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  1. The Journal of the Herpetological Association of the Rhodesia Vol.3 Mai 1958 http://www.africanherpetology.org/publications/HAR/HAR_Volume3.pdf
  2. The Journal of the Herpetological Association of the Rhodesia Vol.2 Février 1958 http://www.africanherpetology.org/publications/HAR/HAR_Volume2.pdf
  3. L'Association herpétologique de la Rhodésie était le précurseur de l'Association herpétologique de l'Afrique. Il a publié son journal, sous la direction de Donald G. Broadley, dans 24 numéros entre 1957 et 1965. Le JHAR a été publié en petit nombre et souvent imprimé sur du papier de couleur en utilisant des méthodes à faible technicité. En tant que tel, il est difficile d'obtenir des copies de ce journal. Grâce à la générosité de Donald Broadley, l'AHA est heureux d'être en mesure de fournir le libre accès à tous les numéros de la Revue de l'Association herpétologique de la Rhodésie. The Journal of the Herpetological Association of the Rhodesia Vol.1 Novembre 1957 http://www.africanherpetology.org/publications/HAR/HAR_Volume1.pdf
  4. Premature sperm ejaculation in captive African brown house snake Lamprophis fuliginous African Journal of Herpetology Vol. 60, N°2, October 2011, 177-180 A.J. Wilmes, D.S. Siegel & R.D. Aldridge http://www.tandfonline.com/doi/pdf/10.1080/21564574.2011.608384
  5. Chez certaines espèces d'ophidiens, la durée de la copulation peut atteindre plusieurs heures. Les biologistes soumettaient l'hypothèse, que cela était dû une éjaculation lente et graduelle ou à un comportement à réduire la compétition spermatique. Une étude récente basée sur un groupe captif de Lamprophis fuliginous, montre que les mâles excrètent, très rapidement, une grande quantité de sperme avant l'insertion des hémipénis. Cette observation d'éjaculation précoce suggère que les serpents mâles sont capable d'éjaculation rapide et qu'une longue copulation ne servirait qu'à empêcher des mâles rivaux de s'accoupler avec la même femelle, augmentant ainsi les chances de paternité. Article: http://www.tandfonline.com/doi/pdf/10.1080/21564574.2011.608384
  6. Merci pour l'info. Voici l'article complet: https://dl.dropbox.com/u/7861257/Bauer%20et%20al%202012.pdf
  7. askook

    Cordylus marunguensi

    Un nouveau lézard a été découvert dans une zone déchirée par la guerre en République Démocratique du Congo (RDC). D’après un article paru dans le Journal Africain d’Erpétologie (African Journal of Herpetology), cette nouvelle espèce a été trouvée cachée sous un rocher, dans les hautes prairies du Plateau du Marungu, une zone connue pour ses mines terrestres. La nouvelle espèce de lézard, Cordylus marunguensi, en République Démocratique du Congo. Photo courtoisie par Eli Greenbaum. En recherchant des traces de l’espèce Cordylus marunguensi à travers le plateau où elle a été découverte, les chercheurs ont remarqué que ce lézard semblait être bien implanté dans le milieu malgré les impacts de l’activité humaine telle que l’agriculture, l’élevage de bétail, et la guerre. "Le Plateau du Marungu a été la scène de lourds combats au cours d’un conflit qui s’est étendu à l’est de la RDC, au tournant du vingt-et-unième siècle, et, en conséquence, une large zone tout autour du milieu type pour le Cordylus marunguensis est recouverte de mines terrestres et d’obus d’artillerie qui n’ont pas explosé", ont écrit les scientifiques. Ils préconisent une plus grande recherche sur cette espèce afin de déterminer si elle est menacée. Les scientifiques ont aussi relevé que le Plateau du Marungu "est peut-être sous-estimé en tant que site de préservation d’importance", d’autant que, par le passé, des chercheurs ont décrit plusieurs espèces d’oiseaux qui pourraient être endémiques à ce plateau. "Bien que le Plateau du Marungu ait été lourdement endommagé par la guerre et la destruction de son habitat, ce nouveau lézard montre qu’il n’est pas trop tard pour mettre en oeuvre des efforts de préservation," a dit Eli Greenbaum, le responsable des auteurs de l’article, dans un communiqué de presse. Le plateau, qui se trouve à environ 2000 mètres (6500 pieds) au-dessus du niveau de la mer, était aussi l’habitat d’une population de chimpanzés, mais les scientifiques pensent que la déforestation y a provoqué leur extinction. Source:http://fr.mongabay.com Lien: http://sciencythoughts.blogspot.fr/2012/05/news-species-of-girdled-lizard-from.html Article: http://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/21564574.2012.666505
