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Rétention de sperme et fécondation chez Testudo hermanni hermanni Les tortues ont une sexualité particulière : elles s'accouplent à de multiples partenaires et peuvent conserver leur sperme pendant des années avant de l'utiliser. Pour déterminer comment la semence de l'un prédomine sur celle de l'autre, des scientifiques ont soumis des bébés tortue à des tests de paternité. Leurs recherche sont détaillées dans une étude publiée vendredi 9 novembre dans la revue Behavioral Ecology and Sociobiology (étude en anglais). Les scientifiques pensaient auparavant l'ordre dans lequel leur sperme était utilisé était inverse à celui dans lequel il s'étaient accouplés à la femelle : autrement dit, le dernier à s'accoupler serait le premier à devenir papa. Les tests sur des spécimens issus de 16 groupes d'oeufs différents, suggèrent une logique différente : au contraire, les femelles pourraient utiliser en priorité le sperme qui se "périmerait" le plus vite explique les chercheurs à la BBC (article en anglais). La capacité à stocker le sperme des partenaires est lié à la faible densité de l'espèce sur un territoire donné, pensent les chercheurs. Ainsi, les tortues de Hermann, sur lesquelles ont été effectués les tests, sont très dispersées sur leur territoire d'origine. Pour elles, "ce n'est pas facile de trouver un partenaire", résume le docteur Sara Fratini, auteur de l'étude. Source: www.francetvinfo.fr Article: http://link.springer.com/article/10.1007%2Fs00265-012-1447-8 Lien: http://www.bbc.co.uk/nature/20318565
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Un mille-pattes bat le record du plus grand nombre de pattes Le spécimen avec le plus de pattes au monde vient d’être répertorié. Il s’agit d’un mille-pattes doté d’une moyenne de 600 annexes et d'un maximum de 750, selon une nouvelle étude. lllacme plenipes est un mille-pattes blanc qui vit dans une zone réduite du nord de la Californie. Bien que cet organisme soit extrêmement petit, son corps variant entre un et trois centimètres de long, il présente un nombre impressionnant de pattes : en moyenne 600, voire 750 pour certains spécimens ! Cette caractéristique physique lui vaut ainsi de détenir le record du monde dans cette catégorie. Le mille-pattes a été décrit pour la première fois en 1928. Toutefois, il faut attendre 2006 pour que le spécimen attire de nouveau l’intérêt des chercheurs. Pour en arriver là, un entomologiste américain, Paul Marek et ses collègues ont commencé par étudier les créatures qui s’accrochent aux rochers de grès entre 10 et 15 centimètres sous la terre humide. Sur une période de trois ans, les chercheurs ont trouvé un total de 17 spécimens à différents stades de leur cycle de vie, dont lllacme plenipes. Si les scientifiques le pensaient depuis tout ce temps éteint, le mille-pattes lui est bien en vie. Il est très rare de le trouver, celui-ci vivant exclusivement dans une zone de forêts de chênes, couvrant 4,5 kilomètres carrés, près de Oakland et Berkeley. Dans cet environnement, l'arthropode utilise ses annexes non pas pour courir mais pour creuser des tunnels dans le sol et s’agripper aux rochers. "Une anatomie étonnamment complexe" Récemment, l'anatomie de la minuscule créature a été analysée en détail dans un article publié dans la revue Zookeys. Les chercheurs se disent impressionnés par son incroyable complexité. Paul Marek, auteur principal de l’étude déclare à LiveScience : "Il ressemble fondamentalement à un fil. Son aspect général paraît au premier regard dénué de tout intérêt, mais si on le regarde avec un microscope électronique à balayage on découvre une anatomie étonnamment