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Caro18

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  1. Caro18

    S-203

    Un projet de loi contre la cruauté envers les animaux déplaît aux animalistes Le 9 avril 2008 - 19:17 | L'approbation aux Communes des premiers changements importants en plus d'un siècle aux lois canadiennes contre la cruauté envers les animaux n'a pas fait le bonheur des amis des bêtes. Un projet de loi d'initiative parlementaire, déposé par le sénateur libéral John Bryden, a été approuvé par 189 voix contre 71, mercredi, obtenant l'appui de la majorité des députés conservateurs et bloquistes et de plusieurs libéraux. Le projet de loi propose des peines plus sévères dans les cas de cruauté envers les animaux. Il a déjà été approuvé par le Sénat et deviendra une loi lorsqu'il aura reçu la sanction royale. C'est fait! Plusieurs groupes de défense des droits des animaux, dont la Fédération des sociétés canadiennes d'assistance aux animaux, s'opposent au projet de loi, qui ne serait qu'une mise à jour d'une mauvaise loi. Ils soutiennent plutôt un autre projet de loi, déposé par le député libéral Mark Holland. Ce projet sortirait notamment la cruauté envers les animaux de la section des délits contre les biens du Code criminel et protégerait aussi bien les animaux sauvages que les animaux domestiques. http://www.matin.qc.ca/articles/20080409191723/projet_loi_contre_cruaute_envers_les_animaux_deplait_aux_animalistes.html
  2. Caro18

    SPCA

    Changement de garde Les membres de la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) ont élu un nouveau conseil d'administration, mercredi soir, au cours d'une réunion extraordinaire houleuse. La SPCA éprouve des problèmes de gestion, affichant une dette de près de 4 millions de dollars. L'ancienne administration de l'organisme n'a pas mis les livres à jour depuis 2006. Les membres ont donc pressé le nouveau conseil d'administration de mettre de l'ordre dans la comptabilité de l'organisme et de se concentrer sur sa mission première, qui est de prévenir la cruauté envers les animaux. « Je ne m'attends pas à ce que tous les chiens aient un lit douillet, mais je m'attendais à un peu de respect dont un bol d'eau en tout temps, c'est le minimum », a déclaré la nouvelle élue Marie-Claude Cadieux. L'élection des nouveaux membres du C.A. s'est déroulée dans le tumulte. Des opposants ont déclaré qu'il était illégal de tenir un scrutin au cours d'une assemblée extraordinaire, mais la majorité s'est rapidement rangée derrière les nouveaux élus. Une assemblée annuelle aura lieu d'ici la fin de l'année 2008. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2008/04/10/001-SPCA-CA_n.shtml
  3. Caro18

    SPCA

    Revenu Canada La SPCA sous enquête Charles Poulin et Michel Larose Le Journal de Montréal 10/04/2008 05h29 Aux prises avec une dette de 4 M$ et un rapport annuel incomplet, la SPCA de Montréal voit maintenant ses finances passées au peigne fin par Revenu Canada. C'est le directeur général par intérim, Jamie Allister, qui a révélé la tenue de l'enquête hier soir lors d'une assemblée spéciale pour l'élection de nouveaux membres au conseil d'administration. «Revenu Canada fait actuellement enquête, a avoué M. Allister à un membre qui demandait la tenue d'une enquête en profondeur sur les finances de l'organisme. Ils regardent nos livres et vont nous dire s'il y a quelque chose qui ne fonctionne pas.» Questionné après la rencontre, M. Allister a indiqué qu'il s'agissait d'une enquête de routine. «C'est une enquête normale des organismes de charité, explique-t-il. Ils l'avaient fait avec nous en 2003.» Il a précisé que les enquêteurs de Revenu Canada regardent les livres de 2005 et 2006, soit les derniers rapports annuels complétés par la SPCA. Paul-André Cyr, élu par acclamation hier soir au conseil d'administration tout comme cinq autres personnes, indiquait ne pas savoir pourquoi Revenu Canada enquêtait. «Ils vont tout regarder, ils vont passer à travers tout, estime M. Cyr, qui est comptable de profession. Ils nous posent des questions, mais ils ne nous diront jamais ce qu'ils cherchent pour ne pas fausser leur enquête.» Confiance du public La SPCA de Montréal vit une crise administrative grave et, malgré les apparences d'incurie, veut surtout garder la confiance du public. En février, le réseau anglophone CTV a relevé des problèmes de mauvaise gestion et des irrégularités financières. Plus récemment, un ancien vétérinaire de la SPCA a décrié le haut taux d'euthanasie des animaux recueillis. M. Allister remplace Pierre Barnoti, en congé de maladie sans solde pour une période indéterminée. «Je peux vous dire que nous avons une dette de 4 millions, mais je ne sais pas combien d'argent les collectes de fonds ont rapporté. Je n'ai pas encore vu les chiffres.» Michel Poulos, le président, et Howard Sholzberg, trésorier, ont démissionné tout récemment. M. Allister dit que des gestes concrets ont été posés depuis le départ récent de sept des 10 membres du conseil d'administration. «Nous avons rétabli des ponts avec des vétérinaires et des organismes», dit-il. LA SPCA REÇOIT 22 000 ANIMAUX PAR ANNÉE ET DÉTIENT UN CONTRAT DE FOURRIÈRE AVEC LES 19 ARRONDISSEMENTS DE MONTRÉAL. http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2008/04/20080410-052902.html
  4. Caro18

