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Animaux maltraités Refuge insalubre Mise à jour le mardi 5 février 2008, 10 h 44 . Les inspecteurs ont retirée les animaux du refuge. La Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) a retiré d'un refuge en Nouvelle-Écosse près d'une centaine de chats et de chiens qui vivaient dans des conditions épouvantables. Les inspecteurs ont trouvé ces animaux en fin de semaine alors qu'ils effectuaient une intervention dans le cadre d'une enquête sur ce refuge. L'établissement est situé à Port Hastings. Il était tenu à titre privé par Mme Zonda MacIsaac. Il comprend deux édifices. Le reflux d'égout dégageait tant d'ammoniaque dans l'un d'eux qu'un des inspecteurs n'a pu y rester. On a découvert une chienne et ses petits dans un chenil dont le sol était couvert d'excréments. Les animaux étaient livrés à eux-mêmes depuis plus de 65 heures. On a trouvé un cadavre dans un sac de poubelle et d'autres ailleurs. Pamela Keddy, présidente de la SPCA en Nouvelle-Écosse, affirme que le plus choquant est le fait que la propriétaire du refuge était précédemment connue pour son dévouement envers les animaux. Les animaux attendent maintenant d'être adoptés. Annette Armitage, présidente de l'association des refuges, indique qu'elle ne comprend pas non plus pourquoi ni comment cela s'est produit. La SPCA envisage de porter des accusations dans cette affaire pour cruauté par négligence et manque de soins. Pamela Keddy ajoute qu'elle croit aussi qu'il faut renforcer les lois qui protègent les animaux des humains et donner aux inspecteurs de la SPCA le droit d'accéder à des locaux sans mandat de perquisition quand ils soupçonnent quelque chose. Grâce à la SPCA et à la police, la plupart des animaux retirés du refuge ont été, ou seront bientôt, amenés dans un centre plus accueillant où un vétérinaire déterminera leur capacité à rejoindre une famille d'accueil, en attendant l'adoption. Jean-Albert Maire décrit les conditions dans lesquelles vivaient les animaux. VOIR LA VIDEO: http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2008/02/05/002-NE-refuge-animaux.shtml
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GAIA s'insurge de la maltraitance barbare d'une vache
Caro18 a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
GAIA s'insurge de la maltraitance barbare d'une vache par Ahmed Hassan Lettres de protestation envoyées au joueur du RSC Anderlecht et aux dirigeants du club de football : « Cette cruauté ternit aussi l'image d'Anderlecht » L'organisation pour la défense des droits des animaux GAIA réagit avec consternation à la cruelle maltraitance d'une vache, égorgée vendredi dernier sans aucune forme d'étourdissement par le joueur d'Anderlecht Ahmed Hassan et ses coéquipiers de l'équipe nationale égyptienne, soi disant pour porter bonheur à l'équipe dans son match contre l'Angola dans les quarts de finales de l'Africa Cup. Le président de GAIA, Michel Vandenbosch, a écrit une lettre à ce sujet non seulement à Ahmed Hassan, mais aussi au président du RSC Anderlecht Roger Vandenstock. Dans ces lettres, GAIA fait référence au rôle d'exemple que remplit un footballeur professionnel d'Anderlecht, même quand il joue à l'étranger pour son équipe nationale. "Abattre un animal par superstition est déjà inacceptable, mais la manière dont cela s'est fait est vraiment criminelle", écrit Michel Vandenbosch. Il est certain que le malheureux animal ait souffert horriblement. Pour pouvoir égorger la vache, presque toute l'équipe a dû s'y mettre pour l'immobiliser, attachant la patte avant droite aux pattes arrière. Dans de telles circonstances, l'agonie d'une vache, qui dure au moins cinq minutes, est particulièrement douloureuse. "Si vous aviez fait ça ici en Belgique, vous auriez immanquablement été poursuivi pour cruauté envers un animal," remarque Michel Vandenbosch. L'Egypte a remporté hier son match contre l'Angola. Le but gagnant était, paraît-il, un coup de chance. Il y a maintenant de fortes chances pour qu'Hassan et ses coéquipiers voient ainsi confirmée leur superstition barbare. GAIA craint que la vache égorgée vendredi n'en sera pas la dernière victime. Ahmed Hassan "donne le mauvais exemple à ses supporters, mais surtout aux enfants qui l'admirent," continue Michel Vandenbosch dans sa lettre à au président du club Anderlechtois. "Même s'il s'agit d'un footballeur talentueux comme Hassan, j'espère que vous partagerez mon avis que la cruauté dont il a fait preuve n'est pas de mise dans un club aussi célèbre qu'Anderlecht. Quand Ahmed Hassan se montre au monde en tant que bourreau d'animaux, il ternit par la même occasion l'image d'Anderlecht." GAIA espère qu'Ahmed Hassan reviendra à la raison, et que les dirigeants d'Anderlecht lui feront comprendre clairement que de telles pratiques sont inacceptables et ne doivent en aucun cas être répétées. http://www.gaia.be/fra/control.php?&topgroupname=&groupname=cp100 -
L'entreprise Aux Champs d'Élisé est exonérée de tout blâme Le 4 février 2008 - 17:57 | Olivier Caron L'entreprise Aux Champs d'Élisé, qui produit essentiellement du foie gras, est finalement exonérée de tout blâme relativement à une affaire de mauvais traitements envers des animaux. Un organisme de défense des droits des animaux, le Réseau d'action global (RAG), avait dénoncé l'automne dernier cette entreprise de Marieville pour le traitement fait à aux canards. Sur un document vidéo, on voyait entre autres un employé couper violemment le cou d'un canard vivant. Un avocat de la Couronne a estimé que les preuves étaient insuffisantes et qu'il n'y avait pas matière à déposer des accusations. L'entreprise ne compte pas poursuivre le Réseau Action Globale. ça serait bien la cerise sur le sundae http://www.matin.qc.ca/articles/20080204175727/lentreprise_aux_champs_delise_est_exoneree_tout_blame.html P.S Ça va prendre quoi au juste comme preuve pour porter des accusations? On envoie un beau message aux entreprises et aux employés, vous pouvez vous faire prendre à commettre des gestes de cruauté et vous aller vous en sortir avec rien! C'est outrageant et révoltant
