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Tout ce qui a été posté par askook
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Acanthoplus discoidalis
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Insectes et Autres Invertébrés
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L’Acanthoplus discoidalis, le grillon qui sécrète du sang pour se défendre ! Dans le monde des insectes, le danger peut toujours attendre au détour d'une haute herbe. Ainsi beaucoup ont développé des moyens de se défendre contre les prédateurs. Parmi eux, une espèce de grillon, le grillon blindé, qui utilise son "sang" pour éloigner les indésirables. Véritable tank miniature sur pattes, le grillon blindé porte bien son nom. Carapace solide et pourvue de pointes bien piquantes, il n'y a rien dans le milieu des insectes de cette taille qui semble pouvoir se mesurer à lui. Le Acanthoplus discoidalis, de son nom savant, utilise ce qu'on peut assimiler à son sang pour se défendre et éloigner le danger, au même titre que la "saignée réflexe" de la coccinelle, qui expulse de son corps un liquide jaunâtre pas très appétissant. En réalité ce liquide n'est pas exactement du sang. On l'appelle l'hémolymphe (composé de hémo-, qui désigne le sang, et de lymphe, du système lymphatique également présent dans le corps humain). Présent dans une majorité des espèces d'insectes, son rôle est similaire à celui du sang humain, mais remplit aussi plusieurs autres fonctions. En plus de faire circuler les nutriments et l'oxygène à travers le corps de l'insecte, l'hémolymphe sert notamment à solidifier les ailes de certains lorsqu'ils sortent d'un cocon. Dans le cas de notre grillon blindé, le liquide est sécrété par la bouche et par les articulations entre les différentes parties du corps et de la carapace pour éloigner les prédateurs grâce à sa mauvaise odeur. Certaines de ces substances peuvent même être toxiques ! Mais gare à celui qui utilise ce système de défense sans précaution, car il existe d'autres insectes qui se nourrissent spécialement de l'hémolymphe ! En particulier un parasite de l'abeille qui la suce tel une sangsue jusqu'à ce que mort s'ensuive... Cet insecte est vraiment fascinant, mais on imagine qu'il ne vaut mieux pas trop s'y frotter sous risque de sentir l'hémolymphe à plein nez ! La méthode d'attaque du Acanthoplus discoidalis vous impressionne-t-elle ? Source: http://dailygeekshow.com
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Des chercheurs ont découvert un organe synthétisant des lipides dans le système auditif du weta, un insecte endémique de Nouvelle-Zélande. Ces insectes nocturnes produisent des sons à large bande par stridulation. Les fréquences présentent des pics entre 2 et 14 kHz, selon le type de stridulation. Comme d’autres espèces d’insectes du sous-ordre des ensifères, ils entendent via un organe complexe, situé sur le tibia de leur patte avant, dans un canal rempli d’un liquide supposé être de l’hémolymphe. Les scientifiques néozélandais ont cherché à comprendre quel rôle jouait ce canal dans la sensibilité auditive de l'insecte. Ce faisant ils ont fait une découverte surprenante : l’organe auditif ne baigne pas dans l’hémolymphe, mais dans un milieu constitué principalement de lipides. Par ailleurs, ils y ont observé une structure, encore inconnue, qu’ils ont nommée « olivarius », responsable de la synthèse de ces lipides. « Notre étude est le seul exemple d'un lipide associé au système auditif autre que cétacé, expliquent les auteurs. Cependant, les lipides contenus dans le système des cétacés et dans celui des wetas sont clairement différents ». Chez les mammifères marins, ils permettent l’amplification des sons dans l’environnement marin. « Les résultats de notre étude indiquent que les lipides jouent un rôle différent dans le système auditif du weta de celui des cétacés », indiquent-ils. En effet, « le seuil auditif augmente lors du retrait du lipide ». D’autres études sont requises afin d’élucider le rôle de ces lipides chez les wetas. Source:http://www.audio-infos.eu/
