Marine-perruche

Je te déconseille acquisition d'un oiseau élevé à la main : Laisser les perruches et perroquets être élevés par leurs parents Les limites et souffrances du nourrissage à la main Témoignages de perruches et perroquets EAM – les conséquences En plus les conditions de détention sont déplorables (cages rondes et sales)... Tu ne devrais pas enrichir et favoriser les actions d'une telle personne.

elle est pleine de suie

Je suis vraiment désolé Pikouik pour cette nouvelle, je t'envoie tout mon courage et ma compassion en attendant les nouvelles du vétérinaire

Quelle chance et quelle bonheur qu'elle se soit sortie de cette cheminée ta journée d'hier n'a pas dû être de tout repos !! La difficultés du vol libre en terme de sécurité réside dans le fait que plus ils auront confiance plus leur territoire de vol sera vaste, mais plus les dangers seront présents, pour leur petite taille.

J'adore les photos de sushi dans la nature !

Bon courage Pikouil, tiens nous informé

A ta place j'éviterai le trop plein de cohabitation, pas plus de deux espèces, et encore. Pour tes oiseaux l'idéal est qu'ils se retrouvent entre membres d'une même espèce, ça limite les facteurs anxiogènes, surtout chez les espèces monospécifiquees.

Gautier, quand on parle d'un oiseau par mètre cube, c'est pour les oiseaux qui bénéficient de la liberté dans les maisons. Toit, c'est une volière et ils n'auront jamais plus. Pour moi, une volière de 3 sur 3, elle ne devrait jamais dépasser 6 à 8 individus grand maximum. C'est leur seul espace de vie au quotidien.

Je viens de voir tes dernières photos, j'adore !!!

Bonne nouvelle Pikouik, Valentin a enfin gouté

En compléments aux informations de Gautier, qui a raison sur le sable : Les aliments et produits nocifs - sable ou gravier à éviter

Alimentation et santé L'alimentation de la perruche ondulée Alimentation complète et équilibrée : Fruits & Légumes : indispensable Les bienfaits de la carotte Faire manger des légumes et compléments alimentaires aux perruches Germinations et graines germées Faire pousser des graines - Perruches Les graines pour perruches - Alimention L’importance de la qualité des graines Extrudés, granulés, moulée pour perruches et perroquets Vitamines & Minéraux (calcium) Recettes maisons de pâtée aux œufs et de biscuits pour perruches Recettes pour oiseaux heureux

