Margaux02

J'ai oublié de préciser un paramètre essentiel à mes yeux! Bluw est un hybride personata X roseicollis ce qui fait de lui un individu stérile et donc qui ne peut pas se reproduire. C'est bien beau de lâcher des oiseaux exotiques dans notre environnement mais s'il y a quelque chose qui importe plus encore, c'est le respect de la faune locale! Si par malheur ces 2 oiseaux se perdaient et survivaient dans la nature, s'ils tentaient de se reproduire, cela ne donnerait rien, pas de descendance possible. Quand on voit que par chez nous il y a aujourd'hui des colonies de perruches à collier issues de quelques individus relâchés, qui vivent au détriment d'espèces locales... c'est triste! Je crois que si Bluw avait été un roseicollis, je n'aurais pas tenté l'expérience malgré ses capacités idéales. Les inséparables sont très prolifiques et opportunistes, quelques populations ont déjà été observées en France! On n'est jamais trop prudent... Beaucoup d'éleveurs estiment que ces individus hybrides stériles sont, je cite "bon à mettre à la poubelle"! Et bien moi je veux bien être la "poubelle" dans ce cas!

Superbes paysages! Magnifiques ces grues! Merci Vanina pour le partage!

Merci Christiane! Je suis touchée! Tu as raison de mettre en garde, et il suffit de constater le nombre d'annonces de perroquets perdus pour comprendre que ce n'est pas une pratique qui se base uniquement sur le "feeling" ou sur la relation homme/oiseau. Un oiseau peut être très proche de son humain, fusionnel, ce n'est pas ça qui le fera revenir. J'ai des inséparables en volière avec lesquels je suis bien plus complice et pourtant ils ne feraient pas de bon free-flighters à mes yeux! Ou peut-être pas dans l'immédiat... C'est un entraînement de très longue haleine qui comporte beaucoup de risques. Je ne suis pas du tout professionnelle en la matière, je fais peut-être des erreurs, j'espère de tout mon coeur que ce n'est pas le cas. Il ne faut pas que ça incite les propriétaires à le pratiquer. Demain, programme: Entraînement intensif en intérieur et désensibilisation, encore.

De rien! C'est un plaisir de vous faire partager cette aventure! J'espère vraiment que ça va continuer comme ça, c'est tellement magique de les voir voler ainsi! Oui, la désensibilisation est un point beaucoup trop négligé par les propriétaires. Le rappel c'est déjà quelque chose, mais lui seul n'est pas suffisant! Même pour mes perroquets non destinés au vol libre je les habitue au jardin, à l'extérieur, les alentours ect... si un jour il y a un accident et qu'ils s'envolent, alors j'aurais toutes les chances de les retrouver. Malheureusement j'ai déjà eu affaire à ce genre d'accident, mais j'ai retrouvé tous mes oiseaux et je ne crois pas que ce soit un hasard! Ce que je peux dire c'est que samedi, ils ont été plus "timides". Ils n'avaient pas peur du tout, on aurait dit qu'ils se conduisaient comme en intérieur, et ça c'est un bon point, ça veut dire que le travail de désensibilisation a été bien fait. Par contre ils sont restés sur et autour de la volière à une hauteur bien moins importante. Hormis Lutin qui est allé tout en haut du pin puis est aussitôt redescendu à la verticale. Ils se sont contentés de faire des vas et viens volière/humain, quelques vols d'explorations très courts. Niveau distance, ils ont exploré le tour de la volière, côté jardin seulement, et non côté "voisin". Ils n'ont eu aucune appréhension en ce qui concerne le vol, les hauteurs, les distances, j'avais imaginé qu'ils se montrent peut-être plus hésitants, mais ce ne fut pas du tout le cas! Niveau rappel, la réponse était immédiate. Il y a eu quelques comportements exploratoires, je les ai laissé indépendants quelques minutes afin qu'ils prennent le temps d'observer, s'accoutumer à l'endroit. Les rentrer en volière s'avéra plus difficile qu'aujourd'hui. Ils voulaient passer par le devant de la volière, alors que la porte se trouve sur le côté, il a fallu plusieurs tentatives pour qu'ils comprennent que je les amenais vers l'entrée principale. Quand j'ai ouvert la porte ils se sont précipités puis se sont excités comme des fous! Ils avaient l'air vraiment contents! Ce que je voyais là, c'était de la joie! Pour éviter que la situation ne se reproduise, j'ai repris ce point hier en faisant des entrées et des sorties depuis la porte, afin qu'ils enregistrent bien la manoeuvre! Il faut que mes oiseaux me fassent confiance, je dois sans cesse leur parler, les regarder, les encourager. Je crois que leurs réactions seraient bien différentes si je restais silencieuse dans un coin! Samedi ils ont attendu que je sois à 3 ou 4 m de la volière avant de s'envoler. Aujourd'hui ils sont partis faire un tour dès les premiers instants où j'ai ouvert la porte! Ils ont effectué leurs premiers véritables vols d'exploration, ces longs vols en cercle que l'on peut observer dans les vidéos de vol libre. Côté jardin, mais aussi de l'autre côté de la volière! Ils sont allés bien plus hauts que samedi, et se sont ensuite posés sur les arbres autour de la volière. Ils sont restés statiques quelques instants, le temps qu'ils se remettent de leurs émotions! Je leur parlais sans les appeler, Lutin est venu me voir, puis il est reparti direction le grillage de la volière. Les oiseaux à l'intérieur étaient bien moins excités, ils s'intéressaient à peine, alors que samedi ils étaient tous collés contre le grillage à lancer des cris d'appel! Après quelques minutes Bluw est allé le rejoindre. C'est là que je les ai appelé, ils sont venus et sont restés sur moi, je les ai bien félicité, puis je les ai amené vers la porte de la volière. J'ai ouvert, Bluw est rentré le premier puis est sorti aussitôt!^^ Alors que Lutin était déjà parti sur le toit!^^ J'ai attendu un peu, hop, je les rappelle encore une fois, ils reviennent, je les rentre et cette fois pas de chichi! Ils ne voulaient plus me lâcher par contre!^^ Voilà pour la comparaison! En clair, les 2 séances se sont très bien passées, mais la deuxième était sans doute la plus intéressante!

