Tony08

Je viens de feuilleter mon bouquin " planter avec la lune" et suis tombé sur le dicton suivant: " 1 mois après le passage des grues et des oies, 1 mois tu attendras , et la nature se réveillera, à ce moment, bêche, fourche et râteau tu sortiras, et semences au potager seulement, tu sèmeras. " Les grues sont repassées jeudi dernier, dans le ciel c'était magnifique et quel vacarme. J'ai beau faire le pieds de grue, je ne vois rien venir à l'horizon. Barzoïement vôtre Tony

Et bien voilà, c'est reparti pour un tour, il commence à neiger. Ce matin, il y avait déjà 5 bons cm à la Baraque de Fraiture. C'est vrai que les paysages revêtus d'un manteau blanc sont magnifiques, mais moi qui adore la neige, cette fois, je commence à en avoir un petit peu marre, car cela commence à faire long. Moi qui avait hâte de recommencer la saison, c'est raté!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! . Où est le réchauffement de la planète que nos prévisionnistes nous parlent tant ? Notre terre serait elle détraquée?????????????????????????????????????????????? . Pour la reprise des entraînements le 16 mars sur notre cynodrome du CNBCL à Awans , je crois que c'est fichu aussi. On doit attendre la décision du club qui rendra son verdict dans le courant de la semaine. Faut garder le moral et surtout s'accrocher. Je vais lâcher les zoïs dans la prairie, remplir ma brouette de bois tout en dansant la danse du soleil. Bon courage à tous, le soleil sera bientôt là, il finira bien par sortir un jour. Barzoïement vôtre Tony

Ce matin 2 à 4 cm de neige recouvre le sol, le temps se refroidit méchamment. La météo n'annonce rien de bon pour toute la semaine prochaine. Le dicton qui dit " la neige qui subsiste dans les fossés ombragés attend l'autre " est bien vrai. J'espère que les 2 à 3 cm de neige annoncés pour ce lundi, les 15 à 30 cm pour la nuit lundi et toute la journée de mardi, ainsi que des flocons pour jeudi, samedi et dimanche ne viendront pas perturber les PVL de VIEN et LA FERTE qui risquent comme c'est parti là , d'être compromises pour causes de météo ou impraticabilités des terrains et risques d'accidents. Amermont a déjà été annulé pour cause de météo et si le malheur s'acharne encore, comment allons nous faire pour qualifier nos lévriers pour les championnats d'Europe. Ce serait également un coup dur pour ces clubs qui ont bien besoin de ces épreuves pour survivre. Le coût de l'énergie cet hiver va faire mal. Beaucoup scrutent attentivement le niveau de gazoil restant dans la citerne, les compteurs électriques tournent encore comme des fous, les tas de bois fondent comme neige au soleil et les stocks de pellets sont presque épuisés. La plupart d'entre nous attendent pour reprendre les entraînements de leurs lévriers. A quand la reprise des activités des travaux, du jardin, des bâtiments, des routes, de l'agriculture etc... , à quand la reprise économique générale? Faut garder le moral, s'accrocher et surtout bouger. Nos barzoïs, eux gardent le moral et avec cette météo, ils sont comme des poissons dans l'eau. Comme les travaux agricoles et forestiers sont retardés, j'ai profité des 14, 15, 16 et même 17 degrés du début de semaine pour bêcher le potager et essayer entamer les semis de printemps, ail, petits pois, échalotes, oignons et cuisses de poulet. Pour le bêchage, c'est presque fini. Pour les semis, partie remise. Je me suis contenter de pratiquer la bio dynamisation de mes semences. Vendredi, je discutais avec des vieux du village qui disent qu'il faudra attendre la prochaine lune, le 10 avril pour un changement de temps. Il est vrai que, demain le 11 mars, c'est la nouvelle lune et, souvent le temps de la nouvelle lune est d'habitude le temps du cycle lunaire, ils ont raison, c'est un peu comme la Vierge qui remet ou démet le temps., Nous avons besoin de soleil, de chaleur et de luminosité pour sortir notre léthargie et reprendre le collier du chien et le nôtre. Nous sommes comme les convoyeurs de pigeons qui attendent le beau temps avant de lâcher. Je croise les doigts pour les clubs et les PVL du début de la saison et essaye de danser le danse du soleil. Barzoïement vôtre Tony.

j'ai oublié de signer mon message 10000000000000000000000000 excuses. Barzoïement vôtre Tony.

joyeux anniversaire Tms, j'espère que nous auront l'occasion d'arroser cela, n'est ce pas TmS III

Quelle idée géniale, de remplacer le coursing d'Amermont par une balade dans la neige, merci Tms. Dommage que nous n'étions que 8 et 1/2 Salukis, barzoïs, Nicolas et son épouse, Vincent, la petite Amandine sur le dos et Emelyne, Sylvie et Serge, Catherine et moi. C'était super sympa, sans esprit de compétition, débarrassé de toutes contraintes, sans stress, nous avons profité de ces 2 h dans la neige de la forêt Spadoise Non seulement, nous nous sommes retrouvés entre copains partageant la même passion, les chiens se sont déliés les pattes et nous nous sommes oxygénés. Après l'effort, il y a eu le réconfort dans cette charmante petite auberge autour d'un bon verre partagé en toute amitié. Idée super extra à exploiter dans le futur et peut être d'agrémenter d'un barbecue ? A refaire et encore merci. Barzoïement vôtre Tony

