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Ponte et naissance Pituophis c. sayi + Thamnophis sirtalis tetrataenia
askook a répondu à un(e) sujet de Filoue11 dans Vos P'tits Virus
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Le dernier crocodile du Siam sauvage au Vietnam est mort ’ultime spécimen au Vietnam d’une espèce en voie de disparition dans le monde est mort fin septembre. La Thaïlande envisage de relâcher dans la nature des crocodiles de cette famille pour éviter l’extinction. Le corps de la femelle de 3,2 mètres de long et de plus de 100 kilos a été retrouvé sans vie le 29 septembre dans le lac Ea Lam dans le centre Vietnam. Elle était âgée de près de 100 ans. Cet animal était un crocodile du Siam. Il était le dernier spécimen né et vivant à l’état sauvage au Vietnam. Le crocodile du Siam sauvage est aujourd’hui considéré comme une espèce en danger. Il a disparu de Malaisie, d’Indonésie et de Thaïlande. Il en reste une centaine dans le monde, notamment au Cambodge. La femelle, retrouvée morte, aurait été étranglé par des fils en acier, posés par des chasseurs. Une minorité ethnique, les Ê Dê honore ces crocodiles car, selon elle, ces animaux emportent avec eux les âmes de leurs défunts. Si le crocodile du Siam à l’état sauvage est menacé, il existe des milliers d’ en captivité, élevés dans des fermes spécialisées dans le commerce de peaux de crocodiles. La Thaïlande envisage de relâcher dans la nature plusieurs crocodiles de cette famille, selon le blog Scientific American. La réussite de cette entreprise réside toutefois dans la mise en place de zones protégées où l’espèce pourra se reproduire en toute sécurité. Après le dernier rhinocéros de Java en 2010, le Vietnam perd une nouvelle fois l’ultime spécimen d’une espèce en danger, présent sur son territoire. Source: http://asie-info.fr
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Les grenouilles, reines de l'imposture en matière de séduction
askook a répondu à un(e) sujet de Filoue11 dans Amphibiens
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mes naissances 2012 Pituophis mugitus
askook a répondu à un(e) sujet de jojoscoottkr11 dans Serpents
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Ponte et naissance Pituophis c. sayi + Thamnophis sirtalis tetrataenia
askook a répondu à un(e) sujet de Filoue11 dans Vos P'tits Virus
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Une tortue menacée au Cambodge revient du Vietnam Un spécimen extrêmement rare de tortue Batagur affinis, ou tortue de mangrove, a été rapatrié au Cambodge depuis un parc de Saigon. Elle y vivait depuis 30 ans. La femelle de 45 kilogrammes séjournait depuis les années 1980 dans le parc d’attractions de Suôi Tiên à Hô Chi Minh-ville, au Vietnam, sans que personne ne sache vraiment comment elle y était arrivée alors qu’elle était toute jeune et ne pesait encore que 2 kg. Cette espèce au bord de l’extinction en Indonésie, en Malaisie et au Cambodge a déjà disparu du Vietnam et de Singapour, et sa présence est incertaine en Birmanie et en Thaïlande. « Il y a moins de dix femelles Batagur connues au Cambodge », a expliqué dans le Phnom Penh Post du 8 octobre Gregory Duplant, responsable du projet Batagur à la Wildlife Conservation Society (WCS). « C’est pour cela que c’était vraiment important que nous ramenions celle-ci ». Batagur affinis est une des six espèces de cette tortue de la famille des Geoemydidae que l’on rencontre en Asie du sud-est et en Asie du sud © DR La vénérable expatriée de longue date a retrouvé son pays d’origine le 5 octobre après un véritable parcours du combattant administratif à laquelle l’ONG vietnamienne Education of nature Vietnam (ENV) a largement participé. Ce sont les volontaires d’ENV qui avaient repéré la tortue la première fois en 2010. Après une cérémonie officielle dans le parc de Suôi Tiên, la tortue de mangrove a été transférée au Centre Angkor pour la protection de la biodiversité à Siem Reap, dans le nord du Cambodge, où elle se reproduira avec un mâle en âge de procréer. Dans le royaume, on trouve principalement sa population à l’état naturel dans la rivière de Sre Ambel, dans la province de Koh Kong (sud-ouest). Selon Heng Sovannara, en charge du projet Batagur au département des Pêches, ces tortues « étaient attrapées chaque jour dans les années 1980 dans la région de Koh Kong ». « Mais après, cette espèce est devenue très rare », ajoute-t-il. En 2005, les autorités vietnamiennes avaient déjà restitué au Cambodge une autre tortue Batagur, relâchée dans la rivière de Sre Ambel et équipée d’une balise de repérage satellite qui permet aux écologistes d’étudier ses déplacements. Décimée par une chasse excessive au cours des vingt dernières années à cause de la délicatesse de sa viande et de ses œufs dont sont friands les marchés alimentaires chinois, cette espèce est menacée de disparaître dans quelques années et sa survie repose sur sa réimplantation en milieu naturel et sur le succès des programmes de fécondation dans les zoos. Traditionnellement au Cambodge, la tortue Batagur, qui peut vivre de 75 à 85 ans, était considérée comme la propriété exclusive du Roi. Source:http://asie-info.fr
