Caro18
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Je me suis enregistré pour laisser un commentaire pour encourager David! Maintenant que la tempête est passée et que cette vague médiatique est derrière nous, c'est à nous de dénoncer toute la propagande et les mensonges qui ont été véhiculés dans les médias, rétablissons les faits sur cette chasse barbare et déboulonnons un par un les mensonges éhontés qui ont été retransmis par les médias, car nous avons eu droit à une bouffonnerie médiatique la plus totale, du jamais vu!
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Il fallait pleurer les marins disparus, sur RDI. Le réseau RDI retransmet les funérailess des trois tueurs de phoques sur ses ondes. Selon la raison invoquée par la chaîne de télévision, c’est à la demande des familles des victimes que la retransmission devait se faire. Rest of the text: Cette fin de semaine, les Madelinots étaient au recueillement avec les familles et les proches des tueurs de phoques, morts dans un tragique accident de remorquage. La solidarité des communautés des Îles-de-la-Madeleine était visible et l’émotion palpable selon le réseau RDI. D’ailleurs, l’animateur de service ce samedi matin 5 avril allait annoncer une grande nouvelle mais seulement après la pause publicité. Je m’attendais à l’annonce de fin de la chasse aux phoques par le gouvernement canadien. Et bien non, il s’agissait de la retransmission en direct des funérailles des marins disparus. Le réseau RDI allait chanter l’oraison funèbre sur ses ondes. Selon la raison invoquée par la chaîne de télévision, c’est à la demande des familles des victimes que la retransmission devait se faire. La perte d’un proche, d’un ami est durement ressentie par toute une communauté là-bas, et l’on ne peut que s’attrister de la perte de vies humaines. Cependant je me demandais comment une chaîne de télévision pouvait répondre si prestement aux exigences des familles. En effet, il me semble que cette cérémonie ne méritait pas d’être retransmise sur les ondes et de prendre l’ampleur d’un événement national. Les funérailles de trois marins d’un autre pays, dans des circonstances normales, n’auraient sans doute pas cette résonance médiatique. Mais nous sommes au Canada et en fond de décors, il y a la controverse sur l’industrie de la chasse aux phoques. Quelques jours auparavant, les parlementaires du Québec se sont livrés à un exercice inhabituel qui consistait à se lever et à faire une minute de silence pour honorer la mémoire de ces chasseurs. Je vois dans ce déballage d’images symboliques un effort extraordinaire pour apitoyer le peuple sur le sort de l’industrie de la chasse aux phoques et sur celui de ses communautés. L’hypocrisie de nos parlementaires aura accompagné la danse des médias d’une hostilité sans égale envers les défenseurs des animaux, surtout après les propos provocateurs tenus par Paul Watson. Que les pêcheurs de Saint-Pierre-et-Miquelon réagissent en sectionnant les amarres du Farley Mowat n’est pas surprenant, car les pêcheurs qui vident les mers et les océans détestent les écologistes radicaux, qu’ils se nomment Watson ou Greenpeace. Quand on met en perspective la controverse de cette chasse aux phoques, on comprend mieux l’intérêt politique et journalistique porté pour ces tragiques décès. On appelle cela de la récupération, c’est-à-dire quand la commémoration des défunts devient une forme de propagande destinée à manipuler l’opinion publique. Nos parlementaires feraient-ils une minute de silence pour des policiers ou des pompiers morts dans l’exercice de leur fonction? Est-ce que RDI couvrirait leurs funérailles, comme il le fait pour des tueurs de phoques? La vraie grande nouvelle c’est que la chasse aux phoques va ressentir durement le boycott de la Communauté européenne qui se prépare. Cela devrait donner le coup de grâce à cette industrie, brutale et écœurante. La manipulation de médias serviles nous rappelle à quel point notre démocratie est malade du contrôle qu’exercent certaines industries sur l’information. Ainsi, elles monopolisent le temps d’écoute en excluant toute forme de discussion et de raisonnement et en créant de la diversion. Donc, il fallait pleurer et suivre le cortège des funérailles sur RDI. Outre le respect qu’on doit aux familles, on pouvait aussi pleurer de voir tant de démagogie. Author: David Ruffieux Mail contact: cahr@videotron.ca http://www.cmaq.net/fr/node/29714