Merci Martin! J'espère sincèrement ne pas commettre d'erreur, aux vues de ce que j'observe pour le moment, je suis confiante, mais avec les animaux, sauvages en particulier, il y a toujours une part d'imprévisibilité. On ne peut pas avoir une confiance aveugle en leurs réactions. Le risque 0 n'existe pas, même avec des oiseaux sur-entraînés! Les inséparables sont à mes yeux des candidats insoupçonnés, ils ont vraiment toutes les qualités pour être de bons voiliers en extérieur! Mais c'est vrai qu'ils sont petits, on peut vite les perdre de vue! Il y a un avantage considérable dans mon jardin: la volière avec des congénères. Les cris qu'ils poussent aide mes 2 totos à se repérer, et si un jour ils se perdent, alors j'ose espérer que ce sera une aide pour leur retour au bercail! Seulement il ne faut pas se baser uniquement là dessus! Le rappel doit être excellent, mais dans ce nouvel environnement, ils sont tentés d'explorer et c'est normal. C'est bien qu'ils explorent justement, ils seront toujours plus à l'aise dans ce milieu, et mémorisent les alentours. Avec les sorties ils s'éloigneront probablement à chaque fois un peu plus. Déjà j'ai observé une différence entre samedi et aujourd'hui. Samedi ils se sont contentés de vas et viens, alors qu'aujourd'hui ils ont véritablement voler! Puis, ce sont des inséparables, donc des perroquets plutôt sédentaires qui restent sur un même territoire, même à l'état sauvage. Je ne m'aventurerai pas à pratiquer le vol libre avec des calopsittes ou des ondulées! Il y en a qui le font quand même... Place aux photos! Alors là, c'était après leur petit tour, Bluw s'était perché tout en haut d'un arbre! Lutin était perché bien plus bas! Puis ils sont venus tanner les autres inséparables!^^ Lutin était, à mon avis, le plus à l'aise contrairement à samedi où c'était Bluw qui avait pris les devants. N'empêche que quand j'ai ouvert la volière, ils ont reculé l'air de dire "non, encore un peu"! On peut le voir déjà sur les photos, ils ne sont pas effrayés pour un sou!

