Lou d'Arabie

Je n'en sais rien ? Je ne savais d'ailleurs même pas jusqu'à ce matin que cette "entreprise" qui tourne à fond existait....

Vieux loups en captivité. Reccord à battre : 15, 16 ans, plus ???? %%%%%%%%%%%%%%%%%% Maison de retraite pour loups vieillissants au zoo d'Amnéville Deux enclos grillagés à l'écart du reste du zoo: à Amnéville (Moselle), les loups en fin de vie ont leur propre maison de retraite, où ils se reposent dans une tranquillité absolue, éloignés du bruit et de l'effervescence des visiteurs. Deux fois par jour, des soigneurs leur apportent eau ou nourriture. Et s'occupent, au besoin, de leurs bobos éventuels. Pour le reste, les trois canidés, nés en captivité de deux meutes différentes, sont laissés dans une paix royale. Hors du temps, ils retrouvent leurs instincts naturels. Le premier d'entre eux: la crainte de l'homme. A l'approche de visiteurs, "Chaussette", de race européenne, se met à trembler. Ses oreilles remuent. Ses pattes arrières flageolent. "C'est un vrai trouillard. Comme je suis soigneur, il me reconnaît. D'où son comportement", explique Nicolas Leroux, le directeur zoologique. Dans l'enclos d'en face, entouré aux trois quarts par une palissade "pour ne pas que l'animal se sente encerclé par la forêt environnante", une grosse louve canadienne se recroqueville, la tête entre ses pattes, quand Nicolas survient. Son pelage blanc, trempé par la pluie, se hérisse. Quand le soigneur lui tourne le dos, la louve se redresse, confiante. "C'est sûrement le plus timide des prédateurs à l'égard de l'Homme, parce qu'il a été le plus chassé. On jette des pierres aux loups depuis la préhistoire. Aujourd'hui, le simple fait de leur lancer de la nourriture leur fait peur", confirme Michel Louis, le fondateur du zoo. Les contacts sont dès lors réduits au minimum. Tout stress inutile est évité à ces pensionnaires trois étoiles, à qui l'on a construit cabanes et terrains de jeu, faits de bûches et de branchages. "C'est le principe de la retraite: la tranquillité, remarque Nicolas Leroux. Pendant quatorze ans, ils ont été présentés au public. Ils ont fourni leur effort." Quatorze années marquées au départ par une reproduction effrénée. Douze louveteaux naissent en 1992, saturant le parc. Pour éviter une surpopulation, les mâles sont vasectomisés. La meute ne se régénère plus et vieillit progressivement. "Or il est inconcevable de présenter ce genre d'animaux au public. Avoir des loups arthritiques ou aveugles, qui se cognent, est impossible. Les gens vont se dire: "pauvre animal. Il est malheureux dans le zoo+. Alors qu'il est seulement vieux", analyse Michel Louis. En septembre 2003, une nouvelle horde arrive à Amnéville. Les meutes ne pouvant se mélanger, sous peine de combats mortels, les plus anciens tirent leur révérence, direction la maison de repos. "Cela répond à un principe général: pour nous, il est hors de question d'euthanasier un animal parce qu'il est trop vieux ou qu'il prend de la place. On ne le fait que quand il souffre", affirme Michel Louis, également directeur du zoo. Choyés, les loups s'éteignent à des âges pharaoniques. En milieu sauvage, leur espérance de vie n'excède pas les huit ans. A Amnéville, ils meurent généralement vers leur quinzième printemps. :mouton:

