Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

askook

Membres
  • Compteur de contenus

    13 188
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par askook

  1. askook

    Alyte obstetricans

    Le crapaud accoucheur est l'animal de l'année 2013 de Pro Natura Après le lombric et l'oreillard brun, Pro Natura a choisi la crapaud accoucheur comme animal suisse de l'année 2013. L'organisation entend ainsi porter secours à cet amphibien menacé de disparition. Le crapaud accoucheur est l'animal de l'année 2013 pour Pro Natura. Cette espèce d'amphibien est gravement menacée en Suisse. La moitié de la population a disparu au cours des 25 dernières années. En élisant cette espèce, l'organisation veut donner "un coup de projecteur sur la situation préoccupante des amphibiens en Suisse". Elle exige une meilleure sauvegarde des biotopes existants et la reconstruction de zones humides. "Grenouille clochette" La disparition progressive du crapaud accoucheur a pour origine un manque "d'habitats appropriés dans nos paysages asséchés et propres en ordre", a indiqué jeudi Pro Natura dans un communiqué. En Suisse, 14 des 20 espèces d'amphibiens indigènes sont en danger. Le crapaud accoucheur est "une créature discrète", explique Pro Natura. On ne s'aperçoit de sa présence qu'en Cette espèce d'amphibien est très discrète dans la nature. [Axel Birgin - Pro Natura] Cette espèce d'amphibien est très discrète dans la nature. [Axel Birgin - Pro Natura] entendant son chant "qui rappelle le tintement lointain d'une clarine de mouton". En Suisse alémanique, on lui donne d'ailleurs le nom familier de "Glögglifrosch" (grenouille clochette). Cet amphibien mesure 3,5 à 5 centimètres. Ses yeux ont des reflets d'or. Il est le seul parmi les grenouilles, rainettes et crapauds indigènes à s'accoupler sur la terre ferme et à ne pas pondre ses oeufs dans l'eau. Le mâle enroule les cordons d'oeufs autour de ses talons et les porte sur lui pendant trois à six semaines. Manque de points d'eau L'animal vit en Europe occidentale, du Portugal au centre de l'Allemagne. En Suisse, on ne le trouve qu'au nord des Alpes et jusqu'à 1650 m d'altitude. Il se nourrit d'araignées, scarabées, larves de mouches, cloportes, limaces, vers et mille-pattes. Le crapaud accoucheur hiberne d'octobre à mars. Les amphibiens ont besoin de plans d'eau pour vivre, mais "le fameux château d'eau suisse est devenu trop sec", souligne Pro Natura. Les rivières ont été canalisées, les ruisseaux mis sous tuyau, les mares et les étangs asséchés et les prairies humides drainées. Les plans d'eau et les cours d'eau qui s'assèchent périodiquement sont "particulièrement rares" aujourd'hui. Ils sont pourtant nécessaires à beaucoup d'espèces d'amphibiens peu communes, car on n'y trouve pratiquement pas de poissons ou de larves de libellules, qui mangent oeufs et têtards. Source: http://www.rts.ch
  2. Pologne : deux pythons disparaissent d’un zoo dans la nuit du Nouvel an Deux pythons royaux ont été volés d’un zoo de la ville polonaise de Chorzow dans la nuit de la Saint-Sylvestre, ont annoncé les représentants de la police locale et les employés du zoo. A minuit, lorsque tout le pays célébrait la nouvelle année 2013, le voleur a cassé la vitre du terrarium, a pénétré dans le bâtiment, a pris les deux pythons et s’est enfuit. Les employés du terrarium ont découvert la disparition le lendemain matin. Le personnel du zoo estime que le voleur va avoir du mal à vendre les pythons, car ils sont équipés de puces spéciales. Les enquêteurs n'excluent pas le fait que le voleur voulait se procurer un symbole vivant de la nouvelle année, placée sous le signe du serpent d’eau noir. Source: http://french.ruvr.ru
  3. askook

    Liophis poecilogyrus

    Il faut que je fasse partir les BB de 2012, avant de faire rentrer de nouveaux spécimens...
  4. askook