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J'irai craché sur vos tombes - Jacques Gagnon Envoyé Le samedi 05 avril 2008 20:00 Vernon Sullivan, vous connaissez, Watson, Roy et consorts ? Le dégoût de Boris Vian face au racisme américain. La chasse, geste aussi animal qu'humain messieurs, geste de vie aussi, et geste de survie. S'il fallait que les phoques traitent leurs congénères comme vous traiter les vôtres ! Quand l'inhumanité commence à nous titiller, on la voit pas toujours venir chèrs défenseurs de la cause animale. Sur la pente savonneuse du fascisme vous glissez et un jour, vos disciples devenus émules vous regardent en suspects. Ils décident alors que seule, la réjouissance de la mort des autres, ne suffit pas. Ces pauvres marins, depuis 400 ans, vivent en ce pays qu'ils ont bâti pour vous, à coup d'hommes et de phoques morts. Ils l'ont pétri dans les embruns de glace et de sang pour que vous puissiez dire que voilà un coin de terre agréable. Jamais ces hommes ne se réjouiront de votre mort. Jamais ils ne souhaiteront que des gens sans coeur comme vous ne soit à vos côtés dans le malheur. http://www.ledevoir.com/2008/04/05/commentaires/0804052046482.html
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Si la continuation de cette chasse se fait sans les observateurs cette semaine aux Îles, je suis certaine qu'il y aura vengence sur les pauvres phoques puisque les chasseurs ont la bénédiction de la population, ils se croiront tout permis, ça va être un carnage, des dépiautés vivants, il va y en avoir comme jamais! Le gouvernement va se servir de cette vague de sympathie pour interdire définitivement les observateurs, il va surement commander un sondage, si ne n'est pas déja fait.
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Chasse aux phoques : propos controversés de Paul Watson Par Paméla F , le 05/04/2008 (2 ) La fin de l'hiver au Canada s'accompagne d'une bien triste nouvelle : la reprise de la chasse aux phoques. Officiellement commencée le 28 mars, elle a été endeuillée dès la première journée par la mort de trois chasseurs et la disparition d'un quatrième. L'accident a eu lieu alors que le navire des chasseurs, l'Acadien II, était remorqué par un brise-glace suite à une panne. Pour une raison encore inconnue, leur bateau a chaviré, mais aujourd'hui, alors que vont être célébrées les funérailles des trois hommes dont le corps a pu être retrouvé, la responsabilité de l'équipage du brise-glace est de plus en plus pointée du doigt. Alors que les Iles-de-la-Madeleine pleurent la disparition de quatre des leurs, Paul Watson, fondateur de la Sea Shepherd Consevation Society (un organisme de défense du milieu marin) et farouche opposant à la chasse aux phoques, a déclaré que cet accident était une tragédie, mais que celle des phoques était encore plus grande. Il a ajouté que selon lui une vie humaine avait autant de valeur qu'une vie animale. Ses propose ont soulevé un tollé, autant parmi la communauté journalistique québécoise que parmi les habitants. Le journaliste à La Presse et blogueur sur Cyberpresse, Patrick Lagacé, a écrit : "Je vais toujours traiter de nono (ou pire) quelqu'un qui croit que la vie d'un homme vaut celle d'une bête à poil." Les lecteurs de Cyberpresse ont vivement réagi à son article, abondant majoritairement dans son sens. L'un des commentaires allait jusqu'à dire "Cette cause est la plus inutile, sur-médiatisée, vide et insipide qu'on puisse imaginer" tandis qu'un autre n'hésitait pas à déclarer : "Ces écologistes, au lieu de sauver des phoques dont les populations sont toujours plus grandes, devraient mettre leurs énergies à stopper l'abattage de baleines par les japonais pour des raisons supposément «scientifiques», ce qui est un vrai scandale." Dans un style moins sensationnaliste, l'écrivain et