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  1. askook

    Trafic

    La police sauve 3.600 crocodiles d'un trafic de viande Ils étaient destinés aux restaurants du sud de la Chine... Ils ont bien failli passer à la casserole: plus de 3.600 crocodiles ont été interceptés par la police chinoise dans la région de Guangxi Zhuang, près de la frontière vietnamienne. Ces crocodiles du Siam étaient en chemin vers la province de Guangdong où ils devaient être vendus à des restaurants. Les crocodiles, mesurant plus de 1,7m de longueur et pesant au total seize tonnes, étaient transportés dans des camions. La chaleur et l’entassement ont coûté la vie à 42 d’entre eux. Les autres ont été confiés à des vétérinaires qui leur apportent les soins nécessaires, notamment en les réhydratant. Inspections dans les hôtels et les restaurants Les trafiquants de crocodiles profitent des croyances sur les crocodiles: en manger apporterait des bénéfices nutritionnels exceptionnels. Néanmoins, les jeunes chinois deviennent de plus en plus sensibles au sort de ces animaux en voie de disparition et les autorités chinoises sévissent: les contrôles aux frontières ont été renforcés et les associations pour la protection des animaux demandent maintenant que des inspections aient lieu dans les hôtels et restaurants. «Même si tout le monde sait qu’il est illégal de manger ces animaux, certains le feront quand même tant qu’ils seront en vente. Ce qu’il faut, c’est une campagne forte et à long terme pour expliquer aux gens pourquoi il ne faut pas manger de crocodile», déclare Zheng Yuanying, directeur de programme au Green Eye de Chine. Source:http://www.20minutes.fr
  2. Un serpent se faufile chez l'opticien Vendredi après midi, vers17h30, les pompiers de Dinan (22) ont été appelés pour déloger un serpent de plus d'un mètre de long, jaune et tacheté de noir, venu trouver refuge dans un magasin d'optique à Lanvallay (22). Mme Tuffreau, l'opticienne, s'est ainsi retrouvée nez à nez avec le reptile qui n'a pas perdu son sang-froid. «L'intervention des pompiers a été très rapide», a-t-elle expliqué après. Une fois capturé, le serpent a ensuite été déposé à la clinique vétérinaire de Lanvallay, son propriétaire étant absent de son domicile. Les raisons de la présence du reptile n'ont pas encore été élucidées. Source:http://www.letelegramme.com
  3. askook

    Articles de presse

    Des serpents? Même pas peur L’équipe de Suisse a peaufiné son esprit de groupe au contact de reptiles pour préparer les Mondiaux de Lausanne. Un médaillé olympique a servi de guide. Dans leur élément, les onze sélectionnés suisses pour les Mondiaux lausannois craignent davantage les tiques que les serpents. Leurs jambes égratignées par l’effort fourni en pleine nature sont plus marquées par les éraflures de cailloux pointus que par les morsures d’une vipère. Au moment de toucher un python long de 4 mètres comme à l’approche de l’événement d’une vie disputé à domicile, ils se doivent, pourtant, d’arborer un mental d’acier afin d’exorciser leurs phobies paralysantes. Michel Ansermet, directeur du Vivarium de Lausanne et médaillé d’argent au tir aux JO de Sydney, l’a martelé lors de l’accueil réservé aux athlètes et à leur staff, qui se préparent à Nyon depuis une semaine: «La frontière entre adrénaline et peur à l’approche d’un grand rendez-vous sportif est étroite.» Apprendre à maîtriser cette boule au ventre pour la transformer en une boule d’énergie positive, telle est l’une des clés du succès, au même titre que la volonté, la joie de pratiquer son activité, la modestie et le respect. C’est le message passé par un homme sachant de quoi il parle. Un peu plus unis Car il faut les maîtriser, ces éléments, pour approcher un crocodile et lui jeter sa nourriture dans la gueule. Il faut les maîtriser pour aborder une importante compétition dans les meilleures dispositions possibles et tenter d’y gagner une médaille, ou pour oser toucher un gramd python. «Pour les besoins de la photo, j’ai préféré opter pour l’iguane. Ça m’avait l’air de prime abord plus sympa, sourit le Neuchâtelois Marc Lauenstein, fin prêt pour vivre ces Mondiaux à domicile. Finalement, je suis content d’avoir pu porter sur mes épaules cet énorme serpent. C’est une première et j’en redemande. J’ai trouvé sympa de pouvoir partager avec les autres membres de l’équipe cette crainte des reptiles. Ça nous a unis un peu plus. C’est rigolo aussi de constater un truc: celui qui avait le plus la frousse, c’était notre coach Pascal Vieser.» L’autre Romand du groupe, Baptiste Rollier, a de suite opté pour l’énorme bestiole rampante. «C’était pour moi aussi une première, avoue-t-il. J’ai dû surmonter ma crainte, comme parfois lors d’une compétition. C’est juste un truc mental, on le voit bien aujourd’hui, mais ça peut vous faire perdre vos moyens. Une fois que vous passez par-dessus, plus rien ne vous limite.» Une qui n’aura plus besoin de surmonter quoi que ce soit au moment de s’élancer sur les parcours lausannois, tant elle a déjà tout prouvé dans ce sport, c’est la Bernoise Simone Niggli-Luder. Elue à trois reprises sportive suisse de l’année (2003, 2005 et 2007), 17 fois (!) championne du monde, elle essaiera simplement de continuer à écrire sa légende. Avec la tête et les jambes, pour reprendre le slogan du rendez-vous lausannois. Si elle y parvient, si l’équipe de Suisse de course d’orientation atteint l’objectif fixé par sa fédération (sept médailles), Michel Ansermet, son vécu, ses paroles pleines de sens, son risotto et ses reptiles n’y seront pas étrangers. Source: http://www.lematin.ch
  4. askook