Salut Bouly, La FERTE est une PVL (coursing) incontournable, je te conseil vivement d'y aller. Ce club, comme " veille & protège" d'ailleurs privilégie la convivialité, l'amitié et surtout la passion du lévrier. Pour moi, il y a 5 coursings incontournables que chaque propriétaire de lévriers doit faire La FERTE, PARAY, AMERMONT, LANDSTHUL, MARCILLAT. BEAUNE , c'est un peu comme un pèlerinage. Même si le temps est mauvais, là-bas il y a toujours du soleil dans les coeurs, de la convivialité autour de la table, une ambiance extraordinaire, des gens formidables et accueillants et bien entendu des personnages aussi incontournables que leur club. Je te souhaite de trouver l'occasion d'y aller et tu verras, tu ne regretteras rien en plus à LA FERTE il y a du "pont" et pour savoir ce que c'est, faut y aller, crois moi cela vaut le détour. Il y a des petits hôtels chers dans les environs. Demande à d'autres qui te confirmeront mon opinion. Barzoïement vôtre Tony

Merci pour vos réponses et vos réactions. Enfin ça commence à bouger. Barzoïement vôtre Tony

Bouly, pour qu'une course, coursing ou racing puisse être officielle et avoir lieu, il doit y avoir des conditions que les clubs doivent respecter. Pour les internationales Les dates doivent être remise à la fin de l'année qui précède voir dans le moi de janvier de l'année en court à la commission belge des courses dont je fait partie. On analyse si les dates remises par les clubs n'ont pas d'interférences avec d'autres épreuves . Lacommission les communique à la FCI qui décide en dernier lieu et publie ainsi son calendrier international visible de tous Si pour telle ou telle raison la course ne peut avoir lieu ce jour là, elle est tout simplement annulée puisse que la nouvelle date choisie par le club victime du problème d'annulation ne figure pas au calendrier et le CACIL tombe. De plus , les clubs doivent demander les autorisations aux communes sur laquelle se déroule l'épreuve Pour les épreuves nationales . C'est la même procédure sauf qu'ici ce n'est plus à la FCI mais à la Saint Hubert et le titre national CACBL tombe. En conclusion, les dates ne peuvent pas changer mais l'endroit lui peut changer si les autorisations communales sont obtenues à temps . Dans le cas où le club veut tout de même organiser une autre course à une autre date, la course ne sera pas officielle et correspondra à un entraînement ce qui n'est pas toujours intéressant pour les clubs. Barzoïement vôtre Tony

Dans un message de cette rubrique on parle de " Vie de famille" et vous avez raison. La meute, le chien et les chiots on besoin de l'homme pour s'épanouir. Il est évident que le contact humain favorise et privilégie les relations que l'on a avec son chien ou ses chiens Un chien qui fait ce qu'il veut, quand il veut et ou il veut, pour moi est un chien malheureux. Le chien socialisé et équilibré fonctionne d'après mon expérience pour un donné pour un rendu" je m'explique: Le chien pour son équilibre, a besoin de barrières et de limites imposées par son maître. Entre le chien et l'homme doivent s'établir des ponts et de limites don chacun connaît les limites à ne pas franchir Le chien sait qu'il pourra ou non franchir ces barrières. le chien connait mieux son maître que les épouses connaissent leurs maris.Ils ressentent par exemple l'état d'âme, la joie,l'anxiété, la mauvaise humeur etc..... de leur maître. Quand vous êtes content, de bonne humeur et que vous êtes au jardin avec votre chien, souvent celui ci apporte par exemple un ballon au pied du maître d'un air de dire ; " alors mon gars, on joue?". Si vous êtes de mauvais poil, ou tracassé le chien ne viendra pas vers vous et vaquera à ses occupations personnelles.Le chien sait que si il a fait telle ou telle choses, il recevra une caresse et il en a besoin car, pour l'animal c'est sa façon de montrer à l'homme qu'il est là. Par contre le jour ou il fait une bêtise, il ira droit au panier les oreilles couchées et la queux entre les pattes car il sait qu'il recevra un coup de pieds au cul et malgré la remontrance 2 minutes après, revient vers vous pour avoir une caresse. Je crois que pour l'éducation, la socialisation et l'équilibre du toutou il faut une vie de famille mais ni trop ni trop peu, une main de fer dans un gants de velours, car l'animal va vite décelé la faille et l'exploiter à mauvais escient comme le jeune enfant d'ailleurs C'est le cas d'une mère avec ses chiots. La première éducation que des chiots reçoivent, c'est de leur mère et se sans la présence de l'homme, sinon on vient briser l'hiérarchie de la nichée. Maintenant, on respecte la mère, plus tard le maître nous éduquera et nous socialisera.Si on ne respecte pas cet ordre là, le chiot ne sait plus où il en est, et lui et nous allons droit à la dérive et à de catastrophes, souvent de déceptions, de lutte d'autorité qui se termine souvent par le désintéressement total des 2 parties , voir l'abandon ou le placement de l'animal La mère va se situer dans un schéma chronologique où elle impose seule d'abords son autorité à ses chiots mais explique également je ne sais pas comment à ses petits que l'autorité suprême sera le maître. Regarder le comportement d'un chienne seule avec ses petits dans le nid bien au calme à l"écart, et le comportement qui est tout différent en présence du maître. Il y a une attitude de fierté, du devoir accompli et du bien fait car elle sait qu'elle va recevoir des compliments et souvent des caresses. Je crois que le chien a besoin de beaucoup de temps j'irais jusqu'à dire 30 à 40% sans la présence de l'homme, car il en a besoin pour son équilibre créer et d'établir l'hiérarchie de la dominance et du dominé, car lui aussi quand il serra seul avec ses congénères attendra aussi de la considération du respect, de l'échange c'est la loi de la nature qui elle aussi doit pour l'équilibre du chien jouer son rôle. Les 60 autre% seront consacrés au partage, à l'éducation, à la symbiose et au relations que le chien et l'homme, son maître vont construire ensemble En conclusion, pour élever des chiens, il faut leur consacrer du temps libre pour que certaines choses s'installent entre eux sous l'oeil vigilant du maître et respecter un ordre chronologique. Le chien et l'homme auront beaucoup plus de satisfactions Pour l'épanouissement du chien, il est plus facile d'avoir quand on le peut, plusieurs chiens à la maison, ce qui facilite beaucoup les interventions du maître dans l'éducation de ses fidèles amis de l'homme que sont les chiens et les chevaux Barzoïement vôtre Tony