    Des phoques, des chiens et un héron

    Est-ce que vous avez recu un mot de Foglia? Le jeudi 10 avril 2008 Paroles et musique Pierre Foglia La Presse (.....) Hier soir, en revenant de ma virée à vélo, ma fiancée qui peut parfois être très, mais alors vraiment très très fine, m'a dit: je t'ai acheté un cadeau, devine... J'ai droit à un indice? Où l'as-tu acheté? Chez Canadian Tire. Je me suis aussitôt fendu de mon premier vrai sourire de bonheur depuis vos niaiseries sur les phoques. Je sais mon amour: un ballon de basketball! Special edition NCAA. Sur le carton il est écrit: Cannelures pour un summun de performance et un toucher supérieur. Fiancée, mon amour, on dirait qu'ils parlent de toi. Il est écrit aussi: Vessie en butyle-caoutchouc. Fiancée, mon amour, on dirait qu'ils parlent de moi. Mais pourquoi Ferré? Parce que je suis allé faire des paniers avec mon nouveau ballon et mon iPod. Et que c'est Tze nana qui jouait dans mon iPod, c'est dans la voix et dans le geste... Et dans les mots qui font floutche. LES PHOQUES - Je m'étais promis de ne pas y revenir quelle que serait l'énormité de vos clichés (ah le complexe de Bambi!) mais vous avez quand même réussi à me pomper sur un truc, et là vraiment, je ne m'y attendais pas: la leçon de cuisine! Vous êtes plusieurs à me dire que, bien apprêté, c'est très très bon du phoque. Y'en a même un qui m'a dit que ça goûtait le thon. Ben tiens! Le phoque goûte le thon à peu près comme la tarte aux fraises goûte la soupe aux poireaux, mais je ne me serais pas obstiné si votre leçon de cuisine ne s'accompagnait pas d'admonestations du genre: que diable. monsieur le chroniqueur, un peu de curiosité, un peu d'audace! Je vous demande pardon? J'ai grandi en des temps difficiles où notre quotidien tournait autour de la nourriture, et si finalement on n'en a jamais manqué, c'est bien parce qu'on mangeait tout ce qui pouvait se manger, de la tartine de saindoux, aux petits oiseaux qu'on piégeait dans la cour pour manger avec la polenta. Et des abats, beaucoup d'abats, même du poumon et de la rate, vous avez déjà mangé des tranches de poumon frit? De cette période, il m'est resté une question qui n'a bien entendu plus rien à voir avec la survie mais avec la curiosité: est-ce que ça se mange? Question presque culturelle chez les Italiens et autres Européens de mon âge: est-ce que ça se mange? Notre première interrogation devant une nouvelle bestiole: est-ce que c'est bon à manger? Est-ce que c'est bon à manger du phoque? Pas ben ben, m'ont répondu les Madelinots auxquels j'ai posé la question à chacun de mes voyages aux Îles. J'en ai mangé quand même. Au restaurant. Et chez des gens. Ils avaient raison: pas ben ben. Mais c'est même pas ça. C'est de me faire dire par des Nord-Américains que je manque de curiosité et d'audace culinaires. Je ne le prends pas. Dites-moi, fait combien de temps que votre matante Germaine mange des rognons, si elle en mange? Du lapin? De la pieuvre? De la raie? De la barbote? Du boudin? Des tripes? Dans le Québec profond d'aujourd'hui, encore plein de gens ont dédain de l'agneau, pis vous me dites que vous allez mettre du phoque dans leur assiette? Hé, vous devriez faire le festival de l'humour. http://www.cyberpresse.ca/article/20080410/CPOPINIONS05/804100621/5026/CPDMINUTE
  5. Vous vous souvenez sûrement de la saisie des foxs de Blainville ??? Est-vous au courant que M Marc André Laporte recevra sa sentence mardi le 8 avril a la court de St Jérôme, Québec? Vous vous rappellerai sans doute que Mme Elizabeth Pierce a placer une cinquantaine de Fox de Blainville en 2005 et 2006. Elle sera la pour présenter au juge Sirois la pétition qui a circuler autour de monde depuis que M. Laporte a été trouver coupable au mois de novembre 2007. A date, cette pétition a reçu au-delà de 14,000 signatures, et si vous ne l’avez pas encore signé, vous pouvez le faire de suite , aujourd'hui même pour que ça compte : http://www.thepetitionsite.com/2/no-dogs-for-laporte?page=13 La sentence d'un propriétaire de chenil insalubre reportée au 6 mai S.V.P Écrivez aussi au juge Sirois: jsirois@judex.qc.ca
  6. Caro18

    S-203

    If you MP voted IN FAVOUR of S-203: Tell your MP you are disappointed in their vote in favour of Bill S-203. http://www.kintera.org/site/lookup.asp?c=hsKTLbPMLrF&b=4002395
  7. Caro18