    Lamprophis capensis

    Les petits ont incisé leur coquille eux mêmes. Puis, seulement après, on a agrandi l'ouverture. On ne peut pas résister à regarder ce qu'il y a dans l'oeuf. Des fois, qu'il y aurait des jumeaux, un bicéphale...
  5. Hier, accouplement des "lignés"...
  6. askook

    Lamprophis capensis

    3 vermisseaux sont nés, en deux jours, de cette ponte. Aujourd'hui Hier
  7. Un groupe de motards se baladait au Brésil a (très) grande vitesse et enregistrait son périple. Un des membres a eu une drôle de surprise quand lors d'une "petite" pointe à 260 km/h un serpent a surgi du carénage de sa moto ! La bestiole se serait cachée ici pendant la nuit et la chaleur du moteur plus le bruit l'auront décidé à sortir.
  8. Le quotidien anglais The Guardian lance un concours sur internet pour donner un nom à dix nouvelles espèces britanniques. L'an dernier, 18.000 espèces ont été découvertes dans le monde : la taxinomie, ou l'art de les nommer, laisse cours à l'imagination, aux hommages et parfois aux noms les plus farfelus. Le Mesoparapylocheles michaeljacksoni, ou bernard-l'ermite Michael Jackson, a été enregistré cette année par les scientifiques : ils l'ont découvert en apprenant la mort de la star de la pop. La méduse Phialella zappai a quant à elle été baptisée ainsi puisque son découvreur rêvait de rencontrer Frank Zappa. Le célèbre musicien a même plusieurs espèces à son nom : un poisson gobie, un escargot et même une araignée qui possède une marque noire sur l'abdomen rappelant la proéminente moustache de Zappa. Nommer les nouvelles espèces est un véritable défi. Chacune d'entre elles se doit d'avoir un seul et unique nom et, chaque année, on en découvre des milliers. En 2011, 18.000 nouvelles espèces d'animaux, de plantes ou de champignons, ont été enregistrées dans le monde. Les scientifiques doivent alors faire appel à leur imagination. Bien souvent, le découvreur tient (et peut) baptiser l'espèce par son propre nom, latinisé. D'autres fois, le lieu de sa découverte l'emporte, ou alors c'est son comportement ou sa couleur qui détermine son nom. Mais de temps en temps, ceux qui découvrent les nouvelles espèces laissent libre cours à leur envie et rendent hommage à leur musicien favori, leur frère, ou leur joueur de football préféré. Un règlement codifié mais souple De façon surprenante, ceux qui découvrent une nouvelle espèce ont une certaine marge de liberté pour la nommer. Néanmoins, l'inventivité des chercheurs est soumise au système binominal et doit respecter les règles du Code international de nomenclature zoologique. Si le nom du genre est en général imposé (par exemple Panthera pour les grands félins ou Homo pour les humains dans l'Histoire), l'épithète est bien plus libre. Il n'y a aucune règle de "politiquement correct" imposée par le code cité plus haut. Seule une mention tacite soulignerait que les allusions à la religion sont proscrites (donc pas d'escargot Jésus, de crabe Mahomet ou de grenouille Bouddha). Mais l'avènement d'internet a ouvert un champ de possibilités dans la taxonomie. The Guardian propose ainsi aux internautes un concours pour nommer dix nouvelles espèces découvertes sur le sol britannique. Plus précisément, le quotidien offre la possibilité de choisir le nom vulgarisé de certaines crabes, limaces, mouches ou bulots. Quelques conseils sont à la dispositions des quidams : consulter l'histoire ou la provenance de l'espèce, sa parenté avec d'autres congénères, ou utiliser Arkive, un moteur de recherche pour vérifier que le nom inventé n'est pas déjà occupé par une autre espèce. Bien évidemment, le