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Tout ce qui a été posté par Ugatza
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Ah ben oui, c'est ça la "liberté" d'entreprise. Pourquoi ne pas faire de "l'écologie" si ça rapporte? Il y aura toujours de bonnes âmes pour tout transformer en marchandises. Les artistes doivent ils se taire pour autant? Quant à l'Ours, il est déjà l'objet de cupidité marchande (tourisme gna-gna-gna). Tu l'ignorais?
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L'extinction des espèces s'accelère
Ugatza a répondu à un(e) sujet de tite drine dans Menaces sur la Biodiversité
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Pour une fois, je suis entièrement d'accord avec toi Bledine. Surtout que cette fois-ci, il ne s'agit pas d'une "sale môme" avide d'aventures de bazar à effets spéciaux et de bons sentiments bien "gnan-gnans" et rassurants pour leurs consommateurs de parents. D'ailleurs, je considère que ce film n'est pas spécialement destiné aux enfants.
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Ho ben Lou, tu aurais du attendre qu'on te fasse une petite projection. Rien que pour toi et Omar dans une petite salle dans un chalet du col d'Organbidexka avec un feu de cheminée et des bancs en bois, de jolis objets fabriqués par une "artiste locale" et une petite fenêtre ouverte sur la forêt des montagnes d'Iraty et quelques pottoks. Ensuite, pour te réconforter de cette épreuve, tu aurais pu déguster quelque chose au restaurant du col (celui qui a vue sur le tennis, tu te rappelles? ). C'est si "sympathique". Peux tu reprocher au film de présenter "le défilé obligatoire de la forêt au grand complet" et te féliciter en même temps de sa partie documentaire? 1) C'est complètement incohérent. 2) Tu ne dois pas connaître le "grand complet du bestiaire de la forêt", car je t'assure que ce qu'on voit dans le film n'est qu'une petite partie de la faune forestière. C'est peut être pour cela que la partie "documentaire"* t'aurait suffi? D'autre part, les animaux qu'on voit (y compris l'Ours) ont fait partie (il y a à peine quelques dizaines d'années) de la faune de nos forêts et de nos montagnes. Ceux qui combattent pour leur retour ne peuvent qu'y être sensibles. Et d'ailleurs l'auteur s'en est très bien expliqué. Je crois aussi qu'on ne voit pas tant que ça le visage en gros plan de la petite fille (qui du reste est charmante). On la voit tout le temps ou presque (et pour cause) mais autant que le renard et sans doute beaucoup moins que la nature. Qu'as tu voulu dire? Pour le son, il y a bien quelques erreurs, très pardonnables (compte tenu du service rendu par ce film à la cause de la nature). Mais pour la lumière, je ne vois pas à quoi tu peux bien faire allusion. Ce que tu dis là est pour moi très étrange. Comme si il fallait (et pourquoi?) opposer l'un à l'autre. Moi, j'ai retrouvé des émotions, des ambiances et surtout une démarche très familières. Par exemple (et malgrè l'abondance de la faune dans cette scène) j'ai bien retrouvé l'ambiance nocturne: j'ai déjà passé des nuits entières en forêt sans tente ni éclairage permanent, simplement couché par terre dans un duvet. Et la scène où elle suit la renarde au bord du torrent (marmites de géant) m'a ému aux larmes: j'ai retrouvé ce que je ressentais au bord du torrent de mon enfance, avant qu'on le transforme en "Enfer trouvé". J'y ai bien retrouvé ma nature, telle que bien souvent je l'ai rencontrée. Il y a de très belles scènes, des moments magiques, comme tous ceux qui aiment se perdre dans la nature peuvent en vivre... Bref, je te trouve bien maussade et amère. PS: moi non plus, je n'ai rien manifesté dans la salle. Et pourtant, j'étais heureux. * Je suppose que tu fais allusion à la scène de chasse du lynx et de quelques autres (crocus) qui sont introduites par le plan où la petite fille lit sur le renard, tenue au lit par son entorse à la cheville. On peut très bien la voir comme la représentation de ce que vit le renard au même moment.
