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Tout ce qui a été posté par askook

  1. Une nouvelle espèce de grenouille à trois doigts, endémique de la forêt tropicale atlantique, au sud du Brésil a récemment fait l'objet d'une étude dans la revue Herpertologica. Il y a plus de cinq ans, au hasard d'une randonnée organisée pour son anniversaire, le biologiste brésilien Michel Garey a fait la découverte d'un nouveau spécimen de grenouille dans une réserve protégée de la forêt tropicale atlantique, au sud du Brésil. "C'était le 14 février 2007 (...) On était avec deux amis au sommet d'une colline de la réserve quand on a vu cette petite grenouille à trois doigts seulement" raconte le chercheur aux journalistes. Il faut toutefois attendre juin 2012 pour que l'espèce soit officiellement reconnue comme nouvelle et que la trouvaille fasse l'objet d'une publication dans la revue Herpertologica. "A l'époque, je faisais une étude sur l'environnement et je me suis dit que cela pouvait attendre, puisque aucun expert en grenouilles n'aurait accès à la réserve" justifie le spécialiste. Cité par l'AFP, il poursuit : "depuis le début 2011, j'ai mis 18 mois à collecter sept de ces nouvelles grenouilles, à aller dans des musées et à les comparer avec d'autres espèces, à confirmer qu'elles étaient nouvelles et à rédiger mon article". La petite grenouille, baptisée Brachycephalus tridactylus se caractérise par l'absence d'un quatrième doigt aux pattes arrières. Son corps, long d'un centimètre et demi au maximum, est presque entièrement orange parsemé de petites taches rondes de couleur olivâtre. Pour l'heure, il est difficile de savoir combien de ces amphibiens peuplent la réserve de la forêt tropicale atlantique. Selon Michel Garey, de nouveaux travaux de recherche devraient être menés dans le futur afin de répertorier et estimer l'importance de cette population. Brachycephalus tridactylus fait partie des 43 espèces d'amphibiens (grenouilles, crapauds et salamandres) inventoriées dans cet espace de 2.253 hectares. A plus grande échelle, 950 espèces d'amphibiens ont été décrites au Brésil et près de 6.700 dans le monde entier. Cette grande famille est néanmoins de plus en plus menacée par la pollution et l'apparition d'une maladie fongicide infectieuse liée au changement climatique. Actuellement, à l'échelle mondiale, un tiers des espèces d'amphibiens sont menacées de disparaitre. Quelque 120 d'entre elles auraient même complètement disparues depuis 1980. Source: www.maxisciences.com
  2. The Skull of the Round Island Boa, Casarea dussumieri Schlegel, Based on High-Resolution X6Ray Computed Tomography Journal of morphology 268: 371-384 (2007) Jessica Anderson Maisanp & Olivier Rieppel http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/jmor.10519/pdf
  3. The Skull of the Round Island Boa, Casarea dussumieri Schlegel, Based on High-Resolution X6Ray Computed Tomography
  4. Article: http://www.pensoft.net/journals/zookeys/article/3500/revision-cladistic-analysis-and-biogeography-of-typhochlaena-c-l-koch-1850-pachistopelma-pocock-1901-and-iridopelma-poco
  5. askook

    Casarea dussumieri

    Voilà à quoi ressemble ce serpent: Photos pour illustration. Source: http://www.captivebredreptileforums.co.uk
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    Ctenotus ora