J'ai oublié le S au mot réaction dans le message précédent. Barzoïement vôtre Tony.

Pas d'autres réaction de votre part ? Barzoïement vôtre Tony

Quel calme sur la morne pleine.Il y aura t'il une tempête? Barzoïement vôtre Tony

Un éleveur pour moi, doit être d'abords quelqu'un de 1 Responsable et adulte. 2 Passionné. 3 Qui a des connaissances, l'expérience de ses chiens et de sa race 4 Ne doit pas avoir d'arrières pensées, être réfléchit et conscient 5 Avoir un but. 6 Entretenir des relations économiques, et se conformer à la cynologie. 7 Avoir les possibilités. 8 Doit savoir calculer et pouvoir maîtriser les risques. 9 Choisir le bon moment. 10 Savoir dire NON 1 Responsable et adulte. L'animal n'est pas être un mouchoir en papier que l'on jette après l'utilisation. Le fait de détenir et d'avoir fait le choix d'un animal est un engagement que l' on prend pour la vie entière de l'animal .Ce n'est pas un jouet qui va venir combler ou assouvir un complexe ou une carence. Cet acte va engendrer des responsabilités des choix, des sacrifices pour l'entourage, pour le relationnel, pour l'aspect financier , pour l'aspect temps qu'il faudra consacrer à son fidèle animal 2 Passionné. L'éleveur doit savoir si il pratique de la reproduction par amour dans le but de renouvelé son cheptel et peut être de vendre souvent à perte l'excédant de la nichée qu'il ne peut pas garder ou qu'il ne veut pas garder. Attention de ne jamais se laisser dépasser par sa passion qui souvent entraîne des dérives incontrôlables. Le surnombre de chiens, les difficultés financières pour faire face aux obligations qui s'imposent et souvent de l'abandon. Dès ce moment, ce n'est une passion et hobby mais une CONTRAINTE. Je connais de gens qui étaient de véritables passionnés, avec grand un coeur, qui à cause du trop grand nombres de chiens, le ménage s'est brisé, les propres enfants se sont détournés de leur père et ont sombré sans s'en apercevoir dans la déchéance et dans l'instabilité. 3 Qui a des connaissances, de l'expérience de son ou ses chiens et de la race. Pour moi, l'élevage est l'aboutissement, le couronnement, la consécration, de tout bons propriétaires qui pendant souvent de longues années, a donné de son temps, a su observer, analyser, comprendre et souvent se remettre en question en tirant des conclusions des des erreurs commises par omission. Cela s'appelle de l'expérience. 4 Ne doit pas avoir d'arrières pensées. Penser que par la conjonctures économique actuelle que nous vivons actuellement, faire reproduire pour espérer des retombées économiques et mettre ainsi du beurre dans les épinards n'est pas le bon moyen. 5 Avoir un but. Contribuer à l'avenir et la sélection de sa race. Ne pas reproduire de tares . Envisager la relève par exemple dans la course de lévriers. Fixer peut être tel ou tel caractère en respectant bien les critères de sélections de sa race dans un but d'amélioration . 6 Entretenir des relations économiques conformes à la cynologie. Faire de contrats de ventes en fixant le prix d'achat, des closes éventuelles pour le bien être de l'animal, fournir les carnets de santé attestant les vaccinations, rappels et délivrer les pédigree. Ce n'est que cela qui apporte crédibilité, fiabilité afin de prévenir touts problèmes de réputation et de n'éveiller aucune suspicion. 7 Avoirs les possibilités. En detenant 1 ou plusieurs chiens on doit faire face à des problemes X . L'élevage demande des possibilités bien plus importante et demande plus d'investissements personnels que la détention de 1,2,3 chiens. Si on a pas les possibilités financières, familiale, l'espaces, le temps , la disponibilité et le vouloir d'y arriver, ça ne marche pas. 8 Doit pouvoir calculer et pouvoir maîtriser les risques. Il faut savoir qu'une nichée peu avoir des problèmes. Que cela implique des devoirs et des obligations qui souvent viennent perturber l'ordre logique des choses. Césarienne, mortalité à la naissance, décès éventuel de la mère, nombre élevé de chiots, problèmes de malformations, lactation insuffisante, destruction des chiots par un autre membre de la meute et ce souvent par jalousie, rejet d'acceptation des chiots de la part de la mère, voir même pouvant aller jusqu'au cannibalisme etc.......... . Le risque d'avoir une nichée importante et de devoir tous les garder sur le dos. 9 Choisir le bon moment. Choisir le bon moment au point de vue familiale. Choisir le moment de l'année le plus propice à la reproduction par souci de facilité souvent le printemps et l'été. L'âge de la reproductrice et sa maturité. Rien ne sert de faire des jeunes chiots si les conjonctures actuelles ne le permettent pas, si les gens ne portent aucun intérêt pour la race que l'on désire faire reproduire afin de ne pas surcharger les refuges. 10 Savoir dire non. Pour être éleveur il faut savoir dire NON. Etre une main de fer dans un gant de velours. Savoir laisser les choses à leurs justes valeurs, savoir que le chien est notre passion Respecter les priorités.On aime d'abords son épouse, ses enfants puis ses chiens. Refuser de céder, de vendre un de ses chiots à une personne parce que l'on a des doutes sur le bien- être futur de l'animal est une bonne chose et qui devrait se faire plus souvent afin d'éviter bien des soucis et des débordements En conclusion, l'expérience que j'ai dans le monde de l'élevage vu ma profession d'agriculteur qui privilégie l'amour du métier et l'aspect financier, l'expérience canine et particulièrement dans celle du lévrier que je pratique en amateur, me confirme que certaines personnes font de l'élevage dans un but financier pur et simplement. Que le chien est entré dans le mode de vie de notre société en participant à des retombées économiques importantes. Que certains d'entre eux, par rapport à leur manière de faire et de se comporter donne une connotation négative à l'élevage amateur. Il ne faut pas faire de certains cas une généralité, mais dans l'ensemble reflète malheureusement un certaine la réalité. Je crois qu'il serait bon de faire passer un test d'aptitude pour les éleveurs comme cela existe dans autres pays et même pour les propriétaires. Je vais peut être vous choquer, je crois que si certaines personnes certes aiment les chiens, que ses personnes ont leurs qualités et leurs défauts comme chacun d'entre nous, que ces personnes sont de bons propriétaires, mais que si ces gens ne sont pas capables de pouvoir élever. Il serait préférable? si ils aiment vraiment les chiens, de s'adresser pour acheter ou adopter un animal à une personne qui est capable de faire de l'élevage. Barzoïement vôtre Tony

