes. par contre cette faculté de conserver des animaux en captivité est peut être à l'origine de la fauconnerie( via l'un ou l'autre oiseau imprégné) volant en liberté, puis chassant ,puis "utilisés".

je pense que tu as la meilleure des introductions puisque tu connais l'équipe du puy du fou , je pense qu'ils pourront te donner toutes les adresses nécessaires

ne pas confondre buts et motivations cela dit contacte , l'anfa( association nationale des fauconniers et autoursiers) , ils se feront un plaisir de t'aider.

bonjour Pierre bien venu! lis les messages de ces derniers jours , tu verras qu'il y a plusieurs fauconniers ds ton coin, et , contrairement aux apparences, il n'est pas absolument indispensable de parler basque

cet oiseau est un équivalent sud américain du cooper ses performances sont équivalentes il est juste plus forestier d'ou sa forme de vol (attaque rapide et brève depuis un point d'affus)

regarde un peu ds les archives je pense que l'on a débattu sur ce sujet en long et en large. pour ce qui concerne son comportement sauvage , il est effectivement un prédateur assez polivalent , bien armé et agressif. il n'y a pas d'oiseaux gibiers qui puissent lui échapper et qd au mamifères il peut prendre des proies jusqu'au lièvre. alors? ben voilà en fauconnerie le résultat est très clairement moins spectaculaire. la suite à lire ds les archives

du basque

egun on peppyz le danger? ehiztariak! ( les chasseurs) la tendance est à tirer sur à peu près tout ce qui bouge! du moins juste de l'autre coté de la frontière, peut être est ce plus calme chez vous...

en lisant la réponse de zelkova je me suis dit qu'il serait intéressant de que vous nous envoyiez des photos de vs terrains de chasse ou de vol ou nous pourrions les analyser ensemble et de plus partager nos expériences sur nos terrains de vol, leur spécifités et leurs difficultés. je vous enverrez les nôtres mercredi.

tu n'irais pas par hazard voler à l'ecole de troupe aéroportées? les landes excellent pour le bas vol comme le haut vol , surtout les migrateurs à l'automne je t'envie presque ! bien sur il existe l'impondérable chasse à tir qui est très présent. mais rien n'est parfait ! tu me donnes d'ailleurs une idée ...

comment est ton territoire de chasse ? que voles tu avec le sacre et le pèlerin?

beau coin , par là , dangereux ,mais beau . prblème de gibiers à plumes aussi mais voler dans les cols avec un autour c'est un régal.

????? si tu sais à quoi ressemble une crécerelle américaine tu dois pouvoir répondre facilement à la question

bonjour l'orme quels oiseaux utilises tu ?

l'interdiction ne concerne que les pays extracommunautaires.

c'est nocif mais curieusement voici ce qui est arrivé il y a quelque années en hollande des oiseaux furent retouvés morts la cause: empoisonnement à la nicotine comment ? personne ne fumait . en fait la réponse est digne d'un roman policier . pour éviter les parasites à la période de concours( certaines techniques utilisent l'angoisse du refroidissement des oeufs pour faire revenir plus vite les pigeons au pigeonnier) les colombophiles hollandais utilisent les nervures centrales , déchet des feuilles de tabac, comme matériel de construction de nid . en couvant les pigeons s'imprègnent leur plumage de nicotine ,. lorsque à leur tour ces pigeons sont utilisés comme nourrriture pour les faucons , ceux ci avalent une partie des plumes contaminées: résultat il y a empoisonnement sans que les oiseaux n'aient vu de près ou de loin la moindre cigarette !

