Caro18
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cette réflexion pourrait aussi aller dans le sens contraire de ce qu'il recherche et dégouter complètement des amateurs de viande. J'espère que ça passera à une heure où les enfants pourront regarder cette émission Oui, espérons que l'émission aura l'effet contraire! Attendons de voir la réaction des gens!
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Le chef du resto Au pied de cochon prend en main une nouvelle émission Le chef du réputé restaurant Au pied de cochon, à Montréal, aura sa propre émission de cuisine à Radio-Canada. Martin sur la route, qui n'a de sobre que le nom, promet d'être aussi coloré que la personnalité de son animateur. Dès sa première émission, Martin Picard nous emmène à la chasse à l'orignal à Rimouski, question de tuer de quoi cuisiner. Pour le néophyte, le reste a de quoi surprendre. Le chef nous montrera à cuisiner les testicules de l'animal, son museau et son front! «Ce n'est pas inhabituel de manger ça. Ce sont des recettes qu'on est habitué de faire en gastronomie», explique sérieusement Martin Picard. Et ce n'est qu'un début. Dans les émissions subséquentes, le chef nous emmène à la chasse à l'oie, à la pêche dans une rivière à saumons et égorge même un cochon dans le but de récupérer le sang pour en faire du boudin. Le tout fait selon les règles de l'art, semble-t-il. Martin Picard n'a aucune gêne à présenter la réalité de la bouffe qu'on retrouve dans nos assiettes. Quitte à hérisser le poil des âmes sensibles et des plus fervents végétariens. «C'est un peu mon combat, indique- t-il. À un certain point, avant de commencer à faire des recettes santés - et je ne suis pas contre ça -, on aurait avantage à savoir d'où viennent les produits.» Matière à réflexion Selon lui, le consommateur a tendance à être déconnecté de ce qu'il mange. «Quand on n'ose plus les montrer, les choses deviennent taboues. On est réalistes et on montre que la viande vient d'un animal.» Son objectif n'est pas de choquer, loin de là, mais il se réjouit d'avance si cela peut porter à réflexion. «C'est une émission d'aventures aussi, on va vers les produits. On fait des recettes, mais on ne s'attarde pas sur les quantités ou tout ça», souligne Martin Picard, qui admet ne pas être un grand fan des émissions de cuisine. Les émissions de Martin sur la route, d'une durée de une heure, ont été tournées cet été et cet automne. Elles seront diffusées sur les ondes de Radio-Canada à compter du 20 décembre à 19 heures. «On a signé pour sept épisodes. Si jamais il y a une demande et que les gens aiment ça, on verra après», conclut Martin Picard. http://www2.canoe.com/divertissement/tele-medias/nouvelles/2007/12/11/4718944-jdm.html ON VA FAIRE DES PLAINTES À RADIO-CANADA À PARTIR DU 20 DÉCEMBRE
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Fondements éthiques pour une alimentation végétarienne Dans quelques mois va paraître en France, chez L’Harmattan, la traduction de l’ouvrage "Leischenschmaus", du philosophe autrichien Helmut Kaplan. Cet ouvrage, qui a fait grand bruit dans le monde germanique, fonde éthiquement le choix de vie végétarien. Le traducteur est Cyril Taffin de Tilques, et le titre français sera "Fondements éthiques pour une alimentation végétarienne". En avant-première, un extrait consacré à l’explicitation du principe d’égalité, et à ses implications. Principe d’égalité Pour comprendre toute la portée et toute la force de la philosophie du mouvement pour les droits des animaux, nous allons maintenant expliquer ce qu’il faut entendre par « principe d’égalité ». En effet, ce principe ne cesse de donner lieu à de graves méprises, et, pour prévenir les deux malentendus les plus fréquents, nous commencerons par préciser ce qu’il n’est pas. Le principe d’égalité appliqué aux humains ne signifie pas qu’ils soient tous égaux, au sens où ils seraient identiques. Face aux différences nombreuses et évidentes qui existent entre les être humains, il serait d’ailleurs parfaitement absurde de prétendre quelque chose de pareil ! Il y a des vieux et des jeunes, des bien-portants et des malades, des extravertis et des introvertis, et ainsi de suite. Dans le même ordre d’idée, le principe d’égalité ne prétend pas davantage que les hommes et les animaux sont égaux. Les animaux et les hommes ne sont pas plus égaux que les hommes ne le sont entre eux. Le principe d’égalité ne signifie pas non plus que les hommes doivent tous être traités de la même façon, c’est-à-dire de manière identique. Les vieux et les jeunes, les bien-portants et les malades, les introvertis et les extravertis ont respectivement des intérêts différents, lesquels requièrent et justifient un traitement différent. C’est ainsi que les pensionnaires des maisons de retraite n’ont pas besoin de bac à sable, tandis que, de leur côté, les enfants n’ont pas besoin d’ascenseur pour aller au premier étage. Les personnes valides n’ont pas besoin de fauteuil roulant, tandis que les tétraplégiques n’ont pas besoin de survêtement pour faire du jogging, et ainsi de suite. Pour la même raison, le principe d’égalité n’exige pas non plus que les hommes et les animaux soient traités de la même manière. À l’instar de ce qui se passe entre êtres humains différents, les hommes et les animaux ont des besoins différents, lesquels nécessitent un traitement différent. Les animaux n’ont donc besoin ni de droit de vote ni de liberté de religion, tandis que, de leur côté, les humains n’ont que faire d’os à mâcher ou bien de griffoirs. En bref, le principe d’égalité n’exige pas que des humains différents soient traités de manière identique, et il n’exige pas davantage que les animaux soient traités à l’instar des humains, car les besoins des individus diffèrent entre humains, et entre humains et animaux. En revanche, le principe d’égalité exige la chose suivante : chaque fois que les humains et les animaux ont des besoins similaires, les uns comme les autres ont droit à un traitement égal et à une prise en considération égale de ces besoins, de même que différents humains, éprouvant les mêmes besoins, doivent être traités de la même façon. Tous les humains ayant besoin d’être convenablement nourris et logés, ce besoin doit être pareillement satisfait pour chacun d’entre eux. Et, du fait que les animaux sont tout aussi sensibles à la douleur que les humains, nous devons accorder la même importance et la même considération aux uns et aux autres dans leur intérêt à éviter la souffrance. Racisme et sexisme Le principe d’égalité permet de montrer concrètement pourquoi toute discrimination collective est injuste ; grâce à lui, on peut démontrer par exemple que le racisme est injuste et pourquoi il l’est. Prenons la discrimination raciale des Noirs par les Blancs. Les Américains de couleur noire obtiendraient en moyenne des résultats moins bons que leurs congénères blancs lors des tests relatifs au quotient intellectuel. Quelles que soient les raisons à l’origine de cette présumée différence de performances, elle ne change rien au fait que les Noirs et les Blancs ont fondamentalement et en moyenne les mêmes besoins. Les besoins humains fondamentaux, qui sont de nouer des relations personnelles épanouissantes, d’être convenablement nourri et logé, le souci d’éviter les souffrances, de développer ses facultés physiques, intellectuelles et artistiques, de pouvoir mener des projets... ne sont nullement affectés par des différences de quotient intellectuel. POURSUIVRE LA LECTURE ET VOIR LES COMMENTAIRES http://www.naturavox.fr/article.php3?id_article=2812