Bon, la période de doute n'a pas duré! Je les ai sorti à l'instant et c'était drôle, on aurait dit qu'ils avaient déjà anticipé le truc! J'ai fait à peine 2 m dehors qu'ils se sont envolés comme des fous vers la volière, puis ils ont fait 2 ou 3 fois le tour du jardin en immenses cercles, c'était trop beau! Ils se sont ensuite posés dans les arbres alentours, et j'ai pu les rappeler, et les rentrer gentiment en volière! Au début Bluw a hésité, alors je les ai sorti encore un peu, ils ont fait quelques vols puis j'ai pu les rentrer! Ils ont vraiment l'air d'aimer ça, c'est fou! Cette fois j'ai pris des photos! Il y a un avantage considérable dans mon jardin : la volière avec des congénères. Les cris qu'ils poussent aide mes 2 totos à se repérer, et si un jour ils se perdent, alors j'ose espérer que ce sera une aide pour leur retour au bercail! Seulement il ne faut pas se baser uniquement là dessus! Le rappel doit être excellent, mais dans ce nouvel environnement, ils sont tentés d'explorer et c'est normal. C'est bien qu'ils explorent justement, ils seront toujours plus à l'aise dans ce milieu, et mémorisent les alentours. Avec les sorties ils s'éloigneront probablement à chaque fois un peu plus. Déjà j'ai observé une différence entre samedi et aujourd'hui. Samedi ils se sont contentés de vas et viens, alors qu'aujourd'hui ils ont véritablement voler! Puis, ce sont des inséparables, donc des perroquets plutôt sédentaires qui restent sur un même territoire, même à l'état sauvage. Je ne m'aventurerai pas à pratiquer le vol libre avec des calopsittes ou des ondulées! Il y en a qui le font quand même... Place aux photos! Alors là, c'était après leur petit tour, Bluw s'était perché tout en haut d'un arbre! Lutin était perché bien plus bas! Puis ils sont venus tanner les autres inséparables!^^ Lutin était, à mon avis, le plus à l'aise contrairement à samedi où c'était Bluw qui avait pris les devants. N'empêche que quand j'ai ouvert la volière, ils ont reculé l'air de dire "non, encore un peu"! On peut le voir déjà sur les photos, ils ne sont pas effrayés pour un sou! Comparatif de la première sortie et de la seconde Ce que je peux dire c'est que samedi, ils ont été plus "timides". Ils n'avaient pas peur du tout, on aurait dit qu'ils se conduisaient comme en intérieur, et ça c'est un bon point, ça veut dire que le travail de désensibilisation a été bien fait. Par contre ils sont restés sur et autour de la volière à une hauteur bien moins importante. Hormis Lutin qui est allé tout en haut du pin puis est aussitôt redescendu à la verticale. Ils se sont contentés de faire des vas et viens volière/humain, quelques vols d'explorations très courts. Niveau distance, ils ont exploré le tour de la volière, côté jardin seulement, et non côté "voisin". Ils n'ont eu aucune appréhension en ce qui concerne le vol, les hauteurs, les distances, j'avais imaginé qu'ils se montrent peut-être plus hésitants, mais ce ne fut pas du tout le cas! Niveau rappel, la réponse était immédiate. Il y a eu quelques comportements exploratoires, je les ai laissé indépendants quelques minutes afin qu'ils prennent le temps d'observer, s'accoutumer à l'endroit. Les rentrer en volière s'avéra plus difficile qu'aujourd'hui. Ils voulaient passer par le devant de la volière, alors que la porte se trouve sur le côté, il a fallu plusieurs tentatives pour qu'ils comprennent que je les amenais vers l'entrée principale. Quand j'ai ouvert la porte ils se sont précipités puis se sont excités comme des fous! Ils avaient l'air vraiment contents! Ce que je voyais là, c'était de la joie! Pour éviter que la situation ne se reproduise, j'ai repris ce point hier en faisant des entrées et des sorties depuis la porte, afin qu'ils enregistrent bien la manœuvre! Il faut que mes oiseaux me fassent confiance, je dois sans cesse leur parler, les regarder, les encourager. Je crois que leurs réactions seraient bien différentes si je restais silencieuse dans un coin! Samedi ils ont attendu que je sois à 3 ou 4 m de la volière avant de s'envoler. Aujourd'hui ils sont partis faire un tour dès les premiers instants où j'ai ouvert la porte! Ils ont effectué leurs premiers véritables vols d'exploration, ces longs vols en cercle que l'on peut observer dans les vidéos de vol libre. Côté jardin, mais aussi de l'autre côté de la volière! Ils sont allés bien plus hauts que samedi, et se sont ensuite posés sur les arbres autour de la volière. Ils sont restés statiques quelques instants, le temps qu'ils se remettent de leurs émotions! Je leur parlais sans les appeler, Lutin est venu me voir, puis il est reparti direction le grillage de la volière. Les oiseaux à l'intérieur étaient bien moins excités, ils s'intéressaient à peine, alors que samedi ils étaient tous collés contre le grillage à lancer des cris d'appel! Après quelques minutes Bluw est allé le rejoindre. C'est là que je les ai appelé, ils sont venus et sont restés sur moi, je les ai bien félicité, puis je les ai amené vers la porte de la volière. J'ai ouvert, Bluw est rentré le premier puis est sorti aussitôt! Alors que Lutin était déjà parti sur le toit! J'ai attendu un peu, hop, je les rappelle encore une fois, ils reviennent, je les rentre et cette fois pas de chichi! Ils ne voulaient plus me lâcher par contre!^^