    Ptyas korros

    Superbe!!!! J'adore ce genre d'espèce.... En ce qui concerne la taille, Deuve donne un maximum connu de 230 cm pour un spécimen trouvé au Laos. David et Vogel, quand à eux, donnent une taille moyenne comprise entre 100 et 150 cm pour les spécimens originaires de Sumatra. Voici un article sur Ptyas korros à Bornéo http://rmbr.nus.edu.sg/rbz/biblio/50/50rbz197-198.pdf
  5. askook

    Liophis poecilogyrus

    A la ferme tropicale Spécimen de 2011, né en captivité...
  6. Article: http://www.pensoft.net/J_FILES/1/articles/3588/3588-G-3-layout.pdf
  7. Australie: un enfant de 3 ans en possession de bébés serpents Son nom latin est Pseudonaja textilis, il mesure jusqu'à 2 mètres de long et c'est le plus venimeux du monde après le Taïpan. En Australie, le serpent brun donne généralement des sueurs froides. Mais pas au petit Kyle Cumming, âgé de tout juste trois ans. Le petit habite Townsville, dans le nord du Queensland. Il y a quelques semaines, il est tombé sur des œufs de serpent brun alors qu'il jouait dans son jardin. Kyle les a transportés dans sa chambre et les a déposés dans son armoire. Lundi sa mère a découvert 7 bébés serpents bruns dans une petite boîte. Les petits pensionnaires de l'armoire du petit Kyle. Ces bébés serpents bruns sont des tueurs en puissance. Une morsure de ces petits teigneux aurait pu tuer Kyle, estime le spécialiste des serpents Steve Wilson, car les serpents sont venimeux dès leur naissance. Par chance Kyle les avait oubliés dans son armoire et n'a pas eu l'idée suicidaire de jouer avec eux. Les bébés serpents bruns ont été relâchés dans la nature. Source: http://www.radioaustralia.net.au
  8. Une mygale fouisseuse baptisée en l'honneur de Barack Obama Dans le sud-ouest des Etats-Unis, des chercheurs ont découvert 33 nouvelles espèces de mygales fouisseuses dont l'une d'elle a été baptisée en hommage à Barack Obama, le président des Etats-Unis. Barack Obama avait son espèce de lichen, son poisson, son dinosaure, il a maintenant sa mygale fouisseuse ! Des scientifiques ont en effet annoncé avoir baptisé une nouvelle espèce d'araignée en l'honneur du président des Etats-Unis, connu pour être un grand fan des comics et en particulier de Spiderman. Nommée Aptostichus barackobamai, la mygale fait en réalité partie de 33 nouvelles espèces découvertes dans le sud-ouest des Etats-Unis et appartenant toutes au genre Aptostichus. Aptostichus barackobamai C'est la première fois qu'autant d'espèces de ces araignées endémiques du pays sont identifiées en une fois. Mais Barack Obama n'a pas été le seul à être honoré par les chercheurs de l'Auburn University Museum of Natural History et du Department of Biological Sciences. En effet, d'autres espèces parmi les 33 ont été baptisées Aptostichus edwardabbeyi en hommage à l'écrivain Edward Abbey, Aptostichus bonoi en hommage à Bono, le leader du groupe irlandais U2, Aptostichus pennjillettei en référence à l'illusionniste Penn Jillette, et enfin Aptostichus chavezi, en hommage à l'activiste César Chavez. Si la trouvaille fait surtout parler d'elle pour ces appellations, elle est d'une grande importance puisque avant celle-ci, la famille des mygales fouisseuses comprenait moins de dix espèces connues aux Etats-Unis. Ainsi, le professeur Jason Bond, directeur de l'Auburn University Museum of Natural History, a grandement salué la découverte. "La Californie est connue comme étant un point chaud pour la biodiversité. Bien que cette désignation est basée essentiellement sur la diversité des plantes, la région est aussi clairement très riche dans sa diversité animale", a expliqué cet expert cité par le Daily Mail. Des araignées dénichées dans des milieux très variés "C'est absolument remarquable qu'un grand nombre d'espèces issues d'une région aussi densément peuplée soient restées inconnues. Ceci en dit long sur le fait que nous en savons si peu sur la biodiversité qui nous entoure et que beaucoup d'autres espèces sur la planète attendent d'être découvertes", a t-il ajouté. Les nouvelles espèces ont été