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23/03/2008 – Le Canada ordonne à Sea Shepherd de se tenir à distance du massacre des bébés phoques A quelques jours du départ de Sea Shepherd des Bermudes pour Intervenir contre le plus gros massacre au monde de phoques du Groenland, le gouvernement canadien a publié un avertissement à l’encontre de Sea Shepherd Conservation Society pour rester en dehors des eaux Canadiennes. Le fax suivant a été reçu le 21 mars 2008. -------------------------------------------------------------------------------- To: Master m/y Farley Mowat, J’ai des raisons de penser que votre navire est en contravention avec les conventions maritimes internationales. Le navire doit être en règle avec les conventions de l’Organisation Maritime Internationale qui incluent : - Convention Internationale pour la Sécurité de la Vie en Mer (SOLAS) - Standard pour l’Entraînement et la Certification des Gardes (STCW) - Convention Internationale sur la Prévention et la Pollution des Navires, 1973 (MARPOL), Et - Conditions de certificat International de Tonnage Selon les informations fournies par le Registre des Pays Bas, le Navire ne remplit pas les conventions ci-dessus. Ainsi, selon la section 227 du Canada Shipping Act, 2001, vous êtes sommés de ne pas entrer dans les eaux canadiennes. Si vous n’obtempérez pas, vous serez susceptible d’être poursuivi sous la Loi Canadienne. L’Honorable Lawrence Cannon Ministre des Transports, Infrastructure et Communautés. -------------------------------------------------------------------------------- Le Capitaine Paul Watson a envoyé la réponse suivante : To: L’Honorable Lawrence Cannon Ministre des Transports, Infrastructure et Communautés. Merci pour votre information empêchant le Farley Mowat de Sea Shepherd Conservation Society d’entrer dans les eaux canadiennes. Bien que le Farley Mowat entrera bien dans la zone d’exclusion économique la semaine prochaine, nous ne pénètrerons pas dans la limite des 12 miles territoriaux. Nous contestons le « droit » du gouvernement canadien d’empêcher le passage libre d’un navire enregistré aux Pays Bas dans les eaux du St Laurent et les eaux au large du Labrador et de Terre Neuve. Le Farley Mowat n’a pas d’activité économique, et ainsi, nous ne serons pas en violation de la zone d’exclusion économique. Nous avons le droit de passage libre dans ces eaux. Bien sûr que le navire n’est pas en règle avec toutes les conventions de l’OMI parce que ces conventions s’appliquent à un navire commercial, et que le Farley Mowat de Sea Shepherd est un navire privé. Le navire est en règle avec SOLAS mais possède un certificat de tonnage, un certificat IOPP, et un certificat de responsabilité financière en cas de pollution. M. Cannon, Sea Shepherd Conservation Society ne peut accepter le massacre de masse cruel et inhumain de plus de 325.000 bébés phoques. Nous rejetons aussi toute prétention par le gouvernement canadien que le massacre des phoques est « bien géré » et que les quotas sont établis sous l’égide de scientifiques respectés. Ceux que vous appelez des scientifiques, nous les appelons biostituées. Votre gouvernement achète la science requise pour justifier vos plans cruels et biologiquement insensés pour détruire les phoques. La menace de la diminution de la couverture de glace à cause du réchauffement climatique n’a pas été prise en compte pour établir les quotas. Mon équipage international est prêt à une confrontation avec votre gouvernement sur ce problème et aucune menace de procès ou menace d’atteinte physique ne nous détournera de monter à la défense de bébés phoques innocents. Comme toujours, les campagnes de Sea Shepherd feront l’exercice le plus poussé de la prudence afin de s’assurer que personne ne soit blessé. L’inviolabilité de la vie est notre première considération. La chasse au phoque est une abomination perverse qui n’a pas sa place dans un monde civilisé, et certainement pas sa place dans le Canada du 21e siècle. Faîtes de votre pire, M. le Ministre, si nous sommes prêts à risquer nos vies en Haute Mer pour défendre la Vie Marine, il en faut plus que la peur d’être emprisonnés pour nous stopper. En fait, être emprisonné pour avoir défendu des vies innocentes est une marque d’honneur et de distinction. Protéger les innocents des sans remords et des sans merci est ce pour quoi l’organisation a été créée. Le navire ira dans le Golfe du St Laurent pour défendre les phoques de la violence et l’avidité des tueurs de phoques canadiens. Bien à vous Le Capitaine Paul Watson. http://www.seashepherd.fr/news.html
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Produits du phoque Plaidoyer pour la chasse Mise à jour le lundi 24 mars 2008, 18 h 07 . Des chasseurs de phoques du Québec, de Terre-Neuve et du Nunavut, sous l'égide de l'ambassadeur Loyola Sullivan, se rendront à Londres, Bruxelles, Paris, Berlin et Vienne, pour défendre l'industrie dont ils vivent. L'objectif de cette mission est d'éviter que les capitales européennes décrètent un embargo sur les produits du phoque. Depuis quelques années, les animalistes mènent l'essentiel de leurs campagnes contre la chasse au phoque en Europe. L'IFAW (International Fund for Animal Welfare), l'organisme américain Humane Society et la Sea Shepherd Conservation Society de Paul Watson investissent massivement pour inciter les parlements européens à suivre l'exemple de la Belgique et à boycotter l'importation des produits du phoque. Or, selon Denis Longuépée, représentant des chasseurs de loups-marins des Îles-de-la-Madeleine au sein de la délégation, cette propagande est parfois trompeuse. « Ils mettent des petites photos de blanchons sur Internet, mais ça fait depuis 1987 qu'on le chasse même plus », exemplifie-t-il. Le représentant déplore également les proportions, qu'il qualifie de démesurées, que la lutte contre la chasse au phoque tend à prendre. « Moi, je vais leur revendiquer mes droits. À un moment donné, il faut savoir s'arrêter. Ils vont même jusqu'à dire qu'il faut boycotter le Canada pour le tourisme et ses fruits de mer. Au Canada, on est capables de gérer nos choses », défend-il. La délégation de chasseurs et de fonctionnaires rencontrera les journalistes et les politiciens européens à compter de samedi prochain. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/03/24/005-chasse-phoque-gaspesie.asp Combien tout cela va coûter aux contribuables canadiens et qui fait de la propagande selon vous!