LA FAMILIARISATION ET L’APPRIVOISEMENT DE LA PERRUCHE ONDULÉE Avant de débuter l’apprivoisement de votre perruche, il vous faut comprendre ce processus complexe et délicat. C’est grâce au renforcement positif que vous pourrez, petit à petit, habituer votre perruche à votre présence et l’apprivoiser dans le temps et avec patience. Le renforcement positif, c’est la présentation d’un stimulus (facteur qui déclenche une réaction) qui suit un comportement dans le but de maintenir ou augmenter la fréquence de ce comportement. Les stimuli recommandés sont des renforçateurs positifs, c’est-à-dire des récompenses, des friandises, des compliments et félicitations. 1. NE PLUS CRAINDRE LA MAIN Une fois que la perruche ondulée s'est habituée à son nouveau foyer, il vous faudra l'habituer à votre présence : d’abord dans la pièce, puis ensuite, très près de la cage. Nous allons utiliser comme méthode d’apprivoisement le renforcement positif. Quand vous entrez dans la pièce où elle est installée, parlez à voix haute pour la rassurer, ce sera comme lui dire (les mots importent peu d'ailleurs) « coucou, regarde-moi, je ne suis pas un prédateur, je suis comme toi, tu n’as rien à craindre ». À chaque jour, petit à petit, approchez vous de plus en plus près de la cage tout en parlant et en ayant une attitude calme. Si vous observez qu’elles se figent, vous regardent d’un œil, en rentrant dans la cage, silencieuses et en alerte, arrêtez d’avancer, continuez de parler, en restant calme, et retirez vous doucement. Il ne faut pas forcer leur capacité d’acceptation, vous renforcerez positivement l’exercice en vous arrêtant et vous reculant doucement, suite à leur demande (comportement de crainte). Quand les perruches sont sereines et familiarisées avec leur environnement, elles font comme si vous n'étiez pas là et continuent leur routine : gazouillis, toilettage, jeux. Elles s'habituent à vous grâce à vos soins quotidiens et à l’attention que vous portez à ne pas les effrayer. Quand elles seront actives et rassurées en votre présence, vous pourrez passer à l'étape suivante. Une fois la première étape réussie, vous pouvez commencer à l'habituer à votre main. Elle doit avant tout se libérer de la peur qu'elle a de la main de l'homme, avec laquelle elle n'a pas vraiment eu de très bonnes expériences jusqu'à présent. La meilleure solution passe toujours par la récompense. La plus accessible des récompenses sera la nourriture, en particulier les friandises dont elle raffole comme le millet, les graines de tournesol, des pépins de courge, bref, une friandise particulièrement attrayante pour votre perruche et que vous réserverez pour l’apprivoisement. Fournissez-lui 3 à 5 cm de millet par jour, que vous coincez entre les barreaux, en montrant bien que vous l'apportez avec votre main, vous le déposez et partez. Au fur et à mesure des jours, restez présent et près de la cage, de plus en plus longtemps si votre perruche l'accepte. Rapprochez vous chaque jour de la cage, mais ne forcez pas votre perruche. Évoluez en fonction de l’aise qu’elle prendra. Si elle reste tétanisée (comme gelée), éloignez vous tout en lui parlant et en ne la fixant pas. Certaines auront besoin de trois jours pour vous accepter à côté d’elles et à d’autres, il faudra des semaines. Une fois accepté par votre perruche, qui reste active et motivée, ne fixez plus la friandise à la cage, mais tenez-la dans votre main, et tendez lui, dans un lieu où elle se sent à l’aise. Au début, la perruche n'osera certainement pas s'en approcher et y jettera juste un bref coup d'œil. Restez patient et constant, continuez de parler pour la rassurer comme si de rien n’était, asseyez-vous au besoin; elle finira, par curiosité et gourmandise, par venir et s'en approcher afin d’y goûter. Elle essayera, à une certaine distance et en tendant son cou, d'attraper quelques graines. Mais vos tentatives peuvent aussi bien rester sans succès pendant plusieurs jours. A un moment donné, votre oiseau aura assez de courage pour tenter « sa chance », mais pour cela veillez à bien avoir exécuté les précédentes étapes. Refaites les mêmes gestes quotidiennement, à la même heure, avec patience. Votre main lui sera bientôt aussi familière que la friandise et un jour elle y posera une patte, l'autre restant encore prudemment accrochée au perchoir. Ne perdez pas patience et, finalement, la perruche ondulée acceptera la main entière comme perchoir et n’y viendra plus uniquement pour manger. Vous pouvez alors tenter de créer une complicité avec votre perruche! La clé de cette étape est de constamment lui parler, ne pas la fixer, en adoptant un comportement stable, de proie, tout comme elle. Ceci doit être fait tout en lui parlant d'une voix calme et persuasive et en évitant tout geste brusque pour ne pas l'effrayer. Si la perruche a un nom, il est intéressant de le lui répéter toutes les fois qu'on lui présente une friandise, c'est ainsi qu'elle l'associera à une chose agréable, la friandise, et qu'elle finira par s'approcher rapidement chaque fois qu'elle l'entendra prononcer. 2. ENTRETENIR LA RELATION DE CONFIANCE L'habituer à se percher sur le doigt de son humain, permet de la faire sortir de sa cage sans qu'il y ait de problème au retour, car elle acceptera également le doigt pour rentrer. Ce sera encore plus facile si elles sont plusieurs. Si elle est habituée à emprunter notre main comme moyen de transport, il ne sera pas difficile de la ramener dans sa cage : il suffira de la lui désigner en tenant une friandise entre nos doigts. On peut également utiliser un perchoir mobile. Pour qu'elle soit habituée à utiliser votre doigt ou perchoir comme taxi, afin de la rentrer et sortir plus facilement de la cage, il faudra associer sa venue sur votre main, bras ou doigt, à une friandise, une de ses préférées. C'est un renforcement positif : cela l’incitera donc à recommencer, afin d'obtenir la friandise. Donnez-lui des récompenses et inventez des jeux quand elle vient sur vous. L'apprivoisement des perruches ondulées nécessite un investissement en temps et en patience de la part de son humain, de manière régulière et motivée. Il faut écouter sa perruche et suivre son rythme. Enfin, si votre oiseau se laisse prendre dans la main, c'est le signe d'une grande confiance, et cela peut vous rendre service lors de visites au vétérinaire par exemple, alors qu’il sera plus facile pour lui de la manipuler. 