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L'extinction des espèces s'accelère
Ugatza a répondu à un(e) sujet de tite drine dans Menaces sur la Biodiversité
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L'extinction des espèces s'accelère
Ugatza a répondu à un(e) sujet de tite drine dans Menaces sur la Biodiversité
Si on revenait au sujet? Je ne peux qu'en rajouter une couche: pour moi aussi, les espèces domestiques ne font absolument pas partie de la biodiversité. C'est du travail humain, point barre. Ce travail (de sélection) peut toujours être refait si l'on n'a pas fait disparaître les espèces sauvages qui en sont la base. D'ailleurs, je trouve qu'on ne devrait plus parler, afin que les choses soient claires, d'extinction, mais d'ELIMINATION des espèces. Le mot extinction n'est pas assez responsabilisant (et culpabilisant ), car il donne l'dée (entièrement fausse) d'un processus naturel dans lequel on n'a pas de responsabilité. Staff a raison de rappeler qu'il y a des voyous matois qui veulent poursuivre cette élimination (concernant les grands prédateurs en particulier et la faune sauvage en général) en mettant en avant leur bétail. D'ailleurs, le patrimoine pastoral (les races domestiques) n'est pas menacé par les grands prédateurs mais par les éleveurs eux-mêmes qui choisissent d'élever telle race plutôt que telle autre, tout simplement parce qu'elle rapporte plus. Qu'ils balayent devant leur porte! Les grands prédateurs mangent les races qu'on leur sert...et en petite quantité. :bras d'honneur: J'ajoute que je ne vois aucune objection à ce que certaines races de chiens énormes, minuscules ou encore difformes, des chats sans poils, des poules sans plumes ou avec des plumages aberrants (mais du plus bêêêl effet et tellement cocâââsses) disparaissent. Pour répondre à Lou: l'uniformisation des races domestiques est une tendance liée à la croissance, à la recherche de compétitivité et de profit. Qui est responsable? Si on veut (vraiment) que ça change, ne faut-il pas mener une autre politique et changer de société? Ceux qui soutiennent le capitalisme peuvent ils se plaindre des effets du capitalisme? -
Les chasseurs inquiets de la disparition de la jachère
Ugatza a répondu à un(e) sujet de tite drine dans Chasse
Gnark, gnark, gnark. 1) Les assos écolos ont bien tenté de soulever le problème... 2) Les chasseurs savent obtenir satisfaction sur d'autres points. Curieusement, sur celui-là, rien. 3) Il y a des tas d'autres sujets sur lesquels chasseurs et écolos pourraient agir ensemble (abandon des constructions d'autoroutes, et autres chantiers d'aménagement) par exemple. Un petit lien intéressant... :ange1: http://www.agpb.fr/fichier/publication/147_ScopInfo1.pdf Comment il fait pour arriver à se plaindre un chasseur qui vote UMP? :63: -
Les chasseurs inquiets de la disparition de la jachère
Ugatza a répondu à un(e) sujet de tite drine dans Chasse
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Le renard quel animal pour l'homme
Ugatza a répondu à un(e) sujet de Lou d'Arabie dans Autres Mammifères
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Vous lisez les messages , oui ou non? Je confirme ce que vient de dire Michel. Sauf pour le film qui est plus un plaidoyer qu'un réquisitoire. Tu es tellement "contre" ce film, Staff, que tu ne peux pas imaginer qu'envisager que l'ASPAS puisse être son sponsor est un grand compliment que je fais à l'ASPAS! Pour répondre à Lou, on peut parler du film, même si on l'a pas vu et comme je l'ai déjà dit. On peut parler de l'utilisation d'animaux comme héros d'oeuvres de fiction et ne pas être d'accord. PS: J'ai édité ce sujet pour éliminer plusieurs messages qui n'avaient aucun rapport avec lui. Ugatza 14 décembre 22h 32