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Tremblante du mouton Un cas de tremblante du mouton a été découvert dans un troupeau de petite taille de la région de Rimouski dans le Bas-Saint-Laurent. L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) a immédiatement placé le troupeau en quarantaine et procède à l’abattage des animaux à haut risque, c’est-à-dire tous ceux « qui ont été exposés au même environnement de mise bas et qui sont jugés à risque de contracter la maladie », indique l’Agence. Il s’agit du deuxième cas de tremblante à surgir au Canada en 2008, le premier ayant été détecté en Ontario. Au Québec, les deux derniers diagnostics remontent à 2005, bien loin de la vague d’abattage de 43 troupeaux en 1997 et 1998. Depuis 1984, la maladie, proche parente de l’encéphalopathie spongiforme bovine, a été détectée dans 86 troupeaux de la province. http://www.laterre.ca/?action=detailNouvelle&menu=§ion=manchette&idArticle=5152
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Chirurgies cardiaques Le phoque ausculté Des chirurgiens cardiaques envisagent de transplanter sur des humains des valves prélevées sur des coeurs de phoque. L'entreprise Tamasu, aux îles de la Madeleine, a conclu une entente de partenariat avec des chirurgiens-cardiologues grecs pour mener à bien un projet de recherche à cet effet. Déjà, des valves mécaniques et des valves provenant de coeurs de vache ou de porc sont transplantées sur des humains, ce qui permet d'allonger la durée de vie des patients d'environ 10 ans. Le docteur Andreas Agathos, qui a été formé aux États-Unis en chirurgie cardiaque, est un spécialiste de ce type d'opérations. Le médecin, qui travaille au centre médical d'Athènes en Grèce, croit que l'utilisation de valves provenant de phoques allongerait la survie de ses patients. Il explique que des expériences menées il y a quelques années sur des phoques communs provenant de la Nouvelle-Écosse ont démontré que les rejets étaient moins nombreux avec les valves de phoque qu'avec les valves mécaniques. Leurs coeurs de phoque sont plus forts, leurs valves aussi par nature, ajoute-t-il. Le ministère des Pêches et des Océans a autorisé le prélèvement de 200 phoques pour le projet de recherche. Le Dr Agathos s'est donc rendu sur la banquise avec un chasseur madelinot pour prélever les coeurs qui seront expédiés à des laboratoires français, suisses et suédois. Des tests de transplantation y seront effectués sur des porcs. Quelque 150 000 valves d'animaux, d'une valeur de 4000 $ à 5000 $, sont utilisées chaque année dans le monde en chirurgie cardiaque. Chasseurs (archives) Si les expériences sont concluantes, cela ouvrirait la porte à un nouveau marché pour les chasseurs de phoque du Groenland. Tamasu détiendrait alors les droits exclusifs d'approvisionnement en valves de phoque à des fins médicales. Le Dr Agathos est conscient de la polémique entourant la chasse aux phoques. Si le projet fonctionne, les premières ventes seraient effectuées en Chine. Toutefois, à terme, advenant une telle utilisation du phoque, le président de Tamasu, Bernard Guimont, croit que l'image de la chasse s'en trouverait à jamais transformée. Des d'hypocrites, on veut justifier cette chasse à tout prix http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/03/25/008-valves-phoques_n.asp Demandez aux expérimentateurs pourquoi ils font des expériences sur les animaux et ils vous répondront: «Parce que les animaux sont comme nous.» Demandez-leur ensuite pourquoi ils est moralement justifiable de réaliser ces mêmes expériences et ils vous répondront: «Parce que les animaux ne sont pas comme nous.» L’expérimentation sur les animaux repose sur une contradiction logique.
