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Tout ce qui a été posté par askook

  1. N°11, janvier 2011 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/Reptile_Rap_11_Jan_2011.pdf
  2. N°10, juin 2010 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/Reptile_Rap_10_28June2010.pdf
  3. N°9, janvier 2010 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/REPTILE_RAP_9_21jan10.pdf
  4. N°8, décembre 2007 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/ReptileRap%208%20Dec07.pdf
  5. N°7, août 2005 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/RepRap7%20Aug05.pdf
  6. N°6, septembre 2004 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/RepRap6%20Sep04.pdf
  7. N°5, février 2003 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/RepRap5%20Feb03.pdf
  8. N°4, avril 2002 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/Reptile_Rap_4_Apr2002.pdf
  9. Vol.2, N°.1, septembre 2000 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/Reptile_Rap_2_1_Sep2000.pdf
  10. Vol.1, N°.2, Mars 2000 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/Reptile_Rap_1_2_Mar2000.pdf
  11. Vol.1, N°1, Septembre 1999 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/Reptile_Rap_1_1_Sep1999.pdf
  12. Des biologistes ont trouvé en Inde douze nouvelles espèces de grenouilles appartenant au genre Nyctibrachus, et redécouvert trois espèces. Ces espèces sont endémiques à l'Inde. Toutes ces grenouilles ont été repérés dans la région des Ghâts occidentaux, une chaîne de montagnes que longe la côte ouest de l'Inde. En raison de la faible surface qu'elles occupent, au moins six des nouvelles espèces sont sensibles à la perte de leurs habitats et exigera des mesures immédiates pour leur conservation. Source:http://www.wired.com/wiredscience/2011/09/new-and-rediscovered-frogs/?pid=2145&viewall=true Les 12 nouvelles espèces: Nyctibatrachus acanthodermis Nyctibatrachus danieli Nyctibatrachus deveni Nyctibatrachus gavi Nyctibatrachus grandis Nyctibatrachus indraneili Nyctibatrachus jogging Nyctibatrachus periyari Nyctibatrachus pillaii Nyctibatrachus poocha Nyctibatrachus shiradi Nycyibatrachus vrijeuni 3 espèces qui n'avaient plus été observées depuis plus de 70 ans. Nyctibatrachus kempholeyensis Plus observée depuis 74 ans Nyctibatrachus sanctipalus Plus observé depuis 91 ans Nyctibatrachus sylvaticus Plus observée depuis 74 ans Article: A taxonomic review of the Night Frog genus Nyctibatrachus Boulenger, 1882 in the Western Ghats, India (Anura: Nyctibatrachidae) with description of twelve new species http://www.mapress.com/zootaxa/2011/f/z03029p096f.pdf
  13. Un collectionneur de serpents tué par son cobra cracheur Un collectionneur de serpents a été tué par l'un des 89 reptiles qu'il conservait chez lui à Grahamstown en Afrique du Sud. Son cobra cracheur rouge lui a craché au visage alors qu'il le prenait en photo. Le jeune homme de 29 ans, qui était en compagnie d'un ami dimanche au moment des faits, a pris immédiatement des médicaments mais le crachat lui a été fatal et il est mort lundi. Source: http://www.ledauphine.com/france-monde/2011/09/19/un-collectionneur-de-serpents-tue-par-son-cobra-cracheur
  14. Morocco herps.com http://www.moroccoherps.com/fr/Inicio
  15. Un scorpion sème l’effroi dans le magasin de chaussures Une découverte a semé l’effroi samedi, en début d’après-midi, au magasin la Halle aux Chaussures de Pleurtuit, près de Dinard, en Ille-et-Vilaine. Un scorpion a été aperçu par une cliente. « Un scorpion d’une dizaine de centimètres » Il est environ 14 h 30, samedi, c’est l’affluence dans les rayons, lorsqu’une cliente vient alerter les responsables du magasin de Pleurtuit, à l’entrée de Dinard. « Elle venait de voir un scorpion courir sur le sol. Il mesurait 10 cm environ. Il s’est redressé, a pointé son dard, avant de disparaître sous les étagères. » Son témoignage est pris très au sérieux. Les pompiers sont alertés. Des hommes de la caserne de Pleurtuit engagent des recherches dans le magasin, sans pour autant l’évacuer. Ils sont rapidement rejoints par un vétérinaire et une équipe de pompiers spécialisée dans les interventions animalières, basée à Rennes. Recherches restées vaines samedi Les recherches ont duré une bonne partie de l’après-midi, jusqu’à 17 h 30. Sans