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Découverte d'une espèce de grenouille volante (Rhacophorus helenae)
askook a répondu à un(e) sujet de Valko03 dans Amphibiens
Autre source. Au Vietnam, une nouvelle grenouille arboricole vient d’être décrite. Rhacophorus helenae, avec ses voiles cutanées entre les doigts, doit être un planeur honorable. Une nouvelle espèce de grenouilles du genre Rhacophorus vient d’être découverte au Vietnam. Elle s’appelle Hélène, la grenouille arboricole (Rhacophorus helenae). L’amphibien est d’un vert vif, a le ventre blanc et mesure presque 10 cm. Plus étonnant, ses pattes sont palmées. C'est pour cette raison qu'on la surnomme la « grenouille volante ». Si elle n’a évidemment pas d’ailes, ses pattes lui permettent de réaliser des vols planés probablement inégalés chez les grenouilles. C’est la chercheuse australienne Jodi Rowley qui est à l’origine de la découverte de cet étonnant amphibien. Elle a été surprise de trouver cette grenouille volante tranquillement posée sur un arbre cassé, dans une forêt passante, où l’on compte de nombreux sentiers et où les buffles assiègent les cours d’eau. La forêt en question se trouve à seulement 100 km de la plus grande ville du pays, Hô-Chi-Minh-Ville, qui abrite plus de 7 millions de citadins. « Pour découvrir une espèce jusque-là inconnue de grenouilles, je dois généralement escalader des montagnes escarpées, des cascades et faire mon chemin à travers la végétation tropicale dense et épineuse », explique Jodi Rowley. La capacité de Rhacophorus helenae à planer d’arbre en arbre protège cette grenouille volante de tout ce qui fourmille au sol. Elle vit essentiellement sur la canopée. Grâce à ses pieds et ses mains en forme de palmes, elle nage et plane dans les airs nettement mieux que toutes les autres espèces de Rhacophorus. C’est Jodi Rowley qui a choisi le nom de l’amphibien fraîchement découvert. Elle a décidé de l’appeler Hélène, du nom de sa mère, qui a soutenu sa passion pour la recherche de grenouilles, un engouement apparu dès l’enfance. Source: http://www.futura-sciences.com -
Découverte d'une espèce de grenouille volante (Rhacophorus helenae)
askook a répondu à un(e) sujet de Valko03 dans Amphibiens
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Une nouvelle espèce de lézard fouisseur, nommé "Moby Dick" pour sa ressemblance avec un cétacé, a été découverte à Madagascar par une équipe internationale de chercheurs, a annoncé mardi 15 janvier le CNRS (Centre national de recherche scientifique) à Montpellier. Baptisée par les chercheurs Sirenoscincus mobydick en allusion au célèbre cachalot albinos du roman de Herman Melville, cette espèce présente une combinaison unique de caractéristiques anatomiques au sein des vertébrés terrestres que sont les amphibiens, les reptiles, les mammifères et les oiseaux. UNE "ORGANISATION MORPHOLOGIQUE" QUI RAPPELLE LES CÉTACÉS Le lézard "Moby Dick" découvert dans les forêts sèches du nord-ouest de Madagascar a subi une évolution diamétralement opposée à celle des autres espèces de lézard sans pattes, précise cette même source. En effet, cet animal présente une peau dépigmentée et ses yeux ont presque disparu car quasiment inutiles puisqu'il vit sous terre. "Moby Dick" a également perdu ses pattes postérieures mais a conservé des membres antérieurs. Un "plan d'organisation morphologique" qui rappelle celui des cétacés, souligne le CNRS. Les travaux de l'équipe de chercheurs français, malgaches, américains et allemands ont été publiés fin décembre dans la revue Zoosystema, a indiqué le CNRS. Source: http://www.lemonde.fr Article: http://www.mnhn.fr/museum/front/medias/publication/48116_z2012n4a3.pdf
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Morsures de serpents -gestion en situations précaires- (Vidéo)
askook a posté un sujet dans Serpents Venimeux
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Soigner par le venin ...
