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Collier GPS pour chien : guide d’achat et comparatif
PlumeBlanche a posté un article dans Découverte animalière
Si la fugue est comme une seconde nature chez certaines races de chien, bien qu’elle ne le soit pas chez d’autres, elle reste très fréquent chez les canins. En effet, si l’on se réfère aux chiffres dévoilés en 2019, un maître perdrait un chien toutes les 20 minutes. La meilleure solution contre ce problème majeur : le collier GPS pour chien. Cet accessoire révolutionnaire vous permet en effet de localiser votre compagnon où qu’il soit, et ce, en temps réel. En le lui faisant porter ainsi, vous faites d’une pierre deux coups : non seulement, vous prévenez les risques de fugue, mais en plus, vous avez également à portée de main une solution efficace et rapide pour le retrouver, et ce, si votre animal venait à s’égarer. Seul souci : il y en a tellement sur le marché qu’on ne sait plus quel modèle et quelle marque choisir. Voici donc, pour vous vous aider, nos conseils pour bien choisir votre collier GPS, ainsi que notre sélection des meilleurs colliers GPS pour chien pour 2020. Comment bien choisir un collier GPS pour chien ? Le collier GPS, à la différence d’un collier standard, se munit d’un petit boitier qui renferme un traceur GPS. Ce dernier va communiquer la position géographique du chien qui le porte à une application installé sur un smartphone ou autres terminaux de ce genre. Et ce, via un réseau téléphonique ou satellite. Notez toutefois que s’ils fonctionnent tous à peu près de la même manière, les colliers GPS peuvent aussi avoir leur particularité. Voilà pourquoi, pour être sûr d’acheter celui qui répond vraiment à vos besoins, vous devez prendre le temps de choisir en tenant compte de certains critères. Collier GPS pour chien : les critères à considérer pour faire le bon choix Les principaux critères à prendre en compte pour être sûr d’avoir un collier GPS de qualité, et qui correspond à vos besoins sont : La taille et le poids du chien. Il est effectivement important de choisir un traceur qui convienne au corps de l’animal. S’il est trop petit, il est possible que sa performance laisse à désirer. Dans le cas contraire, s’il est trop grand, il y a de grandes chances qu’il gène le chien dans ses mouvements. L’idéal est donc de trouver un collier qui ne soit ni trop petit ni trop lourd. L’autonomie. Eh oui ! Certains colliers GPS sont dotés d’une batterie ultra puissante, qui leur permet de fonctionner pendant des heures, voire des jours. D’autres ne peuvent pas durer aussi longtemps, aussi, prenez le temps de vous assurer que le traceur peut fonctionner pendant un bon moment avant de l’acheter. Le comble serait qu’il se décharge au moment où justement votre chien est introuvable. Les fonctionnalités. En plus du traçage, les colliers GPS peuvent intégrer de nombreuses autres fonctionnalités intéressantes comme le LiveTracking, qui est indispensable, car propose une localisation en temps réel. La fonction “Clôture virtuelle” peut également être utile, car elle vous permet d’être notifié lorsque votre chien sort d’une zone préalablement délimitée. Certains offrent aussi au propriétaire la possibilité d’enregistrer température corporelle de l’animal, la distance qu’il a parcourue en une journée, et même la liste des endroits qu’il a visités. Traceur GPS pour chien : avec ou sans abonnement ? Lorsqu’on achète un traceur GPS, il faut bien évidemment penser à l’abonnement. C’est ce dernier en effet qui va vous permettre de recevoir sur votre smartphone les données concernant sa localisation. Il faut savoir néanmoins que cet abonnement n’est pas forcément inclus dans le prix. Aussi, prenez le temps de vous renseigner avant de conclure un achat. Et soyez particulièrement vigilent si on vous propose un prix trop bas. Les colliers GPS sans abonnement coûtent effectivement moins cher à l’achat. Mais ne vous laissez berner, car pour pouvoir localiser votre chien, vous devrez quand même payer un abonnement mensuel. Le coût peut alors être relativement bas, mais sur le long terme, l’investissement n’est pas du tout intéressant. Bien sûr, un collier GPS pour chien avec abonnement coûtera certainement plus cher. Mais si vous faites un petit calcul rapide, sur le long terme, c’est cette formule qui vous permettra de faire des économies sur le long terme. Et avec ça, elle vous permettra de bénéficier des meilleures offres en matière de traçage. Comparatif des meilleurs colliers GPS pour chien Vous voulez acheter un traceur GPS pour votre chien ? N’oubliez pas de faire votre choix en fonction de votre budget. Vous pourrez en effet vous en offrir à partir de 25€, voire moins ; tout comme il est possible de trouver un modèle haut de gamme à plus de 700€. Vous l’aurez compris, il y en a pour tous les budgets ! Le collier GPS pour chien pas cher de Tractive Si vous voulez tester les traceurs pour chien, et que vous ne souhaitez pas investir un gros budget, ce collier GPS de Tractive répond parfaitement à vos besoins. C’est, avant tout, un petit traceur. Il n’est pas imposant et s’avère très léger. Pesant moins de 35 grammes, il conviendra aux chiens de petite taille, mais aussi à tout canin pesant plus de 4.5 kg. Mais ce qui importe le plus, c’est que malgré sa taille et son prix, c’est un traceur très complet qui se dote de plusieurs fonctionnalités : la localisation en temps réel, la possibilité de délimiter des clôtures virtuelles et de recevoir des notifications sur smartphone dès lors que l’animal les franchit, et la possibilité d’obtenir une historique de localisation. Et ce n’est pas tout ! Ce collier est également étanche et continuera de fonctionner même si votre chien patauge dans l’eau. Et il est disponible dans plus de 150 pays dans le monde. Il est commercialisé à moins de 35€ sans abonnement. Le meilleur rapport qualité/prix : traceur GPS pour chien Vita S de Kippy Si vous recherchez un collier GPS pour chien de bonne qualité, et à un prix raisonnable, optez pour le Vita S de Kippy. Ses atouts : c’est un petit appareil qui pèse moins de 30 grammes, pouvant convenir à un animal de plus de 3 kg. Il est capable de localiser votre animal en temps réel, et vous renseigne sur l’emplacement de ce dernier tous les 4 secondes. Il vous permet également de créer une clôture virtuelle de manière à vous prévenir chaque fois que votre chien dépasse les limites indiquées. Il vous permettra aussi de connaître son dernier emplacement. Mais ce qui différencie ce collier GPS des autres, c’est le fait qu’il vous permet également de surveiller la santé de votre chien. En plus de la localisation, le traceur se propose également d’enregistrer toutes ses activités. Vous pourrez vous-même consulter l’historique de son parcours sur l’application installée sur votre smartphone. A l’aide de représentations graphiques, il va aussi vous renseigner son état de santé générale chaque jour, grâce à des données récoltées en une journée. Le collier GPS pour chien Vita S est vendu avec trois forfaits d’abonnement au choix. Une fois que vous l’aurez acheté, vous pourrez bénéficier d’une garantie de deux ans, ainsi que d’une assistance technique gratuite en cas de panne du matériel. Le collier traceur GPS pour chien haut de gamme de SportDog Dans la catégorie des colliers GPS pour chien haut de gamme, celui de SportDog figure parmi les plus appréciés. C’est effectivement un matériel destiné à l’usage des professionnels, en particulier des maîtres qui pratiquent le sport, et qui emmènent leur compagnon avec eux. Ce traceur a tout d’un matériel sportif : il dispose d’un système de géolocalisation très performant, capable de couvrir jusqu’à 16km de rayon. Il ne propose pas seulement de localisation votre animal en temps réel, comme les traceurs classiques. Il peut fonctionner en main libre et est capable de vous informer vocalement de l’endroit où se trouve votre chien. Ce collier ne se contente pas d’être étanche. Il est également submersible. En d’autres termes, vous pourrez le localiser même s’il se trouve à 7.6 mètres de profondeur. Et pour couronner le tout, il est très pratique. Se chargeant en très peu de temps (moins de 4 heures), il a une autonomie non-négligeable de 24 heures. -
Si vous êtes un passionné des animaux notamment des chiens, le métier d’éducateur canin pourrait vous intéresser. L’éducateur canin comme son nom l’indique est chargé d’éduquer les chiens ayant des troubles du comportement et de leur inculquer les règles de propretés. Qu’est-ce qu’un éducateur canin ? Quelles sont les qualités requises pour exercer ce métier ? Quelle est la formation pour devenir éducateur canin ? Quelles sont les conditions de travail et l’évolution d’un éducateur canin ? Quels sont les éventuels problèmes rencontrés dans leur travail ? Incursion dans ce métier très particulier dans notre article. Qu’est-ce qu’un éducateur canin ? Généralement sollicité par les maîtres lorsqu’ils ont du mal à éduquer leur chien, un éducateur canin est chargé d’éduquer ou de rééduquer les chiens qui présentent certains comportements anormaux tels que : la peur, l’agressivité, l’anxiété. L’éducateur canin s’occupe également du maître en lui donnant des conseils et astuces pour favoriser l’intégration du chien dans la famille. Rôle de l’éducateur canin vis-à-vis des chiens Le rôle principal d’un éducateur canin est d’éduquer le chien afin qu’il se comporte bien en société. Il se charge de régler les problèmes comportementaux ou d’hygiène des chiens qui lui sont confiés. Il s’occupe du dressage du chien à travers l’utilisation des ordres de base («assis », « couché », « pas couché », « pas tirer », « à ta place ») afin de mieux le sociabiliser. Rôle de l’éducateur canin vis-à-vis du maître L’éducateur canin s’occupe également du maître qui le sollicite en lui inculquant les règles et astuces qui l’aideront à mieux gérer son chien et à se faire respecter. Il arrive en effet que les maîtres perdent le contrôle et qu’ils n’arrivent pas à avoir d’excellent rapport avec leur chien. L’éducateur canin se charge donc de les accompagner, en leur donnant des conseils afin que l’intégration du chien dans le milieu domestique se fasse facilement. Quelles sont les qualités requises pour exercer ce métier ? Il est évident que pour être éducateur, il faut avoir un amour pour les chiens car ce métier exige un contact permanent avec les chiens. Il faut associer à cette qualité primordiale d’autres aptitudes. La rigueur et la fermeté Éduquer un chien nécessite une grande rigueur et beaucoup de fermeté quand on sait que les chiens peuvent être têtus. L’éducateur canin doit en effet pouvoir gérer son chien de façon autoritaire et avoir un sens élevé d’observation. Il doit également se montrer doux pour ne pas effrayer le chien. La persévérance Être un éducateur canin fait appel à beaucoup de patience et de persévérance. Les chiens ont des caractères changeants de façon perpétuelle. Il se peut donc que les thérapies ne donnent pas les résultats escomptés dans le délai fixé. Il ne faut surtout pas se décourager à la première tentative, mais continuer jusqu’à avoir satisfaction. Maîtriser le chien Il est primordial de connaître son chien physiquement et psychologiquement avant de commencer son éducation. Ainsi vous pourriez mieux comprendre ses attitudes, ses postures, ses besoins et l’éducation sera plus aisée. Être endurant Une bonne forme physique est nécessaire pour exercer le métier d’éducateur canin. L’éducateur canin passe en effet la plus grande partie de sa journée debout, ou à courir derrière les chiens parfois agressifs. Si vous voulez exercer ce matin, vous devez absolument vous mettre au sport. Quelle est la formation pour devenir éducateur canin ? Pour devenir éducateur canin, il faut passer le brevet professionnel d’éducateur qui est un diplôme de niveau baccalauréat. Il se prépare en deux ans, exclusivement en alternance pour les personnes âgées au moins de 18 ans. Vous pouvez trouver cette formation auprès de la Maison familiale d’éducation et d’orientation de Semur-en-Auxois et au CFA EPL de Bar-le-Duc. À la fin de votre formation, vous devez obtenir le Certificat de Capacité Animaux Domestiques délivré par la préfecture avant de commencer à exercer. Il s’agit en effet d’une autorisation administrative qui permet d’exercer un métier en rapport avec les animaux domestiques. Le test pour l’obtention de ce certificat est composé de 30 questions QCM. Conditions de travail et évolutions Il faut savoir que la plupart des éducateurs canins travaillent à leur propre compte. Le travail se fait généralement au domicile des clients à des horaires variés. Le métier d’éducateur canin est donc un métier très flexible où vous pouvez choisir les heures de travail en accord avec le client. La rémunération est d’environ 1500€ brut par mois pour un éducateur canin débutant et varie également en fonction de la région et en fonction du savoir-faire de l’éducateur. En raison de son emploi du temps très flexible, l’éducateur canin peut associer à son métier des activités complémentaires telles que l’élevage des chiens, la pension pour chiens, le dressage des chiens de défense et de sécurité, l’éducation des chiens guides d’aveugles… Quels sont les différents problèmes auxquels sont confrontés les éducateurs canins dans l’exercice de leur métier ? Les éducateurs canins rencontrent différents problèmes dans l’exercice de leur métier. Il s’agit entre autres des problèmes d’obéissance, d’agressivité ou de fugue. Les problèmes d’obéissance Les éducateurs canins rencontrent parfois des chiens très difficiles dont les dressages ne sont aisés. Les ordres de base donnés par l’éducateur ne sont pas respectés par le chien ce qui ne permet pas d’évoluer dans l’éducation. L’agressivité L’agressivité du chien est généralement liée à la frustration ou à la peur. Il faut donc être en mesure de déterminer la cause de l’agression afin d’y apporter de solutions adéquates et de bien effectuer son travail. La fugue Au cours des séances d’éducation, il peut arriver que le chien fugue pour différentes raisons, ce qui pourrait causer des ennuis à l’éducateur canin. Pour ce faire, ce dernier doit être suffisamment prudent afin d’éviter ce genre de désagrément. Si vous voulez exercer ce métier particulier, il est primordial d’adorer les chiens et d’obtenir des diplômes professionnels et des autorisations. Après quoi vous pourrez comme la plupart des éducateurs canins, travailler à votre propre compte. Par ailleurs, vous allez devoir faire preuve de patience et de prudence afin de bien exercer votre métier.