  8. Par pur hasard, un entomologiste regardant des photos d’insectes sur internet est tombé sur un spécimen qu’il n’avait jamais vu. Comme quoi, des découvertes de nouvelles espèces peuvent aussi se faire sur internet. En mai 2011, l'entomologiste Shaun Winterton découvrait sur internet l’image d’un insecte qu’il n’avait jamais vu auparavant. Il s’agissait d’une photo macro d’un insecte volant qu’il connaissait bien mais qui possédait une particularité : ses ailes présentaient un réseau de lignes noires et plusieurs tâches bleues. Après avoir consulté des collègues qui furent tout aussi étonnés que lui, il contacta l’auteur des photos qu’il avait vues sur Flickr. Il venait en effet de découvrir une nouvelle espèce, a-t-il raconté à The Picture Show. L’auteur des photos a alors expliqué au scientifique que ses clichés avaient été pris dans la jungle malaisienne. Une nouvelle qui a quelque peu déçu Winterton car sans avoir un spécimen intact sous les yeux, il ne lui était pas possible de confirmer la découverte. Mais quelques mois plus tard, le chercheur recevait un email du même internaute. Après être retourné en Malaisie, celui-ci avait une nouvelle fois rencontré le même type d’insecte, c’est à dire présentant ce réseau noir si particulier. Or, cette fois, il l’avait attrapé. "Il m’a dit, j’en ai un dans une boîte sur la table de ma cuisine. Que dois-je en faire ?", a expliqué Shaun Winterton qui lui a alors conseillé de l'envoyer. Ainsi parvenu à Steve Brooks, un entomologiste du Musée d’histoire naturelle de Londres, le spécimen a été étudié et le spécialiste a confirmé qu’il s’agissait bien d’un nouvel animal. D'autres découvertes à faire sur le net Celui-ci a d’ailleurs été rapproché d’un autre spécimen qui se trouvait dans la collection du musée et qui, depuis des décennies, n’était pas classé. La nouvelle espèce a été baptisée Semachrysa jade, du nom de la fille de Winterton et a été présenté dans le ZooKeys, un journal scientifique spécialisé dans la biodiversité. La morale de l'histoire ? Selon Shaun Winterton, le monde est plein de naturalistes potentiels. De plus en plus de personnes qui photographient la nature avec des appareils à haute résolution, ce dont ont précisément besoin les scientifiques pour mieux la connaitre. Le scientifique a ainsi estimé : "Des milliers d'images sont téléchargées chaque minute sur Flickr. Je pense qu'il y a donc bien plus de découvertes à venir". Source: http://www.maxisciences.com Article: http://www.pensoft.net/J_FILES/1/articles/3220/3220-G-3-layout.pdf
  9. Fabriqués par les plantes, les caroténoïdes sont des pigments utilisés pour capter de l'énergie lumineuse durant la photosynthèse. On vient de découvrir que les pucerons, des aphididés, pourraient également en créer et même... s'en servir pour produire de l’ATP, une première chez un insecte. Les plantes sont des organismes photosynthétiques. Elles produisent de l’énergie grâce à la lumière solaire, à de l’eau et à du CO2 à l’intérieur de chloroplastes. Plusieurs pigments sont chargés de « récolter l’énergie lumineuse ». La chlorophylle sous sa forme a, par exemple, réagit aux rayons lumineux ayant une longueur d’onde de 430 ou 664 nm. Le bétacarotène, un caroténoïde, possède quant à lui une plage d’absorption maximale comprise entre 400 et 500 nm. Les animaux sont incapables de produire des caroténoïdes bien qu'ils en aient besoin pour vivre. Plusieurs molécules appartenant à ce groupe possèdent en effet un fort pouvoir antioxydant ou participent au bon fonctionnement du système immunitaire. Sans grand mystère, les caroténoïdes dont les hétérotrophes ont besoin doivent être ingérés. Un seul groupe animal ferait exception à la règle : les pucerons (ou aphididés). Ces insectes posséderaient, selon une étude parue en 2010, les gènes requis pour synthétiser naturellement ces pigments. Une question restait sans réponse depuis cette découverte : quel avantage pourrait-il y avoir à générer soi-même et en aussi grande quantité des caroténoïdes ? Des chercheurs menés par Alain Robichon de l’Institut Sophia Agrobiotech