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EXPERIMENTATION ANIMALE : OBJECTION DE CONSCIENCE
Caro18 a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
EXPERIMENTATION ANIMALE : LA FONDATION BRIGITTE BARDOT POUR UN DROIT A L’OBJECTION DE CONSCIENCE Paris, le 1er février 2008 - La Fondation Brigitte Bardot remercie Lionnel Luca, député des Alpes-Maritimes, d’avoir déposé à l’Assemblée nationale, le 29 janvier, une proposition de loi pour un « droit d’objection de conscience à l’expérimentation animale ». Ce texte, rédigé avec le concours de la Fondation, prévoit notamment que « tout citoyen qui refuse, pour des raisons d’ordre éthique, le recours à l’animal doit pouvoir bénéficier d’un droit d’objection de conscience et pouvoir orienter sa formation ou ses recherches vers d’autres méthodes expérimentales ». Rappelons que dans le droit européen et national, l’expérimentation animale n’est licite que si elle ne peut être remplacée par d’autres méthodes expérimentales. Avec le développement et la validation de méthodes substitutives au modèle animal, nous disposons désormais d’alternatives fiables qui rendent le recours à l’animal inutile et obsolète. L’un des objectifs de cette proposition de loi est donc d’encourager les étudiants qui souhaitent travailler sur des méthodes scientifiques en phase avec l’évolution observée dans les laboratoires de recherche. Pour Christophe Marie, Coordinateur du Bureau de Protection Animale de la Fondation Brigitte Bardot et membre du Comité national de réflexion éthique sur l’expérimentation animale : « Les étudiants sont de plus en plus nombreux à condamner ces expérimentations jugées, à la fois, moralement inacceptables et inutiles dans la poursuite de leur cursus scolaire ou dans leur vie professionnelle. Il nous paraît légitime et important de respecter cette liberté individuelle de pensée, se refus de recourir à la violence sur des êtres sensibles. C’est pourquoi il est urgent d’adopter en France un droit d’objection de conscience à l’expérimentation animale comme l’ont déjà fait les Pays-Bas et l’Italie. » La Fondation Brigitte Bardot soutiendra le texte auprès de tous les députés. Elle est également intervenue, le 30 janvier, auprès de la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche pour lui présenter la proposition de loi et lui demander de l’appuyer. Ce thème devrait être débattu lors des « assises de la Protection Animale » qui seront prochainement annoncées par le gouvernement et qui font suite à l’entretien accordé par le Président Nicolas Sarkozy à Brigitte Bardot et son équipe. Pour soutenir cette proposition de loi, la Fondation Brigitte Bardot lance une pétition nationale en ligne : Version en ligne et imprimable: http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/petition.php?Id=351 -
Par miracle, personne n'est mort...
Caro18 a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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Dayou est mort - Qui ça ? Lis, tu verras.
Caro18 a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Dayou est mort Qui ça ? Lis, tu verras. Pour les habitants de Paris comme pour ceux qui viennent d'ailleurs, le Jardin des Plantes est un lieu où il y a des bêtes pas de chez nous qu'on vient regarder le dernier dimanche du mois, celui où l'on n'a plus de quoi payer l'essence pour aller jusqu'à la mer et en revenir. C'est réduire le Jardin à la seule ménagerie, qui n’en occupe qu'une petite partie. Tout gosse, j'aimais les bêtes. Comme tous les gosses, oui. Moi, plus. J'allais les voir. Au Jardin des Plantes. Au zoo de Vincennes. Tout ça était à portée de vélo. J'y prenais moins de plaisir que je m'en étais promis. Une tristesse me minait. J'ai fini par comprendre : la grille. Il y avait toujours une grille entre le lion et moi, entre moi et l'éléphant. La grille barrait tout. M'étant dit cela, je ne vis plus qu’elle. Et je me rendais compte que l'animal aussi ne voyait qu'elle. L'espace, pour lui, s'arrêtait là. Deux~pas à gauche, deux pas à droite, deux en arrière, mais plus petits. Tristesse, tristesse, écrasante tristesse suintant des cages. Désespérante tristesse de ces corps magnifiques aveulis, de ces muscles qui ne bondissent jamais, de ces regards qui ne comprennent pas. J'ai cessé d'aller les voir. C'est plus tard que j'ai su que le Jardin des Plantes était avant tout un jardin avec des plantes dedans. J'ai découvert les serres, le labyrinthe qui n’en est pas un, la « gloriette » tout en haut, le jardin alpin... Le Jardin m'attira davantage que n'importe quel autre îlot de verdure dans Paris, plus même que le Luxembourg où, pourtant, Marius rencontra Cosette. Ces strictes géométries « à la française », ces longues avenues d'ombre, ces studieux parterres de fleurs, cet invraisemblable silence parlaient à mon cœur, va savoir pourquoi. Peut-être aussi ce parfum tenace de désuétude, ces pierres rongées, tellement dix-huitième siècle ! Buffon y traînait ses souliers à boucles dans la poussière des allées, Jussieu arrosait son cèdre... Moi, j'y venais manger un sandwich sur un banc après avoir bouclé Hara Kiri ou Charlie Hebdo — voire les deux ensemble. Il m'arriva d'avoir à faire je ne sais quel reportage sur, justement, la ménagerie. Je n'y étais plus guère retourné depuis mes galopinades d'antan, je n'y allais pas de bon cœur. Ce devait être, il me semble, dans les années soixante-dix. Je m'en revenais quand, au beau milieu d'un vaste rond-point, elle m'apparut soudain dans toute sa gloire. Rousse intensément, vaste comme l'Univers, vautrée dans la paille en impératrice du monde, écartelée des quatre membres, sur son ventre immense une autre rousseur, son petit, agrippé à pleins poils à ses mamelles gonflées et dardant sur moi des yeux noirs plus qu'humains, c'était la féminité même, l'éclatant triomphe du principe femelle. Elle avait son petit, elle se savait belle, elle nous toisait de haut, nous la foule. La vitre tout autour, elle l'ignorait. C'était fatal: je suis tombé amoureux d'une dame orang-outan. Je suis revenu la voir. Elle