askook a répondu à un(e) sujet de Chance-reptil-virus dans Serpents Venimeux
Du venin de vipère pour combattre les mélanomes Les résistances développées par les mélanomes malins aux différentes molécules utilisées lors d'une chimiothérapie incitent les chercheurs à expérimenter des voies de traitement toujours nouvelles. Depuis plusieurs années, l'attention de la recherche se porte sur les propriétés particulières du venin commun à certains serpents orientaux. Les dernières recherches en date précisent encore le champ d'application potentiel du surprenant "médicament". Au fil des découvertes scientifiques, les serpents venimeux se révèlent de bien précieux alliés pour l'homme. Après les récents travaux de l'Inserm mettant en lumière les propriétés antalgiques exceptionnelles du venin de mamba noir, c'est au tour d'un représentant de la famille des vipères d’offrir ses services à la médecine. Une vipère au venin salvateur contre le mélanome L'Eristicophis macmahoni, originaire de la zone frontière entre l'Iran, l'Afghanistan et le Pakistan, possède un venin puissant qui agit sur l'organisme à de multiples niveaux. Ainsi l'une de ses composantes chimiques, l'eristostatine, interrompt-elle la coagulation sanguine, accélérant les pertes de sang de la victime mordue. Le mode d'action de cette protéine est connu : celle-ci s'attache à la surface des plaquettes sanguines, les empêchant d'initier le processus de coagulation. Cependant, cette agression ne se fait pas sans réaction de l'organisme. Les lymphocytes T, globules blancs originaires du thymus, ne manquent pas de repérer l'altération et d'engager la destruction des cellules corrompues. Malheureusement, les quantités introduites par une morsure sont bien supérieures aux capacités de combat de l'organisme. Cependant, l'eristostaine possède une seconde gamme de cellules de prédilections. Selon de nombreuses observations réalisées depuis le milieu des années 1990 , les protéines de surface qui l'attirent inexorablement vers les plaquettes possèderait de quasi-jumelles sur le pourtour… des mélanomes. Des expérimentations avaient été réalisées dès 1998 sur des souris atteintes d'une catégorie particulière de mélanome. En adjoignant aux traitements existants de très faibles quantités d'eristostaine, les scientifiques étaient parvenus à réduire drastiquement la prolifération des cellules cancéreuses vers les poumons et le foie. Une nouvelle étude pour identifier les candidats potentiels au traitement Pour déterminer les cas dans lesquels une telle thérapie pourrait être généralisée, des chercheurs de l'Université du Delaware ont évalué avec une rigueur micrométrique les interactions existantes entre la molécule et six types de mélanomes. Leur étude, publiée en janvier 2013 dans la revue Toxicon, est des plus concluantes. Pour mesurer le degré réel d'attraction entre les cellules la molécule de venin, les chercheurs ont utilisé un microscope particulier, dit "à force atomique" (MFA). Celui-ci est conçu pour "décoller" les protéines agglomérées, tout en quantifiant la force mise en jeu pour l'opération. Résultat de l'expérience : l'affinité est réalisée dans les six cas étudiée, et est réalisée sur bien plus de marqueurs de surface que postulé jusqu'alors. L'hypothèse initiale ne concernait en effet qu'un seul type de liaison : quatre familles d'interactions sont en réalité en jeu. Cette double découverte démontre la possibilité d’utiliser de faibles quantités de venin pour cibler très précisément l’immense majorité des mélanomes. L'eristostatine confirme ainsi peu à peu son statut de médicament dans la lutte contre les mélanomes malins. Source: http://www.allodocteurs.fr Article: http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0041010112007751#aff1 -
Des codes-barres génétiques pour ‘trier’ les espèces menacées de grenouilles
askook a posté un sujet dans Amphibiens
Publiant leurs travaux dans la revue Molecular Ecology Resources, des chercheurs de la Smithsonian Institution utilisent des marqueurs génétiques pour distinguer les différentes espèces - très ressemblantes - de grenouilles détenues dans un centre de sauvegarde et de reproduction des amphibiens menacés, afin d’éviter les hybridations. Les chercheurs du Projet de sauvetage des amphibiens de la Smithsonian Institution élèvent, dans le Centre de conservation d’El Valle, à Panama, pas moins de 11 espèces locales de grenouilles qu’ils espèrent sauver du parasite Batrachochytrium dendrobatidise, qui a déjà décimé des populations d'amphibiens dans le monde entier. Pour cela, ils y mènent un programme de reproduction en vue de réintroduire les amphibiens en milieu naturel. Mais gare aux bévues : ces espèces sont souvent très semblables et difficiles à distinguer. "Si nous choisissons accidentellement pour les faire se reproduire des grenouilles qui ne sont pas de la même espèce, nous risquons d’échouer ou de créer des animaux hybrides mal adaptés à l'environnement d’origine de leurs parents", explique Andrew J. Crawford, du Smithsonian Tropical Research Institute de Panama. Pour éviter de réaliser ce genre d'erreurs, ce scientifique et ses collègues utilisent une technique originale basée sur la génétique : le "code-barre ADN". Il s’agit de prélever, à l’aide d’un coton-tige, des échantillons de cellules de peau sur ces animaux, puis d’en séquencer les gènes, ce qui permet d’identifier sans ambigüité les différentes espèces - et de constater combien elles sont liées. Pour faire reproduire les grenouilles, il suffit alors de consulter les résultats obtenus et de s'appliquer à bien choisir deux animaux de la même espèce. Ces nouvelles connaissances sur la génétique des grenouilles contribuent à sauver de l'extinction ces amphibiens, un projet auquel collaborent notamment le Zoo de Houston, le Smithsonian National Zoological Park et le Smithsonian Tropical Research Institute. Source: http://www.maxisciences.com -