journaliste Jean-Robert Sansfaçon écrit aujourd'hui dans Le Devoir un article intitulé "Le fanatisme des animalistes". Si les propos sont modérés, la conclusion n'en reste pas moins la même : non, la chasse aux phoques n'est pas cruelle et le Canada n'est pas méchant ; oui, les défenseurs des animaux sont tous des fanatiques. La chasse aux phoques est un sujet tabou au Canada, et les débats deviennent vite émotifs. Il faudrait cependant réfléchir plus posément à cette question : de nos jours, la chasse aux phoques est-elle vraiment utile ? VOUS POUVEZ LAISSER VOS COMMENTAIRES http://www.lepost.fr/article/2008/04/05/1177343_chasse-aux-phoques-propos-controverses-de-paul-watson.html
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Nous devons nous mobiliser et intervenir, on se fait carrément lyncher sur la place publique Le fanatisme des animalistes Jean-Robert Sansfaçon Édition du samedi 05 et du dimanche 06 avril 2008 j-rsansfacon@ledevoir.com Les propos grossiers, signe d'une absence totale de jugement, de l'animaliste Paul Watson, fondateur de la Sea Shepherd Conservation Society (SSCS), ont mis le feu aux poudres dans la région atlantique. Plus tôt cette semaine, Watson a commenté les événements tragiques survenus aux îles de la Madeleine en lançant bêtement que «la mort de quatre chasseurs est une tragédie, mais le massacre de centaines de milliers de bébés phoques est une tragédie beaucoup plus grave». Hier, c'était au tour des pêcheurs de Saint-Pierre-et-Miquelon de réagir en sectionnant les amarres du Farley Mowat, le rafiot de l'organisation, accosté au port local. Solidaires des pêcheurs québécois, les voisins français ne mâchaient pas leurs mots pour exprimer leur dégoût. Cette année encore, la chasse aux phoques du Groenland suscite la critique partout où la propagande mensongère des militants, conçue pour recueillir des fonds davantage que pour protéger les bêtes, atteint sa cible. Le troupeau de phoques tourne autour de six millions de têtes alors qu'il ne dépassait pas les deux millions de têtes au début des années 70. Chaque année, le Canada autorise l'abattage de 350 000 bêtes. Loin de mener à l'hécatombe, cette politique est une excellente façon de ralentir et de contrôler l'évolution des troupeaux. Les deux arguments qui ont toujours fait du mal à la réputation des chasseurs, c'est la méthode d'abattage, perçue comme étant cruelle, et les images de blanchons tués alors qu'ils sortaient à peine du ventre de leur mère. Rappelons que dans le premier cas, une commission royale sur la chasse au phoque a conclu que l'abattage au gourdin pratiqué correctement n'était pas plus cruel, au contraire, que les méthodes utilisées dans les abattoirs commerciaux. Pour ce qui est des blanchons, les chasser est interdit depuis 20 ans. C'est pourtant toujours un blanchon aux grands yeux tristes qui accueille les visiteurs sur les sites Internet des groupes animalistes. Il y a beaucoup d'hypocrisie à refuser de voir un chasseur abattre un animal. Les humains sont des omnivores qui tuent depuis toujours pour se nourrir. Le poulet et l'agneau vendus déjà découpés et emballés sur papier-éponge destiné à absorber la dernière goutte de sang ont quand même été abattus par quelqu'un! Au moment d'écrire ces lignes, les gens des Îles se recueillent auprès des dépouilles de trois des quatre chasseurs morts en mer. La moindre des choses à laquelle on aurait pu s'attendre de la part de défenseurs de la vie, c'est qu'ils expriment leur sympathie à l'endroit des familles endeuillées. Le comportement inhumain d'un Paul Watson est à l'image du fanatisme qui l'anime, lui et ses disciples. *** Vos réactions http://www.ledevoir.com/2008/04/05/183746.html
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Cette fois-ci encore, il va trop loin et les gens croient durs comme fer les journalistes, j'ai écouté une ligne ouverte de minuit à 3 heures du matin, tous les intervenants étaient pour la chasse aux phoques, je vais revenir vous dire les faussetés lancées publiquement ) Ce n'est pas tant les propos de Lacagé qui m'écoeure, c'est que les gens sont tous du même avis aussi!
