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La Chine

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Tout ce qui a été posté par La Chine

  1. Il faudrait récupérer un peu de cératophyllum et pour compléter, oui, les pistias ne sont pas mal (mais elles ne vont pas apprécier la condensation d'un bac fermé) ou alors, qui reste relativement facile à gérer niveau envahissement, des limnobium laevigatum. J'ignorais aussi que ce poisson devenait plus rare dans son biotope. Merci pour l'info. J'ai trouvé cet article. http://www.aqua-univers.com/t7206-trichopodus-leeri-espece-en-danger
  2. Comme poisson calme, tu ne trouveras pas mieux dans le genre Trichogaster... Impossible qu'il entre en conflit avec les Rhinogobius (à la limite, ce serait plutôt eux qui pourraient le terroriser mais avec 70 cm de haut les interactions devraient quand même être très limitées : ceux que j'ai ne descendent qu'en cas de distribution de nourriture tombée au sol qu'ils apprécient particulièrement, au moins des artémias ou des larves de moustiques rouges). La plupart des leeri vendus dans le commerce sont issus de l'élevage et supportent des paramètres larges (Ph 6,5 à 8,5 et dureté totale de 5 à 30 dGH selon le Mergus). En te calant sur un ph n'excédant pas 7,4 et une dureté jusqu'à 14, tu ne devrais pas avoir de problème avec eux (les miens ont vécu plus de trois ans avec ces paramètres et sont désormais réaccoutumés à une eau neutre à dureté faible). Pour la température 24 °à 28 °, mais ils supportent moins (23 ° dans mes bacs l'essentiel du temps, en évitant par contre de descendre sous les 21 ° et les écarts de température eau/air si le bac est ouvert). Ce sont des costauds, jamais malades et avec une belle espérance de vie (7/8 ans). Mais, il leur faut au moins des plantes flottantes et un mini de 120 cm de façade pour s'adonner à leur grande occupation qui est, pour Monsieur, de créer un territoire (à la surface duquel il construira son nid de bulles) et pour Mesdames de venir voir ce qu'il se passe d'intéressant par là, quitte à se faire gentiment reconduire chez elles si c'est pas le moment (le mâle aussi va leur rendre régulièrement visite). Pas de brassage trop fort non plus.
  3. Hé bien : il faut être patient et méticuleux. Mais, le résultat est là !
  4. Très joli rendu, relativement dépouillé mais bien structuré : j'aime
  5. La Chine

    repro sterbays

    Super, Tu vas vite en avoir d'autres ; une fois lancés, tu sais bien qu'ils ne s'arrêtent plus et il n'y a pas de raison qu'ils ne continuent pas à pondre sur la vitre avant. Par contre, je ne sais pas s'il y a un moyen d'identifier les parents rien qu'au vu de l'aspect des oeufs ?
  6. La Chine

    néons malades

    Bonjour Lyne, On peut difficilement identifier une maladie dans photo. Il y a cependant, vu les poissons et les symptômes décrits, un fort risque de Columnaris (maladie d'origine bactérienne également appelée mycose buccale ou fausse maladie du néon). Cette maladie survient principalement quand l'aquarium est surpeuplé, ce qui est ton cas, et préférentiellement avec ph supérieur à 6 et température dépassant les 23 °. Elle commence souvent par des taches blanches (masses cotonneuses observées au microscope) sur la queue, au niveau de la dorsale ou sur la bouche. Non traitée, elle peut causer une mortalité massive. Avant de passer au traitement, mieux vaudrait être sûr de la maladie. Tu peux, du moins, changer de suite la moitié de l'eau (attention à avoir une température et des qualités d'eau similaires). Ensuite, si c'est bien de columnaris qu'il s'agit, abaisser, si les poissons le supportent, la température en dessous de 23 ° et traiter en bain long au Nifurpirinol ou antibio équivalent (en bac séparé car le traitement va tuer aussi les bactéries utiles au cycle de l'azote).
  7. La Chine

