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muriel isselé

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Tout ce qui a été posté par muriel isselé

  1. j'ai lu sur un forum que des éleveurs donnaient du lait de chèvre au sevrage aux chiots à lapper. Cela m'a beaucoup étonné car j'ai lu ue le sevrage est une période charnière durant laquelle les capacités de digestion de l'amidon commencent à se développer chez le chiot. En revanche la capacité à digérer le lactose grâce à ses enzymes intestinales chute brutalement ce qui explique que certains chiots peuvent souffrir de diarrhées lors de l'absorbsion de lait pendant une période prolonguée.
  2. les anglais sont les champions de la consanguinité : les mariages frère soeur ne sont pas rares. Je connais quelques champions de la cruft issus de tels combinaisons dans ma race.
  3. je n'ai lu que la première page qui apparaisait à l'écran je n'avais pas vu la page suivante...autant pour moi !!!
  4. cela ne me donne pas le réglement pour procéder en ce sens.
  5. je connais des éleveurs qui n'ont jamais de vieux chiens, ils meurent souvent accidentés ou disparaissent ou sont perdus dès qu'ils ont passé l'âge de la reproducteur comme un fait exprès. C'est pour cela que j'estime qu'élever des chiens et connaître une race c'est aussi prendre conscience des maladies de la vieillesse et des causes de mortalité dans sa race. Mais il est curieux de voir que c'est toujours chez les mêmes que les chiens meurent à 9 ans alors qu'un dalmatien peut vivre en moyenne 14 ans et même j'ai eu un cas 18 ans. C'et toujours chez les mêmes que le chien a eu un accident... Mais d'années en année cela fait beaucoup d'accidents..
  6. je tiens d'une autre personne que le délai est de six mois. Comme la SCC a édicté des réglements il faudrait trouver le texte qui s'applique dans ce cas. pour le moment je n'ai rien trouvé peut être que quelqu'un l'a
  7. Je sais que l'on peut faire appel d'un refus de confirmation. Mais peut on faire appel d'une confirmation ? Dans quel délai ? Pour quels motifs ? Ou trouve-t-on la réglementation car je n'ai rien vu sur le site de la SCC.
  8. ce n'est pas de l'information c'est du spectaculaire pour faire de l'audience.
  9. Pour ma part comme je ne veux pas tomber dans l'hyper type proné par le club de race et les juges en France, j'expose très rarement en France je vais rarement au championnat de France ou à la nationale d'élevage mais je fais des kilomètres à l'étranger : plusieurs champions internationaux sans avoir de Cacib en France, champions du Portugal Espagne, gibraltar, Luxembourg Belgique Allemagne..J'ai fait mon choix.
  10. c'est à la suite du retrait du sponsor de la cruft et d'une émission de la BBC que le kennel club a modifié le standard de plusieurs races. Chez le dalmatien contre l'avis du club de race anglais des chiens ont été importés des Etats Unis issus d'un programme d'élevage Pointer-dalmatien. Ces chiens ne sont pas porteurs de la mutation d'excrétion d'acide urique dans les urines dont sont tous porteurs les dalmatiens actuellement. Le kennel club a justifié cette importation dans un souci d'amélioration de la santé de la race. De ce fait le club de race a lancé une grande étude pour connaître les causes de mortalité des dalmatiens anglais (il est temps !!!!!) Le club américain a refusé que ces chiens soient inscrits à l'AKC, ils sont à 20 générations du Pointer d'ORIGINE. Ces chiens sont inscrits à l'UKC non reconnu par la FCI. En France une chienne a été importée et elle est inscrite à titre intital. Le club américain a fait une étude où il apparait que la première cause de mortalité chez le dalmatien ce sont les insuffisances rénales.!!! MAIS il estime dangereux de sélectionner sur ces