collectées dans différents milieux : dans des dunes de sable côtières, dans des déserts, des forêts de chêne et à de hautes altitudes dans la Sierra Nevada. "Ce groupe particulier d'araignées fouisseuses fait partie des plus beaux avec lesquels j'ai travaillé : les espèces ont souvent des rayures tigrées magnifiques sur leur abdomen", a t-il encore précisé. Mais l'araignée Obama n'est pas la favorite de cet expert qui lui préfère une autre baptisée en l'honneur de sa fille Elizabeth. Elle "provient d'un environnement désertique incroyablement extrême près de Barstow en Californie qui est le site d'un cône de cendres volcaniques relativement jeune". "Les araignées fabriquent leurs terriers dans les tubes de lave qui s'étendent depuis le cône - c'est un endroit spectaculaire à visiter mais les espèces sont très difficiles à collecter parce que les araignées construisent des terriers plutôt profonds au milieu des roches", a indiqué le professeur Bond. Source: http://www.maxisciences.com
  9. Des chercheurs américains tirent la sonnette d’alarme : importés sur l’île de Porto Rico comme animaux de compagnie puis échappés dans la nature, des boas constrictors sont en train de s’y reproduire et de coloniser les fragiles écosystèmes locaux. Porto Rico est en proie à une invasion pour le moins préoccupante : celle de boas constrictors. Ces serpents indûment (ou accidentellement) relâchés sur cette île où ils ne vivaient pas à l’état sauvage, commencent en effet à en coloniser les écosystèmes. Une multiplication qui a poussé les scientifiques à tirer la sonnette d'alarme. Pour en savoir plus sur les boas, Bob Reed de l'United States Geological Survey (USGS) et ses collègues ont ainsi mené sur l'île une étude génétique des spécimens présents. "Nous avons appris, en travaillant sur d'autres serpents invasifs, que la compréhension de l'origine de ces populations et la prévention, dès que possible, de leur propagation, sont importantes pour protéger les écosystèmes", a expliqué ce spécialiste cité par LiveScience. Or, mes résultats des analyses indiquent une grande proximité génétique entre individus, répartis sur des zones éloignées les unes des autres. Autrement dit, les quelques spécimens initialement échappés se sont reproduits, et commencent à faire souche à travers toute l'île. Aujourd'hui, ces animaux atteignant 3 mètres et pesant jusqu'à 35 kg, menacent ainsi les équilibres écologiques de Porto Rico. "Une fois que les serpents non indigènes se sont établis sur une grande surface, en particulier dans les zones densément boisées, ils deviennent beaucoup plus difficiles à trouver et presque impossibles à éradiquer", avertit Bob Reed dont l'étude est publiée dans la revue Biological Invasions. D'autant plus que les serpents peuvent se déplacer sur de longues distances, notamment grâce à des camions qui les transportent accidentellement. L'an dernier, pas moins de 150 boas ont été capturés dans la région de Mayagüez, dans l'ouest de Porto Rico. Source: http://www.maxisciences.com
  10. Inculpés pour avoir hébergé un alligator dans leur salon Un couple new-yorkais a été inculpé après la découverte d'un alligator dans son salon, en plus d'armes à feu et de drogue, a annoncé mardi le procureur de Brooklyn à New-York. L'alligator, qui se trouvait dans un grand aquarium, mesurait un peu moins d'un mètre, a précisé le procureur de Brooklyn. La police l'a découvert lors d'une récente perquisition au domicile du couple, un appartement d'une pièce en entresol. Dans cet appartement de Michael Volpe, 32 ans, et Alisa Vope, 25 ans, ils ont également découvert des poings américains, un revolver chargé, un pistolet, des médicaments interdits sans ordonnance dont des comprimés d'oxycodone et du cannabis.Le couple a notamment été inculpé de possession d'armes et de munitions, ainsi que de torture et blessures sur animal. La loi n'autorise pas, sauf exception, à posséder un animal sauvage sans autorisation. Michael Vope risque jusqu'à 7 ans de prison, Alisa Volpe jusqu'à un an. Source:http://www.tdg.ch
  11. askook

