Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Caro18

Membres
  • Compteur de contenus

    1 810
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Caro18

  1. Caro18

    OTTAWA SAISI LE FARLEY MOWAT

    Pas une question embarrassante sera posée au ministre car on connaît nos journalistes et bien évidemment on ne laissera pas M Watson répliquer aux attaques du ministre!
  2. Caro18

    OTTAWA SAISI LE FARLEY MOWAT

    Pêches et Océans Canada: Le gouvernement se porte à la défense des chasseurs de phoques Le Farley Mowat se rapproche trop près d'un bateau utilisé pour la chasse au phoque. OTTAWA, ONTARIO--(Marketwire - 12 avril 2008) L'honorable Loyola Hearn, ministre des Pêches et des Océans, a fait la déclaration suivante aujourd'hui : "Le gouvernement du Canada a pris des mesures pour assurer la sécurité et le gagne-pain de chasseurs de phoques canadiens en arraisonnant et en saisissant le Farley Mowat, afin de procéder à l'arrestation de son capitaine et du capitaine en second pour violations présumées du Règlement sur les mammifères marins (RMM) du Canada. Ces mesures ont été prises conformément à la législation canadienne applicable aux pêches. "La sécurité et la protection des chasseurs de phoques demeurent la priorité du gouvernement et guident nos décisions. "L'intervention d'aujourd'hui fera en sorte que la chasse se déroule en toute sécurité et d'une manière ordonnée. Nous continuerons de protéger les chasseurs tout en veillant à la gestion d'une chasse durable et sans cruauté afin que les collectivités côtières du Canada puissent continuer à en retirer des avantages économiques dans les années à venir." Renseignements : Pêches et Océans Canada, Ottawa Phil Jenkins Relations avec les médias 613-990-7537 ou Pêches et Océans Canada, Ottawa Cabinet du ministre Joshua Zanin Adjoint spécial, Communications 613-266-5293
  3. Caro18