dalmatiens car ils ne sont pas en nombre suffisants et il y a un risque d'amener d'autres problèmes ou tares génétiques. Je ne crois pas que les éleveurs soient des apprentis sorciers je crois plutôt que les problèmes de santé viennent d'abord des instances officielles clubs de race, qui orientent la sélection qui sont les apprentis sorciers. Il ne faut pas être des bénis oui oui et garder son esprit critique. et aussi les problèmes de santé ne viennent pas d'éleveurs sélectionneurs passionnés par la race mais de tous ces gens qui font une portée avec leur chienne alors qu'ils n'y connaissent rien. Je n'ai jamais eu de chiens morts d'insuffisance rénale mais combien ai je eu de coups de téléphone de particulier me disant avoir acheté un chien chez x ou y, un affixe inconnu que je n'ai jamais vu en exposition ou acheté chez un particulier se plaignant d'avoir un chien allergique ou un chien mort très tôt d'insuffisance rénale. !!! Encore un coup de téléphone il y a deux jours !!! Quand quelqu'un me téléphone pour me dire qu'il cherche un dalmatien car le sien vient de mourir et que je demande de quoi son chien est mort dans 80 % des cas il s'agit d'insuffisance rénale. Alors comme ils ont été échaudés ils viennent vers des élevages plus sérieux, ou reconnus depuis plusieurs années.
  11. Pour moi un chien en bonne santé est un chien capable de courir, de sauter, de jouer dont le maître ne court pas chez le vétérinaire tous les quatre matins et qui vit vieux et meurt de vieillesse ...Un chien capable de remplir sa fonction établi par le standard et que le standard décrit. S'il lui faut une dentition complète pour remplir sa fonction qu'il ait une dentition complète. Mais enfin il faut que la tare soit invalidante ou rende le chien impropre à son usage ou nuise à sa santé. Evidemment un chien qui ne peut plus respirer par suite de l'écrasement de son museau, ou qui présente des tares occulaires par suite de ses yeux globuleux, je trouve qu'il y a là des dérives, des hypertypes... Mais un manque de dents, c'est facile d'ouvrir la gueule d'un chien est de compter les dents bien qu'il y a des juges qui ne le savent et qui mélangent les P1 avec les P2, mais un manque de quelques dents ne nuira pas à la santé d'un chien. Pour quelques juges il est plus facile de compter les dents que de savoir ce qu'est un bon chien bien dans son type. Il y a toujours dans les expositions des juges qui comptent les dents et d'autres qui ne regardent que l'articulé en ciseaux.
  12. c'est ciomme cela que je conçois les expositions mais je prends le temps de voyager. Faire 1000 km dans une journée c'est un peu trop pour moi. Quand je descends vers le Portugal je m'arrête à Salamanque '700 km de chez moi)ce qui me permet le lendemain d'être en début d'après midi au Portugal et de pouvoir faire une grande ballade sur les plages ou dans le parc naturel de Sintra. je cherche des hotels qui ont des espaces verts ou sont près d'une fôret. Mais la dernière fois que je suis allée en Belgique je me suis arrêtée à Chateauroux le vedredi pour arriver le le lendemain en début d'après midi à Malines. l'hotel était super au bord d'un lac. Je suis allée à l'exposition le dimanche et je suis restée à l'hotel le dimanche soir. je ne suis repartie que le lundi matin où j'ai roulé toute la journée. Vous parlez du handler Cedric que je vois en Espagne ou au Portugal ? il est vrai que les chiens en redemandent car je m'arrête toutes les deux heures, je trouve des coins où ils peuvent se dégourdir les pattes en toute liberté et à l'hôtel je mets un grand drap sur le lit et ils couchent dessus, il faut que je pousse un peu ce petit monde pour trouver ma place. Mais quel plaisir de s'endormir avec son chien qui pose la tête sur son épaule...