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Les soeurs Olsen : nouvelles ennemies de la PETA À quand Céline Dion? Madonna, Jenifer Lopez, Beyonce.... Elles ont toutes connues les foudres de la société protectrice des animaux américaines : la PETA. Cette fois-ci, ce sont les jumelles Olsen qui reçoivent les foudres de l'association car les jeunes femmes auraient utilisé de la vraie fourrure dans leur future collection. « La fourrure est portée par de magnifiques animaux et par des gens moches ». Aouch la phrase fait mal ! Mais pour vraiment énerver les deux stars, la PETA a fait un petit montage avec une de leurs anciennes séries (La Fête à la maison) et un homme qui montre le sort des animaux dont on vole la fourrure. La vidéo est parlante, bien plus que les mots et les deux soeurs auront du mal à l'éviter ! http://people.ados.fr/news/les-soeurs-olsen-nouvelles-ennemies-de-la-peta_article6550.html Les jumelles Olsen stars malgré elles d'une pub anti-fourrure 'association américaine PETA, People for the Ethical Treatment of Animals, n'a pas l'attitude d'y aller avec le dos de la cuillère pour attirer l'attention des Américains sur les mauvais traitements infligés aux animaux, notamment dans la confection de vêtements en fourrure. Et l'association a décidé de frapper un grand coup avec une nouvelle campagne de communication, qui critique ouvertement les jumelles Olsen, héroïnes malgré elles de cette campagne. On peut y lire que « la fourrure est portée par des jolis animaux et des gens affreux », ainsi que « Mary-Kate et Ashley Olsen : les seuls qui sont plus victimes de la mode, ce sont les animaux ». « Tout le monde est d'accord pour dire que Mary-Kate et Ashley auraient bien besoin d'un peu plus de viande sur leurs os, mais la dernière chose qu'il leur faille, c'est des poils sur le dos », a déclaré hier Dan Shannon, assistant du directeur des campagnes de PETA destinées aux jeunes. Et PETA ne s'arrête pas à une simple campagne d'affichage ! L'association a créé un site spécial http://www.peta2.com/Trollsens/ pour les jumelles, rebaptisées pour l'occasion Hairy-Kate et Trashley, aussi connues sour le nom des Trollsens Twins. Le site propose d'habiller les jumelles avec des vêtements faits en peaux d'animaux sanguinolantes… histoire de bien faire passer le message. http://www.imedias.biz/cinema/actualite-les-jumelles-olsen-stars-malgre-elles-dune-pub-antifourrure-15153.php
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Produits d’entretien ménager certifiés bio 12 décembre 2007 à 10:05 EcoRespect se présente comme la première gamme de produits d’entretien ménager en Amérique, certifiés «biologiques» et «écologiques» par une tierce partie. Les consommateurs sensibles à ce genre d'option pourront donc imiter ceux d'Europe, qui profitent de davantage de choix en la matière. «Tout ce que nous affirmons est corroboré par ECOCERT, un organisme indépendant européen de certification présent dans 86 pays», explique Alain Renaud, président de Laboratoire Druide, de Pointe-Claire, fabricant de la gamme EcoRespect. La certification garantit que le détergent à lessive, le savon à vaisselle et le nettoyant multisurfaces EcoRespect, satisfont aux normes internationales les plus strictes en matière de protection de l’environnement et du consommateur. ECOCERT privilégie l’utilisation d’ingrédients issus de l’agriculture biologique et obtenus par des procédés écologiques. L’organisme interdit tout test sur les animaux, ainsi que l’utilisation de la plupart des ingrédients de synthèse (parfums, sulfate, parabène et phosphate - propices aux algues bleues), et les agents de conservation issus de la pétrochimie. Les fabricants doivent afficher les ingrédients de leurs produits, dont les allergènes, et garantir une traçabilité des composantes qu’ils achètent. Les produits EcoRespect ne contiennent que des extraits de plantes, ce qui signifie qu’ils commencent à se biodégrader aussitôt qu’ils atteignent l’égout ou la fosse septique. Alain Renaud va jusqu'à imprimer les renseignements concernant ses produits directement sur les contenants. «Les centres de tri et recyclage rejettent les contenants dotés d’étiquettes collées. Personne ne va se mettre à arracher des étiquettes», déplore-t-il. Les produits EcoRespect seront disponibles en magasin début 2008. Ils seront offerts notamment en vrac chez certains commerçants, afin de minimiser l’utilisation de contenants. Information: 1-800- 663-9693, http://www.ecorespect.ca ou http://www.ecocert.com * (Collaboration spéciale André Fauteux, éditeur du magazine La Maison du 21e siècle.) http://www.journalhabitation.com/article-165639-Produits-dentretien-menager-certifies-bio.html
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Lait, mensonges et propagande Thierry Souccar Éditions Thierry Souccar, 2007 224 pages Synopsis Après le succès de Santé, mensonges et propagande, qui s'attaquait aux conseils nutritionnels devenus vérités premières, Thierry Souccar jette un nouveau pavé dans la mare de l'industrie agro-alimentaire et de la nutrition « officielle ». Avec ce document, il s'en prend à l'un des plus gros segments du marché de l'agro-alimentaire : les produits laitiers. Il expose les dessous d'un succès marketing sans précédent et montre, études à l'appui, que les arguments des industriels et des nutritionnistes pour nous faire consommer plus de laitages sont mensongers : « Les laitages préviennent l'ostéoporose. » Faux; « Nos os ont besoin d'un maximum de calcium. » Faux; « On est plus mince quand on boit du lait. » Faux; « Il n'y a aucun risque de cancer avec les laitages. » Faux; « Les buveurs de lait ont moins de diabète. » Faux. Au contraire, au niveau auxquels ils sont officiellement conseillés – 3 à 4 par jour - les laitages peuvent favoriser maladies cardiovasculaires, diabète, cancer de la prostate... Puisé aux sources scientifiques les plus récentes, ce livre propose une alternative nutritionnelle, la seule aujourd'hui capable de prévenir l'ostéoporose et les maladies de civilisation. Sans