Dommage pour "veille & protège" mais sur la forme et le fond du problème ils ont eu raison. J'espère que si le temps le permet, qu 'il pourra avoir une autre activité ce jour là. Barzoïement vôtre Tony

Philippe tu n'a pas besoin de faire des excuses, on peut comprendre. Je suis heureux de découvrir ta passion pour l'IRSH. Je suis également heureux d'avoir eu avec toi ces longues discussions au sujet de notre passion, de nos lévriers et de leurs courses . J'espère que nous en auront encore beaucoup. J'ai découvert également le sens de ta volonté, de ton auto critique sur la spécificité de ta race. Continue, t'es dans le bon, mais n'oublie jamais que l'important est de participer tout atteignant ses objectifs et que la carrière sportive d'un chien est très courte. Personne ne détient le secret de la réussite, ce serait un peu trop facile, tu ne trouve pas? Ce qui est passionnant pour moi est le rapport que l'on construit peu à peu sur de bonnes bases afin de nous permettre de trouver et d'essayer de mettre au point des techniques adaptées au chien et au maître. Nous attendons avec impatience la suite de ce partage sur l'IRISHWOLFHOUND. Merci d'avance Barzoïement vôtre Tony

Ohé, oyé bonnes gens . Tms, certains chante: "la nuit n'en fini pas" et d' autres se demandent quand l'hiver va se terminer. Hier, il a neigé toute l'après midi et toute la nuit. Ce matin, il neige de plus belle et la météo annonce de grosses chutes de neige pendant toute la journée. Je ne suis pas un oiseau de mauvais augure mais je crois que pour Amermont, les carottes sont cuites et ce serrait bien dommage, moi qui me réjouissait comme beaucoup d'ailleurs, de recommencer la saison. Face aux impondérables de la météo, on est obligé de se résoudre en faisant avec. Pour les barzoïs, ce n'est pas un problème mais pour les autres races ce n'est pas pareil, il faut en tenir compte, afin qu'aucune récupération ne soit possible et surtout utilisée dans le but de nuire un peu plus au CF. Le clou a déjà été enfoncé assez fort comme cela par les taupes comme tu le dit si bien. Donc nous attendons le plus vite possible la décision de "veille & protège, on croise le doigts. Barzoïement vôtre Tony