me fascinait. Je la trouvais immuablement dans la même hautaine posture. Affalée, nonchalante, grande ouverte. Souveraine. Toujours son petit aux yeux trop grands soudé à son ventre magnifique. J'appris son nom : Nénette. Je vous jure ! Capturée à Bornéo. Je suppose que dans un zoo new-yorkais on l'aurait appelée Honey, ou Sweetie. Elle s'en foutait. Elle avait fini par me remarquer. Me reconnaître. Elle esquissait un bref sourire, la tête renversée sur la nuque, un bras en l'air, le poing nonchalamment serré autour d'une de ces grosses cordes qui jouaient les lianes de la jungle. J'appris que les orang-outan (Faut-il un s au pluriel? Deux?) ne cessent jamais de se tenir à une liane ou à une branche, ne serait-ce que d'une main. Je regardais fonctionner les mains de ses pieds, délicates merveilles semblant agir pour leur propre compte, toutes rosés en dedans avec de ces lignes qui disent l'avenir. La vie, vous savez... Je n'oubliai pas la belle captive. Mais je la vis moins, puis plus du tout. Je me le reprochais. Il y a quelque temps, à propos de je ne sais plus quoi, je mentionnai la splendide rousse du Jardin des Plantes. La petite Virginie courut la voir. Elle me dit : « II y en a quatre, maintenant! » « Et Nénette? » « Elle est toujours là. » J'ai revu Nénette, puisque Nénette il y a. Elle n'était plus majestueusement seule. Il lui fallait partager l'espace. Elle étalait sa gloire flamboyante dans un angle, la paille autour d'elle comme un soleil. Sur son ventre, blotti en grande détresse, son dernier-né, Dayou, on m'a dit son nom. Déjà un grand garçon, mais mal portant, cramponné à sa mère, à ce bloc de vie. M'a-t-elle reconnu? Je suis tout blanc, maintenant. J'appris les noms des autres: Tubo, encore un fils de Nénette (celui que je lui ai connu ?), et Wattana, fille prodige aux yeux avides d'apprendre, qui sait faire des nœuds (elles sont, paraît-il, deux au monde à en être capables), invente des jeux et vous met mal à l'aise par cette question qu'elle semble à tout moment vous poser, lèvres serrées sur un mince sourire. Pourquoi je vous raconte tout ça ? Parce que le petit Dayou vient de mourir. Il avait huit ans. Les amis des orang-outan le voyaient décliner depuis pas mal de temps. Négligence ? Les orang-outan sont les chouchous des soigneurs. Lacune vétérinaire? La question est posée. Toujours est-il que Tubo, grand frère de Dayou, ria pas l'air très vaillant lui non plus. C'est le plus beau de tous. Une chose est certaine. La place d'un orang-outan n'est pas derrière une vitre ou les barreaux d'une cage, aussi dorée soit-elle. « Mais c'est le seul moyen pour que les enfants aient l'occasion de voir des animaux ! » Non ! Les animaux ne sont pas faits (pour autant qu'ils aient été faits !) dans un dessein éducatif. Savoir qu'il y a quelque part des hardes d'éléphants, de buffles, de girafes (hardes de girafes ?) parcourant des savanes sans fin, même si je ne dois jamais les voir, me remplit d'une joie intense. Et d'abord, aujourd'hui, on a la télé. Jamais aucun safari (encore moins aucun zoo!) ne nous fera voir les animaux aussi intimement, aussi magnifiquement que les reportages faits par des gars qu'on n'admirera jamais assez. « Mais c'est le seul moyen pour conserver des spécimens, maintenant qu'on sait que toutes les espèces sauvages vont disparaître l'une après l'autre, c'est le progrès, que voulez-vous, et en plus avec le carburant vert et la déforestation... » Non et non ! Si des masochistes à bonne conscience peuvent trouver leur compte à contempler des êtres vivants prisonniers en se disant que ce sont les derniers, que tous les autres ont été massacrés, connement, méthodiquement, si vraiment il existe de pauvres cons que de tels spectacles puissent réjouir, qu'ils ne comptent pas sur moi pour les y encourager. À bas les zoos ! Aussi « modernes », aussi perfectionnés soient-ils, ce sont des prisons, des bagnes, des lieux d'infinie tristesse. À bas les ménageries, à bas les cirques, surtout itinérants ! À bas le dressage, à bas le domptage, à bas les spectacles d'animaux « savants » ! Arrêtez de faire **** les bêtes. Laissez les bêtes sauvages là où elles sont, c'est-à-dire chez elles. Contentez-vous de dévorer vos animaux d'élevage, et, s'il vous plaît, en les faisant souffrir le moins possible. À bas le foie gras ! C'est ça, ricanez. Rotez un bon coup et emmenez votre gosse voir les singes qui sont si laids avant d'aller éparpiller un peu de plomb sur des faisans d'élevage. Mais ne lisez pas ce journal, sale con de chasseur ! En attendant, gens du Jardin des Plantes, occupez-vous de Tubo, sans quoi il va y passer, comme son frère. Cavanna Charlie Hebdo n° 801 – mercredi 24 octobre 2007 -
Encore un article en faveur du trappage par Jean-François Fecteau L’activité de trappage attire bien des curieux 29 Janvier 2008 à 06h36 Plus de 250 personnes ont participé à la première édition de la « Journée de dépiautage et d’apprêtage des peaux » organisé par l’entreprise les Fûts PSJ, Pascale et Simon Jacques le 26 janvier dernier à Saint-Joseph. « Ce fut un succès incontestable. Les trappeurs étaient au rendez-vous et de nombreuses personnes qui ne connaissaient pas le domaine, sont venues faire un tour », soulignent les propriétaires. L’activité sera de retour l’an prochain. Cette activité qui se déroulait au Centre des loisirs de Saint-Joseph a permis de démystifier le travail et l’art du trappage. L’objectif était de sensibiliser les gens sur la saine gestion qu’un trappeur fait de ses territoires de piégeage. « Le piégeage est réglementé pour l’utilisation de pièges humanitaires qui se veulent sans cruauté, et aussi réglementé sur les espèces que nous pouvons prendre dans certaines régions », poursuivent-ils. C’était également une journée d’apprentissage pour les trappeurs. Plusieurs d’entre eux ont d’ailleurs apporté des animaux à dépiauter, afin d’apprendre avec des professionnels. Rappelons que le thème de l’activité était « C’est vous qui pratiquez ». Les visiteurs ont eu la chance de voir le dépiautage de différentes espèces d’animaux à fourrure, tel que coyote, lynx, renard, pékan, rat musqué, raton laveur, belette, castor et autres. Des représentants des deux maisons d’encan, avec un commerçant de fourrure, un commerçant d’article de trappage, une tannerie, un taxidermiste et un aiguiseur de couteaux. Vos commentaires sur cet article http://www.enbeauce.com/detail-actualite.asp?ID=7716