se bourrer de laitages! Commentaire Pour plusieurs d'entre nous, un verre de lait a longtemps symbolisé l'aliment le plus nourrissant et le plus sain qui soit. Et si les campagnes de promotion du lait n'ont pas toujours été aussi séduisantes qu'aujourd'hui, nos mères y ont cru dur comme calcium — ce calcium qui allait nous faire grandir. Avec raison : c'est dans les pays où l'on consomme le plus de lait (de vache, généralement) que l'on est le plus grand. Il faut pourtant reconnaître qu'une grande taille n'entraîne pas une meilleure santé... Il existe plusieurs autres « évidences » que nous avons peut-être négligé de remettre en question... Comme celles voulant que les produits laitiers constituent la meilleure source de calcium pour tout le monde, ou la meilleure façon de prévenir l'ostéoporose, ou que le lait est nécessairement bon pour la santé. Il y a bien eu quelques esprits critiques — naturopathes et végétariens stricts, par exemple — qui ont osé questionner le culte du lait, mais on ne les a guère écoutés jusqu'à l'arrivée de données scientifiques. Thierry Souccar, prolifique journaliste scientifique et éditeur, rattaché notamment à l'hebdomadaire français Le Nouvel Observateur, a décidé de faire le tour de ces données, qu'il rassemble et commente ici. L'information dont il fait état est assez largement disponible — sur PasseportSanté.net notamment — et plusieurs autorités en santé publique ont déjà révisé à la baisse leurs recommandations concernant la consommation de produits laitiers, mais il semble que le poids de la tradition ainsi que le marketing émanant des producteurs laitiers nous entretiennent encore dans une perception erronée. Il faut savoir comment. Car non seulement les produits laitiers ne remplissent pas les promesses qu'on leur attribue, mais à trois ou quatre portions quotidiennes, ils présentent même des risques de plusieurs graves maladies chroniques et de certains cancers. Évidemment, on nage ici en pleine controverse, car tous les scientifiques n'interprètent pas les résultats de recherche de la même manière. Mais si vous voulez connaître une opinion « prudente » sur le lait — ainsi que quelques hypothèses nouvelles et des solutions de rechange —, l'ouvrage de Thierry Souccar est fort éloquent, d'autant que son écriture fluide et dynamique en facilite grandement la lecture pour les gens qui n'ont pas suivi d'études de biochimie. Tout au long de cette passionnante enquête, l'auteur appelle en renfort quelques sommités, comme le Dr Walter Willett de l'Université Harvard, expert en nutrition des plus respectés, qui avance ceci : « Dans l'état actuel des connaissances, il est irresponsable de faire la promotion des produits laitiers ». Un autre brillant esprit de Harvard, le Dr Mark Hegsted, se permet même d'ajouter de l'humour au débat lacté : « Croire que l'ostéoporose est attribuable à un manque de calcium, c'est croire que les infections sont attribuables à un manque de pénicilline. » Lucie Dumoulin Extrait Les os des Suédoises C'est en Suède, en Norvège, aux États-Unis, en Allemagne, en Irlande, au Royaume-Uni, en Finlande, en Australie et en Nouvelle-Zélande que l'on consomme le plus de lait par personne et par an. C'est aussi dans ces pays que le nombre annuel de fractures du col du fémur (pour un âge donné) est le plus élevé. Les Suédois détiennent deux records mondiaux : celui de la consommation de laitages et celui des fractures du col du fémur. Les Australiens, les Néo-Zélandais, les Américains avalent trois fois plus de lait que les Japonais. L'incidence de fracture du col du fémur est, dans ces pays, deux fois et demie à trois fois plus élevée qu'au Japon. Aux États-Unis, l'ostéoporose ne touche pas toute la population de manière uniforme. Les Mexicains-Américains et les Afro-Américains, qui consomment moins de laitages que les Blancs, ont deux fois moins de fractures du col du fémur. En Chine continentale où, malgré l'offensive de l'agrobusiness laitier, on consomme encore très peu de lait (autour de 10 kg par personne et par an), la fréquence des fractures du col du fémur est l'une des plus faibles au monde, 5 à 6 fois plus basse qu'aux États-Unis où chaque Américain avale plus de 250 kg de lait par an. Au Togo, l'ostéoporose est extrêmement rare : on y consomme annuellement moins de 10 kg de lait par personne.[...] Pour résumer, ces études de populations nous transmettent un message clair et simple : moins on consomme de lait et de protéines animales, plus on a des os en bonne santé. Lait, mensonges et propagande, de Thierry Souccar, Éditions Thierry Souccar, France, 2007, pages 71-72. http://www.passeportsante.net/fr/P/Bibliotheque/Fiche.aspx?doc=Biblio_10084
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Grosse ferme laitière rasée par le feu samedi à Saint-Herménégilde » Lundi 10 déc 2007 (CHLT) - Une grosse ferme laitière de Saint-Herménégilde a été rasée par un incendie samedi matin. Les pompiers de Coaticook ont réussi à sauver 70 vaches. Au moins 90 vaches de la ferme Rivorel, appartenant à Yvon Leduc et à sa fille Lyne, ont péri dans le sinistre qui serait d'origine électrique. Personne n'a été blessé, mais les dommages matériels seraient d'environ de 1,5 million $. Les pompiers de Coaticook ont été appelés sur les lieux. Ils ont mis plus de 12 heures à combattre l'élément destructeur. Un hangar abritant 70 vaches a pu être sauvé in extremis, les bêtes ayant été évacuées à temps. Heureusement, la famille Leduc était assurée en cas de feu. Ils entendent d'ailleurs reconstruire le plus tôt possible les bâtiments qui ont été détruits. Francois Jeanson / CHLT http://www.corusnouvelles.com/nouvelle-grosse_ferme_laitiere_rasee-596872-4.html Photos 90 vaches laitières périssent par le feu http://www.cyberpresse.ca/article/20071210/CPTRIBUNE/712100763/6989/CPTRIBUNE