    Virus et Bijoux

    Le joaillier italien reprend le dessin de son plastron venimeux pour habiller sa robe d'or blanc immaculé, simplement rehaussé de rubis et d'une opale de feu. Amateur de pièces d'exception tout droit sorties de son imaginaire merveilleux, Roberto Coin se plaît à décliner son nouveau thème dans une nouvelle version ultra-luxe. Le créateur s'est entiché du cobra royal en octobre dernier à l'approche de l'année du serpent. Un animal totem qui n'a eu de cesse d'hanter ses pensées depuis, puisqu'il n'aura fallu que quelques semaines au joaillier italien pour défaire le cobra de sa robe de saphirs et de diamants noirs pour le vêtir d'une monture immaculée en or blanc 18 carats et diamants. Cette mue éclaire et virginale s'accompagne d'un nouvel ornement de rubis, rehaussé au sommet d'une somptueuse opale de feu.
  12. askook

    Virus et Bijoux

    La maison de la Place Vendôme fait revivre le mythe du python Kaa, créé par Rudyard Kipling dans "Le Livre de la Jungle", enroulant le corps sinueux de l'animal autour d'une bague en diamant. L'abeille chez Chaumet, la panthère de Cartier... la relation fusionnelle qu'entretiennent certaines grandes maisons de la Place Vendôme avec leurs animaux fétiches traverse les ans et les époques. Chez Boucheron, l'histoire de la marque est irrémédiablement liée au serpent, et ce depuis les premiers jours où Frédéric Boucheron offrit à sa femme un collier inspiré du reptile. À nouveau célébré en 1968 par une ligne symbolique, puis en septembre dernier lors de la XXVIème Biennale des Antiquaires à travers la pièce Serpent Opalescent, l'animal venimeux se métamorphose aujourd'hui sous la forme du python Kaa, faisant revivre la créature mythique inventée par Rudyard Kipling dans Le Livre de la Jungle. Lové dans une lourde carapace d'or blanc et de diamant, le serpent aux yeux d'émeraude semble étonnamment souple au vu des nombreuses torsades de son corps autour de la bague.
  13. Un nouveau profiteur hors catégorie vient d’être découvert. Le coléoptère Eocorythoderus incredibilis aurait pris l’habitude de squatter des termitières cambodgiennes. Partisan du moindre effort, cet insecte a même développé une poignée dorsale pour se faire porter par ses hôtes ! Quelque part dans le nord-ouest du Cambodge, des termites produisent les champignons dont ils se nourrissent. Les Macrotermes gilvus entretiennent de véritables jardins souterrains de la taille du poing au sein de leurs termitières. Afin d’épargner de lourds efforts à leur progéniture, ces insectes sociaux ont également pris l’habitude de transporter les larves vers ces ressources alimentaires. Cette délicate attention a visiblement provoqué une forme de jalousie chez un petit coléoptère fraîchement découvert. Munetoshi Maruyama du Kyushu University Museum est un spécialiste de ces termites. En analysant 130 jardins, il a eu la surprise de découvrir 10 Eocorythoderus incredibilis qui semblaient fondus dans la masse, se nourrissant au passage des champignons produits. Ces insectes de 3 mm de long se seraient particulièrement bien adaptés à leur environnement d’adoption, au point d’en perdre leurs ailes et de voir leurs yeux réduits au strict minimum. Selon l’article paru dans la revue Zootaxa, ils auraient même développé une poignée sur le dos ! Quelques explications s’imposent. Un coléoptère a développé la poignée de survie Tout d’abord, comment les scarabées ont-ils opéré pour se faire accepter par les termites ? Selon l’auteur, tout reposerait sur une forme de duperie. En effet, les coléoptères seraient parvenus à copier les signaux chimiques émis par leurs hôtes. La technique fonctionnerait bien, mais avec parfois quelques ratés. Plusieurs lésions ont ainsi été observées sur les pattes des Eocorythoderus incredibilis. L’auteur hésite à employer le terme de parasitisme dans le cas présent car, selon lui, les dégâts provoqués par les intrus sont faibles et sans conséquence pour la termitière. Ensuite, Eocorythoderus incredibilis peut se targuer d’être un profiteur hors pair, puisqu’il a également trouvé le moyen de se faire transporter par ses hôtes. Le coléoptère se fond tellement bien dans la masse que les termites ouvriers agissent envers lui comme avec leurs larves. Ils peuvent donc le transporter vers la nourriture après l'avoir saisi, avec ses pièces buccales, par sa poignée dorsale (le chercheur a observé la situation à deux reprises). Le rituel est bien rodé. À l’approche du transporteur, le scarabée replie ses pattes sous son corps, puis il attend d’être arrivé à destination pour bouger à nouveau. Enfin, cette poignée issue de la transformation des élytres serait également un outil de survie. Les termitières de Macrotermes gilvus subissent parfois de véritables attaques de fourmis guerrières Dorylus. Face à la puissance des assaillants, les termites n’auraient pas d'autre choix que de fuir en emportant avec eux leurs larves... et les petits scarabées. Ils auraient donc trouvé comment vivre leur vie sans le moindre effort ! Source: http://www.futura-sciences.com Article: http://www.mapress.com/zootaxa/2012/f/zt03555p088.pdf
  14. Le commerce de peaux de python utilisées dans l'industrie de la mode européenne est susceptible de mettre en danger la survie de l'espèce en Asie du sud-est, selon un rapport publié par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). "Une proportion importante des peaux vendues provient illégalement d'animaux sauvages, au-delà des quotas autorisés, avec l'utilisation de faux permis", affirme Thomas Walle, de l'UICN . Ce commerce, suivi par la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES), concerne un demi-million de peaux chaque année et représente des ventes de l'ordre d'un milliard de dollars (771 millions d'euros) par an, selon le rapport réalisé avec l'aide du Centre international du commerce, une agence de l'ONU et TRAFFIC, un programme commun du World Wide Fund for Nature (WWF) et de l' UICN. D'après le document, les affirmations selon lesquelles plus de 20% des peaux exportées proviennent d'animaux d'élevage ne sont pas "crédibles" car les coûts d'élevage sont supérieurs aux prix de vente des peaux. Le recours à des pythons sauvages met l'espèce en danger car ils sont souvent capturés avant d'avoir eu le temps de se reproduire, selon le rapport. L'Indonésie, la Malaisie et le Vietnam sont les principaux pays fournisseurs d'un commerce qui passe à plus de 70% par Singapour à destination de l'Italie, l'Allemagne et la France. Les auteurs du rapport appellent l'industrie de la mode à mettre en place un système de traçabilité de l'origine des peaux pour que le consommateur sache qu'elles ont une origine légale. Source: http://www.leparisien.fr
  15. askook