Ginger, merci pour tes compliments, mais tu sais ce qui me ferrais vraiment plaisir au plus profond de moi même, Je voudrais que bon nombre de propriétaires de lévriers de courses puissent vivre ce que Catherine et moi avons vécu en parcourant toute l'Europe avec nos Barzoïs. Nous avons découvert des tas de gens passionnés extraordinaires, de mentalités différentes, d'origines différentes, de classes sociales différentes, des manières différentes d'entraîner, toutes races confondues . Le fait de sortir de son club, de son pays, de la routine, d'aller voir autre part comment cela se passe est très important. Toutes ces rencontres nous ont permis d'approfondir nos connaissances en matière de lévriers de courses, cela nous a permis d'avoir une plus large ouverture d'esprit afin de comprendre le pourquoi et le comment des courses de lévriers Des liens profonds se sont même tissés avec nos amis Russes, Belges, Allemands, Français, Tchèques, Slovaques, Finlandais, , Hongrois, Italiens, Suédois et j'en passe.......... . Ce qui est le plus marrant dans l'histoire c'est que entre VRAIS AMIS de lévriers de courses, il n'y a pas de jalousie, de rancunes, de rivalités. Quand nos Barzoï font un podium, ils font partie de la fête et dieu sait, si sous la tente du "bar zoï " on sait la faire, cela faciliterais peut être les choses au point de vue des relations. Je n'en sais rien, mais les choses sont telles que chacun vit cela comme des moments précieux où l'on partage l'expérience de l'un, de l'autre, que l'on inspire de tel ou tel façon pour arriver à ce que le meilleur gagne. D'ou l'importance de la convivialité, de l'amitié et de la passion de notre hobbys. Ne nous voilons pas la face, cela fait plaisir quand on gagne, car c'est l'aboutissement d'une façon d'entraîner, de connaître et d'élever son lévrier. Sans sacrifices, sans efforts et sans objectifs motivés, on arrive pas à son but. On a moins de problèmes avec des concurrents qui vivent une même passion et sont des mordus de courses, qu'avec d'autres qui ne veulent QUE satisfaire leur EGO. Le secret de l'histoire est de savoir aller vers les autres et de les comprendre, afin pouvoir PARTAGER L' EXPERIENCE acquise de manière à ce qu'ils puissent en tirer à bon escient un maximum de profit pour arriver eux aussi à leur but. Ne jamais se reposer sur ses lauriers, se remettre souvent en question, ne jamais partir vainqueur, savoir comprendre et accepter qu'une course n'est pas l'autre, avoir des objectifs et surtout utiliser tout les moyens possibles pour atteindre son but et surtout bien connaître son loulou et le respecter tout en étant ferme. Je ne sais pas comment cela se passe pendant les départs de courses des autres races que ce soit en racing ou en PVL, mais nous en barzoï,, les concurrents se souhaitent une bonne course et prononcent les mots magiques : " que le meilleur gagne" et cela, c'est EXTRAORDINNAIRE, ILS SE RESPECTENT. Mon souhait le plus profond serait qu'un jour, quand je serrais vieux, que notre élevage serra dans le creux de la vague et je sais que ces moments là arriveront un jour , un autre propriétaire ou éleveur belge de barzoïs, quand il aura tout mis en oeuvre pour arriver à son but, quand il serra à son tour sur le podium, que le drapeau belge serra hissé haut et fort, que la Brabançonne retentira, qu'il se souvienne de ma passion, d 'éventuels conseils que j'ai pu lui donner, des paroles que j'ai pu dire, de ma vision de courses et du BARZOÏ . Moi, à chaque fois, je me souvenait des conseils et de paroles de Marc Descamps, de nos moments de libations et que si notre Barzoï et moi étions sur le podium, c'était un peu grâce à lui qui a su humblement me communiquer sa passion du Barzoï et des courses de lévriers . Je souhaite que cette nouvelle génération de coursiers vivent ces moments de bonheurs comme les Catherine et moi les avons vécus . Là, à ce moment, la boucle serra bouclée, ma mission serra achevée et le rôle que j'ai voulu jouer pour l'avenir des courses des courses de lévriers et l'avenir du Barzoï serra accompli. Comme dans une course relais, le bâton serra transmis et d'autres poursuivront le travail afin de faire PARTAGER LA PASSION DES COURSES DE LEVRIERS ET DU BARZOÏ. Barzoïement vôtre Tony

Pourquoi fait- il si calme sur ce poste? Après cet hivernage forcé, passé bien au chaud, vous n'avez donc rien à raconter, commenter ou tout simplement rien à partager avec ce forum? Où sont passé vos talents de conteurs, de reporters ou tout simplement vos coups de gueules au sujet du racing? Il est vrai que la saison n'a pas encore recommencer, le soleil sera bien vite là, il va falloir sortir de cette léthargie, sortir de sa tanière pour penser tout doucement à la reprise des entraînements afin que vos loulous soient au top de leur forme, il va falloir préparer son calendrier et fixer vos objectifs. Je croyait qu'après cette longue période de repos imposée, en prévision de la reprise, nous allions avoir dans cette rubrique, des questions de la part de nouveaux membres et qui veulent découvrir le RACING, je croyait que cette période allait favoriser la réflexion et impliquer la prise de position, ou tout simplement que le moment était venu de partager sur ce forum des moments de joie, de vives émotions que vous avez passé cet hiver avec vos lévriers de courses. Nos lévrier, eux sentent que les beaux jours vont arriver, ils s'excitent déjà aux premiers rayons de soleil qui feront fondre la neige dont nous avons bénéficié pendant cette période hivernale et commence déjà leurs toilettes de printemps, alors, faites la même chose. Allons il est est de se réveiller et de passer à l'action. Je suis impatient de vous lire, de prendre de vos nouvelles afin de réactiver les braises qui brûlent en vous grâce à cette passion qui nous unit: " le lévrier de courses ". Je ne veut pas croire à ce proverbe qui dit, "loin des yeux, loin du coeur " Alors vite à vos plumes ou plutôt à vos PC. Bonne saison à vous tous. Brzoïement vôtre Tony