    S-203

    Animal welfare organizations hold MPs accountable for their position on animal cruelty legislation. April 8, 2008 Ottawa, Tuesday April 8, 2008 – The International Fund for Animal Welfare (IFAW), the Canadian Federation of Humane Societies (CFHS) and the World Society for the Protection of Animals (WSPA) launched the website www.dontbecruel.org or www.dontbecruel.ca today. The website’s purpose is to highlight the position of voting MPs on animal cruelty and to hold them accountable for it. On Wednesday April 9th, MPs will participate in a recorded vote on Bill S-203. If the bill passes it will be sent for Royal Assent and then become a law. Animal welfare groups from across the country as well as the strong majority of Canadians oppose this legislation, going so far as to say that a vote for Bill S-203 is a “vote for animal cruelty” as it fails to address the loopholes in the current law which allow animal abuse to go unpunished. On the www.dontbecruel.org or www.dontbecruel.ca site, the names of MPs who voted for and against the bill will be listed. “This is a chance for Canadians to see if politicians are listening to their constituents. We have explained many times why Bill S-203 is an ineffective piece of legislation and why Canadians are opposed to it. With this website, we intend to show Canadians which politicians have listened and which have not,” stated Shelagh MacDonald, Program Director of the Canadian Federation of Humane Societies. S-203 increases penalties but does nothing to fix the serious problems in the offences. “S-203 is not based on broad consultation, it doesn’t address the flaws in the current law and, not surprisingly, it is not widely supported in this country. Canadians expect modern legislation to protect animals from criminal cruelty – not a quick fix to a law that was passed in Queen Victoria’s era” reinforced Kim Elmslie from the International Fund for Animal Welfare. “MPs who voted in favor of S-203 have turned their back on all those Canadians who said they want and expect strong and effective laws for the prevention of cruelty to animals. Eight years of work towards a new animal cruelty law cannot end with S-203! Clearly, MPs who vote for S-203 are choosing the lazy way out. Unfortunately, it’s the animals that will pay the price as this legislation does nothing to improve the chance of convicting animal abusers,” said Melissa Tkachyk, Programs Officer for the World Society for the Protection of Animals. Vote on Bill S-203 will happen on Wednesday April 9th, at 17h30. Names and positions of the MPs will be published on the www.dontbecruel.org or www.dontbecruel.ca within 24 hours of the vote. We encourage people to go on the website and write a letter to either congratulate or reproach the decision made by their MP. http://www.ifaw.org/ifaw/general/default.aspx?oid=227986 =============================================== Animal protection groups dismayed over passage of loophole-ridden bill April 10, 2008 (Ottawa, Thursday April 10th 2008) – The Canadian Federation of Humane Societies (CFHS), International Fund for Animal Welfare (IFAW) and World Society for the Protection of Animals (WSPA) today expressed disappointment that Parliament passed Bill S-203, a bill they say does nothing to stop animal cruelty. The bill is opposed by the vast majority of Canadians and every animal protection group in the country. “Humane societies and SPCAs across Canada are shocked and dismayed that Parliament has ignored our calls for strong and effective animal cruelty legislation. It is extremely disappointing that almost ten years of debate have only produced this, a bill that will still allow the vast majority of animal abusers to escape punishment,” said Shelagh MacDonald of CFHS, representing SPCAs and humane societies across the country. “Our agents and inspectors will continue to be handcuffed by inadequate legislation that does nothing to improve protection for animals from cruelty and abuse.” While the groups welcome increased penalties for animal cruelty crimes, they maintain this bill will only apply to less than 1% of animal abusers as that is how many can be successfully convicted under the Criminal Code today. Bill S-203 continues to make it nearly impossible to punish crimes of neglect and does not criminalize the breeding and training of animals to fight each other. “MPs are out of date, out of step and out of touch with the expectations of Canadians today,” stated IFAW campaigner Kim Elmslie. “Canada is falling behind countries such as Malaysia, the Philippines and the Ukraine in protecting our animals from cruelty.” More than 130,000 Canadians signed petitions specifically opposing Bill S-203. A 2006 poll found 85% of Canadians want modern and effective legislation that makes it easier for law enforcement agencies to prosecute those who commit criminal acts of animal cruelty. Stated Pat Tohill, WSPA Programs Manager: “During the debate, many MPs argued that S-203 was only a first step. Many said they would support MP Mark Holland’s Bill C-373. Most said they would support further amendments to Canada’s animal cruelty laws. We will be holding MPs to their commitment to support further amendments to Canada’s cruelty laws. Canadians will not wait another century before animals are protected from heinous acts of cruelty in Canada.” A more comprehensive animal cruelty bill has been passed by Canada’s House of Commons twice in the past ten years, receiving the support of all political parties only to die in the Senate. The CFHS, IFAW and WSPA plan to continue their fight for long-overdue and reasonable amendments to Canada’s Victorian-era animal cruelty law. Canadians expect nothing less. Canadians can find out how their MP voted by visiting CLIQUEZ ICI: http://www.dontbecruel.org For media-related inquiries, contact: Marie-France Lettre - Communications Officer International Fund for Animal Welfare Cell: 1-613-355-3281 Office: 613-241-3982 x225 mlettre@ifaw.org
  8. Je crois que cette nouvelle est une tactique du gouvernement pour avoir l'appui des canadiens, comme vous le savez, les canadiens n'aiment pas que les autres pays viennent leur dire quoi faire! Je m'avance en ce sens car les nouvelles venant de la fondation BB ne sont pas très bonnes, un délégué, m'a envoyé le message suivant : les nouvelles ne sont pas très réjouissantes non plus de la France BB a reçue une lettre de Bernard Kouchner ( voir lien PDF ): "en gros la réponse est : nous attendons le résultats des études menées par l'Union européenne, la France ne pouvant prendre de disposition nationale dans ce domaine (ce qui est totalement faux bien entendu)." Cela est faux d'après le délégué, l'Union européenne aurait pu interdire sur le champ, c'est loin d'être rassurant selon lui! http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/tele/rep1/2007/lettre_kouchnerok.pdf Action Embargo sur les produits dérivés de phoques - nous avons besoin de votre aide de toute urgence L’UE débat actuellement de l’opportunité d’interdire ou non le commerce des produits dérivés de phoques et annoncera sa décision très bientôt. Nous avons besoin de votre aide en urgence pour nous assurer que cette interdiction entre en vigueur. Utilisez le texte ci-dessous pour envoyer un courriel à Jacques Barrot représentant au sein de la Commission européenne pour lui demander d'interdire le commerce des produits dérivés de phoques. Jacques Barrot cab-archive-barrot@ec.europa.eu Vous pouvez aussi envoyer une copie à Bernard Kouchner ministre des