ce W.E a été particulièrement mouvementé et intéressant j'ai eu l'occasion de voler mon excellente forme de pèlerin Nec de la perdre et , dénouement heureux de la retrouver grâce à un superbe réseau d'amis fauconniers ou pas . vendredi en fin d'après midi je me dépèche de rentrer pour voler Nec quelque imprévus me font arriver très tard sur la chasse (1745H) heure tout à fait déraisonnable pour voler un faucon la sagesse aurait voulu que je tourne casaque , la passion me décida pour l'inverse. deuxième erreur, vol sur pigeon d'escape voyageur en pleine forme. dès la mise sur l'aile l'oiseau monte bien à limite de nos visions respectives ( 100aine de mètre) servi, elle descend comme d'habitude , très bien et buffète le pigeon mais pas assez, donc turbo chez le pigeon et post combustion chez ma forme qui colle au pigeon jusqu'à perte de vue en plaffond et en distance et là ..... plus rien, à l'émetteur j'obtiens un signal , mais mon leurre était à peine visible au bout de sa longe je repère l'arbre croyais je ou se trouve le faucon mais le signal n'est pas ce qu'il aurait du être , il se précisait avec une intensité particulière au sol ds une prairie ,j'ai préféré croire mon désir et rassuré je suis rentré chez moi , confiant de la récupérer au leurre le lendemain . à l'aube pas de faucon , signal à fond mais pas d'oiseau, c'est la quatrième fois que ce d'émetteur me fait e coup , généralement sans conséquence car seul l'émetteur passe la nuit dehors mais là c'est nettement moins agréable.le temps : infect, pluie et vent , brouillard et froid je passe la journée à leurrer rien du coté de l'oiseau mais magnifique du coté fauconniers, plusieurs membres du forum se retrouvent sur le terrain certains y font participer leur famille, d'autres poussent même la générosité et l'amitié jusqu'à offrir un de leur faucons par faire une belle démonstration avec l'un de leur oiseau et ensuite l'offrir , la soirée se termine une boule ds le ventre , et un très beau gerfaut pèlerin ds la voiture. bilan de la journée terrain parcouru ds tous les sens et pas le moindre signe de vie . cet oiseau extrêmement fiable ne pouvait tout de même pas disparaître ainsi. donc on remet dimanche matin ( temps parfait visibilité excellente ,le pain sur la planche, et je décide de retourner , ne sachant plus trop ou aller à l'endroit de la perte et de leurrer une fois de plus . au bout d'un quart d'heure , au loin deux ramiers apparaissent volant assez vite à 30m de haut à 400m de moi et parallèlement, je vois un des deux oiseaux tourner à angle droit et se diriger droit vers moi suivi de près par son collègue, à 300m plus de doute mes ramiers sont deux faucons, à 200m les sonnettes sonnent mieux qu'une symphonie de mozart, et me voilà retrouvant ma super forme accompagnée d'une forme sauvage qui elle n'a pas trouvé l'idée de se poser sur le leurre aussi inspirante que son amie, deux tours au dessus de nous et elle repart solitaire. leçons: l'empressement et la fébrilité sont de véritables poisons qui vous font commettre des erreurs dont l'oiseau risque de payer... parfois de sa vie. aucun vol ne vaut le risque de perdre un oiseau par violation des règles aussi élémentaires que les simples conditions météo un faucon n'est pas une chouette et même s'il revient parfaitement il doit au moins voir son objectif!!!. curieusement le fait que l'oiseau se soit trouver parfaitement à son poids a été cause de sa perte , un peu plus haut il aurait abandonné plutôt que d'aller au bout de la poursuite. la télémétrie n'a pas fini de nous faire "baver" , l'émetteur se trouvait sur la queue., le deuxième émétteur se révèle après tout une sage précaution. son excellente fiabilité au leurre facilitent grandement la recherche , en effet , l'oiseau revient depuis n'importe quelle distance aussi longtemps que je suis visible, il suffit de se placer au milieu d'une plaine et s'il me voit il viendra .( attendre au moins 5 ou 10 min ça permet à l'oiseau d'arriver. une condition souvent essentielle est la présence de personnes sur qui ont peut compter , soit pour trouver l'oiseau , soit pour surveiller une partie pendant que l'on va chercher de l'autre coté, soit encore pour contacter police , pompier , etc... soit pour s'occuper de l'intendance, du chien etc... ça n'empêche que l'on se sent très misérable avec l'image de l'oiseau en tête et l'angoisse des mille et une façons dont il pourrait trouver sa fin. ce qui est positif c'est que après deux nuits et un jour l'oiseau toujours présent sur la chasse malgré les conditions déplorables de la météo font que sa fiabilité sur ce terrain est encore plus grande qu'avant( si c'est possible) il ne se fera pas déporter ailleurs. sa condition physique équivalait à celle d'un sauvage ( impossible de distinguer qui était qui jusqu'au changement de comportement, venue au leurre ) et sa bonne sociabilité le vol des deux oiseaux était si proche que j'ai pensé automatiquement à deux pigeons, me font envisager de le voler de compagnie avec son frère ce serait assurément du beau vol si cela fonctionne. je me demande ds quelle mesure cela n'augmente pas les chances de survie de voler de compagnie avec un oiseau haggard ou passager . merci saint antoine!, merci Cl., merci Er, merci Seb, merci son père , merci An, merci Mat, merci So, merci Cat, chacun et chacune a prouvé que l'amitié et le soutien était au rendez vous de façon indéfectible c'est un privilège et un honneur de pouvoir compter sur vous. et surtout merci à Nec conclusion qui vaut pour tous : d'abord l'oiseau et puis soi.