    OTTAWA SAISI LE FARLEY MOWAT

    Pêches et Océans Canada 12 avr. 2008 17h43 HEFiche d'information : Le gouvernement du Canada prend des mesures d'application de la loi contre le Farley Mowat OTTAWA, ONTARIO--(Marketwire - 12 avril 2008) - Le gouvernement du Canada a pris des mesures d'application de la loi contre le Farley Mowat au large de la côte ouest de Terre-Neuve, parce qu'il aurait enfreint la Loi sur les pêches. Le Farley Mowat a été arraisonné dans le golfe du Saint-Laurent à l'intérieur des eaux canadiennes par la Gendarmerie royale du Canada qui, avec la Garde côtière canadienne (GCC), apportait son soutien à Pêches et Océans Canada (MPO) dans cette opération. Cette intervention a été effectuée parce qu'il y aurait eu infraction au Règlement sur les mammifères marins le 30 mars, ce qui contrevient à la Loi sur les pêches. Le navire a été saisi par le MPO, et sera amené au port par la GCC. L'équipage du Farley Mowat a été transféré à bord du navire de la GCC Des Groseilliers, qui l'amènera au port. Le Farley Mowat avait été averti maintes fois qu'il devait sortir des limites des eaux canadiennes et rester au large de ces limites, mais il est revenu dans les eaux canadiennes le 10 avril 2008. Le ministre des Transports, l'honorable Lawrence Canon, a ensuite donné comme instruction au Farley Mowat, en vertu des dispositions de la Loi sur la sûreté du transport maritime, de se rendre immédiatement au quai du port de Sydney, en Nouvelle-Ecosse. Le navire ne s'est pas conformé à cet ordre. Le Farley Mowat est sous la garde du MPO jusqu'à ce qu'une ordonnance du tribunal demande que le navire soit relâché une fois que sera donnée une garantie raisonnable. Transports Canada et les autorités d'application de la loi inspecteront le navire afin de veiller à ce que le bâtiment et ses membres d'équipage ne présentent aucune menace à la sécurité. Le gouvernement du Canada continue de surveiller la situation et de faire sa part pour veiller à ce que la chasse aux phoques de 2008 se déroule en toute sécurité. Sa priorité est de protéger les activités légitimes de chasse aux phoques en assurant la sécurité des participants, parmi eux les chasseurs, les observateurs autorisés et les agents d'application de la loi. FICHE D'INFORMATION Chronologie des événements - 20 mars 2008 - Transport Canada donne au Farley Mowat la consigne de ne pas pénétrer dans les eaux canadiennes avant de s'être conformé aux conventions internationales de sécurité maritime (arrêté du ministère). 24 mars 2008 - Le Farley Mowat quitte les Bermudes. 28 mars 2008 - Le navire atteint la zone économique exclusive du Canada. Transports Canada (TC) tente d'entrer en communication avec le navire, mais ne reçoit aucune réponse. 29 mars 2008 - Les autorités canadiennes tentent d'entrer en contact avec le Farley Mowat au sud de l'île Saint-Paul, en vain. Le ministère des Affaires étrangères et du Commerce international envoie une note diplomatique aux Pays-Bas dans le but de demander leur collaboration en vue de prévenir toute activité illégale par le capitaine et l'équipage du Farley Mowat, qui navigue sous pavillon néerlandais. 30 mars 2008 - Le Farley Mowat entreprend des activités de protestation : il se serait approché de navires des chasseurs à une distance d'environ 20 pieds. Les navires canadiens se plaignent du fait que le Farley Mowat est dangereusement près et qu'il les menace. Le Farley Mowat est avisé par le navire de la Garde côtière canadienne, le Des Groseilliers, que ses agissements contreviennent au Règlement sur les mammifères marins, en vertu de la Loi sur les pêches. Le Farley Mowat force deux collisions avec le navire de la Garde côtière Des Groseilliers à environ 28 milles à l'est d'Ingonish, au cap Breton. 2 avril 2008 - Le Farley Mowat se met à quai aux îles Saint-Pierre-et-Miquelon, qui appartiennent à la France. 4 avril 2008 - Le Farley Mowat quitte Saint-Pierre-et-Miquelon après que des pêcheurs locaux ont coupé ses amarres et lancé des pierres aux membres de l'équipage. 