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Russie - Vers une interdiction de la chasse aux blanchons
Caro18 a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Mobilisation pour les bébés phoques et les phoques Les autorités russes ont reçu une pétition massivement signée demandant l'interdiction de la chasse aux bébés phoques (*), rapporte le site nr2.ru. Quant aux biologistes, ils s'inquiètent, pour d'autres raisons, pour la survie même du phoque. Le Rosprirodnadzor (**), en la personne de son responsable adjoint, Oleg Mitvol, a été saisi d'une demande collective appuyée, précise l'Agence Prime-TASS, par une pétition signée par plus de 335.000 personnes réclamant l'interdiction de la chasse aux bébés phoques. La collecte de ces signatures a été effectuée par l'organisation écologiste IFAW. Le mouvement d'opinion qui s'est manifesté ces temps derniers en Russie a reçu en renfort le soutien d'un grand nombre d'acteurs et d'artistes. Certains se sont même rendus sur place pour protester contre cette chasse. "Actuellement, sur le plan d'eau de la mer Blanche, quelque 30 à 35.000 bébés phoques sont abattus chaque année", a déclaré pour sa part le ministère russe des Ressources naturelles. Ce dernier rappelle que cette chasse n'est autorisée qu'en Russie, selon des autorisations délivrées par le Comité d'Etat pour la pêche. Depuis une décennie, les organisations écologistes internationales demandent régulièrement aux autorités russes responsables de la chasse et de la préservation des bébés phoques de mettre un terme à cette activité. Le principal argument en faveur de cette chasse est avancé par l'administration d'Arkhangelsk, selon laquelle cette activité est pratiquée par des petits peuples autochtones du Nord. "Mais la chasse qui est pratiquée d'ordinaire en mars-avril est menée essentiellement par des chasseurs se servant d'hélicoptères, ce qui n'a rien à voir avec l'activité traditionnelle des petits peuples autochtones du Nord", note le ministère des Ressources naturelles dans son communiqué. Les bébés phoques sont utilisés essentiellement pour produire des articles de fourrure, une partie de cette matière première étant exportée vers la Norvège. En 2007, notamment, l'administration de la région d'Arkhangelsk a signé un accord avec une société norvégienne portant sur une coopération dans ce domaine. Les scientifiques attirent l'attention sur un autre point, note Irina Novojilova, directrice du Centre de protection des droits des animaux "Vita". Ils sont aujourd'hui très préoccupés par les processus défavorables qui affectent la population même des phoques: le nombre des naissances a été divisé par trois (120.000 en 2007, contre 350.000 en 2003), ce qui conduit à une réduction de leur population qui risque d'être fatale. Les biologistes pensent que cette diminution du nombre des phoques est due au manque de poissons, qui sont pêchés par l'homme dans des quantités trop importantes, alors qu'ils constituent la base de leur alimentation. Autre phénomène jouant en défaveur de ces animaux: le réchauffement climatique, qui rend plus difficile pour les phoques la création de nids de glace permettant aux femelles, après avoir mis bas, d'y protéger leurs petits. Le quota annuel de chasse aux bébés phoques en Russie est actuellement fixé à 30.000, la chasse aux phoques plus âgés n'étant, elle, pas limitée. La chasse aux bébés phoques (à la fourrure blanche) a eu lieu cette année du 1er au 10 mars, la chasse aux phoques "gris" (jeunes phoques âgés d'un mois, dont la fourrure commence à virer au gris), étant autorisée à partir du 10 mars. (*) Il s'agit des petits des phoques du Groenland, qui migrent chaque année vers le "goulot" (entrée) de la mer Blanche, le long de la région russe d'Arkhangelsk, où les femelles mettent bas. (**) Le Rosprirodnadzor est le Service fédéral de contrôle de l'exploitation des ressources naturelles http://fr.rian.ru/science/20080322/101983141.html -
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Un comité pour les animaux par Jessy Laflamme jessy.laflamme@transcontinental.ca Afin d’aider les animaux domestiques, Mme Lavergne invite les gens intéressés par cette cause à se joindre à un comité qu’elle a mis en place. «Nous essayerons de trouver des solutions tous ensemble», indique-t-elle. Elle aimerait également recevoir des témoignages de gens ayant identifié des cas de cruauté ou de négligence animale. «Ils peuvent être envoyés de façon anonyme, je veux simplement faire comprendre aux élus que c’est un réel besoin dans la région.» Pour ce qui est des solutions, Mme Lavergne espère en trouver avec le comité. «Évidemment, l’idéal serait de créer un refuge pour les animaux», précise-t-elle. En attendant, on pourrait peut-être créer des familles d’accueil.» Le comité aura aussi comme mandat de sensibiliser les gens. «Ce n’est pas humain de laisser un chien ou un chat dans le froid hivernal, je voudrais être en mesure de toucher les citoyens pour que de telles situations ne se reproduisent pas», mentionne Mme Lavergne. La stérilisation des animaux domestiques est aussi un facteur important pouvant aider la situation. Cependant, empêcher un chat ou un chien de se reproduire est assez dispendieux. La clinique vétérinaire de Papineauville charge entre 115 et 250 $ selon l’animal pour ce service. «Les gens à faible revenu ne peuvent se permettre d’opérer leur animal, souligne Mme Lavergne. On pourrait peut-être mettre en place une collaboration avec la clinique vétérinaire pour offrir des spéciaux lors de certaines périodes», suggère Mme Lavergne. Celle-ci est très confiante de pouvoir faire avancer cette cause. «Chaque problème a une solution, la création du comité n’est qu’un début», affirme-t-elle. Les rencontres de ce nouveau groupe pourront avoir lieu à la mairie de Chénéville puisque la municipalité fournit gratuitement un local et un conseiller. «C’est notre façon de contribuer à cette cause, explique le maire de Chénéville, Joseph Filion. On attendra par la suite les recommandations du comité pour réagir.» Mme Lavergne tient cependant à préciser que toutes les personnes de la MRC Papineau peuvent donner leur nom et non seulement les résidants de Chénéville. Les personnes intéressées à partager leur histoire ou à faire partie du comité sont invitées à communiquer avec Mme Lavergne au 819 428-1372 ou par courriel à ghislaine@tlb.sympatico.ca. http://www.info07.com/article-195354-Un-comite-pour-les-animaux.html Les animaux manquent de ressources Une résidante de Chénéville, Ghislaine Lavergne, a été témoin de négligence animale. Elle s’est alors indignée face au manque de ressources concernant la cruauté animale dans la MRC Papineau. En