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Maladies canines dues à une mauvaise alimentation
PlumeBlanche a posté un article dans Santé des animaux
Les chiens tout comme les hommes, ont besoin d’une alimentation saine. Il en va de leur santé. Une mauvaise alimentation peut être en effet très nuisible pour la santé de vos chiens et entraîner des maladies non négligeables. Qu’est-ce qu’une mauvaise alimentation canine ? Quelles sont les maladies canines liées à une mauvaise alimentation ? Comment bien nourrir votre chien ? Nous abordons dans cet article, la thématique de la mauvaise alimentation des chiens. Qu’est-ce qu’une mauvaise alimentation canine ? Les chiens disposent d’un système digestif court et très acide, qui digère rapidement les repas. Toutefois, le système digestif des chiens n’arrivent pas à digérer une catégorie d’aliments notamment les céréales. La mauvaise alimentation consiste donc à donner à votre chien des aliments incompatibles avec son tube digestif ou encore des aliments auxquels il est allergique. Aussi, la malnutrition canine peut être assimilée à un manque de nutriments essentiels dans l’organisme de votre chien. Cela sous-entend une alimentation non équilibrée qu’il faut revoir pour le bien être de votre animal de compagnie. La mauvaise alimentation est la cause principale de certaines maladies chez votre chien. Il est donc impératif d’adopter une alimentation saine et équilibrée pour votre compagnon. Quelles sont les maladies canines liées à la mauvaise alimentation ? La mauvaise alimentation est source de plusieurs maladies. Certaines sont gérables, d’autres plus graves deviennent chroniques. Un chien mal nourri est en effet exposé à la gastrite aiguë, la diarrhée, les maladies cardiaques, ou encore le diabète. La gastrite aiguë Cette maladie est due à la présence d’un parasite dans l’organisme de votre chien, à une intolérance alimentaire, ou à un aliment périmé. Les plus exposés à cette maladie, sont les chiens qui consomment les restes des aliments contenus dans la poubelle. Habitude très dangereuse, elle peut entraîner la mort de votre animal à quatre pattes. Les maladies cardiaques Une mauvaise alimentation peut entraîner à la longue des problèmes cardiaques surtout lorsque cette alimentation est constituée essentiellement de pois, pommes de terres et légumineuses. De même, une alimentation sans tous les éléments nutritifs notamment l’acide aminé peut être une cause de maladies cardiaques. De plus, si votre chien n’est pas soumis à un régime alimentaire qui l’hydrate bien, il est exposé aux maladies rénales. Une alimentation également trop riche en graisse peut provoquer l’inflammation du pancréas. Le diabète Le diabète est dû à une alimentation riche en glucide, c’est-à-dire en sucre. Si votre chien consomme beaucoup de sucre, il a de fortes chances de finir avec le diabète. Cette maladie bloque la circulation sanguine, et rend votre chien vulnérable à d’autres maladies, notamment l’insuffisance rénale. La diarrhée La diarrhée est la conséquence la plus rapide et la plus fréquente d’une mauvaise alimentation. Elle se manifeste généralement lorsque votre chien consomme un aliment qui ne tolère pas, ou qui est périmé. Une diarrhée ponctuelle n’est pas forcément due à une mauvaise alimentation. Si elle continue sur quelques jours, il est préférable de consulter un vétérinaire. Quelles sont les autres conséquences de la mauvaise alimentation des chiens? Au-delà des maladies, la mauvaise alimentation peut entraîner chez votre chien des allergies et des troubles du comportement. L’alimentation de votre chien n’est donc pas à prendre à la légère. Elle impacte l’organisme de votre animal de compagnie plus que vous ne le pensez. Soumettre votre chien a une bonne alimentation, saine et équilibrée, vous épargne de plusieurs dépenses chez le vétérinaire. Les allergies Au même titre que les hommes, les chiens peuvent être allergiques à certains aliments. Même si votre chien consomme la même nourriture depuis des années, les réactions allergiques peuvent survenir à n’importe quel moment. Ces allergies se manifestent par des démangeaisons pouvant aller jusqu’aux plaies. De plus, une alimentation sans acides gras oméga peut rendre la peau de votre chien terne ou squameuse. Par ailleurs, les allergies dues à une intolérance alimentaire peuvent également se manifester par les infections de l’oreille. Les troubles du comportement Aussi étrange qu’il soit, une mauvaise alimentation peut avoir des impacts sur le comportement de votre animal de compagnie. Une forte consommation de protéines peut susciter de l’agressivité chez votre chien. En effet, lorsque le taux de protéine est élevé par rapport à l’activité exercée par votre chien, son taux de sérotonine est réduit. La sérotonine est la substance qui régularise l’humeur. Il est donc tout à fait normal qu’un chien dont la sérotonine est freinée soit toujours anxieux et agressif. En outre, une forte consommation de glucide peut rendre votre chiot hyperactif. L’obésité L’obésité chez le chien est liée à la consommation excessive des glucides, protéines et sucres sans fournir suffisamment d’efforts. L’alimentation du chien doit donc être adoptée en fonction de l’effort physique que ce dernier exerce. Comment bien nourrir votre chien ? A présent que vous avez connaissance des maladies et impacts négatifs de la mauvaise alimentation pour votre chien, il est nécessaire de revoir le régime alimentaire de votre animal de compagnie, en lui offrant une alimentation équilibrée afin de lui garantir une bonne santé. Vous avez le choix entre une alimentation maison, une alimentation industrielle et une alimentation mixte. L’alimentation maison Très conseillée, elle consiste à préparer vous-même la ration de votre chien. Vous pouvez vous tourner vers un vétérinaire, afin qu’ensemble vous adoptiez un régime alimentaire équilibré en fonction de l’âge, la taille et l’activité physique de votre chien. L’avantage principal de cette méthode, est que vous êtes assurés de la qualité d’aliments que consomme votre chien et surtout qu’il est bien équilibré. L’alimentation industrielle Elle consiste à acheter des croquettes, des pâtées en boîtes ou des barquettes pour votre chien. Très pratique, cette méthode est de plus en plus adoptée par les propriétaires de chiens. Toutefois, il est nécessaire de vous assurer de la bonne qualité des produits proposés et leur composition avant de les soumettre à votre chien. L’alimentation mixte Comme son nom l’indique, c’est une combinaison de l’alimentation maison et de l’alimentation industrielle. Cette méthode est moins coûteuse et vous permet de varier les repas de votre chien. Le plus important est de fournir à votre chien une bonne alimentation, constitué de tous les éléments nutritionnels et à une fréquence raisonnable. Pour plus de certitude, consultez votre vétérinaire. -
Aquarium d’eau douce : 10 plantes faciles pour débuter
PlumeBlanche a posté un article dans Découverte animalière
Vous avez ou voulez avoir votre tout premier aquarium d'eau douce et vous désirez le décorer mais ne vous ne savez pas vraiment comment vous y prendre. L'un des éléments clés pour réussir est de bien choisir les plantes qui vont composer votre aquarium. En effet, les plantes jouent un rôle essentiel dans le bon fonctionnement de l'écosystème aquatique en régulant la qualité de l'eau et en offrant un habitat idéal pour vos poissons. Quelles sont les plantes les plus faciles pour débuter avec un aquarium d'eau douce ? Sur quels critères se baser pour sélectionner ses plantes d'aquarium d'eau douce ? Comment les installer dans l'aquarium ? Cet article vous donnera quelques premières instructions. Prenez-le comme guide afin d’être mieux outillé, surtout si vous êtes un débutant en aquariophilie. Les différents types de plantes pour un aquarium d'eau douce Pour commencer, il faut savoir qu'il existe plusieurs types de plantes pour un aquarium d'eau douce. Il y a un large choix en termes de formes, de tailles et de besoins spécifiques, permettant ainsi à chaque aquariophile de trouver son bonheur. Les plantes flottantes Les plantes flottantes sont celles qui se développent à la surface de l'eau sans être fixées dans le sol. Elles présentent généralement de longues racines plongeant dans l'eau et offrent une excellente ombre pour les poissons. Parmi les plantes flottantes couramment utilisées, on retrouve : La lentille d'eau (Lemna minor) La Riccie flottante (Riccia fluitans) La salade d'eau (Pistia stratiotes) Les plantes immergées Les plantes immergées sont celles qui vivent entièrement sous l'eau et se fixent dans le substrat. Elles apportent de l'oxygène à l'aquarium et participent activement à la filtration biologique. Parmi les plantes immergées populaires, on peut citer : L'anubias (différentes espèces) Le cryptocoryne (plusieurs espèces disponibles) La fougère de Java (Microsorum pteropus) La mousse de Java (Taxiphyllum barbieri) Les plantes émergées Les plantes émergées ont une partie hors de l'eau et une partie immergée. Elles permettent d'apporter une touche esthétique à votre aquarium en créant un aspect plus naturel. Voici quelques exemples de plantes émergées : Le papyrus du Nil (Cyperus papyrus) Le philodendron (diverses espèces) L'Acorus gramineus Comment choisir les plantes pour votre aquarium d'eau douce Maintenant que vous connaissez les différents types de plantes pour un aquarium d'eau douce, il est temps de prendre en compte certains critères pour faire votre choix. Tenez compte des conditions de votre aquarium Pour assurer la bonne santé de vos plantes, il est essentiel de tenir compte des conditions spécifiques de votre aquarium. Les paramètres importants à considérer incluent : La taille et la profondeur de l'aquarium Le type de substrat utilisé (graviers, sable, sol nutritif...) La qualité de l'eau (dureté, pH, température...) L'éclairage disponible (intensité lumineuse, durée d'éclairage...) Il est primordial de sélectionner des plantes adaptées à ces conditions pour leur assurer une bonne croissance et un bon développement. Choisissez en fonction de l'esthétique souhaitée Une fois que vous avez identifié les plantes compatibles avec les conditions de votre aquarium, il est temps de réfléchir à l'esthétique que vous souhaitez créer. N'hésitez pas à mixer différents types de plantes pour apporter de la diversité et du relief à votre décor. Vous pouvez également jouer avec les différentes formes, tailles et couleurs pour composer un paysage aquatique harmonieux et attrayant. Pensez à la facilité d'entretien Si vous débutez dans l'aquariophilie, il peut être judicieux de choisir des plantes faciles à entretenir et qui ne nécessitent pas trop de soins particuliers. Certaines plantes sont plus robustes et tolérantes face aux variations de l'environnement, ce qui facilite grandement leur maintenance. Les dix exemples de plantes faciles pour débutants Si choisir les plantes à mettre dans un aquarium n’est pas chose aisée, pour les nouveaux aquariophiles cela peut vite devenir un défi insurmontable. C'est pourquoi nous conseillons aux débutants de privilégier le critère de la facilité d'entretien pour les premières décorations. Voici les dix espèces végétales les plus faciles à installer dans votre aquarium d'eau douce. La Cryptocoryne de Wendt ou Cryptocoryne wendti Les Cryptocorynes sont une famille de plantes très utilisée par un grand nombre des aquariophiles. Les couleurs de ces plantes varient entre le vert au brun rougeâtre. La cryptocoryne de Wendt est très tolérante aux différents types d'eau et préfère des environnements pas trop lumineux. La glycine aquatique ou Hygrophila difformis C’est une plante très fréquente chez les amateurs de l’aquarium tropical. Elle pousse vite, ajoutera très rapidement de la profondeur et de la beauté à votre aquarium. La glycine aquatique a besoin d'un minimum d'entretien, ce qui en fait une plante idéale pour un débutant. La mousse de Java ou Vesicularia dubayana De son nom scientifique Vesicularia dubayana, la Mousse de Java est une plante très populaire pour les aquariums d'eau douce. C’est une plante qui ne nécessite pas beaucoup d’entretien et pousse très bien sur les roches ou sur le bois. Elle est très bien recommandée aux débutants qui débutent dans l’aquariophilie. Le faux tenellus ou Lilaeopsis brasiliensis Cette plante crée un tapis magnifique dans l’aquarium et est très appréciée par les débutants tout comme par les experts d’aquascaping. Elle est principalement utilisée comme décoration de premier plan car ne dépasse jamais 8 cm de hauteur. Sa croissance est assez lente et pour obtenir l’effet « gazonnant » il faut utiliser un éclairage fort. Il vous suffira de lui apporter les soins les plus basiques, et elle vous donnera un beau tapis en retour. La plante épée d’amazonie ou Echinodorus amazonicus La plante Épée d’amazonie a des feuilles qui ressemblent à des épées. Elle peut atteindre une taille qui varie entre 50 et 60 cm. Elle est idéale pour l’arrière-plan de l'aquarium. Souvent, les Echinodorus amazonicus sont plantés en groupes à l'arrière de l'aquarium. Le bolbitis de Heudelot ou Bolbitis heudelotii La Bolbitis heudelotii est une fougère aquatique qui se fixe idéalement sur les supports comme pierres ou racines. Cette plante peut être très bien utilisée au fond de l’aquarium comme au premier plan. Elle a besoin de relativement peu d'entretien et a une croissance facile dans la plupart de conditions. La fougère de Java ou Microsorium pteropus La fougère de Java est très populaire car c’est une plante décoratrice, résistante et dont la maintenance est relativement facile. Elle cohabite bien avec presque toutes les autres plantes classiques et peut être fixée aux différents plans de l’aquarium. L’ anubia naine ou Anubias Nana Cette plante qui a besoin de très peu de soins, se propage rapidement dans l’aquarium et s’adapte facilement pratiquement à toutes les conditions. Cela fait de l’anubias Nana une plante idéale pour les débutants. Elle convient parfaitement pour le second plan de l’aquarium, mais il existe également des variétés qui rempliront bien les fonctions de premier plan. La plante ne dépasse pas 12 cm en hauteur. L’étoile de Helfer ou Pogostemon Helferi Le Pogostemon Helferi est une des plantes les plus particulières que vous trouverez pour les aquariums d'eau douce. Ces feuilles en forme de zig-zag sont d’une apparence frappante. En Thaïlande, son pays d’origine, on l’appelle « Daonoi » ce qui signifie « petite étoile ». Le Sagittaire ou Sagittaria subulata Sagittaire est une plante d’entretien très facile et convient parfaitement aux débutants. Elle peut pousser jusqu’à 30, voire 50 cm et s’utilise beaucoup en second plan. Néanmoins, régulièrement taillée cette plante peut être mis également au premier plan. Elle offre une très belle décoration pour votre aquarium. Des astuces pour bien placer vos plantes dans l'aquarium Une fois que vous avez choisi vos plantes et préparé votre aquarium, il est temps de les installer. Voici quelques conseils pour bien les positionner : Placez les plantes hautes au fond de l'aquarium, elles serviront de décor et de cachettes pour les poissons. Disposez les plantes de taille moyenne au centre de l'aquarium pour créer un effet de profondeur. Les plantes basses et gazonnantes sont à privilégier à l'avant-plan ou en bordure du décor afin de laisser suffisamment d'espace pour les poissons. Pensez à maintenir un espace libre pour la nage des poissons et faciliter l'entretien de l'aquarium. En suivant ces conseils, vous serez en mesure de débuter avec succès votre aquarium d'eau douce et de créer un bel écosystème pour vos poissons et vos plantes. -
Comment changer les croquettes de votre chat ?
PlumeBlanche a posté un article dans Santé des animaux
Quelles que soient les raisons qui vous poussent à le faire, vous devez savoir que modifier le régime alimentaire du chat ne peut se faire du jour au lendemain. Toute transition, même au niveau de son alimentation, doit en effet se faire progressivement. Et ce, si vous ne voulez pas que cela ait un impact sur sa santé. Votre chat est maintenant adulte et a besoin de nourriture plus adaptée ? Il boude ses plats et refuse de manger ce que vous lui donnez habituellement ? Le vétérinaire lui a prescrit une alimentation différente pour des raisons de santé ? Découvrez comment changer les croquettes de votre chat. Changer les croquettes de votre chat : allez-y doucement ! La première règle, si vous voulez modifier l'alimentation de votre chat, est d'y aller doucement. Quelles que soient les nouvelles croquettes que vous allez lui donner, vous devez en effet les introduire petit à petit. Et ce, même si votre chat a l'air d'apprécier les nouvelles croquettes. La raison est simple : si le changement n'a pas l'air de le déranger, cela va certainement avoir un impact sur son système digestif. Si vous voulez que votre chat puisse aimer les nouvelles croquettes, et que son système digestif puisse aussi s'y habituer, introduisez-les progressivement. Changer les croquettes du chat : la quantité Vous l'aurez compris, il n'est pas question de remplacer le contenu entier de son plat du jour au lendemain. Commencez par de petites quantités. L'objectif est simple : vous augmentez petit à petit la nouvelle nourriture, et vous diminuez petit à petit l'ancienne. Comment procéder ? Vous pouvez par exemple remplacer le quart de son plat pour les nouvelles croquettes au début. Vous mélangez et vous le laissez manger. Et vous augmentez cette quantité progressivement pendant les jours qui suivent : 25%; 50%; 75% et ce, jusqu'à ce que l'ancienne alimentation soit remplacée définitivement par les nouvelles croquettes. Changer les croquettes du chat : la durée La transition alimentaire ne peut pas et ne doit pas se faire en quelques jours. Si vous forcez trop, soit votre chat va rejeter les nouvelles croquettes, soit son système digestif va réagir violemment. Il risque de souffrir d'ingestions. Pour que la transition se fasse sans encombre, elle doit se faire entre 7 à 10 jours. En d'autres termes, si vous introduisez les nouvelles croquettes aujourd'hui, vous devez augmenter leur proportion petit à petit, et de jour en jour, de manière à ce qu'au dixième jour, le changement soit effectif. Vous pouvez considérer que l'opération a été un succès si votre chat accepte la nouvelle nourriture sans rechigner, et s'il n'a souffert d'aucun trouble digestif. Que faire si le chat refuse la nouvelle nourriture ? Normalement, si vous introduisez la nouvelle nourriture avec l'ancienne, votre chat ne devrait pas trop faire attention. Surtout, si vous prenez le temps de bien mélanger le tout. Certains chats, s'ils ont du caractère, peuvent néanmoins ne pas se laisser duper. Et au moindre changement, ils peuvent refuser tout bonnement de manger le contenu de leur gamelle. Si vous faites face à ce genre de situation, vous pouvez user d'autres ruses. Vous pouvez, par exemple, réchauffer un peu les nouvelles croquettes pour dégager leur odeur. Cela peut aider le chat à s'y intéresser. Sinon, vous pouvez également les mélanger avec une arôme que votre chat aime bien. Vous pouvez, par exemple, saupoudrer les croquettes d'une poudre de graisse de viande; ou les arroser avec de l'huile de viande, de l'huile de thon, de l'huile de saumon, etc. Changer les croquettes de votre chat : surveillez-le de près Il est très important, lorsque vous opérez des changements au niveau de l'alimentation du chat, de gardez un œil sur lui. Vous devez noter tout changement au niveau de son comportement, pour déceler d'éventuels signes d'allergie. Vous devez aussi surveiller la fréquence de ses selles, ainsi que l'état de ces dernières. Et ce, afin de prévenir ou de repérer une éventuelle indigestion ou intolérance. Et bien sûr, vous devez faire attention à tout changement physique. Un amaigrissement soudain ou une prise de poids trop importante doit être signalé au vétérinaire. -
L’hiver rime avec le froid avec des températures baisses. Tout comme les hommes, les chiens sont vulnérables au froid et peuvent attraper diverses maladies au cours de cette période. La vulnérabilité est encore plus grande quand il s’agit des chiots et des chiens âgés. Car malgré leur pelage, les chiens peuvent souffrir du froid, des agressions extérieurs comme le gel ou encore tomber malade. Il est donc important de prendre soin de vos chiens et de les protéger au maximum en hiver. Quels sont les gestes à avoir ? Quelles sont les conséquences si votre animal n’est pas protégé ? Notre équipe vous livre quelques astuces et conseils pour prendre soin de vos chiens en hiver. Quels sont les risques auxquels les chiens sont exposés en hiver ? Les chiens supportent mieux le froid que la chaleur intense. Cependant, ils peuvent souffrir de maladie grave à cause du froid. En effet, pendant l’hiver les chiens sont exposés à l’hypothermie qui est une baisse de la température corporelle du chien. Ce changement brusque de température affaiblit leur système immunitaire et favorise l’entrée des virus dans leur corps. Ils peuvent souffrir de maladies respiratoires très graves pouvant aller jusqu’à la pneumonie. De plus, le sel de dégivrement utilisé sur les routes en hiver est dangereux pour les chiens. Il irrite les pattes des chiens et peut être toxique pour ces derniers en cas d’indigestion. Pour cela, nous vous recommandons de protéger les coussinets de votre chien avec un soin hydratant. De même, les chiens, notamment les plus âgés, peuvent souffrir des douleurs articulaires comme l’arthrose pendant le froid. On a tendance à croire que les chiens obèses ne sont pas très sensibles au froid. Ce qui n’est pas vrai car ils sont très frileux, bougent moins et dépensent peu d’énergie pour se réchauffer. Afin de prévenir ces éventuels dangers, il est nécessaire d’offrir à vos chiens des soins particuliers. Comment soigner son chien pendant l’hiver L’hiver est la période de l’année où on observe une hausse des maladies respiratoires. Nos chiens ne sont pas épargnés et peuvent développer des bronchites ou des trachéites. Le développement de ces maladies chez les chiens est dû essentiellement au changement brusque de température. Pour cela, nous vous recommandons de vacciner vos chiens afin de les protéger de l’apparition de ces maladies. De plus, vous devez être vigilant et attentif sur les moindres changements afin de détecter une éventuelle maladie. Les chiens les moins chanceux peuvent en effet attraper des maladies respiratoires très graves. Pour plus de sécurité, amenez régulièrement vos chiens en consultation chez le vétérinaire. Comment nourrir son chien en hiver ? En hiver, le chien consomme beaucoup plus d’énergie que d’habitude afin de lutter contre le froid. De ce fait, les besoins énergétiques de votre chien augmenteront. De plus, les chiens ont souvent plus faim en hiver. Il faut alors augmenter leur ration de 10 à 15 % en fonction du climat de la région et de l’activité des chiens. Toutefois, cette augmentation ne concerne que les chiens d’extérieur qui font beaucoup d’exercice et qui doivent lutter pour se maintenir au chaud. Les chiens de maison n’ont pas ce problème, car ils passent la journée dans les appartements, où les températures sont relativement bonnes. Nul besoin donc de leur faire prendre des calories, quand on sait qu’ils font peu d’exercice. Prendre soin du pelage des chiens en hiver Le pelage est un excellent moyen de protection des chiens contre le froid. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’ils supportent mieux la fraîcheur que la chaleur. Garder leur pelage en bon état serait donc utile en hiver. Il est également recommandé d’effectuer un brossage régulier des poils afin d’éviter les emmêlements et pour éliminer les poils morts. Évitez surtout de tailler les poils de vos chiens en hiver. Ils perdront leur moyen de réchauffement principal. Habiller les chiens convenablement Il est fortement conseillé de couvrir les chiens avant de sortir en hiver surtout quand il s’agit des chiens d’intérieur, des chiots, des chiens âgés et des chiens sans poils. Les chiens d’intérieur sont en effet habitués à la chaleur de la maison. Ils pourraient souffrir à cause du froid au cours des promenades. Pour cela, opter pour les pulls ou les manteaux de chien bien épais, suffisamment longs pour couvrir le chien du cou jusqu’à la queue. Optez également pour des vêtements de froid amples, afin que le chien ne se sente pas à l’étroit. Toutefois, les chiens nordiques et les bergers suisses n’ont aucun mal avec le froid. Ils peuvent se promener en hiver sans aucun risque. Il est également conseillé de toujours garder un imperméable en cas de pluie afin que le chien n’attrape pas froid. De plus, en raison du sel de dégivrement nocif pour les chiens, il est préférable de les rincer immédiatement lorsqu’ils rentrent de la promenade. Veillez surtout que vos chiens ne lèchent pas leurs pattes après avoir été en contact avec le sel de dégivrement afin d’éviter l’intoxication. Aménager un endroit confortable Toutes les mesures doivent être prises pour que votre chien ne ressente par le froid. Pour cela, aménagez un lit confortable avec une couverture épaisse, capable de retenir la chaleur si votre chien vit à l’intérieur. Votre chien pourra ainsi dormir sereinement, sans vraiment sentir le froid. De même, vous devrez rendre votre environnement chaud, pour le bien-être de votre animal de compagnie. Si votre chien vit à l’extérieur, vous devez aménager une niche bien solide, faite de bois et qui n’est pas en contact direct avec le sol. Prévoyez un matelas confortable et des couvertures pour qu’il soit bien au chaud. Cependant, il est déconseillé de laisser votre chien vivre à l’extérieur en hiver. Il sera en effet plus exposé aux maladies. Il est évident que la manière dont vous prenez soin de vos chiens doit changer pendant l’hiver. Ces derniers ont en effet besoin d’une attention particulière afin de se protéger des éventuelles pathologies. Par ailleurs, il est primordial de savoir que les chiens ne réagissent pas de la même manière au froid. Certains supportent beaucoup plus que d’autres. Le plus important est donc de maîtriser son chien et de bien le préparer afin qu’il affronte sereinement l’hiver. Pour les races particulièrement fragiles ou les chiens ayant déjà quelques problèmes de santé, il peut être intéressant de souscrire une assurance santé animale. Pour comparer les offres et décider si cette option vous semble attractive, vous pouvez utiliser notre devis simple et gratuit.