résultats. Le magasin est vaste, environ 400 m2, et il contient… près de 20 000 paires de chaussures. « C’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin ! », reconnaît le lieutenant Jean-Claude Davy, qui supervise les opérations. Il utilise des microcaméras, comme celles pour inspecter les canalisations. « Nous avons regardé derrière les étagères, les cloisons, les faux plafonds, mais nous n’avons rien trouvé. » Avant de partir, les pompiers ont laissé des consignes. Si l’animal apparaît, il suffit le recouvrir avec une boîte à chaussures et d’attendre l’arrivée des secours. « En principe, un scorpion n’attaque pas, il se met en position de défense. » S’il s’agit réellement d’un scorpion, reste à savoir comment il est arrivé là. « Nous avons des cartons entiers de chaussures qui viennent de Chine. Il a peut-être voyagé dans l’un d’eux, suggère l’une des vendeuses, un peu inquiète. C’est bien la première fois. On avait déjà eu un lézard dans le magasin, mais encore jamais de scorpion… » Source:http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Un-scorpion-seme-l-effroi-dans-le-magasin-de-chaussures_6346-1987027-fils-tous_filDMA.Htm
  16. Wattwiller : un python dans le jardin! Les sapeurs-pompiers de Wattwiller ont été prévenus samedi vers 17 h 15, pour une intervention particulière. Un serpent avait été repéré dans un jardin au 42, rue du Vieil Armand à Wattwiller. Le véhicule d’interventions s’est rendu sur les lieux pour y récupérer l’animal et éviter tout danger pour la propriétaire qui étaitt sur les lieux. En effet, les secouristes ont réussi à capturer un serpent d’1 m 50 de long pour un diamètre de 5 cm et qui se trouvait sous des dalles en bois empilées. De retour à la caserne les pompiers, dirigés par le sergent Philippe Elsaesser, ils ont pris contact avec la brigade verte de Soultz qui est venue récupérer le serpent. D'après la description détaillée du serpent récupéré, les agents de la brigade verte ont indiqué qu’il s’agissait d’un python. Les pompiers regrettent qu’à l’heure actuelle beaucoup trop de personnes se procurent ces animaux. Ils se lassent et les relâchent dans la nature sans se soucier des conséquences très graves qui pourraient en découler. En l’occurrence, ce reptile pourrait avoir été oublié par les anciens locataires de cette habitation, partis il y a deux semaines. Source:http://www.lalsace.fr/actualite/2011/09/11/wattwiller-un-python-dans-le-jardin
  17. Un venin de cobra contre la douleur Avec un soutien financier de 2,55 millions d'euros, la société biopharmaceutique Theralpha lance le programme SubAlgic de développement préclinique et clinique d'un nouvel antalgique issu d'un venin de cobra royal. La société sophipolitaine Theralpha, créée en 2009 par spin-off de l'IPMC et spécialisée dans le développement de nouvelles thérapies contre la douleur, poursuit le développement de son composé le plus avancé THA903, un traitement innovant de la douleur aiguë. Le développement de la molécule est assuré grâce au lancement du consortium collaboratif SubAlgic, également composé de la société Synprosis (spécialisée dans la synthèse, la formulation et l'optimisation des peptides), de l'IPMC (reconnu pour ses recherches en neuroscience), et du Centre d'Investigation Clinique de Clermont Ferrand. « Ce programme de trois ans est destiné à mettre en place le développement préclinique et une première étude clinique chez l'homme de ce nouvel antalgique », précise David Dellamonica, pdg de Theralpha. Le programme SubAlgic est labélisé par le Pôle de Compétitivité Eurobiomed, dans le cadre du 12e FUI (Fond Unique Interministériel). Soutenu par le Conseil Général des Alpes maritimes, la région PACA, la Communauté du Pays d'Aix en Provence et Clermont Communauté, son financement atteint ainsi un total de 2,55 millions d'euros. Des propriétés analgésiques issues d'une toxine de cobra royal THA903 est un petit peptide dérivé de l'hannalgesin, une toxine de 70 acides aminés naturels présente dans le venin du cobra royal. « La partie strictement antalgique de l'hannalgesin a été isolée sous la forme d'un peptide comportant 11 acides aminés par des équipes de l'Université Nationale de Singapour, auxquelles nous avons racheté la molécule, précise David Dellamonica. Les particularités du