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La première vidéo est affreuse et horrible, et celle-ci également: La même investigation "Cheap Meat" Une pauvre vache littéralement à moitié morte se fait malmener, j'étais certaine au début de la vidéo que cette vache était morte, mais après plusieurs coups, elle bouge encore http://video.hsus.org/linking/index.jsp?skin=oneclip&fr_story=38247e8c8ea570aca40146c9477f280b28113254&rf=ev&hl=true Je ne sais plus comment exprimer ma colère face à tant de souffrances
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Chasse aux phoques : le gouvernement paie pour son inaction Gaspé, le mardi 31 juillet 2007 – Le porte-parole du Bloc Québécois en matière de Pêches et député de Gaspésie—îles-de-la-Madeleine, Raynald Blais, s’insurge devant l’incapacité du gouvernement Harper à défendre adéquatement l’important dossier de la chasse commerciale aux phoques. « Devant les critiques sur l’industrie de la chasse aux phoques, la résolution adoptée par la Chambre des représentants américains est une conséquence de l’inaction du gouvernement dans le dossier. Il s’agit là d’une résolution qui va à l’encontre des besoins propres à la région », a-t-il souligné. En effet, la Chambre des représentants des États-Unis a adopté cette semaine une résolution qui demande au Canada de mettre un terme à la chasse commerciale aux phoques à la suite de pressions de la Humane Society of the United States. Au même moment, le Canada entame une poursuite devant l’OMC afin de contester l’interdiction par la Belgique d’importer et de commercialiser les produits dérivés du phoque. Or, le gouvernement se devait de faire la promotion de la chasse aux phoques et de la défendre en Europe, tel que le Comité des pêches et océans le recommandait en avril dernier. Puisque le gouvernement n’a pas pris la peine d’y voir, il doit aujourd’hui tenter de recoller les pots cassés. « La valeur de la chasse aux phoques peut sembler négligeable aux yeux des parlementaires étrangers, mais elle a une valeur extrêmement importante pour les habitants des collectivités rurales éloignées pour qui il s’agit de l’unique source de revenus durant des périodes où les perspectives économiques sont extrêmement limitées dans leur région. Plusieurs chasseurs estiment que la chasse aux phoques peut représenter plus de 25 pour cent de leur revenu annuel », explique Raynald Blais. « Pour la collectivité qui vit de cette activité, et aussi pour toute la population, le gouvernement Harper doit absolument prendre ses responsabilités dès maintenant », a ajouté le député. Une industrie à l’écoute des préoccupations Le porte-parole du Bloc Québécois rappelle que plusieurs des préoccupations qui sont fréquemment évoquées concernant la chasse aux phoques ont été sérieusement prises en compte au cours des dernières années. Cette activité se compare à plusieurs activités similaires sur toute la planète. « Le Canada interdit la chasse aux blanchons depuis vingt ans et la chasse aux phoques a reçu l’assentiment d’un panel de vétérinaires qui s’est penché sur l’aspect “humain” de la question », a aussi rappelé Raynald Blais, qui a rencontré les membres d’une délégation du Parlement européen, en novembre 2006, pour livrer un maximum d’informations concernant les activités de la chasse aux phoques, un dossier encore méconnu. « Par ailleurs, l’industrie a développé au fil des ans une philosophie visant à exploiter à peu près toutes les parties de l’animal. On commercialise ainsi dorénavant autant la viande que l’huile, une source d’acide oméga-3 utile pour combattre de nombreux malaises tels l’hypertension, le diabète et l’arthrite. Plusieurs parties sont récupérées pour des fins d’artisanat. Enfin, le traitement des peaux amène une activité non négligeable en créant lui aussi plusieurs emplois », a poursuivi le député de Gaspésie—Îles-de-la-Madeleine. http://www.blocquebecois.org/fr/manchette_detail.asp?ID=9925773 Écrivez au Bloc http://www.blocquebecois.org/fr/joindre.asp
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Leading Canadian Universities Lauded by Humane Societies for Hatching Cage-Free Plan January 24, 2008 In a landmark move, Chartwells—a division of Compass Group Canada, the largest food service provider in the country—has announced that Concordia University and Simon Fraser University will begin using only cage-free shell eggs in campus food services in January 2008, followed by the University of Ottawa in September 2008. The Vancouver Humane Society and Humane Society International/Canada commended the decision. Compass Group Canada follows the lead of Compass Group USA, who announced its cage-free shell egg policy in December, 2007. "Chartwells is committed to reducing our use of eggs from caged hens. This is a first step for our company, and we're proud to be making this significant contribution to improving the welfare of farm animals," said Ross Munro, President of Chartwells Canada. Approximately 98 percent of eggs in Canada come from hens confined to cramped, barren wire cages called "battery cages." Each hen is given less space in which to live her life than a sheet of writing paper. The intensively confined birds are unable to engage in many of their most important natural behaviours such as wing stretching, walking, dust bathing, standing on solid ground, or laying eggs in a nest. Countries including Sweden, Switzerland, Germany and the Netherlands have all banned the use of barren cages, and the European Union banned barren battery cages by the year 2012. Google, Amazon, Ben and Jerry's, Whole Foods Markets and Capers Community Markets have all dropped eggs from caged hens, and Burger King and Hardees have begun using cage-free eggs. More than 300 schools