Essayons déjà de sauver en priorité ce que nous avons à proximité et que nous avons appris à connaitre et à aimer. Pour moi ce sera la forêt Notre Dame, qui est en train de subir le même sort que celle de Fontainebleau, normal leur gestionnaire est le même : l'ONF... J'ai trouvé cet article, que j'aurais pu écrire moi-même, puisque j'ai observé, relaté, photographié et dénoncé ces mêmes actions au fur et à mesure de mes indignations, vous vous souvenez.... %%%%%%%%%%%%%%%%%%% L'ONF, que personne ne semble vouloir arrêter, est-il en train d'en finir avec la forêt de Fontainebleau? Si tel est le cas, ses ingénieurs y travailleront avec assiduité puisqu'ils sont intéressés financièrement à ce genre d'opération... Hier encore, la forêt de Fontainebleau était considérée comme l'une des plus belles et des plus diversifiées d'Europe. Demain, grâce aux méthodes ultraproductivistes de l'ONF, elle sera probablement aussi laide qu'artificielle. Hormis une poignée de parcelles classées en réserves biologiques et quelques massifs qu'une réputation internationale protègent indirectement, cet écosystème riche de 5700 espèces végétales et de 6600 espèces animales (chiffres vieux de 8 ans) se transformera à terme en une immense plantation standardisée. égaillée, il est vrai, par les massifs précités et quelques rideaux d'arbres qui serviront de leurres. Un randonneur attentif ne peut manquer de remarquer que l'ouvrage est déjà bien avancé. Quantité de parcelles ont été littéralement vidées de leurs arbres du fait des coupes claires qu'elles ont subi. D'autres ont été replantées en futaies régulières avec des arbres identiques et alignés au garde à vous, puis quadrillées de larges chemins conçus pour permettre un accès optimal aux engins d'extermination industrielle. Sont-ce des résineux ou des feuillus ? Le problème ne se pose théoriquement plus puisque l'ONF a décidé de revoir sa copie en privilégiant des essences adaptées aux écotypes locaux. Il était temps puisque la moitié de cette forêt est déjà composée de résineux. Mais à quoi bon choisir des feuillus si c'est pour les replanter au cordeau et obtenir des parcelles uniformisées et débarrassées de tout ce qui évoque l'abandon et la mort : bois en décomposition, troncs creux, "mauvaises herbes", broussailles, lichens, ronces, lierres... "Un arbre tout les 7 mètres et rien au sol..." disait, il y a déjà longtemps, François Terrasson. Rien au sol si ce n'est les ornières dues au va et vient des engins monstrueux que l'ONF emploie pour sa sale besogne. A l'heure où nous rédigeons ces lignes, de nombreux abattages sont en cours ou se préparent. Des centaines d'arbres sont marqués et attendent leurs tours. Des parcelles et des chemins sont défigurés par le passage répété des engins surdimensionnés. L'Ordure Nationale des Forêts fait ce qu'elle veut et si rien ne l'arrête, nous n'irons plus au bois mais au désert... A vous de voir. Jean-marie Chantrel 2001-2006 - cette oeuvre appartient au domaine public. vous pouvez la redistribuer sous réserve de mentionner le nom de ses auteurs. Et encore, il n'est pas question dans ce texte de la gestion du gros gibier.... Ils sont passés par ici...! Elle repassera par là! :sorc:

C'est parti d'une question naîve de petit enfent pour aboutir à un renseignement qui vous intéresse peut-être : Chez les araignées tout est inné , de leur production de soie en passant par leur estomac! Ce n'est peut-être pas indiqué sur votre dictionnaire sophistiqué....?

Au moins OK avec toi sur le film "l'Ours". Ses petits geignements perpétuels et le père qui prend la relève de la mère pour sa protection m'ont tapé sur les nerfs. Et tous ces oursons "utilisés" pour le tournage qui a duré bien trop longtemps. Il vaut mieux un bon dessin animé, les enfants savent très bien faire la différence entre le fictif et le réel! Demain matin je me tape les 3 petits cochons!