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Il est très difficile de savoir quand une poule est malade. Ce type de volatile ne montre pratiquement pas de symptôme en effet. Si bien que lorsqu’on se rend compte que quelque chose ne va pas, c’est souvent trop tard. La maladie a déjà évolué, et les conséquences peuvent être graves. Voilà pourquoi, dès que vous remarquez des symptômes suspects - si elle reste prostrée pendant des heures, si elle refuse de manger, si elle refuse de boire, si elle perd beaucoup trop de plumes, si elle a des diarrhées, - vous devez réagir vite. Découvrez ce qu’il faut faire si votre poule est malade. Votre poule est malade ? Isolez-la ! Si vous soupçonnez qu’une de vos poules ne va pas bien, isolez-la. Même si vous n’êtes pas tout à fait certain qu’elle soit réellement malade, éloignez-la des autres. Si vous avez effectivement raison, tant que vous ignorez la nature de la maladie, et tant que vous n’avez aucune certitude quant au fait qu’elle soit contagieuse ou non, vous devez l’isoler. C’est la seule manière de vous assurer qu’elle ne contamine pas les autres membres du groupe. Où la placer ? L’endroit importe peu du moment qu'elle soit éloignée des autres. De préférence, mettez-la dans un lieu calme, où elle pourra se détendre et où vous pourrez l’examiner en toute tranquillité. Mais bien sûr, l’idéal serait de la placer dans un endroit réservé spécifiquement à cet usage, une sortie de bureau des soins ou de pharmacie. Votre poule est malade ? Recherchez les signes visibles Une fois que vous aurez isolé votre poule, vous devez l’examiner minutieusement. Et ce, afin de déceler tout signe extérieur de maladie. Une poule malade : cherchez d’éventuelles blessures Si vous remarquez un changement de comportement chez votre poule, la première chose que vous devez faire, c’est de rechercher si elle n’a pas été blessée quelque part. Une blessure, si elle est importante, peut en effet causer des douleurs insupportables. Dans quel cas, la souffrance peut affaiblir l’animal, au point de lui faire perdre l’appétit. Examinez-la donc minutieusement. Palpez son corps en entier, et regardez bien sous les ailes, sous les pattes, etc. Si vous trouvez la blessure et qu’elle est assez minime, vous pouvez la désinfecter et la panser vous-même. Dans le cas contraire, si vous trouvez une plaie béante, ou une blessure qui s’est déjà infectée, emmenez-la rapidement chez un vétérinaire. Décelez la présence de parasites L’une des raisons les plus communes pouvant causer un malaise important chez la poule est la présence de parasites. Et ce, en grande quantité. Pour vous en assurer, examinez donc attentivement votre volaille, et assurez-vous qu’elle n’est pas victime d’une infestation de parasites. Quelle parasite rechercher ? Dans la majorité des cas, le problème est dû à la présence de poux mallophages. Également surnommés “poux broyeurs”, ces parasites se nourrissent du sang de la poule. Et en grande quantité, ils peuvent à la longue provoquer une anémie, et parallèlement, une grande fatigue. S’il s’avère que le problème vient effectivement de ce genre de parasites, il faudra prévoir un déparasitage. Y a-t-il des changements physiques ? Dans la mesure où les poules ont rarement des symptômes lorsqu’elles sont malades, il est fort probable qu’au moment où vous notez le problème, votre poule ait déjà souffert physiquement de la maladie. En d’autres termes, il est impossible que cette maladie hypothétique n’ait pas eu des impacts sur son apparence physique. Pour vous en assurer, commencez donc par peser votre poule afin de vérifier si elle a, oui ou non, perdu beaucoup de poids, en un laps de temps relativement court. Après cela, vérifiez également l’état de son plumage et vérifiez si elle n’a pas perdu beaucoup de plumes ces derniers temps. Et pour finir, examinez ces pattes et vérifiez si ces dernières n’ont pas augmenté de volume de manière spectaculaire ces derniers temps. Tous ces signes indiquent en effet un problème de santé majeur. Votre poule est malade ? Décelez les signes extérieurs Comme dit précédemment, la poule présente rarement des symptômes lorsqu’elle est malade. Par conséquent, si vous ne décelez pas de signes physiques, recherchez plutôt les signes qui ne sont pas visibles à l'extérieur ou qui ne concernent pas directement la poule. Les problèmes respiratoires chez la poule malade Essayez premièrement de trouver si votre poule n’a pas des difficultés à respirer. Il est assez courant en effet, pendant les périodes de pluie ou de grande humidité, qu’elle souffre de rhume ou de coryzas. Et ces maladies, bien que peu dangereuses, provoquent des troubles respiratoires et naturellement, un affaiblissement important. La bonne nouvelle, c’est que ce ne sont pas des maladies graves en soi, et qu’elles n’engagent en rien le pronostic vital de l’animal. Dans la majorité des cas, une simple tisane à base de thym de miel et de romarin suffit à apaiser les rhumes. Pour ce qui est du coryza en revanche, mieux vaut consulter un vétérinaire. Décelez la présence de poux rouges dans le poulailler Les poux rouges, connus sous le nom scientifique “Dermanyssus gallinae”, sont des petits acariens qui se nourrissent du sang des poules. A la différence des poux mallophages, ceux-ci ne vivent pas constamment sur les volailles. Ils peuvent vivre à différents endroits du poulailler et viendront, chaque nuit, se nourrir de leur sang. Les poux rouges deviennent dangereux lorsqu’ils sont trop nombreux. Ils peuvent en effet entraîner une anémie à la longue, et peuvent même entraîner la mort de la poule anémiée. Vérifiez donc minutieusement le poulailler, et si l’infestation de poux rouges et avérée, réagissez vite. Allez consulter rapidement un vétérinaire. Parallèlement, prévoyez une désinfection entière du poulailler, dans le cas contraire, vos poules vont tomber malades une par une.
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Catégorisés parmi les meilleurs amis de leurs maîtres, les chiens sont des animaux domestiques qui peuvent pour diverses raisons se sentir mal en point, tant physiquement qu’émotionnellement. Cette période de malaise et de souffrance qui a souvent des effets sur leur bien-être et leur dynamisme, peut être vite interrompue si les maîtres arrivaient à la détecter avec promptitude. Quels sont les symptômes physiques qui doivent vous alerter ? Quels sont les comportements qui doivent attirer votre attention ? Comment réagir lorsque votre chien souffre ? Découvrez nos conseils pour déceler les douleurs chez votre chien. Les symptômes physiques qui doivent vous alerter Lorsque votre chien souffre, il l’exprime à travers l’apparition de certains signes physiques et psychiques. Il est donc important d’être attentif aux changements physiques de votre chien. Les principaux signes sont les cris d’angoisse et l’adoption de certaines postures. Les cris d’angoisse et léchage excessif Les chiens poussent des cris d’angoisse face à une douleur ou à un état de mal-être. Ces cris se traduisent par des gémissements inhabituels, ou des plaintes en votre présence. Aussi, les chiens ont tendance à lécher la partie du corps qui cause la douleur. Ainsi, une remarque du léchage excessif d’un membre du corps de votre chien doit vous pousser à vérifier s’il n’est pas blessé à cet endroit. Des douleurs internes en rapport avec le poumon peuvent également inciter votre chien à des halètements. De plus, le regard triste de votre chien est un signe de souffrance. Ses yeux peuvent être rouges ou dilatés. L’adoption de certaines positions Pour exprimer une douleur ventrale, les chiens adoptent en général la position de la prière. Cette position consiste pour le chien à se positionner les pattes avant au sol et le haut du corps penché en avant. Si votre chien adopte cette position, il se pourrait qu’il ait une douleur au niveau du ventre. De même, quand un chien souffre, il se déplace à queue basse et à tête basse. C’est une manière de vous exprimer sa douleur. Une boiterie de votre chien veut vous notifier la fracture d’un membre ou la formation d’un cancer des os. Par ailleurs, quand un chien souffre, il ne sait pas dans quelle position rester. Vous le verrez changer régulièrement de position afin de trouver la position dans laquelle il se sentira le plus à l’aise. Les symptômes comportementaux qui doivent attirer votre attention Quand un chien souffre, son comportement change en général. Votre chien d’habitude joyeux deviendra anxieux, stressé, fatigué et très agressif. Il faut donc être attentif à ces changements de comportements afin de déceler au plus tôt la souffrance de votre chien. La fatigue Si votre chien souffre, il peut avoir l’air fatigué, abattu, prostré et moins sociable. Il ressentira le besoin d’aller se cacher dans un coin de la maison. C’est une manière d’attirer votre attention et de solliciter votre aide. L’agressivité Un chien qui souffre peut se montrer très agressif ou irritable lorsque vous vous approchez de lui. Il refusera tout contact. Si votre chien habituellement joyeux se montre soudainement irritable, il s’agit là d’un signe qu’il ne faut surtout pas prendre à la légère. Il peut également refuser d’aller se promener, de quitter son panier, de jouer. Le manque d’appétit Refuser de se nourrir est également un moyen pour votre chien d’exprimer sa souffrance. C’est donc un symptôme qui doit vous inquiéter. Le manque d’appétit peut être dû à un stress, une inquiétude ou la conséquence d’une maladie qui ne lui donne pas envie de manger. De plus, le sommeil d’un chien qui souffre est souvent perturbé. Il peut mal dormir à cause des douleurs. Soyez attentif à tous ces détails. Comment réagir lorsque votre chien souffre ? La douleur chez votre chien est un problème qui ne doit pas être pris à la légère. Les signes de douleur ne sont pas anodins et si votre chien montre certains de ces signes, il peut souffrir plus que cela en donne l’impression. Pour ce faire, à la remarque du moindre symptôme de souffrance chez votre chien, conduisez-le aussitôt chez un vétérinaire. Cependant, si vous n’êtes pas en mesure de voir un vétérinaire dans un bref délai, prenez soin de votre chien en adoptant certains comportements. La consultation chez le vétérinaire Le vétérinaire, est le spécialiste de la santé et du bien-être des animaux. Il est le seul qui puisse déterminer avec précision ce dont souffre votre chien et comment faire pour y remédier. Quel que soit le mal, le vétérinaire a toujours une solution pour soigner votre chien. Il se chargera de traiter votre chien soit par l’application de méthodes conventionnelles et de la physiothérapie, soit en vous recommandant d’autres thérapies complémentaires tels que l’ostéopathie, l’acupuncture et la phytothérapie. Consultez-le le plus tôt possible car ces petites douleurs peuvent cacher des maladies graves comme des cancers, et la fracture d’un membre qui peut être facilement gérable au départ, peut en cas de négligence se compliquer et s’infecter. Comportements à adopter en cas de souffrance de votre chien Si vous êtes dans l’impossibilité de consulter un vétérinaire dès le constat de la souffrance de votre chien, vous devez prendre certaines mesures pour l’apaiser en attendant. Vous pouvez lui aménager un espace tranquille, sans chaleur ni courant d’air afin de lui permettre de se reposer en toute tranquillité. Il ne faut surtout pas l’approcher et jouer avec lui tant qu’il ne manifeste pas son accord. Vous pouvez également recourir à des solutions naturelles pour l’aider à gérer la douleur. Toutefois, il est formellement interdit d’administrer des médicaments à votre chien sans prescription d’un vétérinaire, même s’il s’agit de médicaments prescrits par le passé. Aussi, n’administrez jamais à votre chien des médicaments destinés aux humains. Ils sont très toxiques pour les animaux. Vous ne voudriez pas sans doute voir votre chien malade ou souffrir. Pour cela, il est nécessaire d’être attentif à tous ces changements physiques et comportements afin de déceler les souffrances de votre compagnon. Une fois un symptôme de douleur détecté, agissez au plus vite. Rendez-vous chez votre vétérinaire afin qu’il puisse soigner votre chien ou dans le pire des cas, référez-vous aux méthodes naturelles de traitement dont l’efficacité a déjà été prouvée à de nombreuses reprises, et ceci sur différents types de chiens.
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Ça brise toujours le cœur de voir un oiseau cloué au sol surtout pour des raisons de blessures. Notre côté humain interpellé, on ne peut s’empêcher de se sentir obligé de lui venir en aide. Alors comment peut-on soigner un oiseau blessé ? Quels sont les gestes à avoir ? C’est une très bonne chose mais il faut savoir où doit s’arrêter son action et comment la mener pour qu’elle soit profitable à l’oiseau blessé. Et cela commence par une prise de connaissance de la réglementation applicable sur cette espèce animale. Que dit la loi sur le sauvetage d’un oiseau blessé ? Il faut savoir qu’en France, la législation sur les animaux a fixé certains comportements à avoir vis-à-vis des oiseaux, surtout ceux sauvages. Celle-ci renseigne sur les interdits d’une part et sur les comportements que chacun se doit d’avoir à l’égard de ces volatiles. Qu’interdit exactement la loi ? La loi interdit de manière claire à toute personne de capturer ou de faire prisonnier une espèce d’oiseau sauvage à son domicile sans avoir au préalable reçu l’autorisation de le faire. Toute personne qui déroge à cette réglementation encourt une pénalité de 15.000 Euros et un emprisonnement ferme d’une durée d’un an. Que préconise la loi à propos du sauvetage d’un oiseau blessé ? Le sauvetage d’oiseaux sauvages en danger et l’envie de leur administrer des soins sont les seules raisons prévues par la loi pour en avoir chez soi sans autorisation. Du coup, tout ce qu’on peut faire se résume à administrer ces premiers soins avant de les transporter vers un vétérinaire ou un centre adéquat. Que peut-on faire sans déroger à la loi en découvrant un oiseau blessé ? Malgré la norme applicable sur les oiseaux sauvages, il existe bel et bien un moyen efficace de venir en aide à un oiseau blessé. Mais avant toute expérience, il faut s’assurer que l’oiseau a réellement besoin d’aide. Comment s’assurer que l’oiseau est vraiment blessé ? Il y a certaines vérifications à faire pour s’assurer de l’état réel de l’oiseau avant d’entreprendre une action salvatrice. Car un oiseau au sol n’est pas forcément blessé. Par exemple, la chouette houlette est capable de passer deux à trois semaines au sol avant de prendre son envol. Néanmoins, une aile qui cloue le volatile au sol, des traces de sang et/ou des difficultés de l’oiseau de tenir sur ses pattes, sont entre autres des signes qui ne trompent pas. Un oiseau qui est dans de telles postures a surement besoin d’assistance. Comment capturer un oiseau blessé ? La première chose à faire, c’est prendre des précautions. Puisqu’il ne s’agit pas de son animal de compagnie. En plus, lesdites précautions permettent de protéger l’oiseau et de se protéger en retour. Capturer un oiseau blessé implique de faire preuve de dextérité, de délicatesse et de prudence. Cela dit, le recours à un tissu épais est nécessaire. On peut aussi bien se servir d’une serviette éponge ou d’un vêtement pour couvrir l’oiseau (l’obscurité se chargera de l’apaiser) avant de le saisir par les ailes en les maintenant collées à son corps. S’il s’agit d’un petit oiseau une seule main sera suffisante. Toutefois, il faudra veiller à ne pas l’asphyxier en le serrant trop fort. Au cas où il s’agirait d’un rapace, il faudra aussi penser à lui cacher la tête à l’aide de la serviette et à mettre des gants afin de se protéger de ses serres. Quand on l’a en main, l’on doit éviter au maximum de trop le manipuler car cela peut lui être fatal. Où doit-on conserver l’oiseau blessé et pendant combien de temps ? Il faut absolument éviter de mettre l’oiseau en cage. Les oiseaux sauvages ne le supportent pas. Ils peuvent abîmer leur plumage ou au pire des cas, se blesser davantage. Il faut comprendre par là qu’ils sont souvent terrorisés à l’idée d’être prisonniers dans un environnement humain fermé. Mais pas d’inquiétude, un carton fermé ou un sac en papier fera l’affaire. Mais il faudra y faire quelques petits trous pour permettre à l’oiseau de respirer. Ceci fait, il faudra le garder en observation pendant environ deux ou trois heures de temps en attendant qu’il reprenne des forces. Quels comportements doit-on adopter vis-à-vis de l’oiseau blessé ? Il y a une façon précise de traiter l’oiseau blessé une fois qu’on l’a recueilli dans un carton bien aéré. Pour ne pas interrompre ou ralentir son rétablissement, voici ce qu’on doit faire pendant le temps où l’oiseau récupère. Comment traiter l’oiseau blessé ? Il est bon de poser le carton dans lequel on a mis l’oiseau dans une pièce calme située à proximité d’une source de chaleur. Eviter les gestes brusques et résister à l’envie de parler à l’oiseau est le meilleur soin qu’on puisse lui prodiguer à cette étape. Car il est probablement encore en état de choc. Cela va sans dire qu’il est hors de question de l’exhiber. Le faire lui infligerait bien plus de stress qu’il en a déjà et aggraverait du coup son état. L’autre chose qu’il faut aussi éviter de faire, c’est de lui donner à manger ou à boire. Cette précaution doit être respectée pour deux bonnes raisons. La première est que son régime alimentaire est probablement spécifique. Et comme dans ces cas-là on n’a pas souvent l’occasion de se renseigner sur le repas approprié au type d’oiseau auquel on a affaire, il est conseillé de s’abstenir de lui faire ingurgiter quoi que ce soit. La deuxième, en admettant même qu’on sache quel repas lui donner, dans son état, cela pourrait bien lui être fatal. Par ailleurs, à l’instar de la nourriture, il ne faudra sous aucun prétexte lui donner des médicaments. A la limite, on peut se servir d’un désinfectant pour nettoyer ses blessures ainsi que son bec. On peut aussi se débarrasser des corps étrangers (cailloux, brindilles, etc.) qui pourraient éventuellement être présents dans son plumage. Mais en faisant tout ceci, il ne faut pas oublier que les oiseaux sont généralement des êtres fragiles et douillets. Que faut-il faire une fois les premiers soins prodigués à l’oiseau ? Puisqu’il est illégal d’avoir en sa possession un oiseau sauvage, dès qu’il reprend des forces, il faudra aussitôt le relâcher. Mais s’il est toujours faible après trois heures de repos, le transporter vers un centre de santé vétérinaire où il recevra les soins adéquats est ce qu’il y a de plus indiqué à faire. Ne traînez pas avec cet animal dans votre logement car la loi l’interdit de manière explicite.
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Le lapin et le cochon d’Inde peuvent-ils vivre ensemble ?