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Ponte et naissance Pituophis c. sayi + Thamnophis sirtalis tetrataenia
askook a répondu à un(e) sujet de Filoue11 dans Vos P'tits Virus
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Faits divers concernant les mygales et les araignées
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Mygales - Arachnides - Scorpions
Attention à la veuve noire [Chicoutimi) Au moins deux veuves noires ont été découvertes à Saguenay en moins de deux semaines. Ces spécimens, dont le venin est dix fois plus concentré que celui d'un serpent à sonnette, proviennent de Californie. Dangereuse pour la santé humaine, les deux araignées ont atterri dans la région à la suite d'échanges commerciaux. La première veuve noire a été trouvée dans l'emballage d'une pièce de machinerie commandé des États-Unis par le groupe Alfred Boivin. L'autre spécimen, connu pour son imprimé de sablier sur l'abdomen, a été détecté cette semaine dans une grappe de raisins. En lavant ces fruits achetés à l'épicerie, une dame de 80 ans a fait cette surprenante trouvaille. D'ailleurs, l'Agence canadienne d'inspection des aliments prévient les consommateurs que la découverte de veuves noires parmi les raisins de table, surtout ceux importés de Californie, est de plus en plus fréquente pendant la récolte d'automne. Entomologiste Les deux spécimens retrouvés à Saguenay ont été confiés à l'entomologiste Robert Loiselle. La dernière fois qu'une de ces araignées lui a été remise remonte à 15 ans. Le spécialiste a d'ailleurs baptisé les veuves noires Anita, en l'honneur d'une de ses tantes, et Dolores, un nom trouvé par un étudiant. «La première fois, c'est un étudiant qui revenait de la Colombie-Britannique qui m'a apporté l'araignée. Il l'avait trouvée dans ses valises», raconte le spécialiste. Les veuves noires ne vivent pas dans l'environnement québécois. Mais M. Loiselle ne serait pas surpris que ces mystérieux insectes puissent faire leur nid dans la province. «Elles ne vivent pas encore liberté ici. Mais d'ici 5 ou 10 ans, ça pourrait arriver. La veuve noire a d'ailleurs trouvé refuge en banlieue de Toronto. Autrefois, elle ne vivait pas là. Et Toronto, c'est aux portes du Québec. Si elle survit à cet endroit, elle pourrait bien vivre à Montréal», explique l'entomologiste également de l'Université du Québec à Chicoutimi (UQAC). À l'heure actuelle, les veuves noires se retrouvent dans quelques régions chaudes de l'est et du centre des États-Unis, les déserts de l'Amérique du Nord et le sud du Canada. Les deux araignées sont conservées dans des bocaux à l'université. Les veuves noires quitteront toutefois le bureau de l'entomologiste pour rejoindre le musée du Fjord. Source:http://www.lapresse.ca -
Sept vipères prennent la clé des champs au pied des Vanils
askook a posté un sujet dans Serpents Venimeux
Nés au Jardin botanique de Fribourg, sept vipéreaux viennent d’être relâchés dans la nature. Serpents mal aimés, ils se dévoilent. Les langues de vipère pointent vers l’air libre. Le couvercle du seau est ôté: c’est la libération. Ces sept vipéreaux aspic ont été acheminés dans un sac à dos, comme un vulgaire pique-nique. Les voilà qui découvrent leur nouvel environnement: un pierrier du vallon de Bounavaux, sur les hauts de Grandvillard, dans le massif du Vanil-Noir. L’opération a eu lieu mercredi après-midi. C’est la troisième fois, après 2008 et 2010, que le Jardin botanique de Fribourg remet en liberté de jeunes vipères. Espèce protégée oblige, la mission bénéficiait d’une autorisation spéciale du Bureau cantonal de la protection de la nature. «Depuis 2006, nous possédons deux femelles et un mâle», expose Benoît Clément, responsable du secteur plantes alpines au Jardin botanique. «L’idée était de présenter une espèce animale protégée au milieu de plantes protégées.» Le jardinier-paysagiste de Vuadens a découvert les nouveau-nés le 15 septembre dernier dans l’enclos à vipères, à côté des fougères. «La mise bas a lieu tous les deux ans. Parce que la reproduction demande une grande quantité d’énergie aux femelles.» Pour la remise en liberté des petits – «de la taille d’un crayon» – Benoît Clément était accompagné de Jean-Claude