Avez vous bien hiverné, vous et vos lévriers ? Je trouve ce poste bien tristounet, vous n'avez donc rien à raconter, pas d' anecdotes passées cet hiver? Le soleil va montrer le bout de son nez, allez, il faut penser à se réveiller, à préparer l'année 2013, à se fixer des objectifs, tout en oubliant pas la reprise des entraînements de vos loulous. Un hiver ça passe tellement vite, au plus on vieilli, au plus le temps passe vite, vous trouvez pas ? Pour Catherine et moi, les objectifs de cette année sont les championnats d'Europe de PVL Calova, Barichnia,Jasnaya, Jarec et Erikstov, et en racing les championnats d'Europe en Suisse avec Jasnaya, Jarec et Eristov. Nous allons probablement courir moins souvent, mais nous allons mieux courir pour préparer à fond nos Barzoïs. En coursing, il y a bien entendu des PVL INCONTOURNABLES, Amermont, Laferté, Paray,et Landsthull. En racing, il y a Landsthull, le lévrier d'or à Awans et probablement les pays de l'Est où là on est sûr d'avoir de la conccurence. A part cela, l'hiver ce passe bien, les chiens ont pris leurs pieds dans la neige qui est tombée abondement, pas de bobos,pas de malades, ouf pour une fois. J'ai hâte de recommencer la saison, mais les week end, je commence à m'emer.......... Voilà à votre tour maintenant. Baqrzoïement vôtre Tony

Je crois que nous devrions demander à Philippe Marting propriétaire d'Eleven Du Grand Chien de Culann ( qui détient un palmarès non négligeable de courses et be beauté), de nous faire un petit exposé avec photo sur l'Irish Wolfoud, lui qui est un passionné de cette race, et de plus, il a le verbe et la plume facile. Ce serait intéressant d'avoir sa vision des choses, vous ne trouvez pas? Barzoïement vôtre Tony