PlumeBlanche a posté un article dans Comportement des animaux
Le lapin et le cochon d’Inde sont tous les deux d’adorables animaux domestiques dont les compagnies sont très agréables. Tous deux herbivores, ces animaux ont quelques besoins en commun, notamment la consommation des fruits et légumes, la cage et la litière. Peuvent-ils vivre ensemble ? Toutefois, ces petits besoins en commun ne font pas d’eux des animaux de la même espèce capable de vivre ensemble. Face à la question de savoir si le lapin et le cochon d’Inde peuvent vivre ensemble que pose la plupart des propriétaires d’animaux, la réponse est non. Pourquoi le lapin et le cochon d'inde ne font pas bon ménage ? Pourquoi est-il déconseillé de mettre les lapins et les cobayes dans la même cage ? En quoi cette cohabitation est-elle dangereuse ? Nous démontrerons dans cet article, à travers le mode de vie de ces deux animaux, qu’il n’est pas prudent de les faire vivre ensemble. La différence entre lapin et cochon d’Inde Bien qu’ils soient tous les deux des rongeurs et des herbivores, il existe certaines différences chez ces animaux notamment au niveau de la taille des deux rongeurs. Les cochons d’Inde mesurent entre 20 à 28 cm de long et pèsent généralement 0.6 à 0.9 kg. Ils ont une espérance de vie pouvant aller jusqu’à cinq ans. Ils se nourrissent essentiellement de fruits et légumes et de la nourriture pour cobaye. Les lapins par contre sont beaucoup plus gros -soit 4.5 kg en moyenne - et mesurent environ 50 kg. Ils peuvent vivre pendant huit à douze ans. Les lapins et les cochons d’Inde peuvent-ils partager le même régime alimentaire ? L’échange de régime alimentaire entre le lapin et le cochon d’Inde est extrêmement dangereux. C’est d’ailleurs l’une des raisons fondamentales pour laquelle ces deux animaux ne doivent pas vivre ensemble. Les cochons d’Inde ont en effet besoin d’un ajout de vitamine C afin de pourvoir faire la synthèse de la vitamine C contenue dans leur alimentation. Pour cela, les granulés de cobaye contiennent un ajout de vitamine C. Les lapins par contre n’ont pas besoin de cet ajout de vitamine C. Nourrir donc le cochon d’Inde avec les granulés de lapin peut lui causer des problèmes d’indigestion. De plus, certains aliments propres aux lapins contiennent des antibiotiques, qui peuvent s’avérer nocifs pour la santé des cochons d’Inde. De même, nourrir le lapin avec les granulés pour cochon d’Inde peut entraîner une surdose de la vitamine C, car les lapins sont en mesure de fabriquer leur propre vitamine C. Les lapins et les cochons d’Inde peuvent-ils s’accoupler ? Mettre deux animaux dans la même cage suppose qu’ils soient capables de s’accoupler, ce qui n’est pas le cas pour le lapin et le cochon d’Inde. Ils n’appartiennent pas à la même espèce, donc ne peuvent s’accoupler. Ce ne serait donc pas utile de les mettre ensemble. De plus, un lapin mâle peut tomber amoureux et vouloir s’accoupler avec le cochon d’Inde. Quand on voit les deux animaux, la différence de taille et de poids est très nette. Un lapin mâle gros qui essaie de monter sur un cochon d’Inde tout petit peut stresser ce dernier ou même le blesser. Par ailleurs, il est possible aujourd’hui de stériliser les deux espèces. Les lapins et les cochons d’Inde peuvent-ils jouer ensemble ? Si votre enclos est petit, il est très dangereux d’y mettre les lapins et les cochons d’Inde. Les lapins peuvent se montrer très agités au cours d’une partie de jeu. Grâce à leur patte arrière, ils peuvent donner des coups qui peuvent causer des blessures graves à un cochon d’Inde. Nous savons à quel point les cochons d’Inde sont petits et fragiles. Un lapin maladroit peut leur causer des fractures, des séquelles graves et dans le pire des cas entraîner la mort des cochons d’Inde même sans fait exprès. Les lapins et les cochons d’Inde ont-ils les mêmes comportements ? Les lapins et les cochons d’Inde sont tous les deux très sociables et n’aiment pas vivre isolés. Cependant, ils ont des comportements totalement différents. Les lapins adorent se blottir les uns contre les autres et se toiletter mutuellement. Les cochons d’Inde par contre n’aiment pas passer le temps à se faire des câlins ou à se toiletter. Ils sont plutôt moins expressifs et préfèrent avoir un espace personnel. Garder ces deux animaux dans le même enclos peut entraîner des conflits. Le lapin se sentira certainement seul et le cochon d’Inde aura l’impression d’être harcelé. De plus, les méthodes de communication des deux animaux sont très différentes. Le cobaye est très vocal tandis que le lapin s’exprime par le langage corporel. Ils auront donc du mal à se comprendre, ce qui peut entraîner des disputes. Vous comprenez donc que mettre les lapins et les cochons d’Inde ensemble ne les rendra pas heureux. Bien au contraire ! Quels sont les problèmes sanitaires qu’engendrerait l’élevage des lapins et des cochons d’Inde ensemble ? Les lapins portent deux principales bactéries très néfastes pour la santé du cochon d’Inde. Il s’agit de la Bordetella bronchiseptica et du Pasteurella. La Bordetella bronchiseptica est une bactérie qui n’affecte pas les lapins mais qui entraînent des maladies respiratoires chez les cochons d’Inde. Le Pasteurella entraîne également des maladies respiratoires chez les cochons d’Inde avec le risque que ces derniers y succombent et meurent. Le système immunitaire des cochons d’Inde est en effet très fragile et très vulnérable aux maladies respiratoires. Il est donc nécessaire de garder les cochons d’Inde loin des lapins. De plus, les lapins disposent des griffes acérées, capables de causer des blessures non négligeables à un cochon d’Inde en cas de dispute ou de jeu Il est évident donc que les lapins et les cochons d’Inde ne doivent pas vivre ensemble pour des raisons sanitaires et de sécurité. Ces deux animaux n’ont pas les mêmes besoins, comportements ou encore le même langage. Cependant, une règle a toujours des exceptions. Vous connaissez surement des personnes chez qui la cohabitation fonctionne sans incidents. Si vous choisissez d’élever vos lapins et vos cochons d’Inde ensemble, il est important de prendre certaines précautions et de surtout maîtriser le comportement de vos animaux. -
La grossesse nerveuse chez la chienne est un trouble hormonal assez commune. Elle touche presque toutes les chiennes, et il arrive même qu’elle apparaisse deux fois, voire plusieurs fois chez un même sujet. Voilà pourquoi, on la considère souvent comme un phénomène totalement naturel. La grossesse nerveuse n’est pas dangereuse en elle-même. C’est un trouble hormonal comme un autre, et n’engage en rien le pronostic vital de l’animal touché. Il arrive même qu’elle disparaisse naturellement au bout de quelques jours ou de quelques semaines. Elle peut néanmoins être gênante, voire handicapante surtout si elle dure. Raison pour laquelle, lorsque votre chienne souffre de grossesse nerveuse, il est toujours recommandé de l’emmener voir un vétérinaire. Découvrez tout ce que vous devez savoir sur la grossesse nerveuse de la chienne. Qu’est-ce que la grossesse nerveuse chez la chienne ? La grossesse nerveuse, scientifiquement appelée “lactation de pseudogestation” est un trouble hormonal qui touche exclusivement les chiennes qui n’ont pas été stérilisées. Il s’agit d’un phénomène qui survient généralement quelques semaines après la fin des chaleurs. Et qui se manifeste concrètement par le fait que la chienne se comporte comme si elle venait de mettre bas. Elle dure généralement entre 2 à 6 semaines, voire plus. Les symptômes de la grossesse nerveuse chez la chienne Chez la chienne, la grossesse nerveuse se manifeste aussi bien sur le plan physique que comportemental. Physiquement, elle va développer tous les symptômes typiques d’une chienne qui vient juste d’avoir des chiots. Ses mamelles vont se mettre à gonfler, et elle va se mettre à produire du lait. Niveau comportement, on remarquera la même chose. Elle va se mettre à se comporter exactement comme une chienne qui vient d’avoir des chiots. Elle deviendra collante et dépendante, exigera beaucoup d’attention et gémira souvent. Où à contrario, elle sera distante et aura tendance à s’isoler. Elle aura également moins d’appétit. La majorité des chiennes, dans ce genre de situation, iront jusqu’à se créer des nids où elles emmèneront des doudous volés ici et là afin de les materner. Les causes de la grossesse nerveuse chez la chienne Bien que le principe et le fonctionnement restent à peu près les mêmes, les chiennes ont, en réalité, un cycle hormonal différent des femmes. Chez ces dernières, le corps jaune (responsable de la production de progestérone) se détruit automatiquement à la fin du cycle lorsqu’il n’y a pas eu fécondation. Déclenchant dans le même temps les règles. Chez les chiennes, c’est différent, car le corps jaune peut rester dans l’ovaire pendant des mois, jusqu’à 90 jours. Durant tout ce temps en conséquence, de la progestérone sera secrété en permanence dans son organisme. Or, il s’agit de l’hormone maternel. Il va déclencher en elle les symptômes d’une gestation. Et finalement, lorsque le corps jaune se détruira, il y aura une chute brutale du taux de progestérone. Exactement comme lors d’un accouchement, cela va déclencher la sécrétion de la prolactine, d’où la montée laiteuse. Et l’impression, pour la chienne, d’avoir mis bas. Comment traiter la grossesse nerveuse chez la chienne ? Il n’est normalement pas nécessaire de traiter la grossesse nerveuse chez la chienne. Les symptômes disparaissent généralement au bout de deux à quatre semaines, et ce, sans qu’il y ait intervention extérieure. Si cela dure trop longtemps néanmoins, mieux vaut consulter un vétérinaire. Car bien qu’elle ne soit pas dangereuse, la grossesse nerveuse présente quand même des risques. Outre le fait que cette période peut être extrêmement stressante, fatigante et éprouvante pour l’animal, c’est surtout les conséquences physiques qu‘il faut redouter. S’ils persistent en effet, les symptômes peuvent entraîner de réelles conséquences physiques. Une montée de lait persistante, par exemple, peut entraîner soit une mammite, soit se transformer en abcès. La grossesse nerveuse peut également multiplier les risques de cancer de l’utérus, de tumeurs dans les seins, etc. Les traitements possibles La première chose à faire, lorsque la chienne souffre d’une grossesse nerveuse, est de faire en sorte que les mamelles ne soient pas excitées. Car c’est cela qui va entretenir la sécrétion lactée. Dans un premier temps, vous devez donc faire le nécessaire pour arrêter naturellement la montée de lait. Et ce, en s’assurant que la chienne elle-même, par exemple, ne les lèche pas pour soulager la douleur. Si les symptômes persistent et commencent à incommoder l’animal, le vétérinaire pourra prescrire des inhibiteurs de prolactine pour arrêter la montée de lait. Une diète de 24h pourra également être envisagée. Comment prévenir la grossesse nerveuse ? Notez avant tout qu’il est essentiel de prévenir la grossesse nerveuse chez la chienne. Et ce, en particulier lorsqu’elle a déjà été sujette à ce genre de trouble. Une chienne qui en a fait une en effet a de grandes chances d’en faire tout le temps, au moins six autres fois au cours de sa vie. Une fois qu’elle en a souffert en conséquence, il est préférable d’empêcher les autres. Comment ? A ce jour, la seule manière, en tout cas la plus efficace, de prévenir une grossesse nerveuse chez la chienne est la stérilisation.
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5 conseils des vétérinaires que chacun doit connaître
PlumeBlanche a posté un article dans Santé des animaux
Adopter un animal, c’est bien. Mais bien s’occuper de lui, c’est une toute autre chose. Vous devez savoir en effet qu’il ne suffit pas de le dorloter, de le cajoler et de le nourrir pour que votre animal de compagnie se sente bien. Il a des besoins propres, souvent spécifiques. Mais surtout, si vous voulez vraiment le protéger et vous assurer qu’il soit en bonne santé et le reste, vous devez faire attention à certains détails. Découvrez quelques conseils des vétérinaires que tout maître et propriétaire doit connaître avant d’adopter un animal. Ne vous fiez jamais à la quantité de nourriture recommandée sur l’emballage Lorsqu’on achète de la nourriture pour chien ou pour chat, on trouve toujours sur l’emballage des recommandations sur la fréquence et la quantité à donner à l’animal. Selon les vétérinaires cependant, il n’est pas nécessaire de suivre ces instructions. C’est d’ailleurs déconseillé, car les quantités annoncées sont souvent trop importantes. Pour éviter que votre animal ne souffre d’indigestion, et qu’il se mette à vomir pour avoir trop manger, pensez toujours à lui en donner moins que ce qui est annoncé. Si vous avez peur qu’il ne soit pas rassasié, attendez qu’il finisse son plat d’abord. Si vous trouvez qu’il a encore faim, vous pouvez en rajouter. En revanche, si après avoir fini plat, il vous semble beaucoup moins actif que d’habitude, cela signifie qu’il a trop mangé. Vous devez donc diminuer la quantité que vous donnez. Ne vous inquiétez pas si votre animal n’est pas gros Certes, c’est agréable d’avoir un animal dodu et potelé. C’est tout mignon et adorable à souhait. Mais notez bien ceci : ce n’est pas forcément bon pour la santé de votre petit compagnon. N’essayez donc pas de le bourrer de nourriture et de vitamines pour qu’il gagne un peu plus de poids. C’est fortement déconseillé par les vétérinaires, car s’il est en surpoids, il peut souffrir de diabète, de troubles cardiaques et même d’arthrite. Pour qu’il reste en bonne santé, assurez-vous qu’il garde un poids normal et stable. Et si vous trouvez qu’il est trop gros, ou qu’il est obèse, n’essayez pas de lui faire faire un régime vous-même. Consultez plutôt un vétérinaire. Il déterminera, dans un premier temps, si le problème vient de son alimentation ou d’un problème de santé sous-jacent, et agira en conséquence. Un chat qui vomit des boules de poils, ce n’est pas forcément normal Votre chat vomit des boules de poils ? Certes, c'est normal et c’est même tout à fait naturel. Mais vous devez quand même rester vigilent. Ce phénomène est dû à l’accumulation de poils dans le système digestif du chat. Ça arrive assez souvent, et lorsqu’il y en a trop, il se met donc à vomir pour les expulser. Il peut cependant arriver que ces mêmes poils, lorsqu’ils sont trop nombreux, ne sortent pas tous. Et ils peuvent alors entraîner des problèmes graves : occlusion intestinale, inflammation de l’estomac, parasites, etc. Vous devez aussi faire attention, car il est possible que les vomissements soient le symptôme d’un problème plus grave : intoxication alimentaire, insuffisance rénale, pancréatite, etc. S’ils deviennent trop fréquents en conséquence, avec ou sans poils, consultez un vétérinaire. Ne donnez jamais vos propres médicaments à votre animal de compagnie Votre chat tousse ? Votre chien a la diarrhée ? Votre animal est blessé et a besoin d’un antidouleur ? Vous pourriez être tenté de lui donner vos propres médicaments. Mais attention, c’est vivement déconseillé, car c’est extrêmement dangereux. Aussi efficace soit-il, le médicament que vous aviez utilisé pour vous soulager ne peut être efficace sur votre animal. Pour la simple raison qu’il a été justement fait pour les humains, et qu’il n’est donc pas adapté à un autre être vivant. Outre le risque de surdosage, c’est surtout les contre-indications que vous devez le plus redouter. En effet, il est tout à fait possible que le médicament ait l’effet contraire. Pire, si ses composants ne sont pas adaptés aux animaux, il pourrait carrément le tuer. Une bonne hygiène dentaire est garante d’une bonne santé générale Que vous ayez un chien ou un chat, veillez toujours à ce que votre animal ait une bonne hygiène dentaire. Selon les vétérinaires, cela vous permettra non seulement de le garder en bonne santé, mais aussi et surtout, de prolonger sa durée de vie. Selon les statistiques en effet, les animaux souffrant de maux dentaires vivent moins longtemps que ceux qui ont des dents saines. Et ce, pour la simple raison que les problèmes dentaires peuvent entraîner d’autres maladies plus graves, dont notamment des troubles cardiaques. Par conséquent, si vous voulez que votre animal soit en bonne santé et qu’il vive longtemps, prenez le temps de brosser ses dents tous les jours. Et ce, en utilisant la brosse et le dentifrice adaptés. Pour les chiens, prévoyez également un détartrage régulier. -
Originaire de l’Amérique du Sud et de l’Amazonie, le Discus est un membre de la famille des Cichlides américains. Il s’agit d’un poisson d’eau douce très calme qui charme plus d’un par ses magnifiques couleurs et sa forme ronde particulière. Très apaisant, les traits de sa robe varient en fonction de ses émotions. Ce poisson, dont le mode de vie à l’état sauvage n’est pas encore bien maîtrisé est très spécial. Quelles sont les caractéristiques d’un Discus ? Comment élever son Discus, quel aquarium choisir et comment l'alimenter ? Zoom dans cet article sur ce poisson aux couleurs magiques qui est très apprécié des aquariophiles. Les principales caractéristiques du Discus Le Discus est un poisson d'eau douce qui vit principalement dans le bassin de l'Amazone, notamment au Brésil, en Colombie et au Pérou. Il mesure en moyenne de 12 à 15 centimètres de long, mais certains spécimens peuvent atteindre jusqu'à 20 centimètres. Sa forme circulaire et aplatie lui confère une allure unique et lui permet de se faufiler avec aisance entre les plantes et les racines immergées qui constituent son environnement naturel. Face au danger, des rayures verticales noires apparaissent sur sa robe afin de le cacher et le protéger du danger. Dans un milieu aquarium, son espérance de vie est comprise entre 15 ans et 18 ans. Ce poisson très réservé existe en plusieurs sous-espèces qui ont beaucoup de traits communs. Ils sont d’ailleurs difficiles à distinguer. Les sous-espèces de Discus La classification des espèces et sous-espèces de Discus ne fait pas l'unanimité parmi les scientifiques. Les variétés se ressemblent beaucoup, ce qui explique les les divergences sur la question. Bien que les scientifiques ne sont pas tous d'accord sur la taxonomie exacte des espèces répertoriées, et que de nouvelles études basées sur l'ADN viennent remettre en question les anciennes classifications, vous rencontrerez dans les diverses sources aquariophiles les sous-espèces (ou espèces, suivant la classification adoptée) suivantes : Le discus vert - Symphysodon aequifasciatus aequifasciatus Le discus bleu (ou le discus haraldi)- Symphysodon aequifasciatus haraldi Le discus brun - Symphysodon aequifasciatus axelrodi Le discus Heckel - Symphysodon discus Le premier discus a été importé en Europe en 1921, mais les reproductions commencent seulement à partir du milieu des années 1930. Depuis les premières réussites dans les années 1960, les éleveurs ont produit, par des croisements et sélectons successifs, une multitudes de variétés qui surprennent par la richesse des couleurs remarquables et variées, du bleu turquoise au rouge enflammé, en passant par un mélange subtil de jaune, vert et orange. Les motifs qui ornent leur corps sont également nombreux et diversifiés, tels que des points, des rayures ou des marbrures. Le comportement du Discus Le Discus est un poisson assez pacifique et sociable, qui vit en groupe dans son milieu naturel. Il est donc recommandé de mettre dans l'aquarium plusieurs individus ensemble (5 au minimum) pour favoriser leur bien-être. Les interactions entre ces poissons sont nombreuses et variées, allant de la simple nage en groupe à des comportements plus complexes tels que la communication