3. LES EXPLICATIONS SUR L’ENTRAINEMENT A L’APPRIVOISEMENT Vivre avec une perruche est un investissement de temps et d’argent. Il leur faut un grand espace de vie, une grande cage, une aire de jeux, tout comme une vie riche d’interactions animales et humaines. On doit leur fournir une alimentation complète et équilibrée, essentielle pour leur développement et leur espérance de vie. Et puis, elles ont besoin d’une bonne luminosité, de soins adaptés et, surtout, d’interactions sociales. Nous allons voir ensemble une nouvelle manière de permettre le bien-être de nos perruches ondulées. C’est une méthode d’entrainement à l’apprivoisement, afin d’améliorer leurs conditions de vie et leur milieu social. Une perruche sera plus heureuse et épanouie si elle apprécie son cadre de vie. L’apprivoisement est un réel travail, qui doit être récompensé. C’est un travail parce que cet entrainement à l’apprivoisement doit être régulier (exercices réguliers), efficace (correctement exécuté) et motivant (l’humain doit être à l’écoute et aimant pour réussir). a. LA MÉTHODE D’ENTRAINEMENT La récompense à l’exercice d’entrainement va permettre de renforcer l’entrainement, c’est un moyen de communication entre vous et la perruche. C’est pourquoi on appelle cette récompense un « renforçateur », et il en existe de deux niveaux. Les « renforçateurs primaires » sont les récompenses immédiates et efficaces comme la nourriture, mais ils sont limités sur une même période. Les « renforçateurs secondaires » sont moins forts mais peuvent être utilisés de façon illimitée, comme par exemple, les encouragements, les mots doux ou les gestes tendres. L’un dans l’autre, il faut trouver les « renforçateurs » appréciés par votre perruche en particulier. Donc, prenez soin de sélectionner les bonnes récompenses, comme quelques graines particulièrement prisées, que vous réserverez pour l’entrainement, et il en va de même pour les encouragements (bravo, bien) ou certains gestes (comme gratter la tête). Cependant, sachez que les perruches n’apprécient pas, en général, les « caresses façon humaine ». La deuxième étape est le fait de lier le cœur de l’exercice à la récompense. Ceci afin que la perruche assimile la récompense à l’exercice et sache donc que c’est la réalisation de cet exercice qui a permis d’avoir la récompense. Ce signal qui lie le comportement recherché à la récompense s’appelle un lien, ou un pont. Cela peut être un clicker, qui est un outil d’entrainement ou encore un objet, ou un mot comme « bien ». Il faut également une cible ou un lieu habituel où la perruche recevra sa récompense. Ce sera, par exemple, un même perchoir, le dessus de cage, le parc, votre bras ou votre poing (main fermée et ferme surtout). Recevoir la récompense sur votre poing ou votre bras va permettre de renforcer la communication entre vous et votre perruche. Et, de plus, cela la familiarisera avec vous et votre main. Une astuce : les perruches préfèrent monter plutôt que descendre, sur un objet ou votre poing, elles préfèrent une cible ou un lieu de récompense stable, comme un poing ferme, à une cible mouvante, comme un bras qui s’affaisse. Également, elles s’approcheront plus facilement du connu à l’inconnu, comme la nourriture et leurs jouets. b. DANS LA PRATIQUE Pendant et après la période de quarantaine et d’acclimatation, venez chaque jour, plusieurs fois par jour, voir votre perruche pour lui déposer un morceau de friandise ou de millet, sans rien demander en retour. Petit à petit, restez de plus en plus proche de la cage pour l’observer grignoter la récompense. Il faut que vous appreniez à écouter votre perruche et à suivre son rythme d’apprentissage et ses envies. Parfois, nous allons trop vite et trop violemment dans l’entrainement de notre perruche. Nous risquons ainsi de la braquer et lui faire peur plus que de l’aider, c’est pour cela qu’il faut être à l’écoute. Si elle semble rassurée en votre présence, continuez de vous approcher chaque jour un peu plus, lorsque vous donnez la récompense. Puis, donnez la récompense en restant tout à coté et soyez patient en observant votre perruche s’en approcher délicatement, tendre de toutes ses forces son cou, se lancer et y goûter. Une fois que vous aurez l’habitude qu’elle mange sa gourmandise en votre présence, vous pourrez passer celle-ci des barreaux, à la porte ouverte, observez-la s’approcher et goûter. Habituez-la à votre main, en tenant la récompense à la main et elle pourra d’elle-même monter sur le poing ou la main. Une astuce : le dos de la main est plus rassurant que la paume, d’où tendre le poing comme perchoir. Maintenant, dès que vous lui donnerez la récompense, faites le lien ou pont. Par exemple, si votre lien est un encouragement « bien » ou un coup de clicker, faites-le, puis immédiatement donnez la récompense. Répétez cela jusqu’à pouvoir allonger le temps réponse du lien ou pont avec la récompense afin que, même s’ils sont séparés de quelques secondes dans le temps, la perruche comprenne l’intérêt du lien (gourmandise) et qu’elle soit satisfaite. La seconde étape consiste à appliquer l’exercice et le lier à la récompense. Une fois l’exercice effectué par la perruche, il faut bien communiquer à sa perruche sa satisfaction grâce au pont ou au lien et la cible (lieu de la récompense) ainsi que la récompense, pour créer le lien entre l’exercice et la récompense. Par exemple, tenez la récompense et montrez-lui en faisant le lien, clicker ou encouragement, puis cachez-la doucement au creux de la main, poing fermé. Mettez un obstacle (votre bras, dos de la main) entre la récompense et la perruche; la perruche viendra chercher sa récompense. Félicitez-la de son effort. Petit à petit votre perruche prendra confiance et viendra chercher sa récompense avec hâte et plaisir. Il faut alterner les récompenses pour ne pas que votre perruche se lasse, là c’est à vous de jouer, vous savez ce qui lui plaira. Maintenant, vous n’avez plus qu’à appliquer ces techniques à tous vos exercices afin de communiquer à votre perruche votre satisfaction de ses efforts et réussites. Par exemple, si vous voulez lui apprendre à « monter » : elle est sur son perchoir, mettez la récompense au bout de vos doigts, légèrement plus loin et plus haut que le perchoir où elle est et votre bras ou poing entre les deux. Quand elle s’avancera entre son perchoir et votre bras et qu’elle sera tout juste dessus, faites le lien, encouragement ou clicker, et montrez lui la récompense qu’elle va venir manger. Un exercice est réussi s’il est appliqué plusieurs fois, régulièrement et que vous observez le plaisir de votre perruche à le réaliser et à recevoir la récompense. Au début, la récompense « alimentaire » sera nécessaire, mais vous verrez avec le temps qu’elle se satisfera des récompenses de second niveau comme les encouragements, bisous ou gratouilles. Dernier petit conseil : ne forcez jamais votre perruche, n’agrandissez pas les distances entre la récompense et elle en plein exercice, cela ne pourrait que lui faire perdre confiance et motivation. La confiance est la clé. Il ne faut surtout pas la frustrer, elle pourrait développer des peurs et les aggraver en votre présence, ce qui pourrait la rendre agressive et malheureuse. J’espère que ces quelques astuces vous aideront dans votre entrainement d’apprivoisement et de socialisation de votre perruche. Sources : • Observations des oiseaux en captivité • École nationale vétérinaire d'Alfort • Centre aviaire Johanne Vaillancourt • L’AEDP • Barbara Heidenreich • Revues vétérinaires Marine Scié 2011 http://www.perruches.org

