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La Chine

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Messages posté(e)s par La Chine


  1. Je ne souhaite pas relancer le débat (qui dépasse de beaucoup les kiliies) sur la maintenance en puriste (qu'un nombre infime pratique effectivement dans la durée) ou celle qui postule que certains poissons (pas tous certes, mais encore faut-il en faire l'expérience pour le savoir) ont une marge acceptable d'adaptabilité.
    Après tout, si cette adaptation se fait et que les poissons vivent leur vie en étant susceptibles de séduire un plus grand nombre d'amateurs, je suis pour : cela vaut mieux que de créer une élite qui reste entre elle et ne sert peut-être pas tant que cela la cause du poisson.

    Pour revenir à la question de départ, pourquoi pas de killies dans mes bacs ? comme je n'y connais pas grand chose mais que j'ai entendu circuler certaines idées (toutes faites ou non ?), ce qui me dissuaderait c'est qu'égoïstement je ne monte pas un aquarium pour le seul bien-être des poissons mais aussi pour me faire plaisir quand je le regarde.
    De ce point de vue, j'apprécie un aquarium bien planté, pas trop sombre et si possible communautaire avec des poissons de fond, de surface et de pleine eau.

    Il a déjà été répondu sur les questions de la luminosité et des plantes, mais apparemment les killies ne sont pas faits pour vivre en communautaire et, si c'est néanmoins possible, pour quelles espèces et avec quelles autres ?

    Et, last but not least, je préfère les poissons qui vivent longtemps pour les voir évoluer au fil des ans et rien que le terme "d'annuel" me rebute un peu.

  2. Comme j'ai la très fâcheuse manie de dire toujours ce que je pense, j'écris que la dernière intervention me laisse quelque peu sceptique, venant d'un aquariophile d'eau de mer qui est nécessairement contraint de s'improviser "petit chimiste "jour après jour pour faire vivre sa population (la chimie de l'eau, chacun la pratique, en M. Jourdain OU consciemment).

    Pour le reste, après avoir dû pratiquer cette difficile épreuve, je dirais ceci : mieux vaut l'huile essentielle de clou de girofle (eugénol) que la décoction des mêmes clous dont la formule chimique (précisément) est moins pure et le dosage plus aléatoire. A 1ml pour deux litres d'eau, les poissons sont progressivement anesthésiés. En rajoutant ensuite de manière à atteindre plus de 3 ml par litre d'eau, la mort est certaine (ce qui est le but recherché : éviter que le poisson ne se réveille) .

  3. Catastrophe !
    Je compatis sincèrement pour savoir à quel point c'est décevant de s'investir autant pour mener des jeunes à l'âge adulte et de les perdre, le principal étant fait, pour une raison bête. Moi, je n'au jamais eu que le cas contraire (le chauffage qui ne chauffe plus du tout).

    Que te dire, on ne peut pas s'arrêter de vivre pour veiller au bien-être de ses poissons, juste avoir confiance en l'avenir immédiat (la fameuse prochaine fois qui se passera bien). Bon courage et surtout bonne continuation à toi.

  4. Le Stiphodon du 230 litres n'a pas de bulleur, lui ?

    Plus sérieusement, je n'y connais rien en Stiphodon, mais ce qui est sûr c'est que pour certains poissons la réussite de leur maintenance et/ou de leur repro passe par la l'oxygénation et / ou le brassage de leur bac.
    Hé quoi, il n'y a pas (toujours) que les plantes qui comptent dans un aquarium !

  5. La structure sociale de ces poissons et leur comportement en groupe n'en restent pas moins fascinants (comme pour un certain nombre de Botia) et mériteraient qu'un amateur leur consacre enfin un bac pensé rien que pour eux.

    Pour ceux qui sont intéressés, voici le meilleur article (sous réserve de quelques ajustements) à leur avoir été consacré.

    http://www.seriouslyfish.com/species/yasuhikotakia-modesta/

    Là, ils font descendre la température mini à 23 ° et précise que, par changement d'eau régulier, il faut tout de même entendre de 30 à 50 % chaque semaine. Intéressante description aussi des mouvements migratoires saisonniers constatés pour cette espèce, à l'évidence liés à l'impossibilité de reproduire ce poisson sans injection d'hormones en aquarium (où ce n'est pas gagné de reproduire tous les changements liés à ces migrations).

