Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Poussinette1111

Membres
  • Compteur de contenus

    3 089
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Poussinette1111

  1. Dans son livre, il y a de nombreuses photos et son attitude de travail s'apparente à la demi-extension d'encolure (que pratiquait aussi Klimke), je n'ai rien vu de plus bas que nuque au niveau du garrot, chanfrein vertical. J'aime beaucoup l'approche du travail de Chiris.
  2. Poussinette1111

    Vermifuge

    Ayant un cheval sensible aux infestations, je passe à 5 fois par mois et je pense que c'est nécessaire vu que déjà au bout de trois mois à dater du dernier vermifuge j'ai une infestation (amaigrissement, baisse de forme, vers dans les crottins...). Par contre, c'est vraiment par nécessité car je ne suis pas trop pour le "trop de vermifuges, un tous les trois à quatr mois en veillant à avoir un produit adapté à la saison et de ne jamais ester à la même molécule. Le tout est de bien adapter au cheval et à ses besoins, un cheval n'est pas l'autre.
  3. Chouette chouette tout ça, le grand Eden progresse bien! :cheers: :cheers:
  4. Je ne sais pas visionner l'image => lien?
  5. Poussinette1111

    Tendons gel (?)

    Je pense que c'est à ton véto que tu dois poser ta question.
  6. Sur un jeune cheval, ce n'est quasi pas possible de primer l'équilibre tant qu'un minimum de musculature n'est pas formée. Où alors, c'est un cheval à la morphologie presque parfaite, soit un cheval sur mille. Je ne dis pas pour autant qu'il faille laisser le cheval dans un parfais déséquilibre bien entendu. Si, celle qui lui correspond à ce moment-là et qui vise à l'acheminement vers l'équilibre qu'on recherche. Il y a des centaines d'équilibres intermédiaires et quand un cheval n'a pas l'équilibre voulu, il n'est pas pour autant "déséquilibré", entre équilibre recherché/optimal et déséquilibre, il y a beaucoup de nuances. Les premières séances de travail, celles qui suivent le débourrage, se font généralement sur un cheval qui a déjà gagné les muscles nécessaires au "portage" du cavalier lors de son travail en longe. On attaque alors directement la question de l'équilibre, la musculature suivra en améliorant sa capacité à s'équilibrer : quand le cheval est dans un équilibre intermédiaire et que cet équilibre intermédiaire se rapproche au fur et à mesure de l'équilibre que l'on recherche, les muscles suivent et ce sont eux qui vont confirmer peu à peu cet acheminement vers l'équilibre. Ils vont de paire, mais l'équilibre prime : rechercher juste à muscler en trottant des heures en rond en coinçant un cheval ou en l'enrennant, ce n'est pas lui apprendre à s'équilibrer, même si l'attitude est jolie : un cheval qui tire sur son enrênements ou sur ses rênes alors que visuellement il "est bien mis" n'est pas équilibré car s'il s'appuie, là il y a clairement déséquilibre (même pas équilibre intermédiaire : il EST sur les épaules). Je ne sais pas si je suis compréhensible.
  7. Justement, sur les deux premières vidéos, il n'y a RIEN à voir : pas d'aides intempestives, répétées, pas d'éperons plantés sporadiquement dans les flancs à chaque foulées (d'ailleurs, pour Beran, pas d'éperons du tout), ce qui change énormément par rapport à des piaffers, des passages, des appuyers où le cheval se prend le coup de talon à chaque foulée. Ces vidéos montrent que l'impulsion est un état d'esprit présent chez le cheval, qu'on lui a appris, pas une nécessité de le stimuler toutes les secondes de peur de le "perdre". Prenez une fois votre temps de compter des coups d'éperons, rien que quelques minutes, quand un cavalier monte ou sur un terrain de concours, comptez vos propres coups de talons, vous arriverez vite à des chiffres incroyables : cinq minutes équivalent en moyenne à environ 300 coups... Quand à agir main et jambes en même temps, c'est tenter de dresser un cheval par compression : on lui dit "avance" et en même temps "arrête" en espérant que cela va l'asseoir ou le rassembler (remarquez, cela marche, vu le nombre de chevaux comprimés que l'on voit sur les carrés internationnaux ; mais leur rassemblé n'en n'est pas un), mais généralement, selon son caractère, soit il va devenir royalement mou, soit il va finir en défenses de tous types : acculement, embarque, se lève...