Oui, leurs moeurs dépendent des milliers de sortes d'araignées, mais les tisseuses savent toutes tisser dès leur naissance. Heureusement que certaines personnes prêtent aux animaux des comportements humains, (en ce moment ce serait plutôt la tendance inverse qui a la côte, l'héritage animal chez les humains ...), car sans ces personnes je n'aurais pas pu regarder ce matin le merveilleux dessin animé "Balto", et tous les autres qui nous ont fait tellement rêver.... :rendeer: :titi: :loup:

Bon, j'ai la réponse grâce à Google! "Les femelles mettent les œufs à l’abri dans un cocon de soie et restent souvent à côté pour les protéger (à l’exception de quelques espèces et des opilions).Il peut y avoir entre 2 et …2000 œufs dans un seul cocon ! Dès leur naissance, les jeunes savent déjà tisser leur toile. »" Donc c'étaient probablement des jeunes araignées, et elles ont elles-mêmes tissé, assez grossièrements, je le répète! Dos, je te laisse avec tes excès de testostérone et tes certitudes (!) et tu me laisses rêver et observer tranquille sans attaques personnelles, OK ?

Boubou (3 ans), voudrait savoir si les toiles d’araignée que nous avons vues ce matin, au nombre d’une bonne vingtaine, chacune dans un angle d’un pont fait de planches de bois et chacune occupée par une minuscule araignée visiblement encore bébé ont été fabriquées par la maman ou par les petites ? Elles étaient proches les unes des autres mais bien séparées, de confection assez grossière et maladroite, et dans chacune d’elles il y avait 1 ou 2 moustiques pris au piège. Et surtout dans chacune trônait une toute petite araignée. :king: L’une semblait se reposer, une autre tractait sa proie bien plus gosse qu’elle à la verticale à l’aide d’un fil de soie qu’elle produisait spécialement pour la circonstance (quel exploit !), une autre encore dévorait un moucheron sur place….. Nous avons cherché la maman de toutes ces mini-araignées mais ne l’avons pas trouvée. J’ai expliqué à Boubou que c’était une bonne idée d’avoir construit les toiles sur ce petit pont parce que l’eau qui coule dessous attire tout plein d’insectes qui passent parfois dans les toiles et hop ! Nous avons passé une bonne heure à transiter d’une toile à l’autre pour tout bien observer, la petite Boubou n’était jamais rassasiée ! Alors, c'est la maman qui fabrique les premières toiles pour ses bébés ou non? Terrible question!!!

Jambon purée, j'ironise, bien sûr! Quelle fut la déception de ma fille cette année en s'apercevant que la pigeonne qui couvait consciencieusement sur sa balconnière ne couvait que des oeufs vides, elle qui se réjouissait déjà d'avoir des petits pigeons à observer juste sous son nez... Et les doux roucoulements de l'oiselle, et ceux des petits qu'elle imaginait....

A mon avis les moineaux n'ont rien à craindre des faucons à Paris! Par contre il est fort possible que la diminution de leur effectif soit la conséquence de la campagne de stérilisation des pigeons par des graines spéciales que tout le monde peut se procurer sur simple ordonnance vétérinaire. On leur en distribue "officiellement "dans les squares , placettes, jardins publics et les moineaux sont souvent les premiers à se servir.... :bird2: Il parait qu'avoir des rassemblements de piafs à proximité de chez soi est invivable tellement ils sont bruyants. Quant aux pigeons, ils font tout plein de saletés qui dégoulinent le long des belles façades ravalées....; Alors entre les gens esseulés qui les nourrissent chaque jour à heure fixe et ceux qui s'emploient à les exterminer méthodiquement il doit se créer parfois des déséquilibres, mais pas au point de s'en nquiéter, j'en vois encore beaucoup à proximité des bancs, cafés et restaurants l'été.

Torrent grondant.... Pureté d'un lac d'altitude façon carte postale.... Brebis de combat en tenue de camouflage....

Ce matin j'ai entendu la Bonne Parole de François Bayrou sur les ours dans les Pyrénées , ses amitiés locales et son son programme concernant l'écologie. J'aurais pu les mettre ici, c'était édifiant, et bien je les garde pour moi!

Où ai-je dit que je croyais tout ce que la presse annonçait? Que ce soit bien clair : Je signale ici des informations de première fraîcheur (en général Fr. Inter), et en plus là il s'agissait des propos de Nelly Olin en personne, c'est tout! Sans commentaires.