Monney, collaborateur scientifique du Musée d’histoire naturelle de Fribourg et employé du Centre de coordination pour la protection des amphibiens et des reptiles de Suisse (Karch). «Pour la préservation de la race, il est important de relâcher les petits exactement à l’endroit où leurs parents ont été capturés», explique le biologiste. Car les spécimens du vallon de Bounavaux – entre 100 et 150 au total, à raison de cinq ou six adultes par hectare – ont leurs spécificités. «Ils n’ont pas tout à fait les mêmes caractéristiques génétiques que les vipères du Pays-d’Enhaut. Il en va de même pour la coloration. Dans la région du col du Jaun, les vipères ont des dessins dorsaux plus fins.» Le noir du Vanil Autre particularité de la colonie de la région du Vanil-Noir, elle recense une très forte proportion – 60 à 70% – de spécimens complètement noirs. Explication plausible, l’influence du milieu, qui a sélectionné les spécimens les plus aptes à y vivre. «Dans une région boisée, il y a peu de soleil. Le noir a l’avantage de mieux absorber la chaleur», avance Jean-Claude Monney. Les taches des autres vipères pourraient s’expliquer par un besoin de camouflage. «Il y a beaucoup d’érables sycomores. Les feuilles ont souvent des taches noires dues à un champignon. Lorsqu’elles tapissent le sol, la vipère se confond avec elles.» Relâchés à jeun En même temps qu’ils goûtent à la liberté, les vipéreaux peuvent s’offrir un premier repas. Car, depuis leur naissance, ils sont restés à jeun. «Ils pourraient même se passer de nourriture jusqu’à l’hibernation, relève l’herpétologue. Ils ont suffisamment de réserve.» Jusqu’à l’âge de deux ou trois ans, le menu sera avant tout composé de lézards. Une fois adultes, à l’âge de cinq ans, les vipères se nourriront essentiellement de campagnols et de musaraignes. Des proies gobées et digérées grâce à l’effet d’un puissant suc gastrique. «Pour que les enzymes digestives s’activent, il faut une chaleur ambiante de l’ordre de 15 degrés, précise le spécialiste. Sinon les vipères doivent vomir.» Ce n’est que dès l’âge de cinq ans – avec une taille d’environ 50 cm – que les vipéreaux songeront à se reproduire. En attendant, ils veilleront à éviter de croiser leurs prédateurs: buses, corbeaux et autres serpents (coronelles lisses). En quête de repaires, les vipéreaux privilégieront les pierriers ou les amas de pierres calcaires. Des lieux stratégiques accumulant la chaleur, tout en offrant une cachette. «Les vipéreaux vont chercher à se rattacher à une colonie, explique Jean-Claude Monney. Certains pourraient rejoindre l’autre versant de la vallée, du côté du Motélon.» Pas Esculape Une certitude. On ne verra aucun vipéreau relâché grimper aux arbres. En Suisse, un seul serpent s’y essaie: la couleuvre d’Esculape. Le spécimen, non venimeux, vit en Valais, dans le Chablais, à Genève et au Tessin. Loin d’être une langue de vipère, l’animal a le privilège d’être l’emblème des médecins et des pharmaciens. --------------- Un kilo de pain par vipère Protégée depuis 1967 en Suisse, la vipère aspic a longtemps été pourchassée. «Comme pour les queues de taupes, plusieurs communes versaient des primes pour toute vipère tuée», raconte Jean-Claude Monney. Le biologiste évoque un tarif de cinquante centimes par tête, versé dans les années 1920, dans la vallée neuchâteloise des Ponts-de-Martel. «A l’époque, c’était une jolie somme. Ça équivalait à un kilo de pain complet.» Les temps ont changé. Mais la vipère a toujours la vie dure. «L’espèce est considérée comme vulnérable dans les Alpes. La situation est beaucoup plus critique sur le Plateau et dans le Jura. La multiplication des constructions raréfie son habitat. Ensuite, elle reste victime de persécution, mais aussi de captures par des collectionneurs ou pour du commerce illégal.» Venimeuse, la vipère continue à terroriser. «Il est étonnant de voir quelles craintes continuent à susciter cet animal au comportement pacifique, remarque Jean-Claude Monney. Car la vipère n’attaque pas l’homme. Elle le fuit.» Légendes tenaces Sur les alpages, l’herpétologue voit les légendes se perpétuer. «De nos jours, en Gruyère, quelques gardes-génisses restent persuadés que les vipères tètent les pis des vaches. Or, c’est impossible.» Le biologiste voit deux explications plausibles. «Peut-être qu’un jour une vache s’est couchée sur une vipère et qu’elle s’est fait mordre. Le serpent serait resté accroché au pis.» Autre hypothèse. «Les vipères peuvent entrer dans les écuries. Une d’elles pourrait s’être lovée contre la tétine d’une vache pour en chercher la chaleur.» Source:http://www.lagruyere.ch -
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Soigner par le venin ...