Dimanche matin vers 9 h , Catherine et moi prenons la route pour Paris afin d'aller chercher Marina qui a passé quelques jours chez sa soeur Véronica qui habite Paris dans le 18 èm. Après 3h de route, nous arrivons à destination, au pied de la butte de Montmartre, très joli quartier où se dressent de vieux immeubles du style art déco. A notre stupéfaction, les magasins sont ouverts, il y a plein de bouquinistes, et beaucoup de librairies. On essaye de trouver une place pour garer la voiture, quelle pitié .Après avoir fait 4 fois le tour du quartier, euréka, nous sommes à 10 minutes à pieds de l'appartement de Véronica, comme cela nous ferons un peu de tourisme Soudain, un gros problème apparaît, Catherine a perdu le petit papier sur lequel elle avait inscrit l'adresse et le numéro de code pour la porte d'entrée de l'immeuble ( c'est toujours à nous que cela arrive, c'est bizarre!!!!!!!!) Catherine appelle Marina avec son portable, la communication téléphonique passe bien entendu par la Russie. Le problème résolu, nous sommes dans l'ascenseur pour le 6èm étage. Les retrouvailles sont plus que chaleureuses, dommage que que mon ami Sergueî, le mari de Marina n'a pu obtenir de visa,que voulez vous, c'est aussi ça Poutine et la Russie. Dommage pour moi, il n'y aura pas ou très peu de vodka cette fois . Comme il est déjà presque 13 H , Véronica nous emmène au pieds de son immeuble dans un bistrot datant de 1900 pour casser la croûte. Le déjeuner terminer, Véronica est obligé de nous laisser, elle doit aller donner cours car elle est professeur de danse de tango argentin dans une célèbre école parisienne dont j'ai oublié le nom et les leçons se donnent aussi le dimanche. Nous voilà seul, avec Marina, nous regagnons la voiture et décidons de gagner Bruxelles pour faire visiter à notre amie la grande place et le Mannekenpiss. D'après le GPS, l'arrivée à Bruxelles est prévue vers 17 H30. Pendant le voyage, beaucoup de discussions, car depuis le mois de mai de l'année dernière, nous avons énormément de choses à nous raconter. Après 3H de visite à Bruxelles, quelques achats souvenir et un bon verre, nous rentrons à la maison, nous sommes fatigués et il faut nourrir les barzoïs De retour à la maison, Marina prends possession de sa chambre, se met à l'aise, et nous dégustons une bonne piérrade avec bien entendu une bonne bouteille de côte d'Auvergne venue de chez feu Marc Descamps tradition oblige. Nous n'avons pas vu les heures passées tellement les discussions au sujet des barzoïs sont longues mais nos yeux commencent à se fermer tout doucement. Le lendemain matin, après un bon petit déjeuner bien calé, j'emmène Marina visiter notre cynodrome et la ville de Liège, attention nous devons être de retour à la maison vers 14 H , Catherine n'ayant pu obtenir congé à l'école où elle travaille termine à 14H; Notre visite du matin terminée et de retour à la maison, Catherine prends le relais et emmène Marina visiter Durbuy. Moi je reste à la maison pour préparer le repas du soir, chicons farcis, boulettes à la liégeoise et bien entendu des frites. Les femmes sont de retour, après l'apéro composé de spécialités régionales, on passe à table et les discussions de barzoïs et de chasse reprennent de plus belles. Il est déjà tard, nous avons de nouveau pas vu les heures défilées et le marchand de sable est entrain de passer. Mardi matin, j'emmène Marina visiter Maestricht, de nouveau, on doit être à la maison dans l'après midi car Catherine rentre de son boulot vers 14 H. Aux alentours de 16 H, Catherine, Marina et moi gagnons la ville de Namur où Nicolas notre fils nous attends pour faire visiter à notre amie russe les vieux quartiers, et les endroits pittoresques de Namur qu'il connait mieux que nous et fini pat nous offrir dans un des plus vieux café d Namur " La Fontaine " place saint Aubin, une bonne orvale bleu que Marina déguste avec plaisir, moi aussi bien sur Sympa de ta part Nico d'avoir consacrer du temps à notre hôte. De retour à la maison, tout en prennant l'apéro, Catherine en profite pour montrer à Marina des tas de photos de nos barzoïs, de coursings, de racings. Nous passons à table pour déguster un savoureux magret de canard fondant sous la langue que Catherine nous a préparé, le tout arrosé d'une bonne bouteille venant encore de chez feu Marc Descamps. Et autour de la table, devinez ce qu'il se passe: les récits de barzoîs reprennent à 1000 à l'heure. Mercredi, la matinée est consacrée aux préparatifs car Marina doit regagner Paris. Seulement, il y a encore un petit problème (c'est toujours à nous que cela arrive, vous ne trouvez pas? ). En allant chercher Marina à Paris, une pierre est venue percuter le pare brise de la voiture de Catherine et le réparateur achève de terminer la réparation, donc tout en buvant une tasse de café dans le réfectoire scolaire de l'école de Catherine les adieux émouvants se font. Thomas notre second fils a décidé de faire le voyage du retour vers Paris pour nous tenir compagnie, c'est sympa aussi de sa part, mais il s'impatiente car il commence à neiger fortement et on a 380 Km à faire. Le mécano nous annonce que la réparation est terminée, nous pouvons prendre la route. Les yeux de Catherine et Marina brillent, ils sont au bords de larmes, mais Marina dit à Catherine: vous viendrez encore vite chez nous en Russie et moi de dire de suite un grand OUI. Il est 12 H, en route pour Paris, arrivée prévue vers 15 H 30. 4 jours se sont écoulés sans que l'ont ait vu passer le temps, nous avons vécu des moments intenses de profondes amitiés grâce à notre passion commune le BARZOÎ, Dommage pour mon ami Sergueï qui n'a pu venir, faute d'autorisation de son pays, mais Marina m'a dit, vous vous rattraperez quand vous viendrez chez nous, je lui ai dit : " j'y compte bien" et Marina d'ajouter: " vous n'aurez pas besoin de moi pour rattraper le temps le temps perdu, car Sergueï et toi êtes experts en matière de fête". Bon retour Marina au pays de Soviets , toutes mes amitiés profondes à Sergueï ainsi qu'à touts mes amis de là- bas. Bien vite les championnats d'Europe de coursing pour nous revoir. Barzoïement vôtre Tony

Le CNBCL est heureux de vous confirmer la conférence débat donnée par Madame Dies, Professeur en médecine vétérinaire à la faculté vétérinaire de Liège Objet de la conférence: L'alimentation et les conditions physiques de nos lévriers courses Adresse du jour : Dans la buvette de notre cynodrome duCNBCL d'Awans près de Liège en Belgique Rue JL Defrêne, 98 B-434O Awans Date et heure : Le 8 février 2O13 0 19H OO Prix d'entée : 5 euros Nous espérons vous voir nombreux que beaucoup de questions seront posées à la conférencière et que le bar sera à votre disposition pendant la séance. Merci d'avance à vous toutes et tous Barzoïement vôtre Tony