in North America have either reduced or eliminated eggs from caged hens including the University of Guelph, the University of BC, Langara College and BC Institute of Technology. "More and more schools are choosing not to buy eggs from caged hens," said Bruce Passmore, Farm Animal Welfare Project Coordinator at the Vancouver Humane Society. "We applaud Compass Group Canada and these universities for helping reduce the suffering of animals by getting hens out of cages, and we call on all Canadian schools to follow." "The movement to stop buying eggs produced in cruel battery cage facilities is reaching a critical mass around the world," said Rebecca Aldworth, Director of Animal Programs for Humane Society International/Canada. "We commend Compass Group Canada and these compassionate Canadian universities for making it clear battery cages have no place in the Canadian egg industry's future." http://www.hsicanada.ca/farmed_animals/cage_free_univ_012308.html The Truth about Canada's Egg Industry http://www.hsicanada.ca/farmed_animals/
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Bans on Seal Products For more than four decades, opposition to commercial seal hunting has gained momentum around the world, and governments are increasingly taking action [link to Current Intl. Actions section] to end the trade in seal products. In 1972, the United States banned its trade in marine mammal products, including seal products. In 1983, the European Union passed a ban on the trade in products from newborn harp seals and hooded seal pups. In the wake of the EU ban, the Canadian seal hunt—the largest slaughter of marine mammals on earth—came to a virtual standstill. However, in the mid-1990s, the Canadian government invested massive subsidies in the sealing industry, allowing the seal pups to be killed when they were a few days older. Today, products from the Canadian commercial seal hunt and smaller commercial seal hunts in other countries may legally be traded in Europe. In response, several European nations have initiated national bans of seal products, regardless of the age of the seal when killed. In 2006, the Council of Europe—Europe's oldest political body—passed a recommendation urging its 47 member states to promote initiatives aimed at prohibiting the trade in seal products. In September 2006, a record 425 members of the European Parliament—the directly elected parliamentary body of the EU—signed a historic declaration calling upon the European Commission to immediately introduce legislation to prohibit the trade in seal products. The EC then undertook a study of the humane aspects of seal hunting, the results of which could provide the foundation to ban all seal products within the EU. Its study completed, the EC is now holding a public consultation to measure international opinion on an EU-wide ban on the trade in seal products. We all need to speak up for the seals—please take a few minutes to fill out the survey, and find out more about what you can do to help save the seals. Current International Actions against the Seal Trade Countries that have prohibited the trade in seal products through legislation United States Belgium Netherlands Mexico Slovenia Croatia Countries that have suspended the trade in seal products through licensing programs Italy Luxembourg Countries whose parliaments have resolved to ban the trade in seal products Panama Germany Austria Countries that have announced their intention to ban the trade in seal products France Italy Countries that have announced they will press for an EU ban on the trade of seal products Germany UK Netherlands Italy Political bodies that have called on governments to ban the trade in seal products Council of Europe European Parliament Countries that have prohibited the commercial hunting of seals United States South Africa Note: In 2000, a bill to ban seal hunting in Russia was passed by the Russian parliament by 273 votes to 1, but it was subsequently vetoed by President Vladimir Putin. Countries that have called on the Canadian government to end the commercial seal hunt Mexico United States Note: In 2006, the Council of Europe passed a resolution calling on nations including Canada to "ban all cruel hunting methods" used in commercial seal hunts and calling on its 46 member states to promote initiatives banning the trade in seal products.
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je dois quitté le forum mon papa est très malade
Caro18 a répondu à un(e) sujet de linda lachapelle dans Annonces
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J'ai écouté hier au canal Planete un excellent reportage sur les ours en Russie, j'ai découvert une famille extraordinaire qui vient en aide à des oursons, le père de cette famille a transmis son savoir-faire à son fils, qui lui prendra la relève. Toute la famille ( des Pazhetnov ) est impliquée dans ce remarquable sauvetage! Une fois les oursons réhabilités, M. Valatin Pazhetnov et son fils Sergey parcourent 17 heures en camionnette pour libérer les oursons dans une réserve et ce n'est pas sans risques, car le trajet est très dangereux, ils doivent aussi faire ce transport la nuit; sinon, il ferait trop chaud pour les ours. Le chemin que les Pazhetnov empreignent est réputé pour être envahi par des voleurs et des criminels, ( les gens qui doivent emprunter cette route voyagent habituellement par deux véhicules pour se protéger ), mais les Pazhetnov prennent ce chemin avec une seule camionnette! Cette famille a toute mon admiration... et surtout, un gros bravo à IFAW LISEZ CETTE HISTOIRE Les Pazhetnov Depuis plus de vingt ans avec l'aide de IFAW le professeur Valentin Pazhetnov et sa famille ont sauvé et relâché avec succès des oursons orphelins. M. Pazhetnov pèse un ourson à son arrivé Sergey Pazhetnov avec les petits protégés PETITS OURS ORPHELINS DE RUSSIE Un homme marche dans la forêt, capuche rabattue, mains couvertes. Difficile d'être sûr qu'il s'agit bien d'un être humain. Deux oursons le suivent. Les deux animaux ont perdu leur mère peu de temps après la naissance. L'homme