Je ne sais pas de quelle histoire vous parlez. Moi je considère que tant que tu as des professionnels disponibles de jour comme de nuit (gardes et astreinte de nuit), ce qui est le cas dans chaque grandes villes (en campagne c'est le même principe sauf qu'il faut parfois parcourir 70 km pour se rendre chez le véto de garde), il faut recourir à l'euthanasie médicale, qui a été optimisé pour le bien-être des animaux souffrant. Pour moi, c'est irresponsable et inqualifiable de pratiquer une euthanasie soi-même, quand on dispose de tels services. D'autant plus que dans 90% des cas l'euthanasie "maison", faite par les propriétaires eux-même, se passe très mal. C'est mal fait, l'animal souffre et agonise avant qu'on lui remette un coup fatal ou je ne sais quelle méthode. j'en ai entendue des récits si immondes que pour moi ça n'a pas de sens. A 1H du matin arrivé à plusieurs reprises d'aller chez le vétérinaire pour une consultation d'urgence. C'est juste une question de se donner les moyens. Après si vraiment aucun vétérinaire n'est disponible à 80 km et que l'animal souffre, ça devient concevable et pertinent, plutôt que de le laisser agoniser. Mais c'est bien le seul cas acceptable.

Lui ajouter une compagnie de son espère par la suite peut être une excellente idée

Quelle très bonne nouvelle, Félicitations Rebecca et Pikouik Pour le médical training c'est super aussi, ça te seras d'une grande utilité en période de traitement, car en plus de pouvoir ingurgiter correctement son traitement, pour éviter de briser sa confiance. De belles progressions

Adorables photos !!