5 avril 2008 - Le capitaine du Farley Mowat ainsi que le capitaine en second sont accusés d'avoir enfreint le Règlement sur les mammifères marins en vertu de la Loi sur les pêches, car ils se seraient risqués à s'approcher trop près des chasseurs de phoques le 30 mars. Des accusations sont également portées contre le capitaine pour entrave en vertu de la Loi sur les pêches. 9 avril 2008 - Le Farley Mowat entre dans les eaux canadiennes. Transport Canada donne au navire la consigne de partir et de se tenir à l'extérieur des limites des eaux canadiennes, à cause de préoccupations quant à la sécurité (orientation du ministère). Le Farley Mowat s'approche des chasseurs, mais à pas plus d'un demi-mille nautique lorsqu'il reçoit des avertissements de Pêches et Océans Canada. 10 avril 2008 - Les autorités canadiennes prennent note du fait que le Farley Mowat a fait une incursion à l'intérieur de la limite territoriale de 12 milles nautiques. Une instruction du ministre des Transports ordonnant au Farley Mowat de se rendre à Sydney, en Nouvelle-Ecosse, est transmise au navire par les Services de communication et de trafic maritimes de la Garde côtière canadienne. Une copie papier est également transmise par télécopieur au bureau international de la Sea Shepherd Conservation Society dont le siège est à Washington D.C. Le Farley Mowat n'a pas verbalement accusé réception de l'instruction du ministre des Transports, et ne s'est pas non plus dirigé vers Sydney. 11 avril 2008 - Le Farley Mowat se serait approché à environ 300 pieds d'un navire de chasseurs, ce qui contrevient au Règlement sur les mammifères marins. 12 avril 2008 - Le gouvernement du Canada prend des mesures pour assurer la sécurité et le gagne-pain de chasseurs de phoques canadiens en arraisonnant et en saisissant le Farley Mowat, afin de procéder à l'arrestation de son capitaine et du capitaine en second pour violations présumées du Règlement sur les mammifères marins (RMM) du Canada. Ces mesures sont prises conformément à la législation canadienne applicable aux pêches. Renseignements : Pêches et Océans Canada, Ottawa Phil Jenkins Relations avec les médias 613-990-7537 ou Pêches et Océans Canada, Ottawa Cabinet du ministre Joshua Zanin Adjoint spécial, Communications 613-266-5293 http://www.marketwire.com/mw/release.do?id=843113&lang=F5
  4. Sa lettre n'est toujours pas publiée
  5. Oui, j'ai pu voir sur les photos Aux manifs il va falloir apporter dès maintenant des dépliants pour informer les manifestants!
  6. À lire les articles et les commentaires c'est à se demander si les défenseurs des animaux ( ne sont en réalité) qu'une petite poignée de rien au Québec, c'est toujours les mêmes qui interviennent, où est la relève Ce n'est pas très très encourageant pour l'avenir, c'est de pire en pire, le silence des opposants me fait terriblement peur car les pro-chasses se croiront en "contrôle" et en "majorité" et comme on le sait, les gens sont des suiveurs... des moutons!
  7. Les écoterroristes: des impatients marginaux et anti-humanistes Québec -- Les propos du fondateur de la Sea Shepherd Society, Paul Watson, selon qui la vie des phoques aurait plus de valeur que celle des pêcheurs des îles de la Madeleine, ont braqué les projecteurs sur des marges relativement peu connues du mouvement vert. Ces franges sont constituées d'«impatients» qui ne font pas que discuter de la possibilité, un jour, d'instaurer une société verte autoritaire ou démocratique mais qui optent pour l'action directe. «La mort de quatre chasseurs est une tragédie, mais le massacre de centaines de milliers de bébés phoques est beaucoup plus grave», ont affirmé ceux qui tentent par tous les moyens d'entraver la chasse aux phoques ou la pêche à la morue, notamment. Il y a de ces impatients dans toutes les mouvances, «qu'elles soient nationalistes, indépendantistes, d'extrême gauche», dit l'écologiste Steven Guilbeault. Mais au sein du mouvement écologiste, «celle-ci est extrêmement marginale», insiste-t-il. En fait, nombreux sont ceux qui refusent de les qualifier d'écologistes et qui préfèrent le terme «animalistes» pour les désigner, à l'instar de notre collègue Louis-Gilles Francoeur. Le journaliste souligne qu'aucun groupe écologiste