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pituophis melanoleucus mugitus
askook a répondu à un(e) sujet de snakes-whisperer dans Vos P'tits Virus
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Faits divers concernant les ophidiens
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
Elle trouve un python enroulé autour de son bébé Une jeune maman australienne a eu la peur de sa vie lorsqu'elle a découvert qu'un python s'était enroulé autour de sa petite fille de deux ans. L'incident s'est produit à Lismore dans le Nord de l'Australie. Tess Guthrie, une mère de famille de 22 ans, s'est réveillée en pleine nuit après avoir entendu souffler son chat. La jeune femme a regardé Zara, sa petite fille de deux ans qui dormait avec elle dans le lit, et c'est là qu'elle a aperçu un python d'1m85 enroulé autour de la fillette. "Au début, j'ai cru que je rêvais", confie-t-elle au Daily Telegraph. Mais rapidement Tess comprend que le serpent est bien réel. Elle décide alors d'attraper la tête du reptile pour extraire son enfant. Surpris, le python a attaqué la petite fille en lui mordant la main à trois reprises. Zara a été emmenée à l'hôpital. Ses jours ne sont pas en danger. Selon un expert, le python se trouvait probablement dans la maison depuis plusieurs jours. "Il n'avait sûrement pas l'intention de blesser ou de dévorer Zara", confie Tex Tills, spécialisé dans la capture de reptiles. "Il faisait juste un câlin de groupe", poursuit-il. "Les Pythons ont sous leur mâchoire une rangée de capteurs grâce auxquels ils peuvent voir des images infrarouges. Dans l'obscurité, ils voient un bébé comme un point chaud". Selon lui, si le serpent a fini par mordre l'enfant c'est uniquement parce que sa maman a tenté de le capturer. Le python aurait pris peur et n'aurait fait que se défendre. A la demande de Tess Guthrie, le python n'a pas été euthanasié. Tex Tilss l'a relâché à environ cinq kilomètres de sa maison. Source: www.7sur7.be -
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Review of the millipede genus Glyphiulus Gervais, 1847, with descriptions of new species from Southeast Asia (Diplopoda, Spirostreptida, Cambalopsidae). Part 1: the granulatus-group Zoosystema, 2007, vol. 29, no1, pp. 7-49 GOLOVATCH Sergei I., GEOFFROY Jean-Jacques, MAURIES Jean-Paul & VAN DEN SPIEGEL Didier http://www.mnhn.fr/museum/front/medias/publication/9795_z07n1a1.pdf
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pituophis melanoleucus mugitus
askook a répondu à un(e) sujet de snakes-whisperer dans Vos P'tits Virus
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Phylogeography of the widespread African puff adder (Bitis arietans) reveals multiple Pleistocene refugia in southern Africa Molecular Ecology, January 2013, volume 22, Issue 1 Axel Barlow, Karis Baker, Catriona R. Hendry, Lindsay Peppin, Tony Phelps, Krystal A. Tolley, Catharine E. Wüster & Wolfgang Wüster http://pages.bangor.ac.uk/~bss166/Publications/2013_Barlow_puffies_MolEcol.pdf
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pituophis melanoleucus mugitus
askook a répondu à un(e) sujet de snakes-whisperer dans Vos P'tits Virus
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Pas touche à la tortue d'Hermann On ne plaisante pas avec les espèces menacées, tortues ou autres NEC (nouveaux animaux de compagnie). Cette jeune Saint-Aignanaise (St Aignan dans le Loir et Cher) vient de l'apprendre à ses dépens, elle qui hébergeait une tortue d'Hermann à son domicile. Tortue terrestre méditerranéenne, Testudo hermanni hermanni est en effet protégée par une triple législation : nationale, européenne et internationale. La prélever dans la nature est strictement interdit. En revanche, les tortues nées en captivité, de parents « licites », peuvent être vendues ou cédées si elles sont accompagnées d'un certificat délivré par la Direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) justifiant l'origine légale des animaux, apprend-on sur la toile. Toutes les tortues vendues dans les animaleries ou par les particuliers doivent être munies de justificatifs de leur origine (certificat intracommunautaire) et facture au moment de l'achat (ou bon de cession). Ces documents sont importants et il faut absolument les conserver pour prouver l'origine légale de l'animal. Pour ne pas avoir été en mesure de produire les documents idoines, la jeune femme est attendue le 13 janvier prochain par le délégué du procureur. Source: www.lanouvellerepublique.fr
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