journal encourage l'humour, les jeux de mots, ou les références culturelles. A terme, un jury composé de scientifiques et de membres de Natural England, l'agence gouvernementale pour l'environnement, feront leur sélection et attribueront les noms finaux. La taxinomie se mercantilise Plus étonnant, les noms d'animaux sont parfois vendus aux enchères. Ainsi quand Robert Wallace, zoologiste, découvre en 2005 une espèce de singe inconnue (chose rare), il choisit de vendre son nom aux enchères. Le singe est du genre Callicebus et provient d'une forêt bolivienne. En mars 2005, Goldenpalace.com, société canadienne de casino en ligne, remporte l'enchère pour 650.000 dollars et obtient ainsi l'autorisation de nommer le primate Callicebus aureipalatii, ce qui signifie "du palace doré". Vulgarisé, il porte le nom de "Goldenpalace.com Monkey". Pour le directeur du casino, l'intérêt est évidemment publicitaire. Mais les zoologues sont sans surprise préoccupés : il existe un problème réel d'éthique dans la monétisation des la taxinomie. La fondation Biopat, elle, est soutenue par de nombreux instituts de recherche et muséums allemands et pour cause : elle vous propose de nommer une nouvelle espèce en échange d'un don à l'association. Ainsi, pour 2.600 euros minimum, vous pourrez baptiser un mollusque ou un insecte du nom de votre conjoint ou de votre acteur favori. La moitié du don sera versée à l'institut de recherche du découvreur de l'espèce, encourageant la recherche scientifique sur la biodiversité. L'autre moitié financera un projet de protection de l'environnement mené dans le pays d'origine de l'espèce et validé par Biopat. L'association joue le rôle d'intermédiaire entre les différents acteurs de la zoologie et les particuliers. Une orchidée bolivienne a ainsi été offerte à Gorbatchev pour son 75e anniversaire par l'un de ses amis allemands et porte désormais le nom de Maxillaria gorbatchowii. "Le sponsoring de noms d'espèces pose un problème difficile à trancher, estime Andrew Polaszek, zoologiste et secrétaire général de l'ICZN (International Commission for Zoological Nomenclature). "Les noms peuvent être vendus au profit de bonnes causes, certes. Mais on peut se demander si, à terme, une mercantilisation des dénominations d'espèces n'incitera pas à revendiquer des droits forts sur les noms, comme s'il s'agissait de marques, voire à clamer de fausses découvertes", explique t-il. En attendant qu'un système de régulation soit appliqué dans la taxinomie, les scientifiques peuvent toujours faire parler leur humour. Et ce n'est pas la Scaptia beyonceae qui contredira ce propos : cette mouche aux poils dorés a été baptisée en l'honneur de la chanteuse Beyoncé Knowles et de son titre "Bootylicious"... Source: http://www.maxisciences.com
  9. Le mâle joue les gros durs et tape facilement lorsqu'il est dans le terrarium. Mais une fois en main, c'est fini... Après un petit passage par Poitiers, en raison du manque de place pour les loger. Les voici revenues à la maison. Elles auront voyagé depuis la Corse ;D
  10. askook

    Amblyodipsas

    Amblyodipsas microphthalma (Bianconi, 1852) Sous-espèces - Amblyodipsas microphthalma microphthalma (Bianconi, 1852) - Amblyodipsas microphthalma nigra Jacobsen, 1986 Synonymes Calamaria microphthalma Bianconi, 1852 Amblyodipsas microphthalma Jan, 1865 Répartition géographique Afrique Mozambique (Sud), République d'Afrique du Sud (Provinces KwaZulu-Natal, Limpopo). Portrait Amblyodipsas microphthalma nigra. Photo de Niels Jacobsen pour illustration. Source: A complete guide to the snakes of Southern Africa
  11. askook