complexe". Aux extrémités des appendices, les chercheurs ont observé des petites griffes, utiles pour creuser et déplacer les particules du sol. Le mille-pattes possède par ailleurs un appareil buccal rudimentaire et des antennes qui assurent à elles seules les fonctions sensorielles. Détritivore, il se fait une vie souterraine dans l’humus humide et riche en débris organiques. Néanmoins, selon les chercheurs, lllacme plenipes est actuellement menacé par le développement urbain de la région qui détruit peu à peu son territoire et par le changement climatique qui empêche l'humidité du sol. Source: http://www.maxisciences.com Vidéo: http://www.maxisciences.com/mille-pattes/un-mille-pattes-bat-le-record-du-plus-grand-nombre-de-pattes_art27537.html Article: http://www.pensoft.net/journal_home_page.php?journal_id=1&page=article&SESID=688939c17333d39a615a144c585e62e8&type=show&article_id=3831&issue_id=332&ttar=da&search=lllacme%20plenipes&IN=&TIP=&Image100_x=16&Image100_y=6&
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Ce Lamprophis capensis "scaleless", d'origine sauvage, a été trouvé par un particulier dans son jardin. Il a été recueilli, puis relâché dans la nature quelques jours plus tard. Cette découverte est survenu en Afrique du Sud dans la province du Limpopo. Source:Source: http://www.facebook.com/pages/JURASSIK-VAR/
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Les criquets montent le son pour couvrir le bruit de la circulation Célèbres pour leur "chant", les criquets ajustent le volume de leur mélodie pour se faire entendre lorsqu'ils sont confrontés au vacarme de la circulation, selon une étude publiée mercredi dans la revue de la Société britannique d'écologie, Functional Ecology. Si de précédentes études avaient déjà repéré l'impact d'un environnement bruyant dans les sons émis par des oiseaux, des baleines ou encore des grenouilles, c'est la première fois que des chercheurs montrent que le bruit causé par l'homme affecte des populations d'insectes, souligne la Société britannique d'écologie dans un communiqué. Une équipe de biologistes de l'Université de Bielefeld (Allemagne), conduite par Ulrike Lampe, a capturé 188 spécimens mâles de "criquets mélodieux" (Chorthippus biguttulus), une espèce de criquet au chant métallique caractéristique. La moitié ont été attrapés dans des endroits calmes, et l'autre moitié près de routes très fréquentées. Le "chant" des criquets mélodieux, ou stridulation, est en fait le son produit par le frottement de leurs pattes postérieures sur leurs ailes antérieures. Sa signification est avant tout sexuelle, les mâles attirant ainsi les femelles. Les chercheurs ont étudié en laboratoire les différences entre les chants des deux groupes d'insectes, encouragés à chanter par la présence d'une femelle. L'analyse de près de 1.000 enregistrements de chants nuptiaux a révélé que les criquets vivant au bord des routes bruyantes produisaient des sons différents de leurs congénères habitués au calme. "Nous avons constaté que dans les habitats bruyants, les criquets augmentaient le volume de la partie basse fréquence de leur chant, ce qui est logique puisque le bruit de la circulation peut masquer les signaux dans cette partie du spectre" sonore, a expliqué Ulrike Lampe. Selon les chercheurs, ces résultats sont importants parce que le bruit de la circulation pourrait bouleverser le système de reproduction des criquets. "Il pourrait empêcher les femelles d'entendre correctement les chants nuptiaux des mâles, les empêcher de reconnaître les mâles de leur espèce, ou encore nuire à leur capacité d'évaluer l'attractivité du mâle d'après son chant", a indiqué la biologiste. Le criquet mélodieux est une espèce commune en Europe centrale. D'environ 1,5 à 2 cm de long, il est de couleur très variable, du vert et brun au rouge et violet. Source:www.20minutes.fr Article: http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/1365-2435.12000/pdf
