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Le lézard ocellé hôte des Calanques et bientôt choyé Présent dans huit régions françaises, notamment dans les Calanques et la Crau, le lézard ocellé est menacé de disparition. Un plan national est en préparation pour inverser la tendance, qui passe entres autres par l'achat de terrains. Avec son sol parsemé de cailloux et son soleil en abondance, la plaine de la Crau est un paradis pour le lézard ocellé. Mais ce qui en constituait il y a une dizaine d'années l'un des viviers les plus importants en France a vu sa population "dégringoler à vitesse grand V, avec une diminution des effectifs de deux tiers", note Vincent Kulesza, président du Conservatoire des espaces naturels de Provence-Alpes-Côte d'Azur (CEN PACA), qui gère notamment la réserve naturelle nationale de la Crau. Un cas malheureusement pas isolé pour le plus grand lézard d'Europe - il peut atteindre 70 cm et vivre plus de 10 ans - présent au niveau national sur le pourtour méditerranéen et le long de la façade atlantique. Malgré la protection au niveau européen dont elle bénéficie, cette espèce classée depuis peu sur la liste rouge de l'UICN, "est sous l’influence de graves pressions et menaces. Les perspectives ne nous permettent pas d’assurer une viabilité et une conservation à long terme des populations", s'alarme l'état des lieux d'un plan national d'action (PNA) soumis depuis le 7 août à consultation par le ministère du Développement durable, l'un des dernières étapes avant sa validation finale. Un plan sur 5 ans renouvelable Ce dispositif tourné vers l'opérationnel - qui dans les Bouches-du-Rhône est notamment utilisé pour sauver l'aigle de Bonelli - prévoit sur la période 2012-2016 de mettre en place 21 actions où sont invitées à participer services de l'Etat, collectivités, organismes de protection de l'environnement, chercheurs... Résumé du plan : "une meilleure connaissance de la répartition, un suivi des populations phares, la recréation de corridors biologiques et une meilleure information du public", commente Vincent Kulesza. Vu "l'ampleur de la tâche", le document anticipe déjà une reconduction, comme c'est le cas actuellement pour la vipère d'Orsini. Et pourquoi pas, glisse le président du CEN PACA, "une évolution vers un programme européen Life, comme pour la vipère d'Orsini et la tortue d'Hermann". Qu'arrive-t-il au lézard ocellé ? L'une des pistes du PNA, qui vise aussi à mieux répondre à cette question, est de pousser l'étude des effets des produits chimiques, "liés par exemple en Crau à des exploitations agricoles (pêchers, élevage)", indique Vincent Kulesza. Il cite aussi une possible maladie virale et le braconnage, dont les conséquences sont difficiles à estimer : "il peut ne pas y en avoir pendant cinq ans puis quelqu'un peut passer et récolter 10, 50 lézards". Sur ce point, "outre les actions de communication sur le long terme qu’il convient de mener", le PNA demande aux autorités "un renforcement des contrôles et des sanctions." Acheter des terrains pour protéger Comme beaucoup d'autres espèces, le lézard ocellé est aussi victime du "morcellement de son habitat, dû aux infrastructures linéaires (routes et chemin de fer) et à l'urbanisation, qui fait qu'il n'y a plus de contact entre les populations", explique Vincent Kulesza. D'où la nécessité de préserver voire reconstituer "ces fameuses trames vertes et bleues, que nous appelons corridors biologiques". Le remède est certainement l'aspect qui sera le plus tangible du plan : "constituer un réseau cohérent et consistant d’espaces protégés permettant d’assurer la conservation de l’espèce". "Pour l'instant, on n'a jamais acquis de terrains spécifiquement pour le lézard ocellé", commente Vincent Kulesza, pour qui les Bouches-du-Rhône regorgent "de micro-espaces" favorables à ce type de protection. Très rapidement, le lézard ocellé va aussi pouvoir compter sur le parc national des Calanques, qu'il fréquente assidûment. "Il