    Amblyodipsas

    Amblyodipsas katangensis De Witte & Laurent, 1942 Sous-espèces - Amblyodipsas katangensis katangensis De Witte & Laurent, 1942 - Amblyodipsas katangensis ionidesi Loveridge, 1951 Synonymes Amblyodipsas (Amblyodipsas) katangensis De Witte & Laurent, 1942 Amblyodipsas katangensis Welch, 1994 Amblyodipsas katengensis [sic] Spawls et al., 2001 Répartition géographique Afrique République Démocratique du Congo (Sud et Est?), Tanzanie (Sud), Zambie (Nord) Portrait Photo pour illustration. Source: http://www.bakasbl.org
  12. askook

    De nouveaux terrariums

    Après l'acquisition de nouveaux terrariums HP, voici la nouvelle disposition de l'ensemble. Cela va changer d'ici quelques mois, avec l'arrivé d'autres terrariums dont un 60x60x70 cm et de plusieurs 90x80x50 cm.
  13. askook

    Locomotion chez les ophidiens

    Les serpents utilisent leurs écailles pour grimper aux arbres Deux chercheurs, Tim Nowak et Hamidreza Marvi ont étudié des serpents des blés afin de comprendre comment ceux-ci parviennent à grimper sur les arbres. Leur étude suggère que les reptiles utilisent leurs écailles pour réaliser cette remarquable performance. Démunis de pattes, les serpents ont dû faire preuve d’imagination pour parvenir à grimper dans les arbres. Une nouvelle étude, dirigée par deux chercheurs Tim Nowak et Hamidreza Marvi, suggère que les écailles qui couvrent leur corps sont la clé d’une telle performance. En les bougeant à l’aide des muscles, celles-ci offrent en fait l’impulsion et une prise idéale pour avancer le long de l’écorce sans tomber. Pour en arriver à de tels résultats, les chercheurs ont observé des serpents des blés (Pantherophis guttatus) grimper le long de plans inclinés jusqu’à 60 degrés de l’horizontale. Les conclusions, publiées cette semaine dans la revue Royal Society Interface, révèlent une étonnante capacité des reptiles à doubler leur surface de frottement entre le corps et l’arbre, grâce au contrôle actif de leurs écailles. Pour ce faire, les serpents poussent sur les parois du tronc couvert d'écorce grâce aux muscles de leurs corps, tout en pointant leurs écailles vers l’extérieur. Cette orientation leur fournit un "revêtement cutané" idéal pour assurer leurs prises sur la surface rugueuse. A partir de là, une partie de leur corps se propulse à l’aide d’une série d’extensions et de contraction tandis qu’une autre reste ancrée pour assurer la sécurité du déplacement. Les chercheurs espèrent désormais que ces nouvelles informations puissent être utilisées afin de concevoir un robot rampant destiné à la recherche et le sauvetage. En recréant les propriétés naturelles des écailles des serpents sur un prototype automatisé, celui-ci pourrait être utilisé sur des terrains complexes comme les décombres d’un bâtiment par exemple. Source:http://www.maxisciences.com Article: http://rsif.royalsocietypublishing.org/content/early/2012/06/22/rsif.2012.0132.abstract Vidéos: http://rsif.royalsocietypublishing.org/content/early/2012/06/22/rsif.2012.0132/suppl/DC1
  14. Photo pour illustration. Source: http://www.confidence-photo.com/libellule-calopteryx/
  15. Des tortues fossilisées en plein coït il y à 47 000 ans. Détaillée mercredi 20 juin dans la revue Biology Letters, la découverte, en Allemagne, des fossiles de plusieurs couples de tortues mortes en pleine étreinte amoureuse suggère la haute toxicité des eaux d’un lac occupant le site il y a près de 50 millions d'années. C'est dans l’ancienne carrière de Messel, près de Francfort, en Allemagne, que des chercheurs de l'Université allemande de Tübingen ont fait une découverte surprenante. En effet, ils ont mis au jour 9 couples de tortues de l’espèce aujourd'hui éteinte Allaeochelys crassesculpta, surprises par la mort alors qu’elles étaient en train de s’accoupler. Des tortues fossilisées depuis 47.000 ans à l’emplacement de ce qui était à l’époque un lac volcanique. Mais que s’est-il passé pour ces malheureux reptiles ? "Des millions d'animaux vivent et meurent chaque année et nombre d'entre eux se fossilisent par hasard mais il n'y a vraiment aucune raison que ça arrive lorsque vous êtes en train de vous reproduire. Il est hautement improbable que les deux partenaires meurent en même temps, et les chances que les deux soient fossilisés à la