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LE VOICI, JE L'AI TROUVÉ, Accrochez-vous bien! Le samedi 05 avril 2008 J'aime la fourrure de phoque La Presse Jusqu'à cette semaine, je n'avais pas de sentiments particuliers quant à la chasse aux phoques. Ni pour ni contre, vraiment. Ni ému par ces petites bêtes, comme les Paul McCartney de ce monde. Ni scandalisé par les enflures verbales des militants qui voudraient me faire brailler devant le «sort» des phoques du Groenland en tirant les ficelles de la manipulation, qui sont grosses comme des amarres de bateau. Je me disaisque si les chasseurs veulent chasser, qu'ils chassent. Si les militants veulent militer, qu'ils militent. Combien, le score du Canadien à RDS, déjà? Cette époque d'apathie est finie, les amis. Finie depuis que des salopards se sont réjouis de la mort de quatre chasseurs des Îles-de-la-Madeleine, au large de la Nouvelle-Écosse. Finie depuis que certains crinqués, les éléments les plus extrémistes des environnementalistes, ont mis sur la même banquise hommes et bêtes. Sur le même pied, je veux dire. Ou la même patte, c'est selon. Tueurs de bébés Paul Watson, militant, animaliste, star médiatique, capitaine du Sea Shepherd, ami des célébrités et compagnon d'armes de Brigitte Bardot en a rajouté. Il a profité de la tragédie pour dire que oui, la mort de quatre pêcheurs était une tragédie, mais que celle des phoques, dans la saison de chasse, en est une plus grande encore (rien que ça). Que les chasseurs de phoques sont des tueurs de bébés. L'insulte «baby killers», il faut le dire, était balancée aux soldats américains revenant du Vietnam par les opposants à la guerre (méchant parallèle). Que l'impuissance, ce n'est pas de regarder un bateau qui coule en sachant que des camarades chasseurs en sont prisonniers; c'est d'être un phoque poursuivi par un chasseur qui va te tuer, sur la banquise (bonjour, le poids des mots). C'est en lisant les déclarations débiles de Paul Watson que j'ai décidé que j'aimais passionnément la fourrure de phoque. C'est motivé par Watson que j'ai trouvé le numéro de téléphone d'Odette Leblanc, aux Îles-de-la-Madeleine. «Allô, Mme Leblanc? Vous fabriquez des trucs en peau de phoque? - En loup marin, vous voulez dire? Oui, monsieur. Des chapeaux, des mocassins, des pantoufles, des porte-clés, des portefeuilles, des mitaines, des manteaux, des signets...» Elle fait ça depuis 17 ans. Fille et soeur de pêcheurs (le homard, au printemps) et de chasseurs (le phoque, l'hiver), Odette, 41 ans, a fait des études en mode à Québec. Où elle s'ennuyait terriblement, follement des Îles. Elle y est retournée sitôt son diplôme obtenu, comme on fuit un incendie, en courant. «Des pantoufles pour votre fils? Certainement, j'ai ça... - Vous me les envoyez par la poste ou quoi, Odette? - Eh ben, je suis à Montréal, ce soir. On pourrait se rencontrer à l'aéroport. Je m'en vais dans le Sud, à Cuba. Je dois attendre mon avion à Dorval, j'ai tout mon temps. - À Montréal-Trudeau, vous voulez dire?» Holocauste et génocide Traitez-moi de monstre si ça vous chante, mais pour moi, la vie d'un être humain vaut toujours plus que celle d'une bête. L'an dernier, quand j'ai écrit que le gavage des oies et des canards me laissait froid, j'ai reçu des courriels haineux, dans une prose que ne renieraient pas certains skinheads casseurs de Blacks. On évoquait le génocide des animaux, l'holocauste des bêtes qu'on tue pour nourrir les méchants hommes... Tiens, cette semaine, il y a eu une manif contre la chasse aux phoques. Devant l'ambassade du Canada, à Mexico. Au Mexique! Côté phoques, irréprochable, le Mexique. Où, je suis fier de vous le dire, on ne le chasse pas du tout, contrairement aux militants des droits de l'homme, aux journalistes et autres empêcheurs de danser en rond... Récemment, j'ai croisé François Parenteau, le chroniqueur de Voir, l'humoriste, le beau bonhomme des Zapartistes. On parlait justement de ces extrémistes du poil, de leurs lubies. C'était il y a un mois. Il m'a montré ses bottes, de superbes bottes en peau de phoque. Un geste politique, m'a-t-il dit. Une façon de dire à sa famille de gauche: «Je suis contre la guerre, mais pas végétarien ou contre le foie gras. Me prenez-vous quand même dans votre manif?» C'est lui qui m'a inspiré cet appel à Mme Odette Leblanc, de Pointe-aux-Loups. Enfin, pas toi, mais tes bottes, François... Intégristes du poil Je suis contre la cruauté