équivalent sud américain du cooper très volé au pérou , d'ou proviennent probablement ceux trouvés en europe paticularité : a été volé de compagnie au pérou avec des aplomados et cela se passe fort bien , seul cas à ma connaissance de vol de cie d'un faucon et d'un épervier( sur gibier le bicolore cède la place à l'aplomado . je ne sais absolument pas comment il se comporte en europe(du nord) face à l'humidité au froid etc... qd au gibier l'oiseau est rapide puisqu'il prend des colins de californie(espèce introduite en amérique du sud) mais aussi des oedicnèmes péruviens ce qui met la limite par extrapolation près de la poule faisanne

j'ai eu qq jours auparavant également une perte d'antenne, mais bon banalement mon oiseau était parfaitement centré , a bien buffeté et est revenu sans problème mais bon tt le monde ne dispose pas de sommets alpins ou de prises hors de vue par contre cela pose deux questions intéressantes parmis plein d'autres, est ce les chocs qui "dévissent petit à petit les antennes? ensuite quel est la bonne solution pour placer un émetteur les tarses pas idéal au niveau des chocs divers que l'émetteur subit le signal est moins bon la queue pareil cassure ou arrachage , ce n'est pas idéal le harnais semble être une solution mais il peut également blesser l'oiseau , cela semble néanmoins la solution vers laquelle on s'oriente de plus en plus le coup n'est pas idéal non plus.....

10 gr sur une harris , c'est 3 émeus! plusieurs méthodes pour la faire prendre la plus belle et "meilleure"?le vol avec la forme les deux oiseaux formeront une bonne équipe et le tiercelet prendra d'autant plus volontier qu''il se sentira épauler par la forme. l'escap mmm, ne prennons pas nos oiseaux pour des C..s, ils connaissent la force , l'état de santé voire le moral d'un lapin en moins de temps que celui que nous prennons à identifier qu'il s'agit d'un lapin. pour un jeune qui ne connait pas ça va mais pour corriger un oiseau qui les connait c'est assez "naif". deuxième méthode:une attaque , pas de prise, ok demi gorge , lendemain une attaque tjs pas de prise? ok redemi gorge . et cela jusqu'à ce que , comme disent les anglais "he means bussiness" il prend les choses sérieusement ( il entre en yarak) lorsqu'il prendra :gore monstrueuse, lendemain pas de vol ni gorge et surlendemain chasse à nouveau. en cas de prise venir l'aider bien sur au plus vite.ça tombe sous le sens 720 c'est "lourd" pour un tiercelet , essaie le vers 680 simplement en le diminuant sur "échec" ah important ! évite les vols sur faisan pendant sa créancesur lapin sinon il va attendre la présence de ceux ci plutôt que d'aller sur le lapin c'est lapin ou rien!

Une estrade permettant la prise de parole Je vois plusieurs raisons d’effectuer des démonstrations Les principales est augmenter l’image de sympathie de la fauconnerie à travers le public je fais remarquer que certaines associations » protectrices » n’hésitent pas à traiter les chasseurs dont nous sommes, de chassassins si on laisse ces extrémistes occuper seuls la place face au public ,ils nous passerons à la moulinette comme la vénerie en Belgique. Je sais par expérience que chaque démo engrange un capital de soutien immédiat devant lequel aucun film tract ou autre manifestation anti ne fait le poids. D’autre part cela coupe court à pas mal de fantasmes…

merci franco les américains chassent également l'étourneau( sturnius vulgare)