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Le réchauffement menace le lézard pyrénéen de Bonnal Les Pyrénées abritent trois espèces de lézards endémiques que le réchauffement climatique global met en péril. Menacées d'extinction, elles sont les sujets d'un plan national d'actions qui sera présenté dès le trimestre prochain. Zoom sur l'une d'elles : le lézard de Bonnal. Le lézard pyrénéen de Bonnal est un reptile rupicole ©Gilles Pottier C’est un petit lézard qui ne paie pas de mine. Plutôt gris brun, avec des petites nuances métallisées, or, bronze, platine, explique Gilles Pottier de l’association Nature Midi-Pyrénées. Il ressemble assez au lézard des murailles. Son corps mesure entre cinq et six centimètres, sa queue atteint le double. » De la tête à la queue, l’adulte atteint donc une longueur de quinze centimètres. Le lézard pyrénéen de Bonnal hiberne entre 6 à 7 mois S’il ressemble au lézard des murailles, le lézard de Bonnal n’a pas la même vie que son cousin des plaines. A son encontre, c’est un montagnard. L’espèce vit à l’étage alpin des Pyrénées, en haute et moyenne altitude. L'homme ne la connaît que depuis 1922, année où elle fut découverte par Jean-Louis Bonnal sur les rives du lac Bleu de Bigorre. C’est une espèce endémique du pic du Midi d’Ossau dans les Pyrénées-Atlantiques au massif des Encantats dans la province de Lleida en Catalogne. Si la plupart des populations de ce petit lézard vit au dessus de 2000 mètres, certaines prennent plus ou moins d’autres hauteurs. « Nous en trouvons au cirque de Gavarnie à 1550 mètres, mais ces populations restent anecdotiques. » Certains lézards de Bonnal ne s’effraient pas de franchir les 3000 mètres d’altitude. Ils se débrouillent pour ne point y geler. En fait l’hiver, les lézards pyrénéens hibernent. Entre six et sept mois d’ailleurs pour échapper aux températures glaciales, ils font le gros dos sous quelques mètres de neige qui les protègent du gel. Comme les autres reptiles, les batraciens ou les poissons, les lézards sont des animaux ectothermes ou plus simplement à sang froid. Leur température corporelle et leurs fonctions internes dépendent de la température extérieure. « Lorsque le froid s’installe sur le massif, ils se contentent de laisser leur température corporelle baisser, leurs fonctions vitales sont au ralenti. Ils dépensent très peu d’énergie pendant leur hibernation » explique Gilles Pottier. Le lézard pond entre entre trois et quatre œufs Le printemps sonne la course à la reproduction. Les lézards de Bonnal ont peu de temps pour assurer la survie de leur espèce. Au fur et à mesure que la neige fond sur les montagnes, les populations se réveillent. Et les individus partent à la recherche de leurs partenaires. La reproduction se déroule entre mai et juin. Les femelles pondent leurs œufs début juillet qui vont éclore en août. « Elles déposent leurs trois ou quatre œufs sous des pierres bien orientées, sur des sols bien drainés, poursuit Gilles Pottier. Le lieu de ponte ne doit pas être trop chaud, ou les œufs vont cuire pour devenir durs ! Ni trop humide où ils risquent de pourrir ! » Et l’herpétologue d’ajouter : « ces lézards seraient susceptibles de se reproduire à l’automne parfois. Mais faute de températures optimales pour l’incubation et la naissance, les femelles seraient capables de garder les spermatozoïdes en elles. Et la fécondation n’interviendrait qu’au printemps suivant. Comme