    Je ne les suis pas pour un bac de 1,50 m X 45 cm au sol minimum (beaucoup plus, en fait) d'autant que le groupe doit comprendre 5/6 individus et préférentiellement plus d'une dizaine. Pas de cohabitation non plus avec aucune autre espèce de poissons de fond (pas même un pléco : j'ai vu des combats entre de gros Modesta et un pléco, ce dernier doit souvent faire profil bas).

    Et pour ceux qui voudraient relever le défi, je confirme quelques autres particularités.

    Ce poisson mange de tout, carnivore mais ayant besoin d'une bonne part de végétal qu'il ira chercher en boulottant les feuilles tendres des plantes si on n'y veille pas. Grand mangeur d'escargot, il aura tôt fait d'exterminer vos planorbes et de s'en prendre à plus gros si l'occasion se présente (ampullaire par ex, idem pour les crevettes).

    C'est un très bon sauteur (bac couvert recommandé) et il a le chic pour se faufiler dans les éléments de décor les plus étroits, là où on n'imaginerait même pas que cela soit possible (au risque de rester coincé ou que vous l'oubliez en retirant un décor creux). L'un des miens avait élu domicile dans le compartiment de rejet d'eau d'une décante interne et mauvaise surprise quand on y plonge la main et que le poisson a sorti son épine sous-occulaire !

    Enfin, il fouille et s'enterre. Ceci ajouté au fait qu'il reste souvent dans sa cachette la journée (une par poisson en éliminant les décors à risques) fait qu'on se demande parfois s'il n'aurait pas disparu de l'aquarium pour une cause ou une autre (mort dans sa cachette, ayant sauté ?). A vrai dire, je ne suis pas certaine du nombre de ceux qui me restent (j'en ai vu 2 une nuit ces derniers mois). Par contre, chaque nouveau transfert de planorbes du 220 litres vers le 700 litres donnent lieu à un festin la nuit suivante.

  6. Merci pour l'info sur le tri des planorbes. Je m'en doutais bien un peu mais c'est donc confirmé par Nicole.

    John, si ton frère te refile ses vilaines planorbes, pour voir le bon côté des choses, tu pourras à nouveau plonger sans craindre de les écraser, celles-là


  7. Mieux connu comme Botia modesta ou blue Botia.

    Encore un poisson somme toute mal connu et vendu (exemplaires essentiellement d'origine sauvage) à la légère à n'importe qui (dont myself) avec un pourcentage de chances infime qu'il tombe sur un bac qui lui corresponde (et myself ne fait partie des heureux élus).

    Si je consulte loaches on lines, je lis que ce poisson atteint 25 cm dans la nature, plus généralement 17/18 cm en aquarium (avec une quinzaine ou un peu plus pour les miens d'environ 4 ans, ça va encore). Qu'ils ont besoin d'une excellente filtration et de changements d'eau très réguliers (là ils sont gâtés dans le 700 litres des PR). Qu'ils devraient être maintenus à un mini de 26 ° (rien ne va plus, les miens vivent autour de 23/24 ° la majeure partie de l'année). Et qu'ils sont à la fois hautement territoriaux et cependant grégaires (oui, mais dans quel volume pour que les deux qualités s'harmonisent sans dégâts ?).

    Avec le recul, je m'abstiendrais aujourd'hui d'acquérir ces poissons (sauf qu'ils sont là et que les repreneurs ne sont pas légions). Le point qui joue (de mon point de vue) en leur faveur, c'est qu'en dépit de leur réputation d'agressivité, ils ne s'en sont jamais pris le moins du monde aux chouchous, les PR.
    Par contre, en intra spécifique, même si cela s'est calmé depuis l'élimination du 4ème de la bande (mort des suites de ses blessures), quelle hargne !