par la couleur et les postures corporelles. Malgré son caractère plutôt calme, voire timide, le Discus fait preuve d'un comportement territorial et hiérarchique. Il prend toujours le soin de défendre son territoire, et vous observerez sûrement quelques parades ou petits accrochages visant à établir la structure du groupe. Il est effrayé par les poissons vifs, raison pour laquelle sa cohabitation avec certaines espèces semble très compliquée. Comment élever les Discus en aquarium ? Elever les Discus en aquarium est tout à fait possible à condition que vous possédiez une connaissance et une expérience en aquariophile. Ce poisson est en effet très fragile et lorsqu’il n’est pas mis dans les conditions adéquates, il pourrait vite tomber malade et mourir. Pour cela, certaines conditions spécifiques doivent être respectées pour son élevage. Choisir le bon aquarium pour vos Discus La première étape pour créer un environnement optimal pour vos Discus consiste à choisir le bon aquarium. Voici quelques éléments à prendre en compte : La taille : Les Discus ont besoin d'un espace suffisant pour nager et grandir correctement. Un aquarium de 400 litres minimum est recommandé pour un groupe de 5 à 6 poissons adultes. Prévoyez un volume supplémentaire de 80 litres pour chaque Discus additionnel. La forme : Les Discus sont des nageurs hauts qui préfèrent les cuves principales plutôt hautes et profondes. Optez pour un aquarium avec une hauteur minimale de 50 cm. L'éclairage : Un éclairage adéquat est essentiel pour reproduire les conditions naturelles de vie des Discus et favoriser leur bien-être. Privilégiez un éclairage doux ((1 watt pour 2.5 litres) et tamisé, similaire à celui de la forêt amazonienne. Vous pouvez intégrer également quelques décorations dans votre aquarium pour permettre à vos poissons de se cacher facilement. Le système de filtration et le chauffage Un bon système de filtration et de chauffage est essentiel pour maintenir une eau propre et à une température stable, propice au développement des Discus : Le filtre : Un filtre externe performant est recommandé pour assurer une bonne qualité d'eau, limiter les déchets et maintenir un taux d'oxygène suffisant. Il convient également de nettoyer régulièrement les masses filtrantes et d'effectuer des changements d'eau hebdomadaires. Le chauffage : Les Discus requièrent une température d'eau comprise entre 28 et 30°C. Utilisez un chauffage de qualité et réglez-le correctement afin de maintenir cette plage de température. La qualité de l'eau Les Discus sont sensibles aux variations de la qualité de l'eau et nécessitent des conditions spécifiques : pH : Le pH idéal pour les Discus se situe entre 6 et 7. Utilisez des produits adaptés pour ajuster le pH si nécessaire. Conductivité : Une faible conductivité (entre 200 et 300 µS/cm) favorise le bien-être des Discus, en évitant notamment les problèmes de stress et de maladies. Nitrates et nitrites : Le taux de nitrates doit être inférieur à 50 mg/l, tandis que le taux de nitrites doit être proche de zéro. Un entretien régulier de l'aquarium et des changements d'eau fréquents permettent de limiter ces paramètres. L’eau mise dans le bac doit être irréprochable et doit être renouvelée régulièrement soit une fois au moins par semaine. Les Discus doivent en effet vivre dans un milieu sain, dépourvu de déchets. Par ailleurs, il est peu recommandé de rajouter de l’eau pour compenser l’évaporation naturelle de l’aquarium sans siphonner les déchets. Cet aspect est très important dans l’élevage des Discus. Alimentation des Discus Une alimentation variée et équilibrée est essentielle pour le bon développement et la santé des Discus. Ce poisson est très exigeant en ce qui concerne son alimentation. Il faut réduire au maximum la nourriture sèche. Privilégiez la nourriture vivante et les aliments spécialement conçus pour Discus qui favorisent la croissance de ces poissons. Les granulés : Les granulés spécifiques pour Discus sont une excellente base pour leur alimentation. Ils contiennent tous les nutriments nécessaires à leur croissance et leur bonne santé. Les aliments frais : Complétez les granulés avec des aliments frais tels que les artémias, les vers de vase ou les crevettes décortiquées. Cela apporte des protéines supplémentaires et stimule l'appétit des Discus. Les légumes : Des morceaux de courgette, épinard ou concombre peuvent également agrémenter le régime alimentaire de vos poissons, en leur fournissant des vitamines et des fibres utiles. Nourrissez vos Discus deux à trois fois par jour, en veillant à ne pas suralimenter, car cela peut entraîner une dégradation de la qualité de l'eau et favoriser l'apparition de maladies. Il est conseillé d'alterner les types de nourriture entre l'alimentation spécifique pour Discus, les nourritures vivantes et les crustacés cuits. Quels poissons peuvent cohabiter avec les Discus ? Le poisson Discus peut cohabiter avec d'autres espèces pacifiques et non agressives dans un aquarium communautaire, à condition de respecter certaines conditions : une taille adaptée aux besoins de tous les occupants, une eau chaude et légèrement acide, ainsi qu'un aménagement permettant à chacun de trouver sa place et ses repères. Parmi les espèces compatibles avec le Discus, on peut citer notamment les néons, les cardinalis, les corydoras, les nez rouges, les ancistrus et certains poissons-chats. Évitez les poissons trop vifs qui pourraient stresser vos Discus. Prix des Discus Les Discus sont disponibles dans des Clubs d’Associations Aquariophiles, chez des particuliers amateurs ou chez des professionnels. Cependant, en raison de la fragilité de cette espèce, il est nécessaire de sélectionner un vendeur sérieux qui s’y connaît en aquariophilie pour effectuer votre achat. Il existe en effet sur le marché plusieurs vendeurs qui rehaussent artificiellement la coloration du Discus à l’aide des hormones. Ces derniers utilisent également des antibiotiques pour limiter les maladies et les pertes. Acheter vos Discus auprès de ces vendeurs malhonnêtes ne vous permettra pas d’obtenir les résultats escomptés au cours de l’élevage. Le prix d'un Discus varie en fonction de plusieurs critères : L'âge : Les jeunes Discus sont généralement moins chers que les adultes, car ils demandent plus de temps et de soins pour atteindre leur taille maximale. La qualité : Certains Discus proviennent d'élevages de renommée mondiale, garantissant une qualité supérieure en termes de couleurs, de forme et de santé. Ces spécimens sont logiquement plus coûteux. La variété : Certaines variétés de Discus, comme les Pigeon Blood ou les Blue Diamond, peuvent être plus rares et donc plus onéreuses. En moyenne, comptez entre 30 et 100 euros pour un Discus juvénile, et entre 80 et 250 euros pour un adulte de qualité supérieure.
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Est-ce que votre jardin est sécurisé pour votre chat ?
PlumeBlanche a posté un article dans Santé des animaux
Les chats sont des animaux destinés à dépenser de l’énergie, à bouger. Il leur est difficile de se contenter de rester coucher dans votre appartement ou sur votre balcon. Ils passent donc la majorité de leur temps dans le jardin à jouer, à grimper, à griffer des arbres. Cependant, avant de laisser votre chat jouer dans le jardin, il est nécessaire de vous s’assurer que celui-ci ne représente aucun danger pour lui. Comment savoir si votre jardin est sécurisé pour votre chat ? Lisez cet article pour en découvrir la réponse. Pourquoi est-il important de permettre au chat de jouer au jardin ? Les chats d’appartement à l’inverse des chats d’extérieur ne disposent pas d’un environnement propice pour satisfaire leurs instincts. Ils sont obligés de passer leur journée à dormir et à s’ennuyer, ce qui pourrait être une cause d’anxiété et de stress. Pour cela, il est nécessaire de mettre à la disposition de votre compagnon un espace adéquat tel qu’un jardin sécurisé pour lui permettre de jouer et d’extérioriser ses pulsions. Jouer, un besoin psychologique du chat Le jeu est autant important pour le chat que dormir et manger. Il s’agit en réalité d’un besoin psychologique, ancré chez nos petits tigres. Jouer confère aux chats un équilibre et un épanouissement. Il aide les chatons à grandir, à se socialiser et participe à leur bien-être. Jouer, un moyen de canaliser l’anxiété Bouger permet au chat de dépenser de l’énergie et aussi de canaliser ses peurs et de gérer son stress. Lorsque votre chat devient agressif, cela peut être dû à un manque d’activité physique. Jouer lui permet d’évacuer son trop-plein d’énergie et de conserver ses talents de chasseur. Il est donc important de permettre à votre chat de jouer à sa guise dans votre jardin à condition que celui-ci soit bien sécurisé. Caractéristiques d’un jardin sécurisé pour chat Un jardin sécurisé pour chat est un jardin dans lequel le chat est susceptible de jouer sans aucun risque d’accident. C’est un environnement protégé dans lequel toutes les précautions sont prises afin de favoriser l’épanouissement de l’animal. Il se reconnaît à travers certains traits spécifiques. Précautions contre les risques de maladie Lorsque les chats quittent les appartements, ils sont exposés à plus de maladies et de parasites en raison du contact avec certaines plantes nocives pour leur santé. Pour ce faire, un jardin sécurisé pour chat ne doit comporter les plantes toxiques telles que les lys, les azalées, les jonquilles, les tomates, les digitales, les ifs et les hortensias. Précautions contre les risques de noyade et de fugue La présence d’une piscine dans un jardin peut être risquée. Elle peut entraîner en effet la noyade de votre chat en cas de baignade de ce dernier sans surveillance. Un jardin sécurisé ne comporte donc pas de piscine. Aussi, laisser à l’air libre, votre chat peut fuguer. Pour ce faire, un jardin sécurisé est en général muni d’une bonne clôture ou d'un filet de protection. Comment sécuriser son jardin pour son chat ? Il est évident qu’il est primordial de sécuriser son jardin pour un meilleur épanouissement de son chat. Cette sécurisation passe essentiellement par la mise en place de certaines barrières et par la non-utilisation de certains produits toxiques dans le jardin. Proscrire l’utilisation des pesticides Il est formellement proscrit d’utiliser dans un jardin pour chat les pesticides, engrais, désherbants ou les anti-nuisibles. Ces produits sont pour la plupart dangereux pour les animaux. Ils pourraient être source de maladie pour votre chat. Choisissez plutôt les produits naturels qui sont plus rassurants pour votre jardin. Aussi est-il fondamental d’éviter l’utilisation des poisons pour sourire dans votre jardin. Nous savons à quel point les chats sont hostiles aux souris et les persécutent. Votre chat pourrait s’empoisonner et dévorant une souris contaminée. De même, évitez au maximum les plantes avec les épines dans votre jardin. Elles peuvent causer des blessures pour votre chat. Il en est de même pour les plantes toxiques précitées. Planter un poteau en bois pour servir de griffoir Les chats ont besoin de satisfaire leur instinct sauvage et d’entretenir leur arme de chasse. A cet effet, ils ont l’habitude de griffer n’importe où et à n’importe quel moment. Afin de leur éviter de s’attaquer aux plantes, il est recommandé de planter dans votre jardin, un gros poteau en bois sur lequel il fera ses griffes. Installer une clôture Afin d’éviter que votre chat s’enfuie, il est nécessaire d’installer dans votre jardin, une bonne clôture. Elle empêche votre chat de sortir du jardin. Il est possible de le réaliser vous-même avec des piquets en bois et du grillage à poules ou d’acheter dans le commerce des kits prêts à installer. Cette clôture doit être d’une hauteur convenable car les chats sont doués pour les sauts en hauteur. Vous pouvez également opter pour un filet de protection à placer en dessus de votre jardin. Sécuriser son jardin grâce à la technologie Si vous ne souhaitez pas encombrer votre jardin avec ces installations, vous pouvez vous référer à la technologie pour sécuriser votre jardin. Il existe en effet certains systèmes avec des antennes, un fil spécifique et un collier de chat avec récepteur. Lorsque le chat s’approche de la zone délimitée par le fil, un avertissement lui est donné. Quand il dépasse la limite, le collier émet une impulsion électrique. Après un temps, le chat finit par s’habituer et ne dépasse plus la limite fixée. Aménager une chatière Il est également recommandé d’aménager une zone chatière spécialement pour votre chat. Très pratique, votre chat pourra en faire sa maison dans votre jardin. Prenez le soin de réaliser cette chatière avec des matériaux solides et finement tressés. L’importance des jeux pour l’épanouissement des chats n’est plus à démontrer. Il est donc nécessaire de les mettre dans un espace adéquat comme le jardin pour leur permettre de satisfaire ce besoin. Il faut cependant vous assurer que votre jardin est sécurisé ou prendre les précautions pour sa sécurisation. -
Voir son chat souffrir d’une invasion de puces est l’une des plus grandes craintes qu’un propriétaire de ce félin domestique puisse avoir. Assurément, c’est un spectacle affligeant auquel il est bon de mettre un terme le plus tôt possible. Car une fois installées dans le pelage du matou, ces puces ne tardent pas à prendre d’assaut notre environnement. Quelles sont les conséquences d’une piqûre de puces ? Comment aider votre animal à s’en débarrasser ? Voici ce qu’il faut faire lorsqu’on remarque que son chat est infesté de puces. Comment reconnaître les puces du chat ? Qu’on vienne ou non de se prendre un chat, pour ne pas se faire surprendre par une invasion inopinée de puces, il convient d’être vigilant. Il faut prendre le temps d’observer son animal quotidiennement. Ce n’est qu’ainsi qu’on remarque tôt les signes annonciateurs d’une probable invasion de puces. Quels sont les signes qui montrent que son chat est infesté par les puces ? On peut reconnaître un chat infesté de puces à son habitude à faire plus régulièrement sa toilette. Mais souvent ce signe ne suffit pas à lui seul à diagnostiquer une infection de puces chez l’animal. Mais si en plus de cela le matou se met à se gratter d’une manière inattendue et assez fréquente, cela doit attirer l’attention de son propriétaire. Il est fort probable qu’une colonie de puces ait déjà établi leurs quartiers dans le pelage de l’animal. Pour s’en assurer, une vérification s’impose. Comment vérifier que son félin est envahi par des puces ? Pour vérifier la présence des puces sur son matou, il faut au préalable savoir à quoi ressemblent ces petites bêtes. D’autant plus qu’elles ne sont pas remarquables d’un simple coup d’œil en raison de leur petite taille. Pour les dénicher, on peut peigner le pelage de l’animal à l’aide d’un peigne fin. Mais il faut toujours aller à la base pour les dénicher. Ces crottes se trouvent généralement sur la peau de l’animal, c’est-à-dire derrière les oreilles, autour de la queue, les cuisses de son chat, etc. Une fois qu’on est sûr qu’il s’agit bien d’une invasion de puces, il faut agir sans tarder. Comment se débarrasser des puces de chat ? Pour un traitement efficace et durable, il est conseillé de ne pas limiter le traitement contre les puces à son seul chat. En effet, il est important de l’étendre à son domicile. Ces deux étapes vont de pair et doivent être effectuées le plus tôt possible. Quels sont les traitements possibles contre les puces de chat ? Pour débarrasser son chat des puces, il existe diverses solutions antiparasitaires sur le marché. Mais le problème, c’est qu’elles ne sont pas toutes efficaces. Pour dénicher la bonne, le mieux est de se rapprocher de son vétérinaire. Il est bien placé pour faire une recommandation. Cela dit, les produits anti-puces sont disponibles sous plusieurs formes. Il y en a en spray, en collier, en pipette et même en comprimé. Cependant, il faut savoir que certains chats tolèrent mieux que d’autres certains produits anti-puces. C’est d’ailleurs la principale raison pour laquelle lesdits produits existent en si grande variété sur le marché. Néanmoins, pour une action efficace et durable, l’idéal est d’appliquer à concentration suffisante sur tout le corps du chat et sur une longue durée le produit qu’on s’est procuré en suivant les conseils de son vétérinaire. La bonne nouvelle, c’est que la majorité des traitements anti-puces pour chat restent actifs pendant environ 3 à 4 semaines s’ils ont été bien utilisés. En effet, pendant le traitement, il est capital de s’assurer de ce que la solution est appliquée sur la peau et non sur les poils du chat. Il faudra aussi veiller à éviter au chat de se mouiller. Tout ceci peut réduire l’efficacité du traitement, voire le rendre totalement inefficace. Ce qui permettra aux larves adultes et aux œufs de survivre et de poursuivre leurs méfaits. Comment désinfecter l’intérieur de votre habitat ? Il est bien de traiter son habitat en même temps qu’on traite son chat contre les puces. Une telle action permet d’éliminer également les œufs présents dans les lieux de couchage et de passage du matou. Pour ce faire, on a le choix entre un traitement à base de produits naturels et un autre à base d’anti-puces et/ou d’antiparasitaires qu’on trouve facilement dans le commerce. Dans le premier cas, on peut se servir de l’huile essentielle de lavande en spray dilué dans de l’eau et du vinaigre. Pour la circonstance, une quantité de 10 à 20 gouttes d’huile essentielle devrait suffire pour un litre d’eau. Sinon, il existe également la possibilité de répandre du bicarbonate de soude, du sel ou de la terre de diatomée au sol. Rien ne doit être laissé au hasard. Il ne faut surtout pas épargner ses lattes de parquet. Laisser agir plusieurs jours est nécessaire pour maximiser son efficacité. Recourir ensuite à l’aspirateur pour retirer le bicarbonate de soude est une très bonne idée. Cela évite de disperser les œufs aux quatre coins de son habitat. Outre ce traitement, il existe une multitude de produits anti-puces applicables à son habitat et capable d’en finir avec elles. Le plus important, c’est de s’assurer que les traitements sont parfaitement adaptés au niveau d’infestation de l’animal et de l’habitat. Comment prévenir les puces chez son chat ? Pour pérenniser le bonheur qu’on éprouve à savoir que son chat est à l’abri des puces, on peut avoir recours à des traitements préventifs. Cela permet d’éviter à son câlin d’avoir à encourir des risques inutiles. Quels sont ces traitements ? Pour prévenir l’infestation de puces de son chat, on peut utiliser des pipettes ou des comprimés. La fréquence minimale à laquelle ces solutions doivent être employées est d’un mois. Ce n’est qu’en renouvellement leur utilisation dans les délais requis qu’elles empêchent l’intrusion des puces dans le pelage de l’animal. Mais quels sont les risques qu’encourt un chat non diagnostiqué souffrant d’une infection de puces ? Les risques encourus par un chat infesté de puces ? Un chat attaqué par les puces risque de subir des lésions dermatologiques. Celles-ci s’accompagnent généralement de perte de poils. Cela est dû au grattage de l’animal qui ne peut s’en empêcher à cause des piqûres et démangeaisons provoquées par les puces. De même, puisque le chat fait souvent sa toilette, il peut facilement ingurgiter certains de ces insectes carnivores qui sont souvent porteurs d’un dangereux parasite appelé ténia. C’est d’ailleurs pour éviter la mort aux chats attaqués par les puces qu’il leur est toujours administré des vermifuges et autres anti-parasites
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Pourquoi et quand faire appel à un comportementaliste canin ?