effet, aucune règle régionale ne concerne la protection des animaux dans la MRC Papineau. Certaines municipalités exigent des frais d’enregistrement pour les chiens, mais l’argent de ces licences n’est pas réinvesti dans la protection des animaux. «Pour les cas de négligence animale, il faut téléphoner à Anima-Québec, un organisme provincial qui s’occupe de la sécurité des animaux, explique le policier Guylain St-Pierre. En cas de cruauté, c’est la Sûreté du Québec (SQ) qui prend le dossier en charge.» Cependant, Anima-Québec ne possède que quatre inspecteurs pour tout le Québec. Pour ce qui est de la SQ, les agents se déplacent lorsqu’ils reçoivent un appel, mais rendus sur place, il est difficile de soutirer l’animal au propriétaire. «Il faut prouver que l’animal a été maltraité avant de l’arracher à son maître», ajoute M. St-Pierre. La MRC Papineau ne prévoit rien prochainement pour régler ce problème. «On est vraiment à la base dans ce dossier, indique le coordonnateur de la Sécurité publique de la MRC, Marc Beaulieu. Aucun projet régional n’est prévu pour les animaux.» De son côté, la municipalité de Thurso s’est affiliée avec la SPCA pour l’application des règlements concernant les animaux. Ces services coûtent 6226 $ par année. Toutes les municipalités pourraient emboîter le pas à Thurso afin d’offrir aux citoyens des services plus complets et mieux adaptés aux besoins actuels. «Ces services sont très dispendieux et je ne crois pas que les municipalités soient prêtes à investir ces montants», mentionne la préfet de la MRC Papineau, Paulette Lalande. http://www.info07.com/article-195347-Les-animaux-manquent-de-ressources.html La SPCA à Thurso Thurso est la première municipalité de la MRC Papineau à demander les services de la SPCA pour l’application des règlements concernant les animaux. «Ça permettra d’offrir à nos citoyens des services plus complets et mieux adaptés aux besoins actuels», a affirmé le maire de Thurso, Maurice Boivin. Pour obtenir la collaboration de cet organisme, la ville de Thurso doit débourser 6226 $ par année. Auparavant, c’était l’inspecteur municipal en bâtiment qui avait la tâche de préposé aux animaux. Dorénavant, les patrouilleurs de la SPCA, surtout Karl Umbriaco, effectueront parfois de la surveillance de jour dans la municipalité de Thurso et pourront mettre en quarantaine les animaux mordeurs ou présentant des symptômes de rage. Ces inspecteurs de la SPCA affirment que, malgré la grandeur du territoire à desservir, ils règlent dans la plupart des cas les appels des citoyens dans la même journée. Les résidants de Thurso devront enregistrer leur chien à l’hôtel de ville. L’animal devra ensuite porter en tout temps un collier auquel sera attachée la médaille fournie. Celle-ci permettra aux patrouilleurs de la SPCA de retracer facilement le propriétaire d’un chien errant ou perdu. Les chiens perdus ou abandonnés auront aussi droit maintenant à une deuxième chance puisqu’ils seront placés en adoption alors qu’avant, ils se faisaient euthanasier. L’un des patrouilleurs de la SPCA, Roch Chantigny, a suivi une formation pour intervenir en cas de cruauté animale. Il est donc possible de faire appel à ce service. Pour les gens intéressés, la SPCA offre également un service de crémation pour leurs amis à poils. Des urnes sont disponibles pour conserver les cendres du défunt animal. En ce qui concerne les chats, les inspecteurs de la SPCA précisent que les gens peuvent téléphoner en cas d’urgence moyennant quelques frais pour le service. Pour obtenir des informations supplémentaires, il est possible de téléphoner à la mairie de Thurso au 819 985-2701 ou de visiter le site www.spca-outaouais.org http://www.info07.com/article-195352-La-SPCA-a-Thurso.html
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Canada : Après la chasse aux phoques vient le tour des boeufs musqués Au Canada, la chasse semble être une activité très prisée mais également très populaire. Les passionnés peuvent choisir entre différentes catégories de chasse possibles. Ainsi, après la chasse aux phoques vient le tour des boeufs musqués. Le bœuf musqué appartient à la famille des bovidés. Cet animal sauvage est un cousin du mouflon d’Amérique ou encore de la chèvre des montagnes. Il vit exclusivement dans la toundra du Canada, en Alaska et au Groenland. Lorsqu’une “chasse sportive expérimentale” au bœuf musqué fut proposée par le Ministère des Ressources Naturelles et de la Faune ou MNRF par le biais d’un communiqué, les chasseurs québécois n’ont pas été conviés. L’activité s’adresse surtout aux Américains. Questionnés sur le sujet, les responsables de cette manifestation ont tenu à préciser que pour les éditions suivantes, les Québécois seraient également de la partie. Pour l’instant, il ne s’agit pas encore d’une chasse classée officielle. Dans un second communiqué, le MNRF parle d’un “prélèvement expérimental” plutôt que d’une chasse. Aucune précision n’a été donnée mais il se pourrait bien que les retombées de la chasse aux phoques chez les défenseurs des droits des animaux y soient pour quelque chose. Dans tous les cas, les organisateurs ont tenu à préciser que seuls les détenteurs de permis spéciaux auront le droit de participer à cette chasse et ils devront faire appel au service d’un pourvoyeur inuit. En outre, la chasse sera très limitée et seuls six bœufs musqués pourront être “prélevés”. Les Japonais avancent une chasse à la baleine dans un “but purement scientifique”, les Canadiens parlent de “prélèvement expérimental” sur les bœufs musqués. A qui le tour de mener des “recherches fondamentales” sur un quelconque animal ? Pauvres bêtes, si au moins vous pouviez “riposter”. http://www.waliboo.com/animaux-sauvages/canada-apres-la-chasse-aux-phoques-vient-le-tour-des-boeufs-musques/5080/
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Pas de viande de chien durant les Olympiques (Beijing)
Caro18 a répondu à un(e) sujet de Animal dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Les restaurants de viande de chien de Beijing ont peut-être fermé pour les Jeux Olympiques, mais à seulement 30 km, on en trouve toujours en abondance. Ce que nous avons découvert du commerce de la viande de chien en Chine montre ce qu'est véritablement la préparation de la ville pour les Jeux Olympiques : une opération de chirurgie esthétique superficielle et cynique, pour cacher la plus infâme déloyauté imaginable envers le plus proche compagnon de l'Homme. » dit un des enquêteurs. http://www.chine-informations.com/actualite/chine-de-la-viande-de-chien-dans-les-restaurants-pour-pekin-2008_8707.html -
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Chine : l'enfer des non-humains !