pourrait en être un des emblèmes, avec le phyllodactile d'Europe (un reptile rose beaucoup plus petit présent sur les îles, ndlr)", estime le technicien. Pour lui, le parc "va bonifier le suivi scientifique, permettre un financement plus aisé des actions. Et dans les parcs nationaux, on a immédiatement un minimum de respect des sites, qu'on n'a pas dans un parc régional et même une réserve nationale". Du côté du PNC, on rappelle toutefois que pour l'instant "tout est encore à mettre en place", du conseil d'administration aux équipes, et qu'il faudra attendre début 2013 pour les premières actions. Fiche d'identité Le lézard ocellé doit son nom aux tâches bleues qui ornent ses flancs. Cette couleur ne doit rien au hasard, puisqu'elle permet de maximiser la chaleur captée, explique Vincent Kulesza. L'homme ne s'y est d'ailleurs pas trompé lorsqu'il s'est agi de fabriquer des panneaux solaires... Cette caractéristique fait qu'"il est très souvent confondu avec le lézard vert, qui a une gorge bleue". Friand d'insectes mais ne dédaignant pas des lézard plus petits, il s'anime à partir du printemps, pointant souvent le museau hors de son terrier, qu'il emprunte parfois au lapin de garenne. C'est là qu'on peut le plus facilement l'apercevoir, "très difficilement en journée", précise Vincent Kulesza. Ils s'observent surtout tôt ou tard et à la jumelle car ils sont très craintifs." Un conseil : se positionner en surplomb, comme le fait le circaète Jean-le-Blanc, un de ses principaux prédateurs avec les autres rapaces et les serpents. Source: ttp://www.marsactu.fr/environnement/le-lezard-ocelle-hote-des-calanques-et-bientot-choye-28590.html
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Le Laos abrite déjà d'énormes araignées. Dorénavant, il possède également la première représentante totalement aveugle, faute d’yeux, de la famille des sparassidés : Sinopoda scurion. Cette nouvelle espèce est évidemment cavernicole. N’a-t-on rien trouvé d’autre dans les entrailles de la Terre ? Source de phobie chez certaines personnes, les araignées sont pourtant de redoutables prédateurs pouvant réguler des populations d’insectes et donc nous venir en aide. Plus de 40.000 espèces ont été répertoriées à ce jour dont un peu plus de 1.100 appartiennent à la famille des sparassidés. Ce taxon s’observe sur tous les continents, à l’exception des pôles. L’un de ses représentants vivant au Laos, Heteropoda maxima, présente une caractéristique que certains jugeront surprenante et d’autres effrayante : il peut atteindre 25 à 30 cm de long ! Cette famille vient de s’agrandir à la suite de la découverte, toujours au Laos, de 9 nouvelles espèces du genre Sinopoda. L’une d’entre elles présente même une propriété unique pour la famille des sparassidés : elle est aveugle car dépourvue d’yeux ! Cette information vient d’être présentée dans la revue Zootaxa par Peter Jäger du Senckenberg Research Institute à Frankfurt (Allemagne). Gros plan sur une tête de Sinopoda scurion. Les yeux sont très clairement absents. Des Sparassidés mâles appartenant à l'espèce Heteropoda venatoria produiraient des sons en tapant leurs pattes sur une surface en présence de femelles. Ces araignées perçoivent en effet très bien les vibrations via leurs membres. Avec Sinopoda scurion, toute une série d’araignées cavernicoles Sinopoda scurion, c’est son nom, a été découverte en 2009 dans une grotte de la province de Khammuan, au Laos, à un peu plus de 100 km du site de Xe Bang Fai qui abrite une rivière souterraine géante. Sa longueur totale (pattes incluses) peut atteindre 6 cm. Le corps mesure quant à lui 1,2 cm de long. Comme pour d’autres animaux, la régression des yeux correspondrait à une adaptation au manque de lumière. À l'image des crabes, scorpions et poissons qui vivaient dans la même grotte, l’araignée est également dépourvue de pigmentation. Il s’agit, là aussi, d’une première pour un représentant du groupe des sparassidés. Les 8 autres espèces, toutes