PlumeBlanche a posté un article dans Comportement des animaux
Lorsqu'on adopte un chien, on pense rarement à l’éduquer. Bien souvent, on a tendance à penser que du moment où on réussit à lui faire comprendre quelques ordres basiques comme “assis”, “couché” ou “va chercher”, l’entente et la cohabitation harmonieuse entre l’Homme et son meilleur ami sont assurées. Mais en réalité, c’est faux. Contrairement à ce que l’on semble penser, la compréhension doit se faire des deux côtés. Le chien doit comprendre le maître, mais le maître doit aussi comprendre le chien. Et si cet équilibre n’est pas vite mis en place, les problèmes vont commencer. Malheureusement, et la plupart du temps, on ne le comprend que trop tard. Le chien a un caractère difficile, et le couperet tombe : il a des problèmes de comportement. C’est là qu’intervient le comportementaliste canin. Quel est son rôle ? Dans quel cas il faut faire appel à lui et non à un dresseur ? Découvrez pourquoi et quand faire appel à ce professionnel. Pourquoi faire appel à un comportementaliste canin ? Il faut savoir, avant tout, que le comportementaliste canin est un professionnel reconnu, formé et diplômé. Et ce, au même titre que le vétérinaire, l’éleveur, le dresseur et l’éducateur canin. Parce que c’est un professionnel ! Comme son nom l’indique, le comportementaliste canin est un expert, un spécialiste du comportement du chien. De par ses analyses, ses études et ses expériences, il est à même de déceler tout trouble du développement et/ou du comportement chez un chien. Il est aussi habilité à comprendre d’où vient le problème : carence d’éducation, manque d’apprentissage de règles de vie, anxiété de séparation, dépendance affective, troubles de la communication, etc. Et enfin, une fois le problème décelé, et l’origine comprise, il peut apporter une remédiation. Son rôle est de rétablir l’équilibre dans la relation entre l’homme et son chien. En d’autres termes, si vous pressentez que votre chien se comporte anormalement, si vous décelez un comportement inhabituel, le comportementaliste canin détermine l’anomalie, et y remédie. Pour une remédiation adaptée à votre chien Votre chien a des problèmes de comportement ? Il est trop agressif, il se montre parfois et soudainement violent, il est asocial ? Vous devez savoir que vous ne pourrez pas régler le problème seul. Car en réalité, la majeure partie du temps, sans le savoir, vous aviez contribué à développer ce mauvais comportement. Et ce, en agissant comme ci au lieu d’agir comme cela, en donnant à votre chien les jouets qu’il ne fallait pas, etc. Parce que vous ne saviez pas, et c’est normal ! Il faut comprendre aussi que les techniques qui ont marché avec le chien du voisin ne vont pas forcément marcher avec le vôtre. Parce que chaque chien est différent, de par sa race, son histoire, son caractère, son environnement, ses habitudes de vie, etc. Voilà pourquoi, il faut faire appel à un comportementaliste canin. De par ses formations, il peut comprendre votre chien et mettre en place un plan d’action technique et pédagogique vraiment adapté, et donc, plus efficace. Pour savoir comment comprendre votre animal Toujours en tant qu’expert, le comportementaliste canin peut mieux que quiconque comprendre ce qui se cache derrière chaque comportement du chien. Son travail ne se limitera pas à lui apprendre à obéir. Il travaillera également avec vous, afin de vous apprendre comment communiquer avec lui, quels gestes et intonations vous devez adopter pour vous faire comprendre et vous faire respecter, comment réagir face à certaines situations pour qu’il y ait réelle communication entre vous, etc. Pour atteindre ces objectifs, attendez-vous à ce qu’il vous propose plusieurs séances, et plusieurs exercices. Car il ne faut pas oublier une chose : il est là pour corriger les lacunes certes, mais aussi pour éviter que vous ne fassiez les mêmes erreurs. Quand faire appel à un comportementaliste canin ? Il faut comprendre avant tout qu’il y a une grande différence entre dressage et éducation. Le rôle du comportementaliste canin n’est pas de dresser, mais d’éduquer. Il n’est pas là pour apprendre à votre chien à obéir à des ordres. Non, il est là pour lui apprendre à bien vivre en société et à s’intégrer ; s’il y a eu lacunes à ces niveaux. Et pour atteindre ces objectifs, il peut néanmoins avoir recours à certaines techniques de dressage. Faire appel à un comportementaliste canin pour l’éducation L’éducation du chien est tout un art. Car l’objectif est de faire en sorte qu’il sache vivre en société, qu’il devienne sociable. Et si vous ne savez pas comment vous y prendre, vous risquez de vous retrouver avec un animal qui ne s’intègre pas, qui n’accepte pas les autres, et qui deviendra naturellement agressif avec eux. L’éducation du chien ne doit donc pas attendre. Elle doit commencer dès son plus jeune âge, dès lors qu’il arrive chez vous. Mais idéalement, vous devez l’éduquer à partir de ces deux mois. Plus il est jeune en effet, mieux c’est. Car les chiots sont plus dociles, plus ouverts, voilà pourquoi, ils apprennent plus facilement et beaucoup plus vite. Par conséquent, vous n’êtes pas obligé d’attendre qu’il y ait des problèmes avant de faire appel à un comportementaliste canin. Si vous pensez que vous n’avez pas les compétences ni le temps nécessaire pour bien éduquer votre chien, solliciter l’intervention d’un professionnel est la meilleure chose à faire. Faire appel à un comportementaliste canin pour la rééducation La plupart du temps, on fait appel à un comportementaliste canin lorsqu’on constate qu’il y a des problèmes et qu’il faut y remédier. Si votre chien a plus de six mois en conséquence et qu’il présente des troubles du comportement, n’hésitez pas à faire appel à un spécialiste. Certes, votre chien est adulte et il sera difficile de le débarrasser de ses mauvaises habitudes, et des réflexes qu’il a acquises depuis son plus jeune âge. Il sera également très difficile à éduquer. Mais comme le dit l’adage, mieux vaut tard que jamais. Il est toujours possible de le rééduquer afin qu’il puisse adopter le comportement adapté. -
Le meilleur ami de l’homme c’est le chien. Il l’est encore plus quand il est adopté depuis son bas-âge, c'est-à-dire quand il est encore un chiot. De nature très attachante, le chiot est souvent considéré comme un bébé par son propriétaire. Ce dernier en prend souvent bien soin, le nourrit, le chouchoute, le fait promener, mais surtout le fait jouer. Ces petits soins, ces attentions créent entre le chiot et son propriétaire un lien fort grâce auquel le chiot sera fidèle et obéissant en grandissant. Vous venez d’acheter un chiot et vous ne savez pas comment faire. Comment apprendre à jouer à son chien ? Comment s'y prendre correctement pour jouer avec son chiot ? Quels sont les meilleurs jeux pour un chiot ? Lisez avec attention cet article afin de savoir avec exactitude comment faire pour faire jouer et jouer avec son chiot. Vous apprendrez notamment comment le préparer au jeu, et quels jeux vous pouvez faire avec lui. Jouer au bon moment et définir les préférences du chiot Être en mesure de déterminer le bon moment pour jouer avec votre chiot est très important pour vous comme pour lui. Après cela, il est tout aussi important de connaître ce que votre petit animal aime comme jeux. Il s’agit des deux premières grandes étapes lorsque vous devez jouer avec votre chiot. Jouer au bon moment Il existe des moments clés pour jouer avec son chiot. Primo, toujours vérifier qu’il se trouve en pleine forme avant de vous mettre à jouer avec lui. Deuzio, pour des jeux doux patientez une heure après son repas et pour des jeux plus mouvementés faudrait attendre environ 1 heure et 30 minutes. En cas de non respect de cette règle, votre chiot pourrait subir un retournement de l’estomac et cela est dangereux pour sa santé et son bien-être. Gardez également un œil sur vos enfants quand ils jouent avec le chiot afin d’éviter certaines déconvenues. Définir les préférences du chiot Tous les chiens n’ont pas les mêmes goûts et c’est pourquoi il faut pouvoir définir les préférences du vôtre. Pendant que certains adorent la chasse, d’autres aiment la course et d’autres préfèrent sauter. Par exemple, quand ils doivent suivre des pistes, certains chiots utilisent leur odorat alors que d’autres mâchouillent les objets. Raisons pour lesquelles, il faut observer attentivement les gestes de votre chiot pour définir ses préférences. A partir du moment où les préférences de votre chiot sont définies, vous devez ensuite le dresser en jouant, apprendre les bénéfices du jeu et surtout savoir arrêter le jeu au moment indiqué. Le dressage au jeu et le stop au moment indiqué Un chiot bien dressé sera un chiot intelligent, sociable, respectueux et fidèle à son maître. Un chiot bien dressé comprendra lorsque vous jouez avec lui, c’est ensuite à vous d’apprendre en quoi le jeu auquel vous jouez est bénéfique. Un autre volet assez important lorsque vous jouez avec votre chiot, c’est de toujours pouvoir arrêter au meilleur moment. Dresser le chiot en jouant Quand vous faites des jeux avec votre chiot, allez-y avec les commandes les plus simples. Enseignez-lui les mots clés que vous employez en les utilisant régulièrement pendant les jeux. Certains mots comme « apporte » « assis » « debout » « pas bouger » sont très pratiques pour dresser votre chiot. Associez à ces mots de petites récompenses comme des friandises, des caresses ou des félicitations pour motiver votre compagnon. Sachez que les chiens font très vite la liaison entre actions et récompenses. Montrez-lui votre amour et continuez régulièrement à jouer avec lui pour accélérer le processus de dressage. Apprendre les bénéfices du jeu Tous les jeux ne seront pas bénéfiques pour votre chiot, mettez donc l’accent sur les jeux susceptibles de lui apporter un plus. C’est pourquoi il faut pratiquer avec lui des jeux où il reçoit des ordres simples. Cela contribuera à le rendre sociable, plus équilibré avec un meilleur développement mental. Certains jeux vous aideront à mieux cerner les préférences et le caractère de votre chiot en distinguant ses hobbies de ses phobies. En dépit de tout cela, il faut aussi savoir mettre fin au jeu à temps. Savoir s’arrêter quand il le faut Avec leur peps impressionnant, il est souvent difficile de savoir à quel moment arrêter de jouer avec votre chiot. Pourtant si vous jouez continuellement avec votre chiot, vous risquez d’endommager ses articulations et ses ligaments avec des répercussions au fur et à mesure qu’il grandit. Généralement arrêtez de jouer avec votre chiot dès qu’il se met de mauvaise humeur et devient agressif, cela signifie qu’il est épuisé et qu’il faut faire stop. Quelques jeux intéressants à jouer avec votre chiot Enfin, sachez que vous ne pourrez pas jouer à tous les jeux avec votre chiot. Certains jeux pourraient le rendre agressif et d’autres ne l’amuseront pas. C’est pour cela nous bouclons le présent article avec des exemples de jeux intéressants à jouer avec son chiot. Nous vous parlerons de jeux d’enseignement, des jeux de cache-cache et celui du rapport d’objets. Enseigner des choses amusantes Une fois que votre chiot est dressé et maîtrise quelques ordres de base, commencez par lui enseigner des choses amusantes. Par exemple, apprenez-lui à donner sa patte en position assise, à faire des roulades, à faire le mort en restant couché et figé ou encore à aller chercher ses jouets tout seul. Lorsqu’il réussit, tâchez de toujours le récompenser pour qu’il donne le meilleur de lui-même. Ces choses amusantes que vous lui enseignez ont pour avantage de vous rapprocher tous les deux puis de travailler l’esprit et la concentration de votre chiot. Jouer à cache-cache Le jeu de cache-cache est également un jeu très intéressant et bénéfique pour votre chiot. Cela l’aidera à développer son odorat, à vous retrouver en cas de disparition et à venir à vos côtés quand vous lui faites signe. Un autre jeu très attrayant pour les chiots, c’est celui qui consiste à courir pour rapporter des objets lancés au loin. Lui faire rapporter des objets C’est un jeu qui consiste à lancer un objet (généralement une balle) loin et ensuite demander à votre chiot de le rapporter à vos pieds. Employez toujours des termes simples comme « va chercher » et quand il réussit n’oubliez pas de lui offrir sa friandise. Par contre, évitez de le faire jouer jusqu’à ce qu’il soit fatigué ou désintéressé afin de ne pas porter un coup à votre autorité ou créer un désintérêt pour ce jeu à son niveau.
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Comment savoir que votre chat est stressé
PlumeBlanche a posté un article dans Comportement des animaux
Le stress atteint de nos jours les humains et les animaux. Il affecte facilement un chat à cause de son caractère très attaché à son territoire. Un chat peut être très sensible au stress, surtout un chat non habitué aux stimulations. Un petit changement de son environnement habituel peut bien le perturber. Cette pathologie se présente de différentes manières. Elle peut causer des conséquences graves, voire même fatales chez votre félin s’il n’est pas traité à temps. Il en est par exemple de la cystite qui entraîne une infection urinaire. Il peut être à l’origine d’une agressivité, qui représente un danger pour son propriétaire et son entourage. Alors comment se manifeste le stress chez le chat ? Quelles sont les causes fréquentes de ce mal-être ? Découvrez dans notre article les signes pour détecter si votre chat est touché, vous permettant d’agir à temps et prendre des mesures adaptées. Les causes fréquentes du stress chez le chat Différentes situations peuvent être à l’origine du stress chez le chat. La plupart d’entre elles sont liées à son environnement. D’abord, il y a les éléments perturbateurs matériels. On peut citer par exemple un nouvel agencement des meubles dans la maison. Le changement brusque de son régime alimentaire représente aussi un facteur qui favorise ce stress. A titre d’illustration, l’introduction d’une nouvelle marque de croquette ou bien une nouvelle nourriture peuvent bien causer cette anxiété. Le chat a besoin d’une régularité alimentaire. Une distribution alimentaire non adaptée peut aussi engendrer des perturbations. Il réclame de petites rations par jour. L’hygiène et la vie en communauté sont également source de stress. L’arrivée d’un invité ou un nouveau congénère peut bouleverser son comportement. De ce fait, il va s’isoler ou se montrer agressif. D’autres causes telles que la maladie, le changement de territoire sont aussi à l’origine du stress. Les comportements d’un chat stressé Les signes du stress sont multiples et dépendent du caractère de votre chat. On fait la différence entre un chat extraverti et un chat timide. On peut détecter facilement la pathologie chez le premier s’il devient anxieux tandis que le second est plus difficile à connaître parce qu’il a l’habitude de se cacher ou rester immobile. Primo, la malpropreté fait partie des symptômes du stress chez le chat. En effet, il attaque la vessie et s’il est chronique, il favorise le développement de nombreuses maladies infectieuses. Le stress est souvent associé à une incontinence. Ainsi, vous remarquez que votre chat ne défèque plus dans sa litière. Il va uriner partout. Secundo, le stress peut aussi se manifester à travers une agressivité importante. Un chat stressé présente un état de vigilance permanent. Il peut même vous mordre. D’autres comportements tels que le refus de caresses, le fait de cracher peuvent justifier le stress chez votre félin. Le léchage compulsif est aussi un signe de stress. Un chat ennuyé a tendance à se lécher en permanence les pattes, le ventre ou bien la queue. Ce léchage intensif entraîne une perte de poils ou le développement d’une maladie ou lésion sur la peau de votre chat. Des miaulements fréquents vous permettent aussi de détecter que votre chat se sent seul. Lorsqu’ils deviennent forts, intensifs, ils marquent généralement une souffrance à cause du stress ou d’une maladie. Les chats expriment également leur stress par un marquage de territoire. En cas d’inconfort, le chat peut manifester deux types de marquage. Ainsi, le marquage se manifeste par des griffures sur les meubles et les murs ; mais vous pouvez aussi reconnaître cet inconfort à cause d’un marquage urinaire. Ce dernier se produit quand votre félin n’arrive plus à maîtriser son environnement en urinant un peu partout pour marquer son territoire. Le stress est synonyme d’anxiété. Un chat stressé devient de plus en plus peureux. En cas d’aggravation, cela affecte son comportement total. L’automutilation se présente quand le chat se mord ou se gratte trop fort jusqu’à s’arracher ses poils. La peur peut aussi se transformer en troubles digestifs comme la diarrhée. Les troubles alimentaires se produisent chez un chat peureux. Il perd son appétit et peut ingérer des objets non adaptés comme le tissu. Une consommation compulsive peut aussi signaler le stress chez le chat. L’apparition de tous comportements compulsifs et répétitifs chez le chat peut faire partie aussi des signes du stress. On peut citer par exemple le fait de se tenir à l’écart pendant des heures ou de rester immobile. Lutter contre le stress chez un chat Afin de gérer cet inconfort, vous pouvez adopter quelques comportements pour venir en aide à votre félin. Les solutions dépendent en principe des causes qui sont à l’origine de ce comportement peureux. En premier lieu, il convient de connaître si le stress est causé par une maladie. Si c’est le cas, la meilleure solution consiste à faire appel à un professionnel. Il peut prescrire des compléments alimentaires pour apaiser ce mal-être. Ils aident votre chat à se détendre et retrouver son bien-être. Il faudra faire attention à son régime alimentaire. Il convient de lui offrir une bonne alimentation équilibrée. En cas de modification ou introduction d’une nouvelle marque de nourriture, il faut le faire petit à petit. Vous pouvez également passer un peu de temps avec votre chat afin que le stress ne se développe pas. En effet, le chat est un compagnon très sociable et affectueux. Jouer avec votre chat lui fera sûrement du bien. Si vous avez la possibilité de changer l’environnement qui le rend anxieux, cela peut bien l’aider à bannir l’anxiété, comme le fait d’allumer la télé ou la radio quand vous êtes absent ou le fait d’offrir des griffoirs à votre chat. Pour finir, il ne faut surtout pas le punir. -
Mon chien a peur des enfants : comment l’aider ?