n'est autre que le professeur Pazhepnov, père adoptif des deux oursons. Sa tâche est délicate : il se doit se comporter à la fois comme un ami et comme un ennemi car il a pour but de leur enseigner tout ce qu'un ours doit savoir, y compris la peur de l'homme. A l'automne, les petits orphelins seront relâchés dans la nature et devront savoir se défendre seuls. http://www.lachaineplanete.ca/Accueil/index.html PROTÉGER LES ANIMAUX ET LEUR ENVIRONNEMENT DANS LE MONDE ENTIER IFAW contribue à l'élevage et à la réhabilitation d'oursons orphelins de façon à ce qu'ils puissent être remis enliberté dans des forêts protégées. Nous menons également une campagne visant à interdire le massacre des ours en hibernation en Russie, laissant des centaines d'oursons voués à une mort certaine. IFAW en ACTION Au secours des oursons orphelins Pendant les mois d'hiver en Russie, de riches chasseurs paient plus de 2.000 dollars par personne pour sortir des ours de leur hibernation et les tuer. Les chiens de chasse fouissent le sol et aboient devant le repaire, éveillant l'ours, tandis que les hommes sont à l'affût à quelques pas de là. Lorsque l'ours sort de son repaire, les chasseurs tirent sur l'animal, sans même savoir s'il s'agit d'un mâle ou d'une femelle. L'hiver, la chasse aux ours bruns en Russie est actuellement en vogue parmi les nouveaux riches et les chasseurs européens en quête de trophées. Des centaines d'oursons à peine âgés d'une semaine sont ainsi orphelins chaque année. Ils n'ont pratiquement aucune chance de survie. Nombre d'entre eux meurent de froid ou de faim. Certains sont sortis de leur repaire et donnés aux villageois afin d’être utilisés comme animaux de compagnie. D'autres sont revendus à des photographes de rues, des zoos itinérants et des cirques. La viande d'ours est également prisée dans les restaurants spécialisés. Depuis 1995, IFAW subventionne le travail du Professeur Valentin Pazhetnov, dont les techniques novatrices en matière d'élevage et de réhabilitation des oursons sont réputées dans le monde entier. Le Professeur Pazhetnov, son épouse et son fils dirigent l'Orphan BearCub Rehabilitation Center (OBRC) dans le petit village de Bubo-nitsa, à 450 kilomètres (279 miles) de Moscou. Apprendre aux orphelins à survivre en liberté Les oursons nouveau-nés – pesant à peine 500 grammes – arri-vent généralement à l'OBRC en janvier ou février. Ils sont nourris cinq fois par jour au biberon avec une préparation de lait chaud, massés après chaque apport de nourriture, et réchauffés à l'aide decouvertures spéciales. Les Pazhetnov n'utilisent jamais la voix lors-qu'ils travaillent avec des oursons. Tout contact physique est évité. Lorsque cela s'avère nécessaire, les oursons sont manipulés avec des gants en coton. Pendant les trois premiers mois, les animaux ne sont pas autonomes. Ils sont conservés dans un local chauffé du laboratoire, puis ils sont emmenés dans une forêt proche pour vivre dans une cabane en bois, à l'intérieur d'un enclos en plein air. La plupart du temps, les portes de l'enclos sont ouvertes, pour permettre aux ours d'explorer leur environnement, dénicher de la nourriture et se mettre à l'abri des prédateurs. Les soignants apportent de la nourriture en leur absence, de façon à ce que cette nourriture ne soit pas associée à l'homme. Libres d'explorer leur environnement naturel, les our-sons apprennent à fouiner et augmentent leur champ d'action au furet à mesure qu'ils grandissent. A sept ou huit mois, pour autant qu'ils aient pris suffisamment de poids et qu'ils soient en mesure de survivre de façon autonome, les oursons sont remis en liberté dans des zones protégées où les ours bruns sont rares ou absents. Certains oursons passent l'hiver à l'OBRC et ne sont mis en liberté qu'au printemps ou en été seulement, alors âgés de 16 à 17 mois. Les oursons sont surveillés au moyen d'émetteurs radio et de plaquettes d'oreille d'identification. Depuis qu’IFAW a commencé à soutenir le centre, les Pazhetnov ont élevé et relâché avec succès plus de 70 oursons. Les données recueillies après la remise en liberté font apparaître combien ce projet est couronné de succès : les ours vivent alors comme des ours sauvages "ordinaires".Actuellement, IFAW couvre 100 pour-cent des frais opérationnels du centre et a aidé à acquérir la majeure partie des installations et équipements : le logement du personnel, les véhicules tous terrains servant à surveiller les dispositifs, et même un centre d'observation des ours. Protéger l'ours brun et les autres formes de vie sauvage En plus de leur travail de sauvetage et de réhabilitation, les Pazhetnov dirigent un camp d'été annuel pour quelque 50 enfants issus des communautés voisines, qui passent deux semaines à étudier l'écologie et l'histoire naturelle de la région de Tver. Ils sont initiés à l'archéologie, la botanique, l'hydrologie, la zoologie, l'ichtyologie et l'ornithologie. Le Professeur Pazhetnov se charge également de conférences dans les écoles, collèges et bibliothèques en Russie et par de-là ses frontières.Le bureau d’IFAW en Russie, avec l'aide du Professeur Pazhetnov, a plaidé avec succès en faveur de l'interdiction de cette chasse à l'ours en hiver dans trois régions de Russie, dont celle de Tver. Pendant plusieurs années, IFAW s'est érigée en héraut de la législation fédérale anti-cruauté devant la Douma, le Parlement russe. Pour autant qu'elle soit adoptée, cette législation mettra un terme aux massacres des ours en hibernation ainsi qu'aux abattages de bébés phoques du Groenland à fourrure blanche, et autres chasses cruelles pratiquées en Russie. Nous espérons que ces efforts contribueront au maintien de l'héritage de la nation en termes de vie sauvage et amélioreront le bien-être de tous les animaux en Russie pour l'enrichissement des générations à venir. Pour mieux comprendre - Dans certaines régions de Russie et d'Europe Occidentale et del'Est, les ours bruns ont déjà disparu. - Les ours bruns sont principalement chassés pour le sport. - Les peaux d'ours sont utilisées pour les descentes de lit, la viande d'ours est