Superbe idée que d'adopter ces deux perruches La cage est trop petite pour eux s'ils y vivent tout le temps, mais si vous les sortez tous les jours plusieurs heures ça sera correct en attendant les aménagements du printemps.

Bonjour Saby, Il y a plusieurs cas possibles pour un oiseau élevé à la main. Le mieux pour lui et tout d'abord de lui trouver un compagnon, et qu'il soit élevé par les parents (voir manipulé au nid) afin que ce dernier ait eu un apprentissage complet et une socialisation non déficiente. Ainsi, il va combler l'apprentissage de ton oiseau EAM et va l'aider à s'identifier en tant qu'oiseau de sa propre espèce, et non plus s'identifier à l'espèce humaine. Cependant, cela prend du temps, il faut bien enrichir l'environnement, avec de l'espace, de la liberté, des jeux, et il faut guider tes oiseaux, et être à l'écoute de leurs besoins. Parfois cela échoue faute de possibilités. ta calo est jeune, tu ne devrais pas avoir de difficultés à lui trouver un compagnon EPP avec qui elle s'entendra bien et ça ne t'empêchera pas de les garder avec toi, et d'avoir des interactions et une relation de confiance. Je ne sais pas qui t'a conseillé qu'une calo pouvait être sevrée à 20 jours, mais c'est trop tôt, et elle n'a pas pu bénéficier d'une socialisation complète. Quand à l'EAM, c'est une pratique maltraitante et néfaste que malheureusement certains n'ont pas de scrupules à pratiquer pour la vente (ça paye). Arrive-t-elle à mieux manger ?

Je suis vraiment désolé pour lé décès de Titou

Les ardoisées je les trouve vraiment belles !

Je comprend mieux alors, parce que faire 70km pour un véto dont on connait pas les compétences, c'est pas de la tarte. S'il te reste une autre goutte dans la pipette tu peux de nouveau lui placer entre les ailes derrière la nuque en soulevant les plumes. Comme ça on sera sûr coté parasites. Coté alimentation vérifie bien qu'elle est complète et équilibrée (germinations, fruits, légumes, verdure, os de sèche et minéraux) car souvent les carences altèrent la qualité de la cire.

Bonsoir Mowana, J'ai l'impression que cela un peu diminué, mais ce devrait être plus flagrant comme changement car ça fait plus d'un mois. As-tu consulté un vétérinaire pour ça ? Je dis ça, c'est que j'ai quand même un doute sur le fait que ce soit la gale, parce qu'avec une goutte de stronghold chaton - c'est très efficace et l'état semble peut avancé sur ton bleu - ça aurait dû pleinement disparaitre. Au moins un vétérinaire pourrait vérifier qu'il y a bien les acariens de la gale, ou si c'est une autre infection ou pathologie. Je connais bien cette cage pour l'avoir eu et en effet les barreaux sont marrons. Pour les jouets, tu peux tenter d'attirer sa curiosité en y déposant très proches des aliments qu'elle aime beaucoup, comme un morceau de millet accroché au jouet cela va la désensibiliser à la nouveauté et facilitera son approche.

Coucou Amanda, Et oui ton post nous a inspiré Je te comprend tout à fait quand tu dis que les aras ou les cacatoès te fascinent, moi c'est pareil, et je pense que beaucoup d'en nous aussi. Les Youyou je les connais peu mais je pense qu'un duo de conures c'est abordable, et avec un environnement adapté et de l'attention, tu construira une superbe relation et vivra de beaux moments !! Je les adore nos conures, finalement, ce sont mes préférées. J'adore leur caractère curieux, joueur, dynamique et sensible.

France habite à Montréal, alors que l'annonce sur leboncoin concernée une personne en france. mais c'est vrai que ça y ressemblait ! COmment vont tes belles France ? As-tu été voir un véto pour supprimer les causes pathologiques ?