  8. Cela te demandera plus d'un de travail quotidien (voir un an et demi), donc, savoir qu'il deviendra "bien" à 12 ans en sachant que "bien", ce n'est pas encore "optimal". C'est à voir selon tes besoins/envies. De plus, il va falloir aussi refaire sa condition et son souffle, ça aussi cela va prendre du temps. Les enrênements, même pour remuscler, je ne suis pas pour ou alors de simples rênes fixes.
  9. Pour l'apprentissage, je ne peux que conseiller de visionner le DVD n° 3 de Karl, tout y est dit et montré et cela vaut mieux que 10 000 discours. Le cheval y parvient par l'équilibre, par les exercices : les premières mobilisations sont une conséquences, une solution que le cheval donne aux questions que le cavalier lui pose. Pour l'exécution du travail, claire alternance main-jambes, alternance rapide : il ne faut pas attendre 5 foulées entre les deux pour les dissocier. Pour le cavalier, un bon suivi qui va dans ce sens. Parfois, il faut beaucoup chercher pour trouver un prof qui enseigne cela, voire qui offre des leçons sur chevaux professeurs. S'il habite loin, il reste la solution des stages. Le cheval doit réagir à la moindre approche des jambes comme si elles étaient un fer chauffé à blanc, image parlante et peu habituelle quand on sait que la mode est aux jambes au contact. Maintenant, comptez le nombre coup d'éperons pour les mêmes exercices (je parle juste des jambes du cavalier, pas du reste) : http://video.google.com/videoplay?docid=-6193862822568432671&ei=qwWeSL7aO4Sm2AL9-qUi&q=edward+gal&vt=lf
  10. Extension totale d'encolure : Etirement de tout le corps du cheval, encolure longue, chanfrein ouvert et vers l'avant, postérieurs loin derrière, cheval sur les épaules. Demi-extension d'encolure : Etirement nuque au niveau du garrot, encolure un peu plus soutenue, voire arrondie si la morphologie du cheval le permet, chanfrein tendant au-delà de la verticale, c'est dans cette position (encore sur les épaules) que l'on va stimuler un postérieur puis l'autre dans des exercices de 2 pistes tout en musclant la base de l'encolure. Peu à peu, les hanches vont fléchir et la nuque va remonter et le cheval va s'acheminer vers l'équilibre rassemblé (sur cette photo, la remontée de la nuque est due à la gymnastique du postérieur gauche dans une épaule en dedans réalisée sur une demi-diagonale) :
  11. J'ai enfin deux vidéos qui permettent de montrer l'inutilité de la "monte en jambes" qui fait prévaloir la jambe sur la main. La jambe est une aide fondamentalement impulsive et ne doit jamais agir en même temps que la main, au risque de perdre son sens et sa signification. De même, dès que le cheval esquisse la réponse, l'aide doit se faire silencieuse, ne plus agir, là on est dans la descente d'aides. Première vidéo : regardez bien les jambes du cavalier lors de son étude du piaffer sur la diagonale (étude car ce n'est pas encore un "vrai" piaffer en place) :
  12. Pour moi, l'équilibre prime car "muscler" un cheval dans un total déséquilibre, ce n'est pas très indiqué, quel que soit la discipline que l'on souhaite faire. Donc : 1° Décontraction : ce qui s'obtient par un travail fait surtout au niveau du mental du cheval ; c'est-à-dire que cela va depuis les temps de pauses et de récompenses dans le travail à la mâchoire qui se décontracte, au cheval qui mâche son mors et salive. Si on a la mâchoire, on a le cheval. Le reste, c'est du temps. 2° a) Musculation et mise en condition : séance construite rationnellement (càd. on travail depuis le simple vers le compliqué), on commence par la détente avant de passer aux efforts compliqués. Bref, on a un but et on agence tout pour arriver vers ce but. Enfin, on adapte : un cheval de compétition de haut niveau aura une autre condition qu'un cheval de loisir monté trois fois par semaine une demi-heure. 2° b) Souplesse longitudinale : extension d'encolure et demi-extension d'encolure. Souplesse latérale, voltes d'une et surtout de 2 pistes et de l'épaule en dedans en tout sens du manège (dans les coins, les voltes, les serpentines, les arrêts...). Avec cela s'accompagne : une non recherche de l'engagement des postérieurs (ça sert à rien, sauf à l'arrêt, la pirouette au galop et le piaffer), une non opposition main-jambes, des aides qui agissent pratiquement jamais, un rythme lent. Alors, là, à force d'exercices et de temps, les muscles se mettent en place, la condition, la souplesse et la force se font et on arrive au cheval rassembler sans même l'avoir cherché.