THA903 sont, d'une part, de ne pas entrer en interaction avec les récepteurs opioïdes (lesquels induisent des problèmes de tolérance et d'effets secondaires), et d'autre part, de pouvoir être administré de manière sublinguale grâce à sa structure qui permet le passage de la barrière hémato-encéphalique. ». Ce peptide a déjà montré une grande efficacité et une excellente tolérance lors d'essais précliniques sur des modèles animaux après administration sublinguale. « Il nous reste à démonter l'efficacité et à déterminer les doses réponses via une première étude de phase I qui devrait débuter dans les deux prochaines année », confie le pdg. Source:http://www.pharmaceutiques.com/biopharma/archive/bp_3049.html
  18. Des défenseurs des animaux demandent de rendre sa liberté au crocodile tueur MANILLE - Un groupe de défense des droits des animaux a demandé samedi aux Philippines de rendre sa liberté à un crocodile marin géant, capturé dans le sud de l'archipel et soupçonné d'avoir attaqué des hommes et du bétail. Un responsable du groupe de défense des animaux de l'Asie-Pacifique, l'ONG PETA (People for the Ethical Treatment of Animals), Ashley Fruno, a déclaré qu'en dépit des soupçons de mangeur d'homme qui pèsent sur lui, il vaudrait mieux renvoyer l'animal à son milieu naturel, loin des régions habitées. Dans un communiqué transmis à l'AFP, il appelle le gouvernement des Philippines à faire preuve de compassion et exige que ce crocodile soit rendu à son milieu naturel, considérant que c'est une erreur de le maintenir en captivité. Le reptile, pesant plus d'une tonne (1.075 kilogrammes) et long de 6,4 mètres, aurait tué un fermier en juillet et dévoré des buffles d'eau, près de la ville de Bunawan, sur l'île méridionale de Mindanao, estime le chasseur de crocodiles Rollie Sumiller. Le ministère de l'Environnement le rend également responsable de la mort d'une fillette de 12 ans en 2009, dont la tête avait été arrachée par la morsure d'un crocodile, toujours dans cette région. Cet animal est l'un des plus gros jamais capturés, a affirmé Josefina de Leon, chef de la division faune et flore sauvage au ministère, précisant que le plus gros capturé jusqu'à présent faisait 5,48 mètres de long. Le crocodile est un mâle âgé de plus de 50 ans, selon Rollie Sumiller. C'est le plus gros que j'ai jamais attrapé en 20 ans de carrière, a-t-il dit. Selon le Guinness Book des Records, le plus gros crocodile marin vivant en captivité est un spécimen de 5,40 mètres, Cassius, détenu dans un parc naturel près de Cairns (nord-est de l'Australie). Le crocodile ne va pas être tué, mais confié à un parc naturel, dont il sera la vedette, avait indiqué le maire de Bunawan, Edwin Cox Elorde. Bunawan est une ville de 30.000 habitants construite dans une plaine marécageuse, près d'une rivière et de la mer. Le crocodile marin, qui vit dans les régions côtières et supporte aussi bien l'eau douce que l'eau salée, est le plus gros reptile au monde. Source: http://www.romandie.co/news/
  19. UC Davis Entomologist Lynn Kimsey Discovers New Species of Wasp: Gigantic Wasp With Long, Powerful Jaws DAVIS--A warrior wasp? A wasp with jaws longer than its front legs? The new species of wasp that Lynn Kimsey, director of the Bohart Museum of Entomology and professor of entomology at the University of California, Davis, discovered on the Indonesian island of Sulawesi, has scientists abuzz. The jaw-dropping, shiny black wasp appears to be the "Komodo dragon" of the wasp family. It’s huge. The male measures about two-and-a-half-inches long, Kimsey said. “Its jaws are so large that they wrap up either side of the head when closed. When the jaws are open they are actually longer than the male’s front legs. I don’t know how it can walk. The females are smaller but still larger than other members of their subfamily, Larrinae.” Kimsey discovered the warrior wasp on the Mekongga Mountains in southeastern Sulawesi on a recent biodiversity expedition funded by a five-year grant from the International Cooperative Biodiversity Group Program. The first time I saw the wasp I knew it was something really unusual,” said Kimsey, a noted wasp expert who oversees the Bohart Museum's global collection of seven million insect specimens, including 500,000 wasps. “I’m very familiar