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Droit animal : la loi manque de crocs Entrevue Par Marie-Claude Bourdon Avant de devenir notaire et professeure au Département des sciences juridiques, Martine Lachance http://www.professeurs.uqam.ca/pages/lachance.martine.htm a été infirmière pendant huit ans. Alors n'allez pas dire à cette passionnée du droit des animaux qu'elle ne se soucie pas des humains. «Je me suis toujours sentie interpellée par la souffrance des êtres vulnérables», dit la juriste, qui poursuit un projet de recherche sur le statut juridique des espèces animales et qui enseignera à partir de l'automne un premier cours en français au Canada sur ce domaine novateur du droit, mieux connu aux États-Unis et dans le Canada anglais. L'intérêt de Martine Lachance pour la cause animale ne date pas d'hier. Dans son ancien quartier de Ville d'Anjou, elle a même participé à une opération visant à protéger une colonie de chats de ruelle sauvages qui s'était établie sur un terrain vacant, derrière le gymnase qu'elle fréquentait. «Quand un chat n'a pas eu de contacts avec des humains pendant ses premières semaines de vie, il devient impossible de l'apprivoiser, explique Martine Lachance. Des citoyens avaient peur de ces animaux qui ont finalement été capturés par la Ville et euthanasiés.» C'est lors de son embauche à l'UQAM, en 2004, et alors qu'elle perdait sa petite chienne de 18 ans, Plume, que la juriste a décidé de faire de ce qui était un sujet d'intérêt personnel l'objet de ses recherches académiques. «Plusieurs philosophes se sont intéressés à la question de savoir pourquoi il faut protéger les animaux, dit la professeure. La question qui me préoccupe, c'est de savoir comment on peut les protéger.» Un code inadéquat Selon le code criminel, pour être reconnu coupable de cruauté envers un animal, il faut avoir eu l'intention d'être cruel. «Prouver l'infraction n'est déjà pas facile, explique la juriste, mais il faut en plus démontrer une intention, ce qui fait que beaucoup de cas de cruauté ne sont jamais poursuivis.» Selon elle, le code criminel est inadéquat à plusieurs égards pour ce qui est de la protection des animaux, mais principalement parce qu'il est punitif et qu'il intervient seulement après que l'animal ait été victime de cruauté. La juriste se montre beaucoup plus favorable à l'endroit de la Loi sur la protection sanitaire des animaux (loi P42), adoptée en 2005 par le gouvernement québécois. «C'est une loi extraordinaire, qui comble les lacunes du code criminel, puisqu'elle permet d'agir de façon préventive, en prévoyant notamment un pouvoir d'inspection et de saisie des animaux maltraités», affirme Martine Lachance. La loi permet entre autres de s'attaquer au problème des «usines à chiots», ces chenils où des dizaines, voire des centaines d'animaux sont gardés dans des conditions épouvantables, dans le seul but de les reproduire pour le marché des animaleries. «On voit des animaux complètement psychotiques, qui tournent en rond toute la journée dans leur cage», dit la juriste, qui est aussi vice-présidente d'Anima Québec, l'organisme chargé par le ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec (MAPAQ) de veiller à l'application de la loi. Au niveau fédéral, cinq projets de loi visant un durcissement du code criminel ont été rejetés au cours des dernières années. Selon la juriste, les nouvelles modifications proposées par les Conservateurs – et qui risquent fort d'être adoptées – ont perdu toute substance. «On se contente d'augmenter le montant des amendes, dit Martine Lachance, mais il faut faire beaucoup plus que cela. Il faut criminaliser la négligence et il faut que les gens reconnus coupables de négligence ou de cruauté ne puissent plus posséder d'animaux.» Le bien-être animal Selon la professeure, l'avant-dernier projet de loi a été rejeté parce qu'on craignait que ses prescriptions soient suffisamment larges pour être invoquées contre les agriculteurs ou contre l'utilisation des animaux dans la recherche. «Certains défenseurs des animaux pensent que l'élevage industriel est cruel, dit Martine Lachance. On a tous vu à la télévision ces porcs élevés dans des espaces tellement restreints qu'ils ne peuvent même pas se retourner. Évidemment, on touche ici à des intérêts économiques. Mais il est possible de faire de l'élevage tout en étant respectueux du bien-être animal. Et définir le bien-être animal, c'est justement ce que visent mes recherches.» Le discours juridique sur les animaux se développe principalement autour de trois concepts, explique la juriste : celui du droit animal (animal law), des droits des animaux (animal rights) et du bien-être animal (animal welfare). «Certains travaillent sur le statut juridique de l'animal et se demandent si on devrait lui accorder des droits», souligne Martine Lachance. Est-ce la solution? «Dans un monde idéal, je souhaiterais que l'animal ne soit plus un bien de consommation, mais cela n'existera jamais, dit-elle. Donc, comment peut-on faire pour donner aux animaux une vie décente, sans souffrance? Jusqu'à maintenant, mes recherches indiquent que la solution passe par des règles visant leur bien-être qui peuvent être invoquées devant un tribunal.» La juriste présentera ses travaux lors d'un colloque international sur le droit animal qu'elle organise et qui se tiendra à l'UQAM au printemps 2008. Il s'agira du premier colloque consacré à la question au Canada. Source : Journal L'UQAM, vol. XXXIII, no 15 (16 avril 2007) http://www.uqam.ca/entrevues/2007/e2007-060.htm Hubert Reeves et son équipe Coordination : Nelly (Ligue Roc) Le statut de l'animal http://www.canoe.com/techno/chroniques/hubertreeves/archives/2007/11/20071111-094303.html
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Le samedi 03 novembre 2007 La chasse au chevreuil plus populaire que jamais L'an dernier, près de 60 000 cerfs de Virginie ont été abattus au Québec. Rien à voir avec les années 1976, 1977 et 1978 où à peine 2000 cerfs étaient abattus chaque automne. Pierre Gingras La Presse Souvent décriés, les chasseurs se font plutôt discrets. Et si ce n'étaientt quelques récents incidents, on croirait parfois qu'ils sont disparus dans la... nature. Mais qu'on le veuille ou non, les chasseurs sont loin d'être une espèce en voie de disparition au Québec. À vrai dire, les chasseurs de chevreuils et d'orignaux n'ont jamais été aussi nombreux dans l'histoire québécoise récente. Ce matin, par exemple, à l'ouverture de la saison de chasse au cerf de Virginie, ils étaient plus de 160 000 à l'affût, carabine ou fusil à la main, dans l'attente que le gibier si convoité passe à leur portée. Soit presque 40 000 amateurs de plus qu'il y a 10 ans. En progression constante depuis 2000, cet engouement est comparable chez les chasseurs d'orignaux. La principale raison à l'origine de cette fièvre automnale est le succès de chasse qui atteint actuellement un sommet, explique Claude Daigle, porte-parole du ministère des Ressources naturelles et de la Faune. Si bien que la récolte d'orignaux et de chevreuils pourrait atteindre un record historique cet automne, estime-t-il. L'an dernier, près de 60 000 cerfs de Virginie ont été abattus au Québec, sans compter les chevreuils tués dans l'île d'Anticosti, un monde à part en ce qui concerne la chasse chez nous. Rien à voir avec les années 1976-1977 et 1978 où, à peine 2000 cerfs étaient abattus chaque automne. Répandu du nord des Laurentides jusqu'au nord de l'Amérique du Sud, le cerf de Virginie a toujours dû lutter contre les hivers rigoureux et bien enneigés. Les longues saisons de chasse et les hivers successifs, particulièrement difficiles au cours des années 60 et début 70, ont d'ailleurs provoqué un déclin prononcé de la population. Ce qui obligea le gouvernement à imposer