    Des scientifiques de Sydney ont annoncé la découverte d'une nouvelle espèce de lézard qui lutte pour survivre parmi les dunes de sable à l'extérieur de Perth en Australie Occidentale (Ouest). La découverte du reptile est survenue lors de recherches au sud de la ville visant à déterminer le niveau de diversité biologique de l'Australie du sud-ouest. Ctenotus ora mesure à peine six centimètres (deux pouces), ce scinque marron et blanc a été décrit Kay et Keogh en 2012. Il vit près de Perth en Australie parmi les dunes de sable. Ctenotus ora, un nouveau scinque découvert en Australie et déjà menacé (Credit : AFP) Menacés ? L'urbanisation qui supprime son écosystème en bétonnant petit à petit, est une menace pour ce petit lézard : les auteurs de la découverte craignent que cela lui soit fatal et pensent que ce n'est qu'une question de temps avant que les scinques des plaines côtières (Ctenotus ora) ne disparaissent. Geoffrey Kay, un écologiste de l'Université nationale australienne qui a trouvé le lézard avec son collègue Scott Keogh nous parle de ce nouveau reptile : " La découverte d'une nouvelle espèce est un évènement considérable dans la science, trouver quelque chose qu'on avait jusqu'à présent pas détecté, si près d'une des plus grandes villes du pays, manifeste ce que nous avons encore à découvrir. Bien que ce soit une découverte fantastique, c'est un pauvre constat que nous célébrons. Notre nouveau lézard risque sérieusement de s'effacer aussi subitement qu'il nous est apparu, seuls quelques-uns de ces lézards ont été trouvés à l'état sauvage, ainsi alors que nous savons que les populations sont basses, nous ne sommes pas sûrs de la valeur exacte de la population restante. " Kay poursuit ses explications : " Les développement le long de la côte près de Perth doivent envisager avec ce nouveau lézard qu'un grand nombre d'autres espèces n'ont pas encore été découvertes dans cette partie diverse du monde, nous savons depuis longtemps que le sud-ouest [de l'Australie] a une diversité exceptionnelle de fleurs. Mais ce n'est que maintenant avec cette recherche que nous voyons le niveau de diversité chez les animaux, chez les reptiles en particulier, est bien plus profond et plus extrême que nous avions pu l'imaginer auparavant." Source: http://hellboy57.e-monsite.com Article:: http://www.mapress.com/zootaxa/2012/f/z03390p018f.pdf
  7. askook

    Attacus atlas

    Le plus grand papillon de nuit au monde s'invite chez une famille anglaise Une famille de la ville de Ramsbottom, dans le nord de l'Angleterre, a eu la grande surprise de retrouver sur son balcon un atlas, le plus grand papillon de nuit connu dans le monde, rapporte la BBC. D'une envergure d'une trentaine de centimètres, cet animal évolue normalement dans le sud-est asiatique, à près de 10.000 kilomètres du Royaume-Uni. Le mystère plane sur la manière dont l'insecte a pu parcourir cette distance, compte tenu de sa durée de vie limitée à une semaine. L'animal pourrait néanmoins s'être échappé d'une collection privée plus proche. La famille Blackmore, qui avoue s'être effrayée à la vue de l'étrange créature, pensa d'abord avoir affaire à une chauve-souris, tellement la bête est impressionnante. Aujourd'hui, l'atlas est mort mais sa progéniture a pu être recueillie par une ferme spécialisée dans l'élevage de papillons. Source: http://www.7sur7.be
  8. Bazoulé : Koom Lakré ou la fête aux crocodiles sacrés Atypique. Pourrait-on ainsi qualifier la cérémonie organisée le dimanche 28 octobre dernier, et consacrée aux crocodiles sacrés de Bazoulé. Célébrée le dernier dimanche du mois d’octobre de chaque année, Koom Lakré a pour objectif de demander aux ancêtres une dernière pluie pour parfaire les récoltes. Autochtones, originaires du village et touristes ont pris part à la fête. Que de monde à Bazoulé. Localité située à une trentaine de kilomètres à l’Ouest de Ouagadougou, Bazoulé est connu grâce à ses crocodiles sacrés. Située au nord du village, la marre est le point d’attraction de Bazoulé. Plus de 178 crocodiles sacrés y vivent. Chaque année, la population organise une fête en leur honneur. Pour l’occasion, le chef de Bazoulé, Naaba Kiba, en place depuis 32 ans, porte ses vêtements de fête. Son bonnet de chef bien centré sur la tête, il traverse le village sur un cheval accompagné d’une foule immense. Pour cette année, les organisateurs de Koom Lakré, avec à leur tête Pierre Michallard, français d’origine mais qui a passé près de 20 ans au Burkina, ont innové. Le départ du chef, qui a habituellement lieu depuis la cour royale, s’est effectué cette année au musée des Savoirs et des traditions de Bazoulé. Suivi par des badauds, le chef et ses notables ont opéré une escale pour les premiers sacrifices avant de mettre le cap sur la marre aux crocodiles sacrés. Sur les lieux, le sacrificateur égorge les poulets après avoir prononcé des incantations à peine audibles. Les poulets sont ensuite jetés aux crocodiles qui se tennent à quelques mètres de la foule sans manifester des signes de menaces pour les humains. Mais convaincus que « la prudence est mère de sureté », les guides n’ont pas manqué d’inviter les populations à se tenir loin des bordures de la marre. Après ce rituel, les populations s’adonnent à la consommation de l’alcool et la viande du porc. « La vraie fête a commencé maintenant », fait remarquer un des fêtards. Le chef, assis devant son palais, reçoit les visiteurs. Organisé le dernier dimanche du mois d’octobre de chaque, Koom Lakré est une cérémonie au cours de laquelle il est demandé aux ancêtres de faire tomber une dernière pluie afin que les habitants aient de bonnes récoles. « Très souvent la pluie tombe après le rituel. Une première cérémonie a eu lieu il y a deux semaines, il y a eu effectivement la pluie ce jour-là », nous prévient Pierre Michallard. Mais comme par enchantement, les ancêtres auraient exaucé les vœux des habitants de Bazoulé. De retour de Bazoulé, nous avons retrouvé Ouagadougou sous une fine pluie. « Il pleut aussi à Bazoulé », nous informe quelqu’un par téléphone. Des crocodiles centenaires La légende raconte que ces grands reptiles sont tombés du ciel, il y a 570 ans, sous une pluie. C’était sous le règne du Moogho Naba Kouda dont l’un des enfants a fondé le village de Bazoulé. La population à l’époque souffrait de manque d’eau et pouvait parcourir 10 kilomètres pour s’approvisionner. Quand les crocodiles sont apparus, ils ont creusé un grand trou sous des buissons pour faire leur repaire. C’est ainsi que l’endroit s’est transformé en marre qui ne tarit jamais. Confiants que les crocodiles sont dotés de pouvoir surnaturel, les habitants de Bazoulé font des sacrifices à la marre et jettent les poulets aux animaux afin de demander de bonnes récoltes, un bien-être familial ou même la santé. Plus que de simples animaux, les crocodiles annoncent de l’avis des habitants les évènements malheureux ou heureux à venir. « L’attitude des animaux nous annonce des faits à venir. Si un vieux du village doit mourir, un crocodile se présente souvent dans la concession de celui-ci. Le soir, les crocodiles de la marre peuvent également mugir comme des vaches en battant leurs queues contre l’eau », a expliqué un sage du village. Si pour les habitants les crocodiles jouent un rôle, à la limite, religieux, la marre de Bazoulé est l’un des sites touristiques les plus visités du Burkina Faso. En famille ou en solitaire, des expatriés occidentaux n’hésitent pas à se faire plaisir en se rendant à Bazoulé. « J’aime venir me promener au bord de la marre et regarder les crocodiles. C’est vraiment intéressant. En plus de cela, je viens de découvrir qu’une fête leur est dédiée chaque année », a indiqué André Brandmeyer, un touriste venu avec ses amis. Pour d’autres, c’est une sortie entre collègues. « Il y a une délégation venue du Japon pour le SIAO (NDLR, Salon international de l’artisanat de Ouagadougou) et je les ai accompagnés ici pour voir les crocodiles », a ajouté Tsutomu Sugiura, ambassadeur du Japon au Burkina que nous avons rencontré sur les lieux. Source: www.lefaso.net
  9. askook