Entraînement au vol libre de deux insépaables : Bluw et Lutin Cette fois je me décide à faire un post qui retrace l'entraînement de Bluw et Lutin au vol libre extérieur. Je crois que c'est un bon moyen de mettre en évidence les étapes et aussi d'avoir votre très précieux avis sur la méthode. Je reprend les entraînements en intérieur, sauf que... je ne suis plus toute seule dans la maison. Aujourd'hui je commence à avoir quelques doutes sur le vol libre, sans le vouloir je tombe sur des annonces "mon perroquet s'est envolée ect..." je dois dire que ça me fout mal à l'aise! Sur une seule sortie je ne peux pas en conclure grand chose finalement... et si je les perdais? Qu'est-ce que je me sentirais mal, de les avoir mal préparé et de savoir qu'ils soient perdus quelque part, où récupérés par des gens mal honnêtes... J'ai peur aujourd'hui... mais j'ai pas envie de lâcher l'affaire! Je crois en eux, ce sont de super oiseaux, ils volent vraiment bien, leur rappel est super... je pense que là où ça peut coincer c'est la désensibilisation à l'extérieur, je crois que je ne l'ai pas fait assez, peut-être! Ils sont déjà bien à l'aise mais je dois mettre toutes les chances de mon côté. Je vais donc continuer les entraînements, mais je ne sais pas vraiment quand je retenterai l'expérience en extérieur! Je ne sais pas à quel stade je dois arriver en intérieur avant de passer le cap de l'extérieur! J'ai parfois l'impression que tout ceci fait de moi une irresponsable à vrai dire... J'ai déjà vu des oiseaux s'envoler, même les non entraînés, j'ai eu la chance de tous les retrouver (grâce à des précautions simples que les propriétaires n'appliquent pas forcément). Mais aujourd'hui je suis en proie à de gros doutes... et si finalement je faisais une grosse bêtise? Mais comment pourrais-je renoncer après la si belle expérience de samedi? Quelques photos de l'entraînement en intérieur et des étapes de désensibilisation, ici rappel et désensibilisation dans la véranda. J'essaie de bien les prendre mais ils sont très rapides, pas évident!^^ La désensibilisation, késako? C'est habituer l'animal à tolérer certaines situations, lui apprendre à ne plus avoir peur ou réagir négativement à des objets ou évènements. Nos perroquets d'intérieur ne savent pas ce qu'est l'extérieur, un environnement vaste, imprévisible et très différent de celui qu'ils connaissent depuis leur plus jeune âge. Ce que je fais avec presque tous mes perroquets, je les balade dans le jardin, à différents points où ils vont s'habituer à l'extérieur et aussi mémoriser les lieux, ce qui est vraiment très utile en cas de perte. Et en plus, ils aiment ça! J'ai remarqué qu'au début, tous les perroquets adultes que j'adoptais étaient réellement apeurés dans cet environnement! Il faut qu'ils apprivoisent l'extérieur, qu'ils y soient à l'aise et mieux encore, qu'ils aiment ça. J'emmène Lutin et Bluw partout dans le jardin, dans une petite cagette, ils observent tranquillement, et plus ils sont à l'aise plus je peux les emmener dans des environnements différents. Un perroquet qui est à l'aise dehors, qui connait les alentours de son foyer, et qui en plus a appris toutes les manœuvres de vol, c'est un perroquet qui revient plus facilement en cas de perte!

Bravo Marine! Moi j'ai cessé depuis 2010, ma dernière excursion fut le Loro Parque. Ils ont des perroquets dans de bonnes conditions, mais les gens y vont exclusivement pour les dauphins et les orques... Les pauvres bêtes... c'est en les observant ainsi que j'ai fini par comprendre toute l'horreur qu'ils vivaient... depuis FINI!!! Avec Blandine par contre, on va gratuitement dans les parcs pour y noter tous les problèmes que l'on observe, y compris les troubles du comportement. On fait cage par cage avec notre cahier, nos notes et nos photos! On dirait de vraies folles mais c'est hyper important, et on l'assumer! Prochaine étape, on va essayer de s'introduire gratos dans un delphinarium pour faire nos chieuses! Quand je veux observer des dauphins maintenant c'est à l'état sauvage ou rien. Et les perroquets ce sera dorénavant la même chose.

Oui la prochaine fois il faudra vraiment que je prenne des photos! Aujourd'hui, l'entraînement continue en intérieur! Pour les photos, je le dois à mon APN, il est extra! Les vidéos sont trop lourdes, mais à par ça il est extra! ça fait 3 heures que la vidéo de Petite Jaune charge sur youtube...

Exact Fleur!!! Personnellement je trouve encore plus cruel de conditionner des animaux d'élevage dans des batteries pendant des mois et des mois ou des années pour leurs sous-produits ou leur viande... Il est important de préciser que les massacres au Japon sont très liés à la captivité des dauphins! Ainsi, chaque fois que vous allez en delphinarium, chaque fois que vous payez l'entrée, vous cautionner la captivité, mais aussi les massacres...

Je suis complètement de ton avis Christiane!^^ D'ailleurs, quand on me dit "oh c'est inhumain!" Je répond systématiquement "Non, c'est typiquement humain justement!" C'est une honte d'être de la même espèce que ces monstres!