    Ryukins Bis

    C'est difficile de fixer des seuils sans paraître arbitraire et tenir compte de diverses circonstances particulières. Je suis un jour ressortie, confiante, d'une animalerie avec 3 ryukins destinés à un 54 litres. Une semaine plus tard, je lançais un 120 litres et quelques mois plus tard un 240 litres qui, lui-même, au bout d'un peu plus de deux ans s'est avéré trop juste. Ce coup là, j'ai pensé stop à la multiplication des bacs et me suis équipée d'un 840 litres qui, lui, aurait pu durer aussi longtemps que les ryukins, s'il n'avait pas lâché... Pour trois jeunes poissons, tu peux donc débuter et faire un petit bout de chemin avec un 240 litres (façade d'au moins 120 cm impérative). Ensuite, cela risque de s'avérer juste selon la croissance des poissons. Ils pourraient y vivre plus longtemps, mais, avec deux conséquences très probables. 1. La pollution générée (même avec une excellente filtration) par des poissons devenus gros : pour maintenir de bonnes conditions de croissance (nitrates inférieurs à 50 mg /litre, on y est très vite) et éviter toutes sortes de maladie, les changements d'eau pourront atteindre la moitié du volume chaque semaine. Ce que l'on ferait volontiers les premiers temps en lasse beaucoup les années passant, alors que les poissons ont encore une belle espérance de vie devant eux... 2. Une modification du comportement des ryukins qui vont finir par s'ennuyer s'ils ne peuvent que faire des allées-retours limités dans leur bac. Ce poisson, même à plus de 5 ans, est quasi constamment en mouvement dans la journée (la nuit, merci pour lui, il dort comme un bienheureux, couché sur le ventre, chacun dans son coin favori). Les miens parcourent toute la longueur de leur bac avec beaucoup d'entrain et aussi vite qu'ils le peuvent quand c'est leur moment de jeu ; le reste du temps étant principalement consacré à fouiller tous les recoins du bac à la recherche de nourriture (le haut comme le bas : sol, plantes et racines des plantes de surface). Il m'est arrivé de devoir les loger provisoirement dans des bacs nettement plus petits : ils sont moins vifs et surtout ils s'occupent avec ce qui leur reste, les plantes qu'ils boulottent, y compris celles qui ne les intéressent pas en temps ordinaire (comme quoi, il n'y a pas que les humains à se venger parfois sur la nourriture ). A terme, mieux vaut donc envisager un bac d'au moins 150 cm de long avec 5 ou 6 poissons selon le volume total et la taille des adultes (c'est une catégorie intermédiaire que je n'ai pas expérimenté personnellement mais qui m'a semblé viable : un mois de prise en pension par un voisin dans ce type de bac lors d'un déménagement). Pour le reste, prévoir une grosse filtration d'un strict minimum de 5 fois le volume du bac par heure (débit réel, donc prévoir les pertes de charge) avec un brassage correct en cas de filtre unique ou deux filtres, un à chaque coin de l'aqua. Pour l'oxygénation, soit un ou des rejets au dessus de la surface de l'eau, assez forts pour produire des bulles, soit des aérateurs. Les plantes les plus délicates ne supporteront pas la déperdition en CO 2 mais, bon, ce souvent aussi celles qu'ils auraient fini par manger dans n'importe quelles circonstances. C'est qu'ils sont pour partie herbivores et que les priver du plaisir de grignoter du vert au long de la journée est contreproductif (alimentation déséquilibrée si on ne leur donne pas par ailleurs des légumes pochés: rondelles de courgettes, épinards, brocolis...). Le plus simple est, de ce point de vue, de leur sacrifier des plantes à pousse rapide, qu'ils mangeront à mesure qu'elles pousseront : elodée, cabomba, ceratophyllum, racines de pistia ou de leur donner chaque matin des lentilles d'eau cultivées dans un petit bac séparé.
  8. J'ai 7 poissons en âge de se reproduire : 4 mâles, tous ryukins, et 3 femelles dont 1 de variété indéterminée (un probable croisement). Au moment du frai, sauf exceptions, tout le monde participe, ce qui fait qu'il est le plus souvent impossible de connaître d'entrée avec certitude les deux parents. Quand il grandissent, il y a souvent des particularités qui permettent de se faire une opinion plus précise (queue imparfaitement divisée, reste de "choucroute" sur la tête...). C'est que j'ai débuté avec des poissons loin d'être parfaitement typés et à l'évidence avec des ascendants, plus ou moins éloignés, non ryukins : il en reste quelque chose dans leur propre progéniture mais, en gros, en croisant systématiquement deux ryukins même imparfaits, le type des descendants s'améliore nettement. Dans ma série actuelle de jeunes, je ne prends pas beaucoup de risque, au vu de l'aspect des uns et des autres, en affirmant que les 5 plus grands sont issus de ryukin X ryukin et le dernier d'un croisement ryukin x intrus.
  9. Les parents sont tous à longues nageoires mais j'ai une erreur de casting : un fantail ou croisé fantail qui explique le 6ème de ma série de photos. Oui, pour certains jeunes, le ventre a viré au blanc mais c'est rarement la couleur définitive. Il faut attendre (même à 2/3 ans le blanc peut virer à l'orange).