consommée et les vésicules biliaires sont revendues sur les marchés de médecine traditionnelle. - A la naissance, les oursons sont aveugles, sourds, sans dents et pèsent 500 grammes environ. Normalement, ils demeurent avec leur mère pendant 1 an. - Si les oursons sont sauvés et réhabilités à temps, ils peuvent être remis en liberté dans leur environnement naturel au sein de réserves protégées. FICHIER PDF ( EN FRANÇAIS ) : http://www.ifaw.org/ifaw/dimages/custom/2_Publications/IFAW_in_Action/russianbear_fr.pdf Comment aider S.V.P SIGNEZ LA PÉTITION http://www.ifaw.org/ifaw/general/default.aspx?oid=127541 VIDÉO: Veuillez diffuser cette vidéo à autant de personnes que vous le pouvez. Il n'existe pas, à part cette vidéo ci-dessous, une semblable vidéo qui illustre autant la vraie histoire derrière la chasse à l'ours en Russie. http://boss.streamos.com/wmedia/ifaw/er/russian_bear_comp.wvx En savoir plus: Sensation en Russie : une ourse donne naissance à six oursons http://www.ifaw.org/ifaw/general/default.aspx?oid=129206 http://www.ifaw.org/ifaw/general/default.aspx?oid=179358 http://www.animalrescueblog.org/2006/10/video_feature_r.html AU CANADA Le Canada laisse tomber ses grizzlis http://www.ifaw.org/ifaw/general/default.aspx?oid=222032 Programme de rétablissement de l’ours grizzli (population des Prairies) au Canada http://www.ifaw.org/ifaw/dfiles/file_799.pdf ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ Complément: Opération sauvetage des bébés ours Diaporama http://www.linternaute.com/nature-animaux/au-secours-des-oursons-orphelins/petit-ours.shtml Au secours des ours orphelins Dans le petit village de Bubonitsa, à 450 kilomètres de Moscou, le Professeur Pazhetnov, son épouse et leur fils dirigent l’Orphan Bear Cub Rehabilitation Center (OBRC). Ce centre très particulier accueille les oursons dont les parents ont été victimes de la chasse. Parfois âgés de quelques jours seulement, ces bébés ne pourraient survivre sans soins. Aveugles, pesant à peine 500 grammes, ils n'ont pratiquement aucune chance de vivre à l'état sauvage. Lorsqu'ils ont quatre mois, les oursons sont libres d'explorer leur environnement naturel. Ils apprennent à fouiner et augmentent leur champ d'action au fur et à mesure qu'ils grandissent. A sept ou huit mois, pour autant qu'ils aient pris suffisamment de poids et qu'ils soient en mesure de survivre de façon autonome, les oursons sont remis en liberté dans des zones protégées. Les oursons sont surveillés au moyen d'émetteurs radio et de plaquettes d'oreille d'identification. » L'IFAW Depuis 1995, le Fonds international pour la protection des animaux subventionne le travail du Professeur Valentin Pazhetnov, dont les techniques novatrices en matière d'élevage et de réhabilitation des oursons sont réputées dans le monde entier. Les données recueillies après la remise en liberté font apparaître combien ce projet est couronné de succès. Les ours vivent alors comme des ours sauvages "ordinaires".
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Contre la viande de cheval laterre.ca 22 janvier 2008 redaction@laterre.ca L’actrice Bo Derek a entamé une campagne contre l’abattage des chevaux pour consommation humaine au Canada. Après avoir lutté pour faire interdire l’abattage des chevaux aux États-Unis et avoir obtenu gain de cause l’année passée, l’actrice américaine s’en prend à l’industrie canadienne. Depuis l’entrée en vigueur de cette législation, tous les abattoirs de chevaux ont cessé leurs activités aux États-Unis. Si bien que les éleveurs se tournent maintenant vers le Mexique et le Canada pour faire abattre leurs bêtes. Bo Derek voudrait non seulement voir les États-Unis interdire l’envoi de chevaux au Canada, mais aussi le Canada proscrire à son tour leur abattage. L’actrice estime à 100 000 le nombre de chevaux envoyés au Canada cette année pour se faire abattre. Par ailleurs, selon le Conseil américain des chevaux, quelque 212 000 chevaux ont été abandonnés depuis la fermeture des derniers abattoirs aux États-Unis. La campagne de l’actrice américaine est financée par la Coalition canadienne de défense des chevaux. http://www.laterre.ca/?action=detailNouvelle&menu=1§ion=international&idArticle=4992
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Une femme de cœur a péri en voulant sauver son chat Une femme de cœur a quitté ce monde quand Linda Arkwright a péri à l'âge tendre de 47 ans en essayant de sauver son chat de l'incendie de sa maison le dimanche 13 janvier dernier à Châteauguay. "Je connais Linda depuis toujours. C'était une femme joyeuse qui appréciait chaque moment de la vie. Elle défendait toujours les moins nantis et voyait toujours du bon chez les gens", a commenté l'enquêteur Eddie Stacey des Peacekeepers de Kahnawake. "Linda était très dévouée envers sa famille et ses amis. Elle était toujours la première à aider quand quelqu'un avait des problèmes. Son départ laisse un grand vide dans la vie de ceux qui ont eu l'honneur de la connaître. Elle nous manquera beaucoup." "C'est comme si un ange l'avait envoyée du ciel pour aider tout le monde", a confié son compagnon Ron Morrissey à CTV News. Linda était une bénévole active à Châteauguay et Kahnawake, se dévouant pour les jeunes et les personnes âgées. Et elle avait toujours une place pour les animaux égarés. Sa fille Alana Kane a dit : "Elle se disait : personne d'autre ne le fera. Je suis capable alors je le fais. C'est un cadeau d'avoir des gens comme ça qui donnent sans se poser de questions." La malchance n'avait pas épargné Mme Arkwright ces dernières années, souligne Gary Barone, un ami de la famille cuisinier au IGA Extra de Châteauguay. En 2002, un cancer a emporté son père Roy. 26 jours plus tard, Mme Arkwright perdait son mari Serge Watso, foudroyé par une crise cardiaque. Et l'an dernier, sa mère, Bernice Beauvais, est morte d'une sclérodermie. Poursuivre la lecture: http://www.hebdos.net/lsc/edition52008/articles.asp?article_id=197556