with members of the wasp family Crabronidae that it belongs to but had never seen anything like this species of Dalara. We don’t know anything about the biology of these wasps. They are only known from southwestern Sulawesi.” The large jaws probably play a role in defense and reproduction, she said. "In another species in the genus the males hang out in the nest entrance. This serves to protect the nest from parasites and nest robbing, and for this he exacts payment from the female by mating with her every time she returns to the nest. So it's a way of guaranteeing paternity. Additionally, the jaws are big enough to wrap around the female;s thorax and hold her during mating." In her entire career as entomologist, she’s discovered close to 300 new species. But on three trips to Sulawesi, she’s brought back to the Bohart Museum “hundreds, maybe thousands of new species.” “It will take years, maybe generations, to go through them all,” Kimsey said. “I consider Sulawesi one of the world’s top three islands for biodiversity—that along with Australia and Madagascar.” Sulawesi, a large Indonesian island located between Borneo and New Guinea, is known not only for its endemic biodiversity, but its rainforest and its proximity (three degrees) to the equator. Development threatens plant and animal life. On the last three-week expedition, the UC Davis team of Lynn Kimsey, husband Robert Kimsey, a forensic entomologist in the UC Davis Department of Entomology, and Alan Hitch, assistant curator of the Museum of Wildlife and Fish Biology, hooked up with 12 scientists from the Indonesian Institute of Sciences (LIPI). The insect-eating predator belongs to the genus Dalara and family Crabronidae. “I’m going to name it Garuda, after the national symbol of Indonesia,” Kimsey said. Garuda, a powerful mythical warrior that’s part human and part eagle, boasts a large wingspan, martial prowess and breakneck speed. The 67-member expedition also included 12 members of Kendari's Chitaka mountaineering group, which guides mountain climbers to the top of the 9,117-foot volcanic peak; and a 40-member porter team that carried the equipment, set up camp and cooked the food, “which was steamed rice and ramen noodles three times a day,” she said. “Eventually we had to leave because we ran out of food.” The terrain was steep, slippery and overall, physically challenging, Lynn Kimsey said. “This part of Sulawesi gets about 400 inches of rain a year,” she said. “We were told that Sulawesi has a dry and rainy season. But the only difference we could see between the dry and rainy season is that during the dry season, it rains only in the afternoon.” Kimsey expressed amazement at the biodiversity of the flora and fauna. “We saw a colonial spider web that stretched across two acres. The adult spiders were about two inches long.” “We saw evidence of wild cows, anoa, found only in Sulawesi, and found the first record in that region of a (Sulawesi) palm civet, a weasel-like predator." The director of the Bohart Museum since 1989, Kimsey is an insect taxonomist, specializing in bees and wasps and insect diversity. She received her doctorate in entomology from UC Davis in 1979 and joined the faculty in 1989. Over the last four years, the international team of scientists has collected about a million specimens. Among the new species: a bat, two frogs, two lizards, two fish, a land crab and many insects. Kimsey is a collaborator of a five-year $4 million grant awarded to UC Davis scientists in 2008 to study the biodiversity of fungi, bacteria, plants, insects and vertebrates on Sulawesi, all considered threatened by logging operations and mining developments. Much of the mountain was logged two decades ago and now there are plans for an open pit nickel mine, Kimsey said. “There’s talk of forming a biosphere reserve to preserve this,” she said. “There are so many rare and endangered species on Sulawesi that the world may never see.” An international team of collaborators is conducting biodiversity surveys, as well as screening microbes and plants for applications to human health and energy needs, recommending strategies to conserve endangered species, and developing and encouraging local conservation, according to principal investigator Daniel Potter of