    Photos floues (mais qu'ils sont vifs !) pour donner une idée de leur comportement intraspécifique (qui manifestement suppose de l'espace au delà de la taille standard des aquariums, 2 m de façade semblant encore trop peu).













    Pas besoin de vous dire d'où viennent les caudales amputées et les traces blanches de morsure.


  8. Jolies tes photos du guppy cobra et des planorbes.

    Je me demande pourquoi mes propres planorbes qui, à l'époque des premières générations, avaient aussi de jolies couleurs ont fini par dégénérer et toutes présenter une teinte marronnasse.

  9. Merci Johnatan.
    Et pourtant, au départ, c'était un bac fourre-tout (ce qu'il reste en partie), bien utile notamment pour cultiver les plantes incapables de démarrer correctement dans le 700 litres sous près de 70 cm de hauteur d'eau sans CO 2.

    Je viens de perdre la majeure partie de mes plus vieux T. Heteromopha. La responsabilité m'en incombe : le chauffage est tombé en panne sans que je m'en aperçoive assez vite et ces poissons (mais seulement eux, bizarrement) ont été atteints d'ichthyobodo (costiose) que, là encore, je n'ai pas traité assez vite. C'est que, pour avoir déjà eu cette maladie sur les PR, je n'ai pas nettement identifié les symptômes sur les rasboras dans la mesure où ils ne correspondaient pas vraiment à ceux que je connaissais déjà.

    Enfin, après traitement au Contralk les plus costauds sont à présent guéris et je vais re-compléter mon banc avec des jeunes que, cette fois, je vais tenter de reproduire : affaire à suivre.

  10. Ha Pascale, tu vas achever de me déprimer après la neige du week-end dernier, la récente réception d'une facture d'électricité astronomique et quelques autres soucis qui sont les mauvais côtés du particularisme local (pour compenser les bons qui existent aussi, tout de même) ...

    J'habite près du Mont Lozère, à côté du village de Bagnols-les-Bains.
    Je devrais à moyen terme me fixer dans l'Aude ou les Pyrénées Orientales : plus de soleil certainement, restera à voir la qualité de l'eau de conduite Question .


  11. Oui, l'essentiel c'est de maintenir l'oxygénation de l'eau dans laquelle sont les masses filtrantes. Pendant le déménagement un seau avec bulleur (il y en a qui marche sans avoir à être branché sur secteur) et à l'arrivée, même si on ne réinstalle pas de suite, faire du moins de nouveau tourner le filtre dans un bac provisoire (cagette ou grand récipient en plastique).

  12. @chris13 a écrit:
    jacob delafont


    Si c'est une figure de style pour désigner l'évacuation par les WC, ton intervention est hors sujet Christophe.

    Tu donnes bien la mort, mais d'une manière qui n'est pas douce et moins encore courageuse. Quand on décide d'administrer la mort, fut-ce celle d'un poisson, il me semble qu'on devrait en prendre la pleine responsabilité jusqu'au bout, en ne se déchargeant pas des détails de l'exécution de sa décision sur les évènements à venir hors de notre vue.

  13. Pour tout dire, quand le problème se pose avec de petits poissons vis-à-vis desquels j'ai un rapport moins affectif qu'avec mes gros PR, je les décapite puis détruit le cerveau dans la foulée. C'est la tactique du mari de Nicole (destruction du cerveau) mais encore faut-il être sûr de ne pas se rater, sinon le poisson souffre (certes pas longtemps mais j'aime autant une solution qui évite le risque).

    Et comme tu l'écris Jean-Luc, je ne sais pas si c'est du courage qu'il faut en la circonstance mais une résolution qui me manque avec mes chouchous.

  14. Stéphane, ta méthode n'est pas sans souffrances inutiles.

    Lire le témoignage du véto en troisième intervention.
    http://www.aquaryus.com/forum/topic/1522-euthanasie-en-douceur/

    Mon souci, ce sont plutôt les bons dosages : combien de ml d'eugénol dans combien de litres pour un poisson rouge d'une quinzaine de cm et ne faudrait-il pas mieux commencer par une dose plus faible pour attendre l'endormissement du poisson et alors surdoser ?