au Canada ne reconnaît la Sea Shepherd Society comme faisant partie du mouvement. «M. Watson se présente souvent comme un fondateur de Greenpeace. Il omet toujours de dire qu'il s'est fait montrer la porte», insiste M. Guilbeault. Hubert Reeves n'hésite pas lui non plus à dénoncer Watson et à y voir les errements d'une écologie profonde (deep ecology). Il y a certes quelque chose à dire contre la cruauté envers les animaux dans les abattoirs ou dans la pratique de la chasse, mais cette façon d'intervenir est «ridicule» et totalement «improductive», à ses yeux. D'autres groupes, comme l'Earth Liberation Front, font dans l'action directe verte. Début mars, trois grandes maisons ont été brûlées en banlieue de Seattle. Sur les lieux, les policiers ont trouvé une affiche disant que ces demeures n'étaient pas «vertes», contrairement à ce que le promoteur affirmait. Elle était signée par l'ELF. Le philosophe américain de l'écologie sociale Murray Bookchin voyait dans ce type d'intervention une écologie «anti-humaniste» qui se trompait sur la cause de la crise environnementale. Il condamnait d'ailleurs les membres d'Earth First, spécialistes du monkeywrenching, une forme de sabotage destinée à nuire aux industries forestières, notamment. Il leur reprochait de lancer l'incroyable slogan «Down with human beings!» («À bas les êtres humains») lors de leurs rassemblements. Dans Une société à refaire (Écosociété), Bookchin raconte avoir été insulté lors d'une exposition sur l'environnement, dans les années 80: au-dessus d'un grand miroir, on avait écrit: «Voilà la cause des problèmes environnementaux». Cette façon de montrer du doigt les êtres humains faisait l'impasse, selon lui, sur les causes sociales et politiques de ces mêmes problèmes. Vos réactions http://www.ledevoir.com/2008/04/12/184768.html
  8. Vive le Québec! Massacre canin chez les Inuits: une enquête établira la responsabilité de la GRC Il y a 6 heures MONTREAL — Des associations inuites et le gouvernement du Québec entreprendront une enquête afin d'établir si des agents de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) ont, dans les années 50 et 60, massacré des milliers de chiens de traîneau. Des anciens du Nunavik affirment que les policiers ont agi ainsi afin de détruire le mode de vie traditionnel des populations autochtones. Il y a deux ans, une enquête de la GRC avait conclu qu'il n'y avait pas eu de massacre canin, mais que les animaux avaient été éliminés pour des raisons sanitaires et humanitaires. Une porte-parole de la GRC a déclaré vendredi qu'il n'y avait jamais eu de directive gouvernementale enjoignant les officiers de police à massacrer les chiens. Toutefois, de nombreuses organisations inuites refusent d'adhérer à cette conclusion. Elles estiment que l'enquête de la GRC est incomplète, car les enquêteurs n'ont interrogé que huit Inuits. La société de développement Makivik a, par exemple, recueilli des centaines de témoignages selon lesquels près de 20 000 chiens de traîneau avaient été tués. Pour les témoins, l'intention était clairement de priver les Inuits de leur principal moyen de transport et de communication afin de les confiner dans des villages où ils seraient plus facilement contrôlables. L'an dernier, l'association inuite Qikiqtani a mis en place une commission de vérité afin de faire la lumière sur cette affaire. Elle achèvera cette année ses investigations sur le terrain. Pita Atami, de la société de développement Makivik, a précisé que le Québec avait accepté de payer la moitié du coût des recherches dans le Nunavik dont le montant total se situerait entre 300 000 et 600 000 $. Les recherches seront menées par le juge à la retraite Jean-Jacques Croteau. M. Croteau se rendra dans plusieurs villages du Nunavik et remettra les conclusions de son rapport d'ici trois à six mois. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5hlRYAusuFz1ZAQjYLOY0UDQGhzKg
  9. Écrivez au Parti Libéral info@liberal.ca pour manifester votre mécontentement et envoyer une copie au ministre Russell.T@parl.gc.ca C'est pour l'instant la seule façon de montrer notre opposition.
  10. Caro18