envers les animaux. Tu fais souffrir une bête pour le plaisir, pour le sport? Ta place est sur le divan d'un psy. Lui-même pas loin d'une prison. L'ennui, avec les intégristes du poil comme Paul Watson, c'est la définition de la cruauté. Pour eux, même si vous tuez une poule de façon holistique, en lui donnant un massage pré-abattage, sous des lumières tamisées, vous demeurez Hitler, Pol Pot, Staline et peut-être même pire. C'est dire à quel point toute discussion est impossible. Mais c'est toujours comme ça avec les extrémistes. Question de pureté, ils ne discutent pas. Ils hurlent. Les talibans sont comme ça. Les tueurs de médecins avorteurs sont comme ça. Les FARC sont comme ça. My way or the highway. Crois ou meurs. Et les animalistes sont comme ça. Un peu rugueux Oui, le geste d'écraser le crâne d'un phoque est brutal. Et c'est ici que réside le malentendu. Brutal, c'est pas cruel. Brutal, c'est foudroyant, subit. Nuance. Mais depuis quand les extrémistes connaissent-ils ce mot-là? Bref, j'ai acheté pour 120$ de cossins en peau de phoque, jeudi soir, à Odette Leblanc, designer de mode des Îles-de-la-Madeleine. Des pantoufles pour l'héritier. Des barrettes pour filles. Et cinq porte-clés en fourrure. C'est un peu rugueux, la peau de phoque. Ah, j'oubliais. J'ai pris un des porte-clés, je l'ai déposé dans une enveloppe. Sur l'enveloppe, j'ai écrit: Sea Shepherd Conservation Society, P.O. Box 2616, Friday Harbor, WA 98 250 USA. Dans l'enveloppe, j'ai mis une petite note. J'ai écrit quatre mots: Phoque you, Paul Watson. http://www.cyberpresse.ca/article/20080405/CPOPINIONS05/804051072/6741/CPOPINIONS
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On va sûrement entendre très bientôt Raoul Jomphe en rajouter, il doit présentement se régaler et le gouvernement aussi! Tout ceci étais planifier depuis lomtemps: Voici une citation de Denis Longuépée dans cyberpresse, représentant de l'Association des chasseurs de phoques ou il décrit la position des siens face aux groupes contre la cruauté envers les animaux."Les chasseurs madelinots les ont appelés des «animalistes», puis des «abolitionnistes». Cette année, tous se sont passés le mot: les membres de ces groupes sont des «profiteurs»". http://www.cyberpresse.ca/article/20080330/CPACTUALITES/803300622/1019/CPACTUALITES Ce sont des aveux très graves, de la diffamation intentionnelle et de surcroît préméditée, donc planifier d'avance! Gardons précieusement cette information. Ils ont suivi à la lettre les recommandations du représentant des chasseurs de phoques, je ne comprends pas que les organisations américaines ou Europennes (ainsi que Paul Watson) ne se servent pas de ces propos pour prouver que "le mot d'ordre" était déjà programmé pour projecter l'image que les organismes sont des profiteurs et cela bien avant la mort des 4 chasseurs, à mon avis, on se serre très bien des propos controversés de Paul Waton pour crier leur slogan: DES PROFITEURS
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Malheureusement, Valou ta lettre n'apparaîtra pas, nous avons seulement une journée sur le blogue à Lagacé pour commenter l'article du jour, dès qu'il pond un autre sujet, nos commentaires ne s'affichent plus! Par contre à la fin de son torchon, il dit: Demain, dans le journal, j’écris sur Paul Watson et la chasse aux phoques, c’est décidé… Donc, le 05 avril, est-ce que quelqu'un a le journal du 05 avril pour vérifier.
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Au vinaigre! Le vendredi 04 avril 2008 Paul Watson: une vie de phoque vaut une vie humaine Daphnée Dion-Viens Le Soleil Québec Alors que les Îles-de-la-Madeleine s’apprêtent à enterrer leurs marins, la controverse entourant les propos Paul Watson prend de l’ampleur Vendredi, à Saint-Pierre-et-Miquelon, des pêcheurs en colère ont attaqué son bateau, chassant l’équipe militant contre la chasse aux phoques. De son côté, le capitaine Watson persiste et signe. En entrevue au Soleil, il va même jusqu’à accuser le ministre canadien des Pêches d’être responsable de la mort des quatre Madelinots. Paul Watson est président de la Sea Sheperd Conservation Society, une organisation qui milite contre la chasse aux phoques. Depuis des années, il suit les chasseurs sur la banquise pour dénoncer leurs activités. Depuis mercredi, son navire était amarré au port de Saint-Pierre dans les îles françaises au large de Terre-Neuve. Mais les récentes déclarations du militant – qui a affirmé que le massacre de milliers de phoques est une tragédie plus grave que la mort de quatre chasseurs madelinots – a mis le feu aux poudres. Une trentaine de pêcheurs, encouragés par plusieurs dizaines de personnes, ont coupé les amarres du bateau, le forçant à quitter les lieux. «On a fait ça en solidarité avec les chasseurs des îles, a expliqué le pêcheur Stéphane Poirier, joint par Le Soleil vendredi. On ne veut plus jamais le revoir ici.» Paul Watson, qui était à bord d’un avion en direction d’Halifax lorsque les événements se sont produits, était peu surpris de la réaction des pêcheurs. N’ayant aucune intention de s’excuser ou de cesser ses activités, il a répété ses propos controversés. À ses yeux, une vie de phoque vaut une vie humaine. «Toutes les espèces sont égales. C’est ce qu’on appelle la loi de la diversité. À ceux qui affirment que ce sont seulement des animaux, je leur réponds que nous sommes aussi des animaux. Nous le sommes tous.» M. Watson a par ailleurs accusé d’abord les chasseurs, ensuite le ministre des Pêches Loyola Hearn d’être responsable de la mort des quatre chasseurs. «Loyola Hearn essaie d’utiliser ce naufrage pour détourner l’attention de son incompétence. Il envoie ces hommes dans de petits bateaux faits de bois et d’aluminim dans les glaces, dans des conditions dangereuses, qui ne peuvent que mener à un accident (asking for an accident). Ces hommes sont morts parce que Pêches et Océans Canada veut tuer des phoques.» Recherches en mer Par ailleurs, les recherches se sont poursuivies vendredi pour retrouver le corps de Carl Aucoin, toujours porté disparu. Seuls deux des six chasseurs qui se trouvaient à bord de L’Acadien II ont survécu au naufrage de leur bateau, la fin de semaine dernière. Les funérailles des trois chasseurs qui ont perdu la vie se dérouleront samedi, aux Îles-de-la-Madeleine. http://www.cyberpresse.ca/article/20080404/CPSOLEIL/80404148/5019/CPSOLEIL
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Décès d'un enfant par malnutrition, les parents végétaliens mis en examen Un couple, adepte du régime végétalien qui proscrit tout aliment d'origine animale, a été mis en examen jeudi à Amiens et écroué pour "privation de soins ou d'aliments" après la mort de sa fillette de 11 mois, a-t-on appris de source judiciaire. Poursuivre la lecture: http://fr.news.yahoo.com/afp/20080403/tfr-enquete-maltraitance-enfant-deces-f56f567.html Les conneries qu'on va entendre maintenant
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Encore et encore! La mort de phoques plus tragique que celle de chasseurs, pour des militantsIl y a 1 heure MONTREAL (AFP) — Un groupe opposé à la chasse annuelle aux phoques dans l'est du Canada a jugé la mort de bébés phoques plus tragique que celle de quatre chasseurs canadiens, ce qui lui a valu vendredi de se faire chasser de Saint-Pierre-et-Miquelon par des pêcheurs français en colère. "La mort de quatre chasseurs est une tragédie mais le massacre de centaines de milliers de bébés phoques en est une beaucoup plus grande", a estimé la Sea Shepherd Society dans un communiqué. Ces propos ainsi que d'autres tenus par le fondateur du groupe, le Canadien Paul Watson, ont provoqué des réactions indignées au Canada, mais aussi dans l'archipel français de Saint-Pierre-et-Miquelon, où le navire de la Sea Shepherd, le Farley Mowat, était à quai. En signe de solidarité avec les pêcheurs-chasseurs de l'archipel québécois des îles-de-la-Madeleine, dont quatre ont trouvé la mort dans un accident en mer le week-end dernier, des pêcheurs de Saint-Pierre ont coupé les amarres du Farley Mowat vendredi matin, a constaté un correspondant de l'AFP. Le navire a quitté Saint-Pierre sous les jets de pierre des pêcheurs. "Ça a été un geste qui venait du coeur. Des bateaux comme ça ne méritent pas d'être attachés dans le port de Saint-Pierre (...), donc on a coupé les amarres à la hache", a déclaré un pêcheur de Saint-Pierre, Karl Beaupertuis à Radio-Canada. Les propos de Paul Watson ont indigné les habitants des Iles-de-la-Madeleine et amené la dirigeante du Parti vert canadien, Elizabeth May, à quitter son poste au sein du conseil consultatif de la Sea Shepherd. "Nous sommes contre la chasse aux phoques, mais (...) comparer la tragédie que constitue la mort des chasseurs avec la chasse aux phoques est inacceptable pour nous", a déclaré vendredi à l'AFP un porte-parole des Verts. Paul Watson avait