Caro18 a répondu à un(e) sujet de Animal dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Boycott des JO : Lettre ouverte de Brigitte Bardot au Président du CNOSF NDLR: Brigitte Bardot vient d'écrire cette lettre ouverte à M. Henri Sérandour, Président du Comité National Olympique et Sportif Français. Notre site fait que transmettre l'information et ne reflète en aucun cas notre point de vue. "Monsieur le Président, Depuis plusieurs années, j'interviens, sans grand succès hélas, auprès du gouvernement français pour lui demander de réagir auprès des autorités chinoises afin de protester contre les actes de cruauté perpétrés en toute impunité, parfois même encouragés, par le régime de Pékin. Que la France, berceau des Droits de l'Homme, se taise pour ne pas compromettre la signature de contrats m'écoeure et me fait honte, il me paraît donc légitime de me faire le porte-parole des citoyens, laissant nos politiques se faire les porte-paroles des économistes ! La Chine est actuellement sous les feux de l'actualité pour deux raisons bien différentes : d'une part, la terrible répression exercée à l'encontre du peuple tibétain qui réclame, en toute légitimité, l'autonomie de son pays et, d'autre part, l'organisation des prochains Jeux Olympiques. Je suis déjà intervenue auprès du CIO pour dire combien il était injuste de mettre à l'honneur la Chine, pays qui ne peut être associé aux valeurs des JO dont la charte énonce « le respect des principes éthiques fondamentaux universels ». D'ailleurs, pour l'organisation de ces jeux, les autorités chinoises n'ont pas hésité à déplacer des populations entières, à détruire des quartiers anciens pour édifier des stades et autres équipements sportifs. Des milliers de Chinois ont été plongés dans la détresse et des milliers d'animaux ont été condamnés à mort pour faire place nette... c'est scandaleux ! En plus des violations aux Droits de l'Homme, la Chine est la terre de toutes les souffrances animales. Nous connaissons l'horreur des élevages de chiens et de chats et leur abattage dans des souffrances indescriptibles, un « spectacle »insoutenable, indigne de tout être humain qui se respecte. Egalement, l'exploitation cruelle d'ours pour leur bile dans des fermes de la honte, où les malheureux animaux vivent dans des cages, un cathéter enfoncé directement dans leur vésicule pour prélever la bile... Mais la cruauté semble n'avoir aucune limite en Chine comme en témoignent différents rapports sur l'élevage et la mise à mort des animaux pour leur fourrure. J'ai vu ces images monstrueuses où des renards, des chiens viverrins étaient assommés à coups de gourdins ou projetés avec force contre le sol. Les images de ces animaux encore conscients à qui l'on arrache la fourrure, se tordant de douleur une fois écorchés, me hantent et me révoltent au-delà de ce que vous pouvez imaginer. Si dans la mythologie chinoise la sagesse est représentée par 3 singes dont la devise est « ne rien voir, ne rien entendre et ne rien dire », cette devise est reprise aujourd'hui par tous ceux qui ne font preuve d'aucune sagesse mais d'une totale lâcheté ! Je suis consciente que nous ne pouvons pas demander à nos athlètes de boycotter ces jeux qui sont, pour certains, l'aboutissement de leur carrière. Alors je vous demande, Monsieur le Président, de soutenir le boycott de la cérémonie d'ouverture. C'est un symbole fort, un refus de cautionner et d'accepter l'inacceptable. Si nos politiques sont prêts à toutes les compromissions, toutes les soumissions, l'espoir peut alors venir des sportifs, qui portent en eux des valeurs de respect et de dignité. C'est donc une supplique que je vous adresse aujourd'hui, en mon nom propre et celui de ma Fondation qui a pour unique membre d'honneur le Dalaï Lama. Je compte sur vous et vous assure, Monsieur le Président, de toute ma considération. Brigitte Bardot, Présidente" http://www.chine-informations.com/actualite/chine-boycott-des-jo-lettre-ouverte-de-brigitte-bardot-au-president-du_8902.html -
Réponse de Jack Layton NPD, à une autre lettre que je lui avais envoyée The NDP on protecting animals from cruelty De : Layton, Jack - M.P. (Layton.J@parl.gc.ca) Thank you for your recent email opposing Bill S-203, An Act to amend the Criminal Code (cruelty to animals). The federal NDP supports strengthening provisions of the Cruelty to Animals Section of the Criminal Code of Canada to discourage violence and cruelty against animals and to punish those responsible for such acts. Regrettably, Harper's Conservatives and Dion's Liberals have teamed up once again. This time they are blocking efforts to modernize Canada’s 19th-century animal cruelty law. For years, Parliament has been trying to change the law to reflect our Canadian values. This includes closing loopholes that shield abusers, stopping those who profit from animal fights, taking animals out of property law, and protecting wild and stray animals. All those efforts are at risk. The Conservative government and Liberal opposition have abandoned a promising bill (C-373) which had with strong public support. Instead, they are lining up behind Bill S-203—a weak bill slipped in through the undemocratic Senate—and they’re blocking every NDP effort to amend it. I am sure you will agree that Bill S-203 is a trick. It’s designed to bury this issue by creating an illusion of progress. How? This bill increases penalties for some existing offences. Yet, it does nothing to fix the 115-year-old loopholes that protect abusers from prosecution in the first place. What can you do? Alongside every animal protection agency in the country, you can tell the old-line parties to get serious about animal protection—and kill Bill S-203: - Rob Nicholson, Conservative Justice Minister: Nicholson.R@parl.gc.ca / 613-995-1547 - Dominic LeBlanc, Liberal Justice Critic: Leblanc.D@parl.gc.ca / 613-992-1020 Looking forward, the NDP will continue to support meaningful legislative initiatives that provide real protection for animals. The abuse of any vulnerable creature, human or otherwise, is something that we should all take seriously. Again, thanks for your interest in this important matter. Feel free to pass along this email to your contacts. All the best. Sincerely, Jack Layton, MP (Toronto-Danforth) Leader, Canada’s New Democrats