Aujourd'hui la journée fut intense avec les pioux, très intense! La maison à moi seule, je m'occupe des pioux comme j'en ai envie! Les grisous étaient en super forme, toujours à rechercher des coins sombres pour nicher! Momo pendant que je pianote sur l'ordi!^^ Indie au rappel, descente verticale: Indie toujours: Momo qui saute! Momo! Indie! Je suis rentrée de Rennes avec les 2 terreurs Bluw et Lutin que j'entraîne au vol libre. J'ai fait un premier lâché en début d'après midi, ils ont tourné autour de la volière, ont exploré un peu dans les branches du pin et des arbres alentours! J'ai eu la frousse à certains moments mais leur rappel est vraiment excellent! Lutin est même parti au sommet du pin, il a réussi à descendre d'un trait à la verticale!^^ Bluw n'est pas peureux pour un sou, il est très sûr de lui, Lutin est plus méfiant mais est un excellent voilier, tous les 2 ils font la paire! C'est un environnement qu'ils connaissent bien et les conditions étaient optimales, mais il faut encore que je travaille sur la désensibilisation à certaines choses, Bluw n'a peur de rien mais pas Lutin. Cependant il a une confiance absolue en Bluw, il le suit quoiqu'il arrive ce qui fait un parfait duo de vol libre! Ils sont complémentaires dans leurs performances! Pas de photos pour cette première séance, quand on pratique le vol libre seul, il vaut mieux se focaliser à 200% sur les oiseaux et ne pas être encombré par un appareil! Mais promis, dès que sera plus abouti! Ensuite, je les ai rentré en volière, ils avaient l'air vraiment heureux! Je ne les avais jamais vu si excités! Ils étaient si beaux dans les branches! En volière je me suis permise de prendre des photos de l'entraînement au rappel. J'ai enfin mon propre APN et je ne m'attendais pas à ça, mais l'ordi n'est pas assez puissant pour supporter les vidéos! Les deux totos sur mon bras, ici Bluw: Le ti Lutin: J'ai été accueillie par les insé, c'était géant, ils ont été vraiment collants! Et notre relation avec Petite Jaune a encore évolué depuis la semaine dernière! J'en reviens pas à quel point elle me fait confiance! J'ai réussi à filmer une séance de jeu mais l'ordi ne supporte pas le format trop encombrant de la vidéo! J'ai réussi à en enregistrer une de 30 seconde mais il faudra patienter plus d'une heure avant de la mettre sur youtube! Donc quelques photos pour patienter! Petite Jaune m'a laissé lui caresser le dos, elle avait l'air d'aimer ça! J'y croyais pas! Un moment elle était HYPER énervée, elle commençait à faire sa parade nuptiale avec Harvey sur le bras, et ce qui devait arriver arriva... ils se sont accouplés genre 3 minutes sur mon bras! J'avais l'air maligne! Les petits cochons!^^ (et mon voisin qui regardait ) Elle est vraiment géniale cette Petite Jaune, je n'arrive pas à croire cette histoire incroyable que je vis avec elle! Les autres insé, très intrigués sont venus me dire bonjour, à mes pieds!^^ Téthys qui adore jouer avec mon pantalon ou les chaussures! Avec une calo qui se tape l'incruste! Loulou: sa compagne, Doudoue: Harvey: Puis Mr Pink une calo! Voilà une journée comme je les aime! Bon j'aurais aimé que les touis participent mais eux ils faisaient la sièste!

Pour l'histoire de Flipper, ce dauphin héro a été incarné par 5 dauphins femelles dont le propriétaire était Ric'O Barry, et aussi l'entraîneur. A l'époque, le dolphin business n'existait pas, Ric' a probablement été l'un des premiers dresseurs de dauphins. Issus donc de captures... il faut savoir que c'est encore le cas puisque la reproduction ne donne pas de bons résultats. Chez les orques, les jeunes sont d'ailleurs dans 90% des cas issus de l'insémination artificielle. Il fallait 5 dauphins pour incarner Flipper, car il faut savoir que pour que les dauphins daignent coopérer en spectacle et dans les tournages, il faut un tantinet... les affamer! C'est la faim qui poussera un dauphin à exécuter un ordre, ajouter à cela l'ennui et c'est le cas de le dire, le tour est joué! A la fin de la série Flipper, Ric' a céder 4 femelles à des marinelands pour faire de la reproduction en captivité, et éviter d'avoir à re-capturer des adultes dans la nature. Il a gardé Cathy, sa dauphine préférée. Les années passèrent, Cathy était de plus en plus déprimée, Ric' le savait mais il préférait fermer les yeux. Un jour, alors qu'il se baignait avec elle, elle est venu se lover dans ses bras, elle a fermé son évent et s'est laissée couler devant lui au fond de l'eau. Depuis ce jour Ric' a compris, et le lendemain de l'incident il est allé libérer des dauphins confinés dans un labo de recherche. C'est lui qui a générer le dolphin business à cause de la série Flipper et aujourd'hui il se bat pour "réparer" les dégâts. Malheureusement ce commerce, cette esclavagisme n'est pas prêt de s'arrêter! Les cétacés attirent le public et rapportent gros! Pour exemple, chaque année, un dauphin du Parc Astérix en France rapporte à lui seul 350 000 euros... Les dauphins vivent plus de 60 ans à l'état sauvage et dépassent rarement les 7 à 10 ans en captivité. Ils meurent lentement mais sûrement à cause des conditions de vie stressantes (bruits, eau sur-traitée, chlorée, alimentation inadaptée, carences, sous-stimulations, privations de nourriture, reflets du soleil dans les yeux, sollicitations du public, bassin trop petit, promiscuité avec les congénères, le surmenage, manipulations fréquentes...) mais aussi l'ennui, la frustration, l’inhibition des comportements naturelles, le non respect des populations (qui ont des cultures, moeurs et modes de communication différents), la séparation précoce des mères et de leurs petits... Pas besoin d'être particulièrement futé pour comprendre tout le mal être du dauphin captif! Certains pays ont interdit la construction de delphinarium comme l'Angleterre, l'Australie, La Nouvelle Zélande, mais dans le reste du monde c'est un business qui rapporte gros par ce qu'il attire énormément de monde! Au Japon il existe une "curée" annuelle de massacre de dauphins (37000 chaque année) où les dresseurs viennent choisir les plus beaux spécimens qui finiront leurs jours dans des bassins, on ne sait où! Les animaux qui naissent en captivité sont transvasés (vendus des millions) entre pays, et les parcs se fichent pas mal de là où ils vont! Par exemple, le célèbre Marineland d'Antibes en France a vendu l'un des jeunes, Shouka, à un delphinarium en Chine! Résultat, Shouka se retrouve seule, sans congénère sans un bassin chloré à peine plus grand qu'elle... Mais ces exemples sont nombreux... et même dans les meilleurs bassins les animaux pètent des cables et meurent prématurément. Les pro-captivités sont persuadés qu'il existe un lien de complicité entre un dauphin et son dresseur. Mais basé sur la privation, la frustration et la contrainte, je me demande comment c'est possible! Chaque année des orques tuent leurs dresseurs, même celles qui sont nées en captivité. Je crois que ça se passe de commentaires...