  13. j'ai vu que vous habitiez Toulouse et je suis à AGEN. Combien de kilomètres ? ET Combien de pays traversés. je suis allée une fois en Hongrie, j'ai dû traverser la France, la Suisse, l'Autriche pour arriver en Hongrie. 2000 km pour y aller...et puis une très longue attente à la frontière entre l'Autriche et la Hongrie
  14. à condition d'accepter de faire reproduire les porteurs sains, mais il y a des éleveurs qui ne veulent pas faire reproduire les porteurs sains sous prétexte d'éliminer les tares génétiques...c'est là que je trouve que c'est exagéré et complétement illusoire. Il est évident que si l'on peut détecter les homozygotes susceptibles de développer la maladie d'une façon certaine, le test génétique est utile . Mais Il faut éviter les politiques du tout ou rien... Personnellement quand je regarde un étalon je regarde sa morphologie et son pedigree en premier, car j'élève des dalmatiens pas des tests génétiques.
  15. d'après ce que j'ai lu une sélection où l'on jette 50 % des chiens dans une race diminue la variabilité génétique de la race d'où l'expression de maladies diverses car le pool génétique se rétrécit au fur et à mesure que l'on enlève des chiens, c'est d'ailleurs mathématiquement parfaitement compréhensible. Il faut souvent remonter à 7 ou 8 générations peut voir que les chien sont issus des mêmes ascendants. Alors que sur un pedigree à trois générations, la souche semble totalement en out crossing,
  16. félicitations Vous faites appel à un handler ou vous y allez vous même car ce n'est pas la porte à côté pour aller là bas. Cela fait une sacré trotte. Comment vous organisez vous ?
  17. quelque soit la race cette sélection sur plusieurs tares génétiques me laisse sceptique sur le pool génétique des reproducteurs restant.... Hérédité D'après l'interview du Dr Chaudieu par S. Sanchès revue "Vos Chiens" n° 219 avril 2004 "Ce n'est pas une tare d'avoir une tare" Le Dr Chaudieu est vétérinaire praticien, spécialisé en ophtalmologie, intéressé par les affections héréditaires du chien. Il est membre de la commission zootechnique de la SCC et de la sous-commission tares oculaires. ....."Les éleveurs canins font une sélection raisonnable. Avec les clubs de races, au travers de nombreux dépistages d'anomalies de tares héréditaires, on essaie d'améliorer la qualité de l'élevage. Après une trentaine d'années d'exercice, je note des modifications de morphologie. les anomalies sont répertoriées dans la littérature scientifique internationale. Les races et les lignées françaises ne sont pas toujours les mêmes que celles des pays anglo-saxons. Quand on recherche une tare, on essaie de mettre en place un examen systématique, avant de décider une politique de sélection." [b]exemple[/b] dans les années 80, on a pensé, dans une race de lévriers, que la dégénérescence rétinienne était un gros problème. On avait signalé quelques chiens aveugles vers 6 ans. on a examiné plus de 600 chiens et on a conclu que le problème n'était pas aussi grave que prévu. On a isolé surtout des mâles atteints, peu de femelles atteintes. Ces mâles avaient une vision suffisante pour terminer leur vie normalement. Le résultat de l'étude a contredit les craintes du départ Est-ce que l'espèce canine est très "tarée"? "certaines publications le prétendent, mais on ne prête qu'aux riches. C'est une espèce dans laquelle on a mis en place de nombreux plans de dépistage d'anomalies héréditaires. Lorsque dans une race à gros effectif, un club actif fait des recherches, il trouve. Cette race n'est pas pour autant plus atteinte qu'une autre" Qu'elles sont les techniques pour éradiquer ces tares? "Il faut connaître le mode de transmission génétique. Les tares dépendant de plusieurs gênes (polygéniques) sont plus difficiles à éradiquer. Au moins plusieurs dizaines d'années, comme la dysplasie de la hanche! Et il n'y a pas que des causes génétiques. Sur les anomalies monogéniques, transmises sur le mode mendélien (comme l'atrophie rétinienne, la cataracte), on a 2 cas de figure : Le chien exprime l'anomalie de façon nette le chien exprime la maladie de façon très peu visible ............Dans une population qui se reproduit au hasard, on sait que pour un taux d'infection de 3 ou 4%, on a 30% de porteurs pour une maladie récessive. dans une population à petit effectif, si on réalise l'éradication (exclusion des porteurs et des atteints), c'est le génocide! Un animal c'est un tout! On peut marier intelligemment des porteurs. Il faut éviter les politiques du tout ou rien! Ce n'est pas une tare d'avoir une tare! L'important est d'en parler pour préserver la qualité du cheptel! C'est un état d'esprit à changer? le client de l'éleveur....et du vétérinaire est un particulier; il a envie d'un type de chien . Il lui faut un "produit" de qualité. Mais un chien n'est pas une voiture, il ne peut être parfait. on ne peut pas faire de garantie absolue. L'incertitude est dans le biologique. Comme le disait le Professeur Denis, il faut essayer d'avoir un type moyen en axant sur la qualité sanitaire, la robustesse .......Il faut dédramatiser en ne sanctionnant pas les chiens atteints de forme mineure...... laisser l'éleveur faire son travail de sélection, à partir d'animaux dont il connaît les qualités et les défauts pour produire un animal aussi conforme que possible à l'attente du consommateur. que les propriétaires soient raisonnables et acceptent l'idée que le chien parfait n'existe pas. la plupart des anomalies génétiques n'apparaissent pas tout de suite, mais au cours de la vie du chien. Quand on achète un chien, on accepte ce risque. Si l'éleveur a fait son travail correctement, avec des chiens examinés par des juges, par son vétérinaire, mettre systématiquement sa responsabilité en jeu n'est pas correct
  18. j'ai vu cela sur ce site http://www.australian-labradoodle.fr/vos-garanties/selection-sante.html
  19. je pense que tout le monde connaît son pharmacien où il a l'habitude d'aller. Il faut simplement expliquer que tu veux un générique de tel molécule ou même lui montrer l'emballage du produit vétérinaire et lui expliquer que tu es éleveur et que c'est pour tes chiens, il peut même commander des produits vétérinaires. Je lui explique pourquoi je veux tel médicament et l'usage que je compte en faire Il voit bien que je suis parfaitement documentée et sérieuse. D'ailleurs je pense à une chose il existe des tests de grossesse. Pensez vous qu'il soit possible de les utiliser pour savoir si une chienne est gestante ?
  20. le problème Pincemaille c'est quand tu travailles une lignée il arrive à un moment ou un autre où il faut introduire du sang neuf et tu es là obligé de faire une balance sur tout un tas de critères pour trouver le mâle qui puisse apporter ce qu'il te manque dans ta lignée. Car quand on travaille une lignée il manque toujours quelque chose pour tendre vers le chien parfait. Enfin je suis allée voir quelques sites de bergers australients quand je vois que les chiens sont testés dysplasie de la hanche, dysplasie du coude, cataracte, atrophie de la rétine et aussi la maladie de Willebrand, si on ajoute tous les défauts de confirmation et aussi les queues nouées, les fentes palatines etc il ne doit pas rester grand chose pour faire de la reproduction. Dans ce cas là généralisé à tooute une race Je pense que la moitié de votre cheptel n'est pas utilisé pour la reproduction donc une perte de diversité génétique et la montée de nouvelles tares génétiques...