la vipère aspic. » Les invertébrés pour toute nourriture A leur naissance, les petits lézards sont des adultes miniatures. Capables de se débrouiller seuls. Ils ont été élevés à bonne enseigne puisque ni leur père ni leur mère n’ont veillé à leur incubation. Les tout jeunes ne pèsent même pas un gramme, leur corps long de deux à trois centimètres. Prédateurs ils le sont aussitôt pour se nourrir. Mouches, criquets, guêpes, chenilles voire papillons, les lézards de Bonnal aiment les invertébrés. « Ils chassent un peu comme les félins. Ils s’approchent lentement de leurs proies avec une gestuelle un peu mécanique. Puis ils fondent sur elles dès qu’ils sont assez près. Ces reptiles sont très opportunistes : ils font des festins d’invertébrés quand ils le peuvent. Ectothermes, les lézards ont besoin de chaleur minimum pour que leurs fonctions physiologiques fonctionnent. Leur digestion aussi : s’il fait trop froid, ils ne pourront pas digérer leur proie et la vomiront. Autrement cette proie dans leur organisme va pourrir. » Le réchauffement climatique menace les trois espèces de lézards pyrénéens Comme le lézard du Val d’Aran et le lézard d’Aurelio, le lézard de Bonnal est une espèce à part entière. Toutes trois endémiques donc des Pyrénées, elles ne vivent nulle part ailleurs. Et toutes trois sont menacées. « D’abord par le réchauffement climatique global, se désole Gilles Pottier. Ces trois espèces sont apparues voilà quatre millions d’années environ. Elles ont déjà supporté des changements climatiques mais ces changements n’ont pas été aussi rapides que celui que nous connaissons aujourd’hui. » Pour échapper au réchauffement actuel de leurs habitats, certains lézards remontent. Jusqu’à se retrouver coincés à des sommets comme celui du Pic de Montaigu. Or si les animaux grimpent vers de plus hautes altitudes, la végétation aussi et le domaine alpin tend à disparaître. Trop vite peut-être pour que les lézards pyrénéens aient le temps de s’adapter à un nouvel écosystème. Les spécialistes craignent à terme leur extinction. Sans oublier que le réchauffement climatique va entraîner une pression plus importante des prédations et des agents pathogènes. : « Le lézard de Bonnal a une longue espérance de vie : jusqu’à 17 ans pour certains. Parce qu’il vit dans un milieu alpin où la prédation et les agents pathogènes sont supportables. Mais une température plus haute, et il devra affronter une pression plus importante de ces deux facteurs. » Un plan national d'actions concerne les trois lézards endémiques des Pyrénées Enfin une autre menace plane sur les trois espèces pyrénéennes : la modification ou la destruction de leurs habitats liés aux activités humaines : routes ou pistes, urbanisation... Aussi pour conjurer ces mauvaises fortunes, la France concocte un plan national d’actions pour assurer la survie des trois espèces de lézards pyrénéens. Le projet de ce plan a été soumis à une consultation publique du 15 juillet au 15 septembre derniers. « Il devrait être finalisé d’ici le début de l’année prochaine, estime Jacques Hyppolite de la Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (Dreal) Midi-Pyrénées qui pilote ce plan. Nous le présenterons à tous les acteurs concernés au cours du premier trimestre 2013. » « Contrairement à d’autres espèces, les lézards pyrénéens sont sédentaires. Ils ne se déplacent pas. Leurs populations restent isolées entre deux vallons rappelle Gilles Pottier. Ce plan sera un peu une vigie écologique. » Si une population de lézard de Bonnal s’éteint localement, elle sera perdue à jamais. Source: http://www.xoriburu.info
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Soigner par le venin ...