trouvées au sein de cavités laotiennes, présentaient également des adaptations plus ou moins importantes à la vie cavernicole. Sinopoda taa, mise au jour en décembre 2010 à Tham Nguen, possède par exemple toujours 8 yeux, un standard chez les sparassidés. En revanche, Sinopoda guap, collectée pour la première fois en février 2004 à Tham Nam Non, et Sinopoda soong, observée durant le mois d'avril 2012 à Tham Pha Yot, n’en présentent respectivement plus que 6 et 2. Grâce à ces découvertes et au fait qu’elles aient toutes eu lieu au sein de milieux petits et confinés, l’auteur pense qu’il sera possible d’étudier plus précisément les processus liés à l’adaptation à la vie cavernicole (notamment la disparition des yeux), ainsi que l’historique des colonisations, chez ces araignées. Il suggère également d’utiliser ces organismes comme indicateurs pour étudier l’impact des pressions exercées par le tourisme et les industries minières (extraction de calcaire) sur les écosystèmes souterrains. Source: http://www.futura-sciences.com Article: http://www.mapress.com/zootaxa/2012/f/zt03415p057.pdf
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Faits divers concernant les ophidiens
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
Astrid, le boa constrictor, a regagné ses pénates Bourg-en-Bresse. Après s’être échappé il y a deux semaines de son appartement, et après une longue digestion dans un conduit de l’immeuble, le boa est rentré chez lui tout seul. out est bien qui finit bien pour le boa Astrid. La femelle constrictor imperator, qui avait disparu de son appartement du 20 avenue Alphonse-Baudin, a regagné ses pénates, lundi soir, deux semaines après avoir faussé compagnie à son maître. Hébergée dans un terrarium, elle avait été sortie dans la salle de bain pour avaler un joli rat de 500 grammes. Puis, son casse-croûte terminé, elle avait découvert un petit trou de maçonnerie, et s’y était faufilée. La suite, on la connaît. Notre boa a refusé de se laisser tirer par la queue par son maître et s’est engouffré plus loin dans les entrailles de l’immeuble. Après un début de psychose pour certains riverains, à qui le propriétaire avait un peu maladroitement conseillé de boucher d’éventuels trous dans leurs cloisons, le constrictor imperator a fait la Une des journaux. La nôtre d’abord, puis celle des émissions d’une multitude de chaînes de télévision, avec des papiers partout dans la presse nationale comme régionale. Et pourtant, le reptile d’1,40m était inoffensif. D’abord, il n’était pas agressif. Ensuite, son bon repas devait, selon les spécialistes, l’inciter à observer une longue sieste dans les doublages de l’immeuble. On n’avait donc rien à craindre de lui. Pourtant, on a parlé que de l’animal en ville pendant une bonne dizaine de jours, au restaurant en bas de l’immeuble, où le patron n’en pouvait plus d’être questionné sans cesse sur le sujet, mais aussi dans le quartier du Sacré-Cœur, où un témoin disait l’avoir aperçu dans la basilique ! Psychose quand tu nous tiens… Et puis donc, lundi, son maître qui, pour l’inciter à revenir bien au chaud dans l’appartement, avait placé au niveau du trou par où il s’était échappé une lampe chauffante, a vu réapparaître la femelle boa. L’appel du ventre et de la chaleur probablement. Hier après-midi, sans vouloir s’épancher sur la fin de la mésaventure, le jeune homme a quand même prévenu les sapeurs-pompiers, pour permettre de rassurer les derniers anxieux. Cette fois, le feuilleton burgien de l’été est terminé. Astrid, le boa constrictor imperator, ne devrait plus faire parler d’elle. Personne ne s’en plaindra. Source: http://www.leprogres.fr -
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Faits divers concernant les ophidiens
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