the UC Davis Department of Plant Sciences. Other collaborators from UC Davis are from the UC Davis Herbarium, Museum of Wildlife and Fish Biology, Plant Pathology and the Phaff Yeast Culture Collection in the Department of Food Science and Technology. Size comparison: male (left) and female wasp of the newly discovered species. (Photo by Kathy Keatley Garvey) Shortly after receiving the grant, Potter, a plant systematist at the Agricultural Experiment Station and director of the UC Davis Center for Plant Diversity, said: “The alarming rate at which biodiversity is being lost in many tropical regions has resulted in an urgent need for such efforts." The International Cooperative Biodiversity Group Program is a multi-agency program led by the National Institutes of Health with contributions from the U.S. Department of Agriculture, Department of Energy, and the National Science Foundation. As for the warrior wasp that Lynn Kimsey discovered, it’s now being intensely studied at the Bohart Museum of Entomology where she has long been known as “The Wasp Woman,” an affectionate term signifying her specialty. The director of the Bohart Museum since 1989, Kimsey is an insect taxonomist, specializing in bees and wasps and insect diversity. She received her doctorate in entomology from UC Davis in 1979 and joined the faculty in 1989. Kimsey served as the interim chair of the UC Davis Department from 2008 to 2009. Her mentor, the late professor Richard M. Bohart (1913-2007), for whom the museum is named, was world-renowned for his expertise on wasps and mosquitoes. Kimsey was his last graduate student. During his career, Bohart identified more than one million mosquitoes and wasps, many now displayed at the Bohart Museum, a teaching, research and public service facility that he founded on campus in 1946. Source: http://entomology.ucdavis.edu/news/warriorwaspnewspecies.html
  20. Découverte à Berlin d'une guêpe pas comme les autres ! L'entomologiste Michael Ohl a découvert récemment dans les collections du Musée d'Histoire Naturelle de Berlin, une nouvelle sorte de guêpe jusqu'alors inconnue. D'un noir intense, dotée de mandibules gigantesques et d'un corps surdimensionné, cette dernière ressemble davantage à une machine de guerre qu'à un insecte. Cinq fois plus grosse que les guêpes habituellement observées autour des sucrières posées sur les cafés-terrasses berlinois, cet insecte serait originaire de l'île de Sulawesi en Indonésie. Baptisée "Garuda", comme le symbole national indonésien d'un guerrier ailé, elle est actuellement étudiée dans les moindres détails par les deux spécialistes des guêpes, Michael Ohl et son collègue américain Lynn Kimsey de l'Université de Californie. La Garuda fait désormais partie des 10.000 autres genres de guêpes déjà répertoriées. Ses 6 cm de longueur en moyenne comparés aux 15 mm réglementaires et sa couleur noire d'encre, font d'elle une espèce imposante et troublante, comme le déclare Michael Ohl. Un point reste pour le moins à préciser : le comportement de l'insecte est mal connu, pour cause ce dernier n'a pas été observé en milieu naturel. Il est cependant fort probable que la taille gigantesque des mandibules joue un rôle prépondérant dans sa capacité à se défendre et l'aiguillon relié à une glande à venin à l'extrémité de son abdomen bien plus développé chez la Garuda, que chez aucune autre guêpe peut certainement infliger des morsures et déchirures extrêmement douloureuses. Cependant, il est intéressant de noter que seules les guêpes femelles, les ouvrières, ont la possibilité de paralyser leur ennemi par piqure grâce au venin de leur dard. Ce qui n'est pas le cas des mâles, qui pour se défendre n'utiliseront vraisemblablement que leurs mandibules. Source:http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/67621.htm
  21. C'est vrai que certaines espèces sont très belles juvéniles et deviennent moins attrayantes au niveau coloris et dessins une fois adulte. C'est le cas, par exemple, du Lamprophis aurora.
  22. askook

    Nata...

    Ce ne sont pas des Python regius qui naissent chez Barneck mais des Python natalensis....
  23. Bravo pour ces naissances. Il y en avait quelques jeunes spécimens à la bourse de Béthune...
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