Vous avez raisons Marine et Nelly, cette vidéo est juste atroce... Et en effet, ce bassin est ni plus ni moins un bocal à poissons rouges! Quand on sait que les dauphins tels que les tursiops, ce que l'on trouve le plus souvent en captivité, parcourent en moyenne 70km chaque jour...

Exactement Christiane! Je pense personnellement que ce genre de comportements, on peut même parler de décision, de sacrifice, peut parfaitement exister chez les dauphins puisqu'ils existent déjà sous des formes plus "primitives" chez d'autres espèces de mammifères comme les rongeurs. Les dauphins sont capables de décider de leur propre mort, en fait on peut parler de suicide dans le sens stricte du terme. Quand ils sont trop stressés, qu'ils vivent une situation dont l'issue leur semble fatale (les dauphins, comme beaucoup de prédateurs sont capables d'anticiper sur le plus ou moins long terme), ils préfèrent mettre "fin à leurs jours". Il faut savoir que chez les cétacés, la respiration n'est pas automatique comme c'est le cas chez les mammifères terrestres comme nous, la respiration est un acte conscient chez ces animaux. Il faut qu'ils "pensent à respirer" en d'autres termes. Quand le dauphin décide de mourir, alors il cesse de respirer, tout simplement... ce sont des situations qui s'observent assez souvent en captivité. C'est d'ailleurs de cette façon que le très célèbre dauphin de la série Flipper est mort, dans les bras de son dresseur, qui dès lors a compris toutes les horreurs qu'il avait fait subir à son animal! Aujourd'hui cet homme, Ric'O Barry est LA référence en ce qui concerne la libération de dauphins captifs.