la Loi du mâle. Dorénavant, seul un cerf mâle pourvu de bois pouvait être abattu. Inutile de dire que cette restriction a refroidi considérablement les ardeurs des chasseurs. Mais les limitations imposées, les hivers beaucoup plus doux que nous avons connus au cours des 20 dernières années et la productivité du cheptel (une femelle produit habituellement deux petits par année) ont changé radicalement la situation. Au point que Québec a commencé au début des années 80 à octroyer des permis spéciaux permettant d'abattre des cerfs sans bois (femelles et jeunes). L'an dernier, on en offrait près de 35 000 et 2000 autres se sont ajoutés cette année. Les chasseurs disposent aussi d'une saison spéciale pour les archers et les amateurs d'armes anciennes (chargées par le canon). Si bien que le taux de succès atteignait l'an dernier 37%. Et malgré, cet impressionnant tableau de chasse, la population augmente toujours, du moins là où les peuplements sont les plus important comme en Montérégie, en Estrie et dans l'Outaouais. La population globale au Québec (excluant Anticosti) est de 270 000 bêtes. La population d'orignaux a aussi grimpé de façon spectaculaire après la mise en vigueur d'un plan de gestion adopté il y a plusieurs années par le gouvernement à la suite d'une longue consultation avec les chasseurs. Le plan, qui établit une réglementation spéciale pour chaque territoire de chasse, permet aussi à tous les deux ans que dans tout le Québec, jeunes, femelles et mâles adultes puissent être abattus. Cela explique que la récolte varie considérablement d'une année à l'autre. L'an dernier, on comptait 156 000 chasseurs d'orignaux. Et cet automne, si la tendance des dernières années se maintient, ils devraient dépasser le tableau de chasse record de 2005 qui était de 27 700 bêtes, ce qui correspond à un taux de succès d'environ 30%. La chasse à l'orignal se pratique en groupe d'au moins deux personnes, car pour chaque bête abattue, deux permis sont retirés. On compte environ 115 000 orignaux sur le territoire québécois. L'équipe de Cyberpresse vous suggère : Des revenus pour les régions Le Québec compte 300 000 chasseurs http://www.cyberpresse.ca/article/20071103/CPACTUALITES/711030520/6730/CPACTUALITES http://www.cyberpresse.ca/article/20071103/CPACTUALITES/711030519/6730/CPACTUALITES
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Le jeudi 08 novembre 2007 Du poil, pas de steak… André-A. Bellemare Le Soleil Collaboration spéciale Québec La fin de semaine dernière, les conditions atmosphériques étaient idéales pour la chasse du cerf de Virginie dans les Cantons-de-l’Est, où je participais au début de la saison de chasse du «chevreuil» à l’arme à feu. Après des nuits durant lesquelles un gel mordant se faisait sentir, les cervidés circulaient beaucoup durant des journées ensoleillées ou peu nuageuses et peu venteuses. Ce fut le cas dans presque tout le Québec, à l’exception des régions du Sud-Est, où l’ouragan Noël a eu ses derniers soubresauts. Autour du territoire où je chassais, entre Weedon et East Angus, les coups de feu ont retenti fréquemment et avec régularité, surtout durant la journée de samedi. Mais je n’ai vu aucun cerf autour de ma cache durant cette journée-là. À 14h, samedi, l’un de mes compagnons a récolté un cerf mâle portant des bois de huit pointes. Ce ne fut que durant l’après-midi du lundi que mon autre compagnon a récolté un jeune cerf mâle. Pour ma part, j’ai vu 10 chevreuils en trois jours de chasse (30 heures de guet), mais que des biches et des faons : je ne pouvais les abattre, puisque je n’ai pas gagné en 2007 de permis de chasse spécial m’autorisant à récolter une biche ou un faon. Il reste encore plusieurs jours de chasse du chevreuil dans des régions du Québec, ce qui donnera encore des chances de faire feu à ceux des 175 000 chasseurs de cerf de Virginie qui n’ont pas encore connu le succès. Jusqu’à hier, le ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) avait enregistré 11 825 chevreuils récoltés dans toute la province depuis le début de la présente saison de chasse : 5245 mâles, 4834 biches et 1746 faons. En 2007, le MRNF s’attend à ce que les chasseurs de chevreuil rapportent environ 70 000 cerfs. Le plus gros de la récolte annuelle de cerfs de Virginie reste donc à faire au Québec en 2007. Anticosti : 50 % de mâles Des chasseurs de cerf fréquentant l’île d’Anticosti me demandent assez souvent pourquoi les gestionnaires de l’île n’obligeraient pas les chasseurs à récolter une biche avant d’abattre un mâle. Ces chasseurs croient que leur solution protégerait les mâles pour la reproduction. Mais, sans qu’on ait eu à imposer pareille obligation durant les 30 dernières années, les chasseurs ont toujours récolté annuellement 50 % de mâles seulement. C’est encore le cas cette année : depuis le début de la présente saison de chasse, 4916 chevreuils ont été abattus dans l’île d’Anticosti, dont 2407 mâles, 1953 biches et 556 faons. Anticosti supporte au moins 166 000 chevreuils, selon les scientifiques, c’est-à-dire le tiers environ de tous les cerfs vivant au Québec. Les hardes de chevreuils d’Anticosti sont bien loin d’être en perdition! Il ne servirait à rien de risquer un boycott de la chasse dans l’île en imposant aux chasseurs l’obligation d’abattre au moins une biche ou un faon durant leur séjour... pour protéger les bucks. Des gens ne savent pas encore que les autorités gouvernementales, dans le but de réduire la population de cerfs d’Anticosti, permettent à un chasseur d’y récolter quatre cerfs par période de cinq jours de chasse, et de chasser durant autant de périodes de cinq jours que ses ressources pécuniaires le lui permettent... En fait, un chasseur pourrait, à la limite, récolter légalement environ 125 cerfs de Virginie par an dans l’île d’Anticosti... et les scientifiques du gouvernement québécois en seraient heureux! Déjà 23 170 orignaux enregistrés Jusqu’à hier, le ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) avait reçu, de ses délégataires officiels à l’enregistrement des gros gibiers récoltés à la chasse, les fiches d’enregistrement de 23 170 orignaux abattus : 11 250 mâles adultes, 8895 femelles adultes et 3025 veaux. Vous vous souviendrez que le ministère a évalué que de 25 000 à 27 000 orignaux seraient récoltés en 2007 par 170 000 acheteurs de permis de chasse de l’orignal. L’automne actuel constituant une saison de chasse «permissive» (durant laquelle tous les orignaux indistinctement peuvent être abattus, qu’ils soient mâles, femelles ou veaux), plus d’adeptes sont intéressés à acheter des permis de chasse de l’orignal. Mais ce n’est pas avant le début de 2008 qu’on saura combien d’orignaux auront été abattus en 2007 : le MRNF doit attendre que tous les délégataires officiels à l’enregistrement aient fait parvenir toutes leurs fiches. Il y a toujours des retardataires… http://www.cyberpresse.ca/article/20071108/CPSOLEIL/71107209/7028/CPSOLEIL