Affaires étrangères et européennes: bernard.kouchner@diplomatie.gouv.fr LETTRE-TYPE Sujet: Soutien à l’interdiction européenne des produits dérivés de phoques Monsieur, Comme vous le savez certainement, la chasse commerciale annuelle des phoques a débuté au Canada. Cette année, 275.000 phoques seront abattus. C'est la plus grande chasse de mammifères marins au monde. La plupart des phoques tués auront moins de trois mois. Nombre d'entre eux endureront une mort lente et douloureuse, simplement pour que leur fourrure serve aux produits de luxe commercialisés en Europe et dans le monde entier. Bien que le gouvernement canadien prétende appliquer des mesures supplémentaires pour assurer une chasse plus humaine, ces soit-disant «nouvelles» réglementations n'ont apporté aucun changement réel quant à la manière dont sont abattus les phoques. Le Parlement européen a publié une déclaration écrite en septembre 2006, appelant à l'interdiction du commerce des produits dérivés de phoques. En réponse, la Commission a commandité une étude auprès du Groupe scientifique sur la santé et le bien-être des animaux de l'Autorité européenne de sécurité des aliments sur les méthodes utilisées pour tuer et dépecer les phoques. Le rapport, publié en décembre 2007, a conclu que pendant la chasse commerciale aux phoques du Canada, les animaux ne sont pas toujours tués de manière efficace mais endurent souvent la douleur et la peur, et que les chasseurs n'appliquent pas toujours les règlements canadiens actuellement insuffisants. Je sais qu'au cours des semaines et mois à venir, vous débattrez avec les autres Commissaires des mesures que l'UE envisage de prendre concernant la chasse commerciale des phoques. J'estime qu'une interdiction sur le commerce des produits dérivés de phoques est la seule réponse sensée. Toute alternative, telle que la recherche d'un accord international sur des normes de chasse aux phoques, est irréaliste. La chasse aux phoques se déroule sur une très courte période, dans des zones difficilement accessibles et un environnement instable, ce qui rend l'application de normes strictes en matière de bien-être animal quasiment impossible. L'actuel Règlement sur les mammifères marins canadien étant insuffisant et bien souvent ni appliqué, ni respecté, il est illusoire d'espérer l'amélioration de son efficacité par de nouveaux règlements. Bien que le gouvernement canadien ait introduit des mesures supplémentaires pour assurer une chasse plus humaine, le Fonds international pour la protection des animaux a une fois de plus été témoin de scènes de cruauté totalement inacceptables. Ceci démontre qu'aucune législation n'est à même de rendre humaine une chasse de cette ampleur. Je pense également que la Commission doit envisager la chasse commerciale aux phoques en intégrant la problématique de la conservation. La surveillance permanente de l'Arctique montre une diminution de la surface de la banquise due au réchauffement climatique. Ceci réduit considérablement la surface disponible pour la reproduction des phoques et augmente le taux de mortalité des petits. L'an dernier, le gouvernement canadien a estimé qu'au moins 200.000 bébés phoques étaient morts avant même que la chasse ne commence en raison du manque d'épaisseur de la glace. De plus, les quotas fixés pour la chasse commerciale canadienne dépassent souvent les propres recommandations du gouvernement canadien en termes de gestion durable. Au cours des années, le nombre réel de phoques tués a souvent dépassé ces quotas. Le maintien de quotas élevés, alors que l'épaisseur de la glace est incertaine, est un mépris total de tous les principes de précaution scientifiques. Ces questions de conservation ne devraient pas être négligées par la Commission. Les sondages réalisés en France ont démontré que la majorité de la population soutiendrait une interdiction sur le commerce des produits dérivés de phoques. Lorsque les membres de la Commission se réuniront pour en débattre, je vous demande de représenter mon opinion et celle des autres citoyens français qui abhorrent ce commerce cruel et inutile. Veuillez agréer, Monsieur le Commissaire européen, l'expression de mes sentiments très respectueux. NOM ADRESSE VILLE PAYS COURRIEL La mème action a remplir en ligne et demandée de toute urgence par l'IFAW http://www.ifaw.org/ifaw/general/default.aspx?oid=17884&aid=10123&msource=DR080303001
  9. Le ministère de l'environnement affirme qu'il a vu cette vidéo et qu'elle ne démontre aucune violation aux règlements de la chasse Est-ce au Canada?
  10. Je remarque que cette vague de sympathie envers les chasseurs et l'industrie de la chasse aux phoques s'essouffle tranquillement, les gens se sont pointé le nez car ils étaient outrés, mais la plupart des personnes qui sont intervenues dans le débat ne connaissent rien de la chasse aux phoques, on va les voir de moins en moins, la plupart étaient de passage, mais nous, on est là pour rester et on va continuer à dénoncer cette chasse barbare tant qu'elle ne sera pas abolie par le gouvernement, continuons le combat pendant que les amateurs de chasse sont occupés à regarder le hockey
  11. Les Canadiens ne pourront pas empêcher l'interdiction de chasse aux phoques Il y a 6 heures HALIFAX — Un membre de la délégation canadienne, qui tente de convaincre les membres de l'Union européenne de ne pas bannir les produits provenant de la chasse aux phoques, a concédé qu'Ottawa ne pourra pas convaincre les leaders étrangers d'aller de l'avant avec cette sanction commerciale. À l'issue d'un voyage de cinq jours à travers toute l'Europe, la ministre des Ressources naturelles de Terre-Neuve, Kathy Dunderdale, a reconnu que les groupes de lutte pour le droit des animaux ont convaincu l'opinion publique que la chasse aux phoques est inhumaine et cruelle. Mme Dunderdale et plusieurs autres dirigeants canadiens, dont le premier ministre du Nunavut, Paul Okalik, et l'ambassadeur canadien pour la conservation des pêches, Loyola Sullivan, ont tenté de plaider leur cause auprès des 27 membres de l'Union Européenne, pendant que la chasse controversée suit son cours. La délégation canadienne a argué que cette interdiction représente une menace pour les communautés isolées de Terre-Neuve, où 6000 personnes vivent de cette industrie. Au même titre que le Canada, cette sanction pourrait s'appliquer à d'autres nations qui pratiquent cette chasse, comme le Royaume-Uni, l'Estonie, la Norvège, la Suède et la Finlande. La Côte Est du Canada occupe le premier rang mondial dans la chasse aux mammifères marins avec 300 000 phoques tués par année. La commission européenne attend un deuxième rapport sur la chasse aux phoques avant de faire ses recommandations au Parlement européen, dès cet été. Pour leur part, les organismes de défense des droits des animaux se réjouissent et sont confiants qu'une interdiction sera effective, comme l'affirme Rebecca Aldworth, de la Société internationale sans cruauté: " Les efforts provenant du monde entier pour mettre fin à la chasse commerciale des phoques au Canada, ont réussi à toucher un nombre important (de personnes). Et si les gens de l'industrie canadienne de commerce du phoque croient qu'il y a un avenir dans la vente de fourrure, ils se trompent." La Belgique et les Pays-Bas ont déjà approuvé une loi interdisant la vente de ces produits. L'Allemagne et l'Autriche préparent une législation similaire, ce qui accroît la pression sur la commission européenne. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5hg9fQdu0saB1tTGTP9xxa8gYHcVg
  12. Caro18