fois sont encore plus maigres", indique Walter Joyce, de l'Université allemande de Tübingen cité par l'AFP. La situation dans laquelle ont été découvertes les tortues a donc particulièrement étonné les chercheurs. Néanmoins, M. Joyce et ses collègues ont désormais la preuve que le gisement de Messel était en fait un lac volcanique dont les eaux étaient certes toxiques mais seulement à grande profondeur. Une information importante dans la mesure où les chercheurs trouvaient "peu plausible" que ces tortues – aquatiques, détail important – se soient amusé à nager, à se faire la cour puis à s'accoupler dans des eaux empoisonnées. Il est ainsi plutôt vraisemblable que les animaux étaient occupés à copuler au fond de l’eau lorsqu’ils ont succombé aux substances toxiques polluant le lac et issues de l’activité volcanique environnant celui-ci. Une toxicité trop faible en surface pour dissuader les animaux de pénétrer dans l’eau, mais suffisamment concentrée en profondeur pour pénétrer l’organisme des tortues par la peau. En effet, "une fois que le mâle a réussi à monter la femelle, le couple reste souvent figé dans cette position avant de se séparer", au risque de "couler à des profondeurs considérables", estiment les auteurs de l'étude. Une plongé qui s'est avérée fatale pour les tortues retrouvées fossilisées. Source: http://www.maxisciences.com Article: http://rsbl.royalsocietypublishing.org/content/early/2012/06/15/rsbl.2012.0361.full.pdf+html?sid=1db28d80-2965-44ca-b2ea-24c4309ec003
  16. Sidonie, la vénérable tortue de retour au bercail Poitiers. Le vol d’une tortue dans leur jardin aux Trois-Cités avait profondément choqué ce couple de retraités qui vient de retrouver l’animal. Émotions. Sidonie, la vénérable tortue de retour au bercail L'émoi a laissé place à la joie dans le foyer de ce couple de retraités des Trois-Cités. Depuis 12 jours, Paulette et Jacques Texereau se faisait un sens d'encre pour leur tortue Sidonie qui avait été subtilisée, après effraction, dans leur jardin. L'enclos de Sidonie avait été retrouvé désespérément vide un lundi matin et jusqu'à ce jeudi soir, Paulette et Jacques ont remué ciel et terre. Après avoir déposé une plainte au commissariat de Poitiers, lancé un appel dans nos colonnes le 13 juin dernier, apposé des tracts faits « maison » avec photo de l'animal apposés à l'intérieur des abris de bus du quartier, fait jouer le bouche à oreille, la détermination de Paulette et Jacques Texereau a payé. http://www.lanouvellerepublique.fr/Toute-zone/Actualite/24-Heures/n/Contenus/Articles/2012/06/23/Sidonie-la-venerable-tortue-de-retour-au-bercail " C'est la mascotte de notre quartier " « Hier soir, jour de la Fête de la musique, vers 20 h, j'ai entendu sonner. Lorsque j'ai ouvert la porte, j'ai tout de suite vu Sidonie dans les mains d'un des trois jeunes garçons. Ils m'ont dit qu'ils l'avaient trouvée sur une pelouse du quartier avant de la ramener chez eux dans un appartement. » Paulette, du haut de ses 80 printemps cette année, ne cesse de repasser les images dans sa tête. Les mots se bousculent même. Ivre de bonheur, elle avoue avoir eu la présence d'esprit de donner une « toute petite pièce et un paquet de Carambars » aux jeunes garçons. Depuis, elle examine l'animal, le caresse, lui parle avec une infinie douceur. Au regard de ses quarante centimètres de tour de taille – enfin de carapace –, et de son attitude débonnaire à retrouver ses marques, l'animal n'a pas trop souffert. Et si elle a boudé toute pitance juste après son retour, hier elle a dévoré les jolies fraises du jardin avec une certaine frénésie. Plus que cinquantenaire D'un regard attendri, Paulette évoque les habitudes de l'animal. « Tous les hivers, nous la rentrons dans une caisse contenant de la paille. Dès qu'elle donne des petits coups au printemps, nous la sortons. Et l'été, on l'arrose quand il fait trop chaud. Elle a même un abri en ciment à l'ombre qu'on arrose aussi pour maintenir la fraîcheur. » Il est difficile de donner un âge à la vénérable demoiselle. « Je l'ai toujours connue. Ma mère la possédait depuis plusieurs années avant de me la donner, il y a 40 ans ! » Et en dehors de cette escapade forcée, elle coule des jours paisibles, gentiment chahutée par les trois petits-enfants et quatre arrière-petits-enfants