  10. Tous les PR peuvent se reproduire entre eux, quelle que soit leur variété, mais le résultat est rarement heureux esthétiquement. Mieux (ou pire selon le point de vue), les PR relâchés dans la nature s'hybrident avers divers cyprinidés. S'agissant du ryukin, cette variété est ancienne : elle est mentionnée pour la première fois en Chine en 1596, bien que réputée fixée par des éleveurs des îles japonaises Ryukyu. C'est la première forme d'élevage caractérisée par un corps ramassé et une nageoire caudale quadruple (queue double avec division de chacun des deux pans en deux lobes). Elle descendrait du wakin qui, lui même, est directement issu du poisson rouge de base (le cyprin d'origine après fixation de la première mutation ayant concerné sa couleur). Ils accumulent donc au moins trois principales mutations (couleur, forme de la queue et forme du corps), tout en restant relativement haut placés dans l'arbre généalogique des mutations successivement fixées par la sélection. Je ne sais pas s'il y a un lien entre les deux faits, mais ce sont, du coup, avec les fantails (forme voile plus longiligne) les plus robustes des japonais avec un petit caractère spécial : sans être agressifs, ils sont assez brutaux et comme, sans être des nageurs exceptionnels, ils sont très actifs et joueurs, ils peuvent brider le comportement d'autres formes de PR japonais plus paisibles ou moins rapides. Il arrive aussi qu'un Ryukin puisse décider de s'en prendre aux yeux proéminents des variétés Téléscope ou Bubble ... En principe, ils souffrent moins souvent de problèmes de vessie natatoire que les autres formes "courtes" mais je suis obligée de constater que j'ai eu quelques cas (moins nombreux que sur les orandas). J'attends de voir ce que vont donner les nouvelles générations ... Car, en gros, on est assez déçu avec les poissons commercialisés en France (souvent importés de République tchèque ou d'Israël) : non seulement on vend comme ryukins des poissons qui n'en sont pas mais, en plus, qui sont souvent fragilisés par leurs conditions d'élevage. Les seuls exemplaires vraiment beaux et solides que j'ai pu voir étaient vendus dans le 13ème arrondissement chinois de Paris et ... directement importés de Chine. Dans ces conditions, la longévité est aléatoire : au moins de 5 à 10 ans pour des poissons de bonne qualité, avec probablement des exemplaires atteignant les 15 ans (mais je ne suis pas trop pressée de parvenir à vérifier par moi-même ).
  11. Merci Le Ryukin n'est pas vraiment un poisson d'eau froide. La fourchette de température régulièrement indiquée va de 15 à 25 °, mais il adopte un comportement léthargique à moins de 21 ° et n'est vraiment bien qu'à partir de 23° (supporte bien jusqu'à 29 °, et sans doute un peu plus, durant les épisodes de canicule, donc pas sur la durée et si l'eau est bien oxygénée). Ce qui est sûr, c'est qu'ici ils ne passent pas l'hiver en bassin, même avec de la profondeur. Sous des cieux plus cléments, cela reste à voir, mais, je n'ai encore jamais lu de compte-rendus documentés d'élevage durable de ces poissons exclusivement en bassin extérieur... ce qu'il serait pourtant utile de vérifier. Il y a par contre une variété réputée pour convenir au bassin toute l'année et qui ressemble beaucoup au Ryukin... ce qui est logique puisqu'il en est issu par croisement avec une variété locale japonaise adaptée au froid : le Tamasaba : exclusivement rouge et blanc (mais vraiment rouge et pas orange !) avec une queue simple. Photos de sites d'élevage japonais (c'est encore une rareté en France) Un rêve pour un éventuel bassin un jour.
  12. Je continue toute seule dans la période "vilains petits canards" de mes jeunes : ce n'est pas le moment de leur croissance où ils sont le plus photogéniques. Le changement de couleur s'annonce : cela commence par la disparition du gris, au profit d'on ne sait encore quoi, au niveau du ventre et des traces de rouge qui transparaissent dans les nageoires. 6 à ce jour en liberté (dont l'un qui ne sera pas un ryukin mais plutôt un fantail) et 3 de diverses tailles en filet-nursery. Cela commence à faire du monde mais d'ici un ou deux mois les plus grands rejoindront leurs parents. Vivement le transfert d'ailleurs, cela fera des vacances à tout le monde : à moi qui suis actuellement obligée de changer la moitié de l'eau de leur bac de grossissement chaque semaine et aux poissons de fond obligés de cohabiter avec des goinfres avec qui il y a compétition pour la nourriture. Portraits individuels : en groupe, je n'y parviens pas, ils gigotent tout le temps. Le 6ème ...qui sera donc vraisemblablement du type fantail Comme quoi ils ont grossi et ne se méfient plus de grand monde ...
  13. Tu entends quoi par forme xantho, une mutation au niveau de la couleur avec une majorité de cellules xanthopores (qui donnent le jaune) au détriment des autres cellules pigmentophores ? Si c'est le cas, il est presque sûr que les poissons vendus comme d'origine sauvage ne l'étaient pas. J'ignorais que cela concernait aussi les Mikrogeophagus ramirezi.
  14. Les fleurs sont magnifiques (et très bien photographiées) mais la forêt équatoriale n'a pas l'air mal non plus. Si tu peux, sans trop dévoiler ton intimité, nous en montrer et nous en dire un peu plus (lumière, hygrométrie..). J'en rêve pour les longs hivers...
  15. La Chine