Il me semble évident que pour moi il existe deux sortes de rations 1 qui couvre les besoins du chien( ration d'entretien) 2 qui couvre les besoins énergétiques en courses de nos lévriers(ration énergétique) Pour moi la ration doit être équilibrée et équilibrante pour n'importe quel animal. La satiété est quelque chose de très important d'ou la charge dans la ration L'exercice et l'entraînement font aussi que le chien ne fait de la graisse mais du muscle La protéine peut être trouvée sous d'autres origines que dans la viande avec des assimilations plus ou moins différentes selon leurs origines. N'oublions pas que le chien est avant tout un carnassier et qu'il a besoin de viande pour son métabolisme, mais attention l'excès nuit en tout. Le lévrier de courses à besoin de trouver dans sa ration de protéines pour la constitutions de ses muscles ronds et de ses muscles longs, muscles qui n'ont absolument pas les même besoins car ces muscles n'ont pas la même fonction. En racing et en PVL nos lévriers sont de véritables chaudières qui brûlent souvent plus de calories que ce qu'ils n'en consomment pendant leurs efforts en courses. Il est vrai que l'excès de protéines d'origine animale peut entraîner de graves problèmes( reins, peau, graisse, estomac, transit intestinal, obésité , dérèglement du système immunitaire, fragilité cardiaque, etc....) mais nous avons souvent tendance à négliger l'apport de glucides(sucre lent), de lipides, de fibres, d'oligoéléments majeurs et mineurs et l'hydratation. La coprophagie est souvent le signe d'un problème de carence ou de déséquilibre au niveau de la ration. Si l'animal ne trouve pas cela dans sa ration, inconsciemment nous brisons des ponts que font que la décomposition chimique et l'assimilation de la protéine ne se fait pas complètement, pas assez et dans certains cas extrême pas du tout, d'ou problèmes, d'urée anormalement élevée, de toxines, de métabolisme, d' acide lactique, cardiaque,tétanie etc...... A titre d'image je compare la ration de mes lévriers comme un éponge, quand celle ci est gorgée d'eau elle ne sais plus absorber le liquide dans laquelle on l'a plongée cela s'appelle du lessivage . Il est fréquent de retrouver des molécules chimiques non assimilées et non décomposées dans les déjections de nos toutous, car la ration n'est pas adaptée pour la race du chien et le travail que celui-ci doit fournir. Je dois nourrir mes barzoïs pas le caniveau et encore moins les rats des égouts. Je crois que l'on a souvent tendance négliger de purger, nettoyer, de nettoyer les filtres de la machine, purifier le corps de nos sportifs canins, à mon avis 1 jour par semaine ne faudrait il pas réduire à sa plus simple expression l'alimentation de nos lévriers de manière à éliminer une grande parties des toxines nuisibles au bon fonctionnement des organes internes de nos lévriers en ne négligeant surtout pas le jour de ce pseudo jeûne un apport abondant d'eau fraîche. Le chien, à l'intérieur de son corps doit avoir une armoire avec différents tiroirs qu'il va ouvrir suivant les besoins énergétiques qu'il a à couvrir, pour cela il faut des réserves dans ces tiroirs sans cela on va droit vers un dérèglement chimique et physiologique du métabolisme de notre chien. On ne nourrit pas un chien de traîneau comme on nourrit un lévrier de course, comme on ne nourrit pas un lévrier de fauteuil comme on nourrit un lévrier de courses, pour moi il est important de diminuer la ration d'un chien de course pendant l'hiver même si le toutou sort chaque jours au jardin car ses besoins en énergies sont moindres. Par contre, ce n'est pas le jour avant la course qu'il faut augmenter la ration, car l'assimilation ne pourra se faire faute de temps de décompositions chimiques , c'est pourquoi 15 jours avant la reprise de la saison de courses nous remplissons les tiroirs de nos toutous pour qu'ils puissent puiser ce dont ils ont besoin au bon moment pour produire leurs efforts qui ne sont pas les même en racing qu'en PVL. Les déjections de vos chiens doivent être révélatrices, pour moi elles doivent être moulées, luisantes, homogènes, régulières, pas trop odorantes et de couleurs ni trop noir ni trop claire. Il existe des formule de calculs de rations suivant le poids, la taille, le travail à fournir, l'âge. Des coefficients font partie de ces formules afin d'obtenir une ration optimale pour votre lévrier. Voila ce que je pense au point de vue de l'alimentation de mes lévriers, je ne dit pas que ma solution est la meilleure au monde, mais jusque maintenant cela marche, il suffit de voir les résultats de nos barzoïs sans prétentions aucunes bien entendu. Barzoïement vôtre Tony

Pour moi, l'hiver est la période idéale, pour faire le bilan de la saison de courses écoulée, de peut être se fixer de nouveaux objectifs pour nous et nos lévriers. C'est le moment de se remettre en question, de préparer son calendrier, d'éventuellement tirer les conclusions qui s"imposent pour essayer de trouver ou chercher des solutions aux problèmes que nous avons rencontrés afin de mieux préparer la saison nouvelle pour que nos coursiers soient au top de leur forme dans les différentes compétitions envisagées et ce, dans le but de réaliser nos objectifs . La trêve hivernale, de souvent plus de 5 mois, nous empêche de se voir et de garder des contacts entre passionnés de lévriers, La vie associative d'un club de lévriers de courses est très importante car elle donne une certaine pérennité aux clubs de courses et par la même occasion, on renforce la convivialité super importante pour le bon déroulement de nos compétitions et la vie de nos clubs C'est pourquoi, je trouve primordiale de conserver voir de créer des activités pendant cette période de pseudo repos car il est vrai que pendant cette halte imposée les courses sont à l'arrêt, mais nos athlètes continuent à s'alimenter et doivent faire de l'exercice sinon gare aux kilos superflus. D'ou l'importance d'organiser des conférences suivies de débats, d'exposés de propriétaires d'autres races que la notre, je pense faire venir dans notre club un propriétaire de chiens de traîneaux qui dispute en ce moment la course la plus importante au monde" La grande Odyssée"afin de voir comment il a préparé ses chiens à ces efforts physiques , etc........... .Il y a des tas de sujets intéressants à exploiter qui sont susceptibles d'intéresser le monde du lévrier de courses. Voilà ma vision des choses pendant la période hivernale Barzoîement vôtre Tony