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Le vendredi 09 novembre 2007 La chasse au féminin Granby PHOTO: http://www.cyberpresse.ca/article/20071109/CPVOIXEST/71109097/5302/CPVOIXEST Le silence règne. Pas un silence total mais plutôt un silence bruyant. Celui d’une forêt bien vivante avec ses animaux et le vent qui secoue les branches des arbres. Un chevreuil s’approche de la cache à la recherche de racines. C’est à ce moment que la détonation se fait entendre. La bête s’effondre et, derrière la carabine, Lucie Bachand esquisse un sourire. Portrait de la chasse dans toute sa féminité. Parce que les histoires de chasse ne sont pas exclusives aux hommes. Le Plus s’est rendu au cœur de la forêt de Sainte-Christine cette semaine en compagnie de Mme Bachand de Granby et a sondé plusieurs autres adeptes de ce sport. Quand son conjoint Sylvain l’a convaincue de venir traquer des proies avec lui, il y a sept ans, Lucie Bachand doutait. Mais une fois installée dans sa cache, avec pour seule compagne la forêt, elle a été conquise par la tranquillité des lieux. «Je viens chasser pour le calme. Tu n’entends rien. Et tu restes comme ça, sans bouger, avec tous tes sens éveillés, explique-t-elle. Ici, il n’y a pas de cellulaire, pas de téléphone, pas de bureau. Je me ressource. Ça me permet d’être en contact avec la nature.» Vêtue d’un manteau capitonné, de bottes de caoutchouc et coiffée d’une tuque couleur fluo, Lucie Bachand s’exprime en chuchotant pour ne pas dévoiler sa position. Son arme à poudre noire déposée sur ses genoux est prête à bondir au moindre bruit. Elle parle de cette passion qui la pousse à prendre un mois de congé en novembre pour aller s’enfermer, dix heures par jour, dans une cache de cinq pieds par quatre pieds. Elle explique les rudiments du sport à l’auteure de ces lignes, une néophyte. Un sport ou la patience est de mise puisqu’on «peut être sept jours sans en voir un». Son seul véritable handicap en tant que femme? Sa force physique. Une fois l’animal abattu, elle doit faire appel à son conjoint pour l’aider à le transporter. Mais n’allez pas penser que Mme Bachand laissent aux hommes le soin de dépecer la bête. Avec son couteau d’une quinzaine de centimètres, elle ouvre elle-même le corps du chevreuil pour en sortir les entrailles et la chaleur. Popularité grandissante Lucie Bachand n’est pas la seule à faire de la chasse son passe-temps. Au Québec, elles sont 32 663 à détenir un permis de chasse pour les gros gibiers, selon des données du ministère des Ressources naturelles et de la Faune du Québec. Au total, ce sont 343 124 permis qui sont octroyés annuellement. Poursuivre la lecture: http://www.cyberpresse.ca/article/20071109/CPVOIXEST/71109097/5302/CPVOIXEST
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Le vendredi 16 novembre 2007 Chasse au chevreuil: quand les femmes prennent les armes Voir photos: http://www.cyberpresse.ca/article/20071116/CPACTUEL/71115244/6685/CPACTUEL Le week-end de chasse ne fait que commencer pour Pauline Bouchard, Estelle Purdy, Manon Bouchard et Hélène Larente. Photo Bernard Brault, La Presse Sophie Allard La Presse La saison de la chasse au cerf de Virginie se termine dimanche. La chasse est généralement une affaire d’hommes, mais de plus en plus de femmes attendent avec impatience l’arrivée de l’automne. Notre journaliste raconte son week-end en compagnie de neuf chasseuses. Samedi dernier. Quatre heures trente du matin. Dans un chalet de la pourvoirie Lee St-Aubin, en Outaouais, neuf femmes s’activent. Dans un peu plus d’une heure, elles seront dans les bois à chasser le cerf de Virginie. Pour la moitié d’entre elles, il s’agit d’une première expérience. Certaines déjeunent, silencieuses. Elles attendent ce moment depuis longtemps. La fébrilité est palpable. « Aujourd’hui, ça va être live, on ne tirera pas sur une cible dans un champ de tir. Je ne sais pas comment je vais réagir. Ça sera un drôle de mélange d’émotions », lance Manon Bouchard, 41 ans. Infirmière et mère de deux enfants, elle accompagne souvent son mari à la chasse. Elle souhaite, elle aussi, appuyer sur la détente. Même chose pour Hélène Desgranges, 34 ans, directrice d’une association de gens d’affaires. Ça fait une semaine qu’elle « compte les dodos ». « J’avais même accroché un chevreuil de papier sur le mur de ma chambre ! J’espère que ça va bien aller. Si je blesse un chevreuil, est-ce que je serai capable de le tirer dans la tête pour l’achever ? On ne fait qu’en parler et je suis sur le bord de brailler », confie le boute-en-train du groupe, entre deux bouchées de frittata. Poursuivre la lecture: http://www.cyberpresse.ca/article/20071116/CPACTUEL/71115244/6685/CPACTUEL
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Le lundi 19 novembre 2007 Dire qu'il adore les chats et les chiens Souper de chasse avec Peter MacLeod et sa bande C'est à Cookshire-Eaton, dans un magnifique chalet en bois rond tapissé de trophées de chasse, que l'humoriste Peter MacLeod et sa bande ont accueilli le journaliste de La Tribune pour lui présenter leur version d'un vrai souper de chasseurs. D'abord, pour qu'un souper de chasseurs soit réussi, un plat composé de chevreuil doit absolument être servi. Pas de chevreuil, pas de souper de chasseurs. Voilà pourquoi on pouvait retrouver sur le comptoir une énorme lasagne au chevreuil et les populaires steaks de chevreuil cuits sur le barbecue. Tout cela accompagné d'un boeuf au cari et de quelques bouteilles de vin. Une autre règle de base entoure aussi les soirées de la bande à Peter MacLeod: aucune femme n'est admise lors de ces soupers. Le téléphone est, dans ce cas, très utile à l'humoriste... Poursuivre la lecture: http://www.cyberpresse.ca/article/20071119/CPTRIBUNE/711171115/5167/CPACTUALITES
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Une grand-mère à l’œil vif Beauce Mme Yolande Poulin, la conjointe de Jules Poulin, un retraité d’Hydro-Québec, de Saint-Georges est une passionnée de la chasse, du moins depuis une douzaine d’années et, à l’âge de 71 ans, elle en est rendue à son huitième chevreuil un chaque année depuis huit ans! Même si elle a commencé à s’intéresser à la chasse «sur le tard», comme on dit, elle sait très bien manier le fusil pour avoir abattu huit chevreuils en si peu de temps. Il faut dire que les Poulin sont des passionnés de la chasse et ils fréquentent autant leur terre à Saint-Côme que le Club Jersey, dans le secteur d’Armstrong, près de Saint-Théophile. Leur fils, Michel, aujourd’hui âgé d’une quarantaine d’années, a été entraîné à la chasse dès l’âge de cinq ans alors qu’il accompagnait son père. On dit que Mme Poulin a surpassé son époux ainsi que son fils Michel, mais il ne faut pas trop le répéter, son Jules et son ont quand même leur fierté! Le petit fils de Mme Poulin, Alexandre Groleau, accompagnait sa grand-mère dans la cache cette année, il a même prix des photos de sa chasseresse de grand-mère. La photo que nous reproduisons est sans doute de lui. http://www.editionbeauce.com/actualites.asp?nID=4283