semblent avoir trouvé la réponse : les molécules produites par le puceron vert du pois pourraient être utilisées pour… capturer la lumière solaire et créer de l’énergie, à la manière des plantes photosynthétiques ! Ce résultat vient d’être publié dans la revue Scientific Reports. Acyrthosiphon pisum est considéré comme une espèce modèle pour étudier différents aspects de la vie des pucerons. Cet animal possède environ 34.000 gènes répartis sur 8 chromosomes. Le matériel génétique codant pour la synthèse des caroténoïdes proviendrait apparemment d'un champignon. © jpeccoud, Wikimedia common, CC by 3.0 Puceron vert : une quantité d’énergie dépendante de la lumière Le puceron vert du pois Acyrthosiphon pisum est vert quand il fait froid (8 °C), orange en conditions de vie optimales (22 °C) et blanc si la population est trop grande et les ressources peu nombreuses. Des spécimens ont été placés dans le noir total ou/puis exposés à 18 heures de lumière par jour. La quantité d’adénosine triphosphate (ATP) présente en leur sein, la source d'énergie du métabolisme des êtres vivants, a ensuite été mesurée. Les individus verts possédaient des niveaux d’ATP plus élevés que les blancs. Aucune variation n’a cependant été observée chez ces deux groupes entre les deux conditions expérimentales. Le cas des insectes orange, non dotés de réserves lipidiques comme les verts, est plus intéressant. La production d’ATP a fortement diminué chez les organismes élevés dans le noir puis augmenté lors de leur retour à la lumière, signe que ce facteur pourrait conditionner une importante synthèse de molécules énergétiques. Les pigments ont été localisés directement sous la cuticule des insectes, une position idéale pour capter la lumière solaire, au sein d’une couche présentant une épaisseur de 0 à 40 µm. On a extrait des caroténoïdes chez des pucerons orange analysés par diverses méthodes employant notamment des spectromètres. Des pics d’absorption ont très nettement été observés. Les pigments peuvent donc bien capter la lumière. Ils ont ensuite été mis en présence de sels de tétrazolium puis placés ou non sous un éclairage artificiel. Un précipité bleu a confirmé un point essentiel : des électrons sont libérés en présence de lumière. Un accepteur d’électron au potentiel redox similaire à celui de la coenzyme NAD+ présente chez les plantes a même été trouvé. Les caroténoïdes des aphididés peuvent donc capter de l'énergie solaire et la transmettre par une voie similaire à celle pratiquée par les photosystèmes de la photosynthèse. Les auteurs de l’étude ont néanmoins tenu à préciser que ces expériences constituaient un début, mais qu’il faudrait encore du temps avec d'affirmer que ces insectes « photosynthétisent » ou non. Cette action implique en effet une capture de CO2 qui n’a pas été étudiée chez les insectes. Les découvertes faites chez les pucerons constituent une grande première. Une nouvelle question se pose désormais : quelle est l’utilité de cette fonction puisque ces animaux obtiennent déjà beaucoup de sucre, le produit final de la photosynthèse, grâce à leur alimentation ? Source: http://www.futura-sciences.com Article: ttp://www.nature.com/srep/2012/120816/srep00579/full/srep00579.html Le puceron vert du pois (Acyrthosiphon pisum), un insecte homoptère mesurant 2,5 à 4,4 mm de long, parasite de nombreuses plantes de la famille des légumineuses (pois, haricot, luzerne, etc.). © Bettaman, Flickr, CC by-nc-sa 2.0
  10. Une nouvelle araignée vient d’être découverte au sein de cavités dans l'ouest des États-Unis. Mesurant 4 cm de large, la voleuse des grottes Trogloraptor marchingtoni se caractérise par d’impressionnantes griffes à l’extrémité des pattes. D’autres caractères uniques ont nécessité la création d’une nouvelle famille, celle des trogloraptoridés, pour pouvoir la classer. La grande classe des araignées, 3.600 espèces rien qu’en Amérique du Nord, compte désormais un membre supplémentaire dans ses rangs. Trogloraptor marchingtoni, décrite par des spécialistes de la California Academy of Sciences (CAS) dans la revue Zookeys, a été découverte par des amateurs dans des grottes du sud-ouest de l’Oregon aux États-Unis. D’autres spécimens ont par la suite été trouvés au sein de forêts californiennes, les old-growth redwood forests, par des scientifiques de la San Diego State University. Une nouvelle famille a dû être créée tant la nouvelle araignée est unique, un événement peu fréquent. Trogloraptor a reçu son nom en référence au lieu de sa découverte et à son anatomie : « Troglo » car elle vit dans des grottes et « raptor » en référence aux griffes terminant ses pattes. © Griswold C.