    Vipera ursinii

    Chez la vipère d'Orsini : grandir ou se reproduire, il faut choisir La vipère d'Orsini, une espèce rare, protégée et menacée d'extinction en France, possède une stratégie originale de reproduction : elle alterne régulièrement une année de reproduction avec une année au cours de laquelle elle ne se reproduit pas. C'est ce que vient de montrer une équipe de chercheurs du laboratoire Ecologie et évolution (CNRS/UPMC/ENS), du Centre de recherche en écologie expérimentale et predictive (CNRS/ENS) et de Paris Sorbonne Université. Grâce à l'analyse de données fines récoltées pendant trente ans sur le terrain (au Mont Ventoux) et à un modèle mathématique, les chercheurs montrent que cette stratégie est loin d'être désavantageuse. Tout au contraire : elle permet à la vipère d'Orsini d'investir dans une reproduction de qualité sans en payer de coût physiologique et préserver ainsi sa survie. Ces résultats sont publiés en ligne le 23 novembre 2012 sur le site de la revue Functional Ecology. La Vipère d'Orsini est un petit serpent insectivore rare et extrêmement menacé sur le territoire français. Depuis le début des années 1980, une population de Vipère d'Orsini sur le Mont Ventoux fait l'objet d'un suivi scientifique individuel, approfondi et rigoureux. Au total ce sont 160 femelles qui ont été suivies tout au long de leur vie. Ces données ont permis de montrer que, dans cette population, une femelle adulte (qui peut vivre plus de 12 ans) alterne avec une grande régularité les années de reproduction et de non reproduction. Un modèle mathématique a permis de confirmer que la sélection naturelle pouvait effectivement favoriser un comportement alternant ainsi les années de reproduction et les années de croissance. Chez cette espèce, les femelles adultes se reproduisent tous les deux ans. Lors des années de non reproduction, elles stockent des réserves de graisses et investissent leur ressource dans la croissance corporelle qui reste possible tout au long de leur vie et qui influe sur leur fécondité. Plus une vipère est grande, plus elle peut avoir de petits. Au cours d'une année de reproduction, la croissance s'arrête et toutes les ressources acquises sont alors concentrées sur la reproduction. Ainsi le taux de succès de la reproduction est très élevé et l'impact physiologique immédiat sur les mères est réduit. Cette « stratégie » se différencie radicalement du comportement d'autres espèces de serpents vivipares, chez lesquelles les femelles apparaissent très amaigries après la mise-bas : sous l'effet de la reproduction, leurs réserves de graisses « fondent », sans être reconstituées, et ces transformations physiologiques peuvent mettre en jeu leur survie. Au contraire, la stratégie de la Vipère d'Orsini lui permet de produire une portée de qualité sans en subir le « coût ». Le suivi de la condition des femelles avant et après reproduction, de leur croissance corporelle mais aussi de leur taux de survie a permis de comprendre la logique de ce comportement reproducteur particulier qui n'est en rien corrélé, comme on le pense généralement, à des fluctuations environnementales. Ces travaux pourraient permettre d'expliquer de nombreux autres cas de reproduction par intermittence chez d'autres espèces animales et végétales. Ils démontrent aussi l'intérêt de suivis individuels à long terme sur des populations naturelles pour mieux comprendre les mécanismes écologiques et physiologiques qui déterminent la démographie d'une espèce. Source: www2.cnrs.fr Article: http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/1365-2435.12023/pdf
  16. askook