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Les animaux du canada ont besoin de votre aide Envoyez une lettre à votre député maintenant! Les membres du Parlement canadien vont bientôt débattre du projet de loi S-203. Cependant, nous avons une dernière chance d'arrêter le projet de loi S-203! Les députés doivent comprendre que leurs électeurs ne veulent pas d'une loi avec des faiblesses! Plus tôt cette année, vous avez été l'un des 1400 sympathisants de la WSPA qui ont participé à la campagne pour faire pression sur les membres du Comité de la justice. Nous espérons que chaque personne qui a participé auparavant enverra une lettre à leur député et en parler à leurs amis et leur famille, afin d'envoyer un message clair aux députés . Joignez-vous à nous pour faire connaître vos préoccupations concernant le projet de loi S-203 par l'envoi d'une lettre à votre député dès aujourd'hui. Vous pouvez envoyer une lettre directement à partir de notre site Web en quelques minutes. S’il vous plaît envoyer une lettre à votre député immédiatement. Vous pouvez envoyer votre lettre par l'intermédiaire de notre site Web à http://www.wspa.ca/crueltylaw Merci d'être une voix pour les animaux,
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Voici sa réponse: De : Martineau, Richard (martineau@journalmtl.com) Merci pour votre courriel. Je vous laisse, car un beau poisson m'attend dans mon assiette... Voici ma re-re réponse: M. Martineau, J'espère que vous allez en manger à la tonne du poisson et à chaque jour et même 3 fois par jour, car le poisson passe toute son existence dans un environnement pollué et toxique, sa chair est remplie de métaux lourds (mercure, arsenic, cuivre, etc.), et les pesticides et les éléments radioactifs s’accumulent dans son organisme tout comme dans celui du consommateur de poisson. Le poisson est l’hôte de virus, de bactéries et de parasites. Bon appétit! Avis en matière de consommation de poisson par Environnement Canada http://www.ec.gc.ca/MERCURY/FR/fc.cfm
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2006 Les animaux de compagnie en France Dans la France de 2006, 50.6 % des foyers possèdent au moins un animal familier, un taux de possession qui demeure globalement stable depuis plus de dix ans. Près de 60 millions de chiens, chats, oiseaux, poissons et autres petits rongeurs partagent la vie des familles françaises. Mais si la population d’animaux familiers reste en valeur absolue la plus importante de l’Union Européenne, la France n’est aujourd’hui qu’au 4ème rang pour la possession des chats et au 5ème pour celle des chiens. 42.7 % des foyers français ont choisi la compagnie de chiens ou de chats, 11,8 % celle des poissons. Les petits rongeurs sont présents dans 6.1 % des foyers et les oiseaux dans 4.6 %. Même si le chien demeure l’animal préféré des français - 78.4% des foyers interrogés déclarent aimer les chiens et 68.1% aimer les chats -, le taux de possession de ces derniers est maintenant légèrement supérieur au taux des possessions des chiens (25.9% possèdent au moins un chat et 25% au moins un chien). La possession de chats est stable par rapport à notre enquête de 2004 et l’on constate un fléchissement de la possession de chiens, associée à une baisse de la multi-possession qui passe de 21.3% à 18.5%. Le nombre moyen de chiens par foyers possesseurs est ainsi de 1.27 alors qu’il est de 1.52 pour les chats. Aujourd'hui, comme dans beaucoup d'autres pays, la population de chats dépasse celle des chiens, en raison de la multi possession de chats. La possession des poissons poursuit sa légère croissance, celle des rongeurs est stable depuis 2003 et la possession d’oiseaux est en nette régression en raison des mesures de précaution réglementaires prises pour éviter la propagation de l’influenza aviaire. Des membres de la famille, compagnons des enfants Les animaux de compagnie trouvent très naturellement leur place dans les foyers français. 69 % des possesseurs de chiens et 72.4 % des possesseurs de chats déclarent avoir choisi cette compagnie tout simplement par amour des chiens et chats. Respectivement 35 et 37% d'entre eux ont toujours possédé un chien ou un chat et c'est dans des foyers de 3 personnes et plus que le taux de possession est le plus élevé. 62.2% des personnes interrogées considèrent les animaux familiers comme des membres de la famille à part entière, 74% pensent que la présence d’un animal est bonne pour le développement de l’enfant et 69% qu’ils sont de parfaits compagnons de jeux. Il y aurait donc 8,08 millions de chiens, 10,04 millions de chats, 2,94 millions de lapins et rongeurs, 3,68 millions d'oiseaux et 35,1 millions de poissons. En fait, il y aurait 800 000 chiens de moins qu'en 2004. Les trois quarts des chiens français sont des chiens de race. Le caniche est en tête suivit du labrador, du yorkshire, du berger allemand et de l'épagneul breton. Il y a progression des croisés avec 23,7% soit 5% de plus qu'en 2002. Le taux de stérilisation des chats et des chattes progresse: trois mâles sur quatre sont castrés et sept femelles sur dix sont stérilisées. L'âge moyen des chats a augmenté pour se situer à 5,8 ans avec une espérance de vie moyenne de 9 ans. La moyenne d'âge des chiens est de 6,9 ans et l'espérance de vie de 11 ans. Source: FACCO Sondage réalisé en novembre 2006 auprès de 20 000 foyers français