    Des animalistes se réjouissent ...

    Oui, tout comme Lagacé, attendons de voir les réactions!
  11. Caro18

    Des animalistes se réjouissent ...

    Oui, peut-être, mais ce qu'il dit est trop grave pour ne pas intervenir!
  12. AFFREUX! La goutte qui fait déborder le vase! Je ferme l'ordinateur, je suis trop découragé de constater à quel point les Québécois se foutent des animaux comme si c'était de la MERDE La pauvre bête venait tout juste d'arriver
  13. LIBÉRAL Circonscription : Labrador Courriel : Russell.T@parl.gc.ca Bureau de circonscription : PO Box 242, Lanse Au Loup, NL A0K 3L0 (709) 927-5210 Bureau à Ottawa : House of Commons Ottawa, ON (613) 996-4630 Parti libéral du Canada 81, rue Metcalfe, bureau 400 Ottawa (Ontario) K1P 6M8 Téléphone : (613) 237-0740 Télécopieur : (613) 235-7208 Courriel : info@liberal.ca Parti libéral du Canada (Québec) 110 Cremazie West., Suite 422 Montréal, QC H2P 1B9 Téléphone : (514) 381-8888 Sans frais : (800) 361-8839 Télécopieur : (514) 381-1515 http://www.plcq.ca
  14. Honteux et scandaleux! ça prouve que n'importe quel imbécile peut participer à cette chasse sans aucune formation requise, on émet aussi des permis à n'importe qui, et on ne nous répète que cette chasse ce fait dans les règles de l'art! Maudit que je suis écoeurée de nos dirigeants.
  15. 10 avril 2008 Hermann Nitsch : les portes de l’interdit Équarrissages d’animaux, éviscérations, “communion” des officiants à l’aide des onctions sanglantes, piétinements, manipulations de viscères, de cervelle ou encore d’excréments … Hermann Nitsch et son “Théâtre des orgies et des mystères” nous invite à une descente crépusculaire pour une renaissance, “une aurore nouvelle”… Fondateur de l’Actionnisme viennois dans les années soixante, il n’a eu de cesse -malgré ses détracteurs et son emprisonnement pour outrage à la pudeur- d’”aller au bout”, de révéler au travers d’expériences cathartiques, la part maudite de l’homme. Dans le paysage vallonné de la Basse-Autriche, à l’entrée du village de Prinzendorf, un long mur de pierres contient le secret : le Château médiéval de Nitsch. Sous les combles sont exposées ses séries de tableaux où se mêlent le sang et la peinture. A l’étage, l’atelier de “l’ogre” (il ressemble à Barbe Bleu) où une paire de sabots couverts de peinture et de sang mêlés vous accueillent. C’est dans ce lieu imposant que Nitsch réalise depuis 1971 ses “cérémonies”. Il a installé, dans la chapelle du Château, un autel blanc dévolu à ses dieux de sang et de chair, sur lequel reposent des linges ensanglantés, des ciboires, des calices, des crucifix, mais aussi tout un matériel pharmaceutique, de la gaze à la seringue : les icônes d’une violence fondatrice. L’art contemporain ne devient-il pas de plus en plus violent ? Hermann Nitsch : La violence a toujours été au coeur de l’art. La Bible, l’Ancien et le Nouveau Testaments, la Passion de Jésus, Homère, les tragédies grecques … Il n’y a pas de tragédie sans violence et sans cruauté. La violence fait partie de la vie. Elle est dans la nature. Elle est nécessaire. Votre démarche ne relève-t-elle pas d’une forme de sadisme ? Hermann Nitsch : Mon Théâtre permet le réveil des nerfs, sollicite tous les sens du système nerveux. L’action poussée à bout, voilà ce qui définit mon théâtre. Il ne s’agit pas de pratiques sadiques. Ces mises en scènes convulsives et brutales ont pour but de raviver l’entendement. Le corps et l’âme sont indissolublement liés, la connaissance de l’un se fait par l’autre. Exorcisme et spectacle total. Pour se libérer de l’aliénation, une catharsis, une libération des énergies et des forces est nécessaire. Un sentiment d’inquiétude domine… Hermann Nitsch : Précisément, ce sont des tentatives inquiétantes, au sens étymologique, c’est-à-dire “pourvoyeuse d’interrogations”. Il s’agit de produire des formes, de structurer un chaos, d’exprimer une force en actes. Ces mises en scène visent au surgissement d’une volonté de jouissance. Le monde nocturne avec lequel je joue appelle des aurores qui n’ont pas encore lui. Comment est né le”Théâtre des orgies et des mystères” ? Hermann Nitsch : Quand j’ai commencé aux États Unis mes actions, j’ai eu un grand succès. La critique faisait référence à Antonin Artaud et son “théâtre de la cruauté”. A l’époque, je n’avais jamais lu Artaud. C’est aujourd’hui un frère pour moi. Nos origines sont toutefois différentes. Lui est imprégné des surréalistes, du Marquis de Sade, de Baudelaire et Rimbaud. Moi je viens de Nietzsche, de Freud, de Jung. Le théâtre, mélange de faux et de vrai, est le lieu privilégié pour l’avènement de l’énergie - une énergie qui vient du subconscient et, plus profondément