  13. Bein pour moi, c'est l'inverse, c'est la musculature des postérieures d'abord, ensuite des abdos qui va engender la musculature du dos (mais je préfère utiliser maintient du dos au lieu de musculature). 1° Décontraction (car sans ça, on a rien rien rien) 2° a) Musculation appropriée aux besoins (je parle ici plus de mise en condition mais sans oublier la capacité physique nécessaire à certains exercices) 2° b) Souplesse longitudinale et latérale qui seront données par, d'une part, la posture (extension et demi-extension d'encolure SANS flexion de hanches - traduire : sans rechercher l'engagement des postérieurs, surtout dans l'extension d'encolure - ) et, d'autre part, le travail isolé des postérieurs (qui vont se répercuter sur le reste de la posture du cheval) qui, eux, vont flexionner les hanches et asseoir le cheval. Le dos, ce n'est qu'une liaison, une conséquence, s'acharner dessus ne sert strictement à rien et utiliser une armée d'enrênements sensé le "muscler" est tout aussi inutile ; les enrênements serviront à reconstruire la posture du cheval, pas à "muscler" le dos (au mieux, ce seront les abdos qui seront musclés) mais si en prime il n'y a pas décontraction, alors, là il n'y a rien qui fonctionne.
  14. Peux-tu développer? Mais alors, là on ne parle plus de "dos". Sinon, je pense aussi que la "musculation" débute par un travail abdominal varié (c'est-à-dire dans deux types d'attitudes : extension et demi-extension d'encolure - cette dernière va aussi muscler la base de l'encolure - ) et 2) par le travail de l'arrière-main (ce dont généralement personne ne s'occupe, sauf pour dire qu'il faut faire "engager" les postérieurs - les engager dans quoi, dans l'armée? -) ; mais le travail du dos en lui-même, pour moi, ça ne sert strictement à rien. Un dos, on l'étire, point, on décolle les vertèbres les unes des autres, c'est tout, mais ça c'est étirer, pas muscler ni travailler le dos. Travailler un cheval, c'est, je pense, plutôt travailler sur sa posture générale, afin de tout faire fonctionner ensemble et toujours en ayant le rassembler (cet équilibre que l'on retrouve même chez un cheval d'obstacle en plein parcours) dans la tête car dès le début, il faut penser à préparer le terrain du rassembler (et donc la capacité pour le cheval à porter son cavalier). On aura donc, oui, un jeu des muscles entourant les vertèbres, mais un jeu passif, très passif et conséquence d'autre chose : du travail de l'arrière-main et un cheval ne sera jamais jamais jamais assez travaillé dans son arrière-main. Donc, oui, je pense qu'il y a développement musculaire partout chez le cheval (direct ou indirect), mais que rechercher à muscler le DOS est une mauvaise façon d'envisager le travail : il faut s'attacher à surtout muscler autre chose (ventre, arrière-main, base de l'encolure) et là, on risque de remettre en question beaucoup de postures dite "de travail" ou "de musculation". Pour l'incurvation, c'est visiblement (Sautel) surtout le jeu des iliopsoas (articulation au niveau de la hanche/bassin) qui agit ainsi que le muscle oblique externe (arrière du flanc) puis le jeu extension ou raccourcissement du mouvement des antérieurs et des postérieurs (jeu des muscles du poitrail et de la hanche. J'ignore ce que Karl nomme "ilio-spinaux", il me semble que ce sont le grand dorsal et le dentelé dorsal du torax (part +- de l'épaule et se rattache au rein en passant sous la selle), mais je ne trouve pas une référence expliquant leur rôle dans l'incurvation, ils sembleraient, eux aussi passifs, l'incurvation se faisant plutôt par la face ventrale du cheval que dorsale (=> "musculation" dorsale passive?), le postérieur interne venant plus sous la masse, les muscles hanches-entre les antérieurs et du poitrail à la nuque sont surtout sollicités. S'il y a contraction dorsale pour incurver, alors j'ai du mal à voir comment le postérieur interne agit, il ne peut que traîner car chez le cheval, pour résumer, chaque côté musculaire étant antagoniste de l'autre, quand l'un contracte, l'autre s'étire. Donc pour une incurvation à droite, le ventre droit du cheval va se contracter et le dos gauche va s'étirer mais... comme après le garrot, la colonne vertébrale est de plus en plus rigide, le dos droit du cheval ne peut pas vraiment se contracter car les deux muscles dorsaux importants ne sont rattachés qu'au niveau du garrot (pas à la nuque) => le jeu de contraction du dos à droite dans l'incurvation à droite est très faible et n'est qu'une conséquence du jeu de la hanche interne (droite) par rapport à la place donnée aux épaules. Par contre, ce qui est fondamentalement actif au niveau dorsal, ce sont les ligaments nucals et supra-épineux qui relient plus ou moins la nuque à la queue toute les vertèbres ; mais c'est un ligament, pas un muscle et il faut l'étirer et surtout, comme dit missmoschino, l'assouplir.