  21. Dès que nous sommes confrontés à un problème génétique, l’action la plus évidente à prendre est de faire une sélection pour l’éviter. A travers la sélection, on peut exclure de l’élevage les chiens porteurs des gènes indésirables. De cette manière, on diminue la fréquence de ces gènes du groupe d’animaux qu’on utilise comme reproducteurs. Ainsi, on réduit le risque que les animaux nés la génération suivante, souffrent des mêmes problèmes. La sélection est un instrument de l’élevage grâce auquel nous pouvons changer la composition génétique d’une population. C’est ce que nous allons démontrer grâce aux exemples suivants (voir tableau 4). Supposons que dans notre population 4% des chiens souffrent de cataracte. Une fois de plus, nous parlons de la population modèle précitée, grande, avec une reproduction faite au hasard, etc. A partir de maintenant, cependant, nous décidons de faire une sélection pour lutter contre ce problème, et nous le faisons en excluant de la reproduction les chiens souffrant de cataracte (chiens affectés, aa). Si nous continuons à exclure les chiens aa, nous diminuons la fréquence du gène a dans chaque génération, de telle sorte que chaque génération donne naissance à moins de chiens souffrant de cataracte. Nous allons aborder un différent nombre de points dans cette manière de sélectionner. Quand nous commençons notre sélection (génération 0), nous avons 4% de chiens affectés (les animaux aa), que nous excluons tous de la sélection. Pour la génération suivante (génération 1), on utilise uniquement les animaux « sains », (AA et Aa). Cela signifie que les fréquences de gènes des parents de la génération -1 sont différentes de celles des parents de la génération 0. Nous excluons tous les animaux affectés de la génération 0, et empêchons ainsi une partie des gènes a d’être transmis à la génération suivante. Dans la génération 1, le pourcentage de chiens nés souffrant de cataracte (aa) est bien inférieur, 2,78 % (voir tableau 3, deuxième ligne). On exclut de nouveau les chiens affectés de la reproduction. Pour obtenir une nouvelle génération (génération 2) nous utilisons les animaux sains (uniquement AA et Aa). Et de nouveau, exclure les gènes a des chiens affectés signifie que les fréquences de gènes des parents de la génération 2 sont différents de celles des parents de la génération -1. Par conséquent, dans la génération 2, nous n’avons que 2,04 % des chiens nés affectés. Nous continuons à répéter ce processus sur cette génération et toutes les suivantes : chaque fois nous excluons les chiens affectés et nous ne reproduisons qu’avec les animaux « sains ». Notre programme de sélection se déroule merveilleusement bien. Après deux générations, nous avons déjà réduit notre problème de cataracte quasiment de moitié, et, en 5 générations, le pourcentage de chiens nés souffrant de cataracte est de 1%. Après 10 générations, la fréquence de chiens affectés est descendue à 44 chiens pour 10000 (moins de 0.5%). Après 20 générations, nous n’avons plus que 16 chiens affectés sur 10000, après 30 générations, nous avons 8 chiens affectés sur 10000, et après 40 générations, il ne reste plus que 5 individus souffrant de cataracte sur 10000. En bref, notre programme de sélection est un succès éclatant, du moins en termes de réduction de problèmes de bien-être chez nos chiens. Il faut cependant mettre un bémol. Nous parlons ici d’un programme de sélection couvrant 40 générations. Si on considère qu’une génération s’étend sur 2 ou 3 ans, nous avons alors un programme de sélection s’étalant sur près de 100 ans. Dans le cas de l’exemple ci-dessus, cela signifie que cela prend des décennies avant que l’on puisse dire que notre problème de cataracte est « négligeable ».
  22. Exclure les atteints et les porteurs c'est appauvrr un patrimoine génétique. Si on rajoute la dysplasie et les critères de non confirmation il ne reste plus grand chose pour faire de la reproduction... De nombreux critiques diront que nos populations canines ont tellement été reproduites entre elles qu’elles ont perdu une grande partie de leur diversité génétique originelle. Cela veut dire que non seulement une grande partie des « bons » gènes est partie, mais aussi que de très nombreux gènes « mauvais » et dangereux ont également disparu. Le processus de diminution de la diversité génétique liée à la consanguinité ne fait naturellement pas de différence entre les bons et mauvais gènes. Toutefois, la réalité nous apprend que dans toutes nos races, il reste tant de mauvais gènes que si l’on voulait s’en débarrasser, on n’aurait plus de temps à consacrer à l’élevage. Ce qui se passe en fait est le contraire. En raison de la perte de la diversité génétique, la population perd progressivement de sa vitalité. Cela entraîne plus, ou moins, des problèmes héréditaires dans les races ; nous sommes de plus en plus confrontés à des dégénérations et des troubles, à des modes de transmission héréditaires de plus en plus complexes, qui n’arrivaient que rarement auparavant. La sur-utilisation d’animaux en élevage, y compris de top étalons, est une des principales causes de perte génétique.