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2007 - Nombre de chiens et de chats aux États-Unis En 2007, les États-Unis comptaient pas moins de 43 millions de foyers avec au moins un chien et 37,5 millions de foyers avec au moins un chat. Toutefois, ce sont les chats qui sont les plus nombreux avec 81,7 millions d’individus, comparativement à 72 millions de chiens. Dans 64 % des cas, les propriétaires possèdent plus d’un animal et ceux-ci ont dépensé en 2006, pas moins de 24,5 milliards de dollars en soins vétérinaires. Source : U.S. Pet Ownership and Demographic Sourcebook 2007 réalisé par l’AVMA auprès de 48 000 foyers américains
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Le Québec compte maintenant 2,3 millions de chats et de chiens mais… 22 février 2008 - Selon un sondage réalisé en janvier dernier par la firme Léger Marketing1 pour le compte de l’Académie de médecine vétérinaire du Québec2 en association avec CDMV3 et Hill’s Pet nutrition4, le nombre d’animaux de compagnie au Québec et en particulier les chats, a sensiblement augmenté au cours des dernières années. Malgré cette hausse de popularité, il y a un revers à la médaille puisqu’à 750 000 occasions, en 2007, les Québécois se sont quand même départis volontairement ou non de leurs chats et de leurs chiens. Écoeurant En fait, que ce soit pour des problèmes de santé, de vieillissement, de mauvais comportement, de contrainte règlementaire, d’allergie, de manque d’espace ou d’argent, les Québécois ont donné, vendu, fait euthanasier ou perdu un chat à quelque 491 000 occasions et un chien à 261 000 reprises. Somme toute, les Québécois se sont départis de 25 % de tous les chats ou chatons qu’ils ont logés au cours de 2007 et de 23 % de tous les chiens et chiots qu’ils ont possédés. Un roulement d’animaux qui a de quoi laisser perplexe! Même si à chaque sondage, la hausse du pourcentage de chats par foyer est statistiquement peu significative, il n’en reste pas moins qu’au cours de la dernière décennie, le chat a continué à gagner en popularité au Québec. En effet, en 1995, on retrouvait au moins un chat dans 23,2 % des foyers québécois comparativement à 29 % en 2008. C’est ainsi qu’en tenant compte du nombre estimé de foyers québécois et du fait que les propriétaires de chats ont en moyenne 1,57 chat, nous arrivons au nombre approximatif de 1 452 000 chats au Québec. À noter que ce chiffre ne tient pas compte des chats errants ou vivant temporairement dans les boutiques d’animaux ou les refuges. En contrepartie, le nombre de chiens au Québec est beaucoup moins important, ceux-ci étant présents dans seulement 23 % des foyers. En tenant compte que ceux qui possèdent des chiens en ont en moyenne 1,2 par foyer, on estime que la population approximative de chiens se situerait à 880 000 pour l’ensemble du Québec. Parmi les nombreuses autres informations disponibles, il est intéressant de souligner que ce sont les 35-44 ans qui hébergent le plus de chats avec 40 % des logements ou maisons. En contrepartie, les 18-24 ans et les plus de 65 ans ont le moins de chats avec seulement 9 %. Au niveau de l’occupation, ce sont les employés de bureau et de services qui se portent acquéreurs le plus souvent d’un chat avec 32 % et les retraités qui en ont le moins avec 22 %. Et c’est en milieu urbain que l’on retrouve le plus de foyers avec des chats, soit 33 % pour le Grand Montréal et 34 % pour le Grand Québec. Dans le reste de la province, ce chiffre tombe à 24 %. En ce qui concerne les chiens, c’est dans la tranche d’âge 45-54 ans que l’on retrouve la plus importante proportion de propriétaires de chien avec 32 %. De même, l’est de la province se démarque avec le plus fort pourcentage de foyers abritant un chien, soit 35 %. En ce qui a trait à la scolarité, on remarque que ce sont ceux qui ont terminé des études universitaires qui en détiennent le moins avec seulement 15 %, comparativement à 29 % de ceux qui n’ont complété qu’un niveau primaire ou secondaire. Au niveau de l’occupation, les étudiants possèdent moins de chiens avec 11 % et ceux restant à la maison en ont le plus avec 45 %. Le sondage révèle par ailleurs que la méthode la plus fréquente d’acquérir un chat reste encore de l’obtenir d'une portée de sa propre chatte ou de celle d'une connaissance et ce, dans 37 % des cas. En deuxième position, on retrouve l’achat en animalerie avec 15 %, suivi d’une société protectrice des animaux (SPA, SPCA) à 12 % et de petites annonces dans les journaux, sur les babillards ou Internet avec le même pourcentage. Seulement 3 % proviennent d’éleveurs. Chez les chiens, le portrait diffère légèrement puisqu’on note que les Québécois se procurent leur chien principalement d’éleveurs et ce, dans 27 % des cas. En deuxième position, avec 21 %, ils choisiront un chiot provenant d’une portée de leur propre chienne ou de celle d’une connaissance. Par la suite, 11 % opteront pour les petites annonces dans les journaux, sur les babillards ou Internet. Si 6 % ont choisi une Société protectrice des animaux (SPA, SPCA), en contrepartie 5 % ont acheté dans une boutique d'animaux ou dans une société agissant comme fourrière municipale. 