askook a répondu à un(e) sujet de Chance-reptil-virus dans Serpents Venimeux
Du venin de crotale pour aider à traiter les cancers Une toxine contenue dans le venin de crotale s’est révélée efficace dans le traitement de cellules cancérigènes. C’est le résultat d’une étude réalisée à l’Institut Butantan, à São Paulo. Les tests, qui ont utilisé de la crotamine, ont été menés sur des souris atteintes de cancer de la peau. L’expérience a permis d’augmenter la survie de l’animal de 70%. La toxine a aussi retardé le développement de la tumeur et, dans certains cas, elle a même inhibé sa croissance. D’après la généticienne en chef du projet, Irina Kerkis, la recherche commencée en 2004 a constaté que la crotamine se montre plus efficace que d’autres drogues car elle ne présente pas les mêmes effets collatéraux. « La crotamine est soluble dans différents solvants, n’entraine pas de réaction allergique et n’interfère pas dans l’immunité », explique-t-il. La crotamine n’affecte pas les cellules normales, mais tue les cancérigènes. « L’autre avantage est qu’elle marque les cellules cancéreuses, ce qui peut servir à identifier celles qui sont affectées « , ajoute Irina. La chercheuse explique que la substance a déjà été brevetée au Brésil. Après les tests, la drogue sera administrée à des humains. « La drogue peut être injectée et reste 24 heures dans la cellule, ce qui facilite le traitement pour le patient « . L’implant sous-cutané est une autre façon d’utiliser le médicament, par lequel des doses quotidiennes pourront être libérées dans l’organisme. Avant d’être testée sur les humains, les chercheurs travaillent à la création de crotamine synthétique. « A partir de là, nous pourrons commencer les tests cliniques si tous les résultats sont positifs. Nous pouvons obtenir un médicament pour le mélanome ou pour d’autres types de cancer d’ici cinq ans ». Source: www.greenetvert.fr -
Environ 600 cobras vivants, dont le sang et la chair sont censés augmenter l'énergie et le potentiel sexuel selon la médecine traditionnelle, ont été saisis lundi en Thaïlande. Alertés par un informateur, les douanes ont mené une opération contre un camion dans la province de Prachuap Khiri Khan, dans le sud du pays. A l'intérieur ont été trouvées des dizaines de caisses qui contenaient elles-même des filets laissant les animaux respirer. «Il y avait environ cinq cobras par filet», a précisé un responsable du département des douanes. Deux hommes arrêtés lors de cette opération risquent dix ans de prison. En raison de la dangerosité des reptiles, les douanes n'ont pas encore pu les compter précisément. La valeur des cobras, qui auraient été destinés aux pays voisins, est estimée à environ 500.000 bahts (environ 20'000 francs), selon un communiqué des douanes. Il y a trois espèces de cobras en Thaïlande et si aucune n'est en danger, leur commerce est interdit par la Convention sur le commerce international des espèces sauvages menacées d'extinction (CITES). http://www.20min.ch
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Faits divers concernant les serpents venimeux
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Serpents Venimeux
Elle tombe dans un nid de serpents à sonnettes en cherchant un signal réseau Une jeune fille a chuté dans un nid de serpents à sonnettes en cherchant un signal réseau ! Cette jeune californienne de 16 ans a du avoir la frousse de sa vie. Elle a en effet été mordue pas moins de 6 fois par un serpent à sonnettes adulte, et par 5 « bébés » serpents après être tombé dans son nid… pour avoir tenté de capter du réseau pour son téléphone. Tête en l’air, la jeune fille était alors plus préoccupée à voir les barres de signal de son smartphone s’aligner plutôt que de faire attention où elle marchait. La scène s’est déroulée dans la maison de son oncle : Vera Oliphant, c’est le nom de cette jeune fille, cherchait alors à apeller sa mère. Elle avoue n’avoir vu les serpents qu’une fois qu’ils l’aient mordu. Conduite à l’hôpital, elle aura passé 4 heures en soins intensifs, il lui aurait été administré l’équivalent de 24 doses d’anti-venin. Rien que ça. Moralité : toujours faire attention où l’on met les pieds. Ca peut sembler bête, et pourtant. Source: http://www.gizmodo.fr Unfortunately your browser does not support IFrames. -
L'essai n' a pas été concluant. Trop de variations de température entre les étages, gestion difficile du taux d'hygrométrie, pas assez grand... L'incubateur a donc servi deux semaines, puis j'ai sorti de sa retraite mon vieil incubateur fait maison. Je le connais et je le maîtrise parfaitement. Le lucky reptile 2 a été revendu...