  23. bon je viens de la retrouver ce texte d'un généticien hollandais "Contrôle génétique d'une population" http://www.ipernity.com/blog/manxman/62768 c'est dommage il n'y a que l'introduction La sélection ne nous permettra jamais de nous débarrasser complètement d’un problème génétique. Au mieux, on peut réduire la fréquence et l’apparition des désordres à un niveau biologique réellement accessible et moralement acceptable. http://dalmatiens.forumactif.org/surdite-f10/les-limites-de-la-selection-t248.htm
  24. je n'ai pas dit pour toutes les races j'ai parlé de la mienne mais l'un des exemples que tu donnes confirme mon argumentation car tu dis qu'en Dogue allemand ils ont fait beaucoup de retrempes avec des chiens français et des chiens italiens. Les stars étant ailleurs. Apparemment ils n'arrivent pas à faire naître des étalons meilleurs que ceux en France ou en Italie. Je conçois que dans une race il y ait des importations mais il ne faut pas que d'année en année ces importations soient nécessaires pour maintenir la race à un niveau qui reste moyen. Le berger australien paraît différent . Peut être que le club de race allemand a pris plus en compte le côté travail de la race !!!! La politique de la France est différente puisque sous prétexte de variabilité génétique on confirme un spectre plus large de chiens pour la reproduction avec aussi la possibilité du titre iniatial quand le livre est ouvert. Quelle est la meilleure politique je ne sais pas il faut regarder le résultat sur chaque race. Pour le dalmatien l'une et l'autre ne génère qu'un cheptel très moyen. Peut être faut il voir du côté des critères de sélection morphologiques qui sont pris plus ou moins en compte. Pour la France la priorité va à un chien plus levretté et à la répartition des taches alors que dans les pays scandinaves ou même britanniques., c'est l'ossature et les allures, la décoration du chien passant en second plan. Je le vois d'ailleurs dans la façon de juger dans les expositions canines, certains juges ne regardent que le chien en statique, compte les dents, regarde l'expression de la tête et la répartition des taches, leur forme s'il y a confluence et d'autres (tradition britannique) regarde le chien par rapport à sa fonction. Le dalmatien étant un trotteur d'endurance il est regardé les allures partant du principe qu'un chien ayant de belles allures est un chien bien construit) peu importe qu'il soit long, court, grand petit, que les taches soeint confluentes qu'il soit très tâché etc... En fonction de ces deux façons de juger, le type du dalmatien est alors différent...et les chiens scandinaves et britanniques ont de bien meilleures allures que les dalmatiens français ou allemands qui ont des allures étriquées... Et le constat pour moi est simple ce sont les chiens scandinaves qui trustent les premières places au championnat du monde, d'europe ou à la Cruft et cela depuis 10 ans environ. pour le dalmatien. Et pourtant chaque pays est parti sur les mêmes bases des chiens importés d'Angleterre !!! Je reste sur une approche mondiale de ma race, je ne conçois pas la race dans sa conception uniquement française D'ailleurs pour te dire je ne suis pas membre du club français mais membre des clubs belges, briannique et américain et j'ai été membre des clubs suisses et hollandais. Et j'ai pris pour objectif quand j'ai orienté ma sélection des 15 dernières années d'avoir des chiens qui pouvaient remporter des prix et des titres de champion dans toute l'europe, un titre en France et même un Cacib en France est pour moi parfaitement anecdotique. Je ne veux pas faire des chiens dans le type proné dans un pays.
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