    Phoques: le film

    Le site de Jomphe n'existe plus http://phoques.tv/ Ou se cache Jomphe, c'est bizarre
  13. 5 Avril 2008 - Pour espionner Sea Shepherd, le Canada viole les eaux territoriales Françaises Ce matin, le Farley Mowat de Sea Shepherd Conservation Society, a été survolé à six reprises par un avion portant les marques du département Canadien des pêches et océans. Le Farley Mowat avec son équipage était ancré au large de l’île Française de Miquelon. Cela signifie que l’avion Canadien avait pénétré l’espace aérien Français pour espionner Sea Shepherd. Hier, le Farley Mowat a du quitter le bassin de l’île Française de Saint Pierre après que des pêcheurs Français et des Terre-Neuvas en colère eurent attaqué le bateau et coupé les amarres avec des haches, mettant le bateau à la dérive dans le port, sans possibilité de manœuvrer. Le Capitaine Alex Cornelissen et le mécanicien chef, Willie Houtman ont rapidement réagi et démarrèrent les moteurs juste avant que le bateau ne s’abîme sur des rochers. Partir avec les moteurs froids a causé des dégats à la machinerie qui est actuellement en cours de réparation par les mécaniciens du bateau alors que celui-ci est à l’ancre. Le cameraman de Animal Planet , Simeon Houtman a été agressé sur le quai par un pêcheur avec une hache alors qu’un policier Français regardait sans intervenir. L’homme à la hache rata de peu Houtman qui tomba à la renverse pour esquiver l’attaque. Une douzaine de pêcheurs a attaqué le bateau de Sea Shepherd en soutien des chasseurs de phoques. Un pêcheur Français hurlait que les phoques étaient des rats et devaient être exterminés. Les pêcheurs Français comme leurs homologues de Terre-Neuve ont été touchés par l’effondrement de la pêche à la morue en 1992 qui élimina la seule base de développement économique des ces îles d’appartenance Française. Ce qu’ils refusent d’admettre, dit le Capitaine Paul Watson, fondateur et président de Sea Shepherd, c’est que les morues ont été anéanties par l’incompétence flagrante du département Canadien des pêches et océans, la même incompétence qui a récemment tué quatre chasseurs de phoques. Il y avait au départ quarante millions de phoques sur la côte Est et maintenant, avec une réduction à 10% de leur nombre, il est évident que ce ne sont pas les phoques qui ont exterminés les poissons. L’industrie de la pêche s’est effondrée du fait de la cupidité et d’une mauvaise gestion. La politique du gouvernement Canadien est de rejeter la responsabilité sur les phoques et de focaliser la haine sur les défenseurs des phoques pour diminuer sa propre incompétence. L’équipage du Farley Mowat retournera sur la glace dans quelques jours, quand la boucherie reprendra pour une fois de plus témoigner de la brutalité des chasseurs. Aujourd’hui, les habitants des Iles des la Madeleine enterrent trois des quatre chasseurs qui se sont noyés la semaine dernière. Hier soir, il fut demandé au Capitaine Watson à la télévision Atlantic s’il était prêt à s’excuser pour l’affirmation que la boucherie de 325.000 phoques était une tragédie plus importante que la perte de quatre hommes. Le Capitaine Watson dit qu’il s’excusait d’être Canadien et d’être associé à l’industrie la plus sadique et barbare de la surface de la planète. Sea Shepherd pense que la mort de ces hommes est une tragédie et qu’il devrait y avoir une enquête complète sur les circonstances qui ont causé leur mort. Il ne devrait pas être difficile de déterminer la cause, dit le Capitaine Watson. Le ministre des Pêches et des Océans a autorisé des centaines de petites coques de bois et d’aluminium non faites pour la glace à sortir dans des conditions de glace extrêmement dangereuses. Il a mis des hommes sur la glace pour massacrer des phoques sans leur assurer la protection adéquate des gardes-côtes. Les gardes-côtes ont remorqué un bateau au travers des glaces à une vitesse excessive et sans les précautions d’usage. Ce n’était pas un accident. C’était une boucherie humaine et Loyola Hearn est l’homme responsable de leur mort, quand bien même il essaierait d’utiliser Sea Shepherd comme bouc émissaire avec ses tentatives de nous diaboliser comme extrémistes. Depuis quand le témoignage de la cruauté envers les bébés phoques est il un acte extrémiste ? Hearn a dit aux médias Canadiens que Sea Shepherd sera inculpé pour avoir été témoin de la cruauté sur la glace. Il n’a pas été précis sur le type d’inculpation déposée et il n’a pas informé Sea shepherd ou l’équipage du Farley Mowat qu’une inculpation avait été déposée. La position de Sea Shepherd est que nous n’avons rien fait d’illégal. Le bateau n’est jamais entré dans les eaux Canadiennes et a le droit de libre transit selon les lois maritimes internationales. Si les gardes-côtes Canadiens tentent d’aborder le Farley Mowat, bateau Hollandais en eaux internationales, dit le Capitaine Hollandais Cornelissen, je considèrerai qu’il s’agit d’un acte de guerre http://www.seashepherd.fr/news.html
  14. Les dents de l’amer Documentaire engagé remettant en cause l’idée que le requin est le pire ennemi de l’homme. Les Seigneurs de la mer de Rob Stewart Et si le requin était finalement victime d’un délit de sale gueule ? Et si, pour de basses raisons cinématographico-commerciales, Steven Spielberg avait transformé ce poisson «timide et pacifique» en tueur assoiffé de plagistes tranquilles ? Pour Rob Stewart, c’est clair : non seulement les requins sont «les animaux les plus cools du monde», mais en plus, cette mauvaise image les dessert car personne ne veut les protéger, alors qu’ils ne sont pas au mieux. Photographe animalier, ce beau gosse canadien de 27 ans s’est donc lancé dans la réalisation de Sharkwater (en VO), pour prouver au monde entier que le requin est notre ami et qu’il doit le rester car, en tant que prédateur suprême, il gère les grands équilibres entre espèces dans les océans. Pendant près de cinq ans, Stewart a donc sillonné les mers. Son objectif initial tendait plutôt au documentaire animalier : ça donne la première partie du film, manifeste écolo sous-marin spectaculaire consacré à la réhabilitation de la bestiole. Où l’on découvre sa vie quotidienne, sa nage élégante, son importance écologique et sa modération en tout, notamment en matière d’alimentation. Car qu’on se le dise une fois pour toutes : le requin ne mange pas l’homme. Au pire, il goûte, accidentellement, un pied ou un bras mais la chair humaine, ce n’est pas sa tasse de thé. Les cinq décès constatés annuellement ne seraient dus qu’à des noyades ou des hémorragies liées à ses morsures, jamais à un déchiquetage en règle. D’ailleurs, pointe Rob Stewart, les crocodiles ont tué en un an autant que les requins en un siècle, et le croco, lui, est protégé. Bref, «on a plus de chance d’être tué par un distributeur de sodas que par un requin». Au cours de son tournage, Rob Stewart rencontre le capitaine Paul Watson, fondateur de l’association Sea Shepherd, activiste musclé et défenseur de la faune marine. Et c’est en embarquant sur son navire que Stewart donne à la deuxième partie de son film une tout autre tournure, limite polar, genre Michael Moore contre les trafiquants d’ailerons. Car Sea Shepherd traque la pêche illégale de requins, qui se font découper l’aileron sur le pont du navire et sont rejetés ainsi mutilés - et condamnés - à la mer. Là, on ne rigole plus, on passe à l’action. Le Sea Shepherd se livre à une véritable bataille navale avec des braconniers, au large du Costa Rica. Puis, à terre, les militants découvrent l’industrie clandestine du requin, filmant les toits où sèchent des milliers d’ailerons avant d’être expédiés vers l’Asie, où ils sont un mets de choix. Watson et Stewart quitteront précipitamment le pays, où ils étaient menacés de prison. N’hésitant pas à se mettre en scène, y compris sur son lit d’hôpital (il a contracté une infection à la jambe), Stewart paie de sa personne pour mettre au jour ce trafic et nous exhorter à agir, à travers un commentaire parfois un poil bavard. Les spécialistes estiment que chaque année, 100 millions de requins sont tués pour leurs ailerons, vendus jusqu’à 500 dollars le kilo. Si c’étaient des bébés phoques, ça ne se passerait pas sans doute comme ça. Cette dernière phrase n'est pas du tout nécessaire VOS RÉACTIONS http://www.liberation.fr/culture/cinema/320115.FR.php Mauvais timing pour parler de ce documentaire surtout avec le tollé entourant les propos controversés de Paul Watson
  15. Caro18