notamment traité les chasseurs de "singes" armés "de gourdins" qui terrifient des "bébés phoques impuissants". "Ces tueurs sadiques (...) cherchent maintenant à obtenir la sympathie parce que certains d'entre eux sont morts alors qu'ils se livraient à une activité brutale, sauvage", avait-il ajouté. "Le pain et le beurre des (militants pour la protection des animaux) c'est de faire de la désinformation, de la propagande. C'est aussi leur façon de faire leurs campagnes de financement", a déclaré Joël Arseneau, maire des Iles-de-la-Madeleine, où les habitants rendaient vendredi un ultime hommage aux chasseurs, pendant que les recherches reprenaient en mer pour retrouver le corps d'un des quatre marins. Le ministre canadien des Pêches, Loyola Hearn, avait pour sa part indiqué jeudi que des poursuites judiciaires allaient être engagées contre la Sea Shepherd, dont le navire se serait approché trop près des chasseurs de phoques. La Sea Shepherd Society avait auparavant accusé la garde côtière canadienne d'avoir éperonné son bateau, dimanche dernier, ce qu'avait démenti le ministre des Pêches en accusant à son tour le Farley Mowat d'avoir délibérément tenté de provoquer un incident afin d'attirer l'attention des médias. La chasse commerciale aux phoques, qui s'était ouverte il y a une semaine dans le golfe du Saint-Laurent, est pratiquement interrompue pour le moment, les chasseurs ayant regagné les Iles-de-la-Madeleine après le décès de leurs confrères. Le Canada a autorisé cette année l'abattage de 275.000 phoques, un chiffre supérieur au quota de 270.000 fixé l'année précédente. Cette chasse donne régulièrement lieu à des affrontements, au moins verbaux, entre défenseurs des animaux et autorités ou chasseurs de phoques. Au fil des ans, Paul Watson, un ancien cofondateur de Greenpeace, a multiplié les coups d'éclats contre ce "massacre", ce qui lui avait valu d'être associé à la mouvance des groupes écologistes radicaux par le service canadien de renseignement. http://afp.google.com/article/ALeqM5j0IUnnR7ZNSVBbtXfZNSlqdqnM8w
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Les nouvelles preuves filmées de la cruauté de la chasse aux phoques Rédacteurs : Des fiches d'information, photos et une vidéo, ainsi qu'un reportage sur la chasse commerciale des phoques au Canada en 2008 sont disponibles via le site www.thenewsmarket.com/ifaw . OTTAWA, CANADA--(Marketwire - 4 avril 2008) - Alors que les représentants du gouvernement canadien poursuivent leur tour d'Europe afin de tenter d'enrayer une possible interdiction des produits de phoques au niveau de l'UE, IFAW (le Fonds international pour la protection des animaux - www.ifaw.org) a dévoilé de nouvelles preuves filmées réfutant les affirmations du gouvernement canadien selon lesquelles la chasse commerciale aux phoques du Canada était plus humaine. On voit notamment sur ces documents filmés cette semaine un phoque vivant crocheté et traîné à bord d'un bateau. Au même moment, la délégation canadienne en Europe se targue de ce que la chasse n'a jamais fait preuve d'autant d'humanité que cette année. "La cruauté dont nous avons été témoins au début de la semaine ne devrait être tolérée nulle part dans le monde," a déclaré Sheryl Fink, observatrice de la chasse et chargée de recherches auprès d'IFAW. "Une fois que les responsables canadiens auront vu ses preuves, il leur sera difficile de convaincre les Européens que cette chasse n'est rien d'autre qu'une pratique foncièrement inhumaine." Les preuves vidéo de la chasse aux phoques 2008 montrent clairement que les nouvelles conditions d'obtention du permis de chasse fixées par le gouvernement canadien ne sont pas respectées par les chasseurs. "Les pouvoirs publics canadiens peuvent donner toutes les interprétations qu'ils veulent en Europe, mais nos observations révèlent la vérité : aucune nouvelle condition d'obtention du permis n'améliorera l'humanité de cette chasse," souligne Robbie Marsland, Directeur d'IFAW Royaume-Uni. "Ce règlement est une mystification et la cruauté se poursuit." "Les conditions d'obtention du permis qui ont été tant vantées étaient visiblement destinées à convaincre les Européens que les choses s'étaient améliorées ici, au Canada. Nos vidéos montrent que les nouvelles conditions ne sont pas respectées et que le règlement n'est pas appliqué. La délégation canadienne en Europe aura du mal à expliquer cela," ajoute S.Fink. S.Fink a également déclaré