La fourrière pour un python de Birmanie Suite à une plainte d’un citoyen, la municipalité a dû agir contre une locataire d’un immeuble à loyer de la rue Réal qui possédait un python de Birmanie de 120 livres et mesurant 12 pieds. Selon le règlement municipal, «la garde de tout reptile et plus particulièrement de serpents, lézards, crocodiles, iguanes est interdite sur tout le territoire de la municipalité», «la garde de tout félin» ou un chien de certaines races dangereuses. La dame vit à La Tuque depuis un an et demi, mais réside depuis peu sur la rue Réal. Le serpent immense demeure avec elle depuis plus de 15 ans. Les autorités municipales se sont rendues chez la dame vendredi matin. D’un commun accord, la Ville et la dame se sont entendues sur la façon et les dispositions pour mettre le python en fourrière, jusqu’à ce que la propriétaire prenne une décision. Soit elle déménage, ou elle fait euthanasier le reptile. «Il ne peut pas y avoir de mesures spéciales pour un propriétaire d’un tel animal sur le territoire de La Tuque, précise le greffier municipal, Jean-Sébastien Poirier. Il s’agit d’une situation inhabituelle, puisqu’à ma connaissance, c’est la première fois que la municipalité intervient pour un tel cas. Lors de notre intervention vendredi dernier, le serpent était libre dans le loyer.» La propriétaire du python à accès à la fourrière municipale afin de nourrir et de prendre soin de son «bébé». Selon Wikipédia, le python indien (Python molurus), est difficilement accessible sur le marché. En raison de sa grande taille à l'âge adulte et de sa puissance, sa maintenance n'est pas des plus aisée. Il se nourrit principalement de mammifères, d’oiseaux, et de reptiles. En captivité, il doit être nourri de mammifères, notamment des lièvres. Source: http://www.lechodelatuque.com/ -
Un python femelle géant rempli de 87 oeufs retrouvé en Floride MIAMI (Etats-Unis) - Le plus grand des pythons jamais trouvé en Floride, un reptile de plus de 5 m et 70 kg, a été attrapé dans le Parc national des Everglades, avec 87 oeufs, ce qui constitue aussi un record, ont annoncé mardi des scientifiques. C'est une chose monstrueuse, il est large de 30 cm et long de 5,35 m, s'est écrié Kenneth Krysko, directeur de la collection de reptiles au Musée d'Histoire nationale de Floride. Il s'agit d'un python molure (python molurus), ou python de Birmanie, originaire d'Asie du Sud-Est et trouvé pour la première fois dans les Everglades en 1979 où il a été introduit illégalement. Se nourrisant d'oiseaux, de cerfs, de lynx, d'alligators et d'autres grands mammifères, il n'a pas de prédateur naturel et les estimations sur sa population aux Etats-Unis varient de milliers à des centaines de milliers d'exemplaires. Ils constituent un problème pour la faune locale par leur nombre, leur longévité et leur capacité à se reproduire abondamment. Ces serpents survivent longtemps dans la nature, a indiqué M. Krysko, relevant l'importance d'avoir trouvé un si grand specimen. Rien ne les arrête et les animaux originaires du parc sont en difficulté, a-t-il ajouté. Une augmentation rapide de leur nombre a conduit à des lois fédérales récentes qui interdisent la possession ou le transport sans autorisation de ce genre de python. Les habitants de Floride peuvent aussi les chasser durant certaines saisons avec un permis. Ils étaient ici il y a 25 ans, mais en très petit nombre et il était difficile d'en trouver en raison de leur aptitude à se cacher, a expliqué M. Krysko. A présent, vous pouvez aller dans les Everglades à peu près tous les jours de la semaine et trouver un python de Birmanie. Nous en avons trouvé 14 en un seul jour, a-t-il ajouté. M. Krysko a rapporté que l'estomac du python géant contenait des plumes d'oiseaux que les chercheurs sauront identifier. En étudiant ce que cet animal a mangé et sa façon de se reproduire, nous espérons comprendre comment mieux réussir à nous occuper des pythons de Birmanie sauvages dans le futur, a-t-il noté. Skip Snow, un biologiste du Parc national des Everglades, a ajouté que les analyses du python allait aider à stopper la prolifération de cette espèce. Il n'y a pas beaucoup d'éléments pour savoir combien d'oeufs une grande femmelle peut porter à l'état sauvage, a relevé M. Snow qui ajoute que cet exemple montre que cet animal se reproduit en grand nombre, ce qui explique son caractère envahissant. A l'issue des recherches scientifiques, le serpent sera exposé au musée et retournera au Parc des Everglades... sous une vitrine. Source: http://www.romandie.com Vidéo: http://www.rtbf.be/info/etcetera/detail_un-python-geant-de-plus-de-5-m-et-75-kg-retrouve-en-floride?id=7821885