    Trafic

    Un Japonais s'entiche de scinques à queue pomme de pin L'homme a été interpelé lundi à l'aéroport international de Perth, capitale d'Australie occidentale. Des observations en rayon X ont révélé la présence de 9 lézards à queue pomme de pin ; des reptiles de 40 à 50 centimètres de long endémiques de l'Australie. 9 lézards entassés comme des sardines dans deux sacs en plastique. Le ressortissant japonais aurait attrapé ces reptiles sur une plage de Perth et aurait décidé de se lancer dans le commerce et de les vendre au Japon. Il faut dire que le scinque à queue pomme de pin peut rapporter 6 000 dollars au Japon. Conformément à la législation australienne, le Japonais risque désormais 10 ans de prison ou 100 000 dollars d'amende ou les deux. Source: http://www.radioaustralia.net.au
  10. askook

    poisson pour le basiliscus

    Il y a un article dans la revue Situla N°18 qui dit que l'on peut donner des petits poissons une fois par semaine à un Basiliscus. Il est préférable de donner du gardon, du vairon, du goujon, évite tout poisson congelé... La congélation détruit en grande partie la vitamine B1, ce qui provoque une carence en thiamine et augmente l'activité des thiaminases, qui peut être responsable d'une dégénérescence cérébrale.
  11. Naissance d'un Alligator mississippiensis à la réserve africaine de Sigean
  12. askook

    L. Californiae

    Enfin des photos Content que tout se passe bien, pour ton premier serpent...
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