    Au-delà du réel

    Au-delà du réel Le comédien Montmorency Écrivez-moi à vanmomo@videotron.ca En ce début de printemps qui tardait à se pointer, je me suis encore fait aller la zapette J’ai abandonné rapidement les bulletins de nouvelles, écœuré d’entendre parler du fils de l’autre. Quant au sympathique Stéphane Dion, je l’ai aperçu en train d’essayer de rapatrier ses troupes bien mollement. Mais la nouvelle qui m’a le plus bouleversé, vous l’aurez deviné, restera la disparition des trois pêcheurs des îles. Je suis déjà allé aux Îles de la Madeleine, oh quelques jours, mais je défie quiconque a passé quelques heures dans cet endroit idyllique de ne pas avoir ressenti une grande tristesse à l’annonce de la mort de ces trois hommes. Pour ajouter à l’horreur, je ne ferai que citer l’hommage de Paul Watson ami des animaux de l’organisme Sea Shepherd Conservation Society : L’accident maritime que l’on sait est moins grave que la mort des bébés phoques (sic). Pour oublier, j’ai décidé de me rabattre sur les canaux spécialisés. Ce n’était que massacres, guerres civiles et carnages. Également au menu : des reportages sur l’entraînement des kamikazes et visites de centrales nucléaires en ruine. J’ai appris que la Terre était menacée par des milliers de météorites : à court ou à long terme, nous allons y passer. ( Les mots ( massacres et carnages) pourraient très bien correspondre aussi à la chasse aux phoques M. Montmorency J’ai également été avisé que la fonte des glaces inonderait à peu près toutes les côtes du globe; et pour couronner le tout, que le réchauffement de la planète c’était de la foutaise : nous sommes en fait en pleine période glaciaire. Me sentant dans le trente-sixième dessous, j’ai syntonisé Euronews pour apprendre ceci : j’en suis tombé en bas de ma chaise. Quelque part en Europe on vient d’installer, dans certains endroits où l’on veut limiter les attroupements d’ados, des hauts parleurs appelés Beethoven. Ces appareils émettent des ultra-sons qui ne sont audibles que des gens de moins de 25 ans. Ces sons donnent rapidement des maux de tête et les ados fuient. Fallait y penser : ces appareils si utiles étaient au départ prévus pour les animaux. Sur ces bonnes nouvelles, à la semaine prochaine. Soyez le premier à commenter cet article http://www.leplateau.com/article-200835-Audela-du-reel.html
  16. BERNARD KOUCHNER TRAHIT LA PAROLE DE CHIRAC, JUPPE ET SARKOZY ! Alors que la banquise est rouge sang, que des centaines de milliers de phoques sont massacrés chaque année à coups de gourdins, la France se distingue une fois de plus par son immobilisme et ses promesses non tenues. Après Jacques Chirac (par le biais de Nelly Olin), Alain Juppé et Nicolas Sarkozy se sont tous engagés à interdire définitivement les importations de produits dérivés de phoques. Il semblerait que Bernard Kouchner veuille désormais revenir en arrière, comme l'indique son courrier à Brigitte Bardot du 31 mars dernier. Il prétexte cette fois l'impossibilité de légiférer avant les conclusions d'étude de la Commission Européenne sur le sujet (cf. la réponse de Bernard Kouchner en PJ). De combien de preuves avons-nous besoin avant de reconnaître que la chasse aux phoques n'est qu'une boucherie à ciel ouvert ? Quand la France va-t-elle concrètement se décider à agir ? Voici la réponse http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/actu.php?id=40154 de Brigitte Bardot qui, au nom de sa Fondation, réitère sa colère et son impatience devant une décision qui aurait dû être prise depuis longtemps. Vous pouvez écrire à Bernard Kouchner ministre des Affaires étrangères et européennes: bernard.kouchner@diplomatie.gouv.fr
  17. Par conséquent ce sera une course folle pour abattre le plus de phoque possible
  18. Chasse au phoque: Le marché s'annonce maussade Mise à jour le mardi 8 avril 2008, 15 h 35 . Phoques Le prix peu élevé de la peau de phoque risque fort de nuire à la chasse ce printemps au large de Terre-Neuve. Cette chasse doit débuter vendredi. Les bateaux de quelques chasseurs sont déjà prêts à prendre le large dans le port de Saint-Jean. D'autres ont décidé de ne pas sortir cette année. Le capitaine Otis Bath explique que s'il chassait cette année, il devrait abattre deux fois plus de phoques que l'an dernier pour gagner les mêmes revenus. Frank Pinhorn, porte-parole de l'Association canadienne des chasseurs de phoques, indique que les acheteurs de fourrures hésitent, car ils craignent une possible interdiction de ce produit en Europe. De plus, les acheteurs ont accumulé un surplus au cours des dernières années. Par conséquent, une peau de phoque ne vaut qu'un peu plus de 30 $ en ce moment, soit la moitié de ce qu'elle valait l'année dernière. Quelques rares opposants à cette chasse se trouvaient sur le quai de Saint-Jean, mardi. Les opposants à la chasse auront peut-être gain de cause auprès de l'Union européenne, qui songe à interdire l'importation des produits dérivés du phoque. Le coût croissant de l'essence entraîne d'autres difficultés pour les chasseurs. Il n'y a pas beaucoup d'enthousiasme sur les quais à quelques jours de l'ouverture de la chasse. Les chasseurs se rendent compte qu'elle ne sera pas très rentable cette année. http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2008/04/08/006-TNL-chasse-marche.shtml
  19. Caro18