PlumeBlanche a posté un article dans Comportement des animaux
Tout comme les hommes, les chiens peuvent ressentir un sentiment de peur. Cette peur varie en fonction de chaque animal, de son caractère ou encore de son vécu. Surtout, la peur chez le chien peut être dangereuse à différents degrés car elle peut engendrer un comportement agressif ou une attaque. Cette situation est particulièrement problématique quand le chien a peur des enfants. Pourquoi votre chien a-t-il peur des enfants ? Comment atténuer cette peur chez votre compagnon ? Quels sont les risques liés à la peur des enfants chez le chien ? Pour éviter tout événement dramatique comme une attaque ou une morsure de votre chien envers un enfant, nous vous donnons dans cet article quelques conseils afin de permettre à votre chien de surmonter sa peur. Pourquoi votre chien a-t-il peur des enfants ? La peur des enfants chez les chiens n'est pas si rare que nous pouvons le croire. Toutefois, les raisons qui expliquent cette émotion canine varie d'un chien à l'autre, la rendant difficile à solutionner. La cause de la peur de votre chien vis-à-vis des enfants doit être identifiée afin de trouver des solutions pour y remédier. Elle est généralement due à une mauvaise socialisation ou à une mauvaise expérience avec un enfant. Pour identifier les causes provoquant la peur des enfants chez votre chien, l'intervention d'un comportementaliste professionnel est recommandée. Néanmoins, voici les raisons les plus fréquentes qui provoquent une crainte, allant même jusqu'à une terreur, des enfants chez les chiens. Vous pouvez également consulter Toutoupourlechien.com pour en apprendre davantage sur les caractères et les comportements des chiens. Une mauvaise socialisation du chien Au cours des trois premiers mois de la vie d’un chien, le jeune animal traverse une période de socialisation qui consiste à l’habituer à d’autres animaux, aux enfants, à d’autres espèces. Cette socialisation lui confère un certain équilibre et lui permet de s’ouvrir aux autres. Il s'agit donc d'une période cruciale dans le développement du chien et de son caractère envers les enfants. Ainsi, si au cours de cette période votre chien n’a pas pu se familiariser avec les enfants, il lui sera difficile de les tolérer à présent. Cette peur est le plus souvent expliquée par une mauvaise socialisation de l'animal qui n'a pas été en contact avec des enfants lors de ses premiers mois. D'ailleurs, lors de cette période, le chien apprend à différencier les personnes. C'est ce qu'on nomme la catégorisation des humains chez le chien. L'animal pourra alors adopter un comportement singulier en fonction de la personne en face de lui. Comme ce qu'il se passe pour la peur des enfants. Une mauvaise expérience avec un enfant Si votre chien a autant peur des enfants, c’est peut-être parce qu’il a vécu une mauvaise expérience avec un enfant. Autrement dit, il aurait subi un traumatisme lié à un enfant dont il garde encore les séquelles. Dès lors, il confondra tous les enfants à cette mauvaise expérience et ne pourra supporter leur compagnie. Il faut être conscient que les enfants, notamment les plus jeunes, ne sont pas toujours tendres avec les animaux de compagnie : arrachage de poils, tirage de queue, ... Si dans la plupart des cas, les chiens passent outre, d'autres peuvent en ressortir traumatisés. Atténuer la peur des enfants chez le chien : les conseils et solutions Il est possible de réduire la peur des enfants chez votre chien via des exercices quotidiens. Nous vous proposons à cet effet quelques astuces et solutions. En cas de non-satisfaction après la pratique de ces astuces, un suivi professionnel sera alors nécessaire. Pour vous aider à venir à bout de ce comportement agressif envers les plus jeunes, voici quelques conseils pour atténuer la peur des enfants chez les toutous. Conseils pour réduire la peur des enfants chez le chien Afin de mettre votre en chien en confiance en présence des enfants, il faut tout d'abord organiser des rencontres contrôlées avec d’autres enfants : vous pouvez opter pour une séance de jeu dans un parc en prenant le soin d’inviter uniquement les enfants calmes et conscients de la situation. Ces derniers ne doivent pas être en contact direct avec votre chien au risque de l'effrayer. Ils doivent s’approcher du chien progressivement et reculer face à toute réaction de panique. Ne forcez surtout pas le contact entre le chien et les enfants. Tout doit se faire étape par étape afin qu’il se sente en confiance. Ensuite, vous pouvez apprendre aux enfants le langage canin : si vous avez des enfants dans votre foyer, il est préférable de leur enseigner quelques points élémentaires du langage canin afin qu’ils puissent comprendre chaque réaction et geste du chien. Grâce à cette sensibilisation, ils pourront mieux communiquer avec l'animal et surtout le mettre en confiance. Mais attention, ne jamais laisser seul le chien et les enfants : il est peu recommandé de laisser les chiens avec les enfants sans la présence d’un adulte. Quand il s’agit des chiens craintifs la restriction devient encore plus grande afin d’éviter d’éventuels accidents. Si la situation persiste, consultez un éducateur canin afin d’utiliser la méthode de la désensibilisation. La technique de la désensibilisation Cette technique appliquée par un vétérinaire ou un éducateur professionnel consiste à confronter le chien à sa phobie et à faire dissiper ses craintes progressivement. En ce qui concerne la peur des enfants par exemple, on place le chien et un enfant dans un espace clôturé, puis on réduit progressivement la distance entre le chien et l’enfant. Cette thérapie se fait étape par étape et est sans danger pour votre chien. Comme vous pouvez vous en douter, la désensibilisation de la peur des enfants chez le chien nécessite l'intervention d'un professionnel afin que l'exercice se passe en toute sécurité pour l'enfant. Un chien qui a peur des enfants : les risques Le véritable problème lorsque votre chien a peur des enfants est de ne pouvoir identifier le stade de la peur. En effet, le sentiment de peur chez le chien passe par différents stades dont les conséquences ne sont pas les mêmes. Ainsi, il sera difficile de prévoir la réaction de votre chien encore que les comportements diffèrent d’un chien à un autre. La peur peut susciter chez votre chien une envie de s'échapper mais également de l’agressivité et des crises de panique. Il devient à cet instant un danger pour son entourage. En cas de morsure d'un enfant, les conséquences peut être dramatiques, aussi bien pour l'enfant que pour le chien. Découvrez les risques liés à la peur des enfants chez les chiens. Les crises de panique chez le chien La peur stimule chez le chien des crises de panique qui se manifestent par des gémissements et des aboiements. Ces crises vont effrayer les enfants qui ne cherchent qu’à jouer avec lui. Toutefois en cas de manifestation de ces sentiments, il faut éviter de rassurer le chien. C’est en effet une manière de dire au chien qu’il a raison d’avoir peur de l’enfant. Cela ne fera que renforcer sa peur. Le plus important est d’essayer de le mettre en confiance, en apprenant aux enfants les choses interdites avec un chien et en les rapprochant progressivement. L’agressivité chez le chien Lorsque la peur devient excessive, votre chien commence à avoir des réactions spontanées. Il voudra se protéger du danger présent en face de lui en attaquant ou en mordant l’enfant. Pour cela, il est fortement déconseillé de laisser un enfant seul avec un chien dans une même pièce. Une morsure est vite arrivée. Mieux, il est préférable d’éloigner les enfants de ce chien afin d’éviter les dégâts. N'hésitez pas à lire notre guide sur l'agressivité chez le chien et comment réagir face à ce mauvais comportement. Comment réagir si un chien attaque ou mord un enfant ? Si malgré les précautions prises, votre chien attaque quand même ou mord un enfant, il faut avant tout soigner l’enfant, consulter un comportementaliste pour étudier votre chien et se préparer à une éventuelle plainte des parents de l’enfant. Comportements vis-à-vis de l’enfant et de votre chien Il faut conduire l’enfant blessé à l’hôpital dans un bref délai afin d’éviter les risques d’infections et de complication de la plaie. Bien entendu, il faut rassurer les parents quand à la vaccination à jour de votre animal. Quant à votre chien, il est recommandé de solliciter un comportementaliste afin qu’il puisse vous aider à instaurer un climat de confiance entre votre chien et les enfants. Comportement vis-à-vis des parents de l’enfant victime Si les parents de l’enfant décident de porter plainte contre vous pour le préjudice subi par leur enfant, vous serez contraint de leur payer une indemnité dans la mesure où le code civil engage la responsabilité des propriétaires des animaux ayant causés des dommages. Le juge peut également considérer que votre chien représente un danger et ordonner la mesure d'euthanasie. Il est alors primordial de déterminer la cause de la peur de votre chien, d’y trouver des solutions afin d’éviter les éventuels dégâts. -
Chien en manque d’exercice physique : nos conseils
PlumeBlanche a posté un article dans Santé des animaux
L’exercice physique est incontournable pour la bonne santé des chiens. Ces derniers sont d’ailleurs très hostiles à l’ennui. L’exercice physique à réaliser est défini en fonction de la race, de l’âge et de l’état de santé du chien. Pourquoi est-il important pour un chien de pratiquer une activité physique ? Quelles sont les conséquences du manque d’exercice physique ? Comment inciter son chien à effectuer des exercices physiques ? Lisez cet article pour obtenir des réponses à ces différentes préoccupations. Pourquoi est-il important pour un chien de pratiquer une activité physique ? Il est connu de tous que les chiens sont faits pour bouger. A l’état sauvage, ils passaient la majorité de leur temps à chasser et à chercher de la nourriture parfois sur plusieurs kilomètres. Les chiens ont en effet besoin de dépenser de l’énergie. Cela leur permet de se libérer de toute frustration et d’être en bonne santé. L’exercice physique : un déstressant pour les chiens Faire de l’exercice physique permet aux chiens d’évacuer naturellement les tensions accumulées au cours de la journée. Grâce aux exercices physiques, votre chien se sentira bien dans son corps et gardera toujours sa bonne humeur. Une activité quotidienne est également importante afin de permettre au chien de retrouver un équilibre. De plus, le sport permet au chien de développer des capacités sociales. L’exercice physique : un facteur de réduction des risques de maladie Faire régulièrement du sport permet à votre chien de perdre du poids ou de le maintenir. L’activité physique permet à votre chien d’augmenter sa masse vasculaire et d’obtenir une meilleure ventilation pulmonaire afin d’être plus résistant. Le sport participe également à l’entretien des muscles, des articulations et des os sur de long terme. Par ailleurs, bouger augmenterait l’espérance de vie de votre chien. Quelles sont les conséquences du manque d’activité physique ? Le manque d’activité physique peut entraîner chez le chien, certaines conséquences non négligeables. Il s’agit essentiellement de la survenue de certains problèmes de santé et de certains comportements d’anxiété. Un chien qui manque d’activité physique est d’ailleurs considéré comme un chien malheureux. Un facteur d’obésité Le premier signe remarquable du manque d’activité physique chez un chien est la prise de poids. Lorsque votre chien est inactif, il n’obtient pas la possibilité de dépenser suffisamment d’énergie. Il existe donc une disproportion entre l’alimentation et l’énergie dépensée. Il ne pourra éliminer tous les apports nutritionnels de son alimentation trop riche. Telle est la raison de la prise du poids du chien qui peut tendre vers l’obésité. Un facteur d’agressivité Le manque d’activité physique ennuie le chien et favorise chez ce dernier, le développement d’un comportement hyperactif et d’agressivité. Il dispose en effet de suffisamment d’énergie qu’il n’arrive pas à dépenser, il s’agit là des signes d’un manque atroce d’activité physique. Comment inciter son chien à effectuer un exercice physique ? À présent que vous avez connaissance de l’importance du sport pour le bien-être de votre chien, il faille l’amener à effectuer régulièrement une activité physique. Cependant cela semble un peu compliqué avec certaines races. Nous vous proposons quelques astuces pour les y amener. Organiser des promenades Sortez fréquemment votre chien pour une séance de balade. Cela lui permettra de dépenser de l’énergie et de passer du temps avec vous. Proposez-lui des activités plus épuisantes sur le chemin. Vous verrez qu’il dépendra suffisamment d’énergie et qu’il se reposera une fois rentré. Allez en promenade avec une balle et avec certains membres de votre famille pour bien jouer. Mieux, vous pouvez opter pour des promenades à vélo. Plus adapté et plus intéressant, vous pourriez mieux vous exercer. Toutefois, il faut que votre chien soit obéissant afin que la promenade à vélo se passe sans incident. Vous pouvez aussi effectuer des randonnées entre des pierres et des arbres ou jouer avec une branche d’arbre. Courir avec votre chien Si vous êtes un passionné de footing, vous pouvez essayer de le faire avec votre chien. Cette activité sera très bénéfique pour lui. Courez avec votre chien dans un parc public, montez des escaliers ou sautez le long d’un petit ravin. Vous pouvez également essayer le canicross qui est un exercice adapté aux chiens ayant besoin d’activité physique. Cependant, consultez votre vétérinaire pour vous assurer que votre chien est capable d’effectuer le canicross. La natation pour chien Nager est une activité sportive complète à laquelle vous pouvez initier votre chien. C’est un excellent moyen de faire des exercices dans la bonne humeur tout en s’amusant. De plus, si votre chien souffre des problèmes musculaires, la natation est parfaite pour lui. Il pourra s’exercer sans ressentir des douleurs dans ses os. Prenez juste toutes les précautions nécessaires pour passer d’agréables moments de natation. Toutefois s’il n’aime pas l’eau, n’insistez pas ! Pensez juste à l’initier à un autre sport. Inscription aux clubs d’éducation canine spécialisée Si vous n’êtes pas suffisamment libre pour pratiquer des exercices physiques avec votre chien, inscrivez-le dans un club de dressage et d’éducation canine spécialisée. Présents un peu partout sur le territoire français, ces clubs disposent d’activités bien précises qui font faire à vos chiens d’exercice physique. Ils proposent certaines activités physiques adéquates et utiles pour votre chien. Tout comme chez l’homme, le sport est également très important pour le bien-être des chiens. Les chiens étant d’ailleurs très actifs de nature, l’absence d’activités physiques engendre certains problèmes non négligeables. Pour cela, il est nécessaire d’initier vos chiens à une activité physique quotidienne afin de favoriser leur bien-être. Cependant, il est recommandé de demander l’avis de votre vétérinaire avant le choix de l’exercice physique. L’activité physique à pratiquer diffère en réalité d’un chien à un autre et est choisie selon la race, l’âge et la santé de votre chien. -
Conseils pour bien choisir son assurance santé animale
PlumeBlanche a posté un article dans Santé des animaux
Bien choisir son assurance santé animale, c’est bien le protéger tout en faisant des économies. Les frais de santé d’un animal, qu’il s’agisse d’un chat ou d’un chien, sont en effet particulièrement onéreux. Et malheureusement, il n’existe pas de sécurité sociale pour eux. Toutes les dépenses ne seront donc pas couvertes et seront, en totalité à votre charge. Si vous voulez échapper à ces frais ou du moins réduire ce que vous aurez à payer, l’assurance santé animale est la meilleure option. Également connue comme étant “la mutuelle pour animaux”, elle vous permet de bénéficier d’une prise en charge dans le cas où votre animal de compagnie tombe malade ou est victime d’un accident. Il est donc essentiel de le choisir avec soin. Bien choisir son assurance santé animale : quels sont les frais couverts ? Quels sont les frais couverts ? Telle est la première question que vous devrez vous poser lorsque vous vous retrouverez face à un contrat, ou à une offre. Il n’y a pas de contrats types en effet. Les assureurs sont libres de proposer la formule qu’ils veulent. Voilà pourquoi, il est dans votre intérêt de placer les garanties au premier rang de vos critères de choix. Vous l’aurez compris. Il est à risquer que vous ayez à choisir entre plusieurs formules : L’assurance santé animale classique ou économique. C’est la formule de base, et donc la moins chère de toutes en termes de cotisation. Elle vous permet généralement de bénéficier d’une prise en charge en cas de gros sinistres comme l’hospitalisation, une opération chirurgicale urgente, les examens, etc. L’assurance santé animale intermédiaire. Comme vous vous y attendez, cette formule est beaucoup plus chère que la précédente. Mais vous devez aussi savoir qu’elle propose plus de garanties. Elle peut, par exemple, proposer de rembourser également les frais dus à certaines maladies bénignes en sus des gros sinistres. L’assurance santé premium. C’est la meilleure formule que l’on puisse vous proposer, car elle propose généralement une couverture complète pour tout ce qui concerne la santé de l’animal : gros sinistres (maladies graves, accidents, hospitalisation, etc.), maladies bénignes, traitements de prévention (vaccins, déparasitage, bilan annuel, etc.). Bien choisir son assurance santé animale : combien vous payez ? Le deuxième point le plus important est l’argent, c’est-à-dire la cotisation que vous allez payer, mais aussi, la valeur de la franchise et de la part que devra prendre en charge l’assureur. Vous devez savoir que chacun d’eux peut différer d’un contrat à l’autre. Combien coûte la cotisation ? La valeur de la cotisation que vous allez payer va dépendre d’une part de l’assureur que vous choisirez, et d’autre part, de la formule à laquelle vous souscrirez. C’est donc le nombre de garanties, donc des risques couverts, qui va déterminer le montant de votre cotisation mensuelle. Voilà pourquoi, il est toujours recommandé de demander plusieurs devis et de les comparer avant de signer. Il est tout à fait possible que vous tombiez sur deux mêmes prestations, mais proposés à des prix différents. Pour bien choisir votre assurance santé animale, n’oubliez pas la franchise La franchise représente les frais que vous devrez payer après la prise en charge de l’assurance. Eh oui ! Ne commettez pas l’erreur de croire que tous les assureurs prendront tout en charge. Certains vous proposeront un contrat avec zéro franchise, d’autre vous proposeront de prendre en charge une partie (la plus grande), ainsi vous paierez moins pour le reste. Pensez donc, avant de signer quoi que ce soit, à vérifier si l’assurance va couvrir tout ou partie des frais vétérinaires de votre animal. Dans un contrat, elle peut être appliquée soit par année, soit par sinistre soit par garantie. Bien choisir son assurance santé - Les autres points à vérifier Vous devez savoir ceci : un contrat d’assurance peut cacher beaucoup de pièges. Voilà pourquoi, même si l’offre semble alléchante, vous devez rester vigilent. Il est très possible qu’il y ait anguille sous roche. Pour éviter les mauvaises surprises, insistez sur les deux points suivants : le délai de carence, les conditions de résiliation. Le délai de carence Le délai de carence est la période située entre le moment où vous signez le contrat et celui où il entre en vigueur. Eh oui ! Vous ne serez pas couvert immédiatement après avoir souscrit une assurance. Il faut que vous attendiez quelques temps en effet, et ce temps est défini dans le contrat. La durée du délai de carence varie entre une semaine et 6 mois, en fonction du sinistre couvert : accident ou maladie. Et vous devrez prendre le temps de vérifier si vous voulez éviter les mauvaises surprises. Car en cas d’accident, vous risquez de ne pas être couvert alors que vous aviez signé votre contrat il y a 3 mois. Cela est d’autant plus important si votre animal souffre d’une maladie chronique. Bien choisir son assurance santé animale – La résiliation Vous devez aussi faire très attention aux conditions de résiliation. Si certains assureurs vous permettront effectivement de résilier à tout moment, d’autres vous proposeront une couverture à vie. Assurez-vous de choisir les conditions qui vous conviennent. Mais assurez-vous également d’avoir à tout moment une porte de sortie au cas où vous voudriez résilier avant la fin du contrat. -
Tous les chats aiment généralement se blottir et s’enrouler sur nos pieds. Alors dans les moments où ils griffent et mordent sans raison apparente, on reste perplexe face à leurs réactions. En tout cas, les experts en félins s’accordent pour dire qu’un chat brutal est un chat mal dans sa peau. Savez-vous pourquoi votre chat est agressif ? Serait-ce une phobie ? Ou à cause de votre attitude, une maladie ou une toute autre raison valable ? Comment réagir ? Nous abordons le sujet dans cet article. Comment reconnaître le mal-être de mon chat ? Le chat est habituellement un animal affectueux et doux, d’où la qualification courante qui en advient : boule de poil. Mais à côté, ils aiment gratter et adorent griffonner, c’est dans leur nature de se cramponner aux tissus ou à vous quand ils veulent rester dans vos bras. Mais s’ils mordent et vous griffent trop fréquemment, c’est qu’il y a anguille sous roche. Quels sont les signes qui montrent que votre chat est agressif ? Une seule phrase suffit pour tout expliquer : il change de comportement. Un petit chaton de 6 semaines à 3 mois peut parfois faire des gestes brusques en jouant,. C’est à cet âge que la maman chat grogne ou leur lance un coup de museau pour les remettre sur la bonne voie. Tout comme vous, vous pouvez encore l’apprivoiser. Mais si un peu plus grand, il saute sur votre journal alors que vous lisez, sans que vous ne vous y attendiez, il peut être atteint du syndrome de domination. Situation pendant laquelle il n’est pas du tout docile. Parfois, il peut aussi mordre votre cheville à l’arrivée de nouveaux animaux. Tous ces genres de changement brusque au niveau de son comportement devraient vous interpeller. Surtout à partir du moment où il commence à agir sans raison, et avec violence. Quelles en sont les causes ? Initialement, un chat est agressif lorsqu’il doit se protéger. Donc en cas de danger. L’agressivité territoriale des chats s’installe lorsqu’ils sont face à des inconnus ou des invités inattendus. Devant cette situation, ils veulent marquer leur territoire et deviennent agressifs ou s'enfuient . Cela peut arriver en dehors de période de chaleur chez ceux qui ne sont pas stérilisés. Généralement, les chats stérilisés sont moins violents que les autres, mais leur tempérament peut changer selon leur caractère et leur niveau d’intégration sociale. Autrement, vous l’avez écarté de certaines habitudes. Il a besoin d’évacuer ses frustrations. Le phénomène prendra plus d’ampleur s’il reste cloîtré chez vous. Comme toute boule d’énergie, il a besoin de se dépenser. Ajouté à son stress, cela peut virer au cauchemar. D’autre part, les chats ne supportent pas les cris et les tripotages excessifs. Si certains lui tirent la queue ou le touchent sur une partie sensible de son corps, il peut réagir violemment à son tour. Son instinct prédateur reprendra le dessus. Comment éviter cette agressivité ? Si jamais vous avez un petit chaton, sachez donc le guider à devenir sociable, il a besoin de vous comme modèle tout comme il a besoin de téter jusqu’à ses 3 mois. Dans ces moments de crise, vous pouvez aussi le soulever par la peau du cou, comme sa maman. Il comprendra que son attitude n’est pas la bonne sans que cela ne lui fasse du mal Tâchez de garder vos habitudes, surtout si vous avez une relation fusionnelle avec lui. Attention aux arrivées de nouveaux venus ! Montrez à votre boule de poil qu’elle n’a pas perdu sa place et que vous restez de proches compagnons. Même si les chats sont aussi des carnivores, leur alimentation devrait contenir 30% de protéines animales et végétales. S’ils en manquent, leur comportement pourrait changer à cause de la carence en acides aminés, des apports qui sont sensés pacifier leur cerveau. C’est la raison pour laquelle il existe des croquettes spéciales surtout pour les chats stérilisés. Celles-ci contiennent tout ce qu’il faut pour que votre chat soit bien dans sa peau. Apprenez à connaître votre chat pour déceler ce qui ne va pas et réviser le tir à temps. L’agressivité n’est pas inévitable. Quand consulter le vétérinaire pour mon chat offensif ? Outre ces astuces, la consultation auprès d’un vétérinaire demeure la solution la plus adaptée pour les chats agressifs. Un vétérinaire peut vous aider si vous n’arrivez pas à diagnostiquer vous-même la cause de l'agressivité de votre chat. Il peut s’agir de divers troubles : digestif ou urinaire. Il aurait peut-être besoin d'un compagnon. Il se peut aussi que ce soit liée à son alimentation, etc.. Sans parler du fait que les maladies comme l’arthrose, la sociopathie ou l’hyperthyroïdie peuvent aussi engendrer des réactions violentes. Le vétérinaire vous confirmera aussi si jamais votre chat est trop vieux et a des problèmes articulaires ou autres à cause de son âge. Ou encore des vers digestifs du chat causent des carences alimentaires chez votre chat. Dans ces cas, il faudrait vermifuger votre maison tous les 3 mois environ. Le malaise résultant de la présence des vers peut très vite irriter. Il y a aussi ce qu’on appelle « le syndrome du chat caressé mordeur ». Pour le reconnaître, observez bien votre animal : en plus d’être offensif, votre chat aura les yeux écarquillés. Au lieu de griffer, le chat mord. Il existe des thérapies dédiées à cette maladie. Quoi qu’il en soit, n’hésitez pas de vous rapprocher de votre vétérinaire en cas de doute. Il vous prescrira lui-même les phéromones adaptées à la race et l’âge de votre chat. Ainsi que les médicaments et les précautions à prendre pour son bien-être. Le chat est un animal de compagnie très apprécié pour sa douceur et son caractère docile. Cependant, il ne manquera pas de changer d’attitudes face à des situations contraignantes ou trop neuves à ces yeux. Pour éviter que votre félin ne devienne agressif, ne le brusquez pas et apprivoisez-le correctement.