encore, une énergie de la terre, de la nature - qui doit présider à une renaissance. J’aime les corps, j’aime les sens. Je ne crois pas à la séparation du corps et de l’esprit comme nous l’enseigne le christianisme. Dans la nature, tout se reproduit, tout se mêle. Il n’y a pas de matériel détaché du spirituel. C’est une même énergie, phénoménale. Mon travail est une grande fête de joie : la joie d’être là. Mon travail aime et célèbre la vie. Il respecte la mort car elle appartient à la vie. Mon travail n’est pas seulement caractérisé par la violence. Il y a une dimension esthétique. Une beauté comme dans la tragédie ou la musique de Bach. La douleur et la cruauté peuvent être très belles. Poursuivre la lecture: http://virginieluc.blog.lemonde.fr/2008/04/10/hermann-nitsch-les-portes-de-linterdit/
  16. Pas de SPCA : Question environnementale des chats laissés-pour-compte à 00h00 le 11 avril 2008 Marie-France Émond Avec le printemps qui se pointe, la question des chats errants réapparaît avec tous ses aspects environnementaux. Condamnés à lutter pour survivre et pourtant se multipliant à une vitesse effarante, ces chats remettent en question la responsabilité publique dans la conservation et la protection de l'environnement. Fait troublant, aucune Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) n'existe dans la région d'Edmundston. Selon les statistiques, le chat est l'animal de compagnie le plus convoité. Il inspire le respect et parfois une crainte subtile, notamment en raison de ses griffes et aussi de son caractère indépendant. Particulièrement résistant, on lui confère neuf vies, mais également une aura de mystère en raison de sa facilité de se déplacer la nuit. Bon nombre de chats errants réapparaissent au printemps comme des miraculés de l'hiver qui se cachent aux pourtours des villes et dans les vieux bâtiments de campagne. Plutôt que de les nourrir, sous prétexte de les empêcher de se propager, ils sont abandonnés à un sort cruel : affamés et malades. Selon Marie-Andrée Roy, de l'Hôpital vétérinaire à Saint-Jacques, il n'existe pas de personnel désigné pour la capture des chats en région, contrairement à la Ville d'Edmundston qui pourvoit à ce service. «J'ai beaucoup de sympathie pour ceux qui empruntent des cages afin de nettoyer leur secteur de chats abandonnés et qui nous les ramènent pour les faire endormir», affirme-t-elle. Selon cette vétérinaire, prendre soin de nos animaux de compagnie est une responsabilité publique. Évidemment, elle trouve regrettable l'absence de SPCA dans la région. À sa connaissance, deux tentatives ont été faites pour instaurer le programme dans la région qui s'est soldée par des échecs. «Une SPCA requiert plusieurs associations, beaucoup de bénévoles, de l'argent et beaucoup de passion», ajoute Marie-Andrée Roy. Pour sa part, le vétérinaire Gérard Rioux de Saint-Basile, qui a pratiqué pendant 50 ans, fait référence à quatre tentatives, pour ouvrir une société protectrice des animaux, à Saint-Basile et à Edmundston. «Les élus municipaux croyaient que c'était une source de dépenses pour la ville. Toutefois en 1984, nous avions reçu une bonne collaboration avec CJEM. Finalement, le projet a été abandonné», relate M. Giroux. Persuadé de la nécessité de soins adéquats pour les chats, dont la stérilisation, la vaccination et l'ablation des griffes, le vétérinaire relate des expériences convaincantes. Il rapporte qu'au début de sa carrière, un de ses collègues avait sombré dans le coma pendant trois mois après avoir été victime d'une morsure de chat. M. Giroux cite aussi ce cas qui résulte du contact humain avec des larves de vers d'un chat non traité. Les conséquences de la prolifération des chats errants sont sérieuses pour l'environnement. Les chiffres suivants sont à considérer. Un mâle et une femelle se reproduiront en moyenne deux fois par année en raison de six chatons chaque fois : 12 chats par année, dont 6 couples. Si on répète ce calcul, au bout de cinq ans on se retrouvera avec 15 552 chats. Autres facteurs aggravants sont le bruit occasionné la nuit par des chats qui se chamaillent ou en train de s'accoupler, ou encore le marquage urinaire et les dégâts laissés autour des sacs de poubelles. Une maladie comme la rage est transmissible aux humains et peut être transmise par un chat. Des soins immédiats sont requis pour la victime. Par contre, l'animal ne doit pas être tué afin de pouvoir établir un diagnostic. Les parasites contractés comme la teigne, les puces ou la gale peuvent trouver des solutions simples par la propreté, l'isolation de l'animal et le recours à un vétérinaire. http://www.lemadawaska.ca/culture/article/264012;culture
  17. Caro18