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retour arras (python brongersmai)
askook a répondu à un(e) sujet de Croc'N Food dans Vos P'tits Virus
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retour arras (python brongersmai)
askook a répondu à un(e) sujet de Croc'N Food dans Vos P'tits Virus
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retour arras (python brongersmai)
askook a répondu à un(e) sujet de Croc'N Food dans Vos P'tits Virus
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Le crocodile, un animal ultra-sensible
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
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C’est la découverte inattendue de deux chercheurs de l’université Vanderbilt, aux Etats-Unis. L’extérieur et l’intérieur des mâchoires sont couverts de minuscules dômes renfermant des capteurs de pression et de vibration dix fois plus sensibles que l’extrémité d’un doigt humain TRIJUMEAU. Ce détail anatomique du crocodile était connu depuis 1895 : de toute petites excroissances en forme de dôme, d’un millimètre de diamètre, couvrent le museau et surtout l’extérieur et l’intérieur des mâchoires du reptile. Mais jusque-là, personne n’avait su expliquer à quoi elles pouvaient bien servir. Duncan Leitch et Ken Catania, respectivement étudiant chercheur et professeur en biologie spécialiste en neurosciences à l’université Vanderbilt à Nashville, aux Etats-Unis, ont trouvé. Ils viennent de publier les résultats de leurs travaux dans The Journal of Experimental Biology: il s’agit de capteurs sensoriels ultra-sensibles. Les universitaires ont mené leurs études sur dix-huit alligators d’Amérique et quatre crocodiles du Nil. En découpant les protubérances, ils ont trouvé tout un réseau de terminaisons nerveuses. Il s’agit d’une ramification du nerf trijumeau, lequel est chargé de transmettre au cerveau les informations sur les sensations éprouvées par l’individu. Une réaction à une pression de 78 millionièmes de Newton Chacune des mâchoires du crocodile dispose de son propre réseau de terminaisons, que les chercheurs qualifient d’« organe sensoriel tégumentaire », un tégument étant un tissu faisant l’interface entre l’extérieur et l’intérieur d’un organisme. VON FRAY. En observant au microscope, les chercheurs ont identifié deux types de terminaison nerveuse à l’intérieur du dôme. D’un côté des corpuscules de Pacini, qui sont des récepteurs sensibles à des pressions et des vibrations, de l’autre des disques de Merkel, sensibles à une pression localisée, comme pour l’extrémité des doigts. Leitch a testé ces mécanorécepteurs avec de filaments de Von Fray, un genre de brosse en fils de nylon servant habituellement à déterminer à partir de quelle force exercée on déclenche un réflexe de retrait (de la patte d’un animal par exemple). Il s’est alors rendu compte que ces fameux capteurs sous-cutanés du crocodile pouvaient réagir dès une pression de 78 millionièmes de Newton. Ce qui en fait des organes dix fois plus sensibles que la zone la plus sensible d’un doigt humain ! OEUFS. Mais à quoi peuvent-ils bien servir ? Duncan Leitch pense qu’il s’agit de véritables détecteurs, qui permettent à l’animal de repérer avec une extrême rapidité une proie aux vibrations qu’elle provoque dans l’eau. Et donc de les attraper tout aussi rapidement, en 20 millisecondes. Mais ils sont également très utiles aux femelles: particulièrement concentrée au niveau des mâchoires (4.000 dômes), cette ultra-sensibilité leur donne la faculté de saisir et de transporter leurs œufs dans leur gueule sans les briser. En revanche, un mystère demeure : les alligators disposent de ces récepteurs sensoriels uniquement au niveau de la tête et des mâchoires quand le crocodile en a partout sur le corps. Ce sera l’objet de futures recherches. Source: http://sciencesetavenir.nouvelobs.com