    Ce n'est pas réjouissant comme sujet mais ce sont des questions qu'on est bien obligé de se poser dans une vie d'aquariophile.

  15. Bon voilà c'est une première et je déteste avoir à faire cela.

    Mais, comme je l'ai déjà laissé entendre, à force de sélectionner les poissons rouges sur des critères strictement esthétiques comportant pour les orandas, les ryukins, les perlés (et quelques autres variétés de "japonais") un corps très raccourci par rapport au PR d'origine, on finit par créer des poissons non seulement fragiles (mention spéciale aux orandas) mais souffrant trop fréquemment de problèmes structurels et donc inguérissables de vessie natatoire : le poisson flotte sur le dos, reste au fond de l'aquarium, dans tous les cas ne peut plus nager correctement et est privé d'une vie normale.

    J'ai déjà souvent gardé des PR atteints de tels problèmes en leur apprenant à manger dans la main. A chaque fois, leur espérance de vie n'excède pas 2 ans. Actuellement, j'en ai deux dont l'état se dégrade et comme je vais devoir m'absenter, je ne peux pas demander à leur soigneur occasionnel de respecter tout le protocole mis en place pour parvenir à les nourrir.

    Jai donc recherché la solution apparemment la plus soft pour les faire partir. Beaucoup connaisse la méthode des clous de girofles (utilisée à dosage différent pour l'anesthésie des poissons) que j'ai retenue.
    Alors je témoigne que cela marche sans stress excessif pour le poisson (mais je ne suis pas à sa place).
    J'ai utilisé de l'huile essentielle de clous de girofle (eugénol), rendue soluble dans un peu de lait et à 1 ml par litre d'eau, le poisson s'endort puis ses fonctions vitales s'arrêtent.

    Voilà, ce message n'est pas là pour alimenter une polémique sur l'euthanasie, mais pour recueillir des retours d'expérience et des avis fondés sur les méthodes les moins agressives.

  16. Il est extrêmement agréable à regarder ton bac Sylvie. Pas seulement parce qu'il est joliment planté mais surtout parce que tes poissons y sont manifestement à leur aise pour exprimer leur comportement. J'aime beaucoup

    Je suis d'accord avec toi pour le tétra citron : il m'est arrivé de garder des rescapés d'un groupe réduit à peu de choses. Quand le poisson a déjà vécu pas mal de temps dans l'aquarium et y a donc pris ses marques, ce n'est quelquefois pas plus mal de l'y laisser finir ses jours. Le tien a apparemment su gérer son isolement.


  17. @aliahhh a écrit:
    toujours pas de traitement pour les points blanc?


    Tu veux sans doute dire : toujours pas de traitement contre l'atteinte des nageoires et les plaques rouges, parce que le traitement au sel agit contre les points blancs.

    Ce sont donc encore ces points blancs que tu vois sur ton oranda et le télescope qui est avec lui. Ii faut attendre 4 jours pleins pour vérifier qu'ils disparaissent. Continues ton traitement au sel commencé l'après-midi du 22 (jusqu'au 28 soir inclus) et passe de 2 g/litre actuels à 3 g/litre.

    Oui, l'oranda a l'air mieux (s'il se remet à flotter le ventre à la surface, c'est probablement que tu n'as pas encore remis la bonne concentration de sel à ces moments-là, cela aide aussi à soulager les cas où la vessie natatoire, pour une cause ou une autre, ne fonctionne pas bien). Quand tu commenceras à diminuer la teneur en sel de l'eau, il importera d'y aller progressivement.
    Si tu veux te rassurer pour l'état des nageoires, achète du Furanol 2 (sur internet si tu n'en trouves pas en magasin): à mon avis, tu ne devrais pas avoir besoin de t'en servir, mais, pour le cas où la dégradation des nageoires empirerait, ce serait le mieux (produit efficace en la circonstance et agissant d'autant mieux avec une concentration de 3g/litre de sel. C'est de toute façon un médicament qu'il est très utile d'avoir en réserve). On va donc attendre encore un peu (au sel uniquement).