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Guy Lafleur avait-il tué un chevreuil en dehors de la saison de chasse? Les amateurs de hockey comme les amateurs de chasse se souviendront sûrement de la visite de Guy Lafleur, un samedi, 27 novembre 1982 alors qu’il aurait abattu un chevreuil dans le parc de M. Réal Bureau, à Saint-Évariste, sans permis et en dehors de la saison de chasse. À ce moment, seulement cinq personnes, environ, étaient au courant de cette aventure et l’histoire a refait surface un peu plus tard, en Floride, mais on aurait alors dit que le chevreuil avait été tué dans l’État du Maine. Cependant, le pot au rose aurait été découvert et il s’en est suivi une saisi de viande chez Guy Lafleur, à Thurso, sa ville natale, dans la région de l’Outaouais. Cette histoire avait fait beaucoup de bruit à l’époque surtout qu’il y avait eu un procès retentissant, de près d’un an, qui s’est déroulé à Lac-Mégantic et que le journal «Allo Police» en avait abondamment fait état. On raconte même que Guy Lafleur, peut-être pour impressionner, était arrivé au Palais de justice en limousine! Poursuivre la lecture: http://www.editionbeauce.com/actualites.asp?nID=4342
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Un cochon sacré au paradis du jambon ibérique C'est peut-être la même chose que l'on voit dans le documentaire des deux restaurateurs celui de Normand Laprise du Toqué! et Martin Picard du Pied de cochon? (Durs à cuire ) LA ALBERCA (AFP) — L'Inde a ses vaches sacrées. A La Alberca, village espagnol réputé pour ses succulents jambons, l'élu est un cochon, qui gambade librement sur le pavé... jusqu'à son sacrifice, programmé le 17 janvier, comme le veut une tradition de la fin du Moyen-Age. "Bonjour cochon!": les habitants saluent amicalement l'animal dès qu'ils le croisent au hasard des ruelles de leur village médiéval, situé à environ 50 km au sud-ouest de Salamanque (ouest), près du Portugal. "Ils sont priés de le nourrir, d'en prendre soin, et les automobilistes de lui laisser le passage", explique à l'AFP Raquel Canubo, employée de mairie. Ici, comme dans d'autres villages espagnols, le "cochon de Saint-Antoine", est sacré depuis la nuit des temps. Il a même sa statue en granit plantée juste à côté de l'entrée principale de l'église. Chaque année, un cochon de lait est offert au village par l'une des nombreuses entreprises de charcuterie locales qui exportent leurs jambons et chorizos aux quatre coins de la planète. Il est lâché le 13 juin, et tué sept mois plus tard, le 17 janvier, jour de la Saint-Antoine, le patron des animaux. Saint-Antoine est souvent représenté dans l'iconographie avec un cochon à ses pieds, la légende voulant qu'il guérît miraculeusement de la cécité une laie et sa portée. "Dans le passé, le cochon de Saint-Antoine était mis à mort et sa viande offerte à la famille la plus déshéritée du village", explique Raquel Canuto. "Mais aujourd'hui, il est offert au vainqueur d'une grande tombola", dont les recettes sont reversées aux oeuvres de l'église. Le gagnant emporte le cochon vivant et le tue chez lui, où les moindres parcelles de sa viande sont transformées en plaisirs de la table. Libre au chanceux d'en faire ou non profiter les voisins. Au-delà de la tradition, le jambon représente avant tout un juteux commerce à La Alberca, dont les monts environnants de la Sierra de Francia pullulent de cochons se nourrissant de glands au pieds des chênes. Cette année, "le cochon de Saint-Antoine" a été offert par l'entreprise locale Embutidos Fermin, qui exporte au Japon, en Corée, en Australie, au Canada, en Australie, au Mexique, et aussi en Allemagne ou en Belgique. Embutidos Fermin s'enorgueillit d'être devenue tout récemment la première entreprise espagnole autorisée à exporter aux Etats-Unis son "jambon ibérique", dont le prix au kilo oscille de 200 euros en Espagne à 400 euros au Japon. Grâce à des critères sanitaires à la pointe et l'installation d'un abattoir homologué par les Etats-Unis, l'entreprise a su lever les obstacles sourcilleux de l'administration américaine. Ses 30 premières pièces de "jambon ibérique" ont débarqué le 14 novembre à l'aéroport John Fitzgerald Kennedy de New York. Jusqu'à présent, on ne trouvait aux Etats-Unis que du jambon "serrano", élaboré à partir du cochon blanc, tandis que l'"Iberico", le "must" de la charcuterie espagnole, vient du cochon noir. Dans les caves de La Alberca, le jambon sèche lentement pendant deux ans, pour qu'une fois coupé, selon un rite cérémonieux, en fines tranches veinées de graisse et de chair, il fonde délicieusement dans la bouche. En cette fin novembre, le "cochon de Saint-Antoine" peine maintenant à déplacer ses 150 kg sur les ruelles de La Alberca. Pour lui aussi, l'heure du jambon approche. http://afp.google.com/article/ALeqM5gfjB0sc-NxYL_I0m-dvaXcfAUacg
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DROITS DES ANIMAUX ON EN PARLE PRESENTEMENT À "TVA EN DIRECT" AVEC FRANCOIS PARADIS Reconnu coupable de cruauté envers les animaux, le propriétaire d’un chenil veut récupérer ses chiens. Une experte en droit animal s’y oppose. Marc-André Laporte, le propriétaire du chenil illégal et insalubre de Blainville, a été reconnu coupable des deux chefs d’accusation de cruauté envers les animaux, mais les représentations sur sentence ont été reportées, puisqu’il veut reprendre les 18 chiens qui ont été placés en famille d’accueil, ce à quoi s’oppose la Couronne. Martine Lachance, la seule spécialiste en droit animal au Québec, mène un projet visant à améliorer la protection juridique des animaux. Pierre Barnoti, directeur général de la SPCA Martine Lachance, professeure, Département des sciences juridiques, UQAM SONDAGE Devrait-on imposer des sentences sévères à l'endroit des propriétaires de chenils irresponsables? http://tva.canoe.com/emissions/tvaendirect/
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La fourrure, un produit écologique L'industrie de la fourrure tente de redorer son image qui a été ternie depuis plusieurs années. Des campagnes de dénigrement de divers mouvements écologiques ont nui à ce commerce. Les campagnes de Brigitte Bardot, entre autres, ont réussi à dissuader plusieurs consommateurs de porter des fourrures. Depuis quelques jours, le Conseil canadien de la fourrure fait paraître une publicité agressive dans plusieurs quotidiens de langue anglaise. On y prône l'aspect écologique de cette ressource hautement renouvelable. En contrepartie, on y souligne que les fourrures synthétiques viennent de la pétrochimie, un produit nuisible à l'environnement. Rappelons que malgré un ralentissement significatif de la fabrication de vêtements en fourrure, la métropole montréalaise demeure un chef de file dans cette industrie produisant 80% de la fabrication des produits de la fourrure au Canada. On souhaite sauver et maintenir les quelque 1000 emplois reliés à cette production. http://www.matin.qc.ca/articles/20071128061405/fourrure_produit_ecologique.html