    Heu, ça pique ?

    Tu veux dire "boulengeri"... Son nom vient de George Albert Boulenger (1858 - 1937), herpétologue au British Museum of Natural History à Londres
  17. askook

    Paléontologie amphibienne

    Les larmes d'ichthyostega Les larmes d'ichthyostégaL’ évolution de la vie sur Terre a été petit à petit révélée par des animaux, fossiles ou encore vivants - qui en ont représenté les étapes-clés. Ce film d’ animation de maquette illustre comment, voici trois cents millions d'années, le premier amphibien appelé Ichtyostega , a peut-être quitté l’eau pour la terre.
  18. La société herpétologique de Phoenix aux Etats-unis, une association qui a pour objectif notamment de mieux faire connaître les reptiles, compte parmi ses protégés un alligator de 9 ans très particulier. Mr Stubs, c'est son surnom, n'a plus de queue. Il pourrait être le premier au monde à bénéficier d'une prothèse pour résoudre son handicap. Sans sa queue, Mr Stubs ne sait pas nager. "Son corps tourne dans l'eau sans pouvoir avancer", explique Daniel Marchand, l'une des personnes qui s'occupent de l'animal. Plus embêtant, les alligators ont pour habitude de faire leurs réserves de nourriture dans leur queue pour l'hiver, ce que ne peut plus faire Mr Stubs puisqu'il n'en a plus. "Il faut donc veiller à ce qu'il ne meure pas de faim", ajoute le soigneur. Après avoir ausculté l'animal dans tous les sens, les vétérinaires ont trouvé le moyen de lui greffer une prothèse via l'épine dorsale. Ce qui serait une première mondiale. Une opération coûteuse pour laquelle un appel aux dons a été lancé. Précisons que Mr Stubs n'est pas né sans queue. C'est un de ses congénères, un plus grand alligator, qui a voulu en faire son repas. Car "les alligators sont cannibales", explique Daniel Marchand. Source: www.rtbf.be Vidéo: http://www.rtbf.be/info/etcetera/detail_un-alligator-sans-queue-devrait-etre-le-1er-a-beneficier-d-une-prothese?id=7879851
  19. askook

    Heu, ça pique ?

    Tu n'as pas retrouvé le complément pour reformer un couple?
  20. askook

    Heu, ça pique ?