    Des phoques, des chiens et un héron

    Pour une fois qu'un journaliste ose se mouiller et ne va pas dans le même sens que les autres: Écrivons à Pierre Foglia pierre.foglia@lapresse.ca
  20. Des phoques, des chiens et un héron Enfin un journaliste avec des couilles! Pierre Foglia La Presse pierre.foglia@lapresse.ca J'ai lu les textes sur les chasseurs de phoques (dont celui, samedi, de mon collègue Patrick Lagacé), j'ai écouté les commentaires sur la chasse aux phoques, me semble avoir tout compris en particulier combien la chasse aux phoques était indispensable à l'industrie des porte-clés en peau de bébé phoque, je pense avoir tout compris, disais-je, mais je pose la question quand même pour être plus sûr: Ai-je encore le droit, après la tragédie qui a coûté la vie à quatre chasseurs de phoques d'être contre le débile massacre des bébés phoques sur la banquise? (OK, OK, pas des bébés, quelques semaines de plus). Le sujet était déjà patriotique avant cet accident, nous voilà maintenant avec des martyrs. Dites-le-moi si vous êtes sur le point de me retirer mon passeport canadien? Je peux parler d'autre chose, ce ne sont pas les bonnes nouvelles qui manquent: le printemps est arrivé; Nathalie Simard est partie; M. Gore aussi, Jean Lemire ne repartira pas (en expédition) tout de suite; les crocus sont sortis, oui, oui, ce matin... Ma question c'est juste ça: ai-je encore le droit d'être contre la chasse aux phoques? Avant qu'on m'accuse d'insensibilité, je tiens à dire que cet accident de chasse m'a attristé comme m'attristerait n'importe quel autre accident de chasse. Si j'entends au téléjournal qu'une collision dans le parc de La Vérendrye entre un camion et une voiture à bord de laquelle se trouvaient quatre chasseurs d'orignaux a fait quatre morts, je n'applaudis pas, je ne dis pas: «Youppi, 4-0 pour les orignaux.» En règle générale, quand quelqu'un se tue dans un accident, je ne me demande pas où il était allé. Je ne réagis pas différemment s'il était allé voir sa vieille mère à l'hôpital ou s'il était allé aux putes. Même chose pour ceux qui meurent à la guerre. Je suis contre l'intervention américaine en Irak. Mais quand quatre soldats américains sautent sur une mine à Bagdad, je trouve ça triste... Tout en restant convaincu de l'inutilité de cette guerre et de quelques autres. Résumons-nous. Je trouve triste l'accident qui a coûté la vie à quatre pêcheurs madelinots. Je continue d'être contre le massacre des bébés phoques sur la banquise. OK, OK, pas des bébés, quelques semaines de plus. Je ne crois pas que les phoques soient responsables de l'épuisement des bancs de morue. C'est la surpêche des pêcheurs de morue qui a épuisé la ressource, pas les phoques. Je ne crois pas non plus aux prétextes commerciaux d'une chasse à un animal dont la chair est sinon impropre à la consommation, pas très ragoûtante. Je crois par ailleurs que l'humanité pourrait très bien survivre sans manteau et sans porte-clefs en loup-marin. Bref, je crois que cette chasse (subventionnée) est toute dans le plaisir de l'expédition, de la chasse... et de la subvention. Non, ce n'est pas un crime. Mais qu'on le dise. Je ne suis pas contre la chasse en général. Je suis contre l'abattage. Je ne suis pas contre la chasse en général. Je suis contre l'idée d'une chasse patriotique: nous les Canadiens-pas-moumounes contre le reste du monde qui ne comprend rien à la joie d'éclater le crâne d'un phoque sur la banquise. Après tout, calice, c'est notre banquise. D'AUTRES BÊTES - Vous ne vous souvenez probablement pas de Roseline. Une petite histoire que je vous ai racontée l'été dernier. Roseline était ce bébé wapiti née orpheline d'une mère qui avait trop souffert pour la mettre au monde et l'avait reniée aussitôt née, l'associant à sa douleur. Cela arrive assez couramment chez les vaches (et parfois chez les humains). Roseline fut donc élevée au biberon et devint familière avec les humains. À l'automne, c'était une magnifique demoiselle aux grandes pattes graciles, elle me faisait la fête quand j'arrêtais pour la saluer, pleine de petits cris et de finesses. Cela se passe à l'élevage Val-Grand-Bois sur un des mes plus beaux parcours de vélo. Je repassais par là pour la première fois samedi, j'arrête pour voir Roseline. Pas de Roseline. J'appelle: «Roseline?» - Elle est morte, me dit Germain qui sortait de l'enclos. - Morte? - Égorgée. - Des coyotes? - Non, deux chiens. Ils étaient encore dans l'enclos quand on est arrivés. Ils avaient une médaille, on connaît le proprio. Elle était si innocente, si peu méfiante, qu'elle a dû se précipiter à leur rencontre pour jouer... Parce que j'en avais parlé dans cette chronique, vous étiez quelques-uns à arrêter à l'enclos de Germain et Francine pour faire une caresse à Roseline. Et Germain a bien peur de passer l'été à raconter à tout un chacun cette histoire qui l'amène chaque fois au bord des larmes. Alors, voilà, si vous arrêtez dans les mois qui viennent à la boutique, évitez de parler de Roseline. Vous pouvez parler de moi à la place: «Comment va M. Foglia? Les chiens ne l'ont pas encore égorgé?» D'AUTRES CHIENS - Méfiez-vous, me dit le douanier américain en me rendant mon passeport, Si vous tournez vers le lac Carmi, juste avant l'église, à droite, il y a une meute (a bunch) de chiens féroces... Je ne comprenais pas son petit sourire, comme s'il me faisait une blague. Deux milles plus loin, avant l'église, dans la cour d'une modeste maison, sept chiots âgés de quelques semaines crapahutaient partout. La maman, une bâtarde efflanquée, trônait comme une reine au milieu de la cour. Je me suis arrêté. Une petite fille avec des lunettes est arrivée en courant: «En voulez-vous un?» J'ai montré celui qu'elle tenait dans ses bras: - Peut-être celui-là? - Non, non, celui-là, je le garde. - Celui-là ou rien. - Rien d'abord. - Tant pis. La montée du lac Carmi et retour vers Franklin par les fermes aux silos bleus, mon chemin secret jusqu'à Highgate, un autre chemin secret qui traverse un marais si inquiétant qu'on dirait un bayou, un héron bleu a décollé presque sous ma roue. Il était encore là le lendemain quand j'ai refait le même parcours, les chiots aussi, et la petite fille avec des lunettes. Et puis ce matin, dans ma propre cour, sur le talus à Picotte, les premiers crocus. Je vous jure, le printemps. http://www.cyberpresse.ca/article/20080408/CPOPINIONS05/804080581/6730/CPACTUALITES
  21. Je crois que ce combat est perdu d'avance au Québec, nos opinions et nos arguments auraient peut-être plus d'impact "en tant que Canadien" si nous écrivons au président de la France pour lui demander d'interdire les produits du phoques ( en expliquant les raisons ), les français aussi devraient protester auprès de leurs représentants car le gouvernement canadien à reçu des millions de lettres de gens à travers le monde et il reste sourd à toutes les protestations , je ne sais pas.... mais je me pose des questions à savoir si nous devons changer de plan de bataille?
  22. Je suis déçue, il fait aucune mention du végétarisme par compassion ou pour les animaux. Le végétarisme n'est pas juste une question de santé!