    nouveau projet 400 l

    Moi, non plus. La pouzzolane à usage industriel n'est par définition pas faite pour aller en aquarium. Or, ce matériau a des arêtes tranchantes, pour servir de masse de filtration inaccessible aux poissons, ok, mais pas comme élément de décor. Mieux vaut alors de la pouzzolane à usage aquariophile, évidemment payante, mais en principe calibrée pour n'être pas coupante.
  16. Peut-être faudrait-il mieux alors les faire grandir dans un plus petit bac, encore que je ne sache pas si cela est compatible avec la présence du père à leurs côtés... Pas simple, mais il paraît qu'il n'y a pas de mérite à vaincre sans obstacles . Tu vas y arriver.
  17. Je reprends ici quelques photos du 220 litres communautaire et j'en ajoute d'autres, ratées, faute d'avoir réussi à en prendre de vraiment jolies des Trigonostigma heteromorpha en parade. Pour distinguer les mâles de femelles, outre l'arrondi du ventre (parfois trompeur), regarder aussi le bord antérieur du triangle noir : droit chez la femelle , tandis que chez le mâle il est légèrement arrondi dans le bas et rebique un peu vers l'avant (1ère photo individuelle de T.H postée sous ce sujet). Certains parlent de courses-poursuites, je remarque surtout de longues séances de nage parallèle en duo avec la dorsale tenue très droite (plus qu'en temps ordinaire). En voilà qui se retrouve privé de sa moitié mais qui garde la pose. L'accouplement (où il faut être rapide et avoir un bon appareil photo). Et ...des questions sur la repro des T.H qui reçoivent des réponses différentes selon les sources. Tout le monde semble d'accord sur le fait qu'il faut augmenter la température du bac de ponte à 25 ° (ou plus) et que les alevins (et non les œufs) sont lucifuges. Par contre, les valeurs seraient convenables à ph 6,8 et dGH inférieur à 12 pour Philippe CHEVOLEAU (petit guide Aquamag) alors que Jacques QUINTIN indique ph entre 5 et 6 et dGH inférieur à 2 (aquarium à la maison n° 93). Dans mon bac, les poissons pondent à 25 °, ph 6,8 et gh 3, mais, les œufs finissant tous mangés , je ne sais pas s'ils étaient viables. Comme je ne cherche pas à reproduire ce poisson (et n'est surtout pas particulièrement envie, dans l'immédiat, de m'enquiquiner à descendre le ph, qui plus est en bac obligatoirement séparé compte tenu de ma population), la seule solution pour avoir des certitudes serait de récupérer des œufs et de voir ce que cela donne en bac obscurci séparé à qualité d'eau non changée.
  18. La Chine

    macropode ?