askook a répondu à un(e) sujet de Chance-reptil-virus dans Serpents Venimeux
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En 2010, en utilisant une combinaison de la tomodensitométrie (TDM) et de l’imagerie par résonance magnétique (IRM), les scientifiques Kasper Hansen et Henrik Lauridsen de l’Université d’Aarhus au Danemark ont été en mesure de visualiser les structures entières d’organes internes et les systèmes vasculaires d’un python birman en pleine digestion d’un rat. Sur cette photo, la succession d’images révèle une disparition progressive du corps du rat (avant l’ingestion puis 2, 16, 24, 32, 48, 72 et 132 heures après). Photographie à mi-digestion. Source: http://www.science.gouv.fr
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Saint-Gaudens. Il va pleuvoir des couleuvres en Comminges Ce n'est pas un canular mais une expérience scientifique très sérieuse: le Comminges va accueillir, dans la Garonne un fort lâcher de couleuvres pour une étude. Un arrêté préfectoral va ouvrir une consultation, du 5 octobre au 5 novembre, sur une demande d'autorisation d'introduction de couleuvres vipérines et de couleuvres à colliers dans la vallée de la Garonne. Cette demande concerne trente et une communes qui se trouvent le long du fleuve, une quinzaine pour le Comminges, de Cazères et Lestelle. L'introduction intempestive de serpents pourrait apeurer la population, mais, dans ce cas, il ne s'agit que de relâcher dans le milieu naturel des sujets qui ont été capturés de quelques jours à quelques semaines auparavant, aux mêmes endroits, et qui de toute manière sont inoffensifs pour l'homme. Fabien Aubret, chercheur du CNRS à la station d'écologie de Moulis (Ariège) mène une étude expérimentale sur ces couleuvres afin de comprendre comment elles s'accommodent au contexte de changement climatique «Ce projet mêle travail de terrain (capture marquage et recapture) et expériences en laboratoire sur ce serpent amphibie qui chasse principalement des poissons et échappe aux prédateurs dans l'eau, mais thermorégule et se reproduit sur terre. Les animaux ectothermes amphibies sont d'autant plus vulnérables au changement climatique que leurs fonctions physiologiques de base comme la croissance, la locomotion ou la reproduction sont dépendants de la température de leur environnement. La finalité de cette étude vise à identifier un modèle servant d'indicateur biologique du changement climatique» explique Fabien Aubret. Fort de vingt ans d'expérience avec les reptiles, Fabien Aubret mène ce projet scientifique./ Photo DDM Capture à la main En début d'été, ces couleuvres sont capturées à la main le long des berges des cours d'eau et des gravières puis mises en sacs de toile et dans une boite pour le transport au laboratoire où Fabien et ses étudiants pourront y effectuer plusieurs mesures morphologiques et comportementales. Les serpents sont relâchés sur le lieu de leur capture sauf 20 à 30 femelles gravides qui sont conservées au laboratoire jusqu'à la ponte, avant d'être relâchées. Les œufs sont incubés et les serpenteaux nés à Moulis sont aussi relâchés à l'endroit exact de la capture de leurs mères (données GPS). Entre la Garonne et Moulis, ces couleuvres vont être étudiées sous toutes leurs écailles, et ce suivi méthodique indiquera comment la population animale se comporte globalement face à de nouvelles conditions climatiques. Le chiffre: Une trentaine de femelles conservées. Les animaux sont gardés au laboratoire jusqu'à la ponte des œufs. Ils sont ensuite relâchés là où ils ont été capturés et les serpenteaux issus des œufs seront également relâchés. Chaque femelle pond en moyenne une dizaine d'œufs. Le calcul est vite fait pour savoir combien ce ces serpents seront rendus à la nature. Source: http://www.ladepeche.fr
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