Tu oublies les limaces ! En ce moment les gros oiseaux se gavent de grosses limaces qui s’empiffrent de gros champignons…. C’est simple, on ne les entend même plus, ils digèrent ! A quoi bon se chamailler pour un territoire, se disputer quelques vermisseaux alors que la nourriture abonde ..... Tiens, en voilà encore de drôles d'oiseaux, ces limaces! Hermaphrodites, donc à la fois mâle et femelle, mais pas en même temps. D'abord c'est le sexe masculin qui les travaille, puis les organes féminins qui les titillent, et nous pauvres humains on ne s'aperçoit de rien!

Peut-être bien dans un coin.....didzou nous le dira, mais pour les pies c'est ici qu'il faut venir, à 17 km de Paris, idem pour les tourterelles turques, que je peux voir picorer en ce moment en groupes dans les champs. En ville elles sont conncurrentes des moineaux et des pigeons dans les lieux de nourrissage, mais elles sont tellement pacifiques que ces malheureuses n'ont pas souvent accès aux meilleirs morceaux, réservés aux moineaux qui ont leurs propres vigiles pour "veiller aux grains"! :bird2: Du coup elles prèfèrent s'exhiler dans les champs, il y a plus d'espace, la nourriture est plus dispersée et les moineaux leur fichent la paix!

Tout à fait d'accord avec toi Louva sur les imultiples actions utiles que l'on peut faire en ville. Nourrir les moineaux et les pigeons ce n'est pas une très bonne idée ... Les pigeons finiront stérilisés ou éliminés par vagues régulières. Quant aux moineaux qui ont un "esprit de meute" très poussé et dont la population s'accroit à force de nourrissage hivernal par les âmes sensibles ils en arrivent à chasser d'autres espèces d'oiseaux plus discrètes comme les mésanges charbonnières, les mésanges bleues.... J'aime beaucoup les moineaux, leur vie sociale est passionnante et mérite d'être connue, mais ils n'ont aucun prédateur en ville, puisqu'il n'y a même plus de chats errants.... :bird2:

Entendu à 19 heures sur Fr. Inter: "Ca y est maintenant on en est sûr, l'ourse Palouma est bien morte suite à une chûte verticale. Aucune trace de produit étranger n'a été détectée sur elle". Apparemment l'affaire est close.

Mais si on se sent vraiment concerné par le problème, on peut avant tout et en priorité arrêter de fumer, cigarettes ou herbes (diminution des spermatos, affaibissement et malformation de l'embryon), de boire de l'alcool (malformations ), de s'empiffrer de cochonneries aux hormones, (féminisation du foetus)... La solution réside aussi dans notre hygiène de vie! :sorc:

Ou encore : La pollution automobile affecte la fertilité masculine! Symbole de virilité pour les dragueurs en mal de confiance, la voiture pourrait finalement se révéler plus nocive que bénéfique pour la fertilité des hommes. Selon une étude italienne, la pollution automobile affecterait la qualité du sperme. L’équipe du Dr Michele De Rosa a examiné la qualité du sperme de 85 hommes travaillant à des barrières de péage et donc exposés 6 heures par jour aux gaz d’échappement. En comparant ces échantillons à ceux des hommes vivant dans la même région, ils n’ont pas observé de différences concernant la quantité de spermatozoïdes, les taux de certaines hormones agissant sur la production de sperme ou des hormones sexuelles masculines. Mais les paramètres relatifs à la qualité du sperme étaient significativement moindres chez les employés des péages et même inférieurs aux normes définies par l’Organisation Mondiale de la santé. De plus amples analyses ont permis de montrer que les protoxydes d’azote et le plomb seraient les substances les plus dangereuses. Il existe ainsi une corrélation inverse entre le nombre de spermatozoïdes et la concentration de plomb dans le sang (plombémie), et les autres paramètres qualitatifs étaient inversement corrélés avec le taux de méthémoglobine, marqueur de la concentration en protoxydes d’azote. "Notre étude démontre que l’exposition continue à la pollution automobile affecte la qualité du sperme chez les hommes jeunes et d’âge moyen" concluent les auteurs. Ces derniers appellent à la conduite de plus amples études épidémiologiques et à des évaluations de la fertilité chez des hommes ayant quitté leur travail au péage, pour déterminer si l’action délétère de ces substances est réversible. ... J'arrête là, mais on pourrait continuer longtemps dans ce même sens....