1. Le présent rapport fait état des résultats d’un sondage réalisé par Léger Marketing pour le compte de l’AMVQ (Association de médecine vétérinaire du Québec) en collaboration avec le CDMV inc. et Hill’s Pet nutrition. Dans l’ensemble, 1 001 personnes ont été interrogées entre le 18 et le 23 janvier 2008. À l’aide des données de Statistique Canada, les résultats ont été pondérés selon l’âge, le sexe, la région et la langue maternelle afin que l’échantillon soit représentatif de la population québécoise. La marge d’erreur pour 1 001 répondants est de ± 3,1 %, 19 fois sur 20. «les extrapolations présentées dans ce rapport ont été effectuées à partir du nombre de foyers au Québec rapportés par Statistique Canada selon le recensement de 2006 (3 189 345 foyers). 2. L’AMVQ (Académie de médecine vétérinaire du Québec inc.) est une association à but non lucratif qui existe depuis 58 ans et qui regroupe plus de 700 médecins vétérinaires québécois pratiquant dans le domaine des animaux de compagnie au Québec. Pour information : www.amvq.qc.ca 3. CDMV est, depuis plus de 30 ans, le principal distributeur de produits vétérinaires au Québec, un joueur important dans le monde de la santé animale. Pour information : www.cdmv.com 4. Hill’s Pet nutrition est un leader mondiale de l’alimentation animale et un fier partenaire de la profession vétérinaire depuis 60 ans. Pour information : www.hillspet.com http://www.veterinet.net/
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Animaux à placer / Animals to place 19 mars 2008 Bonjour à tous! Juste un petit mot pour vous dire que nous avons encore beaucoup d'animaux à placer temporairement en famille d'accueil. Nous cherchons spécialement des foyers pour chiens avec la toux de chenil, les chats avec la rhino, les gestantes, et même pour des lapins qui ont été saisie d'une ferme en ontario! SVP n'hésiter pas de nous contacter pour rencontrer nos petits qui ont tant besoin de vous... Hello everyone! Nous aimerions vous rappeler que nous fournissons la nourriture pour le départ et que nous avons un vétérinaire que vous pouvez consulter pour 5$ en cas de besoin. Programme des familles d'accueil - SPCA Mtl 5215 Jean-Talon Ouest, Montréal, QC, H4P 1X4, Canada 514-735-2711, ext. 2237 pfa_fp@spcamontreal.com foyerdaccueil@spcamontreal.com DESCRIPTIONS ET PHOTOS http://foyerdaccueil.blogspot.com/
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Il me semble que les producteurs ont le droit d'abattre eux-mêmes les animaux pour leurs propres consommations, mais aussi pour des évènements locaux ou pour des méchouis! Sans parler des abattages rituels dans les caves et dans les centres spécialement offerts pour les rituels =============================================== Voilà! J'ai trouvé ça! Pour les volailles c'est légal, donc pour les autres animaux aussi! La consommation sur les fermes est la quantité de viande de volaille disponible pour la consommation par les producteurs et leurs familles immédiate. La production de viande de dindon et dinde est basée sur les oiseaux abattus dans les abattoirs enregistrés, dont les données proviennent d’AAC, et sur l'abattage non commercial. L'estimation de l'abattage non commercial, c’est-à-dire les dindons et dindes abattus sur les fermes, provient des données sur les stocks de dindons et dindes tirées du plus récent Recensement de l’agriculture. La consommation sur les fermes est calculée de la même manière que pour la production de viande de poulet. Source: http://www.statcan.ca/francais/freepub/23-015-XIF/2007003/technote1_f.htm Les fermiers peuvent aussi tuer les animaux malades La plupart des provinces autorisent l’abattage à la ferme comme solution de rechange au transport des animaux non ambulatoires Source: http://www.inspection.gc.ca/francais/anima/heasan/transport/consensusf.shtml Aucune loi canadienne ne régit le traitement des animaux sur les fermes; il n’existe que des codes de conduite volontaires!
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Déversement d'un camion chargé de poulets à Saint-Apollinaire. (tqs.ca) Des centaines de poulets étaient éparpillés sur la chaussée de l'autoroute Jean-Lesage. Plusieurs d'entre eux sont morts sur le coup ou ont été écrasés par les véhicules qui suivaient. UNE VIE DE MISÈRE ET UNE FIN ATROCE Une manoeuvre du camionneur, qui s'en est heureusement sorti indemne, serait à l'origine de la perte de contrôle du véhicule survenue vers 6 heures 30 ce matin (mercredi). La cargaison contenait environ 10 000 poulets qui provenaient de St-Damase près de Montmagny et qui devaient être livrés à un abattoir situé sur la rive sud de Montréal. L'Agence fédérale d'inspection des animaux est débarquée sur place afin de s'assurer que les animaux blessés et agonisants ne soient pas acheminés vers l'abattoir. POUR LA SANTÉ DES HUMAINS ET NON POUR LE BIEN-ÊTRE DES POULETS Les poulets toujours vivants ont été chargés sur un autre camion-remorque alors que les animaux morts ont été récupérés par un équarisseur. http://www.tqs.ca/infos/quebec/2008/03/Deversement-d-un-camion-charge-de-poulets-a-Saint-Apollinaire--7801.php