    SPCA

    SPCA 100 $ en trois ans Mise à jour le vendredi 11 avril 2008, 11 h 26 . La société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) de Val-d'Or a reçu une maigre somme de 100 $ depuis son affiliation avec la SPCA de Montréal, il y a trois ans. En effet, bien que l'organisme montréalais poste régulièrement des formulaires de dons dans les résidences de la région, l'argent amassé retourne vers la métropole. Du moins, c'est ce qu'affirme le président du conseil d'administration de la SPCA de Val-d'Or, Daniel Dupuis. Ce dernier réprouve le mode de gestion de l'organisme. La SPCA, dit-il, devrait remettre une partie des dons qu'elle recueille dans la région lors de ses campagnes de souscription. « On rencontre fréquemment du monde qui pense avoir fourni à la SPCA de Val-d'or, mais c'est à la SPCA de Montréal que l'argent atterrit. C'est sûr que c'est légal, mais on trouve ça un petit peu immoral », déplore-t-il. La SPCA de Val-d'Or subsiste donc grâce aux contributions des propriétaires d'animaux de la région. En effet, la Ville oblige les citoyens à enregistrer leurs animaux. L'argent de ces licences constitue d'ailleurs 40 % des revenus de l'organisme. L'an passé, la SPCA de Val-d'Or a reçu 1 850 animaux. Près de 800 d'entre eux étaient des bêtes errantes. http://www.radio-canada.ca/regions/abitibi/2008/04/11/002-SPCA_Val_dOr.shtml
  18. Caro18

    Les couches

    Quelques faits intéressants • Au Québec, nous disposons de 600 millions de couches jetables par année, ce qui correspond à 60 000 tonnes de déchets annuellement. • Entre 5 000 et 7 000 couches sont nécessaires pour rendre un enfant propre, soit près d'une tonne par enfant. • Un milliard d'arbres sont abattus annuellement dans le monde pour la fabrication des couches jetables. • Une couche jetable, portée quelques heures seulement, met entre 300 et 500 ans à se décomposer comparativement à 6 mois pour une couche lavable. À lire Sans couches, c'est la liberté!, d'Ingrid Bauer, éditions L'instant Présent À consulter www.couche-bebe.org/environnement/couches-lavables-couches-jetables.html http://espaceparents.canoe.ca/maternite/nouveaux-parents/2008/04/08/5229191-jdm.html Source:
  19. Le Devoir http://www.ledevoir.com/2008/04/05/183746.html
  20. Éditorial: Chien égal à l'homme ?à 00h00 le 11 avril 2008 par Jacques A. Ouellette - L'Hebdo Chaleur (Rédacteur en chef) nouvelles@hebdochaleur.ca Nous cherchons souvent à savoir ce que vaut vraiment un humain. Des rapports scientifiques prétendent que nous descendons du singe. Quoi qu'il en soit, tous ont un peu d'animal dans la peau. Il a déjà été dit que les êtres vivants les plus dangereux n'étaient pas nécessairement les animaux les plus sauvages. Il est plus prudent de se promener en pleine forêt sauvage la nuit que dans une ruelle d'une grande métropole. Il y a une autre question existentielle qu'on doit se poser. Le chien, meilleur ami de l'homme, ne serait-il pas en train de devenir son…égal ? Vous êtes surpris ? Voici ! Les failles du système de la santé sont en train de nous exploser en pleine face. Le gouvernement du Nouveau-Brunswick, selon plusieurs, est en train de nous faire reculer…loin en arrière, avec sa nouvelle réforme de la santé. Posez-vous cette question. Lorsque votre animal domestique - pour ceux qui en ont - éprouve un problème de santé, il vous suffit d'appeler le vétérinaire et, s'il s'agit d'un cas de vie ou de mort, on va le soigner immédiatement - avec des coûts, bien sûr. Et que dire de cette affirmation : «J'aime trop mon animal domestique pour le laisser souffrir, je le fais euthanasier ?» Nous devons nous demander si le système de santé de l'humain n'a pas beaucoup de retard sur le système de santé qu'on offre à nos animaux de compagnie. Voici un autre exemple que les humains ne sont pas mieux traités que des animaux. Au Canada, lorsqu'on veut éloigner un chien errant à venir déposer ses matières fécales sur sa pelouse, on utilise un système sonore qui va l'incommoder et l'éloigner. En Europe, on utilise un système semblable pour éloigner…de jeunes adultes. On l'appelle l'appareil à ultra-son qui émet un bruit acuité, audible seulement par les moins de 25 ans. L'ouïe des plus âgés étant affaiblie, ils ne sont pas dérangés par le son. C'est ainsi qu'on réussit à éloigner les flâneurs des lieux publics et de s'en débarrasser. Faut-il avoir peur de ces revirements ou doit-on craindre de devenir un jour la planète des singes où des animaux vont dominer ? Nous n'avons pas besoin d'attendre au prochain millénaire pour voir ces changements. C'est déjà le cas. Dans sa quête du confort et de la dominance, l'humain est déjà dominé par l'animal par son propre désir de lui offrir le confort parfait et de le rendre plus intelligent. Quand on entend les propos de ce défenseur des phoques qui dit que de perdre quatre vies humaines n'a pas plus d'importance que les phoques qui sont tués pendant l'année, nous devons nous demander où ces propos vont conduire l'humain : sûrement pas vers un avenir meilleur. Au contraire pauvre tache Lorsque les humains arrivent à vouloir éloigner leurs frères, leurs enfants, leur futur, il faut se questionner sérieusement. Même à Bathurst, on voit régulièrement des annonces d'appartements à louer sans enfants ni animaux. Même si la Terre était occupée par une seule personne, cette personne voudrait détruire tout ce qui vit pour éviter de se sentir menacée. C'est ainsi depuis le début des temps et il en sera ainsi jusqu'à la fin des temps. Il ne faut pas pleurer sur notre sort. Il faut plutôt se consoler en se disant qu'il pourrait y avoir pire. Pour être seul à dominer, l'humain a inventé la guerre. Quand on en arrive à inventer des dispositifs technologiques pour éloigner ses semblables, ça va mal. Ces personnes qui dérangent vont bientôt dominer l'existence. Qu'en sera-t-il alors ? Que faut-il penser en se disant que ces enfants, à qui nous avons tout enseigné, ne devraient pas être là où ils sont et qu'ils n'ont pas leur place. Pensons-y ! Qu'en sera-t-il le jour où nous verrons un dispositif dans un de nos lieux publics - région Chaleur - qui possède un mécanisme à ultra-son pour éloigner votre enfant comme on le fait avec un chien. Est-ce seulement à ce moment que nous allons comprendre que notre enfant est traité comme un chien l'est ? Et en 2008, on se demande pourquoi moins de Canadiens veulent des enfants. La majorité des gens qui possèdent des animaux domestiques les comparent à un enfant. Croyez-vous toujours qu'il est faux de prétendre que le chien est égal à l'homme ? Bonne réflexion ! Il faudrait envoyer des vidéos de cruauté à ce teton. http://www.hebdochaleur.ca/actualite/article/264165;actualite
  21. Caro18