du couple. Le carillon de l'horloge de la salle à manger égrène les douze coups de midi. Paulette et Jacques Texereau sont heureux. Et c'est bien tout ce qui compte. A savoir Une mésaventure sans incidence Thierry Bordat est à la fois directeur de « La Planète des crocodiles » à Civaux, et spécialiste des animaux protégés dont le commerce est sérieusement réglementé. Après lui avoir exposé le cas de Sidonie, Thierry Bordat assure que « dans une vie de tortue, l'incident est anecdotique et n'aura aucune conséquence. Il faut peut-être juste la tremper dans l'eau tiède pour la réhydrater ». Il rappelle que la carte d'identité de l'animal se trouve sur se carapace. D'ailleurs, seul son œil d'expert pourra donner un âge à Sidonie et définir s'il s'agit d'une tortue terrestre Hermann ou mauresque ; les deux espèces européennes. Selon lui, les propriétaires de Sidonie devraient « régulariser la situation auprès des services vétérinaires de la Direction départementale de la protection des populations pour qu'elle soit identifiée et tatouée. » Et peut-être lui donner du pissenlit frais, un aliment de base. Source: http://www.lanouvellerepublique.fr/
  17. Publiant leurs travaux dans la revue Ecology Letters, des chercheurs hollandais ont montré expérimentalement que des insectes herbivores ‘marquaient’ le sol où pousse leur nourriture, modifiant ainsi la composition des futurs plants à cet endroit : une façon de laisser un message chimique à leurs congénères qui viendront à leur tour y grignoter les végétaux ? Une équipe du Netherlands Institute of Ecology (NIOO) dirigée par Olga Kostenko a mis en présence de plantes (des séneçons de Jacob) élevées en serre, des chenilles friandes de leurs feuilles ou bien des larves de coléoptères friandes de leurs racines. Laissant tout ce petit monde déguster à loisir, les chercheurs ont ensuite récupéré la terre où avaient poussé les plantes mangées, et semé dedans de nouveaux plants de séneçons. Il s’est alors avéré que ces nouvelles plantes avaient une structure ou une composition chimique différente. En effet, les biologistes ont constaté, chez les plantes issues d’un sol où avaient opéré les chenilles, une réduction des racines et une diminution de la concentration en alcaloïdes toxiques ; et chez les plantes issues d’un sol où avaient séjourné les larves de coléoptères, une augmentation de la quantité d’azote dans les feuilles et une modification chimique des alcaloïdes. Selon les chercheurs, il s’agirait là de ‘messages’ déposés par les insectes à l’intention de leurs congénères qui viendront ‘visiter’ la nouvelle génération de plantes poussant à cet endroit. Des messages capables de se propager dans l’espace de la plante au sol puis à la nouvelle plante, mais aussi dans le temps, donc. Quelle qu’en soit la nature, ces messages, suggèrent les auteurs, seraient transmis via une modification chimique des microchampignons vivant à proximité de la plante grignotée, modification qui influerait sur la pousse de la nouvelle plante. Source: http://www.maxisciences.com Article: http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1570-7458.2012.01251.x/abstract
  18. Il trouve un boa dans son champ! Yann Grin, agriculteur à Belmont, a eu une jolie frayeur en fauchant les foins samedi. En retournant dans son champ l’après-midi, il s’est rendu compte qu’il avait percuté un serpent d’1m50 le matin au volant de sa faucheuse! «Alors là… ça ne m’était jamais arrivé!» Yann Grin est agriculteur à Belmont-sur-Yverdon et a eu une drôle de surprise en fauchant le foin samedi. «Je suis passé une première fois le matin, sans rien remarquer de spécial. Et lorsque je suis retourné pirouetter l’après-midi, c’est là que je l’ai aperçu. Il ne bougeait pas, je ne savais pas s’il était mort ou vivant.» Il? Un très joli boa constrictor, long d’environ 1m50, que le jeune agriculteur de Belmont a donc trouvé dans son champ, dans la zone En Ferreyres, pas loin du Villaret. Après avoir un peu hésité à descendre de son tracteur, décision a finalement été prise de ramener le boa constrictor, bel et bien mort, dans la ferme familiale à Belmont. Là, sur les conseils d’un membre de la famille occupant la noble fonction de garde-forestier, le serpent a été congelé en attendant les représentants de l’Etat de Vaud. Un