Aïe dommage, ce n'est pas la réponse que j'attendais!^^ Cette vidéo a déjà été reprise lors d'un reportage sur les dauphins et les troubles de la captivité! La première fois que je l'ai vu, elle m'avait choqué! Je donne donc la réponse: Tout d'abord on observe que cette femelle est toute seule, hors dans la nature les naissances sont quasi systématiquement assistées par des congénères. Elle fait des vas et viens assez vifs, ce qui est un signe d'inquiétude. Dans la nature, les femelles mettent au monde leurs petits le plus calmement du monde. Ensuite, voilà la scène choquante, dès que le petit naît, il nage vers la surface pour prendre sa première respiration. Jusque là rien d'anormal. Seulement, dans la nature, les mères et les congénères poussent le petit vers la surface pour l'encourager à respirer. Ici il n'est pas accompagné. Juste après sa première bouffée, la femelle se précipite sur son jeune et le pousse sous la surface avec son rostre (museau). En fait elle le coule, dans le but de le noyer. Elle est là la scène choquante! La mort par noyade est une technique de chasse très courante à l'état sauvage ou encore pour servir de leçon à des congénères agaçants, les cétacés sont capables de savoir si l'animal qu'ils chassent respire à l'air libre ou l'oxygène dissout dans l'eau pour 2 raisons: D'une part, les cétacés sont très observateurs et capables de se "transposer à la place de". Ils peuvent donc savoir si l'individu qu'ils côtoient est capable ou non d'apnée prolongées, ou respire simplement sous l'eau. Ce qui explique pourquoi les cétacés interviennent lorsqu'un individu est en train de se noyer, est en danger, même s'il ne s'agit pas d'un congénère de leur espèce. Ensuite leur système d'écholocation est une véritable radiographie biologique qui permet de visualiser l'anatomie interne d'un animal et donc ses capacités respiratoires, son état de santé, si l'individu est gestant ou non. Cette femelle ne le maintient que quelques secondes à peine, mais si le jeune n'avait pas eu le temps de prendre ça première bouffée, ça aurait suffit à le tuer. Elle renonce ensuite. Les mammifères ont la caractéristique de s'attacher à leur progéniture, et s'il y a bien des espèces dont le lien est particulièrement fort, les cétacés en font partie! Les femelles n'ont pas de nombreuses portées durant leur vie, car le sevrage alimentaire est long, et la phase d'apprentissage encore plus. Même après cela, les jeunes restent longtemps auprès de leurs mères, chez certaines espèces, ce lien perdure toute leur vie! Chez les orques en particulier. Une séparation peut même provoquer la mort d'un des animaux (comme cela a été souvent observé en captivité). Dans la nature, la protection des jeunes est une priorité au sein des groupes, les adultes n'hésitent pas à mettre leur propre vie en danger pour sauver celle de leurs petits. C'est une caractéristique prédominante chez les mammifères, il semblerait que ce soit la viviparité et l'allaitement qui favorisent ce lien si fort (étude de biologie animale et éthologie). Les nouveaux-nés ne sont jamais délaissés et encore moins tués volontairement dans la nature, souvent même, lorsque le jeune naît mort né, ou meurt peu de temps après la naissance pour une raison X, les cétacés du groupe font une sorte de "deuil" autour du petit. C'est un comportement assez spectaculaire et qui peut durer longtemps. En captivité, les animaux s'ennuient (pour rester polie) tellement que les accouplements et gestations sont particulièrement précoces! L'inexpérience explique en partie les problèmes de malnutrition des jeunes, voire de l'abandon (ce qui ne serait pas permanent dans un environnement normal), mais en aucun cas des tentatives de meurtre comme on l'observe sur la vidéo. C'est quelque chose de complètement contre nature pour un animal tel que le dauphin. Et cela laisse présager beaucoup de choses quant à leur état psychologique et aussi physique en captivité, ainsi que sur leurs capacités à anticiper sur le devenir du jeune... Il ne s'agit pas là d'analyses anthropomorphiques ou de spéculations, mais bien de faits avérés et confirmés par des spécialistes des cétacés. Cette vidéo est juste immonde au final. Regarde là encore une fois et ça va te sembler évident. Notes supplémentaires: On observe que les yeux de la femelle sont mi-clos, ce qui suggère un bassin d'eau chlorée. Qui irrite sérieusement la peau et les zones sensibles du corps, dont les yeux. Hypothèse confirmée par la présence d'irritations blanchâtres au niveau des nageoires pectorales. On rencontre ces problèmes chez des animaux qui vivent dans des environnements inadaptés, souvent trop exigus, d'eau chlorée, trop chaude... En captivité le taux de mortalité des jeunes dépasse de très loin le taux de survie (1 sur 10). Cela en dit beaucoup.

Trop mimis ces petits perrok'!

Merci! Pour les vidéos, elles avaient disparues, je me suis permise de rééditer le message, afin de les remettre! J'espère qu'elles sont maintenant bien visibles! Je trouve la vidéo du dauphin qui joue avec ses bulles vraiment très troublante! Ah comme je te comprend martin! Ce sont des rencontres vraiment inoubliables! Maintenant, place à un petit test d'éthologie. Si vous êtes d'accord bien sûre!^^ Je vous demande de visionner cette vidéo et d'interpréter précisément ce que vous observez. Sans regarder les commentaires si possible! J'attend vos réponses!

Merci Christiane! mkhkhaled, dire seulement les "dauphins" n'est pas exacte puisque ces caractéristiques sont valables pour tous les odontocètes donc dauphins, orques, marsouins, cachalots... J'aurais mis un titre comme "culture et intelligence des odontocètes", je ne crois pas que ça aurait attiré du monde! Les odontocètes et mysticètes (cétacés à phanons) ont une origine commune, donc ne peuvent pas réellement être séparés. Les baleines à fanons sont des espèces très particulières, et leur intelligence n'a pas encore fait l'objet d'études, pas abouties en tous cas... On en sait beaucoup plus sur les dauphins.