    Il ne faut pas oublier de t'occuper aussi du télescope que tu as placé seul (bulleur + changement d'eau de 50 % tous les jours). Je l'aurais également traité contre les points blancs : comme les autres en ont, il a de fortes chances d'être atteint, or, quelquefois cela n'est pas très visible (les points blancs étant sur les branchies).
    S'il n'y a aucun traitement au sel en cours dans son bac, autant utiliser un produit du commerce contre l'ichthyo (cela t'évitera l'étape du dessalage). Tu as acheté quoi de la marque Tetra, du Contralk ? Si c'est le cas, traite-le au dosage indiqué sur la notice, mais pour accélérer les choses, il serait bien qu'il ait un chauffage, lui aussi. Et, bien sûr, comme pour les autres, tu rajoutes à chaque changement d'eau, la quantité de produit de traitement retiré.

    Allez, courage !

  18. C'est sûr que tant que ces poissons se dépensent à nager dans le courant, ils dépensent leur énergie à autre chose qu'à chercher des noises à leurs voisins

    Mais, ils ont aussi bien plus d'espace que dans un aquarium confiné : ça doit bien aider à diluer également leur agressivité/territorialité.


  19. Ouah, le bonheur que tu vas avoir à faire vivre ce volume cheers
    Ta seule petite contrainte (mais je sais qu'on te l'as déjà dit) va être ta largeur un peu limitée.

    Par curiosité intéressée, niveau sécurité, au regard de la pression exercée sur les vitres de façade, quels sont les renforts de cet aquarium et l'épaisseur du verre ?


  20. Il faut rester patiente.
    De la même manière qu'en cas d'erreur de maintenance, on n'en voit souvent les conséquences en termes de maladie que plusieurs jours après l'erreur, le mieux aussi prend du temps.

    Essaye de ne pas changer plus de 50 % d'eau du bac de secours chaque fois et fais attention aux écarts de température. Inutile de continuer à rajouter des bactéries, tu vas te ruiner et cela n'aidera pas beaucoup.

    Quant aux points sur le visage de ton oranda : si ce ne sont pas des points blancs (ichthyo), ce peuvent être des signes de croissance de sa "choucroute" (s'ils sont sur le haut de la tête) ou des boutons de noce (autour des yeux) qui indiquent simplement qu'il s'agit d'un mâle.

  21. Ce poisson est une vraie plaie en bac communautaire !

    J'en ai eu un qui, après ses deux ans, ne mangeait plus du tout d'algues mais passait son temps à chercher à se coller à ses colocataires, des poissons rouges de bonne taille qu'il stressait énormément. En outre, comme il devient très territorial, toute nourriture tombée au sol lui appartient et il écarte les poissons qui prétendent lui voler son dû. Je dirais donc qu'il ne cohabite pas bien non plus avec les poissons qui mangent préférentiellement au sol et qui n'ont pas un tempérament spécialement agressif.

    Incompréhensible dans ses conditions qu'on le refile systématiquement en animalerie à tous les débutants qui recherchent un "mangeur d'algues".

  22. Les nitrites "brûlent" les poissons : il se peut que les marques rouges et l'atteinte des nageoires soient liées à cela. Laisse tes poissons sous traitement au sel seul encore jusqu'à demain. On avisera alors en fonction de l'évolution de leur état à ce moment-là. Dans cette attente, reste à 2 g/litre de sel.
    Le chauffage, lui, ne peut pas être responsable des marques de brulûre sauf si le poisson est resté collé au thermoplongeur.

    Pour ton bac principal, as-tu commencé à éliminer le général tonic ? Il n'y a plus de nitrites mais l'équilibre est fragile. Quand tu y remettras-tes poissons (un par un en respectant 2/3 jours avant chaque nouvelle arrivée), il faut te donner les meilleurs chances de n'avoir pas un nouveau pic.
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