    S-203

    De : Layton, Jack - M.P. (Layton.J@parl.gc.ca) Envoyé : 10 avril 2008 21:30:11 The NDP votes to protect animals from cruelty‏ I am contacting you further to your earlier email urging opposition toBill S-203, An Act to amend the Criminal Code (cruelty to animals). Regrettably, Bill S-203 passed with a large majority--made possible withthe combined votes of Conservative, Liberal, and Bloc MPs. NDP MPs voted against this legislation and share the deep disappointment of all who fought hard against S-203. The Canadian Federation of Humane Societies (CFHS), International Fund for Animal Welfare (IFAW) and WorldSociety for the Protection of Animals (WSPA) are encouraging the fight to continue. Their joint website encourages individuals to hold your MP Accountable! You can take action by letting those who supported S-203 know of your dissatisfaction with their vote. http://www.dontbecruel.org/ Please be assured that the NDP will continue to push for meaningful legislation to provide real protection for animals. The abuse of any vulnerable creature, human or otherwise, is something that we should all take seriously. I look forward to working together for the effective legislation we need to stop animal cruelty. All the best, Jack Layton, MP (Toronto-Danforth) Leader, Canada's New Democrats To catch up on recent news and issues, please visit http://www.ndp.ca or subscribe to our e-mail bulletin, e-NDP, at subscribe@ndp.ca
  22. Cette année, le gouvernement canadien a promis une chasse plus humaine. Il a dit que « la chasse aux phoques du Canada était humaine, durable et responsable ». Il a menti. Grâce à votre soutien, les observateurs de la chasse d’IFAW ont pu se rendre sur le terrain et dans les airs pour documenter la chasse depuis son ouverture le 28 mars. Quelques jours à peine s’étaient écoulés qu’ils avaient déjà filmé des images montrant que des animaux avaient été frappés et visiblement abandonnés à leur souffrance sur la glace … et dans un cas pendant plus d’une minute. Les observateurs ont vu des phoques vivants se faire crocheter et traîner sur la glace. Et dans l’un des moments les plus troublantes, ils ont observé un chasseur de phoques qui écrivait un juron FUCK YOU ( avec le sang d'un phoque ) sur la glace pendant qu’un autre phoque venant tout juste de se faire frapper derrière lui commençait à bouger, visiblement toujours vivant. L’observation et la documentation la chasse n’est pas un travail facile. Il faut patrouiller anxieusement pendant des heures la région du golfe, à la recherche de bateaux de chasse, parce que le ministère des Pêches et des Océans ne publie pas les coordonnées précises de l’endroit où a lieu la chasse. Cela signifie qu’il faut regarder des heures de séquences d’images pour nous assurer que nous documentons chaque violation que nous avons filmée. Mais sans ces films, le monde n’aurait aucune idée du genre de cruauté qui a réellement lieu. Visitez le blogue sur les phoques aujourd’hui http://www.stopthesealhunt.ca/site/c.jhKSIZPzEmE/b.2628559/k.8641/Seal_Hunt_Blog.htm?msource=DR080303001 pour lire les dernières page du journal des surveillants de la chasse d’IFAW.Regardez les dernières images de la scène de chasse et écoutez les surveillants d’IFAW décrire dans leurs propres mots la cruauté qu’ils sont en train de documenter en direct. http://blog.stopthesealhunt.com/ Le gouvernement canadien continuera d’essayer de justifier la chasse aux phoques, tant au Canada qu’ailleurs. Mais peu importe à quel point la vérité est déformée, il ne peut changer le fait que la chasse aux phoques est terriblement cruelle et non nécessaire. Joignez nous à nous pour élargir la communité mondiale de militants nécessaires pour mettre un fin au massacre. http://www.stopthesealhunt.ca/site/c.jhKSIZPzEmE/b.2608005/k.A83/Help_Promote_StoptheSealHuntcom_Online.htm?msource=DR080303001 P.S. Allez sur le site www.stoppezlachasseauphoque.ca aujourd’hui pour les dernières nouvelles en provenance de la glace et pour passer à l’action pour défendre les phoques.
  23. More training needed for sealers: vet Rien dans les journaux francophone New rules adopted by the Department of Fisheries and Oceans to ensure seals are killed humanely should be accompanied by better training for sealers, says a member of the veterinary panel that looked into the issue. A group of nine veterinarians from Canada, the U.S. and Europe met in August 2005 to look at ways to minimize or eliminate suffering of animals during the seal hunt. One of the recommendations was a three-step process for killing, including bleeding the animal after it has been clubbed or shot. Dr. Pierre Yves Daoust of Charlottetown's Atlantic Veterinary College, a member of the panel, said he's pleased this practice was adopted, but added training in the method is important. Sealers have to apprentice for two years to get a licence, but Daoust told CBC News Tuesday that apprenticing on the ice isn't enough. "Something more structured, more formal in the form of a workshop [is needed]," he said. "Maybe one- or two-day workshops where various aspects of the hunt are addressed, including the proper humane way of killing an animal including ensuring that it is dead." DFO spokesman Kevin Stringer said the department is looking into that. "When it comes to moving forward on the three-step process we will have to ensure that there is the ability to make sure that folks understand exactly how to do that," said Stringer. "Whether that's information sessions, or training, or getting the veterinarians in front of the sealers, we're going to have to figure that out." Another recommendation in the report was to slow down the pace of the hunt. Stringer said DFO has staggered season openings around the region and is looking at other measures to reduce competition between sealers on the ice. http://www.cbc.ca/canada/prince-edward-island/story/2008/04/09/sealer-training.html
  24. Croisade contre la dissection Lia Shaw, une élève à l'école Bluefield, à l'Île-du-Prince-Édouard, estime que les élèves ne devraient pas être contraints de participer à la dissection d'animaux dans le cadre du cours de biologie. Ce n'est pas par caprice ou parce qu'elle a le coeur sensible qu'elle refuse de disséquer une grenouille morte. Elle juge tout simplement immoral le fait d'élever des grenouilles dans le seul but de les découper en morceaux pour les étudier. L'adolescente explique qu'elle a été choquée lorsque son professeur de biologie de onzième année l'a forcée à participer à ce qu'elle appelle un acte de cruauté envers les animaux. Lia Shaw n'a pas été obligée de disséquer la grenouille, mais elle a été contrainte de regarder un autre élève le faire. Elle déplore que si elle avait refusé, elle aurait échoué à l'examen. Depuis, l'étudiante a recueilli 200 signatures sur une pétition qui demande au ministère de l'Éducation de laisser les élèves choisir d'assister à cette classe ou non. Lia Shaw suggère que les élèves puissent remplacer cette activité par une simulation par ordinateur. Le directeur de son école, Dale MacIssac, l'appuie. Le ministère de l'Éducation indique que la requête de l'adolescente est prise au sérieux et que des pourparlers sont en cours pour trouver des solutions de rechange à la dissection. En juin, les élèves sauront s'ils continueront d'être pénalisés s'ils décident de ne pas assister à la dissection d'un animal. Sandra Gagnon explique la démarche de Lia Shaw. http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2008/04/08/003-IPE-dissection.shtml
×
×
  • Créer...