On peut en rajouter.... Une équipe de chercheurs français attribue un nouveau méfait à la pollution : elle favoriserait le surpoids. Jusqu’à trois kilos en 15 jours ! Sous l’égide de Luc Méjean de l’Ecole nationale supérieure d’agronomie et des industries alimentaires à Nancy, le chercheur Philippe Irigaray ( ) a étudié l’impact de certains polluants, comme la dioxine et le benzo(a)pyrène émis par les automobiles ou les usines d’incinération sur la prise de poids. Si l’expérience a été menée sur des souris et non pas sur des hommes, les résultats sont plus qu’inquiétants. Après avoir reçu des injections de polluants toutes les 48 heures pendant quinze jours, les rongeurs ont pris en moyenne entre 0,75 et 1 gramme. Pour des animaux de 25 grammes, cette inclinaison de la balance n’est pas négligeable. Extrapolé à un homme de 70 kilogrammes, la prise de poids équivaudrait à 2,8 kilos en 15 jours ! Les doses de polluants étaient 100 fois moins importantes que la limite toxique mais comparables à des expositions environnementales à 100 mètres d’une autoroute… Cette expérience pourrait confirmer ce que les chercheurs suspectaient. L’exposition à des polluants particuliers comme le benzo(a)pyrène perturbe les fonctions des cellules graisseuses. Plus précisément, ils bloquent les graisses à l’intérieur de la cellule. Les lipides entrent dans les adipocytes et ne peuvent plus en sortir. Les polluants ont pour ainsi dire, fermer les portes. "La cellule adipeuse stocke donc les lipides mais ne les relargue pas. Ils ne peuvent ainsi pas être brûlés par l’organisme. Cette perte d’équilibre entraîne ainsi un grossissement de l’adipocyte et donc un surpoids" nous résume Philippe Irigaray. Mais les chercheurs restent prudents et ne veulent pas cautionner sans réserve des comparaisons hâtives avec l’homme. "Evidement, l’extrapolation reste difficile. Contrairement au cadre expérimental, ce polluant n’est jamais seul mais en présence d’autres polluants résultant de combustion incomplète (hydrocarbures aromatiques polycycliques…). Les effets conjugués de ces polluants pourraient s’ajouter ou s’annuler. On sait peu de choses sur ces interactions. De plus, il ne faut pas oublier que ce polluant est en partie transformé par l’organisme pour donner des composés toxiques cancérigènes" précise Philippe Irigaray....

Il n'y a pratiquement plus de chats sauvages en France, ils ont été exterminés par les chasseurs qui les prenaient pour des chats domestiques ou des chats harets(!) Cette confusion n'est pas à leur honneur, le vrai chat sauvage est facilement identifiable. Il a le poil sombre (mélange de poils noirs, gris et roussâtres sur le corps), et 3 grands anneaux noirs sur la queue assez courte et épaisse. Comme ils ont presque tous disparu les chats que l'on peut rencontrer dans les forêts sont des chats domestiques revenus à l'état sauvage. Nos chats actuels seraient des descendants du chat sauvage africain, plus clair et de caractère plus "souple" que l'européen.

300 brebis d'un même troupeau ont été victimes d'un coup de foudre. On recherche activement le bêlier responsable..... :mouton:

Evidemment il n'y avait pas le berger.....

Nul doûte que cet "accident" sera décortiqué dans ses moindres détails, et c'est tout à fait normal . Toutes les supputations, soupçons, accusations qui ne manqueront pas d'alimenter les forums jusqu'au verdict final sont à éviter car ils ne feraient qu'attiser la haine palpable qui existe déjà entre 2 clans, ne serait-ce que par respect pour les seules vistimes de ces débordements humains, les ours.

Fleurs des champs et champignons...Vous m'avez gâtée, vraiment! :king: Merci Dame Nature!