qu'elle était "écoeurée" par l'insistance du gouvernement canadien qui amalgame la chasse commerciale aux phoques et la chasse pratiquée par les peuples aborigènes du Grand Nord canadien. "La chasse aux phoques pratiquée par les Inuits et la chasse commerciale des phoques sont deux chasses complètement différentes, visant des phoques différents, dans des lieux différents, à des moments différents de l'année," complète S.Fink. C'est une tentative éhontée de jouer avec les préoccupations des Européens vis-à-vis des populations aborigènes et de faire passer la chasse commerciale destinée à l'industrie de la fourrure qui se déroule au Sud, pour une chasse Inuit." Renseignements : IFAW Marie-France Lettre 613-241-3982 poste 225 613-355-3281 mlettre@ifaw.org http://www.marketwire.com/mw/release.do?id=840421&lang=F5
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Il poursuit sa croisade Patrick Lagacé Paul Watson, animaliste Pour Paul Watson, la vie d’un animal vaut celle d’un homme. Probablement qu’il considère aussi que la luzerne a une valeur aussi grande que l’homme et la bête. Animaliste ? Le terme est de Louis-Gilles Francoeur, du Devoir. Certains commentateurs, sur ce blogue, m’ont reproché d’avoir voulu discréditer les amis des animaux, en parlant des propos de Paul Watson. Mais non, j’ai seulement attaché le grelot à des propos extrémistes prononcés par un extrémiste, c’est tout. Vous aimez les animaux ? Vous voulez les défendre ? Fort bien. Je suis contre la cruauté envers les animaux. Mais la question est plus complexe que « J’aime les animaux, ne leur faites pas mal ». Je ne suis pas contre la chasse. Je ne suis pas contre la consommation de viande d’animal. Même de la viande de chien ! Je n’en mangerais pas. Mais si j’étais Asiatique, j’en mangerais peut-être. Je ne tuerais pas un phoque, mais je ne pense pas que les chasseurs sont cruels avec eux. Eh oui, le geste de lui briser le crâne est brutal. Mais ce n’est pas de la cruauté. Pas plus que tirer un orignal à la carabine. Et des fois, je le crains, l’orignal agonise plus longtemps qu’un phoque frappé par un gourdin… Je vous raconte ça mais je crois qu’il est impossible de parler de cruauté envers les animaux avec des végétariens… Vous voulez défendre les animaux ? Fort bien. Mais il faut garder un sens des perspectives. Je vais toujours traiter de nono (ou pire) quelqu’un qui croit que la vie d’un homme vaut celle d’une bête à poil. Et je vais toujours envoyer au diable quelqu’un qui fait un parallèle entre un génocide et la chasse ; entre l’Holocauste et le gavage des oies. Ne riez pas, j’ai reçu de ces courriels, il y a quelques mois. Demain, dans le journal, j’écris sur Paul Watson et la chasse aux phoques, c’est décidé… Vous désirez commenter cet article? Connectez-vous au Visa Cyberpresse. http://blogues.cyberpresse.ca/lagace/?p=70721090 4 commentaires
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Des accusations seront portées contre des opposants à la chasse aux phoques Il y a 17 heures SAINT-JEAN, T.-N.-L. — Le ministre des Pêches et des Océans, Loyola Hearn, a annoncé que des accusations seront portées après un incident impliquant le Farley Mowat, un navire d'opposants à la chasse aux phoques. Des chasseurs affirment que le navire s'est approché trop près d'eux au nord du Cap Breton le week-end dernier, même après avoir reçu un avertissement de la Garde côtière. M. Hearn a expliqué en entrevue radiophonique que le groupe d'activistes a enfreint une loi les obligeant à maintenir une distance précise entre les chasseurs et le bateau. M. Hearn a précisé que ces gens connaissent la loi et savent comment la contourner, mais que cette fois-ci, ils sont allés trop loin. Le président de la Sea Shepherd Conservation Society, Paul Watson, a nié les allégations voulant que le Farley Mowat se soit approché trop près du groupe de chasseurs et a affirmé que le Des Groseilliers, un brise-glace de la Garde côtière, a heurté son navire à deux reprises. La Garde côtière a protesté en disant que c'est plutôt le Des Groseilliers qui a été heurté deux fois par le Farley Mowat. Dans une déclaration émise la semaine dernière, le ministre Hearn a laissé entendre que le Farley Mowat tentait une provoquer une confrontation. Le Farley Mowat se trouve actuellement à Saint-Pierre-et-Miquelon, à l'extérieur des eaux canadiennes. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5j5o8pq2gJkJYOTmXgybM9zjprZkA