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Pour son bien-être, le chien a besoin d’une sortie régulière. Adopter un chien implique que vous lui accordez votre temps. Une promenade lui permet de faire des exercices physiques et de dépenser de l’énergie selon son caractère physique. C’est le moment idéal aussi pour jouer avec votre chien et une occasion pour votre compagnon à poils de rencontrer d’autres chiens. Vous vous demandez à quelle fréquence partir en balade avec votre chien ? Et à quel endroit ? Comment passer de bons moments avec lui afin que la sortie ne devienne pas une corvée ? Découvrez tous nos conseils autour d’une promenade réussie avec un chien. À quels moments sortir votre chien ? En principe, il faut emmener votre chien en balade deux fois par jour au minimum. La fréquence dépend du besoin de dépenses de votre compagnon et il peut varier d’un chien à un autre. Il est lié à la race et à la taille de votre chien. Concernant la durée et le rythme de la promenade, elles varient selon l’âge et son état de santé. Un chien plus jeune et en bonne santé éprouve des besoins de dépenses plus importants qu’un chien âgé. De ce fait, une promenade deux fois par jour peut suffire pour des petits chiens d’intérieur qui n’éprouvent pas beaucoup de besoin de dépenses. Les chiens d’appartement considérés comme plus paresseux ne réclament pas plus de deux promenades chaque jour. Chaque sortie dure 20 minutes en moyenne. Vous avez la possibilité aussi de lui offrir deux ou trois grandes promenades qui durent environ une heure chaque semaine si vous n’êtes pas disponible pour une sortie journalière. Si vous disposez d’un jardin, une balade une fois par jour comblera les besoins de dépenses de votre chien d’intérieur. Si possible, évitez de promener votre chien en plein soleil. Le moment idéal à la promenade est dans la matinée ou dans la soirée. Une forte chaleur peut être nocive pour ses pattes à cause de la température du sol. Prenez de petites pauses durant le trajet et mettez-vous à l’abri du soleil. Les bonnes raisons de partir en balade avec un chien Une sortie contribue grandement à l’épanouissement de votre animal de compagnie. Ces exercices sont nécessaires pour avoir un équilibre physique et une solution efficace pour garder votre chien en bonne santé. En effet, un chien doit aussi découvrir des odeurs à l’extérieur de son habitation afin de développer sa capacité de flairage. Ce dernier lui permet de comprendre son environnement et de communiquer à distance avec d’autres chiens. Choisir un endroit adapté à votre chien Concernant le lieu, les chiens préfèrent un lieu forestier ou bien la campagne. Il n’existe pas d’endroit idéal, mais il convient de rappeler qu'une balade avec un chien dans un endroit public doit se faire sous respect de la réglementation. Ainsi, la loi oblige les propriétaires à utiliser une laisse. Cette mesure vise à protéger son entourage et aussi l’animal. Concernant les chiens de catégories 1 et 2, la loi prévoit des conditions plus restrictives : le port d’une laisse et un muselé. Certains lieux comme des plages acceptent toutefois de mettre en liberté votre toutou. Vous pouvez l’emmener dans un parc d’activité, une occasion de jouer avec lui. Il y a beaucoup d’activités que vous pourrez partager avec votre chien. Partir en balade avec son chien vous permet de vous amuser en plein air. Conseils pratiques durant la promenade À la base, il paraît très facile de se promener avec son chien. Voici quelques conseils pratiques pour mieux gérer votre chien durant votre promenade. Au début, il faut apprendre à votre chien à sortir. De ce fait, il est nécessaire d’utiliser des équipements tels qu’une laisse, un collier adapté à votre chien, des friandises en guise de récompense pour réussir cette première promenade. Évitez de lui mettre un collier trop serré. Un collier trop lâche présente aussi un danger parce qu’il est susceptible de se glisser en laissant échapper votre compagnon à poils. Certains chiens auront du mal à s’adapter à marcher en laisse. Ainsi, il faudra l’habituer pendant un moment. Durant toute la promenade, le propriétaire doit maîtriser l’animal, d’où l’intérêt d’adopter un chien de taille adaptée à votre force pour pouvoir le dresser. Une promenade agréable avec un chien est possible s’il a reçu une bonne éducation. Dans ce cas, il sera plus facile à maîtriser. Un chien bien éduqué comprend rapidement les consignes comme la notion de rappel. C’est une manière de faire revenir le chien à son maître chaque fois qu’on l’appelle. Dans la pratique, un chien aura tendance à courir après un vélo ou une voiture. S’il ne revient pas, votre promenade va se transformer en tourment. Dans ce cas, tâchez de lui apprendre même si cela peut prendre pas mal de temps. Il faut l’éduquer dès son plus jeune âge. Lors de votre balade, il faut toujours être prudent et faire attention aux comportements de votre chien. Sa réaction peut changer en cas de rencontre avec un inconnu ou d’autres congénères. Le propriétaire ne doit pas trop s’éloigner pour prévenir toutes dérives du chien. Il convient de le mettre à l’aise dans son environnement. Au cas contraire, un chien anxieux ou angoissé est susceptible d’être dangereux et agressif envers d’autres personnes. Apprendre à un chien à respecter un ordre nécessite des techniques. En premier lieu, vous pouvez l’habituer à l’appeler par son nom. Ensuite, vous pouvez lui enseigner un ordre facile de façon répétée et précise. Le dressage requiert ainsi de patience. Durant la promenade, il convient de parler à votre chien. Cela permet également qu’il reconnaisse facilement votre voix. Il faut l’encourager afin d’éviter la désobéissance. Des petites friandises comme un os à mâcher feront l’affaire. Il existe des friandises spécialement conçues pour l’éducation, généralement vendues sous forme de bouchées ou de biscuits. N’oubliez pas d’emporter de l’eau ainsi que de la nourriture surtout en cas de longue promenade. Un clicker pour dressage représente aussi une solution pour mieux enseigner votre chien.
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Choisir un oiseau pour appartement est une étape nécessaire. Tous les volatiles ne sont effectivement pas faits pour vivre en intérieur. Qui dit appartement dit en effet espace restreint où voler n’est pas propice. Cela implique également la présence de voisinage dont le bruit peut fortement déranger. Par conséquent, si vous voulez avoir un oiseau domestique dans votre appartement, vous devez prendre en compte ces critères. L’oiseau donc doit remplir quelques conditions : il doit être calme et peu bruyant, autrement, vous vous attirerez les foudres des voisins ; il doit être capable de vivre dans un espace restreint, et donc, dans une cage ; et de préférence, il ne devrait pas s’agir d’une espèce volière. Vous cherchez un oiseau domestique pour vous tenir compagnie ? Quels sont les meilleurs oiseaux pour vivre à l'intérieur ? Nous avons sélectionné pour vous les oiseaux capables de vivre en appartement. La perruche, l’oiseau idéal pour appartement La perruche est l’oiseau d’intérieur par excellence. On la retrouve dans presque tous les foyers et ce, pour deux raisons : premièrement, elle est extrêmement calme. Ce psittaciforme n’est pas du genre à brayer toute la journée. Et même quand elle s’y met, le son est tellement faible qu’il est quasiment impossible de déranger le voisinage. Avec cela, la perruche est petite. Elle n’a pas besoin d’une grande cage, ce qui est parfait dans un appartement. Il faut juste vous assurer que sa cage soit assez aérée pour qu’elle puisse bouger, et voler de temps en temps. Et tout ira bien. Et pour couronner le tout, vous aurez le choix entre plusieurs types de perruche : la perruche ondulée, les inséparables, la calopsitte, le Toui Catherine, la perruche élégante, la turquoisine, la perruche de bourke, etc. Toutes sont connues pour leur caractère calme et sociable. Oiseau pour appartement : le Diamant Mandarin Le Diamant Mandarin est un adorable petit oiseau. Mesurant quelques dizaines de centimètres, et pesant une douzaine de grammes tout au plus, c’est également un très bon compagnon d’intérieur. Connu pour être un oiseau vif et accommodant, même en captivité, il figure parmi les oiseaux de compagnies les plus communs. Attention cependant, le Mandarin est également un volatile grégaire. Il n’aime pas vivre seul et a besoin de compagnie. En d’autres termes, vous devez prévoir d’en acheter deux ou trois si vous voulez l’adopter. Ne vous inquiétez pas cependant, bien qu’ils leur arrivent de jacasser et de chanter, le son qu’ils produisent est rarement bruyant. Ils sont également connus pour la douceur de leur chant. Oiseau pour petite espace : les pinsons de Canaries Le pinson est un oiseau particulièrement attachant. C’est un passereau granivore très apprécié, et beaucoup utilisé comme oiseau domestique dans le monde entier. On l’apprécie surtout pour sa taille. Petit, il n’a pas besoin de grandes cages. Il est donc parfaitement adapté aux petits espaces et aux appartements. Il est vrai que c’est un oiseau qui crie et qui chante beaucoup. Mais vous pouvez être rassuré, sa voix est aussi petite que son corps. Il pourra hurler sans que vos voisins ne l’entendent. Oiseau pour vivre en intérieur : les petits perroquets Les petits perroquets sont des oiseaux agréables à regarder, très intelligents et particulièrement sociables. Ils sont également très vifs, très dynamiques et se démarquent par leur capacité à interagir avec les autres. Ils aiment sauter, voler, jouer, et bouger. Bref, ils peuvent être d’excellents compagnons en appartement, car vous ne risquez jamais de vous ennuyer avec eux. On vous dira cependant que les petits perroquets sont particulièrement bavards. Et qu’il est quasiment impossible d’en adopter plusieurs à cause du bruit qu’ils vont faire. Mais ne vous inquiétez, s’il est vrai qu’ils jacassent beaucoup, ils ont de si petites voix qu’il est impossible qu’on les entende de l’autre côté du mur.
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Après les chats, les chiens, les tortues et les hamsters, le lapin est un animal de compagnie très apprécié. Son caractère doux et mignon fait partie de son charme. Toutefois, c’est un compagnon qui peut prendre du poids facilement. Pour éviter de tomber dans l’obésité souvent fatale pour lui, quelques précautions s’imposent. Comment reconnaître le surpoids de votre boule de poil ? Pourquoi votre lapin est en surpoids ? Quelles en sont les conséquences sur le long terme ? Que faire pour y remédier ? Nous répondrons à toutes ces questions dans cet article. Les signes de surpoids chez les lapins Il va sans dire qu’il est rare de voir un lapin qui n’est pas dodu. C’est pourquoi la notion de surpoids laisse les propriétaires dubitatifs. Pour l’heure, voici des indices qui vous aideront à savoir si votre lapin est dans ce schéma. L’apparence physique Un lapin en surpoids double de poids en l’espace de quelques jours seulement. Vous verrez apparaître le double menton et les plis entre ses pattes. Son ventre prendra également du volume. Ce sont des signes apparents qui ne trompent pas. Par ailleurs, certains deviendront plus joufflus et auront du coup des yeux bridés. En le serrant contre vous ou en le portant, vous remarquerez que vous ne sentez plus ses côtes. Bien sûr pour vérifier vos doutes, vous pouvez le peser. Normalement, il devrait prendre au maximum 50 g par jour, l’équivalent de 250 à 350 g par semaine jusqu’à ce qu’il atteigne l’âge adulte. Arrivé à une certaine période, le poids reste constant. A vous de faire le calcul pour surveiller s’il n’en a pas trop pris. Son comportement Si votre lapin est en surpoids, il changera de comportement. Il deviendra plus lourd et aura du mal à bouger. Un lapin qui bouge moins et qui a l’air d’être continuellement fatigué peut être en surpoids. Certains ne pourront même plus faire correctement leur toilette, du fait qu’ils n’atteindront pas les parties à nettoyer. Il dormira autant qu’il restera tout le temps dans un coin. Il ne sera pas à l’aise avec le changement que va subir son corps et ne manquera pas de le montrer. Mais il aura cependant plus d’appétit, son estomac étant habitué à travailler. Un lapin en surpoids est donc plus gros que d’habitude et est moins actif. Pour en avoir le cœur net, nous conseillons évidemment que vous demandiez confirmation à son vétérinaire. Les causes de surcharge pondérale des lapins Le lapin de compagnie a moins d’espace de vie, étant enfermé dans sa cage. Pour compenser son besoin de dépenser son énergie, il aura tendance à passer plus son temps à manger. Ce qui favorise sa prise de poids rapide. Problèmes d’alimentation La prise de poids en trop peut être le résultat d’une alimentation non équilibrée. Notamment celle où les friandises achetées en magasin, les racines et les fruits sont flagrants. Ce sont des aliments plus riches en sucre qu’en apports énergétiques. Les aliments sucrés se transforment en gras. Et c’est l'excès de gras qui rend l’animal obèse. Le gras et le sucre peuvent être évacués par le biais d’exercices physiques que le lapin devra faire hors de sa cage. Le trop de calories est donc déposé dans les muscles et rend l’animal grassouillet. Raisons psychologiques Comme évoqué précédemment, le lapin de compagnie est encastré dans sa cage. Telle une personne touchée par le stress boulimique, il passera la grande partie de son temps à manger pour éviter de s’ennuyer. Pour éviter ceci, essayez de le faire sortir de temps en temps pour qu’il puisse se dépenser autant que possible. Si vous ne pouvez pas le faire, soyez cohérent dans le choix de sa nourriture. Mettez en permanence du foin, qui n’est pas gras mais qui lui procure l’apport en fibres dont il a besoin. Sans oublier l’eau pour qu’il se rafraîchisse. Les conséquences de ce surpoids Beaucoup sont ceux qui font exprès de rendre leur lapin potelé, sans penser que cela peut être dangereux pour lui. Autant préciser qu’un lapin mignon ce n’est pas celui qui est le plus gros ! Effets sur la santé Comme chez tout être du règne animal, une surcharge pondérale peut être nocive pour la santé du lapin. L’infection dermatologique due à l’incapacité de prendre sa toilette correctement est une des conséquences les plus courantes. Appelée myiase, elle concerne le niveau périnéal et est causée par les résidus d’urines et de crottes. Il y a aussi la pododermatite et les ulcères, résultant d’une inflammation musculo-osseuse. Très souvent, elle se situe entre les plis qui naissent après une prise de poids importante. La liste n’est pas exhaustive, les conséquences varient selon l’anatomie personnelle de votre lapin. Risque de mortalité précoce Tout ceci nous amène à la conclusion que l’obésité du lapin peut être néfaste pour sa santé. Ses conséquences peuvent lui être fatales. Les diverses maladies infectieuses peuvent lui coûter la vie. Il risque également de s’étouffer plus facilement. L’excès de graisse peut avoir un effet sur son cœur et entraîner une insuffisance cardiaque, qui sans plus ni moins peut causer sa mort. Le surpoids n’est pas bon pour votre lapin. Il existe plusieurs moyens de montrer son attachement à un animal. Le recours ne se limite pas à le gaver de nourriture car cela peut avoir des répercussions sur sa santé. Le lapin est un animal de compagnie très facile à entretenir et à dompter. Il vous suffit de l’alimenter comme il se doit et de le faire bouger le plus souvent possible afin qu’il profite d’une belle et longue vie à vos côtés. Même si l’obésité peut être fatale pour votre lapin, elle n’est pas irrémédiable. N’hésitez pas à demander conseils auprès de votre vétérinaire. Et surtout, tâchez de procéder à un suivi régulier de son état de santé.