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mes naissances 2012 Pituophis mugitus
askook a répondu à un(e) sujet de jojoscoottkr11 dans Serpents
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Meos Reptiles : Gongylophis Colubrinus 2012
askook a répondu à un(e) sujet de Meos8603 dans Vos P'tits Virus
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Meos Reptiles : Lichanura Trivirgata Trivirgata 2012
askook a répondu à un(e) sujet de Meos8603 dans Vos P'tits Virus
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Faits divers concernant les chéloniens
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
Une tortue, vétéran de la Première Guerre mondiale, cherche un maître La tortue méditerranéenne qui s’appelle Blake, est à la recherche d'un nouveau propriétaire, rapporte The Sun. Blake a été pris d’un champ de bataille sur la péninsule de Gallipoli en Turquie par un soldat britannique qui s’appelle Marris au cours de la Première Guerre mondiale de 1915. En 1916, le soldat a rapporté la tortue en Grande-Bretagne, écrit le Daily Mail. Le premier propriétaire de Blake est mort il y a 30 ans. En 1983, Blake a été repris par une militante pour la protection des animaux Marion Skinner, actuellement âgée de 67 ans, et qui n’a plus la santé de s’occuper de la tortue. Skinner a dit qu'avec l'âge, la vue de Blake s’est détériorée, mais il continue à s’accoupler activement avec des femelles. En attendant son nouveau maître, Blake vit dans un service d’accueil pour les animaux Norfolk Tortoise Club. Source: http://french.ruvr.ru -
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La plus belle photographie du monstre du Loch Ness George Edwards peut être fière. Ce chasseur de monstre de 60 ans aurait pris le meilleur cliché de Nessie, le monstre du Loch Ness. Le mystère du monstre du Loch Ness est toujours entier, même si certains tentent encore et toujours de le percer. C’est la passion de George Edwards. Il serait d’ailleurs, d’après des scientifiques, le détenteur du meilleur cliché de Nessie. Ce britannique de 60 ans a pris cette photo en novembre dernier. Une mystérieuse bosse est sortie de l’eau pendant 5 à 10 minutes et l’homme a tout de suite dégainé l’appareil photo. Il explique dans les médias écossais : « Il se déplaçait lentement vers le lac vers le château d'Urquhart et il était d'une couleur gris foncé. Il était d'une taille à peu près égale à celle de mon bateau et était à environ 800 mètres. » Pour faire certifier sa photographie et ainsi contrer les mauvaises langues, George l’a envoyée à des experts américains. Il affirme : « Je ne voulais pas parler de mon expérience ni de ma photo jusqu'à ce que je sois sûr que je n'avais pas photographié un simple objet flottant dans l'eau. J'ai des amis aux Etats-Unis qui ont des amis dans l'armée. Ils ont soumis ma photographie à diverses analyses et selon eux il n’y a pas de doute, j’ai bien vu un sujet mouvant dans l’eau. » C’est aussi pourquoi le cliché n’apparait que maintenant. Les experts ont pris cette photo au sérieux et ont estimé qu’il s’agissait de l’image la plus claire de cette créature. Malgré cela, rien ne prouve encore que le monstre du Loch Ness existe réellement. Source: http://www.rtl.be Lien: http://www.scotsman.com/news/odd/does-this-nessie-photo-show-the-real-loch-ness-monster-1-2448812
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mes naissances 2012 Pituophis mugitus
askook a répondu à un(e) sujet de jojoscoottkr11 dans Serpents