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Dans Harry Potter, les animaux sont des accessoires, des faire valoir: celui qui veut ressembler à Harry Potter veut les accessoires de son héros pour s'en rapprocher. C'est le principe de la pub. "Le Renard et l'Enfant" est à l'opposé de ce dispositif. Il contient une réflexion très saine sur le désir de posséder. Pour Nemo, je suis d'accord avec toi. Le mécanisme du film repose sur l'identification au petit poisson. Il est inévitable, compte tenu des valeurs de la société (c'est à dire transmises par les parents: celles de la société de consommation) que les enfants aient envie de posséder l'effigie, même vivante, du héros. Le poisson réel, vivant, même sauvage, n'est pas distingué d'un jouet. Là encore, le renard du film est si vivant qu'il finit par vouloir en mourir. Du début à la fin, il est sujet et non objet. "Sauvez Willy" raconte l'histoire du retour à la liberté d'un orque captif, joué par un orque captif qu'on a voulu remettre en liberté (après le film, dans un souci de cohérence). Ce fut un échec. 1) On n'a pas augmenté la taille des baignoires et des piscines pour accueillir des cohortes d'orques offerts à des enfants capricieux. 2) Le thème de l'histoire a provoqué une réflexion sur les Marine Lands et autres "aqua-cirques". Je pense que "Sauvez Willy" est un excellent film, qui a eu une influence très positive. Mais qui n'aurait eu lieu d'être réalisé si on n'avait pas eu d'orques en captivité: c'est bien le thème du film, non? A quand "Sauvez Lupus"? Je ne suis pas d'accord et je sais pourquoi: j'ai vu le film. J'y ai retrouvé des émotions et des situations vécues. Et l'émotion que je ressens quand je rencontre un animal sauvage a quelque chose à voir avec la démarche possessive de la petite fille enfant ...mais aussi avec celle de la petite fille devenue mère. C'est l'histoire d'un renoncement, d'un dépassement, d'un grandissement. Pour passer de l'une à l'autre, il faut avoir fait le chemin, chacun à sa façon bien sûr. Ca ressemble bien aux "matriochkas". Les renerds du film sont des renards imprégnés devenus incapables (car confiants envers l'Homme) de vivre en renards. Relâchés, ils ne vivraient pas deux jours. Tu connais la fin de l'histoire? Cette histoire n'est ni fausse, ni impossible: sans aller aussi loin dans le contact, tous les "coureurs des bois" savent qu'il peut exister une certaine familiarité avec certains animaux. Exemple: dans mon jardin, il y a un merle qui se laisse approcher de très près le soir (en ce moment) et ce, depuis deux ans, ce qui indique (avec son plumage noir) qu'il ne s'agit pas d'un jeune: et je ne l'ai pas nourri autrement qu'en laissant traîner quelques pommes cuites les jours de gel, sans chercher le contact. Je ne l'inquiète pas beaucoup. D'ordinaire les autres merles sont bien plus farouches et fuient à quinze-vingt mètres. Ce merle est-il un jouet? PS: Pour quelqu'un qui pense ce que tu dis de ce film, je trouve que tu ne t'es guère mobilisé avec autant de vigueur...contre les parcs à loups.
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pour les chasseurs...Juste une question, mon loustic a 4 ans et demi...sensible comme pas quatre...il ne faut pas toucher a un poil d'un animal, ou a une patte d'insecte sinon ce sont des crises de larmes...est-ce que je peux l'emmener sans riquer de noyer la salle de ciné ? Tu peux distribuer des gilets de sauvetage avant la séance... Il y a une scène au début où les chasseurs sont directement mis en cause (j'en dis pas plus ). C'est pourtant pas celle qui enrhume le plus...et pourtant. A 4 ans et demi, ton petit fils est un peu jeune pour accèder à toute la richesse du film, à moins qu'ayant un papy exceptionnel, la valeur n'ait pas attendu le nombre des années! La fin est très éducative et dépassera, tant l'émotion est forte (les gamins ne peuvent que s'identifier à la petite fille), toutes les leçons de vie qu'on peut leur donner tant qu'ils ne sont pas en situation (généralement les adultes interviennent avant le drame). Mais il va sans doute aimer encore plus les renards. Et puis d'avoir vu le film avec lui, ça vous fera une référence commune pour donner du sens à une situation comparable. Un conseil: ne prépare absolument pas ton moutard avec le livre, contrairement à ce que prétend Lou, dont la démarche n'est pas très naturelle. Dis lui en le moins possible. Les livres? APRES. Eventuellement. D'ailleurs, ils sont présents dans le film: la petite fille REVE de renards et naturellement elle se tourne...vers les livres. avant de retourner dans la réalité. C'est leur juste et grande place (parole d'instit' ).