boa constrictor américain! Alain Seletto, surveillant permanent de la faune, s’est donc rendu sur place lundi, pour embarquer la bête et la soumettre à l’expertise d’un spécialiste des reptiles, ce qu’il n’est pas. «Je m’occupe de la faune indigène et là, clairement, ce n’est pas mon dicastère», souriait Alain Seletto, en observant ce qui n’était décidément ni une couleuvre, ni une vipère! Alors, boa ou python? Jean-Claude Monney, le responsable des reptiles pour la Suisse occidentale, a apporté la réponse! Il s’agissait donc bel et bien d’un boa constrictor, une espèce qui, jusqu’à preuve du contraire, n’a pas le droit de cité dans la nature helvétique, mais seulement en Amérique latine. Le pauvre animal a été percuté, bien évidemment complètement involontairement, par la faucheuse de Yann Grin, lequel en était désolé: «Il était impossible que je le voie! Il s’est fait tuer par la machine, c’est clair. Après, comment il est arrivé là, je n’en sais rien.» Difficile à dire, mais il n’existe en réalité que deux options. Soit l’animal s’est enfui, ce qui est possible, mais relativement improbable, soit il a été abandonné dans le champ par son ancien propriétaire (voir ci-dessous). S’agissait-il du serpent dont la photo a été publiée sur le site internet de 20minutes.ch le 9 juin dernier, et au sujet duquel un avis de recherche avait été placardé dans le quartier de Montchoisi, à Lausanne? Impossible à dire pour l’instant, le flou régnant au sujet de l’animal s’étant échappé, la thèse d’un canular étant également évoquée. Le boa constrictor, qui a perdu un peu de couleurs après avoir été congelé par la famille Grin, avait visiblement mangé peu avant d’avoir été retrouvé dans le champ près du Villaret. Pas de danger pour la population Une chose est sûre, la dépouille du boa retrouvé au Villaret est bien réelle. L’animal ne mettait pas du tout la population en danger, contrairement à une croyance trop répandue, tant le mythe du boa est puissant. Pourtant, il ne mord pas, mais étouffe ses proies en les enserrant, utilisant sa force. Carnivore, il se nourrit de petits rongeurs, d’oiseaux et de chauve-souris, mais aussi de gros lézards. Vu son léger embonpoint, le nouvel ami de Yann Grin avait visiblement trouvé de quoi se nourrir dans son champ avant de succomber au coup de faucheuse. Quant à l’agriculteur, nul doute qu’il repensera longtemps à sa drôle de rencontre à l’heure de retourner «faire les foins» ou les moissons. Et, vu que l’abandon des «Nouveaux animaux de compagnie» semble malheureusement être une tendance statistiquement observable, il ne reste plus qu’à espérer qu’il n’en fera pas de nouvelle dans les années à venir. Tout le monde s’en passerait bien. Les solutions existent pour les personnes ne pouvant plus assumer la charge d’un «nouvel animal de compagnie» «N’abandonnez surtout pas vos animaux en pleine nature!» Alain Seletto, en marge de sa visite à la famille Grin, a tenu à faire passer un message clair, celui de la responsabilité que constitue l’adoption d’un animal. «N’abandonnez pas vos animaux dans la nature! Ce genre de choses ne doit jamais arriver. Il ne faut surtout pas les balancer n’importe où. Ces dernières années est survenue toute la problématique des NAC, les nouveaux animaux de compagnie.» Cette abréviation a été inventée par un vétérinaire lyonnais à la fin du siècle dernier et regroupe tous les animaux de compagnie qui ne sont pas des chiens ou des chats. En vrac? Tous les petits mammifères et rongeurs, ainsi que les reptiles, oiseaux, poissons, batraciens, arachnides, insectes, mais aussi les rongeurs tels que cobayes, chinchillas, rats, souris, hamsters, gerbilles, degus/octodons, écureuils de corée, chiens de prairie. Les lapins et les furets sont également considérés comme des «NAC», tout comme les tortues, que l’on retrouve trop souvent dans les étangs de la région.. De nombreuses associations, étatiques ou non, se sont emparées du problème en Europe occidentale, afin de lutter contre ce qui est véritablement une dérive de la société de consommation. Tout avoir, tout de suite, sans penser à l’avenir, voilà une des conséquences regrettable de l’évolution des mentalités. «Un coup de téléphone n’est pas si compliqué», souligne Alain Seletto. Source: http://www.laregion.ch/
  19. askook