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RDCongo : l'ICCN dénonce le braconnage à grande échelle d'animaux dans le parc de la Salonga 2008-01-27 09:42:28 KINSHASA, 26 janvier (Xinhua) -- L'Institut pour la conservation de la Nature (ICCN) a dénoncé samedi le braconnage à grande échelle par les populations riveraines dans le parc de la Salonga, situé dans la province de l'Equateur, ouest de la République démocratique du Congo (RDC). Lors d'une rencontre à Mbandaka, chef lieu de l'Equateur, avec le gouverneur José Makila, en présence de différents partenaires, les responsables provinciaux de l'ICCN ont demandé que des mesures soient prises au risque de connaître l'extinction de ce parc qui regorge une réserve importante d'essences et d'animaux sauvages, selon l'Agence congolaise de presse ACP. En septembre 2007, les ONG de protection de l'environnement basée à Kananga, dans la province du Kasaï Occidental, avaient dénoncé l'abattage accru, par des éléments incontrôlés de l'armée congolaise, notamment des éléphants et des singes rouges dans la partie du parc de Salonga située dans le territoire de Dekesse. Une importante activité de vente de viande de ces animaux ainsi que de trafic de pointe d'ivoire était signalée dans cette contrée. Créé en 1970, le parc de la Salonga est étendu sur 3.600.000 hectares dans la province de l'Equateur et sur une partie des provinces du Kasaï Occidental et de Bandundu. On y trouve notamment des Bonobos, des chimpanzés, des crocodiles, des hippopotames, des éléphants, des singes rouges. Il est parmi les huit parcs nationaux que compte la RDC et il est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco. http://www.french.xinhuanet.com/french/2008-01/27/content_567275.htm
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Des poules au centre-ville Mise à jour le vendredi 25 janvier 2008, 12 h 53 . Louise Hanavan, une citoyenne d'Halifax qui élève quelques poules dans sa cour, s'attire les critiques de son voisinage. Ses voisins craignent que cette pratique nuise à leur qualité de vie. Mme Hanavan explique qu'elle élève trois poules pour avoir des oeufs frais chaque matin. C'est pour elle une source de nourriture non polluante et située à domicile. Elle se sert aussi du fumier des poules pour engraisser la terre de son potager. Elle ajoute que les poules sont de bons animaux de compagnie. Ces poules ont beaucoup fait parler d'elles. Des voisins de Mme Hanavan se sont plaints. L'un d'eux, Reg Harper, dit qu'il craint que la nourriture donnée aux poules attire des rats. La municipalité a réagi aux plaintes en demandant à Mme Hanavan de se débarrasser de ses poules d'ici la fin du mois. Cette dernière a accepté. Elle va confier ses protégées à une ferme située à l'extérieur de la ville. Louise Hanavan indique qu'elle veut poursuivre le débat avec le conseil municipal dans l'espoir que ce dernier change ses règlements. Elle affirme que d'autres grandes villes au Canada et aux États-Unis, telles Victoria et Seattle, permettent à leurs citoyens d'élever quelques poules à leur domicile. Louise Hanavan Selon Mme Hanavan, l'agriculture urbaine est une bonne pratique qui mérite d'être reconnue et réglementée. Le conseil municipal d'Halifax laisse toutefois entendre qu'il est probable qu'il change ses règlements en la matière. Par contre, Brooke Taylor, le ministre de l'Agriculture, appuie Mme Hanavan. Il rappelle qu'on permet bien aux citoyens d'élever des boas, des pythons et des chiens potentiellement dangereux. Il conseille aux gens de ne pas juger sévèrement Louise Hanavan. Le ministre Taylor ajoute qu'il ne voit rien de mal dans le fait d'élever quelques poules à domicile et qu'il ne croit pas que cet élevage attire les rats dans le voisinage. Video: http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2008/01/25/003-NE-poules.shtml
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Dire que les gens de l'industrie disaient l'année passée que les boycotts n'auraient aucun impact! Chasse au phoque L'industrie constate des signes d'essoufflement Mise à jour le jeudi 24 janvier 2008, 12 h 45 . Phoque Les chasseurs de phoques des provinces de l'Atlantique et du Québec s'inquiètent pour leur avenir. La chasse au phoque n'ouvrira qu'au printemps, mais l'industrie connaît déjà certaines difficultés. Lors d'un encan, tenu plus tôt ce mois-ci en Ontario, seule la moitié des peaux de phoques a été vendue. Il s'agit de la plus mauvaise vente des six dernières années. De plus, le prix de la fourrure a dégringolé. Robert Cahill, le directeur de l'Institut de la fourrure du Canada, soutient que les interdictions d'exporter les produits du phoque en Europe sont responsables de cette situation. Il rappelle que la Belgique et les Pays-Bas ont adopté des lois qui interdisent la vente des produits du phoque, et que la France, l'Allemagne, l'Italie et l'Autriche songent à adopter des lois similaires. Le chasseur Jean-Claude Lapierre craint que l'Union européenne finisse par adopter une telle loi. « Nous autres, en fait, on est pessimiste. On ne lâchera pas tout de suite. Il va falloir pousser sur le gouvernement. On a de l'espoir quand même. On ne lâchera pas tout de suite parce que c'est une industrie qui rapporte beaucoup aux familles de l'Atlantique », déclare-t-il. Jean-Claude Lapierre montre du doigt des groupes de protection des animaux, comme la Humane Society. La directrice de cet organisme au Canada, Rebecca Aldworth, est heureuse de la tournure des événements. « Je pense que l'industrie de la chasse au phoque est près de la fin », dit-elle. Cependant, la bataille n'est pas encore terminée. L'Organisation mondiale du commerce entend actuellement la plainte du Canada contre la Belgique et les Pays-Bas. http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2008/01/24/004-ATL-chasse-phoque.shtml
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Il faut écrire à votre député pour protester contre cette décision Trouver votre député à partir : de votre code postal http://www2.parl.gc.ca/Parlinfo/Compilations/HouseOfCommons/MemberByPostalCode.aspx?Menu=HOC&Language=F Liste des députés par affiliation politique : http://www2.parl.gc.ca/parlinfo/lists/Members.aspx?Language=F