Loulou34

En fait c'est marqué dans l'adresse url quand tu clique pour agrandir.

Heu ! une fleur rose en bouton

Ah ! les miracles de l'agronomie

Nigritelle de Cornelie, aire de rertition beaucoup plus restreinte que la nigritelle noire. Effectivement, on l'appelle parfois Orchis vanille à cause de son odeur. C'est dans le Queyras (c'est marqué sur le titre de la photo )

Tout compte, celui là c'est le premier et longtemps le seul que j'ai su reconnaitre, il m'accompagne depuis gamin :jaime:

Epipactis palustris ou des marais en français. Assez rare dans le sud est mais très bien représentée partout ailleurs en France. Bravo Orever !

Je dirais un Tabac d'Espagne mais laissons les spécialistes en juger

C'est la saison, et puis les "nordistes" ont l'impression d'être en vacances comme ça :sors: Treve de plaisanterie, savez vous qu'il y a plusieurs espèces de cigales, ici sans doute Tibicina haematodes la cigale rouge.

c'est un document .pdf, il faut que tu télécharge Adobe reader 7.0, c'est gratuit et utile.

Avec moi il marche le second lien As tu vu que tu pouvais naviguer sur le site du premier lien ? Les causes de la raréfaction (extinction?) de l'Apron sont la détérioration des habitats (recalibrage des cours d'eaux, mise en débit réservé, éclusées EDF ...) et la dégradation de la qualité physico chimique des eaux (concentration en oxygène).

Assez content d'avoir croisée cette zoli fleur ce matin, je vous laisse chercher un peu avant de donner le nom (fastoche). Un indice, c'est au bord d'une rivière, dans un lieu ombragé. tiens, c'est le retour de la grenouille

Et t'étais où la semaine dernière faudrait voir à réviser son "hydro"géographie, monsieur le jeune bachelier

Il a pas l'air de passionner grand monde Zingel asper

Parce qu'elle a plus de points communs avec les autres gentianes qu'avec d'autres plantes et qu'elle se rapproche donc de celles ci. Dans la famille la grande gentiane jaune n'est pas la seule à avoir cette gueule, il y a aussi une gentiane pourpre, la gentiane ponctuée ... En fait il faudrait avoir sous la main une vrai flore, suivre la clef et on trouverait le facteur discriminant de la famille. Si ça t'interesse, je peux essayer de trouver ça ?

Je mets en gros pour les bigleux, Félicitation :63:

Pas de chenes kermes à cent lieues à la ronde, il ne supporte que les sols acides et ici on est sur du bon vieux calcaire secondaire Est ce un problème ? la chenille peut elle avoir une autre plante hote ?

Bon, ça va un peu mieux mais je prefere faire confirmer :study: Pour celui là, je pense à un demi deuil. Celui là fastoche, un citron. Un flambé ? Celui ci ressemblerais vaguement à la tecla de l'orme ????? le problème, c'est que je n'ai aucune idée des répartitons, si il faut je dis une grosse c........ (en plus la photo est loupée )

Oui, Canis, un peu de hauteur j'suis bien passé par Terre Rouge, druos, lause, pour redescendre sur le lac de Tavels puis celui de Scluos. J'ai pas eu le temps de sortir un sommet vu que je travaillais Retour par le col mercière.

Poisson endémique du bassin versant du Rhône, complétement inconnue, donc d'autant plus interessant Tout d'abord un site à parcourir pour se familiariser avec la bestiole : http://www.apron-du-rhone.fr/ cliquez sur la fléche bleue qui clignotte à coté de "réagissons" pour acceder au site (j'ai cherché un brave moment ) Ensuite, un compte rendu d'opération de suivi : http://www.csp.environnement.gouv.fr/rubDoc/missions/especes/apron/rapportApronProspecSuivi2005V1r.pdf[/url][/i]

Effectivement, tu te mets "minable" quand tu passe sous les arbres, comme si tu te roulais dans des toiles d'araignées. Pour la photo, bien sur que ça nous interesse J'ai essayé de faire une photo des rameaux englués mais je l'ai loupée

Bon, j'aurais pu mettre le sujet dans forêt ou dans insectes, j'ai tiré à pile ou face Cette année semble être propice à la tordeuse grise du mélèze, petit papillon dont les chenilles prolifèrent de manière cyclique se nourissant des aiguilles des mélèzes et les faisant dépérir. Tous sont atteints, donnant à la forêt un air d'automne alors que la photo est d'aujourd'hui. si on s'approche des arbres on se rends compte qu'ils recouverts de soies, laissées par les chenilles. Mais, pas de panique, la plus grande majorité y résistent, seule la croissance est perturbée sur l'année de la prolifération.

Petite présentation, les photos ont été faites ce matin là : plutôt coté italien mais aussi sur la créte frontière. D'abord, un jeune mâle curieux vient voir l'intrus Me jugeant de peu d'intérêt, il rejoint ses copains Un peu plus loin, une etagne n'ayant pas encore mis bas, se régale du salpêtre sur un vieux blauckaus, héritage lointain, digne de Buzzati, d'une peur morbide de l'étranger. Elle est accompagnée de son jeune de l'année dernière. Tout à coup, une petite tête apparait, la portée de l'année dernière aurait elle été double ? Des "bessons" !! (pas de bol, j'suis à contre jour) Je quitte ma petite famille pour rejoindre la baisse et basculer versant français quand un mâle assez bégueule décide de venir me dire un petit bonjour. Le bougre à l'air de se prendre pour une star, il pose pendant cinq bonnes minutes pour mon plus grand plaisr. (j'vous mets pas toutes les photos, j'en ai fait plus de vingt ) Puis s'en va, grand prince, un brin hautain, presque snob. Une dernière petite pose photogénique avant de me laisser là. Belle journée, non ?

Panem et circensem, c'est vieux comme le monde, il faut occupper l'esprit de ceux qui l'on vide (l'esprit)

La distance à la source entre en compte, mais pas seulement, la temperature, la taille du bassin versant, l'altitude, la pluviométrie ... L'avantage de cette méthode c'est qu'on a aussi la possibilité de définir le zonage grace aux peuplements piscicoles presents (entre autre). Ce qui fait que l'on peut établir un zonage théorique (par les données physiques) et un zonage réel (par les données biologique). Une fois que l'on a écarté les differences qui peuvent être dues à l'isolement des bassins versants dans les temps géologiques, à l'endemisme ... On peut évaluer la qualité du cours d'eau grace à la difference entre le zonage théorique et le zonage réel. Mais les données physiques peuvent aussi évoluer à cause d'impacts humains. Un plan d'eau en barrage sur un cours d'eau va réchauffer et anoxier l'eau qui s'y écoulera en aval. Un tronçon court circuité par un ouvrage hydro électrique ou une prise d'eau potable vont diminuer le débit et les vitesses d'écoulement. D'où la necessité de chercher des cours d'eau réference pour pouvoir extrapoler sur les cours d'eau perturbés.