Culture et intelligence des cétacés A la demande de Marine, je crée un petit post sur les cétacés, et plus particulièrement les odontocètes qui sont les cétacés à dents (tous les delphinidés et les cachalots). Ce sont des animaux, qui je vous l’assure, sont fascinants à étudier et à observer dans leur milieu naturel. Les dauphins sont des animaux très évolués, et par là il faut comprendre qu’ils sont particulièrement bien adapté à leur environnement, le milieu aquatique. Les cétacés ne sont pas des poissons mais des mammifères marins issus d’animaux terrestres. Les ancêtres des cétacés ressemblaient ni plus ni moins à de gros chiens, qui au fur et à mesure de l’évolution se sont adaptés à un mode de vie entièrement aquatique. Leurs membres postérieurs se sont réduits jusqu’à disparaître presque totalement (il reste parfois des vestiges internes chez certaines espèces), les membres antérieurs se sont transformés en nageoires (appelées palettes natatoires) et la queue s’est modifiée pour donner une nageoire caudale (qui n’est pas issue des membres postérieurs mais est bien une néoformation). Pour répondre aux nouvelles contraintes du milieu aquatique, ces animaux se sont affranchis des caractéristiques morphologiques propres aux espèces supérieures terrestres, pourtant ils sont bien des mammifères ! Ils respirent à l’air libre, la fécondation et de développement embryonnaire sont internes (viviparité), les femelles présentent des glandes mammaires internes et sécrètent du lait pour nourrir leurs petits. La majorité des cétacés n’ont plus de phanères (production cutanées kératinisées) tels que les poils, griffes… la peau des odontocètes (dauphins) est particulièrement lisse, seulement parcourue de petites rides qui dirigent les flux d’eau, empêchant ainsi la formation de turbulences au cours des déplacements. Le profil hydrodynamique et ces particularités anatomiques leur permettent de se déplacer, et même de glisser absolument sans effort dans le milieu dense et résistant qu’est l’eau. Une petite vidéo qui illustre cette parfaite adaptation morphologique au milieu aquatique. Un dauphin de Risso qui se laisse porter par les courants d’eau créés lors du déplacement du bateau. Je n’ai encore que peu d’expérience avec les cétacés, j’ai eu l’occasion d’en observer autant en captivité qu’à l’état sauvage, et ma dernière expérience d’observation dans la nature fut exceptionnelle ! Toujours est-il que ce sont des animaux qui m’intriguent et me fascinent. J’espère que mon post vous aura donné l’envie d’en savoir un peu plus sur leur véritable nature. Pour en savoir plus: http://www.ladolphinconnection.com/ http://www.sosgrandbleu.asso.fr/ http://bluevoice.org/

C'est vraiment des instruments de torture ces cages là! Elles devraient être interdites! pauvres gris... ils me font bien de la peine!

Marie est La Pie Bavarde!

Je crois que la plus expérimentée en matière de vol libre c'est Marie! Elle a eu la chance de côtoyer les plus grands professionnels! Je suis encore novice en la matière! Pour les inséparables, ce sont de petits perroquets mais ils ont vraiment un bon profil! J'ai essayé quelques vols avec l'un d'eux déjà. A l'avenir, j'aimerais y arriver avec les EPP. Mais avant cela, il faut s'y lancer à fond! Il y a du boulot!^^ Au plaisr Gautier, tout le monde ici est prêt à te donner de judicieux conseils!

Elle est trop belle!

C'est du bon rappel ça! Par contre, elle n'a pas l'air d'avoir beaucoup de souffle, à moins que tu ne l'ais plus entraînée avant de faire la vidéo? Le harnais... à mon avis c'est du superflus, le perrok' n'en a pas besoin, pire que ça, il peut être gênant! Quand un perrok' décide de s'envoler sur une branche de 10m, harnais ou pas, le récupérer c'est la galère! A mon avis, le harnais est plus un handicap qu'autre chose en vol, et même en balade simple. Il est souvent gênant pour le perrok', même ceux qui sont bien habitués. J'ai mis 3 mois à faire accepter le harnais à ma grise, ça a marché du tonner au clicker training, cela dit, elle n'est pas du tout à l'aise avec quand il s'agit de voler, et elle vole bien mieux sans! Au moins il ne la perturbe pas dans les manoeuvres! Cela fait longtemps que je ne l'ai pas fait voler dehors... enfin voler, comme je l'entend. Mais il y a encore du boulot... beaucoup de boulot. Tant que je ne suis pas dispo pour cet entraînement intensif, la question ne se pose même pas. En ce moment j'apprend les bases du vol libre à 2 inséparables qui ont un gros gros gros potentiel. Et avec ces oiseaux là, le harnais n'est même pas en option!^^ Dans un avenir proche, j'aimerais reprendre le vol libre avec Indie, et Momo, qui est EPP mais qui répond admirablement bien au rappel. D'ailleurs, grand exploit, samedi dernier il a effectué sa première manœuvre de descente verticale sur 3 m de haut! Un exploit!^^ Et Indie, ben elle, c'est une pro du vol, et elle adore ça! Mais il y a du boulot, beaucoup de boulot! Tant que je ne suis pas dispo pour cet entraînement intensif, la question ne se pose même pas...