    L'agressivité du M. opercularis est variable selon, notamment l'origine des sujets, leurs conditions d'élevage (intérieur/extérieur) et l'aménagement de leur lieu de vie. On ne peut pas tabler sur zéro conflits mais, je suis d'accord avec toi Patrice, ce ne sont pas des fous furieux. Il n'y a jamais eu de blessées chez mes femelles, tout cela procédant plus de rituels d'intimidation destinés à fixer la place dans la hiérarchie (comme en plus le mâle élit sa préférée - ce poisson pouvant être fidèle-, il faut bien qu'elles s'arrangent entre elles !). Je ne tenterai cependant pas dans un bac dépourvu de végétation. Petit aparté que je demande à Nicole de bien vouloir excuser. J'aimerais bien connaître les suites de ta maintenance en extérieur à l'hiver (et la réintégration en aquarium) revenus. Perso, j'avis été un peu refroidie par cet article de M. Dantec, constatant ...un surplus d'agressivité. http://www.cil-ibsc.fr/spip.php?article134
  19. La Chine

    macropode ?

    J'ai aussi maintenu des M. opercularis dans un 240 litres : 1 mâle et 5 femelles (tous morts lors d'un déménagement dans les deux minutes ayant suivi l'introduction dans leur sac de transport d'une pastille supposée oxygéner l'eau, résultat identique sur les Trichogaster, sauf le nombre de mort, l'hécatombe ayant cessé dès l'eau changée : quelle idée aussi de vouloir fournir de l'oxygène dans l'eau à des poissons capables d'aller le chercher en surface). Ce que j'ai constaté c'est que les femelles peuvent aussi être très chipies entre elles et se combattre en s'attrapant par la bouche. Ce qui fait que les choses ne dégénèrent pas, c'est qu'à un moment, l'une ou l'autre cède et va chercher refuge derrière un élément du décor qui la cache à la vue de sa poursuivante. C'est à mon avis le point clef : l'agressivité de ce poisson est en rapport direct avec sa vue. Si des éléments permettent aux individus les plus faibles de se planquer, cela se passe relativement bien . D'où l'intérêt des plantes (outre celles de surface pour la construction du nid). Avec des racines, il faudrait a minima les décorer de fougères ou de plantes flottantes (comme la Cérato) attachées autour. Et pour répondre ici sur le saule, que je n'ai jamais utilisé, il figure avec le chêne, le bouleau, le hêtre, l'aulne ou la vigne non traitée parmi les essences adaptées à l'usage aquariophile (je cite le Décor de l'aquarium d'Eric Cusimano aux éditions Animalia, comme çà, en cas d'erreur, c'est lui qui se fera engueuler ).
  20. La Chine

    Au secours j'ai des hydres!

    Oui, tiens-nous au courant (le dosage, la durée... et les résultats). Cela pourra servir à d'autres pour l'avenir.
  21. La Chine

    macropode ?

    J'adore ces poissons. Pour des avis de spécialistes, il faut aller faire un tour sur le site de la CIL (communauté internationale des labyrinthidés). http://www.cil-ibsc.fr/ Non à l'Ocellatus maintenu en aquarium : ce poisson aime les températures fraîches et surtout il a besoin de gros écarts thermiques selon les saisons pour respecter ses besoins. A défaut il meurt prématurément. Mais, il y a beaucoup d'autres macropodes qui peuvent aller en aquarium et avec eux tu auras du spectacle !. L'opercularis atteint 10 cm ou un peu plus et tu n'auras pas de problème avec lui si tu prends un seul mâle pour 3/4 femelles. Dans tous les cas, outre un décor inerte allant si possible jusqu'à la surface pour structurer son aquarium, il te faudra au moins des plantes flottantes.
  22. La Chine

    Au secours j'ai des hydres!