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J'ajoute que la détention en captivité (plus ou moins "librement" consentie ) d'animaux sauvages est, me semble-t-il, interdite par la loi. Ca me parait mettre de toute façon (même si on est sceptique sur cet aspect du film) le renard à l'abri du nursing. Je viens de voir le film. :coeur2: :coeur2: :coeur2: C'est une merveille. Je n'avais pas été autant ému au cinéma depuis longtemps. Je crois que c'est le seul film que j'ai jamais vu qui donne autant des émotions proches ou évoquant le sentiment de nature que connaissent bien des naturalistes. Bien sûr, il en fait parfois un peu trop et il contient des grosses invraisemblances comme l'abondance de la faune autour de la petite fille la nuit dans la forêt ou la 2ème rencontre et le face à face avec les loups (dont un est blanc ). Ou parfois la bande son avec le plongeon arctique de service. Et bien sûr la déconcertante facilité avec laquelle les animaux se laissent approcher. L'ours est "de trop" aussi, sachant qu'il ne vit pas/plus (hélas) dans cette région. De la même façon, la petite fille a une vie qui n'existe pas: elle va à l'école en vélo sur un petit chemin dans la montagne et c'est une vraie petite sauvageonne que ses parents laissent librement errer dans la nature. Toutefois c'est cette solitude qui fait la force du film: personne n'est là pour lui dire ce qu'elle doit faire et elle réagit avec beaucoup d'intelligence et de sensibilité. Elle découvre ou réinvente elle même la démarche naturaliste, en essayant des "trucs". Elle fait des affûts... Il n'y a malheureusement pas beaucoup d'enfants comme celle-là, aussi libre, avec un caractère et une vie pareils. Bref le film correspond bien à ce qu'en dit l'article. J'ai été très touché, car j'y ai retrouvé un peu de ma démarche et de ma naïveté. Il y a des scènes sublimes comme les amours des renards dans la neige et sous la lumière de la lune ou le cerf dans le sous-bois la nuit (heu les cerfs ne brament pas pendant les vacances scolaires). La nature (et le temps de la nature) sont très bien montrés: il faut trois saisons à la petite fille pour se rapprocher vraiment de la renarde! Et certaines ambiances aussi. C'est bien "notre" nature. Très vrai sur beaucoup d'aspects, un peu chargé sur d'autres. Mais aucun vrai naturaliste n'est cinéaste et inversement. On rit, on pleure, on est bouleversé, ému, émerveillé, renvoyé à soi même. Le texte dit par Isabelle Carré est splendide et chaleureux, plein d'humanité et son apparition à la fin libératrice (c'est la petite fille devenue femme et mère qui parle de l'amour et de la liberté à son jeune fils). Il est cruel aussi, ce film: elle parle à son fils qui occupe sa chambre de petite fille: rien n'a changé, semble-t-il. Et le dehors? Nous savons bien ce qui a pu arriver au dehors. PS: si le film a du succés, il devrait faire très mal aux chasseurs...
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Le renard quel animal pour l'homme
Ugatza a répondu à un(e) sujet de Lou d'Arabie dans Autres Mammifères
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Je n'ai pas dit que je les regrettais. Je pense qu'elles sont nécessaires pour maintenir des emplois et qu'elles doivent avoir des contre-parties réelles. Je ne suis pas d'accord pour les présenter comme des aides pour service écologique rendu. Le service écologique est actuellement tout sauf rendu.
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Ben justement... Cela veut dire que l'oiseau a des ailes blanches, un dos noir, et un ventre noir... Donc à part un Guillemot à miroir (mais keskifoula?) qui se prendrait pour un colvert ou qui ferait le poirier appuyé sur le bec je vois pas. Et encore...je dis n'importe quoi, parce qu'en fait il ressemble plus à un ballon de rugby en smoking qu' à un guillemot. Je donne ma langue au chat.
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