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Les dragons de Komodo laissent leurs femelles se tuer à la tâche Les dragons de Komodo femelles vivent deux fois moins longtemps que les mâles. En cause, l'énorme effort nécessaire à ces dames pour creuser un nid à l’échelle des plus gros lézards de la planète, ainsi que les longs mois de privation qu'impliquent la garde des œufs. Cette perte d'énergie explique aussi pourquoi les mâles sont plus imposants. Le dragon de Komodo n’a jamais eu l’air particulièrement sympathique, et ce n’est pas les révélations sur sa vie conjugale qui vont améliorer les choses. Une équipe de l’université de Melbourne a en effet publié dans le journal PLoS ONE l’atrocité vérité : les femelles vivent deux fois moins longtemps que les mâles, épuisées qu’elles sont par les tâches "ménagères". Les femelles dragons de Komodo doivent en effet creuser d’importants terriers pour abriter les œufs et garder ces derniers pendant les six mois d’incubation nécessaires. Quand on sait que ces animaux peuvent atteindre trois mètres de long et peser 90 kilos, on imagine l’étendue des travaux que ces dames doivent réaliser à elles seules. Pour arriver à cette conclusion, l’équipe a étudié pendant huit ans une population de 400 dragons répartis sur quatre iles de l’est de l’Indonésie, leur seul habitat naturel. Elle s’est particulièrement intéressée à la croissance et à la longévité des reptiles qu’elle a marqués. Il faut dire que ces animaux continuent de croitre jusqu’à leur mort, même si généralement ils ne grandissent plus beaucoup passé trente ans. Les chercheurs sont alors tombés sur un résultat édifiant. Les mâles vivent en moyenne une soixantaine d’années contre seulement 32 ans pour les femelles. Une découverte qui soulève des inquiétudes pour cette espèce menacée. Mais les mâles se sont aussi avérés plus imposants avec une longueur moyenne de 1,60 mètre et un poids de 65 kilos, contre 1,20 mètre et 22 kilos pour les femelles. Un choix stratégique "Les différences basées sur le sexe en matière de taille semblent être liées à l’énorme quantité d’énergie que les femelles dépensent pour produire des œufs ainsi que pour construire et défendre leurs nids, explique Tim Jessop du département de zoologie de l’université de Melbourne. Ces phénomènes peuvent durer jusqu’à six mois pendant lesquelles les femelles sont réduites à jeûner, ce qui leur fait perdre beaucoup de poids et détériore leur santé. Mâles et femelles ont la même taille à la naissance et ce jusqu’à ce qu’ils atteignent leur maturité sexuelle vers sept ans. A partir de là les femelles grandissent plus lentement, deviennent plus petites que les mâles et meurent plus jeunes." Ces résultats peuvent sembler étranges pour l’homme quand l’espérance de vie des hommes et celle des femmes en Australie ne diffèrent que de cinq ans. Mais chaque espèce a différentes stratégies pour transmettre leurs gènes. Par exemple, l’homme investi beaucoup d‘énergie pour peu d’enfants car c’est très exigeant. Les insectes par contre produisent des milliers d’enfants dont ils ne s’occupent pas", ajoute le chercheur. Source:http://www.maxisciences.com Article: http://www.plosone.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0045398
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Faits divers concernant les ophidiens
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
Un Américain a tabassé sa compagne avec un python Un résident de l'État américain du Massachusetts a battu sa compagne avec un python, qui était son animal domestique. Un conflit a eu lieu entre Keith Paro âgé de 34 ans et sa petite amie, l'homme a sorti le python de sa cage, frappant avec l'animal la jeune femme à plusieurs reprises, qui prenait un bain chaud. Ensuite Paro a jeté le serpent dans l'eau. A la suite de ce qui s'est passé, le python a succombé à ses blessures. La femme a subi quelques contusions. L'homme est accusé de l'attaque, de la menace physique, de la destruction intentionnelle de biens et de la cruauté envers les animaux. Source: http://french.ruvr.ru/ -
Des grenouilles vendues vivantes et sans peu au Japon (Vidéo)
askook a posté un sujet dans Amphibiens
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