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    Quand python rime avec passion «Pas de vin ni d'outils de jardin dans le sous-sol du pavillon de Sylvain Fauchoix, en Seine-et-Marne: ce salarié de la SNCF y bichonne 80 pythons royaux et des oeufs en train d'éclore, expliquant sa passion avec un serpent d'1,5 mètre dans les bras. "C'est une passion que j'ai depuis tout petit: j'ai commencé avec les insectes, puis les lézards et les mygales, et vers 12 ans, je suis tombé amoureux des serpents", raconte Sylvain Fauchoix, 28 ans, entouré de pythons royaux dans le sous-sol de son pavillon, à la périphérie de Chelles. "Vers 14 ans, j'ai ramené un serpent d'une exposition. Je me suis fait tuer par mon père! Puis il s'y est fait", se souvient-il amusé. Mais en décembre, l'éleveur de serpents a failli se retrouver en prison. Dénoncé par un concurrent, dit-il, il était soupçonné de détention illégale et de trafic. Il a un nouveau rendez-vous avec la justice mardi. En attendant, il présente fièrement, tout contre lui, son Piebald, blanc avec des taches marron, le Snow avec ses yeux rouges d'albinos et la langue sortie et tant d'autres pythons, qu'il caresse délicatement. Ses "animaux", comme il les appelle, ne sont pas venimeux. Ils sont dans des casiers individuels, dans une pièce bien isolée, humide et chaude, à 27 degrés, au plus près de leurs conditions en milieu naturel, en Afrique. L'éleveur de serpents est passionné de génétique: lors des accouplements, il travaille sur les gènes récessifs et dominants, afin d'obtenir des serpents avec de nouvelles couleurs. "Oui, certains valent le prix d'une grosse voiture", dit-il pudiquement. "C'est ma passion, je suis mordu de ça", explique le jeune homme, chef de conducteurs de trains à la SNCF. "Je suis fasciné par ce qui crée une répulsion chez les gens, comme les requins aussi", confie M. Fauchoix, barbichette et cheveux longs attachés. "J'aime ce côté primitif, bien implanté dans la nature", explique-t-il. Fruit défendu "Si les gens continuent de diaboliser le serpent, c'est à cause de la religion", d'Adam et Eve, du fruit défendu. "Sans le côté relationnel, comme avec un chien ou un chat, on a l'impression de ne pas cerner l'animal", pense-t-il. Mais n'en a-t-il vraiment jamais peur? "Je ne suis pas fou, je ne ferais pas ça avec un crotale", serpent très dangereux, admet-il. "Je me suis déjà fait mordre plein de fois, ça fait des petites griffures. Puis je désinfecte, comme si je m'étais fait griffer par mon chat". Son épouse s'est "aussi mariée à (sa) passion". Son fils, qui va avoir 5 ans, "n'est pas passionné, mais il les prend, ça ne le choque pas". Et les voisins? "Je les ai invités à venir, ils étaient ébahis. C'est un couple charmant qui adore les animaux". En décembre, à son retour de voyage de Noces, il a été interpellé à l'aéroport et placé en garde à vue, soupçonné de détention illégale et de trafic. "C'était un cauchemar. J'ai appris qu'on avait fait une perquisition chez moi. On a failli tout perdre", raconte-t-il. Il reconnaît qu'il n'avait pas toutes les autorisations. La justice lui a demandé de se mettre en règle, ce qu'il dit avoir fait. "J'ai passé les certificats nécessaires, puis on a monté une société avec deux amis associés et maintenant, on peut vendre librement nos serpents", se réjouit-il. Il l'expliquera mardi devant le tribunal. Il n'envisage pas qu'on lui retire ses serpents. "Qu'on me coupe les deux jambes, ça me fera moins mal. (...) C'est toute ma vie, derrière ma femme et mon enfant".» Source: http://www.chezmonveto.com/quand-python-rime-avec-passion-2023.html
  20. Un serpent de plus d'un mètre capturé dans le centre-ville d'Agen Belle prise de la police nationale, hier en fin de matinée à Agen. à hauteur du n° 11 de la rue de Floirac, des fonctionnaires du commissariat ont mis la main (gantée) sur un assez beau spécimen de serpent : long de plus d'un mètre, ce « serpent des blés » [Elaphe-Guttata, une espèce non venimeuse originaire des États-Unis] , aux écailles blanches tachetées de jaune, dont on ignore bien comment il a pu atterrir là, tentait de prendre la fuite par une bouche d'égout, manifestement conscient de se trouver en situation irrégulière sur la chaussée. La charmante bestiole a été remise aux pompiers, qui lui offrent le gîte et le couvert au centre de secours, le temps qu'un éventuel propriétaire se manifeste. Faute de quoi, elle atterrira… dans un zoo ? Source: http://www.ladepeche.fr
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