    Tout est superbe!!!! Psammodynastes pulverulentus, toujours le même spécimen?
  21. Ultimate White sided Photo de Colby pour illustration. Source: http://market.kingsnake.com.
  22. Vivement le changement de couleur... Elle mange? C'est la question qu'il faut poser, vu que beaucoup sont vendus, sans être démarrés..
  23. askook

    ma petite affinis

    Superbe!!! Pour moi, ce sera l'année prochaine, l'acquisition de Pituophis catenifer affinis...
  24. Lonesome George" n'était peut-être pas le dernier descendant de son espèce La tortue "Lonesome George" considérée comme dernier spécimen de son espèce a trouvé la mort cet été sans laisser d'héritier. Toutefois, son patrimoine génétique a été retrouvé dans d'autres espèces hybrides.
 Lorsque Lonesome George a disparu l'été dernier, il a emporté avec lui l’existence entière des Chelonoidis abingdonii, une des dix espèces de tortues géantes endémiques de l’archipel équatorien des îles Galapagos. En effet, Lonesome George, nommée d'après l'acteur américain George Gobel, était depuis 1972, l’hôte du Parc national de la région. Malgré toutes les initiatives visant à l’accoupler avec des femelles d’une sous-espèce génétiquement proche à la sienne, la tortue est morte à l’âge de cent ans sans laisser le moindre héritier. Elle est ainsi devenue un symbole de la lutte pour la protection et la conservation d’un écosystème fragile dont chacun est responsable. Toutefois, il semblerait que le destin des Chelonoidis abingdonii, rangés depuis peu au rang des organismes éteints, ait récemment connu un revirement de situation. Des chercheurs de l’Université de Yale affirment en effet avoir découvert de potentiels "descendants" de Lonesome George. Pour en arriver à une telle conclusion, l’équipe a analysé des échantillons d’ADN prélevés auprès d’une population de 1.667 tortues, située sur l’île Isabela de l’archipel dans la région du volcan Wolf. La région encore très primitive est, à bien des égards, encore très peu connue. Des potentiels descendants de Lonesome George Les résultats, publiés dans la revue Biological Conservation, mettent en évidence l’existence de dix-sept spécimens hybrides dont le patrimoine génétique serait l’héritage d’un ancêtre appartenant à l’espèce des Chelonoidis abingdonii. Parmi ceux-ci, trois sont des mâles, neuf sont des femelles et cinq sont des jeunes. La présence d’organismes juvéniles est ainsi un réel espoir pour les spécialistes qui soupçonnent la présence sur l’île d’un éventuel spécimen appartenant à part entière à l’espèce. "Les parents de certains adultes peuvent également être encore en vie aujourd'hui" assure Danielle Edwards, chercheur à l’Université de Yale. Ces spécimens de tortues géantes peuvent en effet vivre jusqu’à deux cent ans permettant ainsi la co-existence de plusieurs générations. La zone dans laquelle ont été identifiés les hybrides s’étend sur un rayon d’environ cinquante kilomètres. Selon les scientifiques, ce sont les courants océaniques qui auraient porté les Chelonoidis abingdonii à s’étendre au delà de leur région d’origine : l’île de Pinta. Encore plus probables, les navires de chasse et de guerre du 19e siècle auraient pu transporter avec leur équipage des tortues vivantes avant de les abandonner sur d’autres territoires. Ces spécimens, capables de survivre jusqu'à 12 mois sans eau ni nourriture, étaient à l’époque pour les marins une source de viande utile pour éviter le scorbut sur les ​​longs voyages en mer. Toutefois, au cours de conflits entre deux flottes, les tortues géantes lourdes entre 90 et 270 kilogrammes étaient souvent jetées à la mer pour alléger la charge des navires. Une nouvelle vie après l’extinction ? La nouvelle découverte représente un véritable espoir de sauver l’espèce de Lonesome George. Grâce à une subvention délivrée par le Comité pour la recherche et la conservation du National Geographic Society, les chercheurs envisagent de revenir au printemps afin de recueillir les individus hybrides et commencer un programme d’élevage visant à réintroduire les Chelonoidis abingdonii. "Le mot 'Extinction' signifie généralement le point de non retour" écrit dans un communiqué Adalgisa Caccone, auteur principale de l’étude. Elle conclut "Pourtant, les nouvelles technologies peuvent parfois donner de l’espoir en contestant le caractère irrévocable de ce concept". Source: http://www.maxisciences.com
×
×
  • Créer...