  15. Quel que soit le cavalier avec lequel on discute, la musculation du "dos" semble être un incontournable, mais est-ce vraiment fondé, si essentiel ou à nouveau on se retrouve confronté à une nouvelle chimère de l'équitation actuelle? Alors en quoi consiste un dos "musclé" vu qu'un dos, on ne le muscle pas, mais on le met en élongation? En quoi consiste vraiment ce travail, quelle est sa valeur - pour peu qu'il en ait une - ? Après la fausse idée sur l'engagement des postérieurs lors du rassembler, cherche-t-on encore une fois Charlie?
  16. Etait-ce vraiment du au vermifuge + la température et humidité... Peut-être le tout et le reste (présence d'oies sur le site, cheval vite stressé... cas avant?) Alors que beaucoup d'autres publications sur le sujet annonce une période de risque en période chaude et humide... Comme quoi, ils ne savent vraiment pas grand chose sur cette maladie pour l'instant. Je comprends tout à fait ton inquiétude : si j'était passée par là, je ne sais pas comment je réagirai. Je pense que c'est surtout le subit changement de temps sur des températures de 9 à 11° (le dernier "cas" possible - je dis "cas possible" car aucune autopsie n'a été menée à ma connaissance pour connaître la raison de coliques du cheval, c'était pile un an après le mien, par températures douces mais pas de pluie : temps gris et léger ensoleillement mais... même prairie) ; pendant celle de mon cheval, ilm y a eu plusieurs cas en Belgique, à une semaine d'écart, mais comme quasiment personne ne va jusqu'à l'autopsie ni ne déclare le "cas" (si s'en est un), ceux qui mènent les études n'ont pas accès à toutes les infos qui pourraient faire avancer.
  17. Note : l'ivermectine est mise en relation avec la maladie de l'herbe mais... bon, au printemps (mise à l'herbe), tous les chevaux sont généralement vermifugés avec de l'ivermectine, donc normal que les deux soient réunis ensemble, mais de là à en conclure qu'il y a lien cause-effet, je ne sais pas car des tas de chevaux sont à l'ivermectine au printemps sans rien contracter.
  18. Je veux bien, moi c'était 3 à 4 semaines après l'absorption de l'ivermectine (eraquell). Quant à humide et chaud : environ 11° que ce soit sec ou humide... donc à peu près toute l'année en Belgique... Quant à la maladie en question, c'est la maladie de l'herbe, il faut beaucoup de paramètres réunis : température, accès à l'herbe, ivermectine et sans doute d'autres qu'on ignore. Mais bon, ayant eu cela une fois, je ne laisse plus rien au hasard. Tant qu'il y a accès à l'herbe, pas d'ivermectine. Des vers, certes c'est dangereux, mais avec un bon suivi, on peut encadrer et veiller à la santé du cheval, mais avec la maladie de l'herbe, pas, l'issue n'existe pas... Je fais aussi appel à mon véto en cas de doute.
  19. Sorry, je voulais mettre équigard, je vais éditer ; pour les deux autres, étant obsédée par l'ivermectine, ils s'y réduisent dans ma tête, mais quand je fais l'un, la fois suivante c'est l'autre.
  20. Mon programme : * ivermectine mi-septembre (equvalan duo ou equimax) * telmin+ ou rintal+ ou equigard début décembre * ivermectine début février (equvalan duo ou équimax) * panacur mi-avril, dorénavant étalée sur plusieurs jours * strongid début juillet ou autre molécule pouvant convenir selon le besoin (telmin ou equiminthe). Pour ma part, je viens de passer à une vermifugation tous les 2 mois 1/2 pour des raisons propres au cheval et je limite l'exposition à l'ivermectine au strict nécessaire pour des raisons qui m'appartiennent. Du coup, je varie ceux qui ne contiennent pas l'ivermectine afin de couvrir au mieux selon les besoins des saisons, mais je reste à des mélanges forts d'ivermectine pour les moments-clés (retour pré et avant printemps).
  21. Tu en fait donc trois à l'ivermectine sur l'année?
  22. Oui, on attrape d'abord par l'estomac... Arriver jusqu'à nourrir à la main et pas faire de gestes brusques.
  23. Etant donné le manifeste manque d'honnêteté et de transparence de ce forum, je ne souhaite plus partager ici mon expérience, mes joies, mon travail et mes recherches. Je retire donc tous les posts où ces émotions, ces partages s'y trouvaient. Rendez-vous sur : http://equitationethique.skynetblogs.be/.
  24. Merci. Oui Comme à peu près six autres forumeurs.
×
×
  • Créer...