-E., Audisio T. et Ledford J.-M. La voleuse des grottes, son nom vulgarisé, mesure 4 cm de large lorsque ses pattes sont étendues. Elle possède 2 ou 3 impressionnantes griffes, comparées en apparence à celles des raptors, à l’extrémité de ses pattes. Trogloraptor marchingtoni serait donc, selon des suggestions émises par les scientifiques, un prédateur actif pouvant cibler précisément ses proies. Il n’est cependant pas possible de l’affirmer car aucune araignée n’a été observée en train de chasser ou même de manger, malgré plusieurs tests réalisés en laboratoire. Les trogloraptoridés seraient des représentants primitifs du groupe des dysderoïdés. Plusieurs éléments rapprocheraient d'ailleurs les voleuses des grottes des araignées gobelins, ces arachnidés ne mesurant que quelques millimètres de long. L’anatomie de cette nouvelle espèce, composée de nombreux caractères ancestraux mais aussi d’un certain nombre de nouveautés, pourrait être à la base d’une révision de l’histoire évolutive des araignées. La conclusion revient aux auteurs : « Si des araignées aussi grosses et bizarres ont pu vivre si longtemps sans être découvertes, qui sait ce qui peut encore se cacher dans cette remarquable partie du monde [NDLR, en Amérique du nord] ». Source: http://www.futura-sciences.com Article: http://www.pensoft.net/J_FILES/1/articles/3547/3547-G-3-layout.pdf
  11. Au temps des chasseurs de vipères En 1910, Jean Martin captura en 6 mois 12 032 vipères. Photo Ann Dorge Le métier de chasseur de vipères a survécu jusqu’au XX e siècle, chaque canton possédait son propre chasseur. Tout d’abord le chasseur de vipères débarrassait les terrains de cet animal considéré comme fortement nuisible dans des temps reculés mais il allait aussi à la traque, connaissant le mode de vie, de reproduction de cette "bête à venin". Les bons chasseurs pouvaient en capturer mille par an rémunérés 20 centimes pièce en 1910. La chair de la vipère était connue et utilisée pour fabriquer un contrepoison : la Thériaque. La tradition populaire revêtait à la chair de ce serpent des effets revigorants, pour cela il fallait l’ingérer mais indirectement. Les morceaux de chair de vipère étaient distribués en ripailles à des volailles qui elles-mêmes servaient de repas à des nobles ayant les moyens de se payer cette fantaisie. Plus tard les chasseurs de vipères furent employés par les laboratoires pharmaceutiques, le venin étant injecté à des chevaux qui fabriquaient un antidote naturel. Aujourd’hui, les antidotes sont artificiels et les chasseurs de vipères sont rentrés dans la légende des métiers de traditions populaires que les temps modernes ont effacés des mémoires. Source: http://www.leprogres.fr
  12. Article: http://mbio.asm.org/content/3/4/e00180-12.full.pdf+html
  13. Des chercheurs ont déchiffré le génome complet d'un Boa constrictor grâce auquel ils ont pu identifier un virus qui frappe d'autres serpents. Cette maladie entraîne la mort des serpents en les faisant s'emmêler. Une classe de virus nouvellement découverte serait à l’origine d'une maladie qui entraîne l'emmêlement des serpents. Une fois infectés, les serpents régurgitent leur nourriture, arrêtent de manger et font des nœuds de leur corps. Des chercheurs de l'université de San Fransisco ont découvert trois nouveaux virus chez des serpents en captivité : des boas constricteurs et des pythons. Ces virus infectent directement les cellules des serpents et sont d'un genre totalement différent de ceux connus jusqu'ici. "Il est extrêmement différent de tout ce que nous connaissions jusqu'ici, il est pratiquement entièrement nouveau", indique Joseph DeRisi le chercheur à l'UCSF qui a dirigé les travaux publiés dans la revue en ligne mBio. Ces virus à ARN qui infectent parfois les humains (ils entraînent notamment une fièvre de Lassa) n'avaient jamais été observés chez des reptiles auparavant. La principale différence réside dans le fait que les virus à ARN retrouvés dans les