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Le 28 novembre 2007 Joliette (Québec) Deux amendes totalisant 7 000 $ à l’entreprise Olymel S.E.C. Le 1er octobre 2007, au Palais de justice de Joliette, l’entreprise Olymel S.E.C., située à Berthierville, a enregistré deux plaidoyers de culpabilité et a été déclarée coupable d’avoir enfreint à deux reprises la Loi sur l’inspection des viandes et son règlement d’application. La juge Parent, de la Cour du Québec, a condamné la compagnie à payer des amendes totalisant 7 000 $ plus les frais dans un délai de 90 jours. La première infraction, survenue le 27 mai 2003, consiste à avoir illégalement omis de prêter toute l’assistance possible à l’inspecteur dans l’exercice de ses fonctions, contrairement à la Loi sur l’inspection des viandes. L’inspecteur avait demandé que l’on enlève des poulets vivants tombés sous une remorque lors du déchargement. L’amende encourue pour cette première infraction a été fixée à 4 000 $. La seconde infraction, survenue entre le 14 et le 18 août 2003, consiste à avoir déplacé une remorque chargée de cageots à volaille sous rétention sans l’autorisation d’un inspecteur, contrairement à la Loi sur l’inspection des viandes. Dans ce deuxième cas, le montant de la peine a été établi à 3 000 $ L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) est chargée de faire observer diverses lois fédérales, dont la Loi sur l’inspection des viandes et son règlement d’application, lesquels régissent l’importation, l’exportation et le commerce interprovincial des produits de viande, l’agrément des établissements et l’inspection des animaux et des produits de viande dans les établissements agréés, et fixent les normes relatives à ces établissements, aux animaux qui y sont abattus et aux produits de viande qui y sont préparés L'ACIA, dans le cadre de son mandat, veille à la salubrité des aliments, la santé des animaux et la protection des végétaux en fournissant des services d'inspection et divers services connexes aux entreprises et aux consommateurs canadiens. Les bulletins judiciaires de l’ACIA font état de poursuites ayant mené à une condamnation. Leur publication vise à faire connaître le rôle de l'Agence et à renforcer la conformité aux lois et règlements sous sa responsabilité. - 30 - Renseignements : Jean François Bolduc Service des communications, Centre opérationnel du Québec Agence canadienne d’inspection des aliments Téléphone : 514-283-3815, poste 4253 Télécopieur : 514-283-3143 Courriel : bolducjf@inspection.gc.ca http://www.inspection.gc.ca/francais/corpaffr/projud/2007/20071128f.shtml
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La SPCA lance son calendrier avec Hugo Girard par Patrick Voyer C'est l'athlète de force gatinois Hugo Girard qui apparaît en couverture du premier calendrier de la SPCA, qui sera vendu un peu partout dans la région pour que la Société puisse se procurer des cages pour ses charmants animaux… Organisme sans but lucratif, la SPCA est constamment en manque de fonds pour assurer des services ponctuels aux animaux de compagnie qu'elle héberge. Avec cette campagne de 5000 calendriers, qui seront disponibles au coût de 8$, la SPCA prévoit amasser 20 000$ de profit. «Nous aurions besoin de 54 000$ pour des nouvelles cages, explique le directeur général Yves Geoffrion. L'idéal serait 85 000$, mais ce n'est pas urgent.» Ce qui urge est ce 20 000$ pour que la SPCA puisse s'occuper adéquatement avec des vétérinaires des 7800 bêtes recueillies chaque année. Présentement, 168 animaux nichent à la SPCA de l'Outaouais. Le calendrier est fort attrayant, très coloré, et comporte des photos de personnalités ou de gens d'affaires de la région. Ils sont accompagné(es) de leur conjoint(e), de leurs enfants et de leur(s) ami(s) à quatre pattes. Hugo Girard fait la couverture avec sa conjointe Nadine, son fils Tyler et son boxer, Bobby. Girard a indiqué que son chien est la troisième génération qu'il élève et a avoué que son animal de compagnie lui a remonté le moral à plusieurs reprises. Écoutez la présidente du conseil d'administration de la SPCA de l'Outaouais, Nathalie Joly, et Hugo Girard parler de son attachement pour les animaux de compagnie, dans la section Vie communautaire. VIDEO Hugo Girard explique son attachement à son animal de compagnie et Nathalie Joly rappelle la mission de la SPCA. http://www.info07.com/article-162581-La-SPCA-lance-son-calendrier-avec-Hugo-Girard.html
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A l'attention du directeur de l'information: Le chenil de l'enfer : Marc-André Laporte n'est pas psychologue MONTREAL, le 28 nov. /CNW Telbec/ - L'Ordre des psychologues du Québec tient à attirer l'attention du public sur le fait que, contrairement à ce qui a été publié dans l'édition de ce matin du Journal de Montréal, la personne accusée de mauvais traitements envers les animaux, M. Marc-André Laporte, n'est pas psychologue et n'a jamais été membre de l'Ordre des psychologues du Québec. Malgré les informations transmises lors de publications antérieures par l'Ordre à l'effet que M. Laporte n'est pas psychologue, Le Journal de Montréal soutient toujours, dans le texte publié aujourd'hui en page 7, que M. Laporte est psychologue. Renseignements: Diane Côté, Directrice des communications, (514) 738-1881, 1-800-363-2644 poste 235 http://www.newswire.ca/en/releases/archive/November2007/28/c5391.html
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Bas-St-Laurent ANIMA-Québec saisit 114 chiens à St-Paul-de-la-Croix Mise à jour : 28/11/2007 13h23 L'organisme ANIMA-Québec a saisi 114 chiens, mardi, dans une résidence de St-Paul-de-la-Croix, dans le Bas-St-Laurent. Il s'agit ici de cette famille qui vivait avec plus de 200 chiens, ramassés à gauche et à droite, dont l'histoire avait défrayé la manchette il y a quelques semaines. Mardi, 120 chiens se trouvaient dans la maison lorsque l'organisme est passé effectuer la saisie pour des questions d'hygiène. Six chiens ont été laissés sur place parce que leur sécurité et leur bien-être n'étaient pas compromis. http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2007/11/20071128-132332.html LA NOUVELLE EN VIDÉO http://lcn.canoe.ca/cgi-bin/player/video.cgi?file=/lcn/actualite/regional/20071128_chiens.wmv