    Bonjour Sylvie, Pour une fois, voilà un problème que je n'ai pas rencontré (mais j'ai des Trichogaster qui mangent les hydres). Plutôt que de te lancer direct dans du lourd (traitement médicamenteux), tu peux peut-être recaser momentanément tes poissons et/ou crevettes dans des bassines (avec bulleur et, le cas échéant, thermo-plongeur) et essayer la méthode de réchauffement de l'eau du bac infesté (36 degrés pendant 6 heures en enlevant aussi les plantes). http://www.aquabase.org/disease/view.php3?id=71 Il te faudra aussi désinfecter les plantes, et les plus fragiles (Cabomba, Ceratophyllum) n'y résisteront pas. Voici pour les méthodes. http://www.aide-aquariophilie.com/t1194-nettoyer-des-plantes-avant-introduction
  23. La Chine

    Alevins de poissins rouges ?

    Exact, c'est un peu comme avec les Chromobotia macracanthus : ils deviennent imposants. Quand à leur croissance (à ne considérer que cet aspect-là et pas le bien-être général du poisson), ce n'est qu'une piste de réflexion, mais j'ai le sentiment que si le volume joue, la qualité de l'eau joue au moins autant (ou même davantage). Certains communs deviennent aussi grands que la longueur de leur aqua le leur permet et c'est fréquemment en liaison avec une excellente qualité d'eau changée très régulièrement. Beaucoup d'éleveurs pro "surchargent" d'ailleurs considérablement leurs bacs d'élevage mais obtiennent une bonne croissance dès lors que l'intégralité de l'eau est renouvelée par un système de goutte à goutte sur une seule journée. Tes poissons, Nicole, devaient probablement bénéficier d'un très bon entretien de leur bac, avec une eau dont la pollution était contenue. Ceci, sous réserve, de déviances actuellement constatées : des poissons nanifiés, même dans d'excellentes conditions d'élevage et de maintenance. Là encore, pas d'explications certaines, mais je me demande si, les poissons rouges qui mutent facilement (il aurait suffi de faire passer le cyprin d'origine de son habitat naturel à des bassins pour fixer sa couleur rouge), n'ont pas, pour certaines souches, fixé le caractère de nanisme.
  24. La Chine

    Alevins de poissins rouges ?

    Merci. Mais je ne te visais pas, en particulier C'était dans l'idée d'avoir à éviter de me répéter, sans cesse (la prochaine fois sur ce forum, je vais me contenter de me copier-coller). Ce qui m'attriste, c'est que ces pauvres PR (je parle des formes dites japonaises) sont laissés aux mains des éleveurs professionnels, d'abord, qui ne font pas grand chose de bien (ils ont réussi à fragiliser ces poissons et, produisant dès lors qu'il y a de la demande, les formes non viables ou handicapées sont loin de les arrêter). Ensuite, à l'autre bout de la chaine, ce sont une écrasante majorité de personnes qui n'y connaissent pas grand chose en aquariophilie, ce qui n'est pas grave, mais qui surtout n'ont pas de vrai désir d'apprendre, ce poisson étant perçu comme un animal de compagnie, sans que sa spécificité aquatique soit prise en compte. On a donc des forums spécialisés où l'on continue de donner des conseils quant à la manière de les nourrir pour éviter des problèmes de vessie natatoire mais qui, jamais, ne remettent en question la sélection vers des formes trop courtes et qui, semblablement, vous parlent de 50 litres pour poisson japonais ou 100 litres pour un commun, sans jamais indiquer qu'avec le groupe de 4/5 nécessaire et la nécessité de dégager une longueur de nage on se retrouve avec des bacs atteignant vite les plus de 500 litres pour des japonais adultes et une quasi obligation de faire vivre en bassin pour les communs (et a fortiori les kois qui réclament un m3 par individu). Alors, oui à ton prochain de bassin, pour toi comme pour tes pensionnaires. Et, on peut toujours espérer, vivement qu'une catégorie intermédiaire d'aquariophiles se développe dans la chaîne tronquée des PR japonais.
  25. La Chine

    Repro Scalaires ou Rasbora?

    Essaye avec une pince à épiler : tu vas certes les écraser (et peut-être quelques autres à proximité) mais bon il en restera toujours de viables.
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