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Le scorpionisme en Afrique
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Mygales - Arachnides - Scorpions
Plus de 900 cas de piqûres de scorpion depuis le début de l’année à Laghouat et Naâma (Algérie) Pas moins de 931 cas de piqûres de scorpions ont été enregistrés depuis le début de l’année à travers les wilayas de Laghouat et de Naâma, selon le bilan de la direction locale de la Santé, de la population et de la réforme hospitalières (DSPRH). Un total de 562 cas d’envenimation scorpionique, dont un décès (un nourrisson), est signalé dans la wilaya de Laghouat, touchant pratiquement toutes ses communes, excepté celle de Oued M’zi, avec une plus forte prévalence dans la commune de Gueltet Sidi-Saâd (91 cas), suivie de Ksar El-Hirane (79) et Laghouat (45). Dans la wilaya de Naâma, sont enregistrés 371 cas de piqûres de scorpions (sans décès), un nombre en baisse par rapport à la même période de l’année dernière où avaient été signalés 462 cas, dont trois décès aux mois de juillet et août. Le plus grand nombre de cas d’envenimation est relevé dans les communes de Tiout et Asla qui cumulent 213 cas, suivies de celles de Djeniène Bourezgue (67) et Mekmène Benamar (39), a-t-on fait savoir. Source: http://www.lexpressiondz.com Partager sur : Post on Facebook Facebook Add to your del.icio.usdel.icio.usDigg this storyDigg StumbleUpon StumbleUpon Twitter Twitt -
mes naissances 2012 Pituophis mugitus
askook a répondu à un(e) sujet de jojoscoottkr11 dans Serpents
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Depuis le décès des deux jeunes survenu quelques jours après leur naissance, plus de soucis. Ils sont tous mués et pris un premier repas. En ce qui concerne la vente, les spécimens étaient déjà tous réservés avant même de naître. Tu vis en Belgique? Si c'est le cas, il y a un éleveur belge qui reproduit de la "situla".
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La tortue luth (Dermochelys coriacea)
askook a répondu à un(e) sujet de Constricteur dans Tortues - Crocodiles
Une tortue géante découverte sur une plage en Camargue Une tortue luth de 320 kg et 2 mètres de long, baguée à Trinidad-et-Tobago dans les Caraïbes, a été retrouvée lundi matin par des vacanciers sur une plage de Salin-de-Giraud dans les Bouches-du-Rhône, en Camargue. La surprise a été de taille pour ces vacanciers. Une tortue géante de de 320 kg et 2 mètres de long, baguée à Trinidad-et-Tobago dans les Caraïbes, s'est échouée sur une plage en Camargue. "A priori, c'est un bateau de pêche qui l'a prise dans ses filets et l'a ramenée sur la plage, où des campeurs l'ont maintenue en vie en creusant un grand trou protégé par des bâches", a expliqué un des pompiers appelés sur place vers 8 heures. Des spécialistes du centre d'études et de sauvegarde des tortues marines en Méditerranée (CESTMed), venus examiner l'animal, ont décidé de le remettre à l'eau à la mi-journée. "En espérant qu'il ne s'échoue pas en mer de nouveau d'ici 24 à 48 heures", a souligné Jean-Marc Groul, directeur du "Seaquarium", aquarium géant du Grau-du-Roi (Gard) qui héberge le centre. La tortue ne souffrait que de blessures superficielles, a-t-il précisé. Les tortues luth, qui ne possèdent pas d'écailles mais un dos dit cuirassé, peuvent vivre une cinquantaine d'années, mesurer jusqu'à 2 mètres et atteindre 500 kg, voire 800 kg. En voie de disparition, elles sont "très rarement observées" en Méditerranée, où elles effectuent des passages pour trouver de la nourriture, en particulier des méduses, selon Jean-Marc Groul. La population des tortues luth, l'une des plus anciennes espèces du monde, est restée relativement stable dans l'Atlantique, mais a décliné de façon inquiétante dans le Pacifique. Une diminution attribuée aux prises accidentelles des chalutiers et à la disparition de leurs zones de reproduction en raison de l'urbanisation des côtes. Source:http://lci.tf1.fr -