serpents présentent certaines particularités. Ils possèdent notamment un gène présent dans l'Ebola (qui est un filovirus) et qui est donc très différent de cette classe de virus. Les virologues n'avaient jusqu'ici jamais cru possible que ces deux classes puissent échanger des gènes entre eux souligne William Gallaher, un virologue et professeur émérite à l'université de Louisiane. Selon les données les plus récentes, le filovirus Ebola auraient pu s'être mélangé aux virus ARN il y a très longtemps. Cependant, Gallaher estime que les chances pour que cela se soit passé ainsi restent faibles. En effet, les deux virus sont de types biologiques très différents aussi, les retrouver tous les deux actifs dans la même cellule au même moment pour mélanger leur matériel génétique est très improbable. De son côté, DeRisi s’enthousiasme pour une autre possibilité. Peut-être que ces virus de serpents sont des ancêtres des virus à ARN et des filovirus. "Peut-être nous trouvons nous face à des virus de dinosaures qui datent d'il y a une éternité". Ces anciens virus reptiliens auraient pu évoluer jusqu'à devenir des virus à ARN infectant des rongeurs qui auraient été avalés par des serpents (ce que les chercheurs nomment l'hypothèse de la revanche des rongeurs). Pour l'heure, l'origine exacte de ce virus reste donc mystérieuse. Pour en apprendre davantage, les scientifiques vont maintenant chercher à infecter des serpents sains avec les virus retrouvés et génétiquement identifiés afin d'observer si les reptiles développeront la maladie. Source:http://www.maxisciences.com
  14. askook

    piebald et pied side

    Quelle est la signification de ces deux termes ou leur différence?
  15. askook

    Pituophis catenifer sayi

    Conté de Sauk dans l'état du Wisconsin Photo de Mike Collalto pour illustration
  16. Comté de Kankakee, dans l'État de l'Illinois. Photo de John Ginter pour illustration
  17. askook

    Articles de presse

    Les cavales de serpents en hausse La Société protectrice des animaux de la Mauricie (SPAM) est appelée à intervenir de plus en plus pour régler des problèmes avec des serpents. Uniquement depuis le mois de mai, l'organisme a requis les services d'un spécialiste des reptiles pour attraper quatre serpents en libertés ou abandonnés. Plus au nord, la Ville de La Tuque, qui interdit la possession de reptile sur son territoire, a dû vendredi dernier saisir un piton de Birmanie d'une longueur de 12 pieds et d'un poids de 120 livres. «Nous notons une augmentation de ces cas dans la région», note la coordonnatrice de la SPAM, Marilou Durand. La Ville de La Tuque interdit sur son territoire depuis l'an 2000 tout type de reptile. Cela inclut bien sûr les serpents, iguanes, lézards et crocodiles. Or, à la suite d'une plainte anonyme d'un voisin, la Ville n'a eu d'autres choix que d'intervenir auprès de la propriétaire d'un python de 120 livres. Lors de l'arrivée des responsables de la fourrière municipale, l'animal était en liberté dans l'appartement. «C'est une situation vraiment exceptionnelle. Nous ne faisons pas face tous les jours à ce type d'animal», avoue le greffier de la Ville de La Tuque, Jean-Sébastien Poirier. La Ville a demandé la saisie de l'animal et son hébergement à la fourrière municipale. «Nous le gardons jusqu'à ce que la dame trouve une solution», soutient M. Poirier. La propriétaire devra donc trouver un endroit autre que La Tuque pour héberger son serpent. Il n'est toutefois pas question d'euthanasie l'animal. «Nous le gardons le temps que ça prendra», ajoute le greffier municipal. Un piton de Birmanie se nourrit de proie pesant de 15 à 20 livres. En mai dernier, un serpent des blés, une espèce non venimeuse qui pèse trois livres, avait été trouvé dans une poubelle de la rue Sainte-Angèle à Trois-Rivières. Quelques semaines plus tard, deux autres serpents ont été découverts dans un logement vide par le propriétaire de l'immeuble. Une situation similaire a eu lieu à Shawinigan lorsqu'un locataire a laissé son serpent dans son appartement inoccupé. La semaine dernière, le propriétaire d'un boa constrictor de près d'un mètre était à la recherche de son animal. Celui-ci est en liberté dans le secteur de Jonquière à Sagnenay. Source: http://www.lapresse.ca
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