  23. Menu végétarien à la cabane à sucre Janie Gosselin La Presse Avec ses fèves au lard et son jambon, la cabane à sucre n'est pas l'endroit de prédilection des végétariens. Plusieurs d'entre eux savent cependant où se sucrer le bec quand le printemps se pointe le nez : à la Pause sylvestre, dans les Cantons-de-l'Est. «Ça fait huit ans qu'on est ouverts, explique Carole Bouthillette, copropriétaire de la cabane à sucre avec son conjoint, Mario Tremblay. On reçoit environ 775 clients par saison.» Pour la petite cabane à sucre de 22 places, située à Dudswell, il s'agit d'un nombre important, qui force ses propriétaires à prendre les réservations à l'avance. Déjà, on affiche complet cette saison. Le menu se compose d'une tourtière au millet, d'une tarte au tofu et d'une autre aux fèves rouges adzuki, servies avec omelette, pommes de terre, choucroute, betteraves et salade de choux. Les fèves «black turtle» remplacent les fèves au lard. Le tout nappé de sirop d'érable, bien sûr! À la demande de certains groupes végétaliens, les propriétaires, eux-mêmes végétariens, préparent une omelette sans oeuf, composée de graines de lin. http://www.cyberpresse.ca/article/20080331/CPACTUEL/803290896/6689/CPACTUEL01 La Pause Sylvestre (menu végétarien, sur réservation seulement) 58, 11e rang Dudswell (819) 828-0049
  24. Végétariens pro vie De la nourriture pas des bombes" (FNB : Food Not Bombs) est un mouvement qui fournit des repas végétaliens aux pauvres ainsi qu'au public lors de rassemblements (USA). Des volontaires avec le groupe des vingt-cinq ans qui sont susceptibles de lancer des microbanques, des jardins communautaires, des lieux d'information, des collectifs de réparation de bicyclette, des unités éoliennes et des dispensaires, raconte Keith McHenryco-fondateur. Avec des sections à travers le pays et dans le monde, FNB promeut la paix et la justice sociale, mais McHenry et ses volontaires ont déjà été une fois considérés "prisonniers de conscience" par Amnesty International. Les volontaires de FNB ont été battus et torturés par la police aux États-Unis et sont mis sous surveillance par le gouvernement et les compagnies pétrolières et même la Ligue Anti-Diffamation (Anti-Defamation League), selon les renseignements obtenus sur le site Internet du groupe. Aidé par un groupe végétarien d'étudiants à l'université d'état de Louisiane (Bâton Rouge), le FNB de McHenry était une des premières organisations à nourrir les gens affamés dont les vies avaient été désorganisées par l'Ouragan Katrina en 2005. Son arrière arrière-grand-père paternel était le Dr James McHenry, qui a signé la constitution américaine et a exercé les fonctions de général durant la guerre d’indépendance) et comme secrétaire de guerre sous Georges Washington. Il écrit à propos du végétarisme : "Si le courant dominant de l'Amérique adoptait un régime alimentaire et une économie non-violents ce serait le changement le plus fondamental dans l'histoire américaine. Des millions d'américains amélioreraient beaucoup leur santé. Des milliers des gens qui seraient morts prématurément de maladie du cœur, de crises cardiaques et de diabète vivraient des vies plus longues et plus accomplies. Les américains penseraient plus clairement et l'estime d'eux-mêmes augmenterait rendant plus difficile pour les politiciens et les chefs d'entreprise de trouver un soutien populaire en faveur de politiques qui sont opposées à leurs propres intérêts. Les américains remplissent (leur) sentiment de vide au moyen du consumérisme et du patriotisme. Si vous croyez en la non-violence il devient difficile de soutenir la violence contre les animaux et cela donne du sens au fait de devenir végétalien ou végétarien. "De la nourriture, pas des bombes" (Food not Bombs, FNB) fournissent des repas végétaliens gratuits à nos buffets littéraires afin de montrer par l'exemple le lien entre nos vies personnelles et l'effort pour construire un monde de paix." Le végétarisme et le mouvement pacifique aux États-Unis ont une longue association, datant d'au moins 1817, quand les Chrétiens Bibliques (Bible Christians) de Philadelphie, récemment arrivés d'Angleterre, recommandèrent le végétarisme, l'abolition de l'esclavage et le pacifisme. Father John Dear, SJ, un leader du mouvement pacifique aujourd'hui et l'auteur de plusieurs livres sur le sujet, incluant le livret Chrétienté et Végétarisme : poursuivre la non-violence de Jésus (Christianity and Vegetarianism : Pursuing the Nonviolence of Jesus), partage son point de vue : "La non-violence est complètement inclusive, embrassant la création et toute l'existence. Dans un monde où la vie est de peu de valeur, où des millions meurent de faim et des milliers tués par la guerre chaque année, nous apprenons la signification de la non-violence et de la paix. J'ai l'espoir que nous tous continuerons à faire des liens de paix et de non-violence, entre notre propre intérieur, toute l'humanité, tous les animaux et la terre elle-même. C'est un grand voyage spirituel et nous devons continuer à encourager chacun et inviter chacun (à une recherche) dans les profondeurs de la non-violence." Pendant le dernier quart du siècle, l'auteur Colman McCarthy a travaillé pour la paix et le végétarisme. Un ancien chroniqueur du Washington Post, McCarthy a enseigné des milliers d'étudiants à travers le Centre pour Enseigner la Paix (Center for Teaching Peace), qui est l'oeuvre de sa vie. "Dans mes classes de collège et d'université, dans lesquelles j'ai enseigné la non-violence et le pacifisme à plus de 7000 étudiants au cours des vingt-cinq années passées, je suis conscient que la plupart des étudiants se sentent impuissants pour agir significativement contre les guerres du monde ou les conflits. La violence est trop lointaine, trop retranchée. Les étudiants répètent ce refrain chaque semestre et chaque semestre je suggère qu'il y a une guerre dans laquelle ils peuvent prendre des mesures pour y mettre fin : la guerre envers les animaux. Les gens les mangent, les portent, les montent, les enchaînent, les chassent, les exploitent, les emprisonnent - et paient des milliards de dollars aux (différentes) sociétés pour continuer à le faire pour notre plaisir et notre avantage. Nous faisons tout aux animaux, mais permettons-leur de vivre dans la paix de Dieu et la liberté." Mc Carthy qui écrit pour le National Catholic Reporter, se souvient de la réaction d'un étudiant le jour où il apporta une dinde dans la classe, la semaine avant Thanksgiving. "La présence de cet oiseau vivant, doux et intelligent dans la classe - curieux de nous et nous curieux de lui - était suffisant pour provoquer une conversion immédiate à un régime végétarien." Le végétarisme fait partie de la paix et d'une éthique pro-vie,pense McCarthy, tout comme Vasu Murti, l'auteur de They Shall Not Hurt or Destroy (Ils ne blesseront ni ne détruiront), qui a été élevé dans une famille de Brahmanes hindous : "Je crois qu'il y a une connexion karmique entre le meurtre d'êtres animaux et celui d'êtres humains. L'avortement, comme la guerre, est la réaction karmique au fait de tuer les animaux. Les pro-vie découvrent avec horreur comment une classe entière d'humains est systématiquement dépouillée de ses droits, exécutée et même utilisée comme instrument de recherche médicale - mais c'est ce que nous les humains avons fait aux animaux depuis des millénaires. Les pro-vie parlent de la "pente glissante", la conviction que l'acceptation de l'avortement provoque une dévaluation de la vie et ouvre la voie vers l'acceptation de l'infanticide et de l'euthanasie. J'affirme simplement que la "pente glissante" commence par ce que nous les humains font aux animaux. Pythagore a averti que "ceux-là qui tuent des animaux pour les manger seront plus prédisposés que les végétariens à torturer et tuer leurs semblables." Ironiquement, le mouvement pour les droits animaux, largement initié par des végétariens, semble pencher vers le soutien de l'avortement légal, tandis que les mouvements pro-vie semblent indifférents au soutien des droits animaux. Mais les deux mouvements ont plus de similarités que de différences, dit Murti, l'auteur de The Liberal Case Against Abortion (La cause libérale contre l’